Valandra Watson "I asked you for one more miracle, Sherlock... I asked you to stop being dead." John Watson
Perso(s) Préféré(s) : John Watson, Sherlock Holmes dans Sherlock, John Sheppard, Carson Beckett, Rodney McKay et Daniel Jacoson dans Stargate Atlantis et SG1... Nombre de messages : 2019 Age : 49 Date d'inscription : 16/03/2013 Réputation : 0 Points : 14831
| Sujet: Une rencontre (Le Seigneur des Anneaux) Mar 2 Avr - 14:26 | |
| Voici un de mes nombreux écrits, que j'ai rédigé à l'occasion d'un atelier d'écriture lors d'une formation en 2006... Un atelier d'écriture est une animation, où à l'aide de mots trouvés par le professeur ou les autres de l'atelier, on doit former un texte... Cet atelier, était sur le thème d'une rencontre... On devait écrire une histoire sur une rencontre... Le professeur nous avait dit que cela pouvait être une rencontre réelle ou imaginaire... Devinez ce que j'ai choisi :guittar: ... La voici... j'espère que vous l'apprécierez UNE RENCONTRE Je me trouvais en ce lieu que j'avais vu en rêve et où je ne me serais jamais imaginé me trouver, cet endroit magique et sauvage, pas encore salit par la technologie de l'homme et créé par mon écrivain préféré J.R.R. Tolkien. Le printemps revenu et le temps du renouveau et de la nature reprenant vie ne pouvaient que me rendre joyeuse.
Je ne me souvenais que trop bien des raisons pour lesquelles je me trouvais en cet endroit. Gandalf, un magicien habillé une longue toge blanche et coiffé d'une longue barbe et de longs cheveux blancs m'avait donné l'occasion unique de réaliser un de mes rêves les plus fous : me trouver dans La Terre Du Milieu .
Il m'avait également permis de réaliser un autre rêve à ma demande expresse: me transformer en hobbite. Pour cela,il avait ensorcelé mes oreilles, ces dernières se retrouvèrent en pointe. J'étais alors plus réceptive aux bruits. il avait également réduit ma taille jusqu'à ne plus mesurer qu'1m15, durcit mes pieds et des poils y avaient poussés.
Ensuite, il m'emmena dans la Comté et à travers ces paysages aux jardins et champs luxuriants où je m 'émerveillai de toutes les beautés que peut offrir la nature. Les chants des oiseaux ainsi que les odeurs agréables que pouvaient dégager la nature, les bruissement des arbres par le vent ou des animaux qui se cachaient de nous et papillons et autres insectes qui allaient de fleurs en fleurs, amenaient du baume à mon cœur et je me sentais bien comme je ne m'étais jamais sentie de ma vie.
Gandalf m'emmena dans un village. Je voyais ces hobbits qui vaquaient à leur occupations, se baladant en toute quiétude dans les rues, mangeant, buvant ou fumant l'herbe à pipe, une spécialité hobbite. Ils bavardaient avec gaieté à l'image du printemps retrouvé. Ils me lançaient des sourires amicaux. Je me sentais gaie, enjouée et je répondais tout naturellement à leur sourire.
Le magicien qui continuait sa route, rentra dans une auberge qui portait le nom de l'Auberge Du Dragon Vert. Il se tourna vers moi et me demanda de le suivre, ce que je fis.
Il alla vers deux hobbits. Le premier avait les cheveux châtains et les yeux verts. Le deuxième quant à lui avait les cheveux blonds et les yeux bleus. Je les trouvais tous les deux très beaux. Ils ne semblaient pas se soucier de notre présence et eux aussi discutaient en toute quiétude riant et s'amusant de tout et de rien.
Je rougis légèrement. Je ne savais pas quoi faire et Gandalf voyant cela, passa un bras réconfortant autour de mon épaule et m'emmena vers la table où ils se trouvaient. Dés qu'ils virent Gandalf, ils lui réservèrent un accueil chaleureux.
Le hobbit aux cheveux châtains et aux yeux verts m'adressa un immense sourire et me demanda qui j'étais. Je donnai mon prénom et leur demanda le leur. Ne sachant que répondre, mes joues s'embrasèrent encore plus. Gandalf, remarquant mon embarras, répondit à ma place que je m'appelais Esmeralda Brandytook. Il m'adressa un léger clin d'œil entendu. Ce nom d'emprunt me convenait parfaitement.
Je ne pouvais que remarquer les reflets de cristal se dessiner dans ses magnifiques yeux verts. Et des reflets de plaisirs que je n'avais jamais ressenti auparavant s'emparèrent de mon être tout entier. Toute la morosité qui avait envahit mon cœur ces dernières années, s'évanouirent comme neige au soleil et je sentis monter en moi une chaleur bienveillante et que je n'avais jamais ressentit auparavant. Était-ce le coup de foudre ? Je l'ignorais, mais je me sentais tellement bien que je n'avais pas envie de descendre de mon petit nuage.
Celui aux cheveux blonds et aux yeux bleus m'adressa un sourire et se présenta. Il s'appelait Meriadoc Brandebouc, mais il me dit de l'appeler Merry. Quant à celui qui ne me quittait plus des yeux à présent, se présenta à son tour. Il s'appelait Peregrin ,Touque. Il me dit de l'appeler Pippin. Il ajouta qu'il était le cousin de Merry.
Gandalf rajouta à mon égard que j'étais une personne qui venait d'un pays lointain où la sérénité était un luxe qui ne tenait qu'à un fil, ajouta que j'avais l'âme blessée et que plus que tout autre, j'avais besoin d'un petit coin de paradis et qu'il m'avait accordé ce rêve de me retrouver dans ce lieu où j'avais toujours rêvé de me retrouver.
Pippin répondit à Gandalf tout en me lançant ce même sourire qu'il me lançait depuis le début que Merry et lui allaient me rendre ma joie de vivre égarée et j'avais envie de le croire. Il rajouta que pour ce qui était de me loger, il s'en chargerait et que sa famille serait ravie de m'accueillir. J'acceptai cette proposition avec joie.
Gandalf nous laissa. Et nous nous sommes mis à bavarder gaiement. Deux autres hobbits se joignirent à nous, au cours de la soirée. L'un avait les cheveux noirs, bouclés. Il avait de grands yeux bleus. Il se présenta à moi comme s'appelant Frodon Sacquet. Le deuxième quant à lui, était de corpulence plus forte. Il avait des cheveux châtains bouclés. Il avait des yeux bruns. Il se présenta sous le nom de Sam Gamegie. Sachant que je connaissais Gandalf, ils le réservèrent un accueil chaleureux. Et tous les cinq, nous avons passé la soirée à plaisanter et rire comme jamais je ne l'avais jamais fait auparavant. Frodon et Sam étaient un peu plus réservés que Merry et Pippin. Mais il n'en restait pas moins qu'eux aussi je les appréciais.
Ensuite, Pippin m'emmena chez ses parents. Je me sentais mal à l'aise. Mais avec son sourire réconfortant et en me prenant la main, il me dit que tout allait bien se passer... Et là aussi, je ne demandais qu'à le croire. D'un coup, je me sentais mieux et il m'entraîna chez lui. Je vis ses parents qui semblaient intrigués. Pippin dit quelques mots à mon sujet. Ils m'accueillirent avec chaleur et gentillesse.
Sa mère m'emmena bientôt dans une très jolie chambre où je me reposai sans le bruit que peut faire les voitures. Pippin me réveilla le lendemain avec son magnifique sourire et après m'être préparée, je pris mon premier petit déjeuner de la journée, parmi les 6 repas de la journée que prennent à l'accoutumée les hobbits.
Et à partir de ce jour, je vécus heureuse, entourée de mes nouveaux amis, Merry, Pippin, Sam et Frodon. Je m'égaillai de tout, dansant, riant, chantant, sans me soucier de la bienséance que les adultes doivent avoir. D'ailleurs, tous les hobbits agissent de la sorte et ils ne semblent pas se soucier de ma manière d'agir. Pippin avait eu raison le jour où il avait dit que son cousin et lui allaient me rendre ma joie de vivre égarée. Je me sentais tout particulièrement bien en sa compagnie. Et j'avais l'impression que ce sentiment était plus que partagé.
Et bientôt, sous l'œil attendri de sa famille, qui avait appris à me connaître et et qui me considéraient à présent comme un membre de la famille , ainsi que nos amis: Gandalf, Sam, Frodon, Merry et les autres, Pippin et moi nous nous mariâmes.
Voilà comment à présent, je vis dans La Comté, mariée à Pippin goûtant aux joies du septième ciel et cette vie qui grâce à cette rencontre bénie avec Gandalf m'offre chaque jour des bouquets plein d'amour avec celui que j'aime plus que tout.
Et parcourant, La Terre Du Milieu avec Pippin et Merry, je découvris ces lieux magiques et merveilleux.
Cette histoire sort de ma plume à rêver et est une fenêtre grande ouverte sur mon imagination plus que productive. Et est un voyage imaginaire vers ces lieux magiques. D'ailleurs la rédaction de cette petite histoire, que j'aimerais tellement vivre certes, m'a apporté tellement de joie ![i] | |
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