Trahison [Smack, action]

Merci pour cette nouvelle suite, elle est superbe

Un affreux mal de tete. J'ai un de ces affreux mal de tete. J'ai l'impression avoir déjà vécu ça il y a pas longtemps, avec Drew Bedford. Les souvenirs revenaient, non sans etre douloureux, autant physique que psychologique. Que s'est-il passé au juste ? Je n'en sais rien. J'ai toujours les yeux fermés, et donc je ne sais meme pas ou je suis. Je n'entendais pas de bruits non plus, ce qui m'alerta : Stella ! Ou était-elle !? Je ne l'entendais pas parler, pleurer ou gémir, et donc elle n'était surement pas dans la pièce ou dans l'endroit, sauf si elle est inconsciente ou pire... Non, il ne faut pas que je pense ainsi. Elle ne peut pas etre morte. Elle est trop forte et résitante et tete de mule pour mourir. Je ne voudrais pas la perdre ainsi en tout cas... Je dois la retrouver et pour ça, je dois me situer, savoir ou je suis en ce moment meme.

J'ai donc ouvert les yeux et regardait autour de moi. Malheureusement pour moi, mon mal de crâne était assez intense et la lumière assez vive que j'ai du fermer les yeux de nouveau. Mes paupières ont papillonés un peu pour m'habituer à la clareté des lieux et j'ai pu donc bien distinguer l'environnement à laquelle on m'a emmené. Oui, car je ne suis plus dans cette cave de la scène de crime : regardant autour de moi, je m'apperçois que nous sommes dans un endroit pretiquement similaire au laboratoire. Les tables d'analyses avaient été poussé sur le coté et je me trouvais dans le milieux de la pièce à genoux, les bras dans les airs, attachés à des chaines provenant du plafond. Aucunes traces de Stella pour le moment et ça m'inquiétait de plus en plus. J'espérais qu'elle soit dans une meilleure posture que moi en tout cas.

Je ne pouvais pas bouger, meme mes mollets étaient attachés. J'étais mal foutu en fait et je ne crois pas pouvoir me libérer des chaines facilement. J'étais torse nu, un jogging gris à la place de mes pantalons que je portais plus tot, je ne portais pas de chaussures ni de chaussettes. On aurait dit que j'étais devenu un esclave et qu'on m'avait attaché pour ne pas que je m'enfuis. C'était peut-etre le cas d'ailleurs. J'étais devenu l'esclave de mon ravisseur, mais je ne crois pas qu'il cherchera à me faire travailler, simple présentiment. Je continuais d'observer les alentours avec un oeil scrutateur : les couloirs étaient vide de laborantins, et avaient été remplacés par des policiers qui patrouillaient.

Ce que je ne conprenais pas, c'est que les policiers en question me voyaient, mais ne venaient pas me libérer. C'était étrange. Mais j'ai vite su pourquoi lorsque j'ai sentit une douleur vive dans le dos qui m'a fait vivement réagir : j'ai crié. Je venais de recevoir un coup très sec et très douloureux en horizontale dans le dos. C'était des coups de fouets. Je penchais ma tete vers l'avant comme pou reprendre mon souffle et me calmer. Je pouvais voir mes nombreuses cicatrices que Drew m'avait fait il y a quelques temps déjà. Je n'allais pas jouer au faible une nouvelle fois. Je vais faire face à mon ravisseur et lui montrer que je n'ai pas peur. Second coup de fouet, mais cette fois-ci, je ne bronchais pas. Je ne criais pas et je ne montrais pas ma douleur. Il pouvait aller se faire cuir un oeuf ailleurs. J'ai été surpris cependant en reconnaissant mon interlocuteur.

???:"Tsssss, moi qui aurait cru vous garder auprès de notre service, vos actes m'ont fait changer d'avis vous savez Taylor..."

Mac:"Sinclair..."

Une pointe de rage a fait surface alors que je me suis aperçu que Sinclair me torturait, lui à qui, malgré nos dispute, j'avais un profond respect, parce que malgré le travail je savais qu'il m'était pas un méchant homme, quoi que maintenant j'ai un certain doute. Il a bien changé pendant mon absence je trouve. Un homme d'honneur qui, du jour au lendemain, demain aussi pire qu'un criminel et qui torture son employé. D'ailleurs, en parlant d'employés, je me demandais bien ou les autres étaient bien passé, y compris Stella.

Mac:"Ou sont les autres, qu'avez-vous fait de Stella ??!!"

Sinclair:"Ça Taylor, ce ne sont pas des choses qui vous est nécessairement essentiels pour le moment."

J'entends des pas derrière moi : Sinclair s'approche et se plante devant moi plutot que derrière, tenant dans ses mains le fameux fouet qu'il se sert pour me torturer. Il se penche vers mon visage qui commencait à se mouiller de sueur et qui commencait à montrer de la fatigue et sourit. Il me chuchota à l'oreille d'avouer le vol de la clé USB de l'affaire Steele et il me promettait que si ceci fait il arreterait de me torturer. Je n'ai rien dit, je n'ai pas avouer, restant ainsi dans un mutisme qui prouvait simplement que j'allais pas lui dire ce qu'il voulait entendre. Ce dernier me regardait en serrant les dents puis me sourit de nouveau.

Sinclair:"Très bien. Vous vouliez savoir ce que j'avais fait des autres... Et bien je vais vous le dire et meme vous le montrer puisque les images vaut mille mots !"

Il fit un signe à des policiers postés à l'entré de la pièce de me détacher les pieds et les mains. Puis, ils m'aidèrent à me relever et nous sommes sortit de la pièce. J'avais trois policiers qui m'accompagnait pour ne pas que je fasses de conneries et j'avais Sinclair à coté de moi. J'avais un peu de difficulté à marcher et par moment les policiers devaient me soutenir. Mais au bout d'un moment, j'ai pu marcher normalement de nouveau. Nous sommes passé devant une salle vitré et j'ai pu admirer devant mes yeux l'horreur de la situation et j'ai pu savoir jusqu'à quel point Sinclair était singlé.

Sinclair:"Voilà ce qui arrive quand on nie no actes Taylor !"

Dans la pièces, on pouvait voir Don, assis dans une chaise comme les chaises électriques, attaché avec des fils partout sur le corps.... criant de douleur, recevant des décharges phénoménal, puisque le flic qui se chargeait de le torturer, mangeait un sandwich en regardant la scène, souriant....

J'aime beaucoup

J'ai lu les deux fics et je dois dire que c'est trés bien écrit, bravo

vivement que tu nous écrive la suite

Bravo, ta fic est génial !!!
mais, tu vas pas nous les faire mourir, hein parce que sinon je snif... aussi et que lui ont'il fait à notre Stella , bon torturer je sais mais si il l'ont par exemple violée je les

Calme, calme je suis calme ... ZEN :