Départ Précipité...

Titre : Départ Précipité.
Ship : Bah Jac on ne déroge pas des bonnes habitudes.
Style : heu...joker
Personnages : Mac - Jo - Ellie - Don.
Résumé : . . .
Disclaimer : Aucun personnage ne nous appartient et je ne touche aucun argent pour mes écrits.

Bonne lecture.
Merci a Ma PariGleise pour la correction

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Ça venait de faire un an que je partageais ma vie avec elle, lorsqu’elle m’apprit qu’elle attendait un enfant, notre enfant. Je gardais le silence, mettant en place mes idées; des craintes montèrent à la surface et je ne pouvais les chasser. Etais-je prêt à devenir père ? Etions-nous prêts à unir notre amour avec cet enfant ? Est-ce qu’on allait pouvoir l'élever, malgré nos métiers? Tant de questions en suspens qui ne faisaient que prolonger mon silence pesant.
Inquiète, elle voulut connaître mon ressenti, mais son portable venait de sonner, elle décrocha. C’était Don qui l’appelait pour l’affaire en cours, une perquisition chez le principal suspect.
Je lui demandai de faire gaffe et la laissai partir.

Je me revois encore dans ce long couloir blanc à l’odeur aseptisée.
Je me souviens de la peur que je ressentais à ce moment-là.
Je me revois encore faire les cent pas dans la crainte qu’elle soit partie dans un autre monde. Loin de moi.

Don m’avait appelé alors qu’il était dans l’ambulance avec Jo. La perquisition, qui aurait dû être sans danger, s’était avérée mortelle pour deux officiers de police, une balle avait frôlé le bras de Don et blessé grièvement Jo… Je n’avais rien dit et je m’étais rendu en tout hâte à l’hôpital. En arrivant, Don me prévint que son état était grave et que le docteur n’était pas spécialement optimiste. Sa vie tenait à un fil…

Le médecin sortit des portes battantes. Il s’avança vers nous, le visage impassible. Il avait annoncé tant de nouvelles dans sa vie que son visage ne laissait plus rien paraître avec le temps.

- « Vous êtes de la famille de Mme Danville ? »
- « Je…je suis son petit-ami. Comment va-t-elle ? »
- « Elle est tirée d’affaire. »
- « Et le bébé ? »

Il me fixa quelques secondes avant de reprendre d’une voix plus faible :

- « On fera une échographie à son réveil. »

Je tombai sur le siège où j’étais auparavant assis. Don posa une main sur mon épaule, un geste simple, mais qui démontrait son soutien à mon égard, ça allait être une dure épreuve à passer.

J’entrai dans la chambre plongée dans une obscurité presque totale. Elle était là, allongée dans ses draps blancs et le visage inerte.
Je m’approchai d’elle, lui saisis la main et de l’autre caressait son doux et fin visage.
Je ne prononçai aucun mot de toute la nuit…
Je n’étais parti qu’une demi-heure à peine et à mon retour, Jo était éveillée, mais son regard et son esprit étaient ailleurs. Ce fut inquiet que je me dirigeai vers sa chambre avant que le médecin ne me coupe la route et ne me demande de le suivre. On s’éloigna de la chambre, son silence en disait long sur les nouvelles qui allaient suivre. Il jeta un coup d’œil à la chambre de Jo avant de me fixer à mon tour :

- « Qu’est-ce qu’il y a docteur ? »
- « Nous avons fait une échographie comme prévu…je suis désolé, mais le bébé n’a pas survécu. »
- « …Jo est au courant ? »
- « Oui…désolé. »

J’acquiesçai simplement de la tête avant de retourner près de ma bien-aimée. On n'échangea aucun mot, je ne faisais que penser à la vie qu’on aurait pu avoir en étant marié avec cet enfant. Une petite fille vêtue d’une petite robe blanche jouant aux poupées ou cuisinant avec sa maman; un petit garçon habillé d’une salopette jouant dans le bac à sable ou construisant une cabane avec moi. Je fermai les yeux, ce n’était qu’une illusion.

Jo sortit de l’hôpital quelques jours après et décida de prendre quelques jours de congé à Washington près de sa famille. Ellie avait, elle aussi, eu du mal à se remettre des derniers évènements et partir en Virginie avec sa mère allait lui, leur faire, le plus grand bien. Quant à moi je restai à New York, je savais que Jo avait besoin de partir seule avec sa fille et je comprenais tout-à-fait sa réaction.
Mais au fur et à mesure des jours, je commençai à m’inquiéter. A chaque fois que j’avais appelé, c’était sa mère qui avait répondu et donné de brèves nouvelles de Jo; chaque lettre envoyée à l’experte me revenait sans aucune réponse de sa part.

Je décidai alors de me rendre là-bas. En arrivant et après avoir bu une tasse de café, sa mère m’apprit que Jo avait déménagé, mais elle ne me donna aucune coordonnée. Ce fut désemparé que je retournai à New York. Elle me manquait à chaque minute de ma vie et elle m’avait quitté…

Ce fut après une recherche ardue et longue que je retrouvai la trace de Jo trois ans plus tard. Elle avait déménagé à Chicago avec Ellie, quant à Tyler il était resté à New York pour ses études et faisait semblant de ne rien savoir sur le départ de sa mère.
Je décidai d’en savoir plus sur son départ précipité en me rendant chez elle.
Je sonnai à deux reprises avant qu’Ellie ne m’ouvre la porte avec un petit garçon dans les bras. Bouche bée, elle resta figée devant moi :

- « Bonjour Ellie. »
- « Bon…bonjour. »
- « Ta mère est là ? »
- « hein ? »
- « Ta mère est là ? »
- « Ma mère ? Oui… »

Elle cria le prénom de sa mère qui ne tarda pas à arriver et resta figée tout comme sa fille devant moi
-
« C’est…c’est bien toi ? »

Elle effleura mon visage du bout des doigts avant de se blottir contre moi. Malgré son départ précipité, il y a trois ans, je l’aimais toujours et la prendre dans mes bras me rendait s’y heureux que je ne pus me résoudre à refuser son étreinte.
Au bout de quelques minutes, elle me fit entrer dans son spacieux appartement et m’invita à boire un café. J’observai le petit garçon jouant avec Ellie dans le salon :

- « c’est ton fils ? »
- « Oui, il s’appelle Declan. »
- « Declan…joli prénom. »
- « Merci. »
- « Et le père ? »
- « Tiens voici ton café. »
- « Merci…Pourquoi es-tu partie ? »

J’entrai dans le vif du sujet pour éviter des discussions inutiles. Elle me fixa quelques secondes avant d’essuyer une larme qui venait de couler sur sa joue.

- « Je ne pouvais pas rester … »
- « Jo…tu n’avais pas assez confiance en moi ? »
- « Si, si je te confierais ma vie, mais c’est plus compliqué que ça. »

Jo jeta un coup d’œil à sa montre avant d’aller chercher Declan pour l’installer dans la chaise haute, elle lui donna un chocolat avec un gâteau sous mon regard attendri.

- « Lorsque je t’ai annoncé ma grossesse, tu as gardé le silence et ton regard était craintif et préoccupé…j’ai ensuite perdu le bébé. Enfin, c’est ce que tu as cru et ce que j’ai demandé au médecin de te dire. »
- « Je ne comprends pas … »
- « En voyant ton regard, j’ai su que tu ne voulais pas de cet enfant et la seule solution pour moi était de partir, mais un incident, la fusillade, a bousculé mes plans en quelques sortes. Je devais profiter de cette occasion pour te dire que j’avais perdu l’enfant et partir. Tu n’avais pas à subir la naissance et l'éducation d'un bébé dont tu ne voulais pas. Je sais que tu n’aurais jamais fui tes responsabilités, mais je ne voulais pas t’obliger à ça, à être père. Je suis donc partie pour que tu vives en paix… »

Je regarda Declan et Jo avant de contourner la table et de m’approcher d’elle.

Mac déposa ses mains sur le visage et la fixa droit dans les yeux :

- « J’avais des craintes, oui. Mais c’est normal Jo. J’avais peur de ne pas être un bon père, qu’on n’arrive pas à éduquer notre enfant tout en continuant notre travail. Mais jamais, tu m’entends, jamais je n’ai refusé d’aimer cet enfant, jamais je n’ai souhaité que tu ne sois enceinte. Comme tout futur père, j’ai eu des peurs, des peurs qui m’inquiétaient au plus au point mais … je t’aime Jo et ton départ m’a fait souffrir. J’ai mis trois ans à essayer de retrouver ta trace. Trois ans où je ne cessais de penser à cet enfant qu’on avait perdu, à toi, à Ellie. A la famille qu’on avait voulu fonder pendant cet un an de vie commune. »

Jo se blottit contre le lieutenant, laissant les larmes couler sur son doux visage et s’excusant maintes fois, priant Mac de lui pardonner :

- « C’est à toi de me pardonner pour le doute que j’ai mis en toi pendant tant d’années. »

Ils se dirent qu’ils s’aimaient à l’unisson et Mac prit enfin ce fils dans ses bras, cet enfant, le fruit de leur amour.

Ça fait maintenant deux ans que Mac et Jo se sont retrouvés et se sont mariés. Declan appela Mac « papa » trois mois après que celui-ci eut retrouvé sa place d’homme et de père au sein de cette famille.
Ellie quant à elle veille sur son petit-frère tout comme Tyler.
Les doutes et l’amour nous font faire de drôles de chose dans la vie…

THE END...

Superbe os

Encore des malentendus dus à des paroles qui ne sont pas dites.

Mac qui essaie de retrouver Jo même après toi: c'est beau l'amour

Mac qui découvre qu'il a un fils

mac et Jo qui s'aiment toujours

Mac et Jo qui se marient

Merci Ma MacTatan

Merci Ma Zat

De rien Ma MacTatan, c'est mérité

Magnifique Os!!!

Tu m'as fait passer par tous les stades!!! Et chaque fois que les choses s'amélioraient, un nouvel obstacle! Mac, le boulet, qui reste silencieux quand elle lui annonce qu'elle attend un enfant
Jo qui est grièvement blessée mais qui finit pas s'en sortir mais qui perd son enfant qui retourne chez sa mère mais Mac n'abandonne pas mais elle ne veut plus le voir mais Mac n'abandonne pas (bis) Il retrouve Jo et Ellie mais elle a un enfant d'un autre? non, de lui et elle l'aime toujours et ils se marient

Pour résumer, on a donc:

mais surtout

Oh que j'ai eu peur
J'ai cru que j'allais devoir appliquer une nouvelle règle pour toi concernant le Jac et le drama

Mais non, tu t'es bien rattraper

Mais Jo elle est méchante
Pourquoi faire souffrir Mac de cette façon là

Pourquoi ne pas avoir eu confiance en lui?
Pourquoi ne pas lui avoir parler?
Pourrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrquoi

Enfin bref, tout est rentrer dans l'ordre.
Mac à été la voir, il etait temps au bout d'autant de temps, mais brefons!
Ils se parlent, se comprennent, s'aiment.
C'est tout ce qui compte


Mercipour cet Os Ma MacTatan

Merci ma Zat
Merci ma PariGleise tous plein de smiley partout tout comme ma Zat j'adore trop fort.
Merci ma Greisa Une nouvelle règle ? je t'écoute

Du drama Jac, tu fais, 1 Os guimauve par jour tu écriras, jusqu'à ce qu'on s'en lasse
C'est à dire jamais

Ha d'accord et si on a pas d'inspiration ?

On te lance des pierres pour que tu la retrouve vite

Ma Greisa tu es sadique et tortionnaire

Non, elle aime juste les bonnes choses

et cette règle est applicable à vous aussi ?

Bien sur, à toutes sauf à moi
Vu que je l'ai créer Et donc, j'ai le droit à une dérogation que je m'accorde à moi-même, de temps en temps

Non non non ma Greisa ça fonctionne pas comme ça. Il faut que tu donne l'exemple en respectant toi-même les règles

Les règles sont faites pour être transgresser Par moi, et uniquement moi

Je dois avoir un problème aux yeux mais je vois pas la seconde partie de ta phrase...c'est bête

Essaie pour voir

hum...ok

Ça tombe bien,on viens de recevoir du gravier...

je vais aller me réfugier dans les bras de Gibbs

Après ne fais pas de drama et tu n'auras pas à te cacher

PS: Je t'influence en rien, hein

@ Ma Greisa : Ho je vais comme même aller voir Gibbs

Merci ma Lisa Ouais la communication est importante mais ils ont pas prit cette option les deux Bah ouais du commence t'habituer au OS flippant mais happy end

Ouai en effet je commence à m'y habituer
Mais que ca ne devienne pas une habitude hein
J'aime les OS guimauve