"Il était là"

Note de l’auteur (c'est moi!!!!/ hum hum/ ouais c'est bon "nous". de toute façon à plusieurs dans une même tête!): Je me retiens depuis trèèès longtemps pour ne pas commencer une autre fic avant de finir celle qui est en cour…. Mais l’inspiration est telle, que si je l’attrape pas quand elle vient, elle risque de m’en vouloir et de ne pas revenir de si tôt. Alors avant tout, je tiens à m’excuser auprès de Perl’, ne t’inquiète pas, l’adolescence de Danny n’est pas oubliée !
Ensuite… ce qui va suivre est venu à mon cerveau endormie et pourtant sur le moment, insomniaque, comme étant la première partie d’une fic. Mais le truc qui est super génial chez moi c’est que j’ai la première partie, et que je sais pas ce qu’il va se passer ensuite. Donc… armez vous de patience. Elle n’a pas encore de titre… mais dès que Dame Inspiration m’en donne un, je partage, en attendant, ce sera "Il était là" vous saurez pourquoi!!
Elle n'est pas longue... comme tous mes débuts de fics en général. C'est la première fic que j'écris à la troisième personne, alors que j'ai toujours utilisé un "je" dans ma narration. C'est difficile de changer, de l'écrire, et de faire passer tout ce que j'ai à faire passer. Néanmoins j'espère qu'elle vous plaira... peu importe votre avis, faites le moi savoir!
Pour finir, je voudrais partager avec vous les quatre vers qui m’ont étrangement conduit à cette esquisse de fic . Il s’agit d’une chanson de Michel Sardou (avec lequel ma mère m’a bercée toute ma vie…nodoby is perfect), et qui est pour moi celle qui me touche le plus :

« Il était là dans ce fauteuil
Mon spectateur du premier jour
Comme un père débordant d’orgueil
Pour celui qui prenait son tour »

Bonne lecture à vous!
Poune (/et nous alors???/ rhaaaa... Les Pounies!)
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Lui. Il était là assis sur cette chaise, dans cette pièce froide, austère, déprimante. Il était à bout de nerf, épuisé, crispé, traumatisé par ce qui venait de se passer, apeuré à l’idée de ce qui pourrait encore se produite. Il était là, dans cette chambre d’hôpital, veillant sur ceux qu’il aimait le plus au monde. Il a du bataillé pour pouvoir avoir le droit d’êre là, mais personne ne pouvait l’en empêcher. Il ne pourrait jamais quitter l’un pour aller voir l’autre, sans avoir peur que quelque chose ne lui échappe. Non, là, ensemble… rien ne pouvait se passer. Ses sentiments étaient confus, tout comme ses pensées, il était déchiré par cette sensation de force qui l’avait envahie au moment où il l’avait vu, débordant de vie et d’espoir. Et pourtant, toute sa faiblesse, sa détresse, reposait sur la fait que la vie et l’espoir de l’autre côté de la pièce étaient deux éléments aussi incertains que luxueux.

Elle. Elle était allongée, là, dans ce lit froid, couverte d’une simple couverture. Son corps, endolori par les épreuves et la peur. Son visage pâle avait presque tendance à se noyer dans le manque de couleur des draps qui l’entourait. Son cœur battait à un rythme régulier et pourtant il était si fragil que les médecins avaient cru bon de lui brancher quelques fils, pour veiller sur lui. Dans sa tête, résonne les battement de son cœur et l’écho d’une machine infernale qui ne devait cesser de fonctionner. Dans sa tête, elle se battait contre l’obscurité régnante, qui gagnait toujours un peu plus de terrain. Dans sa tête, elle espérait pouvoir ouvrir les yeux et les voir, tous les deux. Dans sa tête, elle essayait de ne pas penser à tout ce qui s’était passer, pour cultiver le peu d’espoir qu’il y avait dans son cœur.

Lui. Il est là, blotti contre lui. Ignorant tout de la vie. De la Mort. Du malheur. De la joie. Lui, il était là, dans sa naïveté si caractéristique. Lui, il est arrivé, projeté dans un monde sans cœur, et sans pitié, sans rien demander. Lui il est là, plein d’espoir et de vie. Les yeux clôs, comme elle, plongés dans un sommeil mérité. Lui, il est là et le restera. Il ne connait personne, mais ce sent bien. Il ne sait pas qui il est, mais se doute qu’il aura bientôt la réponse. Pour l’instant la seule chose qui compte pour lui c’est cette chaleur qui l’entoure, cette force qui l’englobe et le berce depuis quelques minutes. Ou serait-ce des heures. Il est bien là. Et il y restera .

Mais, il faudrait savoir maintenant ce qui les a réunis, tous les trois ici, dans cette petite chambre froide d’un hôpital new-yorkais. Car même si l’histoire de la famille Messer-Monroe ne fait de commencer, il ne faut se contenter de cela. Car toute histoire qui se respecte, toute histoire digne de ce nom, a le droit à son prologue. A cette petite partie qui explique pourquoi ils sont là aujourd’hui, tous les trois enfin réunis. Nous ne savons pas ce qui les attend, nous l’ignorons, et eux aussi. Mais nous devons connaître le réel début de l’histoire.
Ce prologue, ce petit bout de vie de chacun, je vais vous la raconter, car il est de mon avis qu’ils le méritent, peut importe l’issue de leur histoire.
De toute façon au final, la fin est la même pour tous.

J'adore!!!! Je me suis bien demandée qui était les deux personnes mais c'est très joliment décrit et j'ai qu'une hâte, c'est de savoir ce qui s'est passé avant^^. En tout cas, trop belle l'image de Danny berçant doucement son fils en regardant la maman.

J ai adoré, vivement la suite.
Bonne continuation dans l'écriture.

J'adore c'est superbement bien écrit vivement une suite

super début !!

ça met l'eau à la bouche !!!

Merci pour vos commentaires qui me font chaud au coeur. Je vous promets de vous concocter une suitoune... promis juré!

Gros bisous à tous!!

Wouahh !!!
alors là , Poune j'adore c'est vraiment wouahh !!
j'ai très hate de lire la suite !!!

woooow j'adore!!!!!

Ton style d'ecriture est parfait et tu est arrivée à me faire rentrer dans ton texte comme si je le regardais a la télé!!

Alors je n'ai qu'une chose a dire BRAVO!!!!!

En faite petit rectificatif encore une petite chose a dire

Super début de fic !! Tu as un sacré style! Encore bravo et vivement une suite!!

quel prologue de fiction!!!!!!!!!!! on sent tout de suite le suspens!!!!!!!!!!!
vivement la suite!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!