Trahison [Smack, action]

Les alarmes s'affolaient, les lumières, à la fois jaunes et rouges éluminaient les couloirs et les salles, y mettant du coup une ambiance stressante, effrayante et bruyante. Tout le monde était en alerte générale. Tout ça pour une simple connerie et voilà que moi et Stella nous sommes prisonnier d'une chasse à l'homme monstre. Stupide Sinclair qui avait décidé de tout faire pour me mettre les bâtons dans les roues. Que ce passe-t-il au juste ? Pourquoi sommes-nous poursuivit par des centaines de flics dans ces couloirs dont je ne connaissais leurs existences avant aujourd'hui ?

Le laboratoire était maintenant devenu une prison que nous même avions du mal à en trouver la sortit. C'était devenu chose impossible ! Il y avait des flics partout qui nous recherchait et qui ferait n'importe quoi pour nous tuer s'il avait le malheure de nous trouver au mauvaise endroit et au mauvais moment. Nous étions devenu des fugitifs à leur yeux. Des fugitifs qui pourtant n'en est pas. En tout cas ils me prennent pour un fugitif, pas Stella. Cependant comme Stella était dans mon équipe, Sinclair ne se serait pas gêné pour faire le même sort qu'à nos amis. Maintenant avec moi, je la protègerai de ma propre vie si elle peut vivre la sienne. Il ne sera nullement question que Sinclair lui fasse du mal ! Nous nous sauverons de cette endroit ensemble, ou sinon je ne m'appelle pas Mac Taylor.

Je courais avec Stella dans ce couloir à semi-éclairé, paniqué par le nombre de policiers qui nous couraient après. Je la tirais par la main, je tentais de la mettre en sécurité, puisque c'est la seule personne que j'ai pu sauver de toute l'équipe. Des bruits se faisaient entendre au loin, des pas et des cris, un moment plus tard de la lumière. Les flics approchent ! Il faut se sauver au plus vite avant qu'ils nous trouvent et nous rattrapent ! À gauche ? Des lumières et des pas ! À droite, le même scénarios ! Stella me tire par la main et m'entraine dans un conduit d'aération qui se trouvait sur le mur collé au planché. Nous nous y sommes engoufrés, restant un moment silencieux alors que nous écoutions les pas traverser le long couloir où nous étions quelques instants plus tôt. J'entendais la voix de Sinclair : il semblait furieux d'avoir perdu nos traces, du moins, pour le moment...

Au bout de quelques minutes, alors que Sinclair engueulait ses employés, ils sont finallement partit dans une autre direction, laissans le couloir qui, bruyant, à nouveau calme et silencieux. Nous avons poursuivit notre route le long du conduit pour sortir dans une pièce de l'immeuble. Une pièce assez bien meublé d'ailleurs. Tranquil, nous pouvions prendre notre souffle. Ça faisait déjà plusieurs heures que nous tentions de semer nos pourchasseurs. Maintenant fait, on pouvait souffler un peu. Je me suis donc assis sur le sol, adossé au mur, reprenant peu à peu mon souffle tout en regardant les nombreuses blessures qui parsemaient mon torse qui avait été mit à nu plus tôt et les nombreuses marques de tortures, jusqu'à ce que Stella vienne se blottir contre moi, appeuré et déstabilisé par tout ce qui se passait, et que je referme mes bras sur elle pour qu'elle se sente en sécurité et qu'elle puisse dormir un peu car elle en a beaucoup de besoin, étant fatigué de la journée.

Stella est épuisé et a elle aussi été torturé. Par chance, ils lui ont laissé ses vêtements, tandis que moi j'étais maintenant en jogging et en torse nu. Ils avaient prit mes vêtements qui étaient ceux que je portais tous les jours pour le travail et m'ont changé pendant que j'étais inconscient. Je suis pied nu tandis que Stella est en chaussettes. J'ai l'impression d'être il y a quelques temps, à l'hôpital alors que Drew m'avait poignardé. D'ailleurs, mes cicatrices paraissent toujours sur mon ventre, mon torse mes bras et mes jambes...

Stella est marqué au visage, elle a quelques blessures sur les joues et des bleus... ils ne l'ont pas manqué. Heureusement que je suis arrivé à temps sinon je crois qu'elle y aurait passé. Sinclair doit fouiller tout l'immeuble, il y mettra donc beaucoup de temps. Nous pouvons donc dormir là jusqu'à l'aube et tenter de sortir au petit matin. Je resterai réveillé pour faire la garde, comme dans le bon vieu temps dans les Marines. De toutes manières, j'avais de l'insomnie en cette soirée à environs vingt-deux heures. Je préférais rester éveiller dans cette situation aussi et donc je ne m'en plaignais pas...

Si seulement nous pouvions revenir au passé, où nous avions la paix et que nous faisions nos choses habituelles, comme à la simple habitude que nous avions prit depuis plusieurs années....

Toi t'aurais pas regardé Impostor peu de temps avant ?

En tout cas très bon début, par contre

Citation :

Je la tirais par la main, je tentais de la mettre en sécurité, puisque c'est la seule personne que j'ai pu sauver de toute l'équipe.

Merci Myrtille et vivement la suite

Ben dis-donc, ce début commence sur des chapeaux de roues.

Mac et Stella en fuite, ça promet.

ah ba dis donc ça commence fort !

super début ^^

hâte de lire la suite

Purée j’ai lu le chapitre et j’étais « Mais qu’est ce qu’il se passe ?!! Pourquoi ils courent ? Pourquoi on les a torturés ?! Et le reste de l’équipe est devenus quoi ?! »

Rhoooo j’adore Mac qui veut protéger Stella à tout prix… Il va peut-être mourir mais c'est a elle qu'il pense en premier

La vache ça démarre super fort. Ca c’est un début super accrocheur c’est sur

Vivement la suite pour qu’on sache comment ils en sont arrivé la…

Mac:"mais je te jure que je vais bien !"

Stella:"Mac ! Je t'ai vue boiter jusqu'à la sale de bain ! Je sais que ça ne va pas !"

Nous sommes en plein matin. La journée commencait à peine que j'étais déjà grillé. En ma première journée de travail depuis cette histoire avec Andrew, il fallait que je me mette à boiter en me levant. Maintenant Stella n'est plus certaine de vouloir me laisser aller travailler en raison de ça. Elle m'a attrapé alors que je sortais tout frais de la douche, que je m'étais habillé, rasé et parfumé pour le boulot. La douche m'avais pourtant fait beaucoup de bien et je ne boitais plus après, c'était qu'une douleur matinale comme bien d'autre, mais ce n'est pas l'avis que Stella a sur ma santé et mon état.

Mac:"Mais je ne boite plus !"

Stella:"Mais tu boutais ! Je crois que tu devrais rester encore quelques jours à l'appartement histoire de... te préparer davantage à travailler Mac..."

Depuis ma sortit de l'hôpital, moi et Stella sommes déménagés ensemble dans un nouvel appartement. Elle ne voulait pas que l'on reste dans le sien, disant que c'était trop petit et moi je ne voulais pas qu'on déménage dans le mien, car trop de souvenir c'était déroulé dans cette appartement et avoir une autre personne là dedans m'aurais rendu mal à l'aise. Nous sommes officiellement ensemble elle et moi depuis au moin un petit mois ou deux. Stella a grandement prit soin de moi et je lui en suis reconnaissant. Elle voulait jamais que je marche et elle faisait tout pendant que je restais coucher à dormir comme un paresseux, à un telle point que des fois je voulais me lever pour lui donner un coup de main, mais à chaque fois elle refusait et me renvoyait me coucher. Elle n'a jamais voulu me laisser marcher jusqu'à ce que mes blessures aux jambes soit pratiquement toutes cicatrisées. Mais malgré cela, j'ai l'impression que j'ai quelques séquelles et le fait que j'ai boité ce matin pouvait que confirmer mon hypothèse. Malgré cela, je suis assez confiant pour ma journée et je me sens d'attaque pour aller travailler. Je regardais Stella dans les yeux, je lui prenais les deux épaules avec mes mains et les caressait doucement.

Mac:"Ne t'inquiète pas... je vais bien..."

Elle me faisait un de ces beaux sourirs.... Elle déposa ses mains sur les miennes.

Stella:"D'accord... mais promet-moi que si tu as mal que tu vas aller t'allonger sur le canapé de la salle de repos et que tu dormiras un peu..."

Mac:"Je te le promet..."

Stella:"De toutes manières je vais avoir un oeil sur toi aujourd'hui !"

Je lui ai rendu son sourir et je l'ai embrassé. Je lui ai dit aurevoir et ensuite j'étais partis pour le laboratoire. Je devais avoir tout une pile de papiers sur mon bureau et je sais à quel point Sinclair est si gentil avec moi, il m'offrira sans doute d'en remplir davantage. Je ne serai pas sortit d'affaire, mais les enquêtes et le terrain me feront beaucoup de bien. Retrouver l'ambiance de la ville et aussi du département ne fera que faire ma journée. Ça me manquait tout ça et rester chez moi à rien faire devenait une torture personnel que je tentais de me débarasser en vain. Il a falu que j'attende et maintenant que j'ai attendu assez longtemps j'en suis récompensé.

J'arrivais tranquillement au laboratoire et en entrant les gens me saluait tout en me demandant comment j'allais et me sentais pour ma première journée de travail. Je leur parlais un peu et ensuite je poursuivais mon chemin en direction de mon bureau. Tout de suite en m'y rendant, je passais devant le bureau du chef et à ce moment, comme je l'aurais pensé, il m'avais appellé pour aller le voir. Je suis alors entré et j'ai prit place sur le fauteuil.

Sinclair:"Taylor, vous avez intérêt à faire du bon travail et du travail productif aujourd'hui ! Je ne tolèrerai pas que vous dormiez durant vos chiffre de travail compris ?"

Mac:"Chef, vous n'avez pas à me dire quoi faire de ma vie ! Je viens à peine de revenir travailler et c'est normal qu'il arriverait que je m'endorme durant le travail ! Si vous n'êtes pas content, fichez-moi à la porte !"

Je suis sortit, laissant Sinclair sans mot. Évidemment, je sais qu'il ne me fichera pas à la porte, pour la seule et unique raison que je suis un élément clé de l'équipe et que sans moi, les enquête prendrait plus de temps à clore. De toutes manières, il n'arriverait pas à se passer de moi, puisqu'il adore m'embêter durant mon travail pour simplement me dire une stupidité ou pour venir m'ajouter des papier par ci par là pour que j'ai plus de travail et pour que je reste plus longtemps au laboratoire.

Je me suis rendu à mon bureau, je me suis assis et j'ai commencé mes travaux, attendant que Stella arrive pour que je puisse lui raconter ce que Sinclair venait de me déblatérer...

Mac a eu une excellente infirmière n'empêche.

Il m'énerve Sinclair a lui crié après alors qu'il vient juste de reprendre. Je voudrais l'y voir moi. Quelle tête à claques ce gars-là

J'aime bcp ta nouvelle fic

Comment se fait il qu'ils en sont arrivés là ? Toute l'équipe y est passé ?

LA SUITE!!! J'ai bcp de questions !!

ah c'est bien stella s'occupe bien de lui lol ^^

hâte de lire la suite

Il fait froid.... il fait si froid dans cette pièce sombre et vide. Où sommes nous Mac et moi ? Où avons-nous atterit après s'être egouffré dans ce conduit ? Je suis complètement perdu... et heureusement pour moi, Mac est venu me tirer d'affaire avant qu'il ne soit trop tard... Je crois que j'ai faillit y passer comme tous les autres... maintenant, il ne nous reste que nous deux ici... c'est effrayant.... je n'aurais jamais cru que Sinclair serait devenu fou ainsi ! Cet homme est un malade mental ! Je comprends mieux pourquoi Mac ne l'aimait pas... mais maintenant c'est vrai qu'il ne l'aime pas et moi non plus, moi qui avais tout de même un certain respect pour lui même s'il était désagréable avec nous... il faisait que son boulot de patron et c'est tout... je croyais que c'était une bonne personne hors boulot...

Je ne me sens plus en sécurité, je me sens plus dans un bonne environnement comme je l'ai été autrefois, je déteste cette endroit à mourir ! Mais au moins, Mac est là et ça me réconforte un peu... je me sens mieux grâce à lui. Le pauvre... lui qui a été torturé, sans doutes par Sinclair et ses hommes... Ses marques sur son corps peuvent en témoigner et la rougeur peu montrer jusqu'à quelle force il s'était servit. Malgré ça, dans la noirceur, je parvint de mes yeux maintenant habitué à voir les nombreuses cicatrices qu'il a en raison de Drew... et dire qu'il boitait encore il y a à peine quelques heures dans l'appartement pour se rendre aux toilettes... ce que j'aimerais retourner à ce moment là... nous ne savions pas que ça aurait cette drôle de tournure...

Enfin je n'ai qu'à pensé à nos petits moments à l'hôpital pour simplement retrouver le sourir dans notre grand malheur... Comme à mon réveille... ce fameux doux et long baiser que Mac m'avait fait et comment il m'avait avoué que nos sentiments étaient réciproque... Ou encore la suite après ça... je me souviens encore comme si c'était hier, moi qui jouait la grande mère poule avec lui, je ne voulais pas qu'il face d'effort sur rien du tout et lui devait m'obéir sinon ça allait mal aller pour lui durant la journée. Mais c'était de si beau moment que nous avions passé ensemble... je ne les oublirai jamais, même si je serais dans l'eau delà...

Une journée, j'étais allé lui rendre visite comme tous les jours. C'était plutôt une visite bien ordinaire... mais quand je suis arrivé à sa chambre, il avait complètement disparut. Inquiète j'étais allé voir une infirmière pour lui demander s'il avait avertit son départ au cas où il voulait aller marcher un peu dans les corridor de l'hôpital, mais elle m'avait répondu non, que personne de l'avait vu et qu'il avait complètement disparut des salles de l'hôpital. Nous avions cherché toute la journée entière et une partie de la nuit pour finallement le trouver sur le terrain devant l'hôpital, en jaquette, assis sur un banc en train de dormir. Je crois qu'il était sortit de bonheur, qu'il s'y était assis et qu'il avait profité de la journée chaude et ensoleillé et qu'au couché de soleil, il s'était accidentellement endormi et était resté là couché sur le banc bien tranquil. Personne ne l'aurait remarqué puisqu'il ne faisait aucuns bruits. Finallement, nous l'avions rammené à sa chambre... il ne s'était même pas réveillé en chemin ! Sa sortit pour prendre l'air l'avait totalement crevé...

Lorsqu'il a marché la première fois, on aurait dit un enfant qui commencait à apprendre comment. C'était mignon, il n'avait même plus d'équilibre ! En fait, c'est que à l'endroit où Drew l'avait poignardé, il avait touché un nerf sensible et Mac n'arrivait plus à marcher correctement. Du coups, c'est une des raisons pourquoi la douleur revient de temps en temps et qu'il se met à boiter. Mais le petit Mac-man a apprit très vite et maintenant il marche à peu près comme avant. Il devait se reposer souvent pour récupérer après une seule petite marche de quinze minutes. Mais au moins ça en vallait la peine... c'était comme ;a que l'on avait combattut l'insomnie durant ce moment là....

La journée du 11 septembre, Mac était toujours à l'hôpital... et il voulait aller à Ground Zero. Évidemment, c'était impossible dans son état, puisse qu'il était encore branché à toutes ces machines et était toujours aux soins intensifs. C'est juste avant que je m'endormes d'ailleurs... il était dans un sale état à ce moment là : il n'arrivait même pas à s'asseoir sur le lit. Il avait trop mal et il était encore très faible, toujours entre la vie et la mort selon les médecin de cette section. Je lui ai donc apporté une petite télé, parce que normalement les gens des soins intensifs sont dans le coma ou toujours endormis, mais lui avaec son insomnie ça ne fonctionnait pas toujours et, je savais que les médias filmaient à Ground Zero. Je l'ai donc allumé sur la chaîne et il a pu regarder la cérémonie de son lit d'hôpital. Ça avait été un journée assez triste avec tout ça, Mac en a pleuré un peu et je l'ai réconforté. Nous avions été silencieux une bonne partit de la journée, avant que la nuit tombe et qu'il s'était finallement endormi sous l'épuisement...

Ces souvenirs m'ont fait sourir, j'en étais sûr. Je me suis blottis davantage contre Mac, je cherchais à me réchauffer mais aussi à le réchauffer. La pièce n'avait pas beaucoup d'objet, c'était étrange comme endroit. En fait, il n'y avait qu'un chaise... pour le reste, soit il n'y avait rien du tout, soit qu'il fait trop noir pour voir quoi que ce soit. Enfin... je préfère mieux rien voir pour le moment, j'ai trop peur... Tout à coup que Sinclair nous retrouve ? Tout à coup qu'il nous sépare une nouvelle moi Mac et moi ? Tout à coups qu'il veuille nous tuer un sour les yeux de l'autre ? Je me suis mise à trembler. Mac avait refermé ses bras sur moi et j'ai réussi à me calmer... si seulement nous étions plus tôt... si seulement nous pouvions retourner dans le passé et tout changer....

Très touchant ce pov avec les bons souvenirs de stella concernant la convalescence de mac.

Merci Myrtille.

c'est émouvant tout ça, mais les pauvre quand même

Mais l'autre à disjoncté comme ça.. sans prévenir ?!! C'est pas une raison pour flinguer tout le monde ça Et puis il va bien falloir qu'il y aille des répercutions.

La suite

Mac est partit plus tôt que moi au travail. Heureusement pour nous, nous avons deux voitures appartenant au laboratoire à notre disposition vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Quand à moi, je me devais de faire le ménage avant de partir travailler. Ce n'est pas comme si je faisais ça à la dernière minute de toute manière... alors j'en profite pour m'enlever du travail à mon retour, comme ça je pourrai me reposer avec mon Mac. Je devais aussi prendre une bonne douche et me changer, étant toujours en pyjama en cette petite matinée. Je regardais par la fenêtre le temps qu'il faisait dehors : beau, pas de nuage, ni de smog dans la ville... il devait faire ni trop chaud ni trop froid. Mais au loin je sentais que du gris allait venir envahir tout ce beau ciel matinal. Quelque chose allait se produire aujourd'hui et j'avait la vague impression que ça allait être un enfer. Mais ce ne sont que de simple présentiments et peut-être que je me trompais....

Je passais un peu l'aspirateur ici et là, fait le lit, la lessive et la vaiselle pour ensuite sauter sous la douche. C'est avec une serviette autour de la taille que je sortais de la salle de bain et que je me rendais jusqu'à notre chambre à Mac et moi. Je foullais dans les nombreux tirroirs de la chambre pour des vêtements, pour finallement tomber sur un ballon de plage après avoir ouvert une armoir. Étrange d'avoir un ballon de plage gonflé dans son armoir. Au fond, un câdre photo s'y trouvait et de nombreuses chandelles. J'avais pris le câdre et l'avais regardé, un regard triste : sur cette photo se trouvait Mac, souriant comme je ne l'avais jamais vu sourir auparavant, au côté d'une jeune femme brune aux cheveux bouclés à la base et aux yeux bleus. J'allais replacer le câdre et en le faisant, j'avais touché à quelque chose qui avait la sensation d'une autre photo. J'avais donc prise la dites photo, mais finallement, il s'agissait d'un paquet. Je les regardais une par une, tous de la même femme, les cheveux bruns bouclés à la base et les yeux bleus. La dernière photo n'en était pas une en fait : c'était un papier journal, jaunit par le temps, une photo en noir et blanc se trouvant dessus. J'avais lu le titre : attentat sur les tours de New York, des milliers de morts et des centaines de disparues. Il y avait une description de l'événement, et en bas, une photo de Mac parlant aux médias : il avait prit la charge des recherches durant trois semaines pour trouver survivant comme des cadavres dans les débris. J'avais regardé une nouvelle fois les photos précédentes.

Stella:"Ça doit être Claire... les photos... le ballon et les chandelles... il lui gardera toujours une petite place dans son coeur..."

Je fais un petit sourir : d'un côté, c'était triste, parce que je me rendais compte que peut-être que Mac n'était pas prêt pour une relation encore. Mais j'étais prête à attendre le temps qu'il faudra et qu'il aura besoin par contre. De l'autre, c'était mignon. Mignon oui, parce qu'il lui garde une petite place dans ses affaires et que, même s'il en était gravement traumatisé, il ne s'était pas débarrassé de tout ce qu'il avait sur elle. Il a tout de même conservé ce bout de journal découpé et ces quelques photos, sans compté le ballon de plage gonflé. J'avais tout remit en place et j'avais fermé l'armoir, ne voulant pas abîmer les objets qui sans aucuns doutes sont d'une grande valeur pour Mac. Je continuais à fouiller dans les tiroirs, toujours pas habitué aux emplacements de mes vêtements dans les meubles de linges pour finallement trouver ce que je cherchais depuis quelques minutes. J'avais sortit des vêtements propre et, déjà toute sèche sauf les cheveux, je m'étais habillé. J'ai séché mes cheveux, les avais attaché et finallement j'étais sortit de l'appartement pour prendre le volant de la voiture et me diriger au laboratoire.

Arrivé, je me rendais tranquillement vers le bureau de mon homme, qui devais être en train de travailler sur une pile monstre de papier en raison de Sinclair. Je marchais en la direction de son bureau et arrivé devant son mur vitré, j'avais remarqué qu'il de s'y trouvait pas. Alors je me suis rendu vers la salle de repos et je l'ai trouvé, allongé sur le canapé, les chaussures à côté, enlevé et Mac qui, réveillé, me regardait, couché sur le côté. Il me faisait un petit sourir, mais de son regard je devinais tout de suite que quelque chose n'allait pas. Comme pour répondre à mon interrogation, il s'était assis et était sortit de son bref mutisme.

Mac:"J'ai quelques douleurs au niveau de la poitrine et des jambes..."

Je m'approchais de lui et me suis assis à côté. J'avais doucement débouttoné sa chemise et lui massais doucement le torse. Ce dernier se collait la tête contre mon épaule et faisait plusieurs soupir, me montrant que ça lui faisait du bien. Pendant ce temps, il me parlait de cette histoire avec Sinclair et je voyais parfaitement qu'il n'allait pas l'écouter. Mais alors que j'avais finis de lui rebouttoner sa chemise, Sinclair faisait son apparition dans la salle de repos et, comme Mac n'était pas couché, ne râlait pas sur cette histoire mais plutôt sur une autre.

Sinclair:"Taylor ! Qu'avez-vous fait de la clé USB secrète que nous avions mit en sureté ?!"

Mac:"De quoi parlez-vous ?"

Sinclair:"L'affaire Steele, vous vous en souvenez ?"

Mac:"Oui parfaitement. L'affaire des poupées en silicone..."

Sinclair:"Et vous vous souvenez de la clé USB que vous aviez trouvé ?"

Mac:"Parfaitement oui."

Sinclair:"Et vous vous souvenez de l'endroit où vous l'avez planqué après l'avoir volé de notre salle sécurisé..."

Mac:"Je ne vois pas de quoi vous voulez parler chef..."

Sinclair:"Ne me mentez pas Taylor ! Je sais que vous me l'avez volé ! Vous savez très bien que le contenu de cette clé ne doit jamais être divulgué à qui que ce soit et je vous vois bien vous en servir contre moi !"

Mac:"Mais vous dites n'importe quoi chef ! C'est totalement absurde !"

Sinclair:"Je vous tiens à l'oeil Taylor, sachez-le."

Il sortit de la salle, nous laissant ainsi seul, surpris par sa réaction...

Wouha, ca promet pour la suite ! Sinclair est vraiment vraiment louche. Je me demande comment ils en sont arrivés là !

En tout cas j'ai adoré cette suite !

Hâte de lire la suite.

Sinclair est devenu complètement fou ma parole!!

euh ... sinclair a tourne vraiment pas rond chez lui

Je me suis réveillé ce matin en sursaut. Non seulement mon téléphone portable sonnait sur mon bureau, mais en plus j'ai fais un sacré cauchemars. Vous savez, le genre de cauchemars que l'on souhaite absolument éviter de ravoir dans un autre rêve. Enfin, il est finis et ce n'est que pour le mieux, car je n'avais aucunement envie de resté dans ce rêve, prisonnier dans un univers que l'on appelle le sommeil. C'est pourquoi il y a des jours où j'ai pratiquement envie d'embrasser mon téléphone, de le remercier et de le récompenser de m'avoir réveiller, mais comme j'aurais l'air d'un malade mental et que Danny trouverait un moyen pour me faire une bonne blague avec ça, je ne le fais pas et ne le ferai jamais. Je regardais l'heure de mon cadran, toujours couché dans mon lit, en train de reprendre mon souffle de ce rêve phénoménal. Il m'indiquait 7h56. Huit heures du matin. C'est bien rare que je me lèves aussi tard, car normalement, on m'appelle vers les trois ou quatre heures du matin pour un homicide. C'est péniblement que j'ai attrapé mon téléphone d'une main lasse et que j'ai répondu à l'appelle. Il s'agissait d'un homicide, tout près du laboratoire. Si près, que l'on pourrait s'y rendre à pied sans problèmes avec notre matériel, enfin, Mac et la troupe trimballeraient leur matériel sans problèmes tout en s'y rendant à pied. Une jeune femme aurait été tué de manière suspecte, ce qui me forcais à me rendre sur place et d'appeller la Criminelle en route. Je me suis donc levé. Sortant de ma chambre, je constates que mon appartement était calme. Aucuns bruits, rien n'avait été déplacé depuis le moment où je me suis couché, et je ne crois pas que ça aurait été le cas, sauf si mon appartement aurait été hanté. Des fois, le bruits, le vacarmes, les objets que je ne trouves pas me manques. Il me manque, car je me souviens que Jessica aimait bien changer les choses de place, même si elle n'était pas chez elle, me disant toujours ''qu'est-ce qu'il ya lieutenant Flack ? un petit soucis pour trouver quelque chose dans votre propre appartement ?''. C'était sa phrase préféré, juste pour me taquiner, et elle y prenait plaisir jusqu'à le raconter au collègue du laboratoire. Maintenant qu'elle est partit, cette appartement manque de vie, et ça devient plus qu'une torture d'y vivre. J'ai l'impression d'avoir moi-même un vide à l'intérieur. Même si je la joue professionnel au travail, ça ne veut pas dire pour autant que je j'ai necessairement fait mon deuil sur sa mort, qui aurait clairement pu être éviter. Je ne fais qu'imiter Mac sur le plan du boulot, car je ne veux pas non plus qu'il me tombe dessus comme la dernière fois, quand j'avais commencé à dévier du bon chemin pour tomber dans le mauvais, qui m'aurait sans doute ammené à une dépression ou à la mort tout simplement... Au bout de quelques minutes, j'ai finis par tendre le bras et peser sur le bouton pour faire fonctionner la machine à café. Même en se levant tard dans la matinée, je ressens toujours cette fatigue. Sans doute la fatigue de la vie qui commence à se faire ressentir lorsque l'on est proche de quarante ans. Il ne me reste que quatre ans avant de l'atteindre, alors je peux bien penser que c'est ce qui cause ma fatigue. Sinon, c'est simplement parce que je n'ai pas pris mon café encore. De toutes manières, je vais devoir le prendre rapidement pour éviter de mettre le Central dans le pétrin parce que je n'aurais pas été assez rapide... Et puis, il faut aussi donner le plus de chance à Mac et à son équipe de coincer le tueur, eux qui me disent souvent que plus le temps passe et plus les indices ne sont plus exploitable. J'ai donc but mon café assez rapidement, me brûlant de temps en temps langue et gorge, ce qui m'a bien sûr forcé à me réveiller davantage et j'ai donc pu sauter sous la douche et m'habiller, me razer et me parfumer, car un homme qui ne se parfume pas pour la travail, c'est un homme qui ne recevra pas de compliments par les femmes qui passeront à côté de vous. Je sors de mon appartement et, prenant le volant de ma voiture, me rendais tranquillement sur le lieu du crime, prenant soin d'appeller des renforts pour sécuriser les lieux. Comme mon appartement n'est pas loin du laboratoire, je me suis rendu au département en premier, pour avertir Mac et Stella. J'ai pris l'ascenceur et cherchant dans les différentes salle les deux tourtereaux tout en marchant dans le couloir, les trouvent enfin dans la salle de repos. Ils avaient de ces têtes...

Flack:''Salut vous deux ! Je vous dérange pas ? en passant Mac, bon retour au travail.''

Mac me regardait et j'ai lu dans son regard des interrogations qui je suis sûr, n'ont aucunement rapport avec mon arrivé. Mais par respect pour sa vie privé et aussi parce que je suis sûr que ce ne sont pas de mes oignons, j'ai préféré m'abstenir de lui poser la question à savoir pourquoi j'avais l'impression que lui et Stella venait de voir un fantôme. En tout cas pour un fantôme, il devait être assez effrayant, parce que les deux étaient un peu blême, surtout Mac, mais je supose que c'est en raison de ses blessures qu'il est comme ça ou parce que c'est sa première journée de travail depuis son aggression par Drew Bedford.

Mac:''Merci... et non. Vous ne nous dérangez pas. Qu'est-ce qui se passe ?''

Flack:''On a un homicide tout près du laboratoire. Je ne suis pas encore allé sur les lieux, comme je passais par là, j'ai préféré venir vous voir en premier. Mais selon le Central, une femme aurait été assassinée.''

Stella:''Vous nous donnez l'adresse et on se rejoind là bas alors ?''

Flack:''C'est parfait pour moi.''

Mac:''Appellez aussi Danny, Hawkes, Adam et Lindsay, que l'on boucle cette affaire rapidement et que l'on rentre tous chez nous.''

Flack:''Très bien.''

Je me suis donc éxecuté, tout en soufflant un ''À plus tard.'' à mes collègues alors que je sortais de la salle de repos, me dirigeant là où j'étais plus tôt, c'est à dire le stationnement du laboratoire...

TBC...

Toujours aussi superbe Myrtille. J'adore ce nouveau POV.

j'aime beaucoup ce POV

À la suite du départ de Flack, j'ai déposé ma tete sur l'épaule de Stella, la regardant dans les yeux puisqu'elle me regardait, et je répondais à son sourir avec un de mes plus beaux de ma panoplie. J'avais fermés les yeux pendant quelques minutes, avant qu'elle ait rompue le silence en me précisant qu'il fallait aller à la scène de crime, ou tout le monde devaient nous attendre déjà ou presque. Je me suis donc levé tranquillement et c'est avec Stella que je suis partit en direction du stationnement pour se rendre là bas avec l'Avalanche. En marchant, nous avons croisé Sinclair qui, à mes yeux devenait de plus en plus étrange depuis notre petite discution ce matin. En effet, il discutait à voix basse avec deux autres personnes que je ne connais pas, et tous se sont arretés de parler lorsque nous sommes passé à coté d'eux. Cette histoire commencait à me tracasser un peu, je ne vois pas pourquoi on m'accuse comme tel !

Nous sommes entré dans l'Avalanche après avoir soigneusement rangé nos malettes à l'arrière. L'abiance à l'intérieur était plutot silencieuse et pesante, ce qui n'avait pas échappé à Stella, qui savait pourquoi j'étais aussi silencieux. Elle savait que la discution de ce matin que j'avais eu avec Sinclair m'avait laissé dans une humeur plus ou moins moyenne et qu'en plus notre petit moment d'un peu plus tot était resté dans ma mémoire et me plongeait dans une réflexion longue et douteuse : comment ce faisait-il que cette clé ait été à nouveau volé ? Sans doute un policier pourri comme plusieurs que j'ai mit derrière les barreaux qui a fait des siennes et Sinclair essaie de faire passer la faute sur le dos de quelqu'un pour ses histoires de politique ou en raison de la pression médiatique. Il cherche simplement quelqu'un pour que la pression sur le département de police puisse diminuer car il sait que les média ne le lâcherons plus tant qu'il n'aura pas trouvé le coupable du vol et qu'il ne l'aura pas mit en prison pour quelques années.

En roulant, j'ai sentit une main caresser mon bras ce qui m'a fait légèrement sursauté, alors que j'étais dans mes réflexions sur cette histoire. Regardant du coin de l'oeil tout en conduisant, je pouvais lire dans son regard qu'elle était un peu inquiète. Je lui ai fait un petit sourir en espérant de me montrer rassurant, mais je n'y suis pas arrivé, n'ayant pas la volonté de le faire. Elle me fit un peu de pression sur le bras, je crois qu'elle cherchait à me réconforter.

Stella:"Mac... ça va aller ?"

Ça ma prit quelques minutes avant de lui répondre, cherchant quoi dire mais aussi parce que j''étais hésitant : devrais-je lui dire ce qui me tracassait ou plutot lui dire que tout allait bien et de ne pas s'inquiéter ? Pendant ces minutes je ne faisais que chercher, je penchais pour celui qui me donnait soit plus d'avantages, ou qui apporterait le moins d'inquiétude pour Stella. J'ai finalement prit une décision.

Mac:"Ça va... C'est juste... Sinclair et cette histoire de ce matin qui me tracasse un peu. Mais ce n'est rien, ne t'inquiète pas, ça va passer, Sinclair va trouver le coupable et il me lâchera les basket..."

Stella:"Écoute, peut-etre que tu devrais parler avec le chef pour lui expliquer... Je suis sur qu'il comprendra moi, il faut juste que tu lui expliques que tu as trop d'honneur pour faire quoi que ce soit avec et apporte-lui des preuves..."

Mac:"Ça ne sert à rien Stella ! Le chef est tetu ! Il ne m'écoutera pas ! Et pour les preuves, c'est raté ! J'ai touché à la boite ou la clé était rangé ! Il y a mes empreintes dessus !"

Le long silence était de retour. Ni moi ni Stella n'osait dire un mot. Elle avait raison d'un sens, car en parler a souvent permis de régler des conflits, mais dans un autre sens, j'ai raison, car je n'ai aucunes preuves à lui apporter. Il y a mes empreintes sur la boite, car je l'ai manipulé. C'est moi qui avait rangé la clé la dernière fois dans cette boite et donc c'est raté pour ce coté là. Stella rompit à mouveau le silence.

Stella:"...Ça va mieux...?"

Mac:"Quoi ?"

Stella:"Tes blessures... Tu me disais qu'elles te faisaent encore mal... Ça va mieux maintenant... ?"

Mac:"Oh... Oui, beaucoup mieux depuis que tu m'as massé... Merci beaucoup..."

Je l'ai laissé replonger dans le silence tout en l'ayant fait sourir. Elle se soucis toujours de mon bien-etre et je lui en suis reconnaissant. Elle faisait ça meme quand nous n'étions pas ensemble. Au bout de quelques années c'était devenu habituelle et j'avais prit la décison de la protéger en guise de remerciements. Certains moments avaient échoué, comme lors de son agression par Frankie, et d'autres fois ça fonctionnait comme en Grèce avec le frère du professeur Papakota.

Nous sommes arrivé devant la scène de crime et étrangement, personne s'y trouvait. Un endroit vide à l'extérieur. Normalement, il y a des policiers qui sécurisaient l'endroits, en plus de Flack qui nous attendait et qui prenait la déposition de témoins qui eux aussi, n'étaient pas là. Je me suis garé, nous sommes sortit et avons prit notre malette. C'était silencieux, avec une ambiance encore plus pesante que durant notre trajet dans l'Avalanche. Nous sommes entré dans la demeure : personne. Nous appellions les membres de l'équipe : personne. Tout était calme. Nous nous sommes donc aventuré en descendant la cave de l'endroit, ayant remarqué que la lumière était ouverte et donc que quelqu'un y était allé.

Quand j'ai mit le pied sur le ciment de la cave, j'ai sentit une vive douleur derrière la tete et je me suis écroulé sur le sol, inconscient.

Oh oh on l'a assommé ? Stella va avoir le même sort ?

Ta fic m'avait manqué