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| Quand le passé vous ratrappe, il ne pardonne pas! | |
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Auteur | Message |
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perlnoir Looping accessoirement Admin.
Perso(s) Préféré(s) : Danny. Mac. et Jo Nombre de messages : 37318 Age : 48 Date d'inscription : 20/09/2007 Réputation : 0 Points : 53949
| Sujet: Quand le passé vous ratrappe, il ne pardonne pas! Mar 6 Nov - 1:08 | |
| Les personnages de cette fic ne sont en aucun cas ma propriété, je remercie d’ailleurs par avance CBS pour l’emprunt ! Personnages : Mac Taylor (Lieutenant et chef de la section scientifique) Stella Bonasera (Lieutenant et bras droit de Taylor) Daniel Messer (plus communément appelé Danny, lieutenant) Donald Flack (plus communément appelé Don Lieutenant mais de la criminelle, affilié à la scientifique) Sheldon Hawkes (Lieutenant, ancien Médecin- légiste reconvertit en tout terrain) Lindsay Monroe (communément appelé Montana par Messer, nouvelle recrue venue, je vous le donne dans le mille, du Montana) Syd Hammerback (médecin légiste) Adam (scientifique) Jane (Scientifique spécialisée dans l’ADN) mais ne sera que peut présente, c’est volontaire, je m’en débarrasserais en tant voulut! Louis Messer (frère de Daniel Messer) D’autres personnages s’ajouteront à la fic au fur est à mesure de son avancement ! :study: Bon ben les présentations faites, y'a plus qu'à ce lancer! :bounce: Ah j'oubliai Bon courage! 18h15, enfin la journée se termine, une enquête qui n’en finissait pas et le comble, le train qui prend du retard !Danny prit son téléphone et composa un numéro !Interlocuteur : Allo, oui ! Danny : Bonsoir mon ange, je suis désolé mais je n’ai pas vu l’heure passer et comme une chose n’arrive jamais seule (en grimaçant) le train aura une heure de retard ! C’est malheureusement loupé pour ce soir (l’air désolé) ! Sarah : Bonsoir (en souriant), ne t’inquiète pas pour le restaurant, tu devras juste te faire pardonner ! Danny : Je voulais tellement qu’on faite ton anniversaire ….. Sarah : (le coupant) Ce n’est vraiment pas grave, le plus important pour moi est d’être avec toi, l’endroit m’importe peu, et de plus, tu te rattraperas ce soir, j’y veillerais (en plaisantant) ! Dis-moi (redevenant sérieuse), toujours pas d’amélioration ? Danny : Non, il doit vouloir récupérer ces heures de sommeils (en riant) Sarah : Il se réveillera, c’est un Messer, vous avez toujours besoin de temps pour vous réveiller (se moquant) ! Danny : (s’humectant les lèvres et souriant) Je ne vois vraiment pas de quoi tu parles ! Sarah : Si je ne vous aimais pas Daniel Messer, je vous épouserai (plaisantant) ! Danny : (riant), Ouf, j’ai eu chaud alors ? (portant sa main à sa nuque) Sarah : Idiot, et toi ça va, la journée n’a pas été trop dure ? Danny : Non, ne t’inquiète pas, juste un peu fatigué, une bonne douche et ça n’y paraîtra plus (en souriant) ! Sarah : J’aurai penché pour un bon bain, puisque nous n’avons plus la contrainte du temps, on peut diner tard ! Danny : Hum, je trouve cette idée très alléchante, je me demandais justement pourquoi j’avais craqué pour toi, mais maintenant j’ai ma réponse (en se moquant) ! Sarah : Et bien tu vois je me posais justement la même question, mais pour ma part je n’ai toujours pas trouvé ma réponse, ce qui est certain, ce n’est pas pour ta ponctualité (le taquinant) ! Danny : Ok, Ok, je m’incline, tu as gagné, je m’occupe de la bouteille, toi du diner ? Sarah : Ca me va, on se retrouve dans une heure chez toi, en plus j’ai une surprise pour toi, mais je n’en dirai pas plus, à ce soir ! Danny : Tu vas me laisser comme ça en plan, sans m’en dire plus, (en souriant), tu es injuste avec moi ! Sarah : Comme ça je suis sûre que tu ne rentreras pas en retard, (en riant) ! Je sais, je suis cruelle mais c’est parce que je t’aime ! Danny : Tu me tortures et tu appelles ça de l’amour, (avec ironie) je t’aime aussi, à ce soir ! Sarah : A ce soir ! Danny raccrocha avec un grand sourire sur les lèvres, regarda sa montre et se dirigea vers une petite bijouterie, « Cercle d’Or », il entra se dirigea vers une vitrine de petits bracelets ! Une hôtesse s’approcha doucement près de lui et lui proposa de le renseigner !Hôtesse : Bonjour Monsieur, puis-je vous aider? Danny : En fait, je cherche un petit bracelet, très simple, disons que je pencherai plus pour la finesse du bijou que pour l’exubérance, je suis clair ? (en grimaçant) Hôtesse : Oui, je dirai même que vous savez ce que vous voulez ! Suivez moi s’il vous plait (lui ouvrant le pas) Vous avez un budget précis ? Danny : Non, je laisse libre arbitre au coup de cœur ! Hôtesse : Elle a beaucoup de chance (en souriant) Danny : Non, c’est moi ! Mais si on en revenait à mon bracelet ! (en souriant) Hôtesse : Oui, pardon, je deviens trop indiscrète, alors permettez-moi de vous présenter ce magnifique bracelet en Or, 8 carats, voyez la finesse du travail et la fluidité des filets en or, en or blanc et en or rose qui s’entremêlent ! Danny : Il est vrai qu’il est très beau, mais j’aimerais voir plutôt celui-ci s’il vous plait, (lui désignant du doigt) Hôtesse : Monsieur a très bon goût, c’est un bracelet Saphir et diamant, le bracelet est en or 18 carats, son poids est de 24,95 grammes avec 3,12 carats de saphirs et 0,20 carat de diamants. La longueur du bracelet est de 18 cm. Danny : Je prends celui-ci ! Il serait possible de me faire un paquet cadeau ? Hôtesse : Bien certainement monsieur, je suis certaine qu’il plaira à Madame (en souriant) Danny : Je l’espère, je peux régler par carte ? Hôtesse : Oui, j’aurai aussi besoin d’une pièce d’identité, s’il vous plait ! Danny : Voilà, (en saisissant son code) ! Hôtesse : Et bien monsieur Messer je vous remercie pour votre confiance et vous souhaite une agréable soirée ! (en lui remettant ses cartes et son paquet cadeau) Danny : Merci, à vous aussi ! Danny quitta la boutique pour se diriger vers une boutique à vin.Le vendeur : Bonjour Monsieur, que puis-je faire faire pour vous ? Danny : Bonjour Monsieur, je voudrais un Bourgogne, un de vos meilleurs s’il vous plait ! Le vendeur : Ah, un grand soir alors ! (en allant chercher la commande) Danny : Oui, (en souriant) Le vendeur : Un bourgogne de 1999, un grand cru, vous ne regretterez pas votre choix ! Danny : (en souriant), je n’en doute pas ! L’épicier : Autre chose ? Danny : Ce sera parfait, merci ! (en lui tendant sa carte bancaire) Danny régla sa commande et quitta la boutique pour prendre son train, celui-ci n’allait plus tarder. Enfin arrivait à la gare, une attente de 10 minutes s’ensuivait, le sourire aux lèvres il monta et s’installa près d’une vielle dame !19h10, Danny arriva enfin devant la porte de son appartement, il sortit les clefs de sa poche et ouvrit la porte le plus doucement possible, afin de dissimuler le cadeau.Il se précipita avec l’agilité d’un chat, jusqu’à la chambre et dissimula le cadeau sous son oreiller.Il se dirigea alors tranquillement vers la porte d’entrée qu’il claqua afin de lui faire comprendre qu’il venait juste d’arriver !Il retira tranquillement sa veste et se déchaussa, et déposa ses clefs sur le meuble à chaussures !
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| | | Poune Révolution !!!!!!!
Perso(s) Préféré(s) : REVOLUTIONS!!!!!! Nombre de messages : 90 Age : 38 Date d'inscription : 30/09/2007 Réputation : 0 Points : 18794
| Sujet: Re: Quand le passé vous ratrappe, il ne pardonne pas! Mar 6 Nov - 7:19 | |
| Ah !! j’espérais que tu remettes cette fic sur le fofo, pour que je puisse enfin continuer à la lire ! En plus du début…. Ça m’arrange aussi tiens ! Cette première partie (/assez courte au passage ), commence avec une grande surprise : on découvre un Danny casé avec une jeune femme… mais pas Lindsay (/ma pauvre… ca a du être difficile pour toi d’écrire ceci !) J’ai bien aimé la facilité avec laquelle tu nous permets d’imaginer cette relation. Danny reste naturel (/pas de gimauve… mdr), et rien que dans leur dialogue, on y découvre un certain jeu typiquement Danny, entre moquerie et ironie. Bref… En plus….petite surprise : dîner en amoureux…anniversaire….cadeau… (/si je ne connaissais pas un peu la suite je pourrais dire certaine chose…) Bref, j’ai adopté cette fic la dernière fois, et j’ai bien envie de recommencer (/cette, Poune, tu finiras de la lire / voui Chef). Peut-être juste une petit remarque, si je puis me permettre (/non !), petit problème de conjugaison régulier : - Citation :
- Sarah : Si je ne vous aimais pas Daniel Messer, je vous épouserais (plaisantant)
- Citation :
- Hôtesse : Bonjour Monsieur, puis-je vous aider ?
- Citation :
- Suivez moi s’il vous plait
Autrement rien à redire à part que j’ai envie de lire la suite !!!!!! Bizzzz | |
| | | perlnoir Looping accessoirement Admin.
Perso(s) Préféré(s) : Danny. Mac. et Jo Nombre de messages : 37318 Age : 48 Date d'inscription : 20/09/2007 Réputation : 0 Points : 53949
| Sujet: Re: Quand le passé vous ratrappe, il ne pardonne pas! Mar 6 Nov - 10:12 | |
| Roh Merci ma Poune!
Tu es un amour, vous aussi les Pounies mdr, la correction a été faite !
Euh vi permets-toi mdr, je ne demande que ça, surtout dans ce domaine mdr!
Surtout n'hésite pas à me corriger, ça me permet de me remettre toutes ses règles grammaticale que j'ai oublié avec le temps mdr, je vieillis !
Enfin, ça dépend pourquoi mdr, pour Danny comment dire, c'est différent , à force de passer la serpière, j'ai réussit à préserver ma forme !
Ravit en tout cas de ton com, je suis toute commotionnée mdr!
La suite toute a lure mdr
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| | | Wolfinette "Let's shake some dust"- Samson
Perso(s) Préféré(s) : Lindsay,Danny, Don Nombre de messages : 1807 Age : 33 Date d'inscription : 21/09/2007 Réputation : 0 Points : 19882
| Sujet: Re: Quand le passé vous ratrappe, il ne pardonne pas! Mar 6 Nov - 17:11 | |
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| | | perlnoir Looping accessoirement Admin.
Perso(s) Préféré(s) : Danny. Mac. et Jo Nombre de messages : 37318 Age : 48 Date d'inscription : 20/09/2007 Réputation : 0 Points : 53949
| Sujet: Re: Quand le passé vous ratrappe, il ne pardonne pas! Mer 7 Nov - 2:09 | |
| Merci Wolfinette
Encore Merci Poune 485 mdr
La suite comme promis : Danny : Bonsoir mon ange, Dit-il en se dirigeant vers la cuisine, fier d’avoir pu cacher le cadeau sans se faire prendre. (Mais il n’eût aucune réponse). "Sarah ?" (Rangeant la bouteille de Bourgone au frais.) "Sarah ?" (En traversant le salon en direction de la chambre, puis il se dit à lui-même,) "ben non idiot, tu y étais y’a pas une minute," (il regarda ensuite dans la salle de bain, toujours rien !) Danny : Je vois que t’as décidé de me faire courir (en souriant), l’appartement est certes grand mais je connais les moindres recoins, tu sais que tu vas perdre, t’as peut-être oublié que j’étais flic, (en riant) ! Chérie, c’est quand même dommage de perdre notre temps à se chercher alors qu’on pourrait faire des choses plus intéressantes, (en retraversant le salon en direction de la chambre d’amis) Toujours rien, il regarda sa montre, 19h23, elle n’est peut-être pas encore rentrée. ( en souriant, et se moquant de lui-même,) tu peux toujours chercher Danny, bon ben, maintenant que t’as bien joué à cache-cache tout seul, prépares la table, ce sera une bonne chose de faite ! Il sortit ses plus belles assiettes, mit les petites dans les grandes, déposa ensuite les verres, puis les serviettes ! Il prit quelques roses qu’il démembra et en éparpillant les pétales le long de la table, alluma des longues bougies qu’il plaça à chaque extrémité de la table, il tamisa la lumière et se rendit dans la cuisine ! Bon, maintenant passons au diner ! Il ouvrit le frigo, et un léger sourire se dessina sur son visage, "et bien", se parlant à lui-même, "la prochaine fois pense à faire les courses, parce que là, t’es mal barré ! Bon, j’ai quand même de la salade, c’est un bon point ! "(en fronçant les sourcils) Il ouvra le placard,( en riant), "faut vraiment que je fasse les courses, génial, des pâtes ! Heureusement que j’ai le cadeau, au moins les pâtes passeront mieux !" Il prépara les pates puis la sauce pour les accompagner, disposa le tout sur un grand plat et les porta au salon, fier de son exploit, "bravo, Danny tu m’épates" en regardant la montre, 19h45, toujours pas là, "je crois que là c’est elle qui va devoir se faire pardonner", (en souriant) ! Il prit son téléphone, lorsque celui-ci sonna ! Danny : Et bien je crois que c’est toi qui va devoir te faire pardonner, 1h30 pour aller à l’épicerie, tu fais fort ! Interlocuteur : Danny, c’est Mac, avant que vous n’alliez plus loin ! Danny : Oops, je pensais que, enfin, je vous en supplie, vous m’appelez juste pour me souhaiter une agréable soirée !!(en grimaçant) Mac : Je suis désolé de chambouler votre soirée, mais j’ai besoin de vous dans 20 minutes. East Village, immeuble 55 ! Danny : Mac je vous déteste ! Vous savez que j’ai une vie hormis le travail ! Mac : Moi aussi mais j’y peux rien si les criminels ne dorment pas, retrouvez-moi dans 18 minutes ! (puis raccrocha) Danny : Ce n’est pas vrai, (en grimaçant), je crois que je vais devoir faire mieux que des pâtes pour me faire pardonner ! Il composa le n° de Sarah quand il entendit la sonnerie de son téléphone en direction du salon ! Danny : Génial, elle l’a oublié (en souriant), ce n’est pas ta journée ! Il prit une petite feuille sur laquelle il inscrit : Il est 19h48, je m’excuse mais le devoir m’appelle ! Désolé pour ton anniversaire, je te promets qu’une fois l’affaire bouclée, je prendrais quelques jours et on ira à la campagne, je choisirais un endroit où le téléphone ne passe pas, il n’y aura que toi et moi ! Je t’ai préparé un semblant de diner, bon Voyage à L.A ! Appelle-moi quand tu arrives ! Joyeux anniversaire ! Je t’aime Danny PS : La prochaine fois, pense à prendre ton téléphone, c’est moi le blond dans l’histoire ! (en souriant )! Il colla le message sur le frigo et prit une rose du vase se trouvant sur la table pour la déposer sur le lit prêt du cadeau qu’il sortit de sa cachette ! Il éteignit les lumières, souffla les bougies et s’empressa de repartir travailler ! ******** Danny arriva enfin sur les lieux du crime, il descendit de sa voiture, prit sa mallette et se dirigea vers Don qui interrogeait une jeune femme en larmes.Danny : (s’approchant de Don) Salut, Don : (s’approchant à son tour en souriant ) Salut, t’as l’air crevé ! Danny : (en souriant à son tour) Mac ne peut plus se passer de moi, et d’ailleurs il m’attend, c’est où ? Don : 3ème étage, au fond à droite, (repartant vers la jeune femme) Au fait, l’ascenseur est en panne, bonne chance ! (se moquant) ! Danny : Merci (en grimaçant), y’a des jours comme ça où on devrait rester coucher ! Il monta les escaliers pour enfin arriver à l’étage puis il s’enfonça dans le couloir pour pénétrer l’antre du crime ! Il s’arrêta quelques secondes pour déshabiller les lieux, lorsque Mac leva la tête et le vit !Mac : Vous voilà enfin, je croyais que je devais venir vous chercher (avec ironie) ! Danny : (devant le pas de la porte en souriant) J’adore me faire désirer ! Mac : C’est avec les femmes qu’il faut faire cela, et encore, elles détestent attendre, elles se réservent ce luxe ! Et au risque de vous décevoir, je ne suis pas une femme, mais votre supérieur (en souriant) Danny : Je voulais m’accorder au moins 2 heures de répit avant de remettre mes gants (en les mettant et regardant la serrure de la porte) ! Mac : Je sais mais Stella, Hawkes et Lindsay sont sur une autre affaire de cambriolage ! Danny : (fronçant les sourcils) Encore ! C’est le 8ème en 3 jours, jamais ils dorment ? Mac : On est à New-York Danny ! Danny : Alors juste vous et moi, j’adore ! (en souriant) Bon, on a quoi ? Mac : (se levant et allant en direction de la cuisine) Gary Robinson, 57 ans, célibataire, en tout cas, on ne lui connaît pas de fréquentation. Il a été égorgé puis mutilé dans sa cuisine ! Danny : (observant la victime) Il a d’abord été attaché à cette chaise, certainement pour l’immobiliser, puis on lui a tranché la gorge, (se rapprochant du cou de la victime), un geste net, aucune hésitation ! Mac : Oui, puis on lui a coupé les 2 mains, qu’on a soigneusement disposés sur la table et sur lesquelles ont été déposés les yeux de Mr Robinson. La mise en scène est telle qu’on pourrait penser à une offrande ! Danny : Une offrande ou une mise en garde ? J’ai l’impression que notre assassin a disposé les yeux de manière à ce que ses propres yeux le regardent ! Mac : (fronçant les sourcils) Ou alors notre tueur avait un message à lui faire passer ! Danny : Là c’est sûr, il l’a reçu, (regardant les mains de la victime)! Vous pensez à une vengeance ? Mac : On a trop peu d’éléments pour se lancer dans ce genre de théories ! Danny : Je me demande qui pourrait en vouloir à un homme de près de 60 ans, ce n’est pas le profil type de victimes pour ce genre de crimes ? Mac : On cherche le Comment avant le Pourquoi ! Allez au boulot ! La suite pour Demain, Merci encore pour vos coms!
Dernière édition par le Jeu 8 Nov - 18:52, édité 1 fois | |
| | | Poune Révolution !!!!!!!
Perso(s) Préféré(s) : REVOLUTIONS!!!!!! Nombre de messages : 90 Age : 38 Date d'inscription : 30/09/2007 Réputation : 0 Points : 18794
| Sujet: Re: Quand le passé vous ratrappe, il ne pardonne pas! Mer 7 Nov - 9:11 | |
| AAAAHHHHH que de bonheur le matin d’avoir une chtite lecture en se réveillant lentement (/parce qu’en fait, il lui faut quelques heures pour se réveiller / même pas vrai). Je ne sais pas comment tu as fait, mais j’étais morte de rire du début à la fin. On retrouve sans problème le grand Danny Messer et ses réflexions Messeriennes pleine d’ironie. Rien que le grand moment de solitude du début, lorsqu’il est entrain de chercher Sarah dans l’appart ! Le coup des courses aussi n’était pas mal… mais je pense que le must de l’histoire c’est quand même Mac au téléphone : Danny : Oops, je pensais que, enfin, je vous en supplie, vous m’appeler juste pour me souhaiter une agréable soirée !!(en grimaçant) Le pauvre petit chou… vraiment pas de bol :calimero01: : en retard, obligé de faire le « diner » lui même, et encore il n’y a rien à faire à part des pâtes et de la salade, puis sans avoir le choix (/ce serait tellement plus simple sinon) retourner au boulot ! et ceci avec une dernière petite touche made in Perl : Don : 3ème étage, au fond à droite, (repartant vers la jeune femme) Au fait, l’ascenseur est en panne, bonne chance ! (se moquant) ! Mdr !!!! Bref tout ça pour dire qu’il n’y a pas doute sur le fait que tu as su respecter à fond ce grand point de la série, mais surtout de Danny ! Il est là, drôle, mais sans en faire trop. Tout pile comme on l’aime. Au niveau de l’intrigue…. Parce uqe c’est quand même le cœur de l’histoire. A peine passé cette seconde partie qu’on est déjà plongé en plein dedans. Même si rien de bien spécial y est dit, on peut déjà penser à quelque chose de pas très catholique quant à l’absence de Sarah ! Vu de l’extérieur, c’est vrai que ça peut paraître louche… J’ai trouvé ça bien que Danny ne s’inquiète pas tout de suite…du genre un peu parano (/tu parle trop…abrège) J’apprécie que tu nous fasses découvrir la scène de crime à travers les yeux de Danny, à partir de descriptions orales, ça donne une véritable caractère réaliste à la scène, cette dernière étant déjà horrible : pauvre vieux, mort égorgé, les mains coupées, les yeux arrachés…. Bouh… C’est dégueulasse, faut le dire, mais au moins on est en plein dans le côté radicalement plus sombre des CSI :NY, comparé à ceux de LV ou Miami. A croire qu’à NY, ils sont plus sadique les gens… mdr !!! Bref j’ai envie de connaître la suite…. Du moins de la redécouvrir ! J’adore ton style, très distant avec les descriptions et la psychologie que tu fais plus passer par les dialogues. Bref : La suite….la suite…. La suite….. la suite….. la suite… Les Pounies : LA SUITE…………… REVOLUTION !!! - Poune n°485 a écrit:
- Spoiler:
Petite minute de la Poune n°485 : - Citation :
- Dit-il en se dirigeant vers la cuisine, fier d’avoir pu cacher le cadeau sans se faire prendre
- Citation :
- Danny : Oops, je pensais que, enfin, je vous en supplie, vous m’appelez juste pour me souhaiter une agréable soirée !!(en grimaçant)
- Citation :
- Oui, puis on lui a coupé les 2 mains, qu’on a soigneusement disposées sur la table et sur lesquelles ont été déposés les yeux de Mr Robinson
Gros bisous à toi... et n'oublie pas : LA SUITE | |
| | | Girlie Translate Girl - Modo
Nombre de messages : 1298 Age : 33 Date d'inscription : 20/09/2007 Réputation : 0 Points : 18891
| Sujet: Re: Quand le passé vous ratrappe, il ne pardonne pas! Mer 7 Nov - 10:23 | |
| Excellent ^^ ca fait vraiment du bien une p'tite lecture comme ca au matin ... en plus c'est assez original de voir Danny autrement que célibataire ( même si je suis ... oups c'est sorti tout seul ... ) La suite !!!! | |
| | | Wolfinette "Let's shake some dust"- Samson
Perso(s) Préféré(s) : Lindsay,Danny, Don Nombre de messages : 1807 Age : 33 Date d'inscription : 21/09/2007 Réputation : 0 Points : 19882
| Sujet: Re: Quand le passé vous ratrappe, il ne pardonne pas! Mer 7 Nov - 16:26 | |
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| | | perlnoir Looping accessoirement Admin.
Perso(s) Préféré(s) : Danny. Mac. et Jo Nombre de messages : 37318 Age : 48 Date d'inscription : 20/09/2007 Réputation : 0 Points : 53949
| Sujet: Re: Quand le passé vous ratrappe, il ne pardonne pas! Jeu 8 Nov - 18:49 | |
| Merci les filles!Merci Ma Pounie 485 tu es adorable, je t'adore!Euh, oui Girlie, elle est en effet aps très drole cette enquête mdr!Je suis en mode sadique c'est pour ça!Merci encore!La suite: Danny : Ok, (déshabillant la pièce du regard) A première vue l’arme du crime n’est pas là, il a dû l’emportée ! Vu la précision de l’incision, il n’y a pas eu de rupture ! (prenant son appareil photos) Mac : Net et précis, pas d’hésitation dans le geste, il savait ce qu’il faisait ! Danny : Une hachette ou un scalpel ! Prenant des clichés des mains) Mac : Un couteau bien aiguisé, et une connaissance du squelette suffisent à commettre ce genre de crime ! Syd nous en dira davantage ! Danny : Par contre pas plus de sang que ça, c’est du travail de pro ! Mac : N’allez pas trop vite Danny, il a pu nettoyer derrière lui ! Danny : Ou lui avoir injecté quelque chose afin que le sang coagule rapidement ! Mac : acquiesçant de la tête, peut-être, mais là encore Syd nous le dira ! Danny : (se baissant, et montrant du doigt les pieds de la victime) On lui a aussi ligoté les pieds, (grimaçant) rien n’a été négligé ! Mac : (s’accroupissant) Oui, les nœuds sont des plus basiques, mais il a prit soin de bien serrer (en tentant de glisser un doigt entre le cordage et las pieds de la victime), il voulait être certain qu’il ne le gênerait pas durant son exécution. Danny : Il a choisit la cuisine, pourquoi cette pièce en particulier, puis levant la main, je sais le Comment avant le Pourquoi (en souriant) ! Mac : (souriant à son tour) Il voulait certainement tout avoir à porter de mains ! Vous avez fini de prendre tous les clichés nécessaire ? Danny : C’est ok pour Mr Robinson et ses mains ! Mac : Vous avez besoin d’un coup de mains pour les yeux (en se moquant) ! Danny : (grimaçant) Très drôle, c’est Ok pour les yeux aussi ! Mac : Je vais demander alors qu’on emporte le corps à Syd avant de perdre des indices ! Mac prit son téléphone et appela Flack ! Mac : Flack, c’est Mac, vous pouvez leur dire de venir pendre le corps ? Flack : Ok, je vous les envois ! Danny : (se rapprochant du levier) Pas une seule goutte de sang dans le levier, vous pouvez me passer le Luminol s’il vous plait ? Mac : Tenez ! Danny : Merci ! Il vaporisa tout le levier, mais rien ! Danny : Rien Mac, si notre assassin a nettoyé son arme du crime, ce n’est pas ici ! Mac : Ok, on va se partager les pièces ! Je prends la cuisine, le salon et le couloir de l’entrée ! Vous, vous prenez la chambre, la salle-de-bain, l’autre chambre, et les toilettes ! Danny : Ok, j’avais rien prévue ce soir ! Mac : (souriant) Au boulot ! Mac commença l’expertise de l’entrée, s’ensuivit celle du salon, Danny quant à lui examina minutieusement les WC, la salle de bain, les couloirs qui embrassaient les pièces, il vaporisa de Luminol murs et sols qu’il croisait sur son passage mais rien, pas la moindre piste, il trouva bien des empreintes, mais elles appartenaient certainement à la victime ! Un meurtre a eu lieu dans cet appartement pourtant aucun indice n’a été relevé, rien leur permettant de confondre le meurtrier, Danny commençait à désespérer : Danny : Ce n’est pas vrai, j’ai du louper quelque chose (en fronçant les sourcils) Il se dirigea vers la chambre, celle-ci était meublée, mais du stricte minimum, soit d’un grand lit, d’une armoire et d’une table de chevet qui donnait sur l’entrée ! Il s’approcha du lit, celui-ci n’était pas défait, il déposa sa mallette au sol et commença à examiner le couvre-lit ! Rien en apparence ! Il déplia délicatement la couverture et le drap qu’il glissa au pied du lit ! Danny : (sortant la Lampe ALS) Alors Monsieur Robinson, voyons voir, vous étiez plutôt un vieux loup solitaire ou au contraire un chaud lapin ? (en passant la lampe ALS sur toute la longueur du lit). Danny : Rien ! (presque déçu) Vieux loup solitaire, bravo Mr Robinson, vous m’épatez à moins que vous n’ayez changé vos draps ce matin (se dirigeant vers la salle de bains) ! Il fouilla la corbeille à linge, puis la machine à laver, mais ce ne fut pas le cas ! Danny : Alors vieux loup solitaire (en grimaçant) Mac : Vous dîtes ? Danny : Rien Mac, je parlais à moi-même (en souriant) ! Mac : J’ai besoin de vous avec toute votre raison, sinon vous m’êtes d’aucune utilité (en souriant) ! Danny : Vous me décevez Mac, moi qui croyais que vous m’appréciez, (en riant !) Mac : Oui, mais j’apprécie surtout votre travail ! Danny : (regardant la glace de la salle de bains brisée devant lui), ça ne doit pas être pratique de se raser ! Il retourna dans la chambre et vît aussi la glace de l’armoire brisée ! Il ressortit dans le couloir qui menait à la chambre et vit une autre glace cassée ! Danny : Une glace brisée, ça peut-être un accident, 2 une coïncidence, 3 une piste ! Danny : Mac, est-ce que vous avez croisé une glace sur votre chemin ? (en haussant la voix) Mac : Non, rien dans le salon, (se dirigeant vers la cuisine, puis vers l’entrée), non, pas de glace chez moi ! Pourquoi ? Danny : Le Comment avant le Pourquoi Mac (avec ironie) Mac : Bien jouer, Danny (en souriant) ! Danny : Mr Robinson soit vous n’aimez pas votre reflet, soit votre assassin n’aime pas le reflet qu’il projette ! Il prit de la poudre, qu’il coucha délicatement sur le miroir à l’aide d’un pinceau, afin d’en faire ressortir des empreintes, il extirpa à l’aide d’une pincette une fibre de couleur noire qu’il glissa dans un sachet, puis sortit des petits transparents adhésifs lui permettant de figer l’empreinte ! Il fit de même avec les autres glaces terminant avec celle de la chambre. Une fois le relevé d’empreintes terminé, il reprit l’expertise de la chambre ! Mac de son côté, ne trouva rien à la porte d’entrée, la serrure n’avait visiblement pas été forcée, la victime avait dû faire entrer l’assassin ! Il prit les empreintes qu’il trouva sur la poignée de la porte, mais il devait en extraire celles de la victime ! Il vaporisa le sol de Luminol mais aucune trace de sang ! Il s’en doutait vu le peu de sang dans la cuisine, il était peu probable que l’assassin laisse une trace de son passage mais il préférait vérifier ! Il chercha d’éventuelles traces de chaussures, rien non plus ! Il s’asseyait à terre (l’air dubitatif) quand son téléphone sonna ! Interlocuteur : Mac, c’est Stella ! Mac : Stella, un problème ? Stella : Oui, ça fait une heure que j’essaie de joindre Danny, mais sans succès, il ne serait pas avec vous par hasard ? Mac : Si, il est ici, mais pourquoi le cherchez vous ? Stella : (un silence puis avec une voix plus que troublée), je, je (hésitante)….. Mac : Stella (inquiet) qu’est-ce qu’il se passe ? Stella : Ecoutez Mac, je crois qu’il est préférable que vous lui disiez de vive voix ! Voilou...............
Dernière édition par le Lun 12 Nov - 23:38, édité 1 fois | |
| | | Wolfinette "Let's shake some dust"- Samson
Perso(s) Préféré(s) : Lindsay,Danny, Don Nombre de messages : 1807 Age : 33 Date d'inscription : 21/09/2007 Réputation : 0 Points : 19882
| | | | Poune Révolution !!!!!!!
Perso(s) Préféré(s) : REVOLUTIONS!!!!!! Nombre de messages : 90 Age : 38 Date d'inscription : 30/09/2007 Réputation : 0 Points : 18794
| Sujet: Re: Quand le passé vous ratrappe, il ne pardonne pas! Jeu 8 Nov - 21:39 | |
| Mais quel talent!!! J'adore... absolument... Je dois t'avouer, que je ne suis pas spécialement adepte des fics écrites dans le style scénario avec des répliques plutôt que des dialogues, mais là tu arrives très bien à me faire passer la pillule et ce depuis le début. Tu décris tellement bien les différentes étapes de recherche sur la scène de crime que j'ai l'impression de voir un épisode. On a absolument aucun mal à nous représenter la scène. Je ne fais même plus attention aux prénoms écrits devant les répliques... Et puis... les détails.... que du bon... je te le dis! En plus, il y a encore ce côté ironique qui traverse tout le passage, et qui fait sourire tout en restant concentrée et plongée dans l'enquête. Parce que c'est ce qu'il se passe... tu arrive à nous plonger dedans sans aucun problème j'adore. Au niveau de l'enquête... ca devient bizarre tout ça : aucun indice... absolument aucun! Qui disait que le crime parfais n'existait pas? et puis cette histoire de miroirs brisés.... qu'est-ce quoi qu'est-ce? c'est intriguant... c'est le meutrier ou la victime qui a tout cassé!! N'emp^che qu'il faut faire attention... sept ans de malheur par miroir... ça fait beaucoup!!! Et quel est cette chose que Mac doit annoncer de vive voix (/fait pas comme si tu n'avais jamais lu le début de cette fic // mais-euh...laisse moi faire semblant! et puis c'est surtout pour dire que le suspens est bien mené, alors...// d'accord alors dis lui)!! Le suspens est en plus très bien mené (/annonce : MiniPoune et ses collègues cherchent nouvelle personne à habiter... schizophrénie assurée et pas chère!) Tout ca pour dire j'adore toujours autant cette fic, et que Je crois que le message est clair! Alors pour te remercier de cette suite fabuleuse... t'as surprise du soir!! : - Poune n°485 a écrit:
- Spoiler:
- Citation :
- Danny : Ok, (déshabillant la pièce du regard) A première vue l’arme du crime n’est pas là, il a dû l’emportée !Vu la précision de l’incision, il n’y a pas eu de rupture
- Citation :
- Mac : Un couteau bien aiguisé, et une connaissance du squelette suffisent à commettre ce genre de crime ! Syd nous en dira davantage !
- Citation :
- Mac : (souriant à son tour) Il voulait certainement tout avoir à porter de mains !
Vous avez fini (Poune 485:sans le "t"..car participe passé)de prendre tous les clichés nécessaire ? - Citation :
- Mac commença l’expertise de l’entrée, s’ensuivit celle du salon, Danny quant à lui examina minutieusement les WC, la salle de bain, les couloirs qui embrassaient les pièces, il vaporisa de Luminol murs et sols qu’il croisait (dans cette phrase tu parle de Danny, donc je suppose qu'il fallait mettre le singulier... si c'était bien le pluriel qu'il fallait laisser, il faut dire : ils vaporisèrent de Luminol murs et sols qu'ils croisaient sur leur passage et ensuite ils trouvèrent ... // je t'avais dit que la n°485 allait être chiante...)sur son passage mais rien, pas la moindre piste, il trouva bien des empreintes, mais elles appartenaient certainement à la victime !
Un meurtre a eu lieu dans cet appartement pourtant aucun indice n’a été relevé, rien leur permettant de confondre le meurtrier, Danny commençait à désespérer :
- Citation :
- Danny : Une glace brisée, ça peut-être un accident,
- Citation :
- Une fois le relevé d’empreintes terminé, il reprit l’expertise de la chambre !
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| | | perlnoir Looping accessoirement Admin.
Perso(s) Préféré(s) : Danny. Mac. et Jo Nombre de messages : 37318 Age : 48 Date d'inscription : 20/09/2007 Réputation : 0 Points : 53949
| Sujet: Re: Quand le passé vous ratrappe, il ne pardonne pas! Lun 12 Nov - 23:44 | |
| Mac : Vous m’inquiétez, que souhaitez-vous que je lui dise ? Stella : Le docteur Karlson a tenté de joindre Danny au sujet de Louie, Mac, il est mort (elle lui annonça presque avec froideur)! Mac : (Silence, Mac reçu la nouvelle comme une gifle, il fronça les sourcils et rompu le silence) Quand est-ce arrivé ? Stella : Il y a un peu plus d’une heure, ils ont tenté de le réanimé mais sans succès ! Mac, je suis peiné de vous l’annoncer comme ça, je ne savais pas trop comment le dire, vous voulez que je vienne pour lui annoncer ? Mac : Non merci Stella, je m’en charge ! Stella : Mac, je suis désolé de vous imposer ce lourd fardeau (d’une voix chancelante) ! Mac : Stella ne vous inquiétez pas, je vais m’en sortir, et si j’ai besoin d’aide, j’ai votre numéro (en essayant de détendre l’atmosphère, la sentant dépité) ! Stella : J’envie parfois votre flegme, (en souriant), merci encore Mac ! Mac : De rien ! Puis raccrocha ! Il prit une grande inspiration et se releva, il laissa à terre ses outils de travail et se dirigea vers la chambre, puisque la pièce était éclairée ! Il le chercha des yeux, et lorsqu’il le vit, il ne pu s’empêcher de sourire, en effet Danny était à demi sous le lit cherchant un éventuel indice. Mac : Vous savez que le lit est certainement plus confortable, vous voulez que je vous aide (avec ironie) Danny : (se cognant en tentant de sortir de dessous le lit) Non, ça ira (en se frottant la tête) Très drôle (en grimaçant) ! Danny : Vous avez une sale mine Mac, rentrait au labo, j’ai bientôt terminé ici, je vous apporterai le reste des indices une fois terminé ! Mac : (en souriant), ça ira Danny, en plus si je ne m’abuse vous avez dormit autant que moi ces 2 derniers jours ! Danny : Ouais, je m’essaie à l’insomnie, quand je vous vois tous les matins si euphorique, je me dis que faut vraiment que je me lance (d’un ton moqueur) ! Mac : (secouant la tête), vous n’en loupez pas une ! Danny : Oui je sais on a du boulot, j’y retourne en se baissant en direction du lit. Mac : Non Danny, je voudrais vous parlez ! Danny : Vous avez l’air grave, qu’est-ce que j’ai encore fait ? Mac : Pardon ? Danny : Ce regard là, je m’en méfie, je suis innocent, c’est quoi cette fois si on a déterré un corps et mes empreintes sont sur l’arme du crime (avec ironie) ! Mac : Danny L’hôpital a tenté de vous joindre à plusieurs reprises, mais je crois que vous avez un problème avec votre téléphone ! Danny fronça les sourcils et le regarda sans le quittait des yeux. Louie est mort ! Danny resta là immobile sans dire un mot, il le fixa acquiesçant de la tête puis se mit à genou et reprit le travail. Mac : Vous faites quoi là (avec stupeur) ! Danny : On a du boulot (sans même le regarder) ! Mac : Regardez-moi (avec force) ! Je vous annonce que votre frère est mort, et vous vous faites comme si de rien n’était ? Danny : (se relevant et s’approchant de lui et le fixant) Vous voulez que je vous embrasse pour vous remerciez, vous voulez quoi Mac ? (en fronçant les sourcils) Ca fait 10 mois que je vais le voir à l’hôpital après le boulot, je lui parle de moi, de nous, de ce que j’aimerai que l’on fasse une fois tout ça terminé (en souriant)! Ca fait 10 mois que je lui dis combien il est important à mes yeux ! Ca fait 10 mois que je m’excuse de l’avoir rayé de ma vie sans même essayer de le comprendre ! Ca fait 10 mois qu’on se parle même si je n’ai pas d’échos à mes mots ! Ca fait 10 mois qu’on est ensemble, bien plus que la vie à bien voulut nous accorder ! Ca fait 10 mois Mac que je me prépare à cette éventualité, au fond de moi je le savais qu’il ne se réveillera pas (s’empêchant de pleurer) ! Ca fait 10 mois que l’illusion se joue de moi, me faisant croire que peut-être il se réveillerait, mais vous savez comme moi que c’est fictif, un leurre à la vie! Il avait le choix entre vivre et de ce fait aller en prison ou mourir et être enfin libre ! En allant le voir tous les jours j’avais l’impression d’avoir 10 ans, on était inséparables, il était le chef, il me fascinait, je le suivais partout, il râlait parfois, mais toujours il m’a protégé ! On a grandit et nos chemins se sont séparés, chacun a prit une route différente s’arrangeant pour ne pas croiser l’autre, (grimaçant), même quand je m’interdisais de le voir, j’espèrerai au fond de moi le voir ! Mac resta là immobile à l’écouter sans l’interrompre, il obtenu ce qu’il voulait, soit qu’il se confie à lui, il ne voulait pas le laisser garder toute cette douleur enfouit en lui ! Mac : (d’une voix posait), je vous dépose et je reviens relever les derniers indices ! Danny : Non, on termine ensemble, ensuite vous me déposerez ! Mac : Danny vous n’êtes pas en état de travailler (refusant de la tête) ! Danny : Ce sera dure de le laisser partir, ne me rendez pas la tâche plus difficile, ne me mettez pas sur la touche Mac, laisser moi flouer, même si c’est pour quelques heures la réalité ! Quand je serai devant lui, se sera terminé, plus de retour en arrière possible, plus d’illusions juste un corps sans vie, accordez-moi ce temps avant de l’enterrer (le suppliant du regard)! Le téléphone de Mac sonna coupant court la conversation, Danny baissa les yeux et reprit le travail, Mac le regarda, fronçant les sourcils, puis décrocha son téléphone. Mac : Taylor ! Interlocuteur : Mac, c’est Maka, on vient de retrouver un corps au Stade des Giants ! Mac : Pardon ? Maka: On a retrouvé …. Mac : (la coupant net) Oui, j’avais compris mais où ? Maka : Au Stade des Giant ! Mac : On sait qui est la victime ? Maka : Non, le corps est presque entièrement enterré, vous voulez que je vérifie ? Mac : Non, ne touchait à rien je vous envois une équipe ! Maka : Ok, je vais l’attendre, merci ! Mac raccrocha, le visage assombrit, puis composa le n° de téléphone de Stella : Mac : Stella c’est Mac, Maka vient de m’appeler, un corps a été découvert au Stade des Giants, vous pouvez vous y rendre ? Stella : Pas de problème, on vient de boucler l’affaire des cambriolages, je vous ai déposé le rapport sur votre bureau ! Mac : Parfait, prenez des chaussures tout terrains, le corps est enterré ! Stella : Chouette, cela faisait un bout de temps que je n’ai pas joué au Base-ball ! (avec ironie) Mac : Vous en avait fait ? (étonné) Stella : Mac, c’était de l’humour, (en souriant) ! Dites-moi Ca va Danny ! Mac : (sortant de la chambre), Oui, du moins en apparence, il arrive encore à m’étonner ! Stella : Vous gardez un œil sur lui (d’un ton protecteur) ! Mac : Ne vous inquiétez pas pour lui, rendez-vous au plus vite là-bas et tenez moi au courant ! Stella : Pas de problème ! On y va de suite, bye ! Mac raccrocha et revint dans la chambre. Mac : Ok, je vous laisse sur l’enquête, mais la moindre erreur, je vous mets sur la touche (avec fermeté) ! C’est d’accord (devenant plus doux) ! Danny : (opinant de la tête), merci Mac ! Merci encore | |
| | | Wolfinette "Let's shake some dust"- Samson
Perso(s) Préféré(s) : Lindsay,Danny, Don Nombre de messages : 1807 Age : 33 Date d'inscription : 21/09/2007 Réputation : 0 Points : 19882
| Sujet: Re: Quand le passé vous ratrappe, il ne pardonne pas! Mar 13 Nov - 17:34 | |
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| | | perlnoir Looping accessoirement Admin.
Perso(s) Préféré(s) : Danny. Mac. et Jo Nombre de messages : 37318 Age : 48 Date d'inscription : 20/09/2007 Réputation : 0 Points : 53949
| Sujet: Re: Quand le passé vous ratrappe, il ne pardonne pas! Dim 18 Nov - 23:48 | |
| :002: Wolfinette, tu es un amour!
La suite de suite mdr! Mac : Je peux me permettre de vous poser une question ? Danny : Je vous en prie ! Mac : Qu’est-ce que je vous annuler en vous appelant ? Danny : Un diner en amoureux ! Mac : Comment faites-vous pour vous y retrouver avec toutes ces femmes ? Danny : Mac vous me blesser, j’ai murît en 1 an (avec ironie), et surtout ça devenait trop compliqué pour moi, je m’emmêlais les pinceaux avec les rendez-vous (en souriant)! J’inversais soit les jours soit les heures, résultats je tombais jamais sur la bonne fille ! L’une d’elles n’avait pas appréciée que je l’appelle par un autre prénom, bref elle me l’a fait comprendre avec force, résultat je me suis trouvé sur les genoux d’une jeune femme, Sarah ! La situation l’a faite rire, pour ma part je ne l’avais pas perçu comme telle, mais bon, on a fait connaissance et de fil en aiguille on ne s’est plus quitté ! Mac : (secouant la tête) vous êtes incorrigible ! Vous lui présenterez mes excuses ! Danny : C’est son anniversaire, pour les excuses, j’ai déjà les miennes à présenter, elle n’était pas encore rentrée quand j’ai quitté l’appartement ! Mais ne vous inquiétez pas, elle vous déteste déjà ! Mac : (souriant et se dirigeant vers la porte) Je suis rassuré ! Danny : Mac, si vous pouviez me laisser mon indice avant de partir ce serait sympa (en s’approchant de lui avec une pincette) ! Mac : (fronçant les sourcils) Quelle preuve (voyant Danny à ses pieds)? Danny : Si vous levez votre pied, je vous promets de vous la montrer (avec ironie) ! Mac : (soulevant doucement son pied) Qu’est ce que c’est ? Danny : (la relevant) a première vue, une lentille ! Mac : (lui tendant une petite enveloppe) Notre victime n’en portait pas ! Danny : Pas que je sache, je n’ai remarqué aucun nécessaire d’entretien pour lentilles de contact ! Mac : (se levant) Je vais vérifier sur notre victime, et vous revérifiez dans la salle de bains ! Chacun se rendit vérifier si ce nouvel indice pouvait les aider à arrêter le meurtrier ! Mac revenant dans la chambre ! Mac : Rien sur les yeux, et vous ? Danny : Rien non plus ! Mac : Alors on a peut-être une piste si je ne l’ai pas détruite ! Danny : Notre tueur arrache les yeux de la victime et oublie le sien dans la chambre ! Mac : Il a dut être dérangé, parce qu’il n’a rien laissé au hasard ! Danny : Qui a découvert le corps ? Mac : Une jeune femme, Flack nous en dira plus !(composant son n°) Flack c’est Mac, vous avez du nouveau sur notre enquête ? Falck : J’ai interrogé la jeune femme qui a découvert le corps, il se trouve que c’est sa petite fille, elle était venu lui rendre visite ! Mac : Ce n’était pas prévue, cette visite ? Flack : Attendez, je lui demande ! (silence) Non, Mac, elle voulait lui faire une surprise, elle ne l’a pas vu depuis 4 ans ! Mac : Ok, merci ! Danny : Alors ? Mac : C’était sa petite fille, mais elle ne l’avait pas vu depuis 4 ans ! Danny : Elle a dérangé le meurtrier, il était encore là quand elle est venue ! Mac : Elle a eût beaucoup de chance qu’il ne s’en prenne pas à elle ! De son coté, Kaile Maka attendait avec impatience l’équipe qui devait se charger de ce nouveau cas ! Elle sourit à la vue de la voiture de Stella ! Celle-ci était accompagné de Lindsay, suivait de près Hawkes ! Elle les accueillit avec un grand sourire de satisfaction ! Les experts prirent leurs mallettes et s’approchèrent du détective. Stella : Bonjour Kaile, alors qu’est-ce qu’on a ? Kaile : Bonjour Stella, chouette les chaussures, je vois que Mac vous a prévenu ! Stella : Oui, par contre vous non (en souriant) ! Kaile : (saluant Lindsay et Hawkes) Un corps à été découvert par des jeunes qui trainaient, par ici ! Rien n’a été touché, les jeunes n’ont fait que regardé, donc normalement la scène de crime est impeccable ! Stella : (s’approchant de la scène) Je me demande pourquoi l’avoir enterré que partiellement ? Hawkes : Peut-être que l’assassin n’a pas eût le temps de terminer son travail, dérangeait par la bande de jeunes qui a découvert le corps ! Lindsay : Ou alors il voulait qu’on trouve le corps rapidement ! Hawkes : En tout cas cet endroit me rappelle de mauvais souvenirs ! Lindsay : Tu veux parler de Sonny Sassonne ! Stella : Il est derrière les verrous on est tranquille de ce côté là ! Stella : Bon on va se répartir le travail ! Lindsay vous allez regarder si vous ne trouvez rien sur le périmètre de la scène de crime ! Hawkes vous restez avec moi, on va travailler sur la scène de crime même, vous déterrer la victime, faites bien attention à ne pas altérer certaines preuves, tout peux nous être utile ! Je me charge de la prise des clichés ! Lindsay : Ok ! (s’éloignant) Hawkes : Bien chef (en souriant) Je vais être plus doux que la brise du matin qui sans bruit soulève le jour! Stella : J’en demandant pas tant (en souriant), mais ça me plait bien la brise du matin ! C’est la nuit qui vous rend si poète, ou le manque de sommeil (avec ironie) ? Hawkes : C’est naturel chez moi, (en souriant) Stella : En tout cas ce n’est pas la modestie qui vous étouffe ! Allez, on va chercher un meilleur éclairage, sinon on va passer à côté de précieux indices ! Hawkes : (redevenant sérieux) Et Danny il va comment ? Stella : Mac m’a dit qu’il réagissait bien, du moins en apparence, mais je ne m’inquiète pas, il est avec Mac, il va garder un œil sur lui ! Hawkes : Vous pensez qu’il va chercher à se venger ! Stella : Je ne pense pas, s’il voulait le faire, il l’aura déjà fait ! Hawkes : Je l’espère (en installant l’éclairage) ! Stella : Maintenant au boulot, je vais d’abord prendre des clichés de la scène de crime en général, avant de déplacer quoique ce soit ! Elle s’affaira à photographier le corps presqu’entièrement enterrer, ce qu’il l’entourait, les traces de pas marquaient sur la terre, bref tout est passé sous les flashes de son appareil! Hawkes de son coté s’affairait à faire des moulages des traces de pas, et à recueillir le moindre indices ! Stella : On peut commencer à déterrer la victime ! (rapprochant l’éclairage) Hawkes : C’est partit ! Voilou, voilou mdr!
A pluche :29: | |
| | | Wolfinette "Let's shake some dust"- Samson
Perso(s) Préféré(s) : Lindsay,Danny, Don Nombre de messages : 1807 Age : 33 Date d'inscription : 21/09/2007 Réputation : 0 Points : 19882
| Sujet: Re: Quand le passé vous ratrappe, il ne pardonne pas! Lun 19 Nov - 19:43 | |
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| | | perlnoir Looping accessoirement Admin.
Perso(s) Préféré(s) : Danny. Mac. et Jo Nombre de messages : 37318 Age : 48 Date d'inscription : 20/09/2007 Réputation : 0 Points : 53949
| Sujet: Re: Quand le passé vous ratrappe, il ne pardonne pas! Mar 20 Nov - 16:19 | |
| :002: Merciiiiiiiiiiiiiiiiii Wolfinette !!!!!!!!!!!
Voilou la suite : Lindsay de son côté délimitait son périmètre de recherches et flasha toutes les traces de pas qu’elle soupçonnait, , le stade avait était éclairé, mais la nuit était plus présente que l’éclairage, elle devait faire doublement attention ! Hawkes : Je vais commençait par dégager la tête, pour terminer à ses pieds ! (observant la victime ! Stella : Ca me va, à première vue, la tête devrait être à peu près ici, (lui désignant du doigt) ! Hawkes : (acquiesçant de la tête), Oui, je pense aussi ! Hawkes commença à dégager la terre à l’aide d’un pinceau, Stella observait attentivement le déroulement des opérations, Hawkes ralentit sentant son pinceau moins fluide ! Il continua mais avec plus de douceur, redessinant le contour de la tête ! Stella : (fronçant les sourcils), des cheveux longs, c’est une femme ! Hawkes : (tout en continuant) Oui, (serrant les dents) Hawkes dégagea enfin la tête, celle-ci était face contre sol, Stella prit son appareil photo ! Stella : Tournez-moi doucement la tête s’il vous plait ! Hawkes déposa son pinceau et tourna délicatement la tête de la victime ! C’était bien une femme ! Stella : (regarda avec douleur ce visage, il était meurtrit par de multiples plaies) Doucement ! Vu les blessures portées sur le visage, elle a terriblement souffert ! Hawkes : Elle a enterré vivante, ses yeux sont encore ouvert, dégageant la terre de ses yeux ! Stella : (décollant l’appareil de ses yeux) Elle en a aussi dans la bouche et le nez, (secouant la tête), elle ne doit pas avoir plus de 30 ans, quel gâchis ! Hawkes continua à dégager la terre du corps de la jeune femme, dévoilant de plus en plus les blessures souillées par la terre, il dégagea le cou, puis les épaules, délicatement il continua son travail qui devenait presque une corvée, on sentait le mal être des deux experts face à l’atrocité du crime ! Stella secoua la tête, quand elle remarqua que la victime était entièrement nue, elle saisit son appareil est tenta de prendre le dessus sur ses émotions qui commençaient à la submerger ! Elle se racla la gorge, et releva une pièce de monnaie sur le côté droit de la victime, elle la releva à l’aide d’une pincette, l’observa puis la scella dans une enveloppe et continua à contempler le corps sans vie ! Le cadavre était souillé de terre et de sang, on ne distinguait que les blessures ouvertes, et les gros hématomes ! Hawkes eût presque finit de la déterrer, c’est dans le plus grand silence que le corps fut essoucher ! Qui avait-il à dire, d’ailleurs, rien, il n’y avait rien à dire ! La pluie commençait à verser ses premières larmes, les experts devaient absolument terminer au plus vite leur travail s’ils ne voulaient pas perdre des indices ! Lindsay termina de relever ses indices, elle se proposa de les aider. Lindsay : J’ai terminé, je n’ai pas grand-chose à part des moulages de pas (en regardant le corps inerte de la victime). Son agresseur n’y a pas été de main morte (avec tristesse) ! Stella : Non, pas vraiment, prenant des photos) ! Hawkes : On va la retourner doucement, Lindsay prend la par le bas des genoux, Stella quant à vous tenais lui la tête, je la pendrai par les épaules ! On y va ! 1 ; 2 ; 3, on la tourne ! Ok, pose-lui les jambes, merci ! Stella lui remit les cheveux dans l’ordre et la regarda sans un mot ! Hawkes : (l’observant) Vous voulez que je prenne les derniers clichés (lui tendant la main) ? Stella : ((en souriant) non merci, je vais le faire ! Elle prit le visage, puis le buste pour terminer avec le bas du corps ! Lindsay : vous croyez qu’elle a été violée ? Hawkes : Difficile à dire, le corps est marqué de tout côté, et le mélange de la terre et du sang ne facilite pas le diagnostic, seul Syd nous le dira ! Stella : On ne peut même pas l’appeler par son nom, elle n’a aucun papier sur elle, soit elle a était tué ailleurs, soit son assassin a tout emporté ! Nous voilà avec une Jane Doe dans les bras ! Allez, on s’active, la pluie ne nous rend pas service, c’est vraiment pas sa journée la pauvre ! Stella : Lindsay voyait dans les poubelles si vous ne trouvez pas des vêtements, n’importe quoi qui nous aiderez à savoir qui elle est ! Lindsay : J’y vais (en s’éloignant) ! Stella : J’appelle le Coroner pour qu’il prenne le corps au plus vite (en s’éloignant) ! Hawkes : (opinant de la tête) je recouvre notre victime et je continue à chercher des indices (se remettant au travail) Stella finit par rejoindre Hawkes, et termina avec lui l’expertise de la scène de crime ! Quinze bonnes minutes s’éculèrent avant que la voiture du Coroner n’arrive ! Le Coroner : Bonsoir, vous avez un corps pour nous ! Hawkes : Oui, c’est pour le Docteur Hammerback ! Le Coroner : Le nom de la victime ? Hawkes : On ne connaît pas son identité, une Jane Doe ! Le Coroner : Ok, merci, et bonne nuit ! Hawkes : (souriant) Je crois qu’on n’est pas couché ! Merci ! Stella : J’espère que Syd nous donnera plus d’indices parce que là on n’a pas grand-chose ! Rien sur l’assassin, rien sur la victime à part cette pièce (tenant la pochette entre les mains) ! Hawkes : C’est vraiment une sale nuit ! Stella : (en souriant) c’est vrai, mais elle sera toujours meilleure que celle de cette pauvre femme ! Son agresseur devait vraiment la mépriser pour la battre ainsi ! Hawkes : On l’aura (en la regardant)! Stella : (se levant) Allez, on ramasse nos indices et on va aider Lindsay ! Hawkes : C’est vrai que passer sa nuit dans les poubelles, c’est pas ça non plus (en se moquant) ! Stella : (riant), non, j’imagine qu’elle avait prévue un programme plus alléchant ! Hawkes : Genre ? Stella : (avec ironie) Voyons Hawkes, c’est privé, je pencherai pour une pizza devant la télévision ! Je l’appelle pour savoir ou elle se trouve (prenant son portable) ! Lindsay où êtes-vous qu’on puisse vous rejoindre ? Lindsay : Je suis à la sortie du Stade, j’ai presque finit ! Stella : Ok, on vous rejoint (en raccrochant) ! On a de la chance, elle a presque finit ! Hawkes : Cool, elle bosse vite la Montana ! Stella : (intriguée) Vous aussi l’appelé ainsi (en souriant)! Hawkes : Disons que moi je suis plus prudent que Danny, je l’appelle ainsi qu’en son absence (en souriant et rangeant le matériel dans la voiture) Stella : Lâche ? Hawkes : Je dirai plutôt prudent (en souriant) ! Stella : Donc vous êtes lâche, (en riant) ! Hawkes : Ok, mais ne le dite à personne ! Stella : (en souriant) Hawkes, je suis flic, je suis tenu par le secret professionnel (avec ironie) ! Allez, démarré, Montana nous attend ! Hawkes : Le secret professionnel ? Stella : Oui (en grimaçant)! Stella et Hawkes arrivèrent enfin à l’entrée du Stade ! Ils se garèrent et se dirigèrent vers Lindsay qui avait la tête plongée dans la poubelle ! Hawkes : Alors tu trouves ton bonheur (en se moquant) ! Lindsay : (levant la tête) Très drôle (en grimaçant), Non, j’ai rien trouvé pour l’instant, j’ai fait toutes les poubelles du stade, les locaux sont fermés, donc notre assassin n’a pas pu cacher les affaires de la victime à l’intérieur ! J’ai fait toute l’allée de droite, il me reste celle-ci (se passant le dos de la main sur le front) ! Et vous, vous avez été plus chanceux (regardant Stella)? Stella : Pas vraiment (en hochant la tête), on a retrouvé une pièce de monnaie, rien d’autres, si des traces de pas, mais bon, ils peuvent appartenir à la bande de jeunes qui a découvert la victime ! On finit de fouiller les poubelles et on rentre voir ce que Syd a à nous dire sur notre victime ! En espérant que notre agresseur a laissé des indices ! Lindsay : T’inquiète Sheldon, au début l’odeur n’est pas géniale, mais bon à force on s’habitue (en se moquant) ! Hawkes : (en souriant) si j’ai besoin d’un coup de main je t’appelle (mettant ses gants) Lindsay : (souriant) T’inquiète Stella et moi travailleront lentement le temps que tu prennes le rythme (regardant Stella) Stella : (lui tapotant l’épaule) On peut bien faire ça pour vous, après tout vous n’êtes qu’un homme, les tâches ménagères ce n’est pas trop votre truc ! Hawkes : Je vois que vous vous êtes ligué contre moi, (levant les mains en l’air), je me rends Lieutenant ! Stella : (en riant) Allez, au boulot, on a du pain sur la planche ! Chacun s’affairait à rechercher les vêtements de la victime espérant ainsi avoir un début de piste ! Après près d’une heure de fouille et une allée qui n’en finissait plus, les 3 experts se concertèrent pour faire le point ! Stella : Alors on fait le point : On a une femme à première vue battue à mort ! Hawkes : Vu la violence des coups je pencherai pour un objet contendant, une batte, ou un truc de ce genre là ! Lindsay : On n’a rien sur la victime, ni son identité, ni ses affaires personnelles ! Stella : On a aucune trace de violences sur la scène de crime donc le forfait n’a pas était commis ici ! Hawkes : Pourquoi ici, dans un endroit public, si je tus quelqu’un je m’arrange pour le dissimulé bien profond ! Lindsay : Sauf si l’agresseur voulait qu’on la trouve rapidement ! Hawkes : Son vœu a été réalisé ! Stella : Les seuls indices qu’on a trouvés sont une pièce de monnaie et des traces de pas ! On va aller loin avec ça (en grimaçant) On rentre au labo, Syd sera peut-être plus chanceux que nous ! Lindsay : Je l’espère (dépiter)! Chacun regagna son véhicule pour rentrer à la base ! Stella : (en entrant dans les locaux) Lindsay vous vous occupez des moulages et vous Hawkes des clichés ! Je vais voir ce que Syd à pour nous ! A tout à l’heure, (se dirigeant vers la morgue) ! A très vite! | |
| | | Wolfinette "Let's shake some dust"- Samson
Perso(s) Préféré(s) : Lindsay,Danny, Don Nombre de messages : 1807 Age : 33 Date d'inscription : 21/09/2007 Réputation : 0 Points : 19882
| Sujet: Re: Quand le passé vous ratrappe, il ne pardonne pas! Mar 20 Nov - 20:06 | |
| Super suite comme toujours! C'est bien le fait d'avoir séparé la découverte du corps, les émotions qui vont avec, je trouve que "La pluie commençait à verser ses premières larmes" est vraiment super. Moi qui suis dans des devoirs de français j'ai tout de suite tilté et c'est vraiment bien tourné. Après heureusement que tu détends super bien l'athmosphere! J'ai adoré la couversation de Stella et Hawkes à propos de Lindsay, tu glisses des détails personnels, sans les plaquer, c'est beaucoup plus naturel enfin à mon avis ! Vivement la suite ! | |
| | | perlnoir Looping accessoirement Admin.
Perso(s) Préféré(s) : Danny. Mac. et Jo Nombre de messages : 37318 Age : 48 Date d'inscription : 20/09/2007 Réputation : 0 Points : 53949
| Sujet: Re: Quand le passé vous ratrappe, il ne pardonne pas! Jeu 22 Nov - 16:17 | |
| Voilou la suite!Stella : Bonsoir Syd, Alors qu’est-ce que vous pouvez m’apprendre sur ma victime ! Syd : Bonsoir Stella, eh bien, votre victime ne doit pas avoir plus de 30 ans, vu la qualité de sa dentition, j’ai rarement vu des dents aussi bien entretenu, ce qui est sure, c’est que ce n’est pas une sans-abri ! Votre Jane Doe a été battue à mort, mais elle n’est morte qu’après avoir était enterrée, elle a avalé et respiré de la terre, elle en avait plein la trachée ! Stella : C’est en se débattant qu’elle s’est déterrée, en fait son agresseur l’avait entièrement enterré, mais il n’a pas pensé qu’elle serait encore vivante après ce qu’il lui a fait subir ! La pauvre a tenté de sortir de sa tombe, mais à bout de force elle est morte ! Quel gâchis (dépitait) Syd : En fait, ce n’ai pas l’épuisement qui l’a arrêté mais une rupture du Thalamus, plus exactement de L’hypothalamus ! Stella : En clair, Syd : La violence des coups a été telle que la matière grise du cerveau a été rompu, ce qui signifie, très grossièrement que le centre des commandes de toutes les grandes fonctions de l’organisme (température, pression artérielle, pouls etc..) a été détruit ! Stella : Il devait vraiment lui en vouloir pour la battre avec un tel acharnement ! (attristait) Je donnerai cher pour savoir ce qu’elle a fait pour endurer ce supplice ! Syd : Quoique qu’elle ait fait, elle ne méritait pas ça ! Par contre l’agresseur n’a pas fait ça seul, voyez (lui montrant les bras de la jeune femme), les traces de doigts sur ces bras sont différentes d’un bras à l’autre (en les mesurant) ! Je vous ai prit des clichés en lui tendant l’enveloppe ! Stella : Ils devaient certainement porter des gants, pas stupides nos agresseurs (en ironisant) ! Merci ! (en prenant l’enveloppe) Malgré tous les hématomes qu’elle porte elle est encore une très belle femme, elle devait vraiment être très belle (la regardant tristement) ! A-t-elle était violée ? Syd : Et bien, j’ai bien trouvé du sperme (en lui tendant un échantillon) mais je ne pense pas qu’il appartienne à l’un de nos agresseurs ! Stella : Pourquoi en êtes vous si sûre ? Syd : Eh bien j’ai rarement vu des viols sans violence, et là, lui montrant l’entre jambe de la femme, pas de traces d’agressions sexuelles, aucunes ! Heureusement si je puis dire, parce qu’elle en a bavé ! Stella : Alors il appartient certainement à son petit ami, son ADN nous mènera à l’identité de notre victime ! Syd : Je pencherai pour un fiancé ou un mari ! Stella : (souriant) Pourquoi ? Syd : (redevenant sérieux) Elle était enceinte de 5 semaines ! Stella : Donc elle le savait ! Syd : Elle s’en doutait c’est sure ! Stella : (Perplexe en hochant la tête) Autre chose ? Syd : Oui, j’ai trouvé des tissus sous ses ongles, il y a un peu de terre, je vous laisse faire le tri (en souriant), elle a du se débattre ! Stella : Vous me gâtais, si ça continue vous allez me résoudre l’affaire (en riant) Syd : Je sais je suis génial, (en ironisant) il y a encore une chose, en fait 2, j’ai trouvé un bouton dans ses cheveux, (lui donnant) et j’ai aussi trouvé une substance graisseuse dans ses cheveux ; Une vraie mine d’or sa chevelure ; j’ai d’abord pensé à du sang qui aurait coagulé mais la couleur m’a détournée de cette idée ! (lui montrant une mèche de cheveux) Stella : Qu’est-ce que c’est (s’approchant pour regarder) ? Syd : C’est à vous de me le dire (en coupant la mèche), tout ce que je peux vous dire c’est que ça ne sent pas très bon (lui tendant une pochette contenant la mèche)! Stella : Au fait en parlant de cheveux, vous vous êtes fait couper les vôtres ? Syd : (en ironisant), je croyais que j’allais autopsier mon coiffeur par accident voyant votre absence de réaction ! Stella : Ne vous inquiétez pas, j’aurai falsifié les preuves pour me faire pardonner (en ironisant, elle salua le légiste et quitta la morgue) Merci Syd et bonne journée! Syd : Elle ne peut pas aller mieux (la regardant s’éloigner en souriant) ! Stella quitta la morgue les bras chargés d’indices, cette visite à la morgue fut très prolifique pensa-t-elle, elle se dirigea vers le service de traitement des ADN, elle frappa puis entra : Stella : Bonjour Jane, vous êtes bien matinale, dites-moi (en souriant)? Jane : Bonjour Stella (lui rendant le sourire), Mac m’a appelé, donc prête à travailler ! Dites-moi vous m’avez l’air bien chargé, c’est pour moi tout ça (la regardant)! Stella : Ne vous inquiétez pas, j’aimerai juste que vous me fassiez une recherche d’ADN sur cet échantillon de sperme ! C’est le seul indice que nous ayons pour arriver à connaître l’identité de notre victime ! Jane : Un viol ? Stella : Pas d’après Syd, mais on en sera plus une fois l’identité du propriétaire connue! Jane : J’ai compris, je fais ça au plus vite (prenant l’échantillon) ! Stella : Merci, prévenez-moi quand vous aurez les résultats ! Jane : Je n’y manquerai pas, à tout à l’heure ! De l’autre côté de la ville, la nuit s’œuvrait à enterrer entièrement le jour ! Une nuit sombre et opaque, giflant le jour de ses méandres, s’entêtait à réveiller les ombres du passé sur son passage, se sentant peut-être un peu trop seule pour s’évanouir, trop seule pour laisser dormir ces âmes un peu trop tranquille à son goût ! 00h45 min, Mac et Danny terminait d’expertiser l’appartement de Mr Robinson, après s’être échanger les pièces ! Chacun repassa au crible le travail de l’autre, pour être certain de n’être passé à coté d’aucun indice précieux ! Une fois terminé, Mac se dirigea vers la cuisine ou se trouvait Danny ! Celui-ci était assit sur une chaise, accoudait à la table, les mains croisaient se tenant le menton et regardant la chaise vide de la victime, le regard absent, Mac s’approcha de lui ! Mac : Danny, ça va (fronçant les sourcils) ? Ne le voyant pas réagir, il réitéra sa question, Danny (lui posant la main sur son épaule, et le regardant) Ca va ? Danny : (regardant cette main posait sur son épaule) Oui (opinant de la tête), je réfléchissais ! Mac : (s’asseyant à son tour) à Louie ? Danny : (secouant la tête), non, j’ai trouvé une fibre sur cette chaise, lui désignant celle sur laquelle il était assit), notre tueur l’a mutilé puis est resté là contemplant son œuvre ! Je me demandai pourquoi, (secouant la tête) ça le satisfaisait ? Mac : Rien ne dit que la fibre appartienne au tueur ! Danny : Mac, la victime était assise à cette chaise (désignant la chaise en face de lui), les personnes vivant seule et de plus est, âgées aiment garder leurs habitudes, je ne l’imagine pas changer de chaises tous les jours juste pour voir sa cuisine sous un autre angle ! Moi je m’installe toujours à la même place chez moi ! Pas vous ? Mac : (acquiesçant de la tête) Ok, on fait le point ! On a un homme de 57 ans assassiné dans sa cuisine ! On lui immobilise à l’aide d’une corde les pieds et la poitrine, le tueur est rentré par la porte d’entrée, c’est notre victime qui lui a ouvert et menait jusqu’à sa tombe ! Danny : La victime était suffisamment en confiance pour le faire rentrait jusqu’à sa cuisine, sinon il l’aurait reçu dans son salon ! Mac : Très juste, alors notre assassin l’a obligé à le mener dans la cuisine, mais pas de traces de violence dans le salon ! Danny : Il l’aura menaçait d’une arme ? Mac : Très probablement ! Danny : Ok, il l’oblige à s’asseoir, et après quoi, la victime se laisse faire (en fronçant les sourcils) ce n’est pas logique, il a dû vouloir se débattre ! Mac : Sauf s’il lui a injecté un produit l’immobilisant (regardant Danny) ! Danny : Ca collerait mieux à la situation, puis il est passait derrière lui et lui a tranché la gorge, meurtre à sang froid ! Mac : Il a continué en lui coupant une main puis l’autre pour terminer par lui arracher les yeux en prenant bien soin de les placer aux creux des mains de la victime, disposant le tout bien en évidence sur la table mais de telle façon que notre victime, certes morte se voit comme lui le voit ! Danny : Toutes les glaces de l’appartement on était brisées (salle de bains, couloir et chambre) Mac : Notre assassin ne s’aime pas, il l’aurait tué parce qu’il a vu son visage ? Danny : Il aurait vu quoi, son visage, un crime ? Mac : (secouant la tête), j’en sais rien, cette affaire prend une tournure que je n’aime pas, j’ai l’impression qu’on s’égare ! Danny : Ok, j’ai trouvé sur le cadre d’une photo une trace de sang avec une empreinte partielle, j’espère qu’elle nous en dira plus ! Mac : On a aussi cette lentille de contact, du moins ce qu’il en reste (en grimaçant) ! Danny : (souriant) autre chose ? Mac : non, on remballe tout, on embarque les chaises et toutes nos preuves ! Je vous dépose à l’hôpital et je monte au labo (le regardant) ! Danny : (acquiesçant de la tête) Merci Mac, rangeant le matériel ! Mac : Vous avez fait du beau boulot, (opinant de la tête) si vous souhaitez poursuivre cette affaire avec moi, je suis d’accord ! Danny : (levant la tête) j’aimerai bien, merci (en souriant)! Alors, allons-y ! Les deux experts remballèrent le matériel et confièrent les indices d’importantes tailles à des agents qui devaient les déposer au labo (les chaises, la table, les miroirs et le cadre) Danny s’installa dans la voiture de Mac, puis roulèrent jusqu’à l’hôpital ! Un silence calme et reposant régnait dans la voiture ! Aucun n’interrompit cette prière au calme, chacun se laissant submerger par l’apesanteur et la douceur de la nuit, comme s’il avait besoin de reprendre leur souffle après une course effréné, juste se reprendre avant de redescendre ! Mac s’arrêta enfin devant les grandes portes vitrées de l’hôpital ! Danny resta quelques secondes immobile comme pour profiter une dernière fois de cette sérénité, Mac ne dit rien, il ne le regarda même pas, il ne voulait pas le presser ! Danny posa sa main sur l’épaule de Mac et lui dit : Danny : Merci (en descendant du véhicule) Mac : Vous voulez que je vous accompagne ? Danny : Non (en souriant), ne vous inquiétez pas, je serai sage comme une image (avec ironie) Mac : Appelez-moi lorsque vous voudrez rentrer ! Danny : Ce n’est pas nécessaire, je prendrai un taxi jusqu’à la scène de crime, puis je remontrai au labo, ce n’est pas la peine que je rentre, Sarah doit se lever tôt pour aller à Los-Angeles, j’ai déjà gâché son anniversaire, je ne vais pas en plus lui gâcher sa nuit ! Mac : Je suis désolé Danny, on ….. Danny : Ca va Mac, ne vous confondez pas en excuses, c’est mon boulot, je connais ses caprices ! Mac : Alors donnez-moi vos clefs, je me charge de ramener votre voiture au labo, comme ça vous rentrerait directement au labo (en tendant la main)! Danny : (souriant) vous avez peur que je me perde (en lui tendant les clefs) ! Mac : Tête en l’air que vous êtes, vous risquez de ne plus vous souvenir de l’adresse (en se moquant) Danny : (grimaçant) très drôle, perdez pas mes clefs, sinon je ne pourrais pas rentrer chez moi ! Mac : Ne vous inquiétez pas, à tout à l’heure (levant la main)! Danny : (opinant de la tête et se dirigeant vers l’intérieur) Ok ! Chacun partit vers sa destiné ! Une destiné qui ne présageait rien de bon, rien de mauvais, juste une sale nuit à passer ! Mais est-ce vraiment cela, juste une sale nuit ou le début d’une fin qui se rapprochait en silence, marquant son territoire vers sa nouvelle demeure ! On dit que lorsqu’une âme se meurt, une autre née ! Malheureusement quand cette âme nous touche tout particulièrement la gifle est assassine ! Voilou, voilou mdr!
A pluche! | |
| | | Wolfinette "Let's shake some dust"- Samson
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| Sujet: Re: Quand le passé vous ratrappe, il ne pardonne pas! Jeu 22 Nov - 19:59 | |
| Super suite ! j'ai adoré la fin ! | |
| | | perlnoir Looping accessoirement Admin.
Perso(s) Préféré(s) : Danny. Mac. et Jo Nombre de messages : 37318 Age : 48 Date d'inscription : 20/09/2007 Réputation : 0 Points : 53949
| Sujet: Re: Quand le passé vous ratrappe, il ne pardonne pas! Mer 28 Nov - 1:31 | |
| Voilou la suite:Danny emprunta ce chemin qu’il connaissait par cœur, des centaines de fois il avait frôlé ses murs, foulé ses marches, Des centaines de fois il s’était imaginé retrouver son frère rire aux éclats après avoir taquiné son infirmière, Des centaines de fois il a laissé l’illusion prendre le dessus, oubliant les traits de son revers Des centaines de fois se sont passées mais aucune ne devait se terminait comme ça ! Plus il avançait dans ce couloir, plus il sentait sa peine grandir, s’assombrir, bien plus que cette nuit qui se riait de sa peine! Il arriva enfin devant la porte 323, il frappa puis entra fermant la porte derrière lui ! Il le regarda (serrant les dents) durant un long moment, il semblait paisible, endormit, il semblait tout ce que l’on voulait sauf mort! Il s’approcha enfin, prit une chaise et s’y assied ! Danny : Salut, (silence) on m’a dit que tu avais choisit de partir ! Pourtant j’avais cru que peut-être tu flouerais la trépassée (en souriant), c’est râpé ! J’ai tellement haït ses jours qui défilaient parce que je sentais au fond de moins qu’ils t’éloignaient de moi ! Puis j’ai prit goût de te voir tous les jours, j’avais l’impression d’avoir 10 ans, (fermant les yeux), ensemble on était les maitres du monde, inébranlable, intouchable, même la douleur se pliait sous nos armes, aujourd’hui tu me laisse seul en larmes ! Je t’en veux de m’avoir laissé croire que toi et moi, on aurait notre chance, Je m’en veux d’avoir passé le plus clair de mon temps à te fuir, Je nous en veux d’avoir laissé le temps nous enterrer, sans même nous bagarrer, Je nous en veux de n’avoir rien vu venir, d’avoir laissé le destin s’emparait de nous (en pleurant) ! Je m’en veux tellement de ne pas avoir sur te dire combien je t’aimais ! Il sentit sa gorge se nouait, il se tue alors laissant toute la pression de sa peine se déchargeait devant ce corps inerte, que plus rien ne retenait, sauf cette main, une main si précieuse pourtant si loin ! Il resta là, la tête sur la poitrine de son frère, laissant son cœur saigner de toutes ses larmes ! La fatigue le gagna, la douleur l’assomma l’emportant dans la douce mélodie de la léthargie ! Plusieurs heures s’écoulèrent inquiétant Mac quant à l’absence de Danny dans les locaux du labo ! Il prit ses clefs et se rendit à l’hôpital, il fit le même trajet que son protégé, arrivait enfin devant la porte, il le vit endormit sur son frère ! Il sourit puis refit demi-tour ! Il s’inquiétait peut-être un peu trop pour lui, mais ne devait-il pas veiller les uns sur les autres ? Mac retourna au Labo, il voulait être présent lorsque Danny reviendrait, il ne voulait pas le laisser seul, il s’enfonça dans les locaux, puis se dirigeant vers son bureau, il croisa Stella : Mac : Bonsoir Stella (en lui souriant) Stella : Bonsoir Mac (en lui souriant à son tour), vous avez déposé Danny à l’hôpital ? Mac : Oui, il y a un petit moment déjà ! Stella : Question stupide, mais il allait comment ? Mac : Serein, (en souriant), j’en sais rien en fait, j’ai l’impression que ça va, mais vous connaissez Danny autant que moi, il se refuse de laisser transparaitre ses sentiments personnels ! Stella : C’est un Italien, il est fier ! Mac : Surtout borné (en riant) Stella : Un peu comme vous, sauf que vous n’êtes pas Italien (avec ironie) Mac : (en souriant) Et vous comment ça va ? Stella : Disons qu’une fois cette enquête terminait (montrant le dossier), et que Danny aura reprit du poil de la bête, j’irai bien, c’est triste ce qu’il lui arrive ! Mac : (la voyant attristée par les événements survenus cette nuit, souhaita changer de sujet) Et votre enquête, elle avance ? Stella : Pas vraiment (secouant la tête), on a une jeune femme battu à mort, on ne sait rien d’elle, on l’a enterré nue, donc aucun indice. A première vue le forfait n’a pas était commis dans le Stade, ce dernier lui servait juste de tombe ! Mac : (portant sa main à son bras) Rentrer vous reposez un peu, demain vous aurez les idées plus clairs pour vous occuper de cette affaire (avec douceur) Stella : (posant sa main sur la sienne) c’est gentil Mac, mais je crois que ça va aller, d’ailleurs c’est vous qui avait besoin de sommeil (le regardant) ! Mac : C’est un ordre Stella (en souriant), allez, moi je vais attendre Danny ! Stella : Il ne rentre pas chez lui ? Mac : non, je préfère garder un œil sur lui, de plus j’ai besoin de lui sur notre enquête ! Stella : Vous êtes sur que ce n’est pas trop tôt pour lui, que de reprendre le travail ? Mac : C’est ce que je pensais, mais il m’a prouvé le contraire, il sait être persuasif (se souvenant des indices qui lui avait échappé) quand il veut ! (en souriant) Stella : Vous êtes sur que vous ne voulez pas que je reste (d’un ton suppliant) ! Mac : (secouant la tête) Rentrez, le plus dur à été fait ! Stella : (acquiesçant de la tête) D’accord, je vais ordonner (en se moquant) à Hawkes et Lindsay de faire de même ! Mac : ordonnez (souriant) Bonne nuit Stella ! Stella : Bon courage (en lui tapotant le bras avant de partir) Mac regagna son bureau, s’installa sur son siège, prit son téléphone : Mac : Jane, c’est Mac, rentrer vous reposer quelques heures, soyez là pour 7h, ! Jane : Merci Mac, à demain ! Mac raccrocha puis recomposa un autre numéro : Mac : Syd, c’est Mac, je voulais savoir si vous étiez encore là ! Syd : Vous m’avez si aimablement invité que je ne pouvais pas vous laissé en plan avant de vous avoir remercié en personne ! De plus mes patients se languissaient de moi, je n’ai même pas vu le temps passer (en souriant) ! Mac : Vous avez eût le temps de travailler sur Mr Robinson ? Syd : La victime mutilait ? Mac : Oui ! Syd : Oui, je viens d’en finir avec lui ! Mac : J’arrive ! Syd : Je ne bouge pas ! Mac raccrocha est descendit à la morgue rejoindre Syd ! Mac : (avec ironie) Bonsoir Syd , vous êtes bien matinale, regardant sa montre ! Syd : (souriant et regardant la sienne) 3h35, je m’épate moi-même, mais vous savez il est très difficile de quitter un endroit aussi agréable, les patients sont patients, ils ne râlent jamais, vous ne pouvez pas en dire autant de vos suspects (se moquant) ! On va mettre ça sur le compte de l’heure (grimaçant puis se reprenant) ! Mac : (souriant) Je préfère quand même que mes suspects râlent, c’est plus pratique pour les faire parler ! Regardant le corps d’à côté ! C’est le cas de Stella ? Syd : (redevenant sérieux) Oui, ils ne lui ont laissé aucune chance, elle s’est accrochée mais l’organisme n’a pas supporté les chocs ! Mac : (fronçant les sourcils) Elle était en tout cas très belle ! Revenons à Mr Robinson ! Syd : (acquiesçant de la tête) que vous dire sur notre victime ! Eh bien, la raison de sa mort n’a pas était difficile à déterminer, on lui a tranché la gorge, d’un coup net, aucune hésitation (lui montrant la plaie), l’incision est très précise, un scalpel ou une lame de rasoir! Mac : Un petit couteau bien aiguisé ne pourrait pas faire cela ? Syd : Non, pas une incision aussi précise, je pencherai pour un scalpel Mac : Vous pouvez m’expliquer pourquoi il n’y avait pratiquement pas de sang ! Syd : Eh bien vous voyez là (lui montrant du doigt), ce petit point ! Mac : Une piqure ! Syd : Exactement, on lui a injecté un produit à base de Fibrine, une substance chimique fabriquait par l’organisme pour éviter au corps de se vider de son sang en cas de plaies ouvertes, j’ai envoyé un échantillon de sang à Adam pour connaître l’exact composition ! Mac : Merci, et l’assassin pouvait se procurer ce produit facilement ? Syd : Vous savez nous sommes dans l’ère de la mondialisation et d’Internet, tout le monde peut avoir tout ce qu’il veut s’il sait où chercher ! Mac : (souriant) votre réponse ne m’arrange pas ! Syd : (souriant) par contre une extraction des yeux aussi parfaite n’est pas mince à faire si l’on ne connaît pas parfaitement la formation du globe oculaire ! Je m’explique, notre charcutier a utilisé une petite cuillère pour extraire l’œil de son orbite, mais l’œil est un organe très fragile, il ne mesure que 25mn de diamètre, et sa paroi n’est composée que de 3 membranes très fines, il faut avoir du doigté, mais surtout savoir qu’en tirant le globe oculaire, il tire en même temps le second, puisque les yeux sont reliés par le chiasma, plus communément appelé le nerf optique ! En gros en coupant le nerf optique d’un œil, il ne lui resté plus qu’a tiré l’autre sans forcer! Mac : (grimaçant), Il faut quand même avoir le cœur accroché pour faire ça ! Syd : Il est vrai que votre tueur savait ce qu’il faisait, ce n’est pas un débutant ! Mac : En ce qui concerne les mains ? Syd : Pareil, il a sectionné les mains en évitant tout simplement les os ! Le produit ayant fait effet, même en sectionnant l’artère cubitale et l’artère radiale, très peu de sang s’est épanché, d’où l’absence d’amas de sang autour de la victime ! Là aussi pas d’hésitation, net et précis ! Mac : Autre chose ? Syd : Je n’ai pas trouvé grand-chose, votre tueur est plus rigoureux que celui de notre Jane Doe, derrière vous, pas de traces, du travail très soigné ! Mac : Un professionnel ! Syd : J’en ai bien peur ! Mais dites-moi, vous êtes seul sur cette affaire ? Mac : Non, Danny est aussi sur l’enquête ! Syd : Il vous a abandonné pour les beaux yeux d’une femme (en souriant)! Mac : (souriant), j’aurai bien aimé, mais non il est à l’hôpital ! Syd : A 3h45 du matin (intriguait) ? Mac : Son frère est mort cette nuit (baissant la tête) ! Syd : (attristait), je suis désolé, j’ai encore raté une occasion de me taire ! Mac : Vous ne pouviez pas le savoir ! Vous pouvez rentrer chez vous, on se voit demain ! Syd : (Dépité) A demain ! Mac quitta la morgue pour se diriger vers son bureau, les couloirs étaient vides, chacun avait regagné son abri, sa maison ! Il s’assied à son bureau s’appuya sur le dossier de sa chaise et ferma les yeux ! Il était près de 4h du matin, la journée n’avait pas encore commencé pourtant elle l’avait déjà épuisée ! Il se laissa bercer par le silence, laissant son corps reprendre son souffle, son esprit recouvra peu à peu ses sens, et la nuit reprit son cours ! Voilou, voilou mdr! M'en vais dormir | |
| | | Wolfinette "Let's shake some dust"- Samson
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| | | | Flo Serial Series
Nombre de messages : 2230 Age : 34 Date d'inscription : 21/09/2007 Réputation : 0 Points : 19176
| Sujet: Re: Quand le passé vous ratrappe, il ne pardonne pas! Jeu 29 Nov - 20:29 | |
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| | | perlnoir Looping accessoirement Admin.
Perso(s) Préféré(s) : Danny. Mac. et Jo Nombre de messages : 37318 Age : 48 Date d'inscription : 20/09/2007 Réputation : 0 Points : 53949
| Sujet: Re: Quand le passé vous ratrappe, il ne pardonne pas! Dim 2 Déc - 23:18 | |
| :002: Merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii les Filles!
Voilou la suite! Doucement, le jour commençait à tirer sa couverture blanche recouvrant peu à peu la nuit épuisait d’avoir versé toutes les larmes de son corps ! Lentement, la nuit s’effaçait laissant place à une journée hurlante de désirs de regagner son territoire ! Imperceptiblement, le jour s’étirait pour prendre le relais, taquinant sur son passage la nuit, la priant joyeusement de regagner sa couche, jusqu’à sa garde prochaine! 5h50 du matin, une infirmière vint à frapper à la porte avant de la refermer derrière elle, Danny semblait aussi paisible que son frère, les machines chantaient toujours le meme refrain, tout en veillant à protéger ce corps inerte qu’on leur avait confié ! L’infirmière s’approcha doucement et d’une voix presque silencieuse : L’infirmière : Monsieur Messer ? Monsieur Messer (en lui posant la main sur son épaule) L’infirmière : Monsieur Messer ? Monsieur Messer (en souriant) Il avait l’air si tranquille, les infirmières s’étaient succédées durant la nuit pour s’occuper du corps de Louie, mais aucune n’eût le courage de briser cette alchimie qui se passait entre eux, pouvait-on réellement parler d’alchimie, puisque l’un des deux n’était plus de ce monde, pourtant, c’est ce qu’il se passer ! Durant ces 3 heures, ces deux hommes ne faisait plus qu’un, chacun livrant son âme à l’autre, chacun sentant la fin d’une fraternité si peu exploitait, pourtant brûlante de volonté ! Mais comme toute chose à une fin, celle-ci ne fit pas exception ! L’infirmière : Monsieur Messer ? (s’agenouillant) L’infirmière : Monsieur Messer ? Danny refit enfin surface, immergeant de sa léthargie. Rouvrant doucement les yeux, un grand sourire se dessina alors sur son visage, alors que son corps encore endormit s’étendait en douceur, presque machinalement. L’infirmière : Monsieur Messer, excusez-moi de vous importuner mais nous devons absolument nous occuper de votre frère (avec calme) ! Danny : (revenant à la réalité) Oh, pardon, je crois que je me suis endormit (en souriant) ! L’infirmière : Ne vous excusez pas, c’est moi qui vient jouer les trouble-fêtes ! Danny : (prenant une grande aspiration et se levant) Merci, je vous le confit (les yeux pleins de larmes) ! Il s’approcha de Louie et l’embrassa sur le front ! Danny : A la prochaine, petit frère (en souriant, il savait que ça l’énervé quand il l’appelait ainsi) ! Il salua l’infirmière et quitta la chambre ! Danny refit ce énième trajet, mais celui-ci était le dernier, celui de la séparation finale, il marcha doucement comme pour savourer ce dernier instant, arrivait devant la grande porte d’entrée, il se retourna et fit une ovation du regard à cet endroit qui lui avait rendu son frère, puis reprit sans prévenir ! Il poussa la porte, et sortit son téléphone pour appeler un taxi quand une voix l’interrompit : L’interlocuteur : Bonjour beau blond, je peux vous invitez à boire un café (avec un large sourire) ? Danny releva la tête, puis un sourire se dessina sur son visage ! Il connaissait parfaitement cette voix, ce visage, il plissa les yeux ! Danny : Qu’est-ce que tu fais là, à cette heure-ci (intrigué) ? L’interlocuteur : Je passais par là, par hasard, et je me suis dit le premier blond que je croise, repart avec moi (en souriant) ! Danny : J’ai eût de la chance alors (avec ironie) ! L’interlocuteur : Je pense que Oui ! Danny s’approcha de la personne et la prit dans ses bras Danny : Tu me gifleras après (en la serrant dans ses bras) Elle le laissa faire, entourant à son tour son corps puissant mais fragilisait par une nuit plus qu’harassante ! Elle sentait presque la douleur se débattre en lui, elle posa sa tête sur son épaule et lui chuchota à l’oreille ! Interlocutrice : Je suis désolé (à ses mots ses yeux s’emplirent de larmes), elle s’était promis de rester forte, pour le soutenir, mais cette maudite douleur qui se débattait à l’intérieur de Danny la frappa! Danny ferma les yeux, serrant les dents il se laissa bercer par cette étreinte chaleureuse et presque rassurante ! Il posa à son tour sa tête au creux de son épaule et lui murmura ! Danny : Merci Lindsay, Il prit une grande respiration tentant de retenir ses larmes, mais ce fut peine perdue, elles jaillirent au contact de cette étreinte, Lindsay sentit les larmes coulaient le long de son cou, elle étouffa l’étreinte, le rapprochant encore plus d’elle, lui montrant qu’elle sera là pour lui ! Il garda les yeux fermés, laissant sa peine se dissipait, puis après quelques minutes s’écarta en lui déposant un baiser sur le front ! Danny : (s’essuyant les yeux), alors tu me l’offres ce café ? Lindsay : Je suis venu pour te soutenir, voilà que c’est moi qui flanche (en souriant) Danny : Un autre câlin (s’approchant d’elle en souriant) ? Lindsay : (lui donnant un coup sur l’épaule avec malice) Te moques pas Messer ! Danny : (la fixant) Jamais ça ne me viendrai à l’idée, ça va allez (penchant la tête) Lindsay : (acquiesçant de la tête) Oui, je suis vraiment nulle (se moquant d’elle-même) Danny : (la prenant dans ses bras, et lui caressant le dos), j’espère que t’as prévu la boite de Kleenex dans la voiture (en souriant)? Lindsay : (se dégageant), même pas ! Danny : (lui essuyant les dernières larmes) Tu l’aurais adoré, bon, il est moins drôle, pardon (en grimaçant) j’ai besoin d’entrainement, il était moins drôle mais il t’aurait plu (lui remettant les cheveux dans l’ordre) ! Lindsay : J’en suis sure (le regardant) ! Je dois être horrible,( se recoiffant avec les doigts )! Danny : (en souriant), non, je trouve au contraire que tu es très belle, à part quelques cernes ici (la taquinant) ! Lindsay : (le poussant du bras) Y’a rien à dire, tu sais parler aux femmes toi (en grimaçant) Danny : On va mettre ça sur le compte de la fatigue, tu veux ? Lindsay : On va dire ça (en souriant) ! Danny : Alors ce café, il va refroidir (la pressant) Lindsay : Oui, ça va me faire du bien avant d’aller bosser ! Au fait, je te dépose chez toi après ? Danny : Non, je vais aussi bosser ! Lindsay : T’es sure, tu devrais rentrer dormir un peu (inquiète) Danny : Non, je préfère travailler, ça me changera les idées, de plus Mac est d’accord, donc pour une fois je ne vais pas contester ses ordres ! Lindsay : Surtout quand ces ordres t’arrangent (en souriant) Tous deux se dirigèrent vers un petit café proche de l’hôpital, se taquinant mutuellement ! Beaumarchais disait : Je me presse de rire de tout, de peur d’en pleurer !La vie passe, lasse puis trépasse, elle est douce si on se laisse bercer par sa mélodie, mais elle sait aussi être dure, parfois même injuste, mais la douleur est notre précepteur de la vie! Il est préférable d’accuser le coup de suite, sinon, plus dure sera la chute ! A très vite!
Merci encore | |
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Nombre de messages : 2230 Age : 34 Date d'inscription : 21/09/2007 Réputation : 0 Points : 19176
| Sujet: Re: Quand le passé vous ratrappe, il ne pardonne pas! Lun 3 Déc - 19:31 | |
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| | | Wolfinette "Let's shake some dust"- Samson
Perso(s) Préféré(s) : Lindsay,Danny, Don Nombre de messages : 1807 Age : 33 Date d'inscription : 21/09/2007 Réputation : 0 Points : 19882
| Sujet: Re: Quand le passé vous ratrappe, il ne pardonne pas! Lun 3 Déc - 20:06 | |
| Au début je pensais pas que c'était Lindsay ! Mais j'ai adoré ce moment entre eux ( !! ) Tu écris super bien, vraiment, cette suite ça coule de source ! | |
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| Sujet: Re: Quand le passé vous ratrappe, il ne pardonne pas! | |
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| | | | Quand le passé vous ratrappe, il ne pardonne pas! | |
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