Interviews

Vous en faites pas pour ça

Source : Five TV (chaîne anglaise) , via DLChem

Citation :

AJ Buckley has played lovable CSI lab tech Adam Ross since 2005. Born in Dublin and raised in Canada, the actor has appeared in numerous films and TV shows.

Tell us a bit about the new season.

We ended season five on an incredible cliffhanger. Detective Angell was killed, there was a giant shootout, and we all hit the floor. It was pretty intense for the cast because no one knew who was going to stand up from the bullets! The season opener starts off a month after the shooting and shows how the characters are dealing with the death of Angell.

Is there a new tone to the series?

Going into your sixth season, it allows the writers to go deeper within the characters. We can get into the intricacies of them and what makes them tick. The audience really feels for these characters. They’re so invested in them.

What happens with Adam and Stella this season?

Adam gets some love! I remember showing up on the set and people asked me, 'Have you seen the script yet?' I took a look and I was like, 'Oh, wow!' I think it’s a great storyline. Adam and Stella have always had a flirtatious thing back and forth. The guy needs some love! He’s in the lab all the time. Stella’s a sexy woman, so why not?

How has Adam developed over the years?

When I joined the cast, there was no description of who Adam was. [Executive Producer] Pam Veasey has always said that my character is kind of the comedy of the show. But over the years he’s started to understand who he is and show his strengths.

Have you had much input into his character?

A fair bit. That’s the wonderful thing about working with Pam Veasey and Peter Lenkov. They really take the time to listen to anything you have to say about your character.

How has CSI: NY changed your life?

It’s completely changed my life. When I booked CSI, I had $32 to my name and was living out of my car. To go from that to this, getting to travel around the world and meet different people – I’m completely grateful!

How is your relationship with your co-stars?

Great. Gary Sinise is somebody I looked up to before I even got the gig just for who he is as an actor. Carmine Giovinazzo is someone I’d worked with in the past. He really had a big part in me becoming a full-time cast member. He went in to bat for me to keep me on the show.

What has been your most challenging storyline?

One of my favourites was the episode ‘The Party’s Over’. There’s a child that commits a murder and they send me into the interrogation room to talk with the kid. It was the first real episode where I got to sink my teeth into something – to get out of the lab and not be saying science words, and to emotionally connect to the dialogue.

Were you good at science at school?

You know what, when I was in high school, I was a horrific student. I’m a poster child for ADD, and I’m terribly dyslexic. Growing up, learning for me was next to impossible. So Adam’s journey of education and my journey of education are night and day. I’m sure my science teachers back in high school that watch the show now have a good laugh.

What is the secret of CSI’s success?

They’ve got great writers and they’ve cast great actors. And it’s such an old tale; it’s Sherlock Holmes. Who did it, and how did they do it? They took that old theory, made science sexy and took this fresh look. People really respond to that.

What sets CSI: NY apart from the other CSIs?

New York is a character on the show. I don’t know many people that aren’t fascinated by it. It’s so film noir. Then you throw an actor like Gary Sinise into the mix and it speaks for itself.

Is there any rivalry between the CSI shows?

I think every CSI wants to be the top. It’s a healthy rivalry. Pam expects to be number one and be the top. You can’t get complacent in the sixth season.

What are your acting ambitions for the future?

One of my dreams is to come to London and do a play. Not even one of the big shows – I would be happy doing a small theatre in a small town. Just to immerse myself in the work would be great!

AJ Buckley joue le très sympathique laborantin Adam Ross depuis 2005. Né à Dublin et élevé au Canada, l'acteur est apparu dans de nombreux films et séries TV.

Dites-nous en un peu sur la nouvelle saison.

Nous avons terminé la saison cinq sur un incroyable cliffhanger. Le Détective Angell a été tué, il y a eu une grande fusillade et nous nous sommes tous couchés au sol. C'était assez intense pour le cast parce que personne ne savait qui allait se relever des balles! L'épisode qui ouvre la saison commence un mois après la fusillade et montre comment les personnages ont réagi à la mort d'Angell.

Y a-t-il un nouveau ton donné à la série ?

Le fait d’en être à la sixième saison permet aux auteurs d’approfondir davantage les personnages. Nous pouvons entrer dans leurs complexités et ce qui les caractérise (pas sûre du tout de la traduc là). L'auditoire ressent vraiment quelque chose pour ces personnages. Ils sont si investis.

Que se passe-t-il avec Adam et Stella cette saison ?

Adam obtient un peu d'amour! Je me souviens l’avoir découvert sur le plateau et les gens m'ont demandé, « Tu as vu le script ? » J'ai jeté un coup d'oeil et ma réaction a été « Oh, WOW! » Je pense que c'est une grande histoire. Adam et Stella ont toujours eu un jeu de flirt réciproque. Le gars a besoin d'un peu d'amour! Il est dans le laboratoire tout le temps. Stella est une femme sexy, alors pourquoi pas ?

Comment Adam a-t-il évolué au cours des années ?

Quand j'ai rejoint le cast, il n'y avait aucune description au sujet de qui était Adam. [La productrice Exécutive] Pam Veasey a toujours dit que mon personnage était la touche de comédie sur le show. Mais au cours des années il a commencé à comprendre qui il est et à montrer sa force.

Avez-vous beaucoup apporté au personnage ?

Juste une partie. C'est ce qui est formidable quand vous travaillez avec Pam Veasey et Peter Lenkov. Ils prennent vraiment le temps d’écouter ce que vous avez à dire au sujet de votre personnage.

Comment CSI NY a changé votre vie ?

Ça a complètement changé ma vie. Quand j’ai été retenu pour csi, j’avais 32 $ et je vivais dans ma voiture. Je suis allé d’un extrême à l’autre, voyageant au travers le monde et rencontrant des gens différents, je suis totalement reconnaissant.

Comment sont vos relations avec les autres acteurs « star » de la série ?

Super. Gary sinise est quelqu’un que je respectais en tant qu’acteur, avant même d’obtenir ce rôle. Carmine Giovinazzo est quelqu’un avec qui j’ai travaillé dans le passé. Il a beaucoup contribué à ce que je devienne un membre du cast à plein temps. Il s’est battu pour que je puisse rester sur le show.

Quel a été votre histoire la plus stimulante ?

Un de mes épisodes favoris était « The Party’s Over ». Il y a un enfant qui commet un meurtre et ils m'envoient dans la salle d'interrogatoire pour parler avec l'enfant. C'était le premier vrai épisode où je devais enfoncer mes dents dans quelque chose – où je devais sortir du labo et ne pas dire de mots scientifiques, et où je devais lier l’émotion au dialogue.

Est-ce que vous étiez bons en science à l'école ?

Vous savez que, quand j'étais au lycée, j'étais un épouvantable étudiant. J'étais un enfant qu'on pourrait étiqueter ADD (problèmes d'attention et d'hyperactivé) et je suis terriblement dyslexique. En grandissant, « apprendre » pour moi était presque impossible. Donc le parcours éducatif d'Adam et le mien sont le jour et la nuit. Je suis certain que les professeurs de sciences que j’ai eu au lycée, et qui regardent le show aujourd’hui, doivent bien rire.

Quel est le secret du succès de CSI ?

Ils ont de supers auteurs et un magnifique cast. Et puis c'est une si vieille histoire; celle de Sherlock Holmes. Qui l'a fait et comment l'ont-ils fait ? Ils ont pris cette vieille théorie, ont rendu la science sexy et y ont jeté ce regard nouveau. Les gens ont réellement accroché à ça.


Qu’est-ce qui rend à part csi ny par rapport aux autres CSIs ?

New York est un personnage sur le show. Je ne connais pas beaucoup de personnes qui ne sont pas fascinées par cette ville. Elle fait si « film noir ». Alors vous jetez un acteur comme Gary Sinise dans le mélange et ça fonctionne à merveille.


Y a-t-il une rivalité entre les shows de CSI ?

Je pense que chaque CSI veut être au top. C'est une rivalité saine. Pam s'attend à être numéro 1 et à être au top. Vous ne pouvez pas être suffisant dans la sixième saison.

Quelles sont vos projets pour l'avenir ?

Un de mes rêves est d'aller à Londres et de jouer une pièce. Pas besoin que cela soit un grand show - je serais heureux de jouer dans un petit théâtre d’une petite ville. Juste de m'immerger dans ce travail serait super!

Merci beaucoup à toi Lindsay

oh merci pour ces quelque infos...
c'est très cool!

Merci pour la traduction, AJ a vraiment l'air d'être un gars sympa et c'est cool ce que Carminouuuu a fait pour lui.

Oui Carmine est vraiment quelqu'un de bien

Juste un petit truc pour faire ma chiante Quand il dit "I’m a poster child for ADD, and I’m terribly dyslexic", en fait ça veut dire qu'il peut être étiquetté comme un cas d'enfant "ADD" qui est l'abréviation d' "Attention-deficit disorder", en français, c'est tout simplement un gamin qui était sujet à des troubles du déficit de l'attention et à l'hyperactivité

Bah de rien, ça m'intriguait tellement que j'ai un peu farfouillé

Merci beaucoup lindsay pour cette article et pour cette traduction !!!!

Traduction:

Le Challenge: On sert de la bonne nourriture sur le plateau de CSI:NY mais le café et les donuts sont pas mal non plus. C'était un problème pour moi car lorsque vous êtes affamé et pressé par le temps, une salade vous parait moins apétissante que quelque chose qui vous aide à tenir le coup. Ca a commencé à se voir. Comme beaucoup d'hommes, je fluctuais constamment entre 158 et 164 livres, alors que mon poids idéal est de 150 livres (NDLT: je mettrai en fin d'article la conversion en kilos). A moins de trouver un moyen de contrôler mon poids, je savais que j'allais encore grossir et que cela pourrait influencer en mal ma carrière d'acteur.

La révélation: Je me suis entrainé au Fortune Gym à Hollywood plusieurs jours par semaine, pourtant mon poids continuait d'augmenter. Cet été, j'ai compris pourquoi: lorsque je mangeais trop de pâtes ou de pizza en soirée, je me sentais léthargique et j'avais du mal à me motiver pour pratiquer un sport. De ce fait, je mangeais encore plus. C'était un cycle. Alors j'ai décidé de changer complètement de mode de vie pendant 8 semaines pour voir ce que ça allait donner.

La nourriture: C'était mon plus gros changement. Au lieu de manger des repas chargés, j'ai opté pour 6 petits repas diététiques étendus dans la journée - des oeufs ou une salade de fruits le matin, et du chili sain, des hamburgers de dinde ou du poisson dans la journée. Je n'ai pas non plus mangé jusqu'à outrance, j'ai juste avalé de quoi tenir le coup tout en ayant cette sensation d'être rassasié. Ca ne m'a jamais paru être un sacrifice: les petits repas sont gouteux, ils sont juste plus légers. L'apport constant de produits sains m'a permis de tenir le coup tout au long de la journée et d'éviter de me jeter sur un bol de pâtes lors d'un petit creux.

Le fitness: Je ne peux pas me permettre d'aller à la salle de sport tous les jours et je voyage beaucoup. Dans le passé, cela impliquait de laisser tomber les séances de sport. Mais cet été, j'ai acquis une corde à sauter lestée et une bande résistante que j'emmène partout (y compris lors de mon séjour en Irak) et je fais 10 minutes de cardio tous les matins. Ca met en forme pour la journée. Durant l'après midi, je fais quelques mouvements et étirements. Ca permet d'être plus à laisse quand on va à la salle de sport et la continuité de ce programme m'a permis de devenir plus fort.

La récompense: Après avoir mangé sainement durant 7 jours et fait du sport, j'étais déjà beaucoup plus en forme qu'avant. Si j'avais continué, je me rendais compte que je ne serais plus aussi lent et aussi fatigué qu'avant, comme ça arrivait parfois au boulot. Il ne s'agit pas d'un régime mais d'un mode de vie qui ne fonctionne que si les changements sont permanents. Je commence toutes mes journées en faisant de la corde à sauter. Mon poids est sous contrôle et mon taux de graisse à chuté de 17 à 11%. Je sais maintenant ce dont mon corps à besoin et c'est un sentiment très agréable.

A.J Buckley, 32 ans. Acteur. Taille : 1m73. Coaching: 8 semaines. Poids de départ: 71,66kg. Poids d'arrivée: 68kg.

* NDLT: 164 pounds (ou livres) équivaut à 74,38kg.
Traduction: Jersey_07

Merci jersey pour l'itw et la traduction.

Maiiiiis de rien ma ptite Dame

I'm happyyyyyyyyy

Que voulez-vous, quand le lychee m'inspire...

Et puis comme ça, je révise mon anglais

C'est coll ça, tu allies l'utile à l'agréable.

Je te comprends

J'ai jamais autant bosser l'anglais que depuis CSI Ny mdr

Si tu as rien d'autre à faire mdr, en voilà une autre sur lui

Citation :

From CSI to Sundance the long way; If the script says Oregon, it's off to Bulgaria for Vancouver actor A.J. Buckley
Sunday, January 24th, 2010 | 12:51 am

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Canwest News Service

Spend any time on Vancouver film sets and you know the drill: Vancouver substituting for Anytown, U.S.A., Canadians talking like Americans, hide the mountains when it's set in the Midwest, hide the ocean when it's set in Colorado.

That was how Vancouver's A.J. Buckley got his start as an actor more than a decade ago. Turns out that sense of location-identity confusion is everywhere. These days, Buckley is based in Los Angeles, where he has co-starred for five years as lab tech Adam Ross on CSI: New York (L. A. plays the Big Apple), and he's heading to this month's Sundance Film Festival with the new small-town drama Skateland (Louisiana plays Texas).

And Buckley still hears the call to come back to Vancouver every once in a while, most notably in his recurring role as an inept ghost hunter on TV's Supernatural (B. C. plays various U.S. locales).

"Shreveport is kind of like Vancouver back in the day," says Buckley of the Louisiana city that stood in for Skateland's Lone Star state. "I once went to Bulgaria to shoot Oregon — I thought for sure when I read the script I was going to Oregon. Terrible movie — that movie was called I Need to Pay My Bills."

The actor's life can mean taking any job to meet the rent — Buckley was sleeping in his car when CSI first came along — but the security of a regular TV role allows the option of picking jobs for love. Skateland is set in the mid-1980s at a small-town roller-skating rink that's owned by a Grateful Dead fan who mentors a teen looking to escape the small town.

New discovery Shiloh Fernandez plays the teen, opposite Twilight's Ashley Greene as his love interest, and Buckley is the Dead-Head.

"It wasn't the starring role or anything, but it was a great character piece of this guy trapped in the 1970s," says Buckley. He juggled work in Shreveport with his ongoing duties on CSI during a month's filming in 2008, racking up frequent-flyer miles.

Just into his 30s, Buckley is new to playing the older guy. "I like getting older, now it's the cops and the lawyers. It's a fresh chapter."

Skateland's writers were Texas-born brothers Brandon and Heath Freeman, with their friend Anthony Burns, who directed the movie, all making their first feature.

"They've become my good friends," says Buckley, who will take time off from CSI's nine-month shooting schedule to go to the festival. "They're these good old boys from Texas, it's their first film and they're going to Sundance."

Meanwhile, Buckley is waiting to hear whether he will rejoin Supernatural's Jared Padalecki and Jensen Ackles for an episode this year. Buckley and actor Travis Wester play two goofy rivals to the demon-hunting brothers played by the show's stars. Supernatural's currently-filming fifth season will likely be the show's last.

But Ed and Harry, the characters played by Buckley and Wester, will live on in their own web-based horror comedy series.

Supernatural creator Eric Kripke hired the two to write 10 episodes and star in the spinoff series, due to start filming this March in L.A.

Ed and Harry, the Ghostfacers, have become Supernatural fan favourites since they first appeared midway through the show's first season. Buckley says dorky Ed was a role he had to lobby for.

"Originally they didn't want me," he says. "I am a huge dork, let's not kid anybody. But casting was like, no he's too good looking. I never get that, are you kidding me? Usually I'm not good looking enough and now I'm too good looking?"

source: Kelowna.com

Je me ferai le plaisir de traduire ça demain

Merci beaucoup pour l'interview et la traduction Jersey
Et merci Perl pour la deuxième Interview !!!

Merci Perl pour la seconde interview