Merci à vous toutes pour tous ces gentils coms!!
et maintenant,la suite!!
***ATTENTION!!!AVERTISSEMENT POUR CE CHAPITRE!!***_________________________________________________
12- Le début d’une nouvelle vie
Quand Stella avait remarqué que Don avait enfin relevé son visage vers elle, elle avait dit la première chose qui lui était passée par la tête. Un peu commun mais elle ne savait pas trop quoi dire d’autre…Et puis, elle devait sûrement avoir une expression béate sur le visage… La scientifique était si heureuse qu’ils se soient trouvés…
Stella : Bonjour, Don…
Stella nota que Don était la stupéfaction incarnée et haussa alors un sourcil, intriguée.
Stella : Un problème ?
Un problème ?! Bien sûr qu’il y avait un problème !! Flack, paniqué, s’écarta brusquement de Stella et chercha quelque chose pour les couvrir. Les draps…Le jeune détective recouvrit d’abord le corps nu de la scientifique, essayant de le regarder le moins possible, puis s’enroula un autre drap autour de la taille. Mac allait le descendre et il aurait bien raison…
Stella comprit rapidement le manège de Don et se redressa, tout en découvrant son corps. Elle put voir le détective baisser les yeux et rougir comme une tomate et décida de l’approcher. Elle saisit le drap qui entourait sa taille et lui retira pour admirer une nouvelle fois son beau corps musclé. Flack était parfait…
La scientifique lui fit relever la tête avec douceur mais aussi avec fermeté, l’obligeant à la regarder droit dans les yeux, tandis que ses mains se posèrent sur son torse ferme, commençant à le caresser tendrement.
Don déglutit, ne sachant que faire, et laissa son regard bleu dans celui émeraude de Stella. Quand elle le toucha, des frissons le parcoururent tout entier. Le jeune homme commençait à avoir chaud…
Stella (inquiète) : Don ?
Don (hésitant et balbutiant) : Stel…Stella…Je…
Stella (s’approchant un peu plus de lui, malicieuse) : Si tu me dis une fois de plus que tu es désolé, tu vas avoir affaire à moi…
Don (avec une expression coupable sur le visage) : Mais je le suis ! Stella…Vous…
Le détective ne put finir sa phrase car des lèvres douces venaient de s’emparer des siennes avec avidité. Des lèvres qu’il rêvait d’embrasser depuis toujours…Mais il se considérait comme un traître ! Après tout ce que Mac avait fait pour lui, lui n’avait pas trouvé d’autre moyen que de s’envoyer sa compagne ! Même s’il aimait Stella, ça ne pardonnait pas son… geste pour autant…
Flack finit par s’écarter vivement de Stella, avec réticence tout de même…Il aimait vraiment trop l’embrasser…
Don (terriblement navré) : Stella, non ! Avez-vous pensé à Mac ?
Stella (interloquée) : Mac ? Mais qu’est-ce qu’il vient faire là-dedans ?
Don : C’est votre petit a…
Stella (se rappelant, levant les yeux au ciel) : Non, Don. Mac n’a jamais été mon petit ami. Mon ami, oui. Un ami très cher et indispensable. Mais un amant, non…
Flack fut frappé de mutisme. Il était à la fois stupéfait et soulagé. Il était si sûr de ça… Et il s’était gravement trompé. Stella était libre ! Mais avait-elle vraiment dit qu’elle l’aimait ou était-ce encore l’un de ses rêves ?
Stella s’approcha encore du jeune détective pour l’enlacer amoureusement, posant sa tête sur son cœur pour en entendre les battements forts et affolés. Ils lui étaient destinés…
Don : Stella, avez-vous…
Stella (se serrant tout contre lui, se délectant de sa peau nue sur la sienne) : Don, tu peux me tutoyer, tu sais. (malicieuse) Tu ne t’es pas gêné hier…Et avec ce qu’on a fait cette nuit…
Don (rougissant et embarrassé) : Je…Je ne m’en…
Stella (levant les yeux vers lui) : Je vois…Promets-moi une chose, Don. Ne bois plus jamais comme ça, d’accord ? Tu m’as vraiment fait peur…
Don : Désolé…C’était vraiment stupide…Mais j’étais jaloux et je voulais…
Stella (jouant avec des mèches noires de ses cheveux, au niveau de sa nuque) : Oublier, je sais. O’Greef me l’a dit…Mais qui a bien pu te donner l’idée que je sortais avec Mac ?
Don (se raclant la gorge, se sentant vraiment idiot) : Je l’ai imaginé comme un grand… Vous me sembliez si proches tous les deux…Si complémentaires…J’en ai donc tiré des conclusions…
Stella (gentiment moqueuse) : Quelque peu hâtives, non ? Enfin, tout s’est arrangé maintenant.
Stella enlaça plus étroitement Don et sentit enfin le jeune homme répondre à son étreinte, avec tout de même une légère hésitation. Normal, s’il pensait avoir rêvé leur nuit… Leur si belle nuit…
Flack observa intensément Stella. Alors ce n’était pas un rêve ! Ils avaient vraiment fait l’amour ! Dommage qu’il ait été dans un état second…Il n’avait que des flashs ou des bribes de sa soirée et de sa nuit…Mais il y avait une chose qu’il avait besoin de savoir, une chose dont il devait être sûr…
Don (caressant presque timidement la jolie chevelure bouclée de la scientifique) : Stella, est-ce que tu…Est-ce que tu m’aimes ?
Stella (mutine) : Il me semble te l’avoir déjà dit…
Don (hésitant et timide) : Je…Je voudrais être sûr…C’est un peu embrouillé dans ma tête…
Stella (se redressant pour se mettre au niveau de ses yeux si bleus, lui souriant tendrement) : Et bien oui…Je t’aime, Don. (câline) Je t’aime, je t’aime, je t’aime, je t’aime.
Et la jeune femme put voir un immense sourire heureux se dessiner sur les lèvres de Flack et le doute s’envoler de ses beaux yeux bleus. Qu’est-ce qu’elle aimait ses yeux ! Bon, elle aimait Don en son entier, mais ses yeux étaient le premier élément qui l’avait marquée. Elle comptait bien ajouter ses lèvres fermes, maintenant…
Don l’embrassa enfin, avec amour, douceur et tendresse, la serrant tout contre lui et priant pour qu’il se rappelle plus précisément de leur première nuit d’amour…Elle était leur point de départ pour une nouvelle vie. Une vie ensemble…
Soudain, Stella s’étendit sur le lit, entraînant Flack avec elle, et commença à le caresser voluptueusement.
Don (surpris) : Stella ?
Stella (taquine) : Construisons-nous de nouveaux beaux souvenirs, Don…
Et la scientifique attira son visage vers le sien pour prendre ses lèvres avec passion, caressant son dos puissant avec force et tendresse et frottant doucement son corps nu contre le sien, l’incitant à la caresser à son tour. Don ne se le fit pas dire deux fois et laissa ses mains vagabonder sensuellement sur le corps de Stella, tout en l’embrassant sans relâche, sentant sa langue jouer avec la sienne et ses mains s’enfouir dans ses cheveux.
Et sa migraine ? Juste un mauvais souvenir…Stella était le plus merveilleux des remèdes. Don finit par se détacher de ses lèvres pour s’attaquer voluptueusement à son corps. Tout son corps. Il n’en oublierait pas une seule parcelle…
Stella s’arc-bouta quand elle sentit Don embrasser, mordiller et lécher chaque partie de son corps, trouvant ses zones érogènes et les excitant avec audace, lui faisant pousser de douces plaintes. Il recommençait…Comment arrivait-il à faire ça ? A réveiller de telles sensations de plaisir intense en elle…Allait-elle résister ?
Don finit par remonter au niveau du visage de la jeune femme, plongeant son regard bleu intense dans ses yeux émeraude, avant de reprendre ses lèvres avec ferveur. Il sentit la scientifique commençait à caresser tendrement son torse et dessiner une nouvelle fois le contour de sa cicatrice du bout des doigts. Et cette fois-ci, il ne protesta pas. Il se rappelait de ce moment-là…Des mots qu’elle avait prononcés pour le rassurer et de l’amour qu’il y avait eu dans ses yeux verts…C’était réel…Elle l’aimait…Tout entier…Corps, cœur et âme…Tout comme lui…
Stella se mit à mordiller gentiment son cou, laissant quelques suçons au passage, et le sentit frissonner à chacun de ses baisers, à chacune de ses caresses…Don réagissait comme aucun autre homme avec elle…Il était unique…Et il était à elle.
Les deux amants s’embrassèrent une nouvelle fois avec faim et passion, se serrant étroitement l’un contre l’autre, se caressant avec ardeur et fièvre. C’était le moment…
Don pénétra Stella avec passion et cria en même temps que la scientifique à sa manœuvre. Le jeune homme noua ses doigts aux siens, posant leurs mains le long de leurs corps unis et commença à se mouvoir doucement, amplifiant peu à peu ses coups de reins, accentuant ainsi la force de leurs gémissements et de leurs cris de plaisir. Ils atteignaient enfin le ciel…
Stella se cambra contre le détective pour le sentir plus profondément en elle et finit par laisser échapper son prénom à chacun de ses cris d’extase. Il était entrain de réveiller de nouvelles sensations en elle, plus fortes, plus puissantes, plus intenses…Comment allait-elle arriver à supporter l’orgasme ?
Don ne lâchait pas Stella des yeux. Ne lui avait-elle pas déjà demandé qu’elle voulait le regarder ? Il ne l’avait pas oublié…Il admira son beau visage qui exprimait diverses sensations actuellement et l’embrassa tendrement. Son front, ses pommettes, ses joues, ses paupières, ses lèvres… Rien ne lui échappa. Surtout ses lèvres, un peu rouges maintenant. Don les adorait…
Le rythme de leur étreinte s’accéléra, s’amplifia car les deux amants approchaient des cimes de la jouissance. Don et Stella serraient leurs mains jointes avec de plus en plus de force, leurs cris gagnèrent en puissance et leurs corps étaient de plus en plus brillants de sueur. Et l’orgasme les toucha. Fort, puissant, merveilleux, incroyable. Les deux amoureux hurlèrent leurs noms, totalement submergés par ce plaisir intense. Ils y étaient…au Paradis.
Don, essoufflé, s’écroula doucement sur Stella, aussi haletante que lui, et posa sa tête sur son épaule, soulignant les contours de son visage du bout des doigts. La scientifique le serra contre elle, voulant profiter au maximum de sa présence, et se remit à le caresser amoureusement.
Don : Merci…
Stella (amusée) : Mais je t’en prie… Tu pourras recommencer quand tu voudras…
Don (énigmatique) : Vraiment ?
Stella (avec un sourire ravi et satisfait) : Vraiment.
Don (avec un sourire carnassier) : Très bien. Me voilà !
Stella (surprise) : Don !
Et le détective l’embrassa avec amour et passion, prémices d’une nouvelle étreinte. Et ils continuèrent ainsi à faire l’amour durant toute la matinée.