Tel père, tel fille ...

Coucou !! Voici une nouvelle fiction. Alors pour certains, vous vous dites que j'en écris déjà une ,mais celle-ci m'aide vraiment côté confiance et tout... Enfin c'est compliqué...  Donc l'histoire c'est un peu une surprise ^^

Ci je l'ai mis ici c'est parce que la fiction sera plus centrer sur la vie d'une jeune fille, mais il y aura évidement nos chers csi ^^

Titre : Tel père, tel fille ...
Auteur : Eddie♥ (sophieW.^^)
Personnages : Il y aura : Mac, Jo, Lindsay, Danny,Don, Adam, Sheldon, Sid, et d'autres personnages qui vont arriver au fur et à mesure. Aucun personnage ne m'appartient à part ceux que je crée.
Ship : Ben un peu de D/L ùais c'est très léger et aussi un léger Jac

Par contre je suis désolé s'il y a des fautes. S'il y en a trop dites le que j'essaye de faire mieux mais j'essaye de faire mon possible  

Et sans plus attendre voilà le début. 

J'ai hâte d'avoir votre avis !!


                                                             


PDV jeune adolescente.

Tout le monde était habillé en noir et beaucoup de personnes m'étaient totalement inconnues. La cérémonie venait de se finir et je n'avais qu'une envie me dire qu'elle était encore vivante et que tout ça n'était qu'un horrible cauchemar. Mais ce n'était pas la cas. La réalité était si douloureuse. Je marche avec plein de personne jusqu'au cimetière. Il y a du soleil, mais le vent est traître. J'ai mis mon écharpe et mon gros manteau. Le mois de février est assez rude cette année. Comme chaque année à Washington. On vient de bénir le cercueil et là on le met en terre. Je n'ose même plus regarder. Les larmes me montent à la gorge mais elles y restent coincées. J'ai envie de me jeter dans le trou avec le cercueil mais je suis sûre qu'on m'en empêcherai ce qui est soit dite en passant normal. Mais elle me manque énormément . Et maintenant je fais quoi ? Pas de père et plus de mère. Quelques membres de la famille que je ne connais pas encore super bien ont décidés de venir m'aider en rentrant à la maison. Je trouver il y a quelques jours ses dernières volontés ,mais je n'ai pas ouvert le carnet. Je sais pas je ne me sentais pas prête de l'ouvrir. C’est beaucoup de pression pour une seule personne. Surtout quand on a 15 ans... Je vais déjà mettre la plupart des affaires de maman dans des cartons. Je veux que tout ça soie vite fait. Je n'ai plus envie d'y penser après. Je dois me remettre au plus vite, mais, ma cousine me dit que je fais les choses trop vite. Elle a sûrement raison, mais c'est comme ça que j'essaye de gérer. Tout est fini... Elle est enterré et déjà pas mal de personnes sont partis. Je reste un moment près de la tombe fraîchement fermer et ma gorge me serre. Tout ce que j'entends c'est le vent qui souffle de plus belle et mon cœur qui bat dans ma tête. Une main se pose sur mon épaule et je sursaute, de suite mon rythme cardiaque augment de quelques crans et ma respiration s'accélère. Quand je reconnais la main qui s'est posé sur moi, je me calme doucement. Je me retourne et serre fort ma marraine dans mes bras. Elle m'annonce qu'il faut partir si on vaut avoir le temps de mettre le plus de chose dans des cartons. Je la laisse partir devant et je dépose la rose que je tenais en main depuis tout à l'heure sur la tombe. J'emboîte le pas de ma marraine et je la rejoins dans la voiture. Dès que je ferme la portière, il se met à pleuvoir à grosse goutte. Ma marraine met la radio, mais je n'y fait pas attention. Je regarde dehors, la tête appuyé contre la vitre refroidi pas le vent et la pluie qui faisait rage dehors. Qu'est ce que je vais devenir ? Je n'ai plus de mère, je ne suis plus rien. Mes yeux bleus se mouillent petit à petit mais je sens que mes sanglots restent coincées dans le fonde de ma gorge.

-                    «Brooklyn ? Ça va ? » Me demande marraine.

J'hoche la tête et gémis un peu. J'aurais bien voulu lui dire que ça pourrait aller mieux ,mais je n'arrive pas à parler. Et je suis sûre que si j'aurai ouvert le bouche ,seule de la buée en serait sortie. Sans même que je parle ,je sais que ma voix tremble. Elle est -j'en suis sûre- rauque. Je ferme les yeux et j'essaye de faire le vide dans ma tête. Je crois que ça marche car, je tombe dans un sommeil assez léger. Il n'a pas fallu beaucoup de temps pour que je me réveille au premier feux rouge sur notre chemin. Mes yeux sont à moitié ouvert et j'entends toujours la pluie qui cogne contre la voiture et les vitres. Le temps est gris et ça me renforce dans mon tristesse. Après un bon moment de route ,on arrive enfin à la maison. Ma marraine sort en première et je continue comme mon habitude à la suivre. Quand on entre il y a déjà de l'agitation. Mais j'ai l'impression d'entrer dans une maison qui n'est pas la mienne. Comme si je n'avais jamais vécu ici. C'est maman que faisait vivre la maison et maintenant qu'elle est parti ce n'est plus comme avant. Des grandes cartons vides sont déjà préparés et certains sont entrain de se remplir. Je m'en vais les larmes aux yeux dans la chambre de maman et je reprend en main le carnet de ses dernières volontés. Marraine le prend et l'ouvre. Je ne peux pas rester, je pars dans ma chambre et enfui ma tête dans mes coussins. Les larmes coulent enfin et je me soulage peu à peu... J'essaye de me calmer ,mais c'est comme si c'était mission impossible. Entre sanglots et respiration saccadé j'ai l'impression que je vais étouffer... Puis je commence à me calmer quand j'entends que le ton monte dans la pièce d'à côté. Je me lève et silencieusement je traverse le corridor. Je me planta devant la porte à peine ouverte et je regarde ce qu'il se passe entre mon parrain Reed , ma marraine Abby et mon cousin Shane.

-                « Il faut lui dire ! » Fit Abby.
-                « T'es sérieuse ?! Elle sera loin de nous ! » S'énerva Reed.
-                « Alors tu t'occupes d'elle ! »
-                « Tu sais très bien que je ne serais pas ! »
-                « Ça pourrait la rendre heureuse... » intervient Shane.
-                « On doit avertir les services sociaux. C'est eux qui s'occuperont de la procédure. »

Je ne comprends pas vraiment tout. J'observe leurs mouvements, et mon regard s'est posé sur la main de Reed qui a le carnet de maman en main. Je ne sais pas si il faut que j'entre ou pas. Je suis pétrifié sur place. Je n'arrive même pas à savoir si ce qui va arriver est bien ou non. Shane tourne la tête et ses yeux verts se pose sur moi avec un sourire triste. Les autres arrêtèrent de parler et me déshabillèrent du regards. Je pousse doucement la porte et j'entre.

-                « Vous parliez de quoi ? » Demandai-je.
-                « De rien ma puce, va te reposer... » dit Reed pas très sûre de lui.
-                « Non ! Si tu avais l'occasion d'être avec quelqu'un de ta famille tu serais d'accord ? » Demanda Abby.
-                « Avec vous ? »
-                « Non... Avec quelqu'un que tu ne connais pas ? »

J'hausse les épaules sans vraiment répondre. Je ne comprenais pas vraiment le sens de leurs questions. Et pourquoi ils parlaient des services sociaux ? Ils comptes m'abandonner avec des inconnus ? Du les '' quelqu'un que je ne connais pas ''. Tout s'embrouillait dans ma tête et je n'arrivais plus à réfléchir correctement. Abby voit que je commence à partir doucement et elle me fait asseoir sur une chaise tandis que Shane va me chercher un verre d'eau. J'ai la tête qui tourne et j'ai l'impression que la pièce aussi commence à tourner. Je me tiens de toute mes forces à la chaise et avant de tomber dans le noir je vois Shane arriver avec le verre d'eau.
Je peine à ouvrir les yeux. Le peu de lumière m’éblouis mais bientôt mes yeux s'habituent à la lumière. Je suis recroquevillé dans mon lit, la porte entre-ouverte laisse passé un filet de lumière. Je m'assied et allume ma lampe de chevet. Tout mes placards son ouverts et presque vide. Je regarde autour de moi et vois quelques des mes affaires éparpillées à terre. Je panique un peu puis plus je reste là dans mon lit plus je panique. Je me lève, et glisse sur un t-shirt étaler à terre. Je tombe, la tête la première mais je ne suis que sonnée. Je vois un tout petit peu de sang sur la carpette bleu et je me touche le front. Je saigne un peu rien de très grave, je dois sûrement m'être un tout petit peu ouverte. Je me relève lentement et une fois debout et je mets à courir hors de ma chambre. Je parcoure les pièces et quand j'arrive au salon, je vois une bonne partie de mes amies et de ma famille un peu partout. J'examine la pièce du regard et je m'arrête sur une énorme valise et un sac à dos.

-            « Qu'est ce qui se passe ? » M'inquiétais-je.
-            « Ma puce ! » Fit Abby. « Je suis sûre que tout ça va trop vite pour toi, mais je t'aime beaucoup. »
-            « Je comprends toujours pas ce qu'il se passe ici... »
-            « Tu pars pour New York ! »
-            « C'est géniale et qui vient avec moi ? »

Trois hommes en costume cravate noir levèrent la main. Leurs visages étaient froids et je ne les connaissaient même pas.

-            « Je comprends pas... »
-            « C’est qu'un simple voyage de routine... Soit tu restes ou soit tu reviens ne t'inquiète pas. »
-            « Mais je veux pas partir sans vous ! »

Abby me prends dans ses bras et je le serre aussi fort que je peu comme si je ne voulais pas partir. Enfin pas comme si ,je ne veux pas partir. Je veux rester ici. D'accord, j'ai souvent rêvé de partir à New York mais pas dans ses conditions. Plus tard, je décide de reprendre mon sang froid et de passer une bonne soirée avec mes amies. La soirée se déroule plutôt bien mais le moment le plus dur n'est pas encore arriver. Les autres partent et je leurs dit au revoir en essayant de ne pas pleurer. A la fin, il ne reste que moi et Abby. Comme il se faisait tard, sur les conseils d'Abby je vais dormir. J'enfile mon pyjama et je m'emballe dans la couverture. J'essaye de fermer les yeux mais le sommeil ne vient pas. Je n'arrive pas à faire le vide dans mon esprit et tout est encore si confus. Pourquoi je dois partir ? Pourquoi sans Abby ? Ou même Shane ? Et pourquoi New-York ? C'est peut-être la ville de mes rêves, mais je ne vois pas pourquoi je ne peut pas rester à Washington ? J'essaye de dormir mais je n'arrive pas. J'ai beau rester les yeux fermer , confortablement bien installé dans mon lit rien. Je me lève et me dirige vers mon bureau. J'allume ma petite lampe et prends un crayon. J'ouvre mon tiroir et je cherche le trou que j'ai fait en dessous et j'y place mon crayon. Mon double fond se soulève et je sors mon carnet. Je l'ouvre et commence à gribouiller quelques choses qui doit ressemblé à un paysage. Après plusieurs dessins je décide de m'arrêter et de tout éteindre pour me forcer à dormir. Mais toujours rien. Je pense à mon école, mes amies, ma famille... Ma mère... Je ne veux rien oublier. Je veux que tout mes souvenirs restent gravés en tête. Mais avec les jours, le temps, les nouveaux moments vécus les souvenirs s’estompent peu à peu ... Je déteste ça. C'est pour ça que dans mon carnet il y a tout. Depuis ma rentrée à la maternelle jusqu'à maintenant. C'est ma vie en dessin et parfois en quelques phrases et textes... J'hésite à écrire ou dessiner quelques choses en rapport avec la mort de ma mère. Ça fait parti de ma vie mais c'est si douloureux. Je l'écris quand même parce que même si ça fait mal, c'est ma vie. Et quoi qu'il se passe dedans, ça me fait des souvenirs. Je fais un croquis de l'enterrement en gros et j'écris comme une sorte de légende : '' Maman 6.07.1978 –15.02.2013 † ''. Je garde mon cahier et casse en deux la planche qui me servait de double fond. Je n'en aurai plus besoin si je pars à New-York. Je cache mon cahier sous mon oreiller , j'éteins la lampe et je me remballe dans mes couvertures moelleuses. Maintenant ,je n'essaye plus de m'endormir car c'est quand j'essaye que je n'y arrive pas. Alors je laisse faire et bientôt je pars dans mon monde préférer, celui des rêves. C'est l'heure de partir à New-York. Ma nuit c'est bien passé. A part Abby il n'y a personne qui est là pour me voir partir vers New-York avec trois inconnu en costume de pingouin. Je lui dit au revoir, la serre dans mes bras et un homme prend ma valise. Je prend mon sac en bandoulière et je vais m'installer dans la voiture. Je m'assied derrière, dans la voiture, près de la vitre et je m'attache. Avec moi derrière un homme s'est aussi mit près de la vitre,tandis que les deux autres sont devant. La voiture démarre et Abby me fait signe. Je lui sourit bêtement et bientôt je ne la voie plus. Le paysage défile à travers la vitre et ma gorge me serre. J'arrive pas à y croire. Je pars de Washington. J'ai le temps de les entendent crié avant que la voiture ne parte en tonneau. Je ne sais pas ce qui se passe mais on est pas mal secoué. J'essaye de m'agripper comme je peux ,mais c'est presque impossible. Je commence doucement à perdre connaissance, mes yeux se ferment et mon corps se laisse aller...

J'aime beaucoup ce début  , et puis surtout je me demande bien qui sont les membres de sa famille qu'elle va trouver à NY !

Et j'aime bien la jeune Brooklyn ! 

Merci beaucoup Zazou !!!     franchement !! <3

Voici la suite  



J'ouvre à peine les yeux que je les referment de suite. Je suis hors de la voiture saine et sauf. Je regarde autour de moi et les trois hommes sont allongé sur le sol. Je vais les voir et mon stress montent .Ils ne réagissent pas. Mon cœur bat plus vite et je cherche leurs pouls mais rien... Je me relève et je monte sur un talus qui doit sûrement donné sur la route. Mes genoux et mes bras sont écorchés et me piquent, mais j'essaye de ne pas y pensée. Je vois une voiture qui s'approche et je fais de grande signe, mais elle me dépasse sans même réagir...

-               «Ohhhhhh non, s'il vous plaît ! S'il te plaît !»

Je sens des bras qui m'entourent et j'ouvre les yeux. Je suis assise dans mon lit avec autour de moi Abby qui essaie de me rassurer. Elle passe sa main dans mes cheveux noires et  je me calme petit à petit. Je lui raconte mon rêve et on va toute les deux dans la cuisine. Elle me prépare un cacao chaud avec de la chantilly au dessus comme je les aimes. Maman me faisait toujours ça. Ça avait le don de me calmer après une nuit agitée... Il est exactement 2 h 32 et Abby le propose d'aller me recoucher mais je sais déjà que ne j'y arriverai pas. Elle me sourit tristement et me dit qu'elle va se remettre au lit jusqu'à tantôt. Si j'ai bien compris Abby ,les hommes viendront me chercher à 3h pour qu'on arrive vers 7 h si les conditions sur les routes sont favorables. Je vais dans le salon prends mon ordinateur et m'installe dans le divan. Le temps passe assez vite, et  je vais m'habiller avant qu'ils n'arrivent. Je farfouille dans une caisse de vêtements de maman et en sort son t-shirt préféré. Il a encore son odeur de fleur, si douce et tellement elle... Je l'enfile  et me regarde dans le miroir. Il me va assez bien ce T-shirt turquoise. D'ailleurs il fait ressortir le bleu de mes yeux. Je prends mon sweater noir et je continue de préparer. Puis je me plante devant la fenêtre pour être sûre de voir si ils arrivent. Une voiture rouge s'arrête devant la porte et depuis que je suis levé mon premier sourire apparaît. Je cours vers la porte et il a à peine le temps de frapper que j'ouvre la porte et le prends dans mes bras. Je lui dit d'attendre et je vais chercher Abby qui est toujours au lit visiblement fatigué par tout les événements qui s'enchaînent les uns après les autres. Dès que je lui ai dit de se réveiller je repars dans le salon et je vais le revoir.Je me dirige vers Shane qui a les yeux rouges. Même si on est que cousin, je l'adore ! Il est géniale. C'est pour moi un confident incroyable et me séparer de lui ça me fait super mal...

-             « Tu vas me manquer Shane. » Fis-je la voix noué par les sanglots.
-             « Toi aussi tu vas me manquer ma p'tite ! »
-             « Tu crois qu'on se reverra ? »
-             « T'inquiète pas. Quoi qu'il arrive tu restes ma Bibouille ! Et le temps et la distance changeront jamais ça !»
-             « Je t'adore ! »

Je le pris dans les bras et le serra fort. Mes yeux se voilent d'un filet de larmes qui voudraient tombés mais je ne veux pas. J'essuie vite mes yeux et Shane me lâche. Abby vient d'entrer dans la pièce, le sourire triste et les yeux pétillants. Je me dirige vers elle et sans rien dire je la prends dans mes bras. Elle me souffle doucement à l'oreille de rester forte et je répond en la serrant encore plus fort. Puis on frappe à la porte et mon sang se glace. Je me défais de l'étreinte d'Abby et je vais ouvrir. Ma main tremble sur la poignée et Shane arrive et ouvre la porte voyant que je ne pouvais pas. Ils étaient là, toujours aussi froid et impartial. Je les laissent entrer et je me tourne vers Shane et Abby. Ils me regardent tristement et je souris pour essayer de les rassurés mais moi-même je ne crois pas à ce sourire plus que trompeur. Le silence plane et l'ambiance est vraiment lourde, jusqu'à ce qu'un homme brise ce calme.

-              « Nous avons un peu plus de 4 quatre heures de route. Nous ferons un arrêt de dix minutes à Philadelphie et puis nous reprendrons la route jusqu'à New-York. » Fit il sans vraiment nous regarder.

Un autre homme prends ma valise, je prends mon sac en bandoulière. Je serre Shane et Abby dans mes bras et les larmes roulent jusqu'à mon t-shirt. C'est le moment d'y aller. Je me dirige d'un pas lent vers la porte et je vais m'installer dans la voiture. Une fois assise et attaché, je sors mon téléphone de ma poche, branche mes écouteurs et parcours ma liste de musique. La chanson que j'ai envie d'écouter c'est ''impossible'' la reprise de James Arthur. C'est peut-être une chanson d'amour, mais mon cœur est aussi brisé que celui dans la chanson. Je chantonne à voix basse appuyé contre la vitre mes jambes croisées. C'est toujours comme ça.  Dès que j'ai de la musique sur les oreilles je me mets à chanter. Et même si je chante extrêmement faux je me dis que si ça me plaît je dois le faire... La voiture démarre et Shane et Abby restent plantés au bas de la porte tandis que je m'éloigne lentement. Il fait encore nuit et je n'arrive pas à penser à autre chose qu'à Washington et maman. Toujours la musique sur les oreilles, je commence à somnoler  puis le sommeil prend le pas et je m'endorme. On secoue l'épaule mais je en réagis pas de suite. Avec insistance, un homme en noir continue de me secoue pour essayer de me réveiller. Je peine à ouvrir les yeux puis une fois que je suis un peu près réveiller je pousse un gémissement et on me prévient qu'on est arriver à Philadelphie. Je me lève et sors de la voiture. Je me dirige vers les toilettes et comme ce n'est pas méga propre je décide finalement de ne pas y aller et de me retenir jusqu'à ce que je trouve des toilettes mieux entretenue. C'est pas que je suis pointilleuse ,mais c'est juste dégueulasse... Après être rester un court moment ici, nous reprenons la route vers New York. Je n'arrive plus à me rendormir mais par chance le temps passe assez vite. Bientôt, je vois de panneau nous indiquant qu'on se rapproche de New-York. Mon cœur bat la chamade. Chaque seconde qui passe me rapproche de la ville de mes rêves depuis mes 6 ans peut-être... Même si je suis encore triste, j'avoue que je n'y pense plus tellement grâce à la Grande Pomme et à son magnétisme. Puis les minutes s'écoulèrent et bientôt nous arrivons dans le centre de la ville. C'est juste magique ! Toute c'est couleur, ces bâtiments incroyable, ces taxis. D'accord je viens de quitté Washington ,mais New-York qu'est ce que pouvais en rêver... Tandis que mes yeux pétillent ,la voiture continue de rouler jusqu'à un grand bâtiment. La voiture va se garer et on en sort. On marche un peu et plus tard on entre dans un commissariat rempli et déjà en pleine animation. On me dit de m'asseoir ,je m'exécute sans broncher et les trois hommes partent d'un côté. Après qu'ils soient bien avancé ,je décide de les suivre. Ils attendent devant une salle d'interrogation. Je fais le tour et vois une porte. Je l'ouvre et par chance personne n'est là. J'entre et je vois tout ce qui se passe.

Et qu'est ce qu'elle y voit ? Hein ? Dit ? Elle est où la suite !!!!!  

très beau chapitre  

Merci beaucoup zazou contente que ça te plaise !!    

de rien beaucoup  

Coucou !! Voici la suite !
Bonne lecture j'espère que vous aimerez !



- « Que ce soie maintenant ou plus tard tu plongeras quand même alors ? T'avoue ? » S'énerva t-il.
- « J'ai rien à dire. »
- « Tu te moques de moi ? Mes collègues ont trouvés tes empreintes sur l'arme du crime et ton alibi ne tient pas la route !»
- « Intéressant.. »
- « Mettez-le moi au frais ! »

Un agent fit sortir le suspect et le lieutenant soupira. Jusqu'à ce qu'il voie trois homme le regarder. Ils souffla et décida d'aller les voir.

- « Je peux vous aidez ? » Demanda t-il sèchement.
- « On cherche le lieutenant Flack. » Finit par sortir un des hommes.
- « C'est moi... En quoi je peux vous aidez ? »

Ils firent asseoir le lieutenant Flack qui semblait réticent puis la conversation commença. Après un bon moment de discussion, mon cœur battait fort. J'avais l'impression que c'était le seul bruit qu'il y avait sur terre. Ce n'était pas possible. Des larmes de rages me montèrent à la gorge. Je voulu sortir quand je bouscule quelqu'un sans faire exprès...

- « Qu'est ce que vous faites ici ? » Me demanda un homme aux yeux verts.
- « Je... Je suis.... Vraiment désolée... J'aurais jamais du... Désolée... » Arrivai-je à articuler la voix noué par mes sanglots.
- « Vous êtes sûre que ça va ? »
- « Je... Je suis vraiment désolé... »

J'hoche la tête et pars en m'excusant encore une fois. L'homme que j'avais bousculé resta dans la salle et regarda à travers le vitre teinté.

- « Vous êtes sûre ? » Demanda le lieutenant Flack incertain.
- « Si vous nous permettez de procéder à un test ADN nous pourrons vous le confirmez. » Fit un des hommes en ouvrant une mallette.

Le lieutenant Flack accepta le test et ils lui prélevèrent un peu d'ADN. Un homme sorti de la pièce après avoir demander la permission pour aller faire quelque test dans le labo au haut. Il parti tandis que Flack resta avec les deux autres hommes. Il se triturait nerveusement les mains et dans les minutes qui suivent le résultat arriva.

- « Alors ? » Demanda le lieutenant en se levant de la chaise.
- « C'est confirmé. »
- « Je peux la voir ? »
- « Bien sûre. Elle attends dans le commissariat. Voici une photo d'elle qui appartenait à sa mère. »

Le lieutenant prit la photo et sorti de la salle cherchant le visage de sa fille.

Moi, je me suis caché sous la capuche de mon sweater et j'observe d'un œil plus qu'intéressé la personne qui est censé être mon père. Dès qu'il s'approche trop près de moi ,mon cœur bat à toute vitesse. J'ai envie de le prendre dans mes bras et en même temps de le frapper. Il s'approche de moi et essaye de me regarder dans les yeux. Je pars discrètement du poste et me fait bousculer par une femme aux cheveux noire qui demande aussitôt pardon. Je tourne la tête vers elle et lui dit que ce n'est rien. A ce moment je vois que le lieutenant Flack me regarde droit dans les yeux et sourit. Je n'ai qu'une solution ,fuir. J'adopte la marche accélérer pour ensuite me mettre à courir hors du commissariat. Je prends à droite et continue en courant. Je me retourne et vois qu'il me suit. Je m'aventure dans une rue fréquenter et entre dans un bistro. Je dois être à l'abri normalement. D'accord c'est mon père, mais il n'a pas été là pendant toute mon enfance. Je dois le prendre comment ? Une main se pose sur mon épaule et je ne manque pas de crier un tout petit peu. Je me tourne et le vois, le regard pétillant et le sourire bienveillant. Je ne sais pas trop quoi faire... Je reste assise sur ma chaise à le regarder dans les yeux. Ses yeux bleus presque comme les miens. Il s'assied et me regarde avant de parler.

- « Je suis pose que tu viens de l'apprendre comme moi ? »
- « Vous êtes qui ? »
- « Je m'appelle Don... Et toi c'est ? »
- « Brooklyn... Maman adoré cette région quand elle vivait à New-York. »
- « Oui... Ta mère... »
- « Je suis désolé, mais j'ai rien à vous dire... »

Je me lève et pars vers la porte avant que Don me retienne par le bras. Je le regarde dans le blanc des yeux avant de me rasseoir.

- « Qu'est ce qu'il y a ? » Aboyai-je.
- « Tu n'as pas envie ... Je sais pas moi, de me connaître mieux... »
- « Et vous n'aviez pas envie de connaître mieux ma mère quand elle est partie ? Vous nous avez abandonnez... »
- « Je savais pas qu'elle était enceinte. Tu sais maintenant on va vivre ensemble et... »
- « Vivre ensemble ?! »
- « C'était dans les volontés de ta mère... Mais si tu préfères... »
- « Non... Si maman voulait que je vive avec vous, je lui fait confiance... Mais ne croyez pas que je vais vous aimez pour autant... »

Je souris brièvement et il fait pareil... Il se lève s'approche de moi et me serre dans ses bras. Il a les yeux qui pétillent et moi je le serre aussi dans mes bras. Pas aussi fort qu'il le fait mais je le fait quand même. Il me demande si je veux aller manger avec lui et j'accepte, mais il reçoit un appel et me dit qu'il doit d'abord passer quelques part... J'hoche la tête et le suit. On rentre au commissariat et on prend l'ascenseur direction le 36ème étage. Et une fois arrivé les portes s'ouvrent et dévoilent une décoration complètement différente du poste en bas. Ce sont de grands locaux avec d'énormes vitres. Je suis Don jusqu'à une grande pièce avec quelques personnes. Il me dit de rester dehors et comme je n'ai pas trop le choix je reste ici ,seule. Je m'asseoir sur le sol, appuyé contre une des vitres de l'étage et je regarde un peu partout et mon regard s'arrête sur un distributeur de boisson. Je regarde Don qui à l'air très occupé. Je me lève et une fois devant la machine ,fouille les fonds de mes poches à la recherche de monnaie.

- « Allez ,j'ai bien encore dix centimes ! » M'énervai-je en cherchant de plus belle.
- « Tient. » Fit une voix derrière moi.

Je me retourne et voix un jeune homme, sûrement du même âge que Flack. Il a des cheveux bruns un peu bouclés, des yeux bleus et un énorme sourire sur le visage avec une barbe de quelques jours.

- « Merci beaucoup... »
- « De rien. »
- « Adam dépêche Mac nous attends ! » Intervient un jeune homme avant de rentrer dans le même pièce que celle où se trouvait Flack.
- « A plus tard... » Fis-je en souriant.

Mince, j'avais loupé cette fic dis donc!
C'est très bien Eddie, vraiment. Continue comme ça

Merci beaucoup Zat !! je suis contente que tu lise a fiction tout comme Zazou !!     !!!

Super suite ! Don est le père, je sais pas pourquoi mais je le sentais un peu  

   bizarre non ?   

eddie♥ a écrit:

Merci beaucoup Zat !! je suis contente que tu lise a fiction tout comme Zazou !!     !!!

De rien Eddie   

Voici la suite ! j'espère que vous l'aimerez !

Bonne lecture  !!  



Il sourit aussi et il parti avec l'autre gars avant de rejoindre Flack. J'ai pas encore le réflexe de l'appeler '' papa ''. C'est pas mon père. Il peut dire ce qu'il veut. Ça le sera jamais. Un père ,c'est quelqu'un qui est là quand on est petite pour nous dire que le foot c'est marrant. D'ailleurs, j'adore le foot, mais c'est pas la question. Un père il est là pour te dire que tu peux prendre un cookie dans la boîte à bonbon parce que maman n'est pas encore revenue du travail. Un père c'est quelqu'un qui te voie grandir et qui t'aime plus que tout... Et j'ai pas eu de papa pendant mon enfance. Alors, maintenant ça changera pas... Je me prends une bouteille d'eau car j'essaie depuis un bon moment de ne plus boire de boisson gazeuse mais j'avais craqué il y a quelques jours en me prenant une canette de coca, mais bon, une ne peut pas me faire de mal. Tant que je me pose des limites que je respecte ,ça devrait aller. Je cherche un endroit où m'asseoir mais comme je ne trouve rien qui soie hors d'un bureau je décide de reprendre ma place à terre. J'ouvre ma bouteille d'eau et bois toute regardant ce qui se passe avec Flack. A un moment c'est un homme aux airs assez sérieux qui parle et Flack tourne son regard vers moi. Je continue à boire et je vois que bientôt une jeune femme au cheveux brun presque noir me regarde aussi avec insistance et une grand sourire assez sympathique. Je détourne la tête et me lève pour partir un peu plus loin. A l'abri des regard. C'est pas que j'aime pas qu'on me regarde, enfin, si un peu, mais c'est surtout que je n'ai pas l'habitude d'être le centre d'attention. Je continue à boire et regarde parfois d'un œil ce qui se passe autour de moi. Mon téléphone sonne et je regarde le numéro avant de sourire et de répondre.

- « Shane ? » Demandai-je.
- « Eh ! Ça va ? T'es bien arrivé ? »
- « Oui... »
- « C'est comment ? »
- « D'avoir un père qui est flic et que je connais pas ? C'est... J'en sais rien pour être franc. »
- « Tu te sens bien au moins ? »
- « Vous me manquez... Mais maman voulait que je vive avec lui et je peux pas refuser ça... »
- « Tu vas sûrement l'apprécier avec le temps. »
- « Ouais... »
- « Bon, allez je te laisse. A+ ma Bibouille. »
- « A+.... »

Il raccroche te moi je suis là, téléphone en main et le regard pendu dans le vide. Et si Flack m'avait laissé parce qu'il ne voulait pas de moi ? Peut-être qu'il savait que ma mère était enceinte et qu'il voulait pas avoir d'enfant ? Faut vraiment que j'arrête d'y penser, sinon ma journée va pas être super heureuse... Je vois au loin une salle vide, avec de grands tabourets et des tables et une TV. Je m'assieds comme la télécommande est devant moi, je la prends et allume. Je tombe sur un programme montrant Washington car il y a eut une manifestation. Je regarde et arrive à voir où ils sont. Puis je sens une présence derrière moi. Je ne bouge pas et continue de regarder la TV. Quand une main se pose sur moi, je me retourne et tombe de mon tabouret.

- « Je suis désolé ,ma puce. » Fit Don en me relevant.
- « Ne m'appelle pas ''puce''. On se connaît à peine... »
- « Brook ... Écoute »
- « Voilà ! Brook c'est parfait. »
- « J'aimerai te présenter à quelques personnes. »

J'hoche la tête et le suis, tête baissé et le cœur battant. Il me fait rentré dans la pièce et la je vois ce Adam et cette dame qui me fixait. Sans parler de la personne de tantôt avec ses yeux verts.

-            « Je vous présente ma fille, Brooklyn. » Fit Flack fier et avec un grand sourire.

Les autres me disent bonjour et me regardent avec de grands sourires. Je fais de même et puis me tourne vers Flack qui me sourit. Je ne me sens pas super à l'aise et j'ai l'impression d'être de trop mais bizarrement l'attitude de Flack me rassure un peu.

-            « Comment tu trouves New-York ?» Me demande Jo.
-            « Eh... Ben c'est pas mal... Mais j'avoue que Washington me manque quand même... »
-            « Ah... Je te comprends. Washington c'est si différent d'un certain point de vue. »
-            « Vous connaissez Washington ? »
-            « Bien sûre. »

Je lui sourit et elle fit de même. On discuta un peu tous ensemble, mais je mourrais de faim et Flack avait décidé de m'emmener dans un café pour me faire manger. On s'était mis en route pour aller manger et dans la voiture Don me lançais quelques regards entre deux feux rouges. Moi je le regardais du coin de l'œil et puis me ré-appuyais contre la vitre. Une fois arrivé, je sorti de suite et Flack me suivi. Je commanda une salade et Don lui prit un sandwiche et un café. Je suis ailleurs... Je crois qu'il faut que je m'habitue au plus vite à cette nouvelle vie de New-yorkaise. Puis je repense à Shane... Il me manque beaucoup.

-            « Eh ? Brook, ça va ? » Me demande Flack,l'air inquiet.
-            « Ouais... Je pensais juste à un ami... »
-            « Tantôt on se mettra à la recherche d'une école, d'accord ? »
-            « Pourquoi ? »
-            « Pour pas que tu rates ton année ! Et c'est important l'école. »
-            « Je sais, mais je connais personne...Et en attendant je fais quoi ? »
-            « J'ai ma petite idée... »
-            « Je le sens très mal. »

Don me regarde, sourit et je ne peux m'empêcher de faire de même. Flack décide après avoir mangé de me déposer à l'appartement. Mes valises sont dans le coffre de sa voiture et moi , j'ai toujours mon sac à dos avec moi. On se met en route, direction : l'appart de Flack . Une fois arriver on prend l'ascenseur et on arrive devant la porte.

-            « Eh comme, j'ai pas encore de pièce pour te servir de chambre tu dormiras dans la mienne et je prendrai le canapé. » Fit il en entrant.
-            « Non, ça va je prends le canapé. »
-            « Non, tu vas pas... »
-            « Flack... »
-            « Non, tu prends ma chambre... »

Je soupire et souffle tout bas que je dormirais sur le canapé.

-            «  Tu veux faire quoi ? » M'interrogea t-il.
-            « Je... Je sais pas... Je crois que je vais aller défaire mes valises et puis je verrais. »
-            « Pour le moment, je dois retourner mais demain faudra que tu te lèves tôt, d'accord ? »
-            « Pourquoi ? »
-            « Parce que... Allez je te laisse mais si tu veux tu peux aller faire un tour en ville. »
-            « C'est vrai ?! »
-            « Oui, mais tu rentres pour quatre heures. Je te fais confiance. »

J'hoche la tête et Don m'embrasse sur la joue avant de partir et de me sourire une dernière fois. Moi je suis assez contente de rester seule même si je voyais bien que Don avait du mal à me laisser seule. Je suis sûre qu'il aurait voulu passer un peu plus de temps avec moi, mais pour le moment c'est assez brouillon tout ça concernant les horaires et ce que je vais faire. Je vais défaire mes valises et m'arrête après l'avoir ouvert. Je décide de faire un tour de la maison et commence par la cuisine. J'ouvre les placards un à un et regarda à l'intérieur. Il y a des céréales, du pain, et des donuts. Moi qui croyait que le cliché des policiers et de leurs histoire d'amour avec les donuts était fausse, Don en ai la preuve vivante... Je prends le paquet et en fourre un dans ma bouche avant d'essayer de refermer le paquet. Je prends mon donuts en main et continue le tour de la maison. Je passe le salon que j'ai vu brièvement du regard en entrant et me dirige vers un couloir. Il y a plusieurs portes et j'ouvre la première à ma droite.  C'est la salle de bain qui n'est pas mal. Elle est assez bien décorer et est munie des mêmes accessoires qu'à Washington. Il y a même le sablier poussin comme maman avait. C'était un sablier en forme de volatile qui ,petite, me servait à me brosser les dents. A chaque fois que je voulais monter au lit sans me laver les dents, maman me disait que le poussin serait triste de pas me voir et comme je n'aime pas faire de la peine aux autres j'allais me brosser les dents. Maintenant, ça parait si bête, et c'est ce qui fait tout le charme de la chose. On grandit et on trouve certaines choses débiles, mais là je trouve ça trop mignon ! J'en reviens à ma petite visite improviser et sors de la salle de bain pour aller à la porte d'en face qui est la chambre de Don j'imagine. C'est des tons assez foncé, mais ça a quand même une touche de classe. Je sais que ce n'est pas bien, mais je décide d'aller fouiller un peu dans les tiroirs. Dans celui de la commode, tout en bas je trouve un tas de papier en bataille et plein d'autre choses : comme des photos, des enveloppes, ... Je pars en peu dans le passé de Don et je découvre une photo avec maman et Don. Ils avaient l'air si heureux. Maman avec son sourire magnifique plein de grâce et Don avec ce sourire dragueur beau gosse. Je sors la photo du tiroir et je la met dans ma poche avec précaution avant de repartir. Je ferme la porte pour en ouvrir une autre pour découvrir une sortie de grenier ou d’entrepôt ,ça dépends comment on voit la choses... Je regarde un peu ce qu'il y a et puis referme la porte. Je décide d'aller voir un peu les environs, je prends mon manteau et sors. Dehors il fait assez frais et le vent frappe contre mon visage. Je regarde un peu autour de moi et je m'avance dans une ruelle où un reflet à attiré mon attention.

C'est une très belle suite.

La narration au présent me gêne un peu, mais bon, ça n'engage que moi

J'aime bien cette suite, j'espère qu'ils vont finir par plus s'apprécier, je sais pas, Brooklyn semble plus distante, mais je comprend en même temps.

Merci beaucoup les filles !! vos comm's me font plaisir et j'en prend bien note       !!!

De rien Eddie   

Désolé pour les temps entre les posts  mais j'ai pas vraiment le temps comme je rentre souvent à 17h30 ou au pire 18h30 enfin bref  déso quoi  
mini suite bonne lecture  

Sur le sol crasseux, j'aperçois une insigne de police du département de New-York avec à côté une pomme traversée d'une flèche probablement en argent. Je cherche dans ma poche un paquet de mouchoir mais j'en trouve pas. Je prends en photo chaque éléments et puis je repars. J'arrive pas à me sortir de la tête cette pomme et cette insigne. Plus loin à l'angle de la rue ,je vois un café. J'entre et vais jusqu'au comptoir.


-            « Vous avez des toilettes ? » Demandai-je en les cherchant du regard.
-            « Si vous consommez, il y en a oui... » Fit un homme, un sourire ironique affiché sur son visage.
-            « Vous faites pas chier... » murmurai-je entre mes dents. « Une eau plate et une cookie praliné au chocolat blanc... » Commandai-je. « Mettez moi tout ça à emporter et pouvez vous m'indiquer le chemin des toilettes. Oh et mettez tout ça sur le compte de Don Flack. »

Il hocha le tête, pointa du doigt le couloir que je devais prendre te je m'y aventura. J’entre dans une toilette et déballa des tonnes de papiers toilettes. J’essaye de fourrer les plus dans mes poches mais c'est assez voyant. Après tout je m'en fiche. Puis me rappelant pourquoi je suis ici je me dépêche. Je sors en hâte des toilettes manquant de bousculant une femme. Je prend ma commande sur le comptoir et sors du café. Je retourne dans la rue dans laquelle j'étais avant, mais je remarque que je me suis trompé de direction. Toutes les rues se ressemble ici. Je retourne sur mes pas et arriver devant le café je regarde attentivement autour de moi. Je prends à droite et arrive à reconnaître un peu près l'endroit. Je retrouve enfin ma petite ruelle sombre et tout les objets sont encore là. J'emballe la pomme et l'insigne dans le papier toilettes et je rentre à la maison avec. Peut-être que c'est un collègue à Don ? ... Je voudrai aller voir Flack pour lui donner mais je n'ai pas son numéro. Et comme il y a plus d'une dizaines de postes, ici, à New-York, je ne suis pas prête de trouver dans lequel il travaille ! Je dépose dépose les objets sur la table et je pars devant mon ordinateur. Je commence à pianoter sur le clavier. Les minutes s'écoulèrent et après un bon quart d'heures j'enfile mon manteau et prend de l'argent avant de sortir encore une fois de l'appartement. Dehors il s'est mis à pleuvoir et l'au commence à transpercé mes vêtements. Je finis vite par être trempé, et je n'ai aucun endroit où me mettre à l'abri. Je remonte plus loin dans la rue et je vois plusieurs taxis garé. Je souris légèrement et avance rapidement vers eux. Un chauffeur me vois arriver et s'installe déjà dans son taxi. J'entre ,m’installe confortablement sur la banquette arrière et dit mon adresse : 119ème, Lexington Avenue dans le Bronx.


-            «  Vous voulez allez dans le Bronx ? » S'étonna l'homme en démarrant le moteur qui rougissait de vieillesse. 
-            « Oui... Pourquoi ? »
-            « C'est n'est pas vraiment un endroit sûre, vous savez ça ? 
-            « J'en ai entendu parler ,mais pour être franc j'aime bien l'aventure. »
-            « Bon, ben en avant pour le Bronx. »

Pourquoi dans le Bronx ?   J'ai beaucoup aimé cette suite  

merci beaucoup Zazou ça me fait super plaisir !!    

Elle est vraiment chouette cette suite

Merci beaucoup Zat    

De rien   

petit suite pour la soirée


Le silence était encadré par le son de l'auto radio et par la pluie qui cognait contre les vitres du véhicule. Je regarde défilé le paysage et parfois je lançais un coup d'œil vers le chauffeur qui était concentré sur la route. Pourtant il n'y avait pas de quoi s'inquiéter. Les voitures n'avançaient presque pas tant il y avait des files d'embouteillage. Après une minute, elle fouilla dans sa poche, cherchant son gsm. Une fois l'appareil dans sa main, la jeune fille alla dans sa playlist de chanson préféré. La plupart du temps, les chansons qui y figuraient étaient soit d'ancien chanson ou soit des chansons qui étaient complètement inconnu à ses amis ou ses proches. Je mets une de mes chansons préférées qui est assez connu et je commence à chanter tout bas comme à mon habitude.

Le temps passe et bientôt j'arrive à destination. Je sors un peu d'argent de ma poche et le donne au chauffeur avant de partir. Je suis devant un énorme bâtiment. Le premier bâtiment devant lequel on s'est arrêter. Celui où tout à commencer... Je prends une grande inspiration et entre. Comme toute à l'heure, l'agitation est bien présente. Même un peu trop. Je m'avance un peu et remarque la salle d'interrogation où on a dit à Flack que je suis sa fille. Je reste un moment devant, pensive... Je me fait bousculer par quelqu'un et je reviens à moi. Je me dirige vers un bureau où il fait marquer : « Det. Don Flack ». Il n'y a personne. J'observe le bureau qui est impeccable. Tout est parfaitement rangé ,chaque dossiers porte un petit post-it. Je regarde autour de moi et vois un homme assis à un bureau, plongé dans un tas de papier. Je m'approche de lui et le regarde jusqu'à ce que je décide de parler.

• « Excusez-moi... Vous savez où est l'agent Flack ?»
  
  
  
• « Je crois qu'il est en réunion au labo, en haut. »
  
  
  
• « C'est quel étage ? S'il vous plaît. »
  
  
  
• « Je crois que c'est le 36ème étage... »
  
  
  
• « Merci. »
  

Je souris brièvement et il se replongea dans sa paperasse. Je me dirige vers l'ascenseur et monte. Dedans il y à une personne. Un homme, costume cravate, noir de peau. Il est assez volumineux mais il n'est pas vraiment gros. Il me sourit et je fis de même. Il va au même étage que moi. J'attends et parfois lance quelques regards vers lui. Un bruit résonne et l'ascenseur s'arrête. Il me laisse sortir en première et je le remercie avant d'essayer de me diriger dans les longs couloirs du bâtiment. Je reconnais, je crois, en face le bureau de Mac, mais il j'y a personnes. Je m'avance entre et regarde un peu autour de moi. Il y a sur son bureau une photo de lui en marine avec d'autres hommes. Mon regard passe toute la pièce en revue avant que je décide de sortir. Quand je referme la porte en verre, une dame avance devant moi et je l'interpelle.

• « Excusez-moi. Vous savez où je peux trouver le Lieutenant Flack ? » Demandai-je timidement.
  
  
  
• « Bien sûre, suivez moi ! » Me rétorque t-elle sans un sourire ou même une once de sympathie.
  

La dame marche devant moi. Elle ne me parle pas et ne lance même pas un regard vers moi pour voir si je suis bien. Moi je lui emboîte le pas. Je n'ai même pas envie de lui parler. A un moment, elle s'arrête ,regarde son téléphone et se tourne vers moi.

• « Je dois vous laissez. Pour trouver le Lieutenant Flack ,vous continuer tout droit puis vous prenez à gauche. » Explique t-elle en s'éloignant.
  

Je lui sourit ,la remercie avant de m’éloignai aussi. Je suis les instructions de la dame te bientôt j'arrive face à une grande salle où règne une énorme table ovale. Je vois Don qui est assis. Il a l'air assez concentrer. Quand à Mac il à l'air sur les nerfs. Je m'approche de la porte mais je me stoppe de suite. L'homme de l'ascenseur, lui aussi, est là. Il entre sans même frapper à la porte et je décide de m'approche pour écouter assez discrètement.

• « Chef Sinclair. » Firent Don et Mac en se levant.
  
  
  

• « Du nouveau Lieutenant Taylor ? » Demanda t-il
  
  
  
• « On travaille Mais avec les restrictions du personnel c'est un peu difficile d'avancer rapidement. »
  
  
  
• « Et bien il faudra faire avec. C'est tout New-York qui paye de la crise financière. »
  
  
  
• « Mais tout New-York ne doit pas résoudre des meurtres. »
  
  
  
• « Je n'ai pas le temps de parler de ça maintenant. Je veux juste savoir quand vous aurez des résultats ? »
  
  
  
• « Bientôt. »
  
  
  
• « Tenez moi au courant dès qu'il y a du nouveau. La femme d'un ministre qui se fait tuer ce n'est pas comme n'importe quelle autre affaire. »
  

L'homme dénommé Sinclair sort et me sourit. Tout les regards sont tournés vers lui avant que Don me regarde vienne me voir.

• « Qu'est ce que tu fais ici ? » S’inquiéta t-il.
  
  
  
• « Je dois te montrer quelque chose. »
  

Elle est très bien cette suite Eddie