Voici mon quatrième OS. Et comme pour les précédents, c’est Mac qui parle, on est dans sa tête. J’aime bien cette façon d’écrire.
Inspirer par une chanson (Et oui encore) Breathe me de Sia. Pour celle qui ne connaisse pas je la conseille, je la trouve sublime. En plus elle me fait penser à un bel épisode de House. Bon bref, j’arrête de raconter ma vie.
Après le 5X25. Mais n’ayant aucun rapport avec le 6X01.
Heu...C'est encore du drama, si vous êtes de bonne humeur ne pas la lire, ça risquerais de vous plombé le moral
Breathe me
Comment ai-je fais pour ne m’apercevoir de rien.
Elle que je côtois pourtant tout les jours.
J’aurais du me douter que la mort de Jessica, l’aurais touché plus qu’elle a bien voulu me faire croire.
Si j’ajoute à ce drame, la mort de Frankie et l’enfer qu’il lui a fait vivre, la mort du professeur Papakota.
Ca fait trop de mort en peu de temps.
Tu as tout fait pour me prouver que tu avais surmonté touts ces drames mais en faite tu n’as fait que la cacher au plus profond de toi.
Et la mort de Jess, a fait remonter tout ca à la surface.
Je me demande encore comment je n’ai pas vu les signes de ta souffrance.
Tu as commencé à t’isoler, tu as cessé tout contact avec notre équipe.
Tu refusais de nous voir en dehors du boulot.
Tu avais des difficultés de concentration, de mémoire, qui ont fortement augmenté dans les derniers temps.
Un état dépressif, une incapacité à prendre du plaisir, une tristesse intense.
Une perte d’appétit, tu ne mangeais plus.
Des prises de risque excessives et un débordement d’énergie presque incontrôlé.
Je me demandais, ce qui t’arrivais, je t’en ai parlé mais tu m’as dis que ca allais.
Je savais que tu mentais, j’aurais du t’obliger à m’en parler.
Je ne l’ai pas fait et voilà tu as attenté à ta vie.
Moi Mac Taylor, je n’ai pas su interpréter tous ces signes et à présent tu es là sur ce lit.
Je te regarde t’en aller impuissant.
Comment en es-tu arrivé là ?
Tu as d’abord enfoncé un couteau dans une prise, pensant en finir.
Tu as juste réussit à t’électriser.
Deux jours après tu es sortit de l’hôpital.
J’étais là pour t’aider mais tu as refusé mon aide.
Tu t’es alors replier sur toi-même. Ne sortait plus de chez toi, ne répondais plus à mes appels.
Au bout de 2 jours sans nouvelle de ta part, je suis devenue inquiet.
J’ai filé chez toi. J’ai tambouriné à la porte. J’ai sonné.
Tu n’as pas ouvert.
La peur m’a envahit. J’ai défoncé la porte.
Tu étais là sur ton canapé, les yeux clos. Des boites vides de médicaments jonchaient le sol.
Je me suis précipité vers toi.
Ton poule était faible, j’ai appelé une ambulance.
Peu de temps après, le médecin est venu me parler, il n’y avait plus aucun espoir.
Il voulait ma signature pour te débranchée.
Je n’ai pas pu, je n’en avais pas le courage.
Sheldon est venu me parlé et m’as dis que tu devais souffrir énormément et que la seule façon pour que tu ne souffre plus étais que je te laisse partir. Que je te débranche.
Il a réunit toute l’équipe. Ils sont tous venus pour te dire adieu.
Les uns après les autres, ils sont venus dans cette chambre, ils t’ont parlés, déposés un baiser et sortit de la chambre.
Il ne restait que moi. J’étais le dernier à passer.
Je me suis effondré en larme. Je t’ai déposé un premier et dernier baiser sur tes lèvres, ces lèvres que je rêvais d’embrassé depuis des années.
J’ai fais signe au médecin. Il t’a alors débranchée.
Un long bip résonnait dans la chambre. Je ne pouvais décrocher mon regard de toi.
C’était la dernière fois que je te voyais et je voulais m’imprégner ton visage pour ne jamais t’oublier.
Depuis ton départ, je n’ai plus jamais sourit.
Pourquoi sourirais-je alors que tu n’étais plus là pour me voir sourire ?
Tu m’avais redonné le sourire après la mort de ma femme, tu l’as emporté avec toi en partant.
FIN