La révélation [os Jac]

I have an answer for you: je pense que c'est faisable

MEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEERCI

Mais de rien

je pense qu'en deux mois, je serais en mesure de faire quelque chose de correct pour que tu aies un joli cadeau

Merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii Ma Cassis' fan

J'ai hâte d'avoir cettttttttttttttttttttttttttttttttttttttte longueeeeeeeeeeeeeeeeeee suittttttttttttttttttttte

Ben écoute, de rien

Contente que ça te fasse plaisir

Ouais, je sais, ça fait une éternité que je n'ai pas posté de suite. Sans doute que ma fic est tombée aux oubliettes mais bon, je mets la suite quand même au cas où ça intéresse quelqu'un.

Bonne lecture


Mac avait attendu le retour de Jo avec beaucoup d’impatience. Il avait confiance en elle et en son équipe : il savait qu’avec les informations qu’il lui avait fournies, ils ne tarderaient pas à avoir des pistes concernant son agresseur. Quelle ne fut pas sa joie lorsqu’il vit le Lieutenant Danville qui arborait un magnifique sourire. Il se mit deux secondes à penser qu’elle était vraiment très belle et rayonnante. Il secoua rapidement la tête afin de remettre de l’ordre dans sa tête et avoir les idées claires. Voilà qu’il pensait à une femme au lieu de se concentrer sur l’enquête en cours dont il était l’élément central. Le geste n’échappa pas à la principale intéressée :
- Quelque chose ne va pas Mac ?
- Non non, ne t’en fais pas, tout va bien. Ce n’est rien. Alors, tu as du nouveau pour moi ?
- Toi alors, tu ne perds pas une minute. Et bien, tu vas être ravi d’apprendre que le 4x4 appartient à un certain Spencer Morrison, 35 ans et arrêté à de multiples reprises pour violence. Ce nom te dit quelque chose ?
- Je t’avoue que ça ne me dit rien du tout comme ça, au premier abord.

Un silence pesant commença à s’installer mais Jo ne le laissa pas perdurer :
- C’est pas grave. On a trouvé autre chose sur notre gars. Ca n’a pas été facile mais Danny a finalement pu trouver une adresse : 14 rue P atterson Drive. Lui et Don s’y rendent en ce moment-même.
- Très bien. Il faut que je sorte d’ici immédiatement. Je veux assister à l’interrogatoire…
- Mac ! Tu plaisantes j’espère ! Tu viens à peine de te prendre plusieurs balles et tu es encore faible. Il est hors de question que tu ailles où que ce soit en dehors de ce lit d’hôpital. Tu m’entends ! Je me suis bien fait comprendre ?
- Mais…
- Il n’y a pas de mais qui compte Mac. Tu resteras ici, à point c’est tout et ce n’est pas négociable.
Mac sourit : Jo avait un sacré répartie et un sacré caractère. Néanmoins, il devait avouer que ça ne lui déplaisait pas… bien au contraire.
- Bon, c’est d’accord. Je n’irais nulle part Docteur Danville, ne t’en fais, lui dit-il tout en plaisantant.
- J’aime mieux ça, répondit Jo dans un sourire. J’ai déjà failli te perdre une fois et je ne tiens pas à renouveler l’expérience.

Ces paroles étaient sorties toutes seules, sans que Jo ne s’en rende compte. Maintenant, elle se sentait horriblement gênée d’avoir dit ça tout haut. Cependant, Mac ne semblait pas dérangé par ces propos, bien au contraire, et pourtant, il ne pouvait pas ne pas les avoir entendus. Sans doute croyait-il qu’elle avait peur juste pour un collègue et rien de plus. En attendant, il lui souriait et il lui sembla même qu’il la regardait avec tendresse. Non, elle devait se faire des idées et voir ce qu’elle avait envie de voir. Parce que oui, Jo Danville était tombée sous le charme du Lieutenant Mac Taylor dès la première fois qu’elle avait croisé son regard. Ça faisait sans doute cliché mais pourtant, c’était la pure vérité. Mais, elle ne pouvait pas se permettre à se laisser aller à de tels sentiments et à de telles considérations. Elle venait à peine d’arriver et ce serait très mal venu de sa part de vouloir entreprendre quelque chose avec lui. Pour qui la prendrait-on ? Sa crédibilité en prendrait un sacré coup. Déjà que ce n’était pas facile de remplacer le Lieutenant Stella Bonasera, femme appréciée de tous ici, ce n’était pas le moment de tendre le bâton pour se faire battre.

Elle fut sortie de ses pensées par la voix de Mac qui lui demanda :
- Tu pourrais encore faire une petite chose pour moi ?
- Bien sûr. De quoi s’agit-il ?
- Tu pourrais venir me faire un rapport détaillé de l’interrogatoire de ce Spencer Morrison ?

Elle fut soulagée qu’il ne parle pas de ce qu’elle venait de lui dire quelques secondes auparavant :
- Ne t’en fais, je comptais le faire de toute façon.

Sur ce, elle tourna les talons et s’en alla.

Mon cadeauuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu avant l'heure

J'adooooooooooore Jo, elle peut faire faire ce qu'elle veut à Mac et je dois dire, que j'adore ça
Elle l'oblige à rester à l’hôpital et peu aurait pu le faire.
Gooooooooooooooooooooo Jooooooooooooooo

Une autre suite de prévue rapidement Ma Cassis' fan?

Merci Zat pour superbe cette suite .

Ca a valu le coup d'attendre J'adore jo qui veut pas que Mac assiste à l'interrogatoire. Elle s'occupe déjà très bien de Mac...

Jo power

Greisa a écrit:

Mon cadeauuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu avant l'heure

ah non, un cadeau avant l'heure est un cadeau qui ne compte pas!!!! Il te faut un cadeau à l'heure et même pour la peine un autre précadeau/suite avant l'heure et un cadeau/suite à l'heure

Je vais pas te contredire Pari alors

Donc Ma Cassis' fan, ils nous fait encore une suite avant le jour-J et une le Jour-J

Merci pour vos gentils comms les filles

Pour le reste, je ne sais. J'ai déjà énormément de mal à écrireune suite et en plus, je ne suis pas super motivée. Dpnc, je ne préfère ne rien vous promettre.

zat j'adore énormément ta fic je viens de lire tout d'un coup et j'espère sincèrement que tu nous feras une suite
JO qui à des sentiments pour mac et vice versa
j'espère que l'interrogatoire va bien ce dérouler que celui qui à fais ça moississe en prison c'est tout ce qui m'hérite et encore ...
Vivement

Merci pour cette suite Zat
J'adore Jo
elle est trop protectrice avec Mac et c'est géniale
Cette suite était géniale
Hâte de lire la suite !!!!

Merci pour tous vos comms, ils me font vraiment super plaisir

Comme on est en automne, je vais un petit dépoussiérage et je vous poste une suite

Bonne lecture, ou pas

Jo et Flack se trouvaient en salle d’interrogatoire face à l’homme qui avait tiré sur mac. Malgré tous leurs efforts, il n’était absolument pas décidé à leur expliquer les raisons de son acte. Les deux lieutenants commençaient à s’impatienter :
- Bon, de toute façon, déclara Jo, tu vas finir tes jours en prison, étant donné ton casier judiciaire qui est long comme le bras.
- Et ton nouvel « exploit » qui vient de s’ajouter à ton CV ne va pas arranger ton cas, continua Flack. Donc, deux options restent possible : soit tu craches le morceau soit je m’arrangerais pour qu’à côté de ton déménagement définitif en taule, l’enfer soit le pays des Bisounours. A toi de choisir mon vieux.

Le sourire qu’affichait Spencer depuis le début disparu aussitôt suite à la déclaration de Don :
- Ok, on se calme, pas besoin de s’énerver comme ça. Je vais tout vous dire. Si j’ai tiré sur ce fumier…
- Ëtre assis dans cette pièce ne t’autorise pas à être grossier et à parler aussi mal, le coupa Jo, excédée par de tels propos.
- Bon, je reprends alors. Si j’ai tiré sur « monsieur le Lieutenant Mac Taylor », ça vous va comme ça ?, c’est parce qu’à cause de lui, ma vie est un véritable enfer. Il m’a volé l’amour de ma vie.
- Comment ça ? firent Jo et Flack, à l’unisson, ne comprenant plus rien.
- Il sortait avec la femme que j’aimais depuis le collège. Ca allait enfin aboutir entre nous deux mais non, il fallait qu’il entre en scène sur son beau cheval blanc !!! Après ça, elle n’a plus eu d’yeux que pour lui. C’est comme si je n’existais plus alors que lui, il avait toute son attention. Quoi que je fasse, ce n’était jamais assez. Si vous saviez à quel point j’ai pu le haïr et que je le hais encore.
- Vu le nombre de balles qu’il a reçu, je pense qu’on a compris, rétorqua Jo avec ironie. Mais pourquoi ne pas aller lui parler plutôt que d’opter pour une solution aussi radicale ? Ce n’est pas comme ça que cette femme serait revenue à vous.
- Parce que je voulais qu’il souffre autant qu’elle a souffert lorsqu’ils se sont séparés. D’autant qu’après ça, elle n’a rejeté de plus belle parce que j’osais critiquer monsieur Parfait. C’en était trop, j’ai craqué, il fallait qu’il paie le prix fort !!! Je l’ai suivi pendant des semaines afin de connaître par cœur son emploi du temps. Après, ça a été un jeu d’enfant : j’ai attendu patiemment qu’il sorte de son bureau et quand il a été assez loin du labo, toute la rage que j’avais en moi a éclaté et je lui ai vidé mon chargeur dans la poitrine. Ca m’a fait un bien fou, je l’ai abattu comme un chien. Il n’a eu que ce qu’il méritait !!!
- Désolée de vous décevoir mais, le Lieutenant Taylor a survécu à ses blessures. Il se porte comme un charme lui lança une Jo victorieuse.
- Non !!! C’est pas vrai, c’est une blague !!!!
- On a l’air de plaisanter là, vous trouvez ? répondit Danville d’un ton sec. Non seulement vous avez raté votre coup mais en plus, vous allez payer pour ce que vous avez fait, et pas qu’un peu.
- Mais, vous aviez dit que si j’avouais tout, je pourrais avoir un traitement de faveur.
- Règle numéro 1 : ne jamais croire tout ce qu’un flic vous dit, dit Flack tout sourire.
- Bande de sales traîtres !!! ma vie est fichue !!!
- Oh arrêtez, vous allez nous faire pleurer. Mais, il y a encore une petite chose que vous nous avez pas dite : qui est cette femme qui a eu la chance de ne pas finir avec un type comme vous ?
- C’est…

Waouh!!!!! Le Suspens !


Merci bcp Zat pour cette suite

Rahh c rageant lol!!

Vivement la suite!!

On reste sur notre fin lol!!

Je veux savoir c'est qui !!!!!!!!!!!!

Finalement tu as réussis Ma Cassis' fan.
Tu as couper au bon moment
Tu peut être fière de toi

Bon maintenant, tu reviens et tu nous dis qui c'est

En tout cas, trés bon suite, qui nous fais réclamer l'autre.
Allerrrrrrrrrrrrrrr une autre

Merci à vous toutes les filles

En effet, on dirait que j'ai bien réussi mon coup et j'en suis fière alors

Tu ne vas pas nous laisser comme ça comme même ? c'est...sadique
en tout cas j'adore comment Flack et Jo font l'interrogatoire ça correspond bien aux personnages de la série

Perso j'pense à Claire même si le nom de Peyton m'ait tout de même venu à l'esprit

Hâte de lire la suite
Bravo ma Zat

Merci beaucoup Ma MacTatan, ton comm me fait super plaisir

Moi? Sadique? Mais non, je vous force juste à vous poser des questions, nuance

Ahahahaha Zat, le suspense je déteste
Cette suite était vraiment géniale
Et la fin mon dieu, je veux savoir qui est la femme.
T'inquiète je vais chercher en attendant patiemment ta suite
Qui s'il te plait je te supplie à genoux peut arriver vite

Merci beaucoup pour cette suite !!!

Me revoici, plus de je ne sais combien d'années après

Ma Mactatan m'a l'autre jour signalé que je n'avais pas fini cette fic^^ Donc, voici une petite suite qui sera très certainement l'avant-dernière. Je sais qu'elle est super courte, mais c'est toujours ça de pris comme on dit ^^

Voilou, bonne lecture

_C’est... Peyton Driscoll
_ Non, le médecin légiste ?! Mais c’est elle qui l’a plaquée, et par lettre en plus ! s’exclama Don sous le regard éberlué de Jo qui ne connaissait rien de cette histoire. De plus, la dernière fois qu’ils se sont rencontrés, elle n’avait plus l’air de souffrir, elle allait même très bien.
_ Par ailleurs, ce n’est pas une raison pour abattre un homme, ce n’est pas comme ça que vous allez la reconquérir cette Peyton. En même temps, ça ne risque plus d’arriver vu que vous allez passer un bon nombre d’années en prison pour ce que vous avez fait au Lieutenant Taylor. Sachez bien qu’on ne s’attaque pas à l’un des nôtres sans en subir des conséquences, et dans ton cas, tu vas les sentir passer, poursuivit Jo.
Morrison allait répliquer, mais Flack lui coupa immédiatement la parole :
_ Même si tu me révulses, sale enflure, je vais te donner un bon conseil, ne t’avise même pas de dire ne serait-ce qu’un seul mot, sinon, je vais de ta vie un enfer encore plus grand qu’il ne l’est déjà ! Tu as compris.
Le regard glacial qui accompagna cette réplique suffit pour que Spencer n’ose desserrer les lèvres. Il se contenta de hocher la tête pour dire qu’il avait saisi le message.

Après avoir laissé cette pourriture à Flack, Jo rentra chez elle. Elle aurait voulu aller voir Mac, mais il était trop tard et les visites n’étaient pas conséquent plus autorisées. C’est donc le lendemain matin qu’elle se dirigea vers l’hôpital pour annoncer à Mac qu’il n’avait plus rien à craindre et pour lui faire un compte-rendu comme elle le lui avait promis la dernière fois qu’ils s’étaient vus.
Elle avait passé une très mauvaise, les propos de Spencer Morrison n’arrêtant pas de lui revenir à l’esprit. Elle n’arrivait pas à croire qu’elle avait failli perdre l’homme qu’elle aimait à cause d’une ancienne relation et d’un homme jaloux.
Pendant qu’elle traversait les couloirs de l’hôpital qui la menaient vers la chambre de Mac, le Lieutenant Danville prit une grande décision. Il lui faudrait du courage pour se lancer, mais elle devait le faire : pour Mac et pour elle. Elle savait très bien qu’au vu des événements, rien ne serait plus jamais comme avant. Certaines étapes allaient devoir être franchies. Maintenant, tout ce qu’elle espérait, ce que tout se passerait bien.

Oh et j'ai bien fais de te le signaler Ma Zat
J'ai relu touuuuuute ta fic pour me la remémorer et j'ai aimé toujours autant que la dernière fois
Cette suite, même petite, est un plaisir
J'ai hâte de connaitre la suite