Titre : World Trade Center.
Style : ...
Ship : Aucun.
Personnages : Mac Taylor et Ethan Stanford.(personnage créer par moi-même.)
Résumé : Le titre dis tout sur ce qui va suivre.
Disclaimer : Aucun personnage ne m'appartient sauf Ethan S. L'histoire appartient aux Etats Unis et je ne touche aucun argent pour mes écrits.
PS : J'avais prévu d'écrire une fic sur cet évènement dont la démission de Mac et qui aurait été ship. Mais j'ai vu le film WTC et l'inspiration m'ait venu autrement.
Bonne lecture.
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Le 11 septembre 2001, 2977personnes ont trouvés la mort et 6291 citoyens ont été blessés. Aujourd’hui encore, cet évènement reste graver dans la mémoire des New Yorkais mais aussi des Etats-Unis et du monde entier.
J’étais envoyé là-bas pour interviewer un américain propriétaire d’une boutique de mode. Faut dire que je n’étais pas spécialement motivés pour ce reportage, ce n’était pas ma branche mais c’était les ordres et je n’avais pas eu le choix.
Mais l’ombre d’un avion s’est dessiné sur le mur du bâtiment auquel je faisais face. Il était trop proche pour qu’il n’attire pas mon attention alors je me suis retourné et avec effroi j’ai observer l’avion s’encastrer dans l’une des tours du World Trade Center. Je ne pouvais rien faire à pars observer…juste observer. J’étais comme paralysé devant le spectacle, horrible, auquel j’assistais. Des cris terrorisé et attristé résonnait dans la rue où je me trouvais et j’ai réagit en courant vers les tours. Pourquoi ? Je ne pourrais vous répondre. Je sais juste qu’une main m’a saisit le bras et m’a stoppé dans mon élan. Il avait les cheveux bruns, le regard acier et portait un costume avec une étoile sur la veste… C’était un officier de la police de New York.
- « Restait-là ! »
- « Qu’es ce qu’il ce passe ? » fis-je apeuré.
- « Un avion à percuter les tours. Restait-là, j’dois y aller. »
Le flic commença à courir vers le World Trade Center du moins avant que je l’interpelle :
- « Laissez-moi venir avec vous. Je peux vous aider ! »
Il m’observa de la tête au pied avant de jeter un coup d’œil à l’horreur qui se passait quelques mètres plus loin et accepta.
- « Je m’appelle Mac. Mac Taylor et vous ? »
- « Ethan Stanford. »
On courrait tout en se présentant l’un à l’autre. Valait mieux savoir comment on s’appelait parce que sur place, on aurait pas le temps de se présenter devant une tasse à café tout en lisant le « New York Times. »
La fumée n’arrivait pas à se dissiper et on entrait peu à peu dans ce brouillard, léger certes, mais qui nous brûlaient les yeux et nous empêchaient de respirer comme on le voulait. Arrivé près du World Trade Center, je ne pourrais vous expliquer précisément ce que mes yeux voyaient mais le regard apeuré des victimes qui courraient de part en part, se frayant un chemin entre les pompiers et les policiers qui n’hésitaient pas à s’engouffrer dans les tours. Des femmes et des hommes en sang, pleurant ou criant leur rage contre les responsables de ce désastre. Les cendres qui tombaient brûlaient la peau des survivants. Certains pompiers ou policiers ressortaient du bâtiment avec des victimes saine et sauve, ce qui était rare sur ce terrain digne d’un film de guerre étaient ce qui m’avait le plus percuter. J’étais figé, terrorisait par la scène devant moi et Mac était dans le même état avant qu’il ne me tape sur l’épaule pour me dire qu’il fallait y aller.
Je ne savais pas pourquoi il était là et je ne le saurais sûrement jamais…
Alors qu’on s’avancer vers un groupe de policier, une femme tomba du ciel. Elle avait vu la seule issu qui s’offrait à elle pour éviter de périr brûler dans l’étage d’où elle venait de sauter. Ma gorge et mon estomac se serrèrent comme dans un étau. Non je ne peux pas vous dire ce que ressentait ces gens prisonniers des faits d’un terroriste qui avait décidé de baptisé ce jour comme étant le premier jour où les Etats-Unis d’Amérique venait d’être attaquer sur leur propre territoire.
- « Je suis le Lieutenant Taylor et voici … l’inspecteur Stanford. On peut vous aider ? »
- « Les deux tours ont été touché et on compte déjà plus d’une dizaine de mort dans nos rangs. »
- « On va faire évacuer les alentours en attendant que ça se sécurise dans les tours. »
- « Oui, ça va nous aider. »
Mac me fit signe de commencer à avancer avant de se retourner vers le sergent :
- « Avez-vous vu Claire Conrad Taylor ? »
- « Non désolé. On ne prend pas les noms des personnes qu’ont croisent monsieur. »
- « Merci comme même. »
Il se saisit de son portable sous mon regard interrogateur. Claire était sa femme…voilà pourquoi il était là.
- « Claire répond. » pria-t-il.
- « … »
- « Claire. C’est Mac ! Où est-tu ? »
- « … »
- « Reste là. Ne bouge pas j’arrive. »
- « … »
- « Je t’aime. »
Il raccrocha et se mit à courir. Je le suivit comme son ombre, il était la seule personne que je connaissais et il était un homme de confiance.
Un bruit assourdissant fit vibrer le sol et les murs de New York. On s’arrêta net dans notre course et on se retourna. Les tours tremblait de pars en pars avant de commencer à s’effondrer sur elle-même.
On se mit à sprinter…oui c’était le mot. On courrait aussi rapidement que nos jambes nous le permettaient pour se mettre à l’abris. Mac saisit une jeune femme en passant et s’engouffrèrent dans un creux entre deux bâtiments, la protégeant avec son corps alors que je courrais plus loin pour trouver un endroit où me cacher et me protéger. Derrière une voiture…c’était la seule possibilité pour moi sinon j’allais mourir. Lorsque les tours finirent de s’effondrer, une épaisse fumée se propagea dans la ville et on ne pouvait rien voir deux mètres devant nous. Etourdis, je me leva tout de même et partit à la recherche de Mac, espérant qu’il soit toujours vivant. Entre des corps sans vies, des personnes affolés et perdus marchaient dans la rue à la recherche de secours. L’espoir les faisaient marcher malgré certaines de leur blessures.
- « Taylor ! Mac Taylor ! »
Je ne cessais de crier autant que mes poumons pouvaient me le permettre. Il toussait et vérifia que la jeune femme qu’il avait protégé allait bien. Il lui avait sauvé la vie. Il saisit ensuite son portable pour appeler sa femme mais rien…
- « On va la retrouver Mac. »
J’avais envie de garder espoir pour lui mais malgré ça, dans son regard, je pouvais voir qu’il savait qu’il y avait peu de chance de la retrouver en vie. On passèrent des heures à chercher Claire dans les alentours des tours et dans les décombres avec les marines, les pompiers et certains policiers mais rien. Il fallait ce faire à l’idée qu’elle n’était plus de ce monde et avait rejoint le ciel comme des milliers de personnes Aujourd’hui.
Depuis ce jour, je ne l’ai plus jamais croisé. Quant à moi…j’écris des articles sur des personnalités importantes de notre ville ou encore de notre pays mais jamais plus, je n’espère faire un article sur l’évènement qui a bousculé les Etats Unis d’Amérique.
J’ai écris cet article mais je ne peux vous décrire la souffrance endurait par chaque américain présent dans ses bâtiments se jour-là.
Hommage aux 2977 victimes dont les 343 pompiers, 23 officiers de police de la NYPD et les 37 officiers de la police du port qui ont péries lors des attentats du World Trade Center.