La loi du plus fort (Jac)

super chapitre Aurelle !

Merci les filles !! Voici la suite promise

Chapitre 6

Après une phrase que Mac à dite à Jo et qu’il regrette profondément, il va la voir pour s’excuser, mais ceci n’est pas très concluent. En effet, Mac tente le tout pour le tout en embrassant Jo, mais elle lui offre une gifle en retour. Jo fini par le regretter et décide d’aller rendre visite à Mac. Cette querelle entre nos agents de l’ordre, finit par une partie de poker.

Au bout d’un moment.

Mac : J’arrive quand même à te battre !
Jo : Oui, mais pas autant que moi !
Mac : J’avoue !
Jo : Allez ! J’arrêtes moi !!
Mac : Tu es un adversaire redoutable !!
Jo : Tu as une bonne technique aussi !
Mac : Mais au fait ? Tu es venu me voir uniquement pour le plaisir de me donner la raclé de ma vie au poker ?
Jo : Non, je voulais te parler de ce qui s’est passé tout à l’heure.
Mac : A oui !! Cette raclée là !!! C’était mérité !! J’ai été très maladroit. Je n’avais pas à faire ça. N’en parlons plus s’il te plait !
Jo : Je n’aurais pas dû te gifler, ma réaction était excessive.
Mac : Non, c’est moi, je ne comprends pas ce qui m’ais passé par la tête. Je perdu les pédales.
Jo : Pour moi tu n’as rien fait de mal et si je t’ais gifler c’est parce que je n’ai pas réfléchit et sur le coup j’ai cru que tu te moquais de moi.
Mac : Jamais de la vie. Mais n’en parlons plus. Oublions tout ça ! Tu veux ?
Jo : Non !
Mac : On vient de passer un super moment tous les deux, on peut donc oublier ça non ? Puis ça risque de nous coller au train si on vient qu’à retravailler ensemble.
Jo : Quand tu as apprécié quelque chose, tu veux l’oublier toi ?
Mac : Ben non !!
Jo : Je peux juste te dire quelques mots et te donner mon opinion ?
Mac : Oui, bien sûr !
Jo : Jamais, mais alors jamais un homme ne m’avait embrassé comme ça.

Mac émet un discret sourire.

Jo : C’était super romantique et j’ai tout gâché, j’en suis désolé.
Mac : Ce n’est pas grave je te dis. De toute façon, romantique ou pas, je ne suis pas ton genre d’homme alors !! A quoi bon se prendre la tête ?
Jo : Ah !! Tient donc et quel serait mon genre d’homme d’après toi ?
Mac : Si on pouvait arrêter cette conversation, ça m’arrangerais en fait !
Jo : Pour moi c’est important car j’ai aimé ce baiser, j’y ais pris un immense plaisir et en plus, je me suis prêté au jeu quand tu l’as fait, pas une seconde je t’ai repoussé. J’ai tellement été surprise de ce que tu m’as dit après que je n’ai pas pu m’exprimer. Puis tu es parti très vite aussi.
Mac : T’exprimer sur quoi ?
Jo : Sur le fait que…. Que…. Purée comment dire ça ? Bon allez je me lance !

Jo regarde sa tasse et évite le regard de Mac.

Jo : Tes sentiments son sûrement réciproque, voilà !!

Mac reste stupéfait.

Mac : Sûrement ?
Jo : Oui, voilà ! Je suis d’accord que lorsqu’on s’est serré la main pour la première fois il s’est passé un truc. Comme si on se connaissait depuis longtemps et que nous avions déjà partagé plein de choses. Je ne sais pas comment expliquer.
Mac : Je m’attendais pas trop à ce que tu reviennes me dire ça, mais ça me fais plaisir.

Jo n’ose pas regarder Mac et lui parle en regardant sa tasse.

Jo : Si tu m’embrasses à nouveau, je ne te giflerais pas, promis.
Mac : Parce que tu crois que je vais t’embrasser à nouveau ? (malicieusement)
Jo : Ben…. J’avoue que je serais heureuse que tu le refasses.
Mac : Pourquoi tu ne le ferais pas toi ? Tu m’as giflé je te signale !! A toi de réparer ton erreur.

Jo lève un peu les yeux et le fixe avec un regard provocateur.

Jo : Si c’est moi qui t’embrasse tu ne vas pas t’en relever, je te préviens ! C’est comme pour le poker !
Mac : Regardez moi ça cette prétentieuse.
Jo : Ah ouais !!

Jo pose sa tasse et s’approche de Mac, passe ses bras autour de son cou et l’embrasse passionnément. Mac passe ses mains derrière son dos et savoure l’instant qu’il est en train de passer. Jo détache ses lèvres de celles de Mac et le regarde dans le plus profond des yeux.

Mac : Je reconnais tu es imbattable.

Jo se blottit dans ses bras.

Jo : Qu’est ce qui nous arrive ?
Mac : Je sais pas.
Jo : Je crois bien qu’on est en train de tomber amoureux l’un de l’autre. Voilà ce qui arrive !
Mac : Je le suis déjà moi ! Alors je ne peux plus rien faire.

Jo lève la tête et le regarde.

Jo : Tu l’es déjà ?
Mac : Ben oui !
Jo : Moi aussi ! Tu sais, si j’ai pas toujours été sympa avec toi, c’était aussi pour ces raisons, pour essayer de me persuader que je ne pouvais pas t’aimer mais….
Mac : Il n’y a pas de remède contre l’amour.
Jo : Je crois pas non ! L’amour c’est un peu la loi du plus fort.
Mac : Après, malheureusement je ne sais pas si ça peut marcher, nos vies sont différentes, on vis à des centaines de kilomètre l’un de l’autre
Jo : Oui, 360 kilomètre précisément.

Mac rie.

Jo : Si on ne pensait pas à ça ce soir ? On est bien là non ?
Mac : Très bien même.
Jo : Ton appartement est super chouette en tout cas.
Mac : Je me plais bien.

Jo reste dans les bras de Mac et ils discutent d’eux.

Mac : Mais dit voir ! Jo c’est un diminutif non ?
Jo : Oui !! Mais je n’aime pas mon prénom.
Mac : Tu veux pas me dire ton vrai prénom ?
Jo : Devine !
Mac : Alors je sais pas ! Joyce.
Jo : Non !
Mac : Mary-Joe peut être ?
Jo : Non plus !!
Mac : Alors je sais pas ! Euh !! Johanna ou Johanne.
Jo : Non, mais j’aurais préféré.
Mac : Un prénom français peut être Joëlle ?
Jo : Non !! Mais par contre je porte bien un prénom Français.
Mac : Qu’est ce qui a d’autre !

Mac réfléchit un instant.

Mac : Prénom francophone ! C’est Joséphine !
Jo : Gagné !!
Mac : Joséphine Danville !!
Jo : Je te préviens qu’il faut pas m’appeler comme ça !!
Mac : Tu as des origines françaises ?
Jo : Mon arrière grand père était français. Il a vécu à Paris et à immigré dans l’Alabama pour rejoindre mon arrière grand-mère qu’il avait rencontré en à Paris.

Ils continuent à discuter un peu de leur vie et au bout d’une petite heure.

Mac : Tu veux qu’on aille dans ma chambre ?

Jo le regarde.

Jo : Je veux bien !! (Malicieusement)
Mac : Allez viens !!

Jo et Mac se lèvent et Mac la guide jusqu’à sa chambre.

Mac : Bon c’est modeste mais je m’y plais bien.
Jo : C’est mignon !!
Mac : Et toi tu es trop séduisante (malicieusement) Je ne vais pas résister longtemps.
Jo : Ça tombe bien, j’ai envie que tu me fasses découvrir un peu plus de chose sur toi.

Mac s’approche et l’embrasse. Il ballade sa main le long de son corps et lui déboutonne son jeans. Jo sourit et pousse Mac gentiment. Elle s’assoit sur le lit et descend la fermeture éclair de ses bottes en fixant Mac avec un regard provocateur. Elle laisse ses bottes au pied du lit et se couche sur le lit en souriant. Mac retire son tee-shirt et la provocation de Jo l’attire de plus en plus. Il grimpe sur le lit à son tour et l’embrasse fougueusement. Le couple se noie dans le désir et les caresses se multiplient et les vêtements restant volent dans tout les sens.

Une fois leurs ébats terminés.

Jo : J’ai froid !!
Mac : Viens sous la couette et blottit toi dans mes bras, ça ira mieux.

Jo se faufile sous la couette.

Jo : Oui, en effet.

Mac serre Jo dans ses bras.

Mac : T’es douces.

Jo : Tu embrasses bien, tu fais bien l’amour. Il y a d’autres choses intéressantes à découvrir chez toi ?
Mac : Qui sait !
Jo : J’ai passé un super moment.
Mac : Oui, c’était super. Tu es divine.
Jo : Merci !
Mac : Il est déjà trois heure et quart. Tu passes la nuit avec moi ?
Jo : Si tu veux ! Dit voir, tu sais que je rentre demain en Virginie ?
Mac : Ouais je sais ! C’est bête !
Jo : On va faire quoi ? C’était juste pour cette nuit tout ça ?
Mac : J’ai eu un véritable coup de foudre pour toi Jo et j’aimerais vraiment qu’on aille plus loin mais c’est vrai que ça risque d’être compliqué !
Jo : Oui, tu as ta vie ici et moi à Washington !
Mac : Si tu veux, on peut se voir le week-end et voir comment ça se passe !
Jo : Pourquoi pas ? Un week-end sur deux je viens ici et toi tu viens les autres week-end.
Mac : Parfait ! Du coup on est ensemble ou pas ? C’est bête comme question je sais.
Jo : Je sais pas trop !! J’ai un peu peur de souffrir en fait !
Mac : Je comprends pas trop !
Jo : J’ai pas trop envie qu’on se fasse de belles promesses. L’idéal pour moi serait qu’on profite des moments où on est ensemble.
Mac : Ça me convient.
Jo : Super ! Tu vas devoir me supporter de temps en temps alors !!
Mac : Alors déjà qu’en agent fédéral c’était horrible alors là ! Dans quelle galère je me mets ? (ironiquement)

Jo le tape sur le bras.

Jo : Méchant !
Mac : Tu ne disais pas ça il y a une demie heure.

Ils éclatent de rire.

Ils passent le reste de la nuit dans les bras l’un de l’autre.

A suivre

Chapitre 7

Jo et Mac ont réussi à mettre leurs querelles de côté et s’avouer enfin leurs sentiments réciproques. Ils finissent ainsi par passer la nuit ensemble.

Au petit matin, Mac apporte un petit déjeuner à Jo.

Mac : Bonjour ma douce.

Jo étire ses bras.

Jo : Bonjour !!!

Elle se penche un peu et fait un tendre bisou à Mac.

Mac : Tu as bien dormi ?
Jo : Agréablement bien. Ça faisait tellement longtemps que je n’avais pas dormi dans les bras d’un bel homme !
Mac : Je peux te dire un secret ?
Jo : Je t’écoute !
Mac : Tu es la première femme avec qui je couche depuis le décès de claire.
Jo : Quoi ? Tu plaisantes ?
Mac : Non !
Jo : Mais comment ça se fait ?
Mac : Je n’arrivais pas trop à trouver un intérêt particulier. Je devais rester fidèle à ma femme, c’est tout.
Jo : Mais pourquoi moi ?
Mac : Je ne sais pas. Je te dis un coup de foudre. Mystère. C’est de ta faute aussi, tu n’as cas pas être aussi séduisante !

Jo rigole.

Jo : Ce petit déjeuner est parfait.
Mac : Pour une femme parfaite.

Jo : Alors le week-end prochain tu viens chez moi ?
Mac : Avec plaisir, mais tes enfants ?
Jo : Je ne suis pas une sainte Mac !! Mes enfants on déjà vu des hommes chez moi. Bon attention, je ne dis pas que c’est souvent, mais ils en ont déjà vu.
Mac : Dois-je m’inquiéter ?
Jo : Aucun risque ! Toi je te garde.
Mac : Ok, je viendrais. Par contre, j’ai pas trop envie de venir en voiture. Tu pourras venir me chercher à l’aéroport ?
Jo : Avec plaisir. On se téléphone de toute façon.
Mac : Oui !

Jo finit son petit déjeuner puis se rhabille.

Mac : Tu veux que je te raccompagne ??
Jo : Non, je vais prendre un taxi, tu risques d’être en retard et moi, je préfère pas trop qu’on me voit avec toi. J’ai vraiment pas envie qu’on me bombarde de questions.
Mac : Ok !
Jo : Merci pour cette super nuit.
Mac : Merci d’être revenu me voir hier soir.
Jo : Oui, j’ai bien fait.

Jo embrasse Mac et ils sortent de la chambre.

Elle enfile son manteau et met son écharpe qu’elle n’a plus envie de quitter.

Jo : A bientôt.
Mac : A très bientôt.

Jo embrasse Mac et s’en va. Mac est heureux et Jo folle de joie.

Deux heures plus tard, Mac arrive à son bureau plus souriant que jamais.

Stella : Eh ben tu es de bien bonne humeur ! Le départ des fédéraux te rend si joyeux ?
Mac : Ben je me sens mieux quand ils ne sont pas dans nos pattes !
Stella : C’est vrai qu’ils sont pas très conviviaux. J’ai juste réussi à échanger quelques mots sympas avec L’agent Danville, mais les autres !
Mac : Oui, tu as raison !
Stella : J’ai cru comprendre que tu avais eu une altercation avec elle. Ça s’est arrangé ?
Mac : Oui, ne t’en fais pas !!
Mac pense : Mieux que tu ne le crois !
Stella : Bon ben c’est cool ! Car franchement je pense qu’elle est moins arrogante que ce que tu peux croire. On a discuté en prenant un café et elle a un sacré vécu cette femme. Tu sais qu’elle a adopté sa fille dont la mère biologique est une femme qu’elle a arrêtée ?
Mac : Ah euh non !
Stella : Elle a récupéré cette petite pour qu’elle ne finisse pas à l’orphelinat.
Mac : Très beau geste en effet.
Stella : Tiens, voilà Danny, j’y vais !
Mac : Ok !!

Mac se perd dans ses pensées et repense à cette merveilleuse nuit.

Dans l’après midi le téléphone de Mac sonne. Mac répond.

Mac : Mac Taylor !
Jo : Salut toi !
Mac : Salut ! Tu es arrivé ?
Jo : Oui et je pense à toi très fort et tu me manques déjà.
Mac : Tu me manques aussi, mais je suis heureux.
Jo : Oui, moi aussi.
Mac : J’ai réservé mon billet d’avion pour vendredi soir, j’arrive à vingt et une heure.
Jo : Parfait !
Mac : Je vais pouvoir découvrir tes talents culinaires.
Jo : Je pense que tu ne seras pas déçu.
Mac : C’est vrai. Tu es bonne cuisinière ?
Jo : Je me débrouille !
Mac : Super !

Stella et Danny voient Mac papoter au téléphone en gardant le sourire.

Danny : Je le trouve bien heureux moi !!
Stella : En effet !

Le vendredi, Mac arrive à l’aéroport. Jo le voit et lui fait signe.

Mac : Eh ben tu es à l’heure.
Jo : Toujours. Embrasse-moi !
Mac : Avec grand plaisir.

Mac embrasse Jo tendrement.
Mac : J’ai beaucoup pensé à toi. Il me tardait ce week-end.
Jo : Oui, moi aussi !! Je suis trop heureuse qu’on passe le week-end ensemble.
Mac : Moi aussi.
Jo : La semaine prochaine si tu veux, je peux venir à New-York. Tyler est chez son père et ma mère me garderait Elie pour le week-end.
Mac : Ben écoute, avec grand plaisir.
Jo : Super !!
Mac : Tes enfants sont au courant ?
Jo : Oui, je leur ai dit qu’un ami passerait le week-end à la maison, mais ils ne sont pas bête, ils ont déjà compris !

Mac sourit.

Le week end se déroule à merveille et le week-end qui suis, Jo va chez Mac comme convenu. Le week end d’après il n’est pas possible pour Mac de se libérer mais ils prévoient de se revoir le week end suivant.

Quelques jours plus tôt, Jo est assise sur le bord de sa baignoire complètement déboussolée. L’après midi même, elle décide d’aller voir un médecin.

Le médecin : Vous venez pour votre contrôle annuel ?
Jo : Non, je suis enceinte.
Le médecin : De combien de temps ?
Jo : Je ne sais pas.
Le médecin : Ok !
Jo : Autant vous le dire tout de suite, ce n’est pas une grossesse volontaire. D’ailleurs, je prends la pilule. Je ne comprends même pas comment ça a pu arriver.
Le médecin : Vous prenez cette pilule depuis longtemps ?
Jo : Depuis la naissance de mon fils il y a treize ans.
Le médecin : Soit elle ne vous convient plus ou alors vous avez peut être pris des antibiotique. Où vous l’avez peut être oublié ?
Jo : Non, je n’oublie jamais et je prends des antibiotique très rarement, je ne suis presque jamais malade.
Le médecin : Bon ben on va déjà regarder de quand date ce début de grossesse.

Jo s’installe et le gynéco regarde.

Le médecin : En tout cas, il y a bien un embryons, tout est normal et la grossesse date d’il y a cinq semaine. Approximativement au alentour du 27 novembre à 3 jours près.
Jo : 27 novembre vous dites ?
Le médecin : Oui, mais pour vous donner une tranche, votre grossesse a débutée entre le 23 et le 30 novembre.
Jo : Mince !! (Agacé)
Le médecin : Qu’est ce qui ce passe ?
Jo : Non rien !
Le médecin : Très bien. Vous pouvez vous rhabiller.

Jo va se rassoire

Jo : Docteur !
Le médecin : Oui !
Jo : Je ne souhaite pas poursuivre cette grossesse.
Le médecin : C’est votre choix, vous êtes libre.
Jo : J’aimerais que la date de l’avortement soit programmée au plus vite.
Le médecin : Très bien. Je suis obligé de laisser une semaine de battement. je peux réserver un bloc pour le 15 janvier. C’est dans 10 jours.
Jo : Très bien. Merci !
Le médecin : Vous savez que vous n’êtes enceinte que de cinq semaines et que vous avez droit à un délai de réflexion ! Je me permets de vous le dire car certaine femme prennent des décisions un peu trop hâtive et le regrette très vite.
Jo : Oui, mais là c’est trop compliqué !! C’est tout réfléchit, j’ai déjà deux enfants, j’ai un métier à haut risque, donc non, je préfère pas.
Le médecin : Comme vous voudrez.

Jo repart toute chamboulée. Elle n’avait pas fait grand-chose de mal mais elle avait l’horrible impression d’avoir commis un crime. Ce n’est pas le fait de mettre fin à cette grossesse qui la travaillait mais quelque chose de beaucoup plus compliqué.

A suivre

c'est pas Mac le papa????????
la suite pour quand???????????????

ohhhhhhhhhhhhhhhhh géniale tes deux suites!! J'adore !!!

Chapitre 8

Jo vient d’apprendre qu’elle est enceinte et après avoir consulté un médecin, elle affirme au médecin qu’elle souhaite avoir recourt à l’avortement.

Le lendemain, Mac reçoit un coup de téléphone.

Mac : Bonjour ma chérie !
Jo : Salut Mac ! Je t’appelle pour te dire, je suis désolé mais je ne pourrais pas venir ce week-end. Elie est malade !
Mac : Oh mince !! Ce n’est pas trop grave au moins ?
Jo : Non, je t’assure.
Mac : Si tu veux, je peux venir moi !
Jo : Mac ce n’est pas la peine !! Je ne pourrais pas vraiment d’accorder de temps.
Mac : Ok, ben on reporte ça au week-end prochain !
Jo : Oui, on fait comme ça !
Mac : Je croise les doigts pour qu’il y ai pas d’empêchement cette fois ci ?
Jo : C’est un reproche ?
Mac : Mais non !! Bien sûr que non, mais ça fait trois semaines qu’on ne s’ait pas vu et tu me manque, c’est tout.
Jo : Tu me manques aussi mais on ne fait pas toujours comme on veut !!
Mac ; Je sais bien !
Jo : Je vais devoir te laisser.
Mac : D’accord. Je t’embrasse.
Jo : Moi aussi.

Jo raccroche et les larmes commencent à rouler le long de ses joues. Elle commence à se parler à elle-même.

Jo : C’est pas vrai ! Je suis ignoble !!!

Jo passe le week-end à se morfondre. Elle se demande comment elle va pouvoir affronter l’homme qu’elle aime. Le week-end suivant elle doit le revoir alors que l’avortement est prévu le mardi d’après. Elle se demande comment elle pourra passer un week-end en entier avec lui en ne lui disant rien. Mac se rendrait sûrement compte que quelque chose ne va pas !

Jo réfléchie toute la semaine de la manière dont elle va bien pouvoir faire pour rester avec Mac sans qu’il ne se doute de rien. Pour elle, il est complètement impossible de lui avouer sa grossesse, surtout qu’elle ne souhaite pas garder le bébé.

Le week-end suivant arrive, Jo annule à nouveau son week-end en lui envoyant un simple sms « désolé pour ce week-end mais c’est pas possible. Je t’embrasse ». Mac est très deçu.

Stella arrive dans le bureau et voit Mac très préoccupé.

Stella : Oh là ! Tu m’as l’air préoccupé toi ! Et ce n’est pas à cause du boulot à mon avis !
Mac : Qu’est ce qui te fait dire ça ?
Stella : La tête que tu as en ce moment.
Mac : Ce n’est pas très grave.
Stella : Tu sais que je suis ton amie Mac !
Mac : Tu crois toi aux histoires d’amour à distance ?
Stella : Ben écoute, je pense que ça peut marcher un temps, mais après il y a forcément un moment donné où ça ne marchera plus.
Mac : Oui, c’est ce que je me dis !
Stella : Pourquoi cette question ?
Mac : Oh rien ! J’ai fait une rencontre mais cette femme habite assez loin et je pense que je vais dans le mur avec elle.
Stella : Pourquoi ?
Mac : Ça fait deux week-end qu’on doit se voir, mais elle annule. Le premier, elle avait une excuse solide, mais le deuxième week-end, elle me dit juste par un petit sms qu’elle ne pourra pas me voir.
Stella : Oui, c’est peut être une situation qui ne lui plait pas et elle n’ose pas te le dire.
Mac : Je pense que c’est ça ou alors elle a rencontré quelqu’un d’autre.
Stella : Tu crois ?
Mac : Tu sais, c’est une femme qui est vraiment très belle. Je pense que ce n’est pas impossible !
Stella : Tu l’aimes vraiment ?
Mac : Ecoute, je ne sais pas trop quoi répondre. Oui, elle me plait vraiment et je suis vraiment peiné de ne pas la voir ce week-end. Je crois que j’ai des sentiments très fort pour cette femme.
Stella : Appelle là et demande lui des explications.
Mac : Ouais. Tu as raison, je vais faire comme ça. Merci !

Stella sort du bureau et Mac essaie de joindre Jo, mais tombe systématiquement sur le répondeur.

Le week-end passe et Mac n’arrive toujours pas à joindre Jo malgré les messages qui lui a laissé. Il commence à se dire que Jo ignore ses appels et qu’elle veut mettre fin à leur relation. Il ne sait pas vraiment si il doit insister ou laisser tomber.

Sans vraiment se justifier, Jo prend un congé maladie de trois jours, ce que Russ trouve assez étrange. Il connait très bien son ex-femme qui n’a jamais ratée un seule jour de travail pour cause de Maladie.

Le lundi soir. Jo arrive à l’hôpital.

Le médecin : Bon on va faire une dernière échographie qui est obligatoire et demain on procédera à l’IVG.
Jo : D’accord.

Le médecin fait l’échographie.

Le gynéco : Bon ben parfais, tout va bien. Votre IVG devrait se faire sans complication.
Jo : Attendez, je peux le voir ?
Le gynéco : Oui, bien sûr !

Le gynéco tourne l’écran vers Jo.

Le gynéco : Le voilà !! On voit son petit cœur battre. Les petits bras et les jambes là.
Jo : Il se forme déjà !
Le gynéco : Oui ses doigts et ses orteils se forment déjà et les oreilles aussi.

Jo fixe l’écran.

Jo : Dites-moi docteur ! Qu’est ce que vous pensez de l’IVG ?
Le gynéco : Vous savez, je n’ai pas trop droit de donner mon opinion là-dessus. Parfois c’est une bonne option, mais d’autre fois, c’est une solution de facilité je dirais, mais je vous en ai déjà trop dit, je dois rester neutre normalement.
Jo : Vous avez raison dans ce que vous dites en fait !! Parfois c’est une solution de facilité pour pas assumer.
Le gynéco : Vous pensez que vous avorté par facilité ou est-ce vraiment à cause de votre travail ?
Jo : La situation est un peu compliquée et je crois qu’effectivement ça serait plus facile pour moi d’avorter. Mais c’est une pratique que moi-même je critique et je m’apprête à faire la même chose. C’est vrai que quand on avorte parce qu’on est malade, trop jeune ou trop âgé, je peux comprendre mais là, je pense que la raison pour laquelle j’avorte n’est pas vraiment justifié. Je pense que je fais plus ça pour me débarrasser d’un problème et j’ai tellement honte car je parle d’un être vivant là !! Un petit être qui n’a rien demandé à personne.
Le gynéco : Vous savez Madame Danville, je ne suis pas vraiment le mieux placé pour vous conseiller mais si vous le souhaitez, d’ailleurs on le recommande beaucoup aux femmes qui sont beaucoup plus jeune, vous pouvez rencontrer le psychologue de l’hôpital.
Jo : Non, je ne veux pas trop rencontrer de psychologue.
Le gynéco : Comme vous voudrez. Je suis désolé mais je ne peux pas plus vous aider. Ce n’est pas à moi de vous dire si vous devez renoncer à cette grossesse ou pas !
Jo : Vous avez raison, je dois prendre moi-même cette décision et ce n’est pas à vous ni un psy de m’orienter. Je sais que l’opération est imminente, mais est ce que je peux encore renoncer à cet IVG ?
Le gynéco : Oui, bien sûr ! Ce n’est pas un problème. Ne vous inquiètez pas, beaucoup de femme change d’avis au moment de la dernière échographie.
Jo : Le bébé se forme, je ne peux pas faire ça. Puis il faut que j’assume mes responsabilités. Avorter n’est pas une solution. Je crois en fait que ma réaction est égoïste. J’avorte pour trouver une facilité et ce n’est pas la solution. Je vais assumer et élevé cet enfant.
Le gynéco : Ben je ne connais pas votre histoire, mais le papa n’a pas d’opinion par rapport à ça ? Il pourra sûrement vous aider ! Sans vouloir me mêler de ce qui ne me regarde pas.
Jo : Justement, c’est un peu gênant ce que je vais vous dire mais… En fait, vous m’avez dit que ça datait du 27 novembre à 3 jours près.
Le gynéco : C’est exact. Ça peut-être dans les trois jours avant ou les trois jours après cette date. Donc si vous préféré la fécondation à eu lieu entre le 24 et le 30 novembre.
Jo : Le 24 inclus ?
Le gynéco : Absolument !
Jo : Le souci que j’ai aujourd’hui, c’est que du 25 au 30 j’étais à New York et j’ai fait une rencontre là-bas. Je m’en rappel qu’on a couché ensemble la veille de mon départ donc le 29. Mais la veille de mon départ pour New-York donc le 24 novembre, j’ai eu une petite aventure avec un homme.

Jo se cache le visage

Jo : Pour qui vous devez me prendre !
Le gynéco : Je ne suis pas là pour vous juger et de plus, si vous êtes célibataire, vous êtes libre. Mais bon en effet, c’est un souci car compte tenu des dates, je ne peux pas vous affirmer qui est le père de cet enfant. Il y a que six jours de battement donc pas possible d’être affirmatif. Je pourrais vous induire en erreur. Après, sans vouloir m’introduire dans votre vie, si c’était des simples aventures, il n’est peut être pas utile d’en faire une montagne. Surtout si vous êtes sûre que le père ne s’impliquera pas.
Jo : Sauf que pour l’un oui c’était qu’une connerie après une soirée bien arrosée, mais pour le second, c’était sur une vraie histoire d’amour, un homme que j’aime toujours. Donc si jamais c’est lui le père de mon bébé j’aimerais vraiment le savoir et pour l’autre homme c’est compliqué aussi !
Le gynéco : En effet, compliqué votre histoire !
Jo : Il y a possibilité de faire un test de paternité pendant ma grossesse ?
Le gynéco : Oui, mais c’est très risqué pour le bébé. Je vous conseil vraiment d’attendre la naissance, même si je comprends que ça ne sera pas facile pour vous.
Jo : D’accord !! On va attendre alors. (Déçu)

Le lendemain, Jo arrive au bureau.

Jo : Salut Russ !
Russ : Salut ma jolie !
Jo : Arrête s’il te plait !
Russ : Tu étais en congé maladie non ?
Jo : Il faut que je te parle !
Russ : Où là !! Tu es bien sérieuse !!
Jo : Je vais devoir lever le pied. Je ne pourrais plus allez sur le terrain pendant un moment.
Russ : Qu’est ce qui se passe ? Tu as pas une merde comme un cancer ou autre maladie grave au moins ?
Jo : Non, rien de tout ça !! Autant que tu le saches tout de suite et je ne vais pas y allez par quatre chemins, je suis enceinte.
Russ : Quoi ?
Jo : Oui !
Russ : De combien de temps ?
Jo : 7 semaines maintenant.

Un petit temps de pause s’installe.

Russ : Ça remonte à la période où nous sommes allez à New-york ça non ?
Jo : Oui !
Russ : Je suppose donc que je suis le père du bébé ? Je pense que tu te souviens quand même de ce qui s’est passé la veille du départ ?
Jo : Oui je m’en souviens, l’anniversaire de Nick, une soirée bien arrosée, pas besoin de me le rappeler mais…
Russ : Mais quoi ?
Jo : Je sais pas si tu es le père de ce bébé, je suis désolé !
Russ : Comment ça ? Ça ne peut être que moi !
Jo : Oh !! Je vais pas te faire un dessin non plus !! La grossesse est estimée au 27 novembre à 3 jours près.
Russ : Ben on est arrivé le 25 à New York, donc c’est le 24 qu’on a couché ensemble donc c’est ça, je suis le père Jo !! Même si tu as eu un mec après notre retour, c’est pas possible que ce soit lui ! On est rentré le 30, les trois jours était fini.
Jo : Ecoute, j’ai eu une histoire avec quelqu’un à New-York donc il est aussi possible que ce soit lui le père.
Russ : C’est pas vrai !! Mais où as-tu la tête ?
Jo : Attends ! On est plus mariés à ce que je sache ! Je fais ce que je veux ! Je ne te permets pas de me juger !
Russ : Bon essayons de rester calme et de se comporter en adulte car c’est plus ou moins grave là. Tu n’utilises plus de moyen de contraception ?
Jo : Il est possible que la pilule ne me convienne plus et vu que je n’ai pas eu tant d’aventure que ça et qu’en général j’utilise des préservatifs, je n’ai pas pu m’en rendre compte.
Russ : Et ce connard à New York n’en a pas mit lui ?
Jo : S’il te plait hein !! Je t’interdis de l’insulter. Et bien que j’estime que ça ne te regarde pas, non, il n’en a pas mis.
Russ : Il t’a touché alors pour moi c’est un connard !
Jo : Arrête un peu ton impulsivité ! On est plus ensemble et tu le sais ! On a couché ensemble, mais c’était une connerie et je te l’ai dit le jour même.
Russ : Je comprends pas pourquoi celui là a fait l’exception ! Tu es quand même intelligente comme femme. Tu connais les risques par cœur alors pourquoi pas de préservatif avec celui là ?
Jo : Bien qu’encore une fois, ça ne te regarde pas, j’ai pas jugé utile d’aborder le sujet car il fait un métier dans lequel on ne peut pas avoir de MST. C’est interdit par les lois et des contrôles sont effectués tous les ans.
Russ : Tu t’es pas tapé un collègue au moins ?
Jo : Non !! Mais ça va pas non ?
Russ : Ah ça y est, j’ai compris !! C’est un gars de la scientifique c’est ça ? Purée, me dit pas que tu as couché avec Taylor quand même !

Jo ne répond pas.

Russ : J’y crois pas !! Purée c’est le pompon là !! Comment tu as pu te retrouver au lit avec ce mec ?
Jo : Alors écoute-moi bien Russ, là je vais parler à mon ex-mari et pas mon patron et je te dis que je t’emmerde. Je couche avec qui je veux.
Russ : Enfin si tu t’es amusée !!
Jo : C’est plus compliqué que ça Russ. C’est pas une simple aventure. On est tombé amoureux mais tu ne peux pas comprendre.
Russ : Traites moi de con pendant que tu y es ! J’avais bien remarqué votre petit jeu. Je te déteste mon œil oui !! Je sais comment tu pratiques Jo ! Quand un homme te trouble et que tu sens que c’est perdu tu le prends de haut et tu as agi comme ça avec lui.
Jo : Russ ! Si toutefois tu es le père du bébé et que tu veux assumer ton rôle, je ne m’y opposerais pas. Si toutefois tu l’ais et que tu ne veux pas assumer, je ne te demande rien. Je veux juste savoir qui est le père de mon bébé mais je veux laisser Mac en dehors de ça.
Russ : Je comprends pas trop !
Jo : J’aimerais que tu n’ailles pas foutre la pagaille et lui parler de cette grossesse. Si il n’est pas le père du bébé, j’aime autant qu’il n’en sache rien. Il risquerait d’en souffrir.
Russ : Et si moi j’en souffre tu t’en fou !
Jo : Russ arrête va ! Mac n’a pas eu une vie facile.
Russ : Bon qu’est ce que tu veux exactement ?
Jo : Qu’on attende la naissance du bébé et que tu fasses les tests de paternité. C’est la seule solution.
Russ : Bon ben je n’ai pas le choix de toute façon !!
Jo : Merci !
Russ : Si toutefois je suis le père, est ce que j’ai mes chances pour que tu acceptes de me redonner une chance ?
Jo : Russ ! Je suis désolé, mais je ne t’aime plus comme avant. Ça ne marcherait pas. Je te laisserais assumer ton rôle de père mais c’est tout ce que je peux te promettre.
Russ : Et Taylor tu l’aimes lui ?
Jo : Ça ne concerne que moi.
Russ : Ouais, ça veut tout dire !! Alors vaudrait peut être mieux que ce soit lui le père même si j’assumerais dans le cas où c’est le mien. Je pense de toute façon que tu pries pour qu’il soit de lui.
Jo : Je refuse de répondre à ce genre de question.

Le soir, Jo reçoit un énième coup de fil de Mac et décide de répondre.

Jo : Allo
Mac : Ah ben enfin !!
Jo : Salut Mac !
Mac : Comment ça se fait que je ne pouvais plus te joindre ?
Jo : Désolé, j’étais un peu débordé.
Mac : Pourquoi tu n’as pas voulu que je vienne ce week-end ?
Jo : Mac ! C’est trop compliqué pour moi.
Mac : Quoi donc ?
Jo : Mac, je préfèrerais qu’on arrête toi et moi.
Mac : J’ai fais quelque chose de mal ?
Jo : Non, bien sûr que non ! Mais c’est moi qui n’arrive pas à gérer notre relation. Je ne suis pas faite pour ce genre de relation. Je suis sincèrement désolé !
Mac : Ben pas autant que moi !
Jo : J’espère que tu ne m’en voudras pas trop.
Mac : Je peux te comprendre, mais je ne te cache pas que je suis peiné.
Jo : Je comprends aussi. Mais je n’arrive pas à gérer. Je m’attache de plus en plus à toi et je pourrais te demander des choses que tu ne serais pas prêt à faire.
Mac : Comme quoi ?
Jo : Inutile d’aller plus loin dans cette conversation Mac !
Mac : Prends soin de toi Jo !
Jo : Merci !

Mac raccroche au bord des larmes.

Les mois passent et la grossesse de Jo se passe très bien. Elle vient d’apprendre qu’elle attend une petite fille et réfléchie déjà à son prénom.

A suivre

Oulala c'est chaud
J'adore ta suite!!!!

super suite !!!!!!!!!!!

Ta fiction est super bien écrite et j'ai pris plaisir à la lire même si je préfère le SMAC , mais juste pour te dire que ta fiction m'a convaincue , continue

PS: comment on ajoute des pages , je suis bloquée depuis longtemps ??

liilezo a écrit:

Ta fiction est super bien écrite et j'ai pris plaisir à la lire même si je préfère le SMAC , mais juste pour te dire que ta fiction m'a convaincue , continue

PS: comment on ajoute des pages , je suis bloquée depuis longtemps ??

Merci pour ton com !!

Par contre pour les pages, j'ai peur de mal comprendre ta question ! Les pages s'ajouttent automatiquement !!

ce que je voulais dire c'est que les pages se mettent automatiquement au bout de combien de temps ? Ma fiction comporte pour le moment 3 long chapitre et je suis toujours sur une seule page

Ah ok !! Mais ne t'inquiète pas pour ça !! quand la page sera trop chargé, ça passera directement à la prochaine page. Ne te prends pas le choux avec ça. ça se fait tous seul. Tu n'as rien à faire. ça passera à la page 2 à un moment donner !

liilezo c'est à partir de 15 comm je crois que tu as après une page différentes

Chapitre 9

La grossesse de Jo se déroule bien, mais elle est toujours rongée par la culpabilité. Elle se sent coupable de cacher cette grossesse à Mac, mais elle ne veut surtout pas lui faire de la peine si ce bébé n’est pas de lui. La meilleure solution qu’elle a pu trouver c’est rompre avec Mac et lui cacher sa grossesse, même si elle en souffre.

Dans le bureau de Mac

Stella : Tu es sûr que tu ne veux pas que j’y aille à ta place ?
Mac : Non, c’est à moi d’y allez !!
Stella : Je sais que tu ne t’entends pas trop avec Josephson !
Mac : Non, c’est vrai qu’on est pas très amis, mais là ça concerne une enquête qu’on a étudié ensemble. Il faut qu’on réunisse nos conclusions pour le procès.
Stella : Je comprends ! Tu n’aurais pas envie de revoir quelqu’un par hasard !
Mac : Je te trouve bien curieuse !
Stella : Je me souviens !
Mac : De quoi ?
Stella : Ton coup de cœur pour Danville !

Mac ne sait pas quoi répondre.

Mac : J’y vais pour le boulot, par pour voir Jo !
Stella : Tu l’appelles par son prénom ?
Mac : Oui, enfin non ! C’est sorti tout seul ! Tu sais que j’appelle rarement mes collègues femme par leur nom.
Stella : Oui, mais elle n’est pas dans notre équipe, je trouve ça étrange mais bon ! Si tu la vois essaie de ne pas te disputer avec elle !!
Mac : Ne t’en fais pas va !!

Mac est dans l’avion près à revoir les fédéraux cinq mois après sa rupture avec Jo. Il se demande comment il va l’aborder si il la voit, si elle va accepter de lui parler, si elle va l’ignorer. Beaucoup de choses défilent dans sa tête.

Mac arrive et passe devant le bureau de Jo. Il la voit concentré et après réflexion frappe un petit coup et entre.

Mac : Bonjour.

Jo lève la tête

Jo : Mac !! Qu’est ce que tu fais là ?
Mac : Je dois voir Josephson pour le procès.

Jo reste cloué à sa chaise et s’avance le plus possible devant son bureau.

Mac : Tu m’accompagnes au bureau de ton patron ?
Jo : Euh !! Ben je ne peux pas me lever en fait.
Mac : Pourquoi ?
Jo : Car je dois pas quitter mon ordi des yeux, c’est important. C’est au fond le bureau de Russ.
Mac : Ok !! Tu crois qu’on peut allez boire un café après ou diner.
Jo : Je sais pas si c’est une bonne idée.
Mac : C’est purement amical je t’assure.
Jo : Bon ok, mais pour diner car aujourd’hui j’ai encore beaucoup de travail.
Mac : Je passe te prendre ?
Jo : Non, on se rejoint au restaurant, je préfère.
Mac : Vers vingt heure au même que la dernière fois !
Jo : Ok !!

Jo se demande toute la journée comment elle va bien pouvoir faire. Son ventre est déjà bien arrondi et la grossesse devient difficile à dissimuler. Soit elle lui dit tout au risque de le peiner ou soit elle n’y va pas.

Jo est chez elle et réfléchie encore et encore. Elle se dit qu’elle ne peut pas ne pas y allez. Elle ouvre son armoire à la recherche d’une tenue qui pourrait cacher ses nouvelles formes.

Au restaurant.

Jo arrive entièrement vêtu de noir avec un pull assez large.

Mac : Tu es magnifique.
Jo : Merci !

Le dîner commence avec quelques banalités. Au grand soulagement de Jo, Mac ne semble pas avoir remarqué qu’elle est enceinte.

Mac : Je suis content de dîner avec toi.
Jo : Moi aussi.
Mac : Tu sais, j’ai failli t’appeler plusieurs fois ! Mais je n’ai pas osé.
Jo : Je suis désolé !
Mac : Je comprends que notre relation était compliquée, mais j’aurais voulu qu’on en discute avant de faire une rupture aussi stricte. J’ai rien compris à ce qui m’arrivait. Une belle claque en fait ! Mais je ne t’en veux pas !
Jo : Mac ! Je peux comprendre ta peine. Ce que j’ai fait ce n’est pas très loyale, j’en suis consciente mais notre relation n’est pas possible pour l’instant. Je suis dans une impasse. Je pense pas que tu puisses comprendre et il ne vaut mieux peut être pas. Tout ce que j’espère c’est que tu me pardonneras un jour.
Mac : Mais de quoi tu parles ? Tu as eu une aventure avec un autre, c’est ça ?
Jo : Non, je te jure que non, mais c’est compliqué. Je te promets qu’un jour je te dirais pourquoi mais je ne peux pas t’en parler maintenant.
Mac : J’avoue que je ne te comprends pas vraiment, mais je respecte. Quand tu te sentiras prête à m’en parler, je serais là pour t’écouter.

Jo prend la main de main de Mac.

Jo : Tout ce que je veux, c’est que ce jour là tu sois sincère avec moi.
Mac : Tu es très mystérieuse Jo mais je suis toujours sincère.
Jo : Moi je suis désolé, je ne peux pas l’être pour l’instant.
Mac : Mais pourquoi ?
Jo : J’ai peur de te faire du mal, de soit te donner de faux espoir ou soit briser ta vie. Je sais pas trop !! Je ne te connais pas assez en fait.
Mac : Jo dis moi s’il te plait ! Tu m’inquiètes. Pourquoi de faux espoirs, pourquoi tu gâcherais ma vie ? Tu n’es pas la femme que je croyais, tu as un lourd secret ? Je sais pas ! Je vais chercher loin, mais tu es bisexuelle peut être et tu sais pas comment me le dire !

Jo rigole

Jo : Non, là-dessus tu n’as pas à te faire de soucis, je suis hétéro à cent pour cent.
Mac : Tu sais, si ça aurait été le cas, je suis assez ouvert et une orientation sexuelle ne m’a jamais dérangé et j’aurais pu faire abstraction de ça.
Jo : Je t’assure que tu n’y es pas.
Mac : Ok !! Je sens néanmoins que tu as un secret très lourd à porter.
Jo : Oui, c’est vrai. Je te jure que tu sauras bientôt quelque soit les suites que ça aura car je te devrais des explications mais j’ai besoin de temps.
Mac : Ok, j’accepte, je n’ai pas le choix de toute façon.

C’était clair pour Jo, elle avait bien décidé de tout révélé à Mac après la naissance de sa fille, qu’il soit le père du bébé ou pas. Elle lui doit une explication par rapport à cette brutale rupture.
Mac tant qu’à lui est loin de se douter de ce que lui cache Jo. Il réfléchit, mais la grossesse de Jo ne la pas effleuré l’ombre d’un instant.

Trois mois plus tard Jo accouche d’une magnifique petite fille. Jo n’avait pas caché la situation à son fils ainé qui était en âge de comprendre à l’aube de ses quatorze ans. Elle savait très bien que dans le cas où Mac était le père elle devrait se justifier.

Tyler est avec Jo et admire sa petite sœur.

Tyler : Je peux te poser une question personnelle ?
Jo : Je t’écoute !
Tyler : Si papa est bien le père du bébé, est ce que vous avez prévu de vous remettre ensemble ?
Jo : Oh chéri ! Je suis désolé mais ce n’est pas mon intention. J’ai fais une bêtise il y a quelques mois, mais ça ne donne pas d’espoir d’un renouveau de notre couple. Je suis désolé si tu t’attendais à ce que ce soit le contraire !
Tyler : Tu sais maman, je suis peut être qu’un ados mais je comprends les choses peut être mieux que tu ne le crois et je sais que papa te trompais, je vous entendais vous disputer la nuit. Je n’aurais pas envie qu’il recommence et que tu sois malheureuse. Ce que je sais aussi c’est que ce New-Yorkais t’a rendu heureuse et que ce soit lui ou pas le père de la petite, je suis sûr que c’est avec lui que tu devrais être.

Jo est très émue par les paroles de son fils.

Jo : C’est très gentil ce que tu me dis. Je sais pas comment je vais faire avec lui mais je lui devrais des explications, c’est sûr.
Tyler : Si tu l’aimes tu dois te battre et si il ne veut plus de toi, c’est un imbécile.
Jo : Tu es adorable.

Russ entre.

Tyler : Je peux allez m’acheter un truc à manger ?
Jo : Oui, mon porte monnaies est dans l’armoire.
Russ : Attend !! Tiens, cinq dollars ça ira ?
Tyler : Oui, merci papa !!

Tyler sort.

Russ : Ça va, ça n’a pas été trop douloureux ?
Jo : Un peu, mais ça valait le coup. Elle est tellement belle !
Russ : Oui, elle est très belle c’est vrai. Je viens d’allez faire le prélèvement ADN et une prise de sang nous auront les résultats demain.
Jo : Merci ! Je pense bien que ça ne doit pas être facile pour toi.
Russ : De rien Jo ! Ce qui est dure, c’est de me rendre compte que je t’ai perdu et qu’aujourd’hui tu as peut être eu un bébé avec un autre.
Jo : Que veux tu que je te dise !
Russ : Rien, mais sache que si Taylor est le père et qu’il ne veut pas assumer, je suis prêt à jouer un rôle de père pour cette petite.
Jo : Non Russ ! Si tu n’es pas le père et que Mac ne veux pas assumer, je l’élèverais seule, mais il est hors de question que tu t’investisses si cette petite n’est pas de toi, désolé ! J’élève Elie seule et je m’en sors très bien ! Je peux faire pareil avec cette petite fille.
Russ : Comme tu voudras ! Allez je te laisse te reposer ! Je repasserais demain quand j’aurais les résultats.
Jo : D’accord.

Jo passe une nuit pas très agréable. Elle se demande comment ça va se passer si Mac est le père et comment ça va se passer si il ne l’est pas. Elle avait surtout honte d’espérer le plus au monde que ce soit bien Mac le père et non son ex mari.

A suivre

faut que ce soit mac le pere!!!
super suite

Super suite !! J'espère que Mac est le père

Chapitre 10

Jo a passé une nuit pas très agréable. Elle a eu beaucoup de mal à trouver le sommeil étant très préoccupé par l’identité du père de sa fille.

Le lendemain, Russ arrive avec une enveloppe.

Jo : Tu as les résultats ?
Russ : Oui !
Jo : Alors ?
Russ : Je n’ai pas ouvert l’enveloppe, je préfère que tu le fasses. Tu es peut être plus concerné que moi.
Jo : D’accord.

Jo ouvre et lit.

Jo : Je suis désolé Russ ! Tu n’es pas le père. (D’un air compatissant)
Russ : Ok !! Ne soit pas désolé ! Je suis en quelque sorte soulagé. Je ne me vois pas élever un enfant avec une femme qui n’a visiblement plus de sentiment pour moi. Tu vas lui dire ?
Jo : Oui, mais pas par téléphone, c’est trop dure à expliquer.
Russ : Ok !! Je ne t’embête pas plus longtemps. J’espère sincèrement qu’il acceptera cet enfant et que tu seras heureuse.
Jo : Merci ! C’est gentil !

Russ sort et Jo soupire de soulagement avec un léger sourire. Elle se demande maintenant comment Mac va prendre la nouvelle. Va-t-il lui pardonné de lui avoir caché sa grossesse ?

Jo pense : Mac tu es le père de ma fille. Comment je vais te l’annoncer maintenant !

Une quinzaine de jours plus tard.

Mac est au labo et son téléphone sonne.

Mac : Mac Taylor.
Jo : Salut Mac !
Mac : Jo !! Comment ça va ! Quelle bonne surprise !
Jo : Ça va et toi ?
Mac : Bien, heureux d’entendre ta voix.
Jo : Je dois te parler. Je suis à New York. On peut déjeuner ensemble ?
Mac : Je ne rentre pas, mais passe au labo !
Jo : Ce que je dois te dire est personnel.
Mac : Je t’invite à dîner si tu veux.
Jo : J’aimerais autant que ce ne soit pas dans un restaurant.
Mac : Je t’invite chez moi alors !
Jo : Comme tu veux.
Mac : Je t’attends vers vingt heures.
Jo : D’accord.

Jo arrive chez Mac et inspire avant de sonner pour lui donner un peu de courage.

Mac ouvre et Jo entre avec son transat.

Mac serre Jo dans ses bras.

Mac : Je suis heureux de te voir.
Jo : Moi aussi, très heureuse.
Mac : Toujours aussi belle !!
Jo : Merci ! (souriant) Je te renvoie le compliment !!
Mac : Que fais-tu avec cet adorable bébé ? Ta as adopté un autre enfant ?

Mac regarde la petite.

Mac : Elle est adorable en tout cas. Tu es une femme épatante Jo !
Jo : Moins épatante que tu le crois !! Cette petite fille est la mienne. Je suis sa mère, sa mère biologique.
Mac : Quoi ?
Jo : J’ai accouché il y a quinze jours.
Mac : Mais on s’est vu il y a quatre mois, pourquoi tu me l’as pas dit ?
Jo : C’est compliqué Mac !

Mac réfléchi un instant.

Mac : Quinze jours tu dis ?
Jo : Oui, c’est ça.
Mac : Ecoute, je vais peut-être être direct, mais tu m’as dit il y a cinq mois que tu ne voulais pas me faire de faux espoir ou gâcher ma vie donc c’est un peu troublant. Du coup, j’ai quand même une question….Est ce qu’il y a des chances pour que je sois le papa ? Je réfléchie et notre relation avait commencé il y a presque dix mois alors je me dis que peut être….
Jo : Oui, c’est toi, tu es bien le père de cette adorable petite fille Mac.

Mac la regarde et ne dis rien.

Mac : Attends ! Je m’assoie là !!

Mac s’assoie.

Mac : Je n’ai pas eu de tes nouvelles pendant quatre mois et tu reviens avec un bébé magnifique pour m’annoncer que j’en suis le papa ! C’est brutale ça Jo !
Jo : Je sais !

Jo comprend à ce moment là que Mac n’est pas très enthousiaste.

Mac : Pourquoi tu ne m’as pas dit que tu étais enceinte ? J’aurais pu te soutenir ! Je ne suis pas un monstre ! (Légèrement en colère)
Jo : C’était compliqué ! La grossesse est estimée au 27 novembre à 3 jours près. Je vais être honnête avec toi car je te dois la vérité sur mes agissements. Le souci c’est que la veille de mon arrivé à New-York, j’ai couché avec mon ex mari.
Mac : Ouais je comprends mieux pourquoi il s’est senti des ailes pousser et t’a présenté en tant que Jo Josephson !!
Jo : Oui tout à fait lui ! Mais tu sais, on a fait ça pour le fun on va dire !! Après une soirée bien arrosée.
Mac : J’aurais pu comprendre ! Je suis humain. Puis si ça s’est passé avant notre relation, tu n’as rien à te reprocher !!
Jo : Mac, tu n’as pas d’enfant, je ne savais pas comment tu allais le prendre et surtout je ne voulais pas prendre le risque de te donner de fausses joies au cas où l’idée d’être père te ferais plaisir.
Mac : Comment tu peux être sur que c’est ma fille ? On est deux pères potentiels après tout !

Jo sort l’enveloppe de son sac.

Jo : Voici le résultat des tests que Russ a fait. Ils sont négatifs. Il n’est pas le père du bébé.
Mac : C’est vache comme question mais je dois le faire, il n’y a pas eu d’autres hommes ?
Jo : Non Mac, je te jure que non. Si tu veux faire les tests, tu peux. J’ai confiance et je sais qu’ils seront positifs. Je peux te certifier que tu es le père. C’est notre fille.
Mac : Non, je te fais confiance. Si Russ n’est pas le père, ça ne peut être que moi.
Jo : Après, si tu veux assumer, je serais ravie que tu le fasses, mais si tu ne veux pas t’investir, je comprendrais aussi. Je voulais juste que tu saches que tu es papa, pas t’imposer quoi que ce soit.
Mac : Jo ! Je suis papa ! J’ai un enfant avec toi Jo !! Je n’ai jamais eu la chance d’avoir un enfant. (Fou de joie) Laisse-moi la regarder.

Mac regarde la petite.

Mac : Elle est magnifique !! Comment elle s’appelle ?
Jo : Callie.
Mac : Callie ! C’est super joli.
Jo : Si tu veux qu’elle porte ton nom, il y a pas de soucis. Dans le cas où tu veux bien être papa.
Mac : Callie Taylor !! Tu as vu comme elle me regarde ?
Jo : Oui !! Elle est intrigué on dirait !
Mac : Jo ! Tu réalises un de mes plus grands rêves. Merci !
Jo : Disons que c’est la nature ou le destin qui l’a décidé.
Mac : Je peux la porter ? Je voudrais tenir ma fille dans mes bras…. Notre fille.
Jo : Oui, bien sûr !!

Mac la prend dans ses bras

Mac : Bonjour trésor !! C’est moi ton papa !! Tu verras on va faire une super équipe tous les deux. Qu’est ce que tu es jolis ! Tu as le regard de ta maman.

Jo sourie

Mac : L’avantage c’est que je n’aurais pas eu à attendre 9 mois avec impatience pour qu’elle vienne au monde.
Jo : Mac si je t’ai quitté, c’est par ce que j’étais perdu avec cette grossesse et je ne voulais pas te mentir et t’affirmer que tu étais le père alors que j’en étais pas sûre. Je ne voulais pas non plus de te donner de faux espoir si tu n’étais pas son père.
Mac : Je suis papa maintenant ! J’ai une vie de famille et des responsabilités envers toi. Je participerais financièrement et je serais présent pour cette petite fille que j’aime déjà.

Jo est un peu déçu, ce n’est pas vraiment la réponse qu’elle attendait.

Mac : L’avion n’a pas été trop dur pour la petite ?
Jo : Je suis venue en voiture !
Mac : Tu es à l’hôtel ?
Jo : Oui, pas très loin.
Mac : Tu as tout ce qu’il faut pour Callie ? Sinon je peux..
Jo : Oui, ne t’en fais pas, j’ai son couffin et tout ce qui lui faut.
Mac : Ok ! Tu me donneras le nom de l’hôpital où tu as accouché que j’aille reconnaître ma fille demain. Je peux le faire à distance sans soucis.
Jo : D’accord !

Mac regarde sa fille

Mac : Alors elle aurait été conçue ici à New-York ?
Jo : Absolument ! Dans ton lit. (souriant)
Mac : Comment en une nuit on a pu créer une merveille pareille.
Jo : Ben je dirais, du sexe et avant tout de l’amour.
Mac : Oui, tu as raison.
Jo : Tu sais, pour être tout à fait franche, quand le médecin m’a donné la date de fécondation j’ai paniqué et j’ai envisagé d’avorté mais finalement, quand je l’ai vu à l’écran, je me suis rétracté. Je me suis dites que j’étais égoïste et que je recherchais la facilité pour pas assumer.
Mac : Tu as bien fait Jo ! Tu m’offres un merveilleux cadeau.
Jo : Un cadeau qu’on a fait ensemble.
Mac : Tu illumines ma vie et cette petite fille aussi. Je regrettais tellement de pas avoir eu d’enfant !
Jo : Je suis heureuse alors.
Mac : Si j’ai eu le coup de foudre pour toi, c’est parce que nous deux c’était écrit.
Jo : Peut être. Pourtant c’était mal partit.
Mac : Oui, je me souviens encore des gifles ! Mais je l’avais cherché.
Jo : Pour tes paroles peut être mais pour le baiser non, c’était vraiment dégoûtant de ma part alors que j’étais super heureuse que tu m’embrasses.
Mac : Tu sais, je sais pas ce qui m’a pris de te dire ça sur ton ex mari. Ça ne me ressemble pas en fait. Mais j’étais furieux.
Jo : De toute façon tu avais raison, Russ me trompait souvent et je faisais exprès de ne pas le voir. Puis ça ne serait pas arrivé si je n’aurais pas été jalouse de cette femme à qui tu as souri.
Mac : Alors tu étais jalouse !
Jo : Très.

Jo regarde Mac

Mac : Quoi ?
Jo : Non rien enfin si !!
Mac : Ben dit !
Jo : Ecoute vu que je suis dans les confidences je préfère te dire que le fait qu’on est un enfant ensemble risque de ne pas être facile.
Mac : Pourquoi ça ?
Jo : Parce que je t’aime encore. J’arrive pas à t’oublier. Je peux essayer car tu dois m’en vouloir et je sais que je n’ai plus aucune chance, mais ça prendra beaucoup de temps.

Mac pose délicatement la petite dans son transat et s’approche de Jo. Il la regarde dans les yeux et lui caresse le visage.

Mac : Jo !!

Mac embrasse Jo tendrement.

Mac : Moi non plus Jo ! Moi non plus ! Je suis toujours fou amoureux de toi. Tu me manques terriblement. Il faut qu’on trouve une solution maintenant car il y aussi cette petite et je vous aime toute les deux. Elle nous unie encore plus qu’avant.
Jo : J’ai pris un congé maternité de deux ans. Donc j’ai discuté avec Tyler et Elie et ils seraient plus que ravis de venir vivre à New-York.
Mac : Alors tu vas venir vivre ici.
Jo : Oui on dirait !! Si tu veux bien de moi dans ta vie.
Mac : On va tous vivre ensemble si tu veux bien. J’ai besoin de ma fille et de la femme que j’aime à mes côtés. J’espère que tes enfants le prendront bien.
Jo : J’en serais ravie. Sinon, j’ai demandé une mutation sur les départements de new-york pour mon retour dans deux ans, en tant que détective de premier grade. Je quitte le FBI.
Mac : Ah bon ?
Jo : C’est un milieu que je ne supporte plus trop. Je préfère vraiment l’ambiance qui règne à la police scientifique.
Mac : En deux ans, tu devrais trouver une place.
Jo : J’espère !
Mac : Je vais te rendre heureuse je te promets.
Jo : Je n’en doute pas !
Mac : Est-ce que ça te dérange si demain je vais présenter notre fille à mes collègues. Je suis tellement fier !!
Jo : Non, je comprends !! Il n’y a pas de soucis.
Mac : J’aimerais présenter la maman aussi.
Jo : Bon ben d’accord !

A suivre

C'est mac le pere!
Super suite Aurelle

ohhhhhhhhhhh c'est trop chou !!