Titre : La loi du plus fort
Genre : Romantique
Personnage principaux : Jo Danville, Mac Taylor (eh oui encore lol !! Ils sont ma source d'inspiration )
Note : L'histoire commence en 2005.
Disclaimer : Fiction basée sur une histoire pré-existante. Les personnages ne m’appartiennent pas en dehors de ceux que j’ai inventé. Cette fiction est un loisir littéraire écrite à but non lucratif. La loi du plus fort. Ce matin du 25 novembre 2005, Mac était passablement énervé. Une panne de chauffage envahissait le labo alors qu’il faisait à peine 5 degrés C à l’extérieur. Dans son bureau, il planche sur une enquête particulièrement difficile qui pour l’instant ne donne aucun résultat concluant.
Stella arrive
Stella : Salut Mac !
Mac : Bonjour Stella ! Tu n’es pas très matinal ce matin !
Stella : Ben j’avais rendez vous chez le dentiste, je t’en avais parlé !
Mac : Oui, peut être ! Désolé !
Stella : Tu n’as pas l’air dans ton assiette !
Mac : J’avoue que j’aimerais bien qu’ils trouvent enfin d’où vient cette panne.
Stella : Je croyais que tu ne craignais pas le froid !
Mac : Avec des limites !! Là, ça fait trois jours qu’on travail avec une température de dix degrés à peine !
Stella : Je comprends ! Ça commence à m’agacer aussi !
Mac : Puis on piétine sur l’enquête ça me gonfle ! J’aimerais bien qu’on le chope celui là ! Combien va-t-il encore en tuer ce malade !
Le téléphone de Mac sonne.
Mac répond
Mac : Mac Taylor !.....Quoi ? ……Je suppose que je n’ai pas le choix ? …..Comme vous voudrez !
Mac raccroche encore plus en colère.
Stella : Où là !!! Qu’est ce qu’il se passe ?
Mac : Le FBI veut mettre le nez dans notre enquête.
Stella : C’était à prévoir !
Mac : Je déteste bosser avec eux, ils ne sont pas conviviaux pour un clou !
Stella : C’est vrai que quand ils viennent fourrer leur nez dans nos enquêtes, ils nous laissent peu de crédit. C’est leur manière à eux de bosser.
Mac : J’espère qu’ils ne vont pas m’envoyer la même femme que l’autre coup !
Stella : Ah oui, je m’en souviens ! Quelle mégère !
Mac : Bon allez on va rester zen !
Stella : C’est la meilleure chose que nous ayons à faire si on veut résoudre cette enquête.
Mac : Oui !
Stella sort de la pièce et Mac observe un petit cadre posé sur son bureau.
Mac : Ah là là Claire ! Qu’est ce que tu me manques !! Tu savais me redonner le sourire dans toute circonstance. Je demande juste un peu d’illumination dans ma triste vie et malheureusement tu n’es plus là pour m’aider !
Une petite heure plus tard, la sonnerie de l’ascenseur retentie et une petite troupe de cinq personnes sortent.
Une femme : Je le trouve sympa ce labo moi !
Un homme : Ouais, ben eux sont guerre sympa, je te préviens !
La femme : Tu n’es pas un peu dur !
L’homme : Tu en jugera par toi-même. Taylor se prend pour un grand et il a la tête plus grosse qu’un bac à sable !!
La femme : Tu es dur là ! (riant)
La troupe arrive dans le bureau de Mac.
L’homme : Bonjour, Russ Josephson !
Mac : Oui, je me souviens de vous. Bonjour !
Russ : Vous vous souvenez des agents Brook Tucker et Ronny Lemler ?
Mac : Oui, bien sûr ! On a travaillé ensemble il y a trois ans.
Russ : Oui, c’est exact. Je vous présente l’agent Jo Josephson.
Jo tend la main à Mac pour la lui serrée.
Jo : Jo Danville ! Enchanté !
Russ : Et voici Nick Tolman mon bras droit.
Mac ne prête pas vraiment attention à ce dernier et regarde Jo avec assistance.
Mac : Désolé, je n’ai pas assez de chaise, mais je propose aux dames de s’assoire.
Russ : Vous savez pourquoi on est là ?
Mac : Oui, mais j’avoue ne pas comprendre pourquoi ?
Russ : Paul Martins a commis de nombreux crimes. J’estime cela suffisant pour que le FBI s’en mêle !
Mac : Nous sommes un labo compétant !
Russ : Oh mais je ne remets pas en cause votre professionnalisme (ironiquement).
Jo : Il est important qu’on soit soudé pour cette enquête !
Mac : Madame !
Russ : Agent Josephson !
Jo : Russ !! Arrête s’il te plait ! Je suis assez grande !
Mac est perdu. Il ne comprend pas pourquoi un coup c’est Josephson et l’autre coup Danville. Qui est vraiment cette mystérieuse femme qui l’intrigue autant ?
Mac : Excusez moi, je suis maladroit !
Jo : Revenons en aux faits !
Mac : Il se trouve qu’à chaque collaboration, ça a été un succès, mais une ambiance particulièrement pesante. Je vous avoue que j’aime travailler dans la convivialité et le respect.
Jo : L’essentiel c’est le résultat non ?
Mac : Vous savez pourquoi j’aime mon équipe ?
Jo : Je ne vois pas ce que ça vient faire dans notre conversation !
Mac : Je vais vous répondre quand même. J’aime mon équipe pour l’entente et la bonne humeur qui règne au sein de celle-ci.
Russ : Nous ne sommes pas là pour copiner !
Jo : Oui, mais le lieutenant Taylor à peut être raison ! Essayons de s’entendre.
Jo sourit à Mac.
Mac : Merci !
Russ : Pourriez vous me fournir toutes les informations ?
Mac : Il faut que je réunisse tout ça. Mais les dossiers ne peuvent pas sortir des locaux et c’est assez épais.
Russ : Ronny et Nick vont les analyser, moi je pars avec votre équipe sur le terrain avec Jo et Brook.
Jo : Russ, je préfère rester analyser le dossier.
Russ : Et pourquoi ?
Jo : Tu le sais très bien ! (Froidement)
Russ : Très bien ! Ronny vous venez avec moi.
Jo sourit et son regard croise celui de Mac. Celui-ci tourne immédiatement la tête.
Russ et son équipe partent tant dit que les deux autres restent au labo.
Au bout d’un moment.
Jo : Il fait pas un peu froid dans votre labo ?
Mac : Le chauffage est défaillant, mais des techniciens regardent. Vous voulez peut être un café ou un thé pour vous réchauffer ?
Jo : Ah oui, un café, je veux bien.
Mac : Vous me suivez !
Jo : Vous venez Nick ?
Nick : Non, je continu !! Ne vous attardez pas trop Jo ! On a du boulot !
Jo : Oui oui !!
Jo suit Mac
Mac : Café cafetière ou distributeur ?
Jo : Cafetière.
Mac : D’accord.
Jo : Il fait meilleur ici !
Mac : Oui, il y a un petit radiateur électrique.
Jo : Super. Je sens que ça va être grandiose.
Jo enlève sa veste et la pose sur une chaise. Mac lui donne le café et son regard se porte sur son décolleté.
Jo : C’est la première fois que je travaille avec vous. Par contre autant que vous le sachiez car je suis franche, je n’ai pas entendu beaucoup de bien de vous !
Mac : Ça j’imagine bien ! Vous savez Madame….
Jo : Appelez moi Jo !! J’ai horreur qu’on m’appelle « Madame ».
Mac : D’accord Jo ! J’étais sur le point de vous dire que je n’avais rien à envier à votre équipe. Ce ne sont pas des tendres.
Jo : On travaille dans la discipline ! De plus, je ne vous permets pas d’émettre des critiques sur mon équipe.
Mac : Je déteste ce genre de pratique ! Je trouve ça grotesque ! Je suis franc moi aussi et je trouve votre manière de travailler particulièrement agaçante.
Jo : D’après mon supérieur, c’est ce genre de pratique qui permet à une équipe d’être fiable.
Mac : Enfin votre supérieur ! Entre nous soit dit, ça n’a pas l’air d’être que votre supérieur !
Jo : Avec tout le respect que je vous dois, ça ne vous regarde pas ! C’est ma vie privée.
Mac : C’est vrai ! Excusez moi !
Jo : Gardez votre curiosité malsaine pour vous.
Le téléphone de Jo sonne.
Jo : Oui !! …. Je suis à New-York mon chéri, tu le sais très bien !!..... Je sais que tu rêves de visiter cette ville, mais je suis là bas pour y travailler…..Non, ton père n’est pas là pour l’instant…. Je reviens dès que je peux…. Tu es bien avec Mamie. Passe moi ta sœur. Merci…..Ça va ma puce ?..... Super ! Je reviens bientôt ma chérie. Je vous aime très fort.
Jo raccroche.
Jo : Désolé !!
Mac : La famille !! Enfin si ce n’est pas déplacé de vous dire ça !
Jo : Mon fils de 13 ans ne comprends pas pourquoi je ne l’ai pas emmené à New-York.
Mac : Ah ! Les ados !
Jo : A qui le dite vous ! Vous avez des enfants ?
Mac : Non, je n’ai pas encore cette chance.
Jo : Ma fille qui a 7 ans est plus compréhensive que son frère ! Incroyable ! (riant)
Mac : Ça fait longtemps que vous êtes au FBI ?
Jo : Ça fait 7 ans maintenant.
Mac : Etonnant que je ne vous ais jamais vu !
Jo : Ben avant, je ne partais pas en mission dans d’autres états, mes enfants était trop petit.
Mac : Oui, ça se comprend !
Jo : Mais c’est vrai que New-York est une très belle ville.
Mac : Je m’y plais en tout cas. Mais comment pouvez vous avoir une fille de sept ans et avoir intégré le FBI il y a sept ans ? Vous ne faites pas une erreur ?
Jo : Lieutenant, tenons en nous au rapport professionnels et rester en dehors de ma vie privée.
Mac : Oui, j’ai compris toute façon !! Vous savez il n’y a rien de mal à se faire pistonner. Je sais qu’au FBI ça se fait beaucoup.
Jo : Je vous permets pas.
Mac : C’est vrai ! C’était déplacé et ça ne me regarde pas.
Mac fixe Jo, ce qu’elle remarque très vite.
Jo : Quoi ? Vous avez des remarques à faire sur mon physique maintenant ? Je suis trop blanche, trop vieille ou trop moche peut être pour faire partit du FBI ?
Mac : Euh non !! Vous avez juste du café sur le coin des lèvres.
Jo : Ah euh… Ben merci de me le signaler. Si Russ s’aperçoit que j’ai encore bu du café, je vais passé un sale quart d’heure.
Mac : Eh ben ! Vous avez pas tellement de liberté on dirait !
Jo : Je ne vous permets pas de juger !
Mac : Excusez moi !
Jo : Allez je retourne sur mes dossiers parce que je vous trouve vraiment trop intrusif. Le genre d’individu que je supporte pas trop pour être honnête !!
Jo sort et Mac reste dans la salle et la regarde partir.
Mac : Eh mince !! Que idiot !! Sacrée bonne femme en tout cas !!
A suivre