vengeance

Bon je me lance. C'est un texte très court histoire que vous me disiez ce que vous en pensez ^^ J'accepte toutes les critiques (j'suis bien hein xD)

21h30, Manhattan un soir d’hiver. Le vent glacial soufflait dans les rues pratiquement désertes de la ville. Nous étions dimanche 24 décembre. Ce soir de nombreuse familles allaient réveillonner avec leur proche et faire la fête sans penser à autre chose qu’à : « est ce que mon cadeau va lui plaire ? » ou bien des trucs du genre « eurk…Steven a amené Cindy sa nouvelle copine, nan mais vraiment quelle faute de goût sa tenue et puis son maquillage et…… » Bref, un réveillon comme tant d’autres.

Mais éloignons nous un peu….descendons la grande avenue, pas trop vite, ça glisse ! Voilà, ensuite tournez à droit, oui là à droite, dans la petite ruelle sans issues coincée entre deux immeubles de bureaux donc fermés à cette heure ci. C’est bon vous y êtes ? Parfait, maintenant regardez bien la scène qui va suivre.
Là…dans la poubelle ! ça bouge ! (qui a dit c’est le père noël qui vient déposer des cadeaux pour les chats de gouttières ?).
Doucement, une forme sortit de derrière les poubelles. On s’approchant un peu plus, on peut se rendre compte qu’il s’agit d’un homme. Le plus étrange n’est pas de voir sortir un homme de la poubelle, mais plutôt le fait qu’il s’agisse d’un homme en costard cravate, bien coiffé, bien rasé et qui devait sentir l’after-shave avant d’aller traîner dans le coin. Remerciant un interlocuteur invisible, il rangea rapidement un objet dans sa poche et sortit de l’obscure ruelle, regardant autour de lui s’assurant ainsi que personne ne l’ai vu. Puis il remonta la rue, un sourire guère rassurant sur les lèvres. Si vous tendez bien l’oreille, vous pourrez entendre ce qu’il marmonne

« Vous allez me le payer, je vais vous faire souffrir et vous tuer seulement après que vous m’ayez supplier à genoux…oui, cette fois s’en est finit pour vous Stella Bonasera. »

Super début. Je veux bien lire la suite.

merci ludi ^^ voilà la suite

Noël était passé depuis deux jours et, au centre de Manhattan, notre célèbre équipe d’expert reprenait le boulot. Un cadavre avait été trouvé en plein centre de Central Park. Les badauds se pressaient déjà autour de la scène de crime, délimitée par le fameux ruban jaune, malgré l’heure matinale. Non loin de là, une voiture s’arrêta et deux individus en sortir. Prenant leur mallette dans le coffre de la voiture, ils se dirigèrent vers un des policiers présents.
« Hey Don ! Déjà debout à cette heure-là ? » s’écria Danny en apercevant son meilleur ami qui semblait fatigué.
« Argh….Danny moins fort tu veux ? » répondit celui-ci, s’attirant un sourire moqueur de la part de la coéquipière de Danny, Lindsay Monroe.
« Laisse tomber Danny, il a dû faire le bringue toute la nuit avec l’une de ses conquête.
-Pff, il serait temps qu’il se case enfin !
-Tu peux parler city boy, toi non plus tu n’as pas de relation stable.
-Si tu étais intéressée Montana, suffisait de le dire. »
Sur ces mots, Danny s’approcha dangereusement de sa co-équipière, un sourire charmeur sur les lèvres. Lindsay recula, hésitant entre exploser de rire ou bien laisser le charmant CSI, qui occupait ses pensées depuis un moment, s’approcher encore. Finalement, ce fut Don qui mit fin à ce dilemme cornélien.
« Bon les tourtereaux, je ne voudrais surtout pas vous déranger, mais on a une scène de crime sur le feu là… »
Face aux regards qui lui lancèrent les tourtereaux, le jeune inspecteur décida sagement de décamper et d’aller voir si tout se passait bien pour ses hommes. Deux secondes et trente centièmes plus tard, il avait disparut. Danny haussa les épaules et se dirigea à son tour sur la scène de crime. Lindsay quand à elle, soupira se disant que ce type allait la rendre dingue puis sortit son appareil photo.
La victime était une femme, bien habillée, d’apparence assez jeune, disons entre 25 et 30 ans. Elle était allongée, face contre terre, son manteau noir la recouvrant comme une couverture.
A l’aide de Danny, Lindsay retourna la femme. Effarés par ce qu’ils voyaient, ils reculèrent instinctivement, sans rien dire. Leur inconnue avait le visage tellement tuméfié qu’il allait être difficile de la reconnaître. A première vue, elle avait la pommette gauche, le nez et la mâchoire brisés, l’arcade sourcilière ouverte, des bleus un peu partout et un coquard autour de l’œil droit. De plus, diverses coupures, plus ou moins profondes, étaient visibles. Ses bras étaient couvertes d’écorchures et ses vêtements déchirés ce qui laissait penser à un viol.
« Elle a dû essayer de se défendre. » dit Lindsay, brisant le silence. Danny se contenta d’hocher la tête avant de se relever. Il repartit à la recherche d’indice sur la scène de crime tandis que Lindsay s’occupait de la jeune femme. Délicatement, elle retira d’une des plaies, un bout d’un objet inconnu pour le moment ainsi qu’une substance gluante et d’une couleur jaunâtre sur le cou de la victime. En ce qui concernait le sperme si il y en avait et l’ADN, il faudrait attendre que le corps arrive à la morgue et que Sid envoie les vêtements au labo.
Relevant la tête, Lindsay s’aperçut que son collègue lui faisait signe qu’il avait terminé. Elle hocha la tête lui indiquant que pour elle aussi c’était bon. Les deux CSI regardèrent le personnel de la morgue envelopper le corps et l’emmener, puis ils se dirigèrent vers la voiture et rentrèrent.

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Dans les locaux des experts de Manhattan, Mac Taylor, était assis dans son bureau, les yeux fermés. Cela faisait plusieurs nuits qu’il ne dormait plus et son corps commençait à râler. Ce fut le bruit de la porte s’ouvrant qui le sortit de son pseudo sommeil. Sa collègue et amie, Stella Bonasera venait d’entrer dans le bureau. Le voyant ainsi, elle sourit doucement.
« Mac……depuis combien de temps n’avez-vous pas fait une nuit complète ? » lui demanda-t-elle en s’asseyant dans un fauteuil, en face de lui.
Le destinataire de la question ne répondit pas, se contentant de sourire et de lâcher un léger soupir. Son téléphone sonnait toutes les nuits, à 3h33 précise et lorsqu’il décrochait, il y avait un silence avant que son mystérieux interlocuteur ne raccroche. Cette histoire le minait et cela se ressentait dans son caractère. Il était plus brusque, moins patient avec les membres de son équipe.
« Qu’est ce qu’on a ? » demanda-t-il, esquivant ainsi la question.
Stella secoua la tête ; elle aurait tant voulu l’aider, mais il n’en voulait pas son aide. Haussant discrètement les épaules, elle déposa un dossier sur le bureau.
« James Gibson, PDG de Gibson Entreprise.
- L’entreprise de vente de matériel informatique situé au cœur de la ville ?
-Oui. Il est mort cette nuit entre 23h et minuit selon Sid.
-Cause de la mort ?
-Une balle de calibre 9, en pleine tête, un vrai travail de pro.
-Qui l’a découvert ?
-La femme de ménage, ce matin vers trois heures.
-Quoi d’autre ?
-Nous avons un suspect, Jérémy Dan, sous directeur, il est fiché pour port d’arme illégale il y a deux ans, violences sur sa petite amie, et il était connu de tous que Gibson et Dan se s’entendaient pas du tout. Apparemment, Dan voulait prendre la place de son patron et le poussait à partir à la retraite prématurément. Selon un employé, ils auraient eut une violente dispute hier dans l’après-midi. Dan aurait quitté le bureau, marmonnant qu’il se vengerait, que Gibson payerait ect…..
-Cela ne fait pas de lui un meurtrier Stella, il nous faut autre chose. »
Surprise par le ton dur et froid employé par son patron, Stella resta figée. Puis elle se leva et se dirigea vers la sortie, blessée, vexée. Le Mac qu’elle connaissait ne lui aurait jamais parlé comme ça, ils auraient échafaudés diverses hypothèses, puis ils seraient allés rendre visite à ce M. Dan. Elle quitta le bureau de son supérieur d’un pas vif et claque la porte derrière elle.
Assis dans son fauteuil, Mac la regarda partir sans avoir eut le temps de la retenir, de s’excuser pour son comportement. Soupirant de lassitude, il se passa une main sur le visage, se promettant de parler à sa collègue, un peu plus tard dans la journée. En attendant, il prit le dossier et se lança dans sa lecture.


Lindsay et Danny s’étaient séparés à l’entrée du bâtiment. La jeune femme avait pris la direction de la morgue alors que Danny se dirigeait, quelques étages plus haut, vers les labos. En chemin, il croisa sa collègue aux yeux verts qui semblait en colère.
« Bonjour Stella ! Tout va bien ? » lui demanda le jeune homme ?
« Ah…bonjour Danny. Oui oui tout va bien, ne t’inquiètes pas. » répondit-elle, détournant le regard. Elle lui adressa un bref sourire et disparus dans un des labos. Danny fronça les sourcils et prit note mentalement de savoir ce qui se passait. Chassant, pour un moment, cette histoire de sa tête, il prit la direction d’un autre labo où il commença à examiner les vêtements de la victime. L’inconnue portait une robe de soirée très chic et sûrement très cher, d’une marque française connue, un manteau de fourrure et des escarpins qui devait coûter au moins un mois de salaire du CSI. Par contre, elle ne possédait aucuns bijoux, au tout du moins, elle n’en portait pas lorsque son corps avait été découvert.
Une bonne demi-heure plus tard, Lindsay vînt le rejoindre avec les nouvelles informations que lui avait donné Sid.
« Bon, déjà, notre inconnue n’en est plus une….
-Ah non ?
-Danny…laisse moi finir…. Donc, notre victime se nomme Kimberley Jasten.
-Hum…..ça me dit vaguement quelque chose…
-C’est normal, Mike Jasten, son mari est l’un des hommes les plus riches de Manhattan et des environs. Immeubles, parking, magasins…. Et j’en passe. Hier soir, tout deux dînaient dans un restaurant chic. Vers 22h30, Mike reçut un appel d’un des ses associé qui lui demandait de passer au bureau, un contrat urgent à boucler apparemment. Bref, M. Jasten a pris un taxi et sa femme est rentrée en voiture.
-Mais…..on a pas retrouvé de voiture….Et pourquoi il n’a pas donné l’alerte ? En rentrant, il s’est bien aperçu que sa femme n’était pas là non ?
-Eh bien en fait, M.Jasten n’est pas rentré. Il a passé la nuit au bureau, ainsi que le début de la journée, il est en route pour nos bureaux. Quand à la voiture, j’y ai pensé également. Flack a agrandit le périmètre de recherche.
-Et en ce qui concerne le viol ?
-Sid a confirmé qu’elle avait été violé, mais pas de sperme. Kimberley Jasten est morte d’un coup de poignard dans le cœur après avoir été battue.
-Eh bien…quelqu’un lui en voulait. Pas de trace non plus sur sa culotte ou d’empreintes sur elle. Nous avons à faire à un tueur prudent.
-Il nous reste donc, le morceau que j’ai retiré de son front et la substance jaunâtre. »
Aussitôt dit, aussitôt fait. Nos deux experts retournèrent à leurs microscopes. Lindsay, le morceau inconnu, Danny, la substance gluante.


De son côté, Stella examinait les vêtements de M. Gibson, chemise blanche, pantalon noire, veste noire, chaussures cirés, cravate noire…..Bref, la vrai panoplie d’un PDG d’une société qui marche. Ce fut en examinant le pantalon que Stella eut une surprise. Une tâche blanche. Elle eut un petit sourire et préleva un échantillon. Quelques minutes plus tard, le résultat tombait, il s’agissait bel et bien de sperme.
« Eh bah…on dirait que M.Gibson a eut le droit à une petite gâterie… » murmura-t-elle.
Concentrée sur ce qu’elle faisait, elle n’entendit pas la porte s’ouvrir.
« Sa femme certifie ne pas lui avoir rendu visite ce soir là. »
A ces mots, Stella sursauta et se retourna brusquement pour faire face à Mac.
« Il avait peut-être une maîtresse…
-Stella écoutez……
-Il avait des traces autour du cou, des marques de doigts, quelqu’un a essayé de l’étrangler avant de lui tirer une balle dans la tête.
-Pour tout à l’heure……
- Et tenez vous bien, ces marques appartiennent à Jérémy Dan. Nous pouvons à présent aller lui rendre une petite visite non ? J’y vais avec Angell »
Sans attendre une réponse, elle se débarrassa de sa blouse et sortit, laissant son supérieur planté au milieu du labo.

Woowww c'est génial cette petite suite !!! et tu oses nous laisser comme ca ? j'rigole ^^
la suiteeeeeee !!!

han non t'as pas le droit de nous laisser comme ça !!!
Vite vite vite j'veux la suiiiiiite lol

merci merci merciiiiii ^^ Et oui j'ose et en plus, je l'assume ! xD

Après s’être remis de sa surprise, Mac sortit à son tour du labo maugréant contre lui-même. En chemin, il croisa Danny mais ne lui accorda pas un regard, marchant d’un pas rapide vers une son bureau. Danny, pour la deuxième fois de la journée, fut surpris de son comportement.
Cette fois c’est sûr pensa-t-il il s’est passé quelque chose entre Stella et Mac…
Il se promit d’enquêter sur ce mystère une fois sa propre enquête résolue. En parlant d’enquête justement, Lindsay apparut au détour d’un couloir, un dossier à la main.
« Eh bien Danny, qu’est ce que tu fabriques planté au milieu du couloir ? On a une enquête à mené je te rappel !
-J’arrive Montana, j’arrive…Dis moi, tu n’aurais pas vu Flack par hasard ?
-Il est en bas, avec M.Jasten, pourquoi ?
-Hum..pour rien, pour rien…
-Qu’est ce que tu manigance encore Messer ? »

Quelques étages plus bas, dans une salle d’interrogatoire, Le lieutenant Don Flack faisait face à un éminent personnage de la ville de Manhattan, Mike Jasten.
« M.Jasten, » commença Don, « je sais que c’est un moment difficile, mais il faut que je vous pose quelques questions à propos de la nuit dernière. »
Son interlocuteur avait le visage fermé, aucunes larmes ne coulaient sur ses joues, mais dans ses yeux, il était clair que quelque chose venait de se briser.
« Lieutenant, je ferais mon possible pour vous aider à retrouver celui qui a assassiné ma femme….. Vous savez, de nombreuses personnes pensent que nous avons fait un mariage d’argent et que j’allais souvent voir autre part. Mais c’est faux, totalement faux ! J’aimais ma femme et elle m’aimait. Nous…nous projetions d’avoir un enfant. »
Sa voix se brisa et il enfouit sa tête dans ses mains. Don le regardait, pensant que c’était vraiment ce côté-là de son métier qu’il haïssait.
« Je vous crois M.Jasten et je vous présente toutes mes plus sincères condoléances. Pouvez vous me dire exactement ce qui s’est passé la dernière fois que vous l’avez vu ?
-Nous dînions au cœur de Manhattan. C’était une sorte de rituel, une fois par moi, je l’emmenais dîner dans un restaurant sans lui dire lequel, une surprise en sorte. Ce soir là, nous venions à peine de terminer que mon téléphone a sonné. Un de mes associés, Alex Kalsten, avait besoin de moi au bureau. Un dossier urgent auquel je devais faire de minimes modifications de dernières minutes qui ne pouvaient pas attendre le lendemain. J’ai pris un taxi, laissant Kimberley rentrer en voiture. Le restaurant ne se trouvait qu’à une dizaine de minute de notre appartement et à cette heure, il ne devait pas y avoir grand monde sur la route.
-Quelle voiture avez-vous ?
- Une jaguar noir, dernière édition.
-M.Jasten, votre femme a été retrouvé en plein milieu de Central Park, ce qui se situ à l’opposé de votre logement. De plus, il n’y aucune trace de la voiture. Votre femme avait-elle des ennemies ?
-Kimberley est…était une femme appréciée. Certes, elle venait d’une famille aisée alors on argent attirait des convoitises, mais des deux, c’est moi qui avait le plus d’ennemis.Oh mon dieu ! Vous pensez que c’est un de mes adversaires qui a voulu se venger de moi ?
-Nous n’en savons encore rien, mais je vous promets que nous vous tiendrons au courant. »
Don se leva et se dirigeait vers la porte lorsque que la voix d’un homme brisé par le chagrin le retînt.
« Lieutenant ? Puis-je la voir….une dernière fois ? »
Le dit lieutenant se retourna et acquiesça, lui faisant signe de le suivre.

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Stella était dans sa voiture avec le détective Angell. Toutes deux se dirigeaient vers la demeure de Jérémy Dan, principal, voir unique, suspect dans leur affaire. Personne ne parlait et l’ambiance semblait tendue. Le voyage dura un bon quart d’heure. Le véhicule finit par s’immobiliser devant une villa immense. Les deux jeunes femmes étaient impressionnées.
« Je devrais changer de boulot » dit Angell ce qui eut l’avantage de faire sourire sa collègue.
Le gardien les laissa passer sans trop de problèmes, l’insigne aidant sûrement et elle roulèrent encore une petite minute avant d’attendre l’entrée de la demeure. Elles se garèrent non loin de la porte et quittèrent la chaleur de la voiture pour sortir dans le froid. Un majordome les attendait sur le perron. Sans un mot, il les conduisit jusqu’à un agréable salon où brûlait un feu. Le majordome leur fit signe de s’asseoir dans un des moelleux fauteuils et disparut sans un bruit. Le maître de maison fit son entrée quelques instants plus tard. C’était un bel homme qui devait approcher la quarantaine et ne devait pas laisser beaucoup de femmes indifférentes. D’ailleurs, nos deux enquêtrices durent faire une petit effort pour redescendre sur terre.
« Bonjour mesdames. Je suis Jérémy Dan. Que puis-je faire pour vous ?
-M.Dan, je suis Stella Bonasera, de la police scientifique et voici le détective Jennifer Angell. Nous sommes là au sujet de la mort de James Gibson, votre patron. »
Jérémy Dan, s’assit en face des deux jeunes femmes, croisa les jambes et posa ses mains sur ses genoux, une attitude tout à fait décontractée.
« Oui, j’ai appris ce qu’il lui était arrivé. C’est affreux. Des pistes ? »
Il avait dit ça avec un tel détachement que Stella et Jennifer se regardèrent étonnées.
« M.Dan, nous savons que vous avez eut une violente dispute avec lui quelques heures avant sa mort. » commença Angell. « De plus, vous avez été fiché notamment pour port d’arme et vos empreintes ont été retrouvés autour du cou de M.Gibson.
-…….J’avoue, j’ai mis mes mains autour de son cou et j’ai un peu serré. Mais je ne l’ai pas tué. Je me suis rendu compte de ce que je faisais et je suis parti.
-Gibson pouvait porter plainte, vous renvoyer et même vous faire emprisonner, vous êts donc revenu un peu plus tard et vous l’avez tué, une balle entre les deux yeux.
-Non ! c’est faux !! Je ne suis pas revenu au bureau après.
-Pouvons nous voir votre arme ? Vous avez un permis pour un calibre de 9 mm si je ne m’abuse… »
Jérémy se leva, furieux, la sérénité qu’il affichait un instant auparavant avait laissé place à une profonde colère. Il sortit presque en courant et revînt quelques instants plus tard, un coffret dans les mains qu’il balança pratiquement sur les genoux de Stella.
« Vous pouvez l’examiner à votre guise, je vous demanderais juste de me le ramener. Vous connaissez la sortie. »
Sur ce, il partit, laissant les deux jeunes femmes seules. Puis, à leurs tours, elles se levèrent et sortirent de la villa, regagnant la voiture.
« Eh bah…on ne peut pas vraiment dire que notre visite lui ait fait plaisir….
-Hum….vous avez raison Stella, mais au moins on a son arme. Et puis il a avoué avoir tenté de l’étrangler. Rien que pour ça on pourra l’arrêter.
-Moui…… »

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Au labo, Danny et Lindsay attendaient les résultats de l’examen de la substance et du mystérieux « objet ».
« Au fait Danny », commença Lindsay. « Il est écrit sur le rapport d’autopsie que Kimberly Jatsen avait des marques autour du cou et des poignets ainsi que sur le lobe des oreilles. Sid pense qu’on lui a peut-être arraché ses bijoux.
-ça semble logique…D’ailleurs je me demandais pourquoi elle ne portait pas de bijoux. On sait à quoi ils ressemblent ?
-Don est allé chez les Jasten, ils ont des photos de chaque objet de valeur, pour l’assurance.
-On trouve les bijoux, on trouve notre meurtrier. »
C’est à cet instant que le bip d’une machine les avertis de l’arrivée des résultats. Lindsay prit la feuille qui sortait de l’imprimante.
« Alors….Notre substance mystérieuse n’est rien d’autre que de la cire.
-de la cire ?
-Oui…mais apparemment une cire chauffée récemment pour qu’elle est encore cet aspect gluant.
-Mais…qui a besoin de cire chauffée ?
-Une femme, Danny, une femme.
-Mouai…bon alors notre tueur avait sur lui de la cire destinée à l’épilation ?
-faut croire…maintenant reste à savoir si cela était pour son usage personnel ou si alors il….je sais pas moi, il travail dans une entreprise qui fabrique ce genre de cire par exemple.
-Bon, j’vais aller l’examiner en détail et voir les entreprises qui la fabriquent. »
Sur ce, Danny partit vers un autre coin du labo, marmonnant un truc du genre « ah les femmes… ». Lindsay sourit en secouant la tête. Une nouvelle feuille sortit de l’imprimante, l’autre résultat qu’ils attendaient.
« Danny ! »
Le dit Danny releva la tête, l’air interrogateur.
« Qu’est ce qu’il y a Montana ? J’te manques déjà ?
-Tsss arrête de rêver Messer. Le bout retrouvé dans l’une des plaies de la victime, c’est un morceau de bois.
-Super…elle était au beau milieu de Central Park, comment veux tu qu’on retrouve l’arbre ?
-Ce n’est pas un bout de bois ordinaire. Il a été traité et….. »
Elle se pencha sur un ordinateur, cherchant quelque chose un petit moment avant de se redresser.
« Il s’agit d’un morceau de cercueil de luxe, fabriqué dans une seule entreprise de pompes funèbres de Manhattan.
-Un cercueil ? On cherche quoi ? un mort-vivant ?
-Ou tout simplement un employé des pompes funèbres. Je vais aller y faire un tour. »

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Stella venait tout juste de rentrer de sa visite chez le charmant M.Dan, à présent, elle travaillait avec Sheldon sur l’arme. L’ex-médecin légiste venait de la tester et à présent, ils attendaient les résultats de comparaison. Après quelques secondes, l’écran de l’ordinateur leur indiqua qu’il n’y avait pas de concordances.
« Pffff » Lâcha Stella. « nous voilà sans suspect à présent.
-non, il reste la mystérieuse femme qui lui a donné du plaisir.
-Adam a trouvé de l’ADN ?
-oui, il est en train de l’examiner. Je descends à la morgue voir si Sid n’aurait pas de nouvelles choses à nous apprendre. Tu n’as qu’à aller voir Mac pour le mettre au courant de l’avancée de l’enquête. »
Sur ce, il se sauva et descendit voir Sid. Depuis le départ de Peyton, le médecin légiste était un peu débordé et Sheldon passait de temps en temps l’aider.
Stella retira sa blouse, passa sa main dans ses cheveux histoire de remettre un peu d’ordre et parcourut les couloirs en direction du bureau de son supérieur. Pour rien au monde elle ne l’aurait avoué, mais elle redoutait sa confrontation avec Mac. Elle se souvenait comment elle l’avait planté au milieu du labo et se disait qu’elle allait se faire réprimander.
Une fois devant le bureau, les yeux baissés vers son dossier, elle ouvrit la porte.
« Mac, l’arme de Jérémy Dan ne correspond pas à…. »
Elle s’interrompit devant la scène qui se déroulait devant ses yeux. Mac et Peyton (normalement à Londres) s’embrassaient !

Oh my god, c'est un cauchemar. Pauvre Stella.

ah non hein ! il a pas le droit de faire ça MAc ! PAs a Stella merde !!!!

tu oses nous laisser commme ça ???

mais c'est criminel !! je blague !!

je me demande comment va réagir Stella en apercevant Mac et Peyton !!

et voilà la suite ^^ profitez en j'ai de l'inspiration pour le moment xD merci pour vos comm' (bon, pas tapez à la fin du chapitre hein ? ^^')

Extrêmement surprise, Stella ne bougea pas d’un pouce. Soudain, le couple se sépara et ils s’aperçurent de la présence de Stella. Peyton lui offrit un beau sourire bien hypocrite alors que Mac semblait osciller entre la tristesse et la colère.
« Euh….je…. » bégaya Stella. « Je repasserais plus tard…Je crois que ça vaut mieux. »
Sans attendre, elle déposa le dossier qu’elle avait apporté sur le bureau et prit la direction de la sortie.
« Stella ! Attendez ! » tenta Mac pour la retenir.
Peine perdue, elle était déjà partie.

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Grâce aux informations trouvées sur Internet, Lindsay avait rapidement trouvée l’entreprise de pompes funèbres qui l’intéressait. Offrez-leur un enterrement digne, Karlston & Cie. Charmant pensa Lindsay. Lorsqu’elle poussa la porte, un carillon annonça son entrée avec la musique de la marche funèbre. Comme sortit de nulle part, un homme apparut. A cet instant, Lindsay pensa qu’il ressemblait fortement au croque-mort dans Lucky Luke (elle a été publié aux USA cette BD ? J’ai un doute là). Habillé de noir, un sourire condescendant aux lèvres, la peau pâle, il faisait froid dans le dos.
« Bonjour Mademoiselle. Que puis-je faire pour vous ? Un proche à enterrer ?
-Non. Lindsay Monroe, police scientifique de New York. J’aurais quelques questions à vous poser M ?
- Karlston, Steve Karlston. Karlston & Cie. »
Son sourire avait disparus à l’annonce de Lindsay, à présent, il ne faisait aucun effort pour paraître aimable avec la CSI.
« Très bien M. Karlston, combien de personne travaillent ici ?
- Trois : Maugrey Donovan, Alice Gendra et moi.
- Vous avez tous accès aux cercueils ?
- Bien sûr. Mais où voulez vous en venir ?
-Un morceau de bois utilisés dans la fabrication de cercueil a été retrouvé dans une plaie d’une femme morte.
- Quoi ? Mais il existe de nombreuses entreprises du même genre en ville.
- Mais seul vous fabriquez ce genre de cercueil. »
Steve Karlston s’effondra dans un fauteuil et sortit une bouteille de whisky d’un tiroir. Lindsay lui montra la preuve et le croque mort lui donna la confirmation que ça venait bien de l’un de ses cercueils.
« Vous ne verrez pas d’inconvénients à ce que l’on prenne vos empreintes ainsi que celles de vos employés ?
-non bien sûr allez-y. Ils sont dans l’atelier derrière.

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Deux bonnes heures plus tard, Lindsay était de retour au labo. Maugréant contre ces fichus embouteillages, elle faillit bousculer Adam au détour d’un couloir. S’excusant rapidement, elle finit par atteindre son but, le labo. Enfin, elle se laissa tomber sur une chaise et s’attaqua aux empreintes relevées plutôt. Bien sur, ils n’avaient aucunes empreintes sur la scène de crime mais bon, on pouvait toujours voir ce que donnaient celles des employés. Avec un peu de chance, il y en aurait un avec un beau casier. Elle fixait l’écran sans vraiment le voir lorsque Danny entra brusquement dans le pièce. Lindsay sursauta et manqua de tomber de sa chaise.
« Raaaah Danny ! Qu’est ce qui te prend de faire une entrée aussi fracassante ?
-Prosterne toi devant ton dieu Montana ! »
Cette fois, Lindsay pensa que son coéquipier avait vraiment perdu la tête. Danny dû se douter de ça en voyant ça tête parce qu’il se clama illico et lui tendit une feuille avec un grand sourire.
« C’est notre jour de chance » dit-il « il s’agit d’une toute nouvelle cire encore en phase de test. Seul un nombre restreint de personnes y a accès afin de garantir le secret. »
Tout en parlant, le blond s’était rapproché de Lindsay, un peu trop au goût de la jeune femme. L’écoutant, elle recula discrètement mais se heurta à la table. Enfin de compte, elle était bloquée entre Danny et la paillasse. Avec un sourire charmeur, le CSI se rapprocha encore plus de sa collègue de tel sorte que leurs visages ne se trouvaient qu’à quelques centimètres l’un de l’autre. Recule Danny, recule ! pensait Lindsay, paniquée. J’te jure que si tu me regardes une seconde de plus avec ce sourire, je te saute dessus, enfin façons de parler…quoique…. Elle ferma les yeux, essayant de chasser de sa tête l’idée que la paillasse derrière elle pourrait se révéler ne pas être si inconfortable que ça dans certaines situations.
« Eh bien Lindsay, ça ne vas pas ? » murmura Danny, soufflant dans le coup de sa collègue.
Cette dernière ouvrit la bouche pour répliquer, mais pas un bruit n’en sortit, elle était hypnotiser par les yeux de son interlocuteur et ne pensait qu’à une chose à présent, poser ses lèvres sur les siennes. Malheureusement pour eux, le destin en décida autrement (ou plutôt une autatrice qui a envie de les laisser mariner) et c’est à ce moment que le portable du jeune homme choisit de sonner. Faisant une grimace de dépit, il recula et répondit. Lindsay relâcha enfin sa respiration et lui tourna de dos. Pendant qu’il parlait, elle remit de l’ordre dans sa tête, essaya de retrouver une couleur normale et de calmer les battements de son cœur. Lorsque Danny raccrocha, tout semblait redevenu normal.
« Le président de la société Beautiful, créateur de la fameuse cire, a accepté de nous rencontrer. On y va ? »
Lindsay hocha la tête et le suivit hors du labo espérant que la prochaine fois qu’ils se retrouveraient dans un moment pareil, il n’y est pas de portable.

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De son côté, Stella déambulait dans les couloirs sans destination précise. Enfin…pourquoi suis-je si boulversée ? Après tout Mac et Peyton était ensemble, ils se sont surement réconciliés…Je devrais être heureuse pour lui. Eh bah non, rien à faire, elle ne parvenait pas à s’enlever cette image de la tête et le sentiment de profonde jalousie qu’elle ressentait en ce moment n’arrangeait pas les chose. Finalement, elle attrapa son manteau, enfila son écharpe et se décida à aller faire un tour, voire même se rendre sur la scène de crime, mais surtout, ne pas rester ici.
Lorsqu’elle arriva devant sa voiture, garé sur le parking réservé aux officiers travaillants dans le bâtiment, elle hésita puis finalement décida d’y aller à pied. Prendre l’air lui ferait le plus grand bien.

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Un contrat est un contrat. Il avait à ses côtés la photo de sa victime dont il ne connaissait même pas le nom, mais cela lui importait peu. On l’avait payé, et plutôt bien même, pour la tuer, il le ferait sans poser de question. Enfin, elle sortit du bâtiment. Un sourire sadique étira les lèvres de l’homme. Elle était à pied, parfait. Il se trouvait dans un immeuble juste en face, au quatorzième étage. Préparant son arme, il ralentit sa respiration. A travers le viseur, il pouvait clairement apercevoir les cheveux châtains et les yeux verts de sa victime. C’était une belle femme et il pensa furtivement qu’il se serait bien amusé avec elle. Mais bon…. Dans quelques secondes, elle serait morte. C’était un pro, il ne ratait jamais sa cible. Il finit par trouver le bon angle de tire, patienta encore une ou deux secondes…puis il tira.

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En y réfléchissant bien, le moindre petit détail peut tout changer.
Stella venait de sortir des bureaux et à présent, elle laissait le vent glacial s’engouffrer dans ses cheveux. Soudain, elle aperçut un gamin de 12, 13 ans maximum qui roulait à fond sur son vélo. Par pur réflexe, elle s’écarta, descendant ainsi un pied du trottoir sur lequel elle se trouvait.
Elle voulut se retourner pour lui crier de faire attention, mais à cet instant, elle sentit une douleur fulgurante au niveau de la poitrine, puis la rue sembla tourner, des gens criaient autour d’elle, mais elle les entendait de moins en moins, sa vue se brouillait.
Puis ce fut le noir total, plus rien.

la suite viiiiiiiiiiitttttttttttttttttttttttttttttteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

C'est trop bien merci :002:

alors la non !!
t'as pas le droit de nous laisser comme ça !!!!!!
:002:
vite vite vite la suiiiiite !! j'veux savoir viiite lol
j'suis folle...

tu nous laisse encore en plein suspens !!!!!!

t'es une vrai sadique !!!!

Bah tu vas pas t'arrêter là que même !!!!!!!!!!!!!!!!

Si te plééééééééééééééééé.....



J'adore je sens le trop bon moment arriver !

toujours pas de suite sniff
Miya s'il te plait pas autant de suspense !!!!

merciiiiiiiii
bon, j'vous met la suite, c'est beaucoup plus court que les précédents et il ne s'y passe rien de très intéressant, mais c'est pour que vous ayez quelque chose à vous mettre sous la dent. Et moi je file me mettre à la suite xD. Bonne lecture !

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Il était à présent près de quatre heures de l’après-midi. Cela faisait donc une bonne heure que Stella les avaient surpris lui et Peyton dans son bureau, et il avait beau la chercher, impossible de le trouver. Fatigué, il s’écroula dans son fauteuil réfléchissant à un moyen de faire comprendre à Stelle qu’il n’y avait qu’elle dans son cœur et que Peyton lui avait sauté dessus sans qu’il est le temps de réagir. Il se passa une main sur le visage, l’esprit ailleurs. Ce fut lorsque son téléphone sonna qu’il redescendit sur terre.
« Taylor ?
-…….
-Hum ?
-…….
-Quoi ?
-…..
-Comment vas t’elle ?
-……
-Où ?
-…….
-Très bien, j’arrive tout de suite. »
Il raccrocha brusquement, se leva et attrapa son manteau. Il traversa les couloirs du labo en courant sous l’œil étonné des laborantins. Mac ne prit pas la peine de leur adresser la moindre parole, il se précipita vers le parking et grimpa dans sa voiture. C’est à cet instant que Don arrivait.
« Eh Mac ! Où allez vous aussi vite ?
-à l’hôpital.
-à l’hôpital ? Pourquoi ? Vous êtes malade ?
-Stella s’est fait tirée dessus. »
Le lieutenant Flack s’arrête, sans voix. Puis, avant que Mac est pu dire un seul mot, il se glissa dans la voiture, sur le siège passager.
« Je viens avec vous. » dit-il d’un ton catégorique. « Je préviendrais les autres en chemin. »
Mac hocha la tête, ne souhaitant pas perdre de temps en bavardage inutile. La voiture démarra sur les chapeaux de roues et fonça en direction de l’hôpital de Manhattan. Arrivée devant les portes, il se gara en un magnifique créneau. Sans attendre Don, il sortit en courant et grimpa quatre à quatre les marches. Son cœur battait à toute vitesse, plus il s’approchait, plus il appréhendait ce qu’il allait voir. Lorsqu’il avait reçu le coup de téléphone, Stella était encore au bloc et l’infirmier qui l’avait appelé ne savait pas grand-chose mis à part qu’elle s’était faite tirée dessus et qu’apparemment, la balle s’était logée au niveau de la poitrine. Inconsciemment, Mac accéléra encore le pas pour finir par débouler dans le hall d’entrée. Sans ralentir, il évita de justesse une grand-mère, puis une jeune femme pour finir devant l’infirmière de garde.
« Stella Bonasera. » dit Mac, légèrement essoufflé. «Quelle chambre ? »
L’infirmière chercha quelques instants sur l’ordinateur.
« Elle vient tout juste de sortir du bloc. » dit-elle d’un ton monotone. « Chambre 602 »
Il la remercia d’un rapide signe de tête avant de repartir dans les couloirs de l’hôpital, Flack sur ses talons. En deux minutes, il était devant une porte portant le numéro 602. Au moment où il allait pousser la porte, un médecin, Dr Leblanc d’après son badge.
« Bonjour Dr, je suis le lieutenant Taylor, le supérieur de Stella Bonasera.
-Je sais qui vous êtes, c’est moi qui ait demandé à ce qu’on vous appelle, après avoir eut confirmation de ma patiente.
-Comment va-t-elle ? »
Le Dr Leblanc lui offrit un sourire rassurant et ouvrit doucement la porte.
« Elle a eut énormément de chance, la balle est passée à quelques centimètres seulement de son cœur. Voici la balle. »
Il leur tendit un sachet contenant cette fameuse balle.
« On peut…..
-Bien sûr, mais elle ne se réveillera pas avant quelques heures. »
Mac entra dans la pièce, Don lui avait dit qu’il repartait au labo afin de faire examiner cette balle le plus rapidement possible.
Stella était allongée dans un lit blanc caractéristique des lits d’hôpitaux, elle semblait paisible, sa poitrine se soulevant à intervalle régulier, régulier tout comme le bip bip de la machine qui contrôlait les battements de son cœur.
Mac referma la porte derrière lui et s’approcha doucement de sa collègue. Il prit place sur un des sièges et lui attrapa la main délicatement. Il ne savait pas quoi dire, ni quoi faire. La voir là, allongée dans ce lit, elle d’habitude pleine de vie…… Il ne souhaitait qu’une seule chose, qu’elle ouvre les yeux, ses beaux yeux émeraude dans lesquels il aimait se plonger.
Il resta ainsi près de deux heures, ayant perdu la notion du temps, à contempler celle qui était plus qu’une simple amie. Ce fut Don qui le fit redescendre sur terre. Le lieutenant Flack ouvrit la porte de la chambre doucement et posa son regard bleu sur son amie, un voile de tristesse recouvrit ses yeux. Puis il se tourna vers Mac et lui fit signe qu’il l’attendait à l’extérieur. L’ancien marine se leva et déposa un doux baiser sur le front de sa collègue avant de sortir de la chambre.
« Qu’est ce qu’on a Don ?
-L’analyse de la balle vient de revenir. D’après Sheldon, l’arme qui a tiré est une arme utilisée par les tueurs gages. »
Mac en resta sans voix, Stella, SA Stella avait un contrat sur sa tête…. De très loin, il entendit la voix de Flack, ce fut ce qui le ramena sur terre.
« Mac…..Mac ! Vous allez bien ?
-Oui oui. Que sait-on d’autre ?
-Rien. Mais l’affaire est prioritaire et j’ai mis tous mes hommes dessus. On va retrouver ce type Mac, ne vous inquiétez pas. »
Le dit Mac se contenta d’un léger hochement de tête alors que Don s’en allait. Il ne savait pas quoi faire. Rester ici ou retourner au bureau. Les autres devaient être fou d’inquiétude. Après un dernier regard vers la chambre et la certitude que si elle se réveillait on l’appellerait immédiatement, Mac se dirigea à son tour vers la sortie pour reprendre sa voiture et retourner au bureau.

merciiiii pour cette suite,me voila a demi rassurée sur le sort de stella !!!
mais que va t'il se passer par la suite ???? !!!

Super suite

Mac aurait du rester au chevet de Stella

merci pour cette suite !

j'espère qu'ils vont réussir à arrêter ce mec !!

je pense comme Laurence : MAc aurait du rester avec Stella !!

J'adore. La suiteeeeeeeeeeeeee viteeeeeeeeeeeeeeeee.

arf...il est partit Mac, mais il est revenu xD. Te réjouis pas trop vite sur le sort de la miss Bonasera, Stell' lis ce chapitre et après, tu auras peut-être envie de m'étriper
Bref, merci pour vos commentaires, voilà la suite. (j'ai l'impression que je fais des chapitres de plus en plus court. Mais n'est ce qu'une impression ? ^.^)
La suite est en cours d'écriture même si je ne sais toujours pas ce qui va se passer
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Dans les labos de la police scientifique de Manhattan, l’équipe du lieutenant Taylor était sur les nerfs, ce n’était vraiment pas le moment de venir les déranger pour une broutille. Depuis que Don leur avait ramené la balle extraite du corps de leur coéquipière, ils avaient placé ce dossier en statut prioritaire. Ils devaient à présent faire le plus vite possible avant que Sinclair n’ait vent de cette affaire et leur retire l’affaire. Don était reparti au commissariat pour essayer d’en savoir plus sur ce contrat, Sheldon examinait la balle pour essayer d’en retirer le plus d’information possible tandis que Danny et Lindsay regardaient les différentes vidéos de surveillance qui se trouvaient dans la rue où avait eut lieu la tentative d’homicide.
L’un à côté de l’autre, les deux experts travaillaient en silence, sans échanger une seule parole. Le seul bruit venant perturber le silence pesant, était la ventilation de l’ordinateur.
« Danny » murmura Lindsay. « Je….Tu crois qu’elle va se réveiller ? »
Le dit Danny se retourna et remarqua immédiatement l’inquiétude de sa coéquipière. Déplaçant sa chaise, il mit en bras autour de ses épaules et la serra contre lui.
« Ne t’inquiètes pas Montana. C’est Stella, c’est une battante, elle va s’en sortir. »
Pourtant, dans sa voix, on pouvait percevoir une note d’inquiétude, de peur envers ce qui se passait. Danny et Lindsay restèrent un moment ainsi, l’un contre l’autre à essayer de se réconforter mutuellement. Et c’est ainsi que les trouva Don et Sheldon lorsqu’ils entrèrent dans la pièce. Aucun des deux ne dit un mot, pas une taquinerie, pas une remarque.
« Je n’ai aucune correspondance pour une autre affaire. Le sniper est intelligent, il ne réutilise jamais la même arme » commença l’ex-médecin légiste. « Quand au reste, je vous ai déjà tout dit, il s’agit d’un calibre utilisé fréquemment par les tueurs à gages. »
Cette absence de nouveaux éléments plongea les personnes présentes dans une sorte de mini déprime, que Flack s’empressa de briser.
« J’ai parlé à un type qui est spécialisé dans l’étude, l’analyse et la surveillance des différents gangs de New York. Il a contacté différents informateurs. Finalement, il a réussit à remonter jusqu’au gang qui a envoyé ce sniper. Il…..il s’agit des Tangelwood. »
A l’annonce de ce nom tant détesté, Danny se redressa brusquement, ses yeux brillants de rage.
« Pourquoi en ont-ils après Stella ?
-Eh bien en fait…Ce n’est pas pour eux qu’ils ont envoyés ce tireur…..
-Je ne comprends pas. » S’étonna Lindsay. « Si les Tangelwood n’en ont pas après Stella, pourquoi lui avoir tiré dessus ?
-Eh bien, depuis quelques temps, ce gang s’est….comment dire…spécialisé dans l’exécution de contrat.
-Si je comprends bien, »Intervînt Sheldon. « Quelqu’un les a payés pour qu’ils envoient un tueur à gage abattre Stella ?
-Oui. Et ce tueur fait partie du gang. Nous allons devoir manœuvrer délicatement, c’est pourquoi il voudrait mieux que tu ne t’en mêles pas Danny.
-Tu voudrais peut-être que je reste là, les bras croisés alors que ces types ont envoyés Stella et mon frère à l’hôpital ? Hors de question Don !
-Tsss….tu n’as pas bien compris ce que je voulais dire. Je te demande juste de ne pas participer aux interrogatoires et de ne pas aller sur le terrain. Ok ? »
Après hésitation, Danny finit par hocher la tête, Don avait raison et il le savait. Rassuré, Flack sortit marmonnant qu’il devait commencer les préparatifs d’une enquête qui s’annonçait difficile et délicate. Dans le labo audiovisuel, les trois experts se posaient tous la même question : Qui en voulait à Stella au point de s’adresser à un dangereux gang pour l’éliminer ?

Un peu plus loin, dans un immeuble anonyme au cœur d’un quartier sans histoire, anonyme lui aussi, deux hommes se faisait face dans une pièce dépourvut de toutes décorations. Il n’y avait que deux fauteuils occupés par les deux seules personnes présentes. L’un, vêtu d’un survêtement vert et un air suffisant sur le visage, se trouvait être Sonny Sasonne, fraîchement libéré de prison. L’autre était un parfait inconnu, vêtu d’un chic costume cravate et tenant une valisette à la main, il avait le look d’un homme d’affaire. Ce fut l’inconnu qui brisa le silence en premier.
« Je pensais pourtant vous avoir donner une somme correcte. Et pourtant elle est toujours vivante.
-Cela ne durera pas, ne vous inquiétez pas. Ce problème sera réglé d’ici ce soir.
-Vous êtes bien sûr que la police ne pourra pas remonter jusqu’à moi ?
-Certain. Même si ils parvenaient à remonter jusqu’au Tangelwood, ils n’auraient pas assez de preuves pour nous faire plonger. Votre secret est bien gardé. Nous sommes les meilleurs. C’est bien pour ça que vous vous êtes adressé à nous non ?
-Hum…une connaissance m’a fait part de votre…..réputation.
-Je peux vous poser une question ? Pourquoi elle ? C’est une fliquette. Que vous a-t-elle fait ?
-Cela ne vous regarde pas. Je vous ai payés pour la tuer, pas pour me poser des questions. D’ailleurs je tiens à ce que demain matin, sa mort soit connue de tous.
-Ce sera fait. »
Sur ce, l’inconnu en costume se leva et sortit de la pièce sans un regard en arrière. Resté seul, Sonny perdit son sourire qui se transforma en grimace. Tournant la tête, il s’adressa à une personne restée cachée durant l’entretien.
« Tu as entendu ?
-Oui Mr Sassone. Cette fille sera morte dès ce soir. Je vais m’en occuper.
-Très bien. Et…..débarrasse toi de Lens. Les tueurs à gages qui ratent leurs exécutions, ça ne m’intéresse pas.
-Ce sera fait.

Lenox Hill Hospital. Manhattan. 23h40. Chambre 602.
Le silence régnait. Seul le bruit des chariots poussés par les infirmières se faisait entendre. Mac était repassé voir Stella en début de soirée et était resté à ses côtés jusqu’à ce que la fin de l’heure des visites ne l’oblige à partir. A présent, seul le ronronnement des machines troublait le calme. La poitrine de Stella se soulevait doucement mais toujours aucun signe de réveil. L’infirmière de nuit entra dans la chambre, vérifia l’activité cardiaque de sa patiente, changea la perfusion et repartit. Si rien d’anormal ne se passait, elle ne devait pas avoir de visite avant la tournée de l’infirmière de jour à 5h30 le lendemain.
Pourtant, à 00h45, une homme, vêtu d’un uniforme d’infirmier, pénétra dans la chambre. Il était passé à travers tous les barrages de contrôle grâce à un faux passe, fabriqué quelques heures plutôt. Vérifiant qu’il n’y avait personne dans le coin, il ferma la porte derrière lui et s’approcha du lui. Les mains gantées, il prit une seringue dans sa poche et introduisit le liquide dans le tuyau relié à la poche de perfusion. Satisfait, il regarda sa montre. Le produit ne devrait faire effet que dans quelques heures ce qui lui laissait largement le temps de repartir ce qu’il fit immédiatement. Le lendemain, les éboueurs retrouveraient une blouse te un badge dans une bennes sans que personne ne se souvienne à qui elle appartenait.
A 2h10, la machine indiquant le rythme cardiaque de la patiente Stella Bonasera émit un long bip, signe d’un arrêt du cœur.

c'est peu dire que j'aurais une envie de t'étriper !!!
multiplie ce verbe par un million mdr !
Ah mais c'est pas croyable, tu nous laisse la dessus....?!?!
Merde quoi !
Allé c'est toujours aussi bien quand même, malgrè ce que tu fais endurer a Stella,
et aussi a l'équipe lol !
Une suiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiite vite vite vite vite !!

J'adore merci