Me revoilà avec un os smac.
J'aurais jamais cru ça possible n'empêche
Disclaimer: Aucun personnages, ne m'appartiens. Je ne touche rien en écrivant ceci, j'écris pour le plaisir. De ce fait, merci de ne pas copier mes idées
Bon, j'avoue avoir été dur parfois, j'espère que malgré ça, ca vous plaira.
POV Mac Taylor
La fin d’une amitié
Aujourd’hui je te déteste, je te hais, mais au plus profond de moi, j’ai besoin de savoir comment tu vas, ce que tu deviens, j’ai besoin d’avoir de tes nouvelles.
Mais tu n’en donneras pas, tu n’en donneras plus.
Tu as tirée un trait sur notre amitié, mais je commence à me demander si y’a eu un jour une amitié entre nous.
Moi j’aurais tout donné pour toi, pour te réconforter, pour que tu sois heureuse.
C’est ce que font les amis non ? Ils sont là les uns pour les autres ?
Quand tu allais mal j’étais là pour t’épauler.
Quant tu avais un souci, j’étais là pour t’aider.
Quand tu avais envie de parler, j’étais la pour t’écouter.
Au fil des semaines, avec tes bonnes paroles, je me suis rapproché de toi, nous étions proche, très proche, trop même. J’ai alors cru que je pouvais tout te donné.
Alors je n’ai pas hésité une seule seconde.
Je croyais que toi et moi, malgré les kilomètres qui nous séparaient, nous pourrions toujours rester amis.
Mais je me suis trompé.
Tu t’es trouvé une excuse pour mettre un terme à notre amitié et ca m’a fait très mal.
J’en souffre encore.
Tous les jours, je me demande ce que j’aurais pu faire pour éviter ca.
J’ai beau retourné le problème dans tout les sens, je ne trouve pas ce que j’aurais pu faire.
Ce que je sais c’est que j’aurais jamais du te faire autant confiance.
Toutes ces belles paroles que tu m’as dites, les as-tu seulement pensés ou c’était juste pour mieux m’enfoncer ce couteau que tu as planté dans mon cœur et qui tous les jours saigne davantage ?
Le pire dans tout ca c’est que je ne sais pas si je dois en rire ou en pleurer.
En rire parce que je le savais. Je savais qu’une fois loin de moi, plus rien ne serait comme avant. Qu’on s’enverrait deux trois texto et qu’à force, tu ne donnerais plus aucune nouvelle.
Je le savais, mon être tout entier me le criait. Mais j’avais confiance en toi, tu m’avais juré qu’on garderait le contact. Je t’ai cru. J’étais bien con d’y croire, la preuve.
Ou en pleurer car je comptais beaucoup sur ton amitié. J’avais besoin de ton soutien, de tes conseils, de ta présence à les cotés.
Mais tu en as décidé autrement.
Ta vie n’est pas ici, mais dans un autre état. Mais depuis quand ne pas habiter dans le même état empêche de rester amie ?
Tu m’as déçu, tu m’as trahi. Oui trahi, je t’ai tout donné, absolument tout et tout m’est retombé dessus.
J’essaie d’avance, de me relever mais ce n’est pas chose facile.
Tu m’as dis qu’il fallait toujours ce méfier des gens, je suppose que tu parlais de toi.
Que j’aurais du me méfier de toi, que je n’aurais pas du abaisser cette barrière qui me protégeais.
Oui j’ai changé, tu m’as changé mais c’était sans doute pour mieux me détruire par la suite.
Je voudrais t’oublié. Oublié les moments qu’on a vécus.
Je voudrais juste pouvoir oublier ton prénom et tourner la page.
Mais je n’y arrive pas. Un rien me fais penser à toi.
Je me demande si un jour je pourrais t’oublier.
Oublié le mal que tu m’as fais et pouvoir ne plus verser de larmes pour toi, car tu ne le mérite pas.
Tu ne mérites pas qu’on pleure pour toi.
Mais je ne peux pas m’en empêcher.
J’ai mal et tu es la cause de ce mal.
Aujourd’hui, je pleure toujours notre amitié perdue.
Je me demande même si j’arriverais à ne plus pleurer pour ca.
Mais pour le moment, les larmes coulent et je ne peux pas les arrêter.
J’ai envie de crier, de hurler que je te déteste, que je te hais, mais je n’y arrive pas.
J’espère qu’un jour une de tes amies te fera souffrir autant que je souffre maintenant.
Comment après ca ne pas se méfier des gens que l’on rencontre ?
Ce soir, je voudrais creuser un trou profond et m’y enterré.
Rester caché le temps d’oublier.
Puis, je pourrais pleurer toutes les larmes de mon corps sans que personne ne remarque rien.
Car ce soir comme tous les soirs, je vais encore pleurer…
Fin