Brillante collaboration (Jac)

Chapitre 20

L’équipe est enfin au courant que Mac et Jo vivent une histoire amoureuse depuis trois mois environ.

Au bureau

Adam : Jo !
Jo : Oui !
Adam : La liste des traiteurs et de boulanger.
Jo : Ah merci !
Adam : Je me suis renseigné, on peut en exclure une dizaine où ce sont des femmes, deux autres qui sont en fermeture, il nous reste quarante-cinq boulangeries.
Jo : Bon boulot Adam !

Jo s’installe dans son bureau et observe de plus près ce que lui a dis Adam.

Mac arrive.

Mac : Coucou !
Jo : Ben alors !! Tu n’es pas très matinal ce matin ?!

Mac regarde un coup derrière lui et dépose un bisou discret sur les lèvres de sa partenaire.

Mac : J’étais à la clinique ! Don a été contacté par une femme, elle est la mère d’une jeune fille de seize ans qui aurait été victime de viol. Elle a prit la fuite et ça lui ais arrivé alors qu’elle allait chercher du pain pour le repas de hier soir.
Jo : Du pain tu dis ?
Mac : Oui !
Jo : Quelle boulangerie ?
Mac : Elle s’appelle « Le petit français ».

Jo regarde son listing

Jo : Le petit français !! Oui ! Je l’ai !
Mac : Tu l’as ?
Jo : La levure retrouvée sur Kristen provenait de France. Un produit utilisé rarement aux USA.
Mac : Sauf si le tueur travail dans une boulangerie à spécialité française.
Jo : On le tient Mac !
Mac : On va lui rendre une petite visite ?

Jo sourit

Jo : Volontiers !

Mac fait signe à Danny, il rapplique de suite.

Danny : Du nouveau on dirait !
Mac : On a une piste sérieuse, une boulangerie qui s’appelle « Le petit français »

Danny, Jo et Mac arrivent sur place.

Danny et Jo entre.

Jo : Bonjour ! Je suis le lieutenant Jo Danville et voici l’inspecteur Messer. On voudrait vous poser quelques questions !!
La vendeuse : Oui !
Jo : Combien y a-t-il de salarié ici ?
La vendeuse : 5 si on compte les patrons !
Jo : Qui fabrique le pain, les viennoiseries ?
La vendeuse : Le patron et Jeff.

Jeff qui entend son prénom arrive et les armes que portent les deux policiers l’interpelle et prend la fuite immédiatement.

Jeff saute par-dessus le comptoir et passe la porte.

Mac : Arrêtes toi !

Mac le vise de pleine face, l’homme a naïvement cru que Jo et Danny étaient seuls et que personne ne les attendait dehors.

Don lui passe les menottes.

Au poste.

Mac : Je sais que tu aimes bien t’occuper de ce genre de salaud ! Je te le laisse mon cœur !
Jo : Avec plaisir !

Jo rentre dans la salle d’interrogatoire.

Don et Mac observe depuis l’extérieur.

Don : Mon cœur !!! Plutôt mignon ! Je vous connaissais pas si romantique chef !
Mac : Vous n’avez rien entendu et moi non plus (avec un sourire révélateur)

Jo interroge le suspect.

Jo : Alors monsieur Lewis ! Pourquoi avoir tenter de prendre la fuite comme ça ?

Jeff Lewis ne répond pas.

Jo : Vous savez que fuir est à moitié avouer son crime.
Jeff : Je ne vois pas de quoi vous parler !

Jo montre la photo de Kristen.

Jo : Je me permets de vous rafraîchir la mémoire.
Jeff : Connais pas !
Jo : Bien sûr ! C’est sûrement la seule fois où vous l’avez rencontré ! Une cliente peut être ?
Jeff : Je ne sais pas moi ! Je vous dis que je ne l’ai jamais vu !
Jo : Bien sûr que non ! Cette jeune fille est méconnaissable. Vous l’avez violé et tué.

Jeff ne répond pas

Jo : Vous savez, j’ai tout mon temps moi, mais vous ne pouvez pas le nier, on a toutes les preuves. Vous serez d’une manière ou d’une autre écroué ! Toutefois, la peine peut être moins lourde si l’on obtient des aveux !

Jo regarde l’homme avec un air compatissant et lui offre un verre d’eau comme si soudainement elle était de son côté.

Mac : Et c’est là qu’il va craquer !

Jeff : Bon, d’accord, c’est vrai que c’est moi qui l’a violé, je ne sais pas ce qui m’a pris, ça faisait un moment que je l’avais remarqué, elle me plaisait tellement !
Jo : Cette jeune fille n’avait que quinze ans !
Jeff : Je sais, mais elle me plaisait ! Un jour je lui ai dit et elle m’a envoyer balader comme un mal propre et j’ai perdu mon sang froid !
Jo : Au point de la violer et en plus de lui briser sa vie, vous l’avez tué.
Jeff : Non, elle était encore en vie quand je suis partie. Elle respirait encore !
Jo : Elle respirait encore !!! (Enervé)

Jo tape un coup sur la table, l’homme sursaute.

Jo : Le coup qu’elle a pris derrière la tête a été fatale. Elle n’a pas survécu longtemps après.
Jeff : Elle se débattait, j’ai tenté de la rattraper, mais elle a percuté une benne.
Jo : Une chance que celle à qui vous vous en êtes pris hier soir a pu s’échapper !

Jeff lève la tête et ne répond pas à l’affirmation de Jo.

Don : Elle est incroyable pour leur faire cracher le morceau !
Mac : Oui, elle est douée !

Jo quitte la salle.

Jo : Bon ben voilà !
Mac : Joli boulot !
Jo : Pas difficile ! Don il est à toi !!

Don s’occupe de la mise à écrou de l’homme.

Mac et Jo repartent au labo. Il la prend par l’épaule et tout en marchant, il lui glisse un bisou dans sa chevelure.

Mac et Jo arrivent au labo tout naturellement en agissant comme deux collègues normaux.

Danny : Alors, il a avoué ?
Jo : Affirmatif !
Danny : Super !

A suivre.

super suite! !!!

Chapitre 21

Le petit matin est déjà là et Jo se réveille avec difficulté, elle se retourne et remarque son homme qui la regarde.

Jo : Tu es déjà réveillé ?
Mac : Depuis un moment oui ! Je te regardais dormir paisiblement.
Jo : Tu parles d’un spectacle !
Mac : Tu es superbe.
Jo : Merci ! Mais tu me flatte Mac !

Mac prend sa douce dans ses bras.

Jo : Qu’est ce que tu fais ?
Mac : Juste un câlin matinal. J’en profite !
Jo : Hum !! J’adore ! Tu sais que tu me surprends tellement !
Mac : Pourquoi ?
Jo : Ça va faire quatre mois que nous sommes ensemble et tu te montres très affectueux. Je savais que tu étais un homme galant, mais je ne te voyais pas si tendre.
Mac : Je t’avais dit que le Mac de la vie n’avait rien à voir avec le Lieutenant.
Jo : Oui, c’est vrai !
Mac : Je suis heureux.
Jo : Moi aussi !! Mais Elie ne va pas tarder de se réveiller.
Mac : Oui, tu as raison ! J’y vais vite !

Mac se lève et s’habille, Jo le raccompagne jusqu’à la porte, il l’embrasse tendrement.

Mac : A toute à l’heure.
Jo : Je t’aime !
Mac : Moi aussi !

Une fois Mac parti, Jo appelle Elie.

Elie franchie la porte de sa chambre et elle se frotte les yeux.

Elie : Maman ! Je suis pas sourde !
Jo : Désolé, je croyais que tu dormais encore !
Elie : Je viens de me réveiller.

Jo fait un bisou et un câlin à sa fille et lui sert son petit déjeuner.

Jo : Tu veux un jus d’orange pressé ?
Elie : Oui, merci !

Elie regarde la porte de la chambre de Jo avec assistance.

Jo : Ça va ?
Elie : Euh oui oui !
Jo : Tu m’as l’air préoccupé !
Elie : Ben un peu en fait !
Jo : Qu’est ce qu’il se passe ?
Elie : Je trouve mes fringues vraiment trop moche.
Jo : Quoi ! C’est quoi ces bêtises ?
Elie : Regarde toi et regarde moi ! C’est le monde à l’envers !! J’ai quinze ans et je suis vêtue comme une grand-mère alors que toi tu as 40 ans, c’est toi qui a l’âge de la grand-mère et tu es habillée super style !!
Jo : D’où te viens cette idée ? Puis au passage merci pour l’âge de la grand-mère !
Elie : C’est Bridget qui m’a dit ça. Elle m’a dit que ma mère s’habillait mieux que moi.
Jo : Bon ! Même si je trouve ton amie Bridget ridicule, si tu veux, on trouvera un moment dans la semaine pour allez faire les boutiques.
Elie : Super ! Merci maman !
Jo : Pas de quoi !
Elie : Tu voudrais pas me prêter ton pull bleue ? S’il te plait, dit oui maman !! Allez !!

Jo la regarde et sourit en coin

Jo : Bon d’accord ! Mais tu fais attention ! Je l’aime bien ce pull !
Elie : D’accord ! Promis !

Elie se lève et va en direction de la chambre !

Jo : Eh ! Qu’est ce que tu fais ?
Elie : Ben je vais chercher le pull !
Jo : Euh !!! Il est pas là !
Elie : Ah bon ! Mais où il est ?
Jo : Ben …..
Elie : Maman ! J’ai 15 ans, je ne suis pas stupide !
Jo : Oh mais Elie ! Je te promets que je veux bien te le prêter, mais je vais allez le chercher moi-même, c’est le bazar dans ma chambre !
Elie : Non, je ne parle pas de ton pull, je parle du fait que tu ne veux pas que j’aille dans ta chambre car il y a un homme dans ton lit.
Jo : Quoi ?
Elie : Maman !! Tu es une mère géniale, je t’aime et tu as énormément de qualités….

Jo sourit face aux compliments de sa fille.

Elie : Mais tu es loin d’être discrète pour certaines chose ! Si tu vois ce que je veux dire !
Jo : Quoi ?
Elie : Laisse tomber ! Mais juste, si tu vois des hommes, tu n’es pas obligé de me le cacher, je ne suis plus une petite fille !
Jo : Déjà c’est pas « des », mais un homme et la dernière fois que j’ai ramené un homme et la dernière fois que tu as vu un homme ici c’était un peu gênant comme situation !
Elie : Alors il y a bien un homme dans ta chambre ?
Jo : Non, il est partit il y a un quart d’heure !
Elie : Ok, une aventure ou du sérieux ?
Jo : Elie !!! (Gêné)
Elie : Très bien, tu ne veux pas m’en dire plus, je comprends ! (vexée)
Jo : Bon !! Ça fait quatre mois déjà !
Elie : Celui dont tu nous as parler il y a deux ou trois mois ?
Jo : Oui !
Elie : Tu sais maman ! Avec Tyler on t’a toujours eu pour nous tout seul, et je pense que tu as le droit d’être heureuse et franchement il est grand temps que tu refasses ta vie ! Tu ne vas pas rester célibataire endurcie !

Jo est émue fasse à l’ouverture d’esprit de sa fille.

Jo : C’est vraiment adorable ce que tu me dis Elie !
Elie : Alors tu me parles de lui ?
Jo : Que veux tu que je te dise ?
Elie : Ben je ne sais pas, son âge, ce qu’il fait dans la vie, si il a des enfants, son prénom.
Jo : Tu suis la voie de ta mère toi ! On va bientôt te retrouver Lieutenant !
Elie : Ben pourquoi pas, mais revenons en à mon suspect !

Jo rigole fasse à la détermination de sa fille à en savoir plus.

Jo : Alors il a 50 ans, il n’a pas d’enfant et pour le reste des infos, tu vas vite identifier le suspect, car il fait le même métier que moi.
Elie : C’est un gars de la scientifique ?
Jo : Oui !! (en sirotant son café)
Elie : 50 ans !! C’est ton patron ?
Jo : Oui, Mac et moi on est ensemble.
Elie : Ouah ! Ben j’aurais pas cru ! Après pourquoi pas ! Je l’ai toujours trouvé sympa ce mec moi !
Jo : Bon ben au moins je n’aurais pas à batailler pour que tu l’apprécies !
Elie : Non, ça va ! Il est plutôt cool ! Puis si il te rend heureuse !
Jo : Tu peux pas imaginer !
Elie : C’est cool maman ! Par contre un conseil, parle en vite à mamie car l’autre coup elle nous a cuisiné avec Tyler. Je crois qu’elle a de nouveau en tête de te caser !!
Jo : Elle est incorrigible !
Elie : Bon aller ! Je vais me préparer, je vais être en retard.
Jo : Oui !!

Jo : Oh attend !!

Jo entre dans sa chambre.

Elie : Quoi ?
Jo : Le pull !
Elie : Merci maman !

Une petite heure plus tard, Jo arrive au bureau.

Lindsay : Bonjour Jo
Jo : Bonjour Lindsay ! Ça va ?
Lindsay : Très bien ! Voilà le suspect que nous recherchions.

Lindsay lui montre la tablette. Jo aperçoit Mac passer au même moment et éclate de rire jusqu’au larme.

Lindsay : Qu’est ce qui se passe ?
Jo : Non, rien ! Une bêtise ! Enfin pas tant que ça, mais… Enfin !! Don est en route avec Lovato ?
Lindsay : Oui ! Ils vont lui rendre une petite visite.

Jo rigole encore

Lindsay : Tu as bu trop de café Jo !
Jo : Non, en fait, je ris à cause du suspect enfin par lui à proprement dit, mais en fait, ce matin Elie m’a fait comprendre qu’elle avait compris que je voyais un homme. Alors elle a commencé à me poser des questions et je lui ais donc dit qu’elle était bien partit pour être Lieutenant et elle m’a répondu « Pourquoi pas, mais revenons en à notre suspect »
Lindsay : En parlant de Mac ?
Jo : Oui (Toujours morte de rire)

Lindsay commence à rire

Lindsay : Ah oui en effet, elle manque pas de répondant ta gamine !!!

Elles rigolent toute les deux. Mac les vois depuis son bureau ce qui commence un peu à l’agacer. Il se lève et sort dans le couloir tout en restant sur le pas de la porte de son bureau et les récrits.

Mac : Eh oh ! Messer, Danville !! Vous n’avez pas de boulot ?

Lindsay : Où là là !! J’y retourne moi !!

Lindsay s’en va rapidement.

Jo passe devant Mac et le regarde avec un sourire malicieux.

Jo : Désolé chef Taylor ! (D’un air moqueur)

Mac sourit amusé par le petit numéro de Jo.

Un moment plus tard, Mac va la voir dans son bureau.

Mac : Tu me fais la tête ?
Jo : Pourquoi ça devrait être le cas ?
Mac : Ben à cause de ma remontrance tout à l’heure !
Jo : Mac ! Quand on est ici, tu es mon patron ! Si tu vois que je fais mal mon boulot ou que mon comportement n’est pas approprié, c’est normal que tu me rappelle à l’ordre !! Ce n’est pas parce que nous avons une relation amoureuse que tu dois te montrer plus indulgent.
Mac : Tu es vraiment une femme exceptionnelle ! J’ai cru que tu m’en voudrais.
Jo : Pas le moins du monde, surtout que ta remontrance était justifiée, je n’avais pas à rire comme une idiote comme ça.
Mac : Et quelle était la raison de ce fou rire ?
Jo : Oh rien, juste Elie qui a deviné que quelqu’un était là cette nuit.
Mac : Ah !!
Jo : Elle m’a posé des questions sur toi comme si tu étais un suspect et naturellement on en a ris avec Lindsay tout à l’heure quand elle m’a parlé de suspect.
Mac : Je vois !
Jo : Mais au fait ?
Mac : Oui !
Jo : C’est peu être déplacé de te poser cette question sur notre lieu de travail mais il faut que je sache.
Mac : Quoi ?
Jo : Tu trouves que je crie trop ?
Mac : Comment ça ?
Jo : Ben tu as compris non ! Quand on est au lit !
Mac : Ah !! ça ???

Mac se gratouille un peu la tête. Jo le vois mal à l’aise.

Jo : Ok j’ai compris !
Mac : Disons que quand tu es en forme, tu t’exprimes bien ! Mais ça ne me dérange pas ! (avec un sourire provocateur)

Jo prend un dossier et le tape avec sur le bras.

Mac : C’est ta fille qui t’a dit ça ?
Jo : Elle me l’a fait comprendre !
Mac : Bon ben c’est franc au moins ! Et tu lui as dit qui était ton prince charmant ?
Jo : Oui, je lui ais dit que c’était toi mon homme et elle est ravie.
Mac : Bon ben c’est une bonne chose non ?
Jo : Oui, je pense aussi !

Le téléphone de Jo sonne.

Jo : Oui Don !

Le sourire de Jo s’efface soudainement.

Jo : Oh non ! C’est pas vrai !! On arrive rapidement. Prend le maximum de renfort et ne prenez aucun risque.

Jo raccroche.

Jo : Vite Mac, il nous faut toute l’équipe !!

A suivre

super suitemais serait il arrivé quelque chose a elie!!!!!!!!!!!!!!!!!

Super suite !!!!

Merci à vous !!!

@Mactaylor23 : Si tu veux savoir ce qui inquiète soudainement Jo, la suite ce soir !!!

J'avais pas mal de retard à rattraper
j'aime toujours autant, ça fait du bien de lire une fic Jo/Mac

Merci Manhattan !!J'adore ta fic aussi !! En fait je suis un peu accro lol !!

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Chapitre 22

Jo a eu une conversation avec Elie à propos de la relation qu’elle entretient avec Mac. La jeune fille semble très bien prendre le fait que sa mère ait un homme dans sa vie.

Jo et Mac ont une conversation plutôt intéressante au bureau lorsque Jo reçoit un appel de Don qui semble la perturbé assez rapidement, ce qui n’est pas dans la nature de Jo.

Mac : Pourquoi toute l’équipe que ce passe t’il ? C’est une tuerie ?
Jo : Il y a pas une minute à perdre Mac ! Don est aller arrêter le suspect ce matin avec Lovato, mais ça a mal tourné, il était dans un bar dans la seizième et il les a vite repéré et il a pris la fuite. Ils sont partit à sa poursuite et il s’est infiltré dans le Lycée Kennedy.
Mac : Oh non !!
Jo : Mac ! Il y a plus de milles gamin là dedans ! Elie est parmi eux, il faut y allez !
Mac : Jo ! Je pense que tu devrais rester là !
Jo : Je ne pourrais pas ! Il en est hors de question !
Mac : D’accord !

Mac réuni l’équipe et ils partent tous.

Sur place, Don explique par où le suspect s’est infiltré dans le lycée.

Jo : Quelqu’un sait où il se trouve ?
Don : Pour l’instant rien ! Tout ce qu’on sais, c’est que la sonnerie a retenti il y a dix minute et il y a eu aucun mouvement. Pas un élève n’est sortit des classes.
Mac : Donc c’est que ces pauvres gamins sont retenu en otage.
Jo : Oh mon dieu ! Il est armé ?
Don : Oui, il avait une arme lorsqu’il a prit la fuite et il a tiré deux fois sur nous.
Jo : Donc il lui reste au moins huit balle et peut être plus selon le modèle qu’il a.
Lindsay : Calme toi Jo !
Jo : Cet homme est suspecté d’avoir tué sa femme et ses deux enfants ! Si il a pu faire ça, ça ne le dérangera pas de descendre des gamins qu’il ne connaît pas !

Dans le lycée

Un homme en sueur arrive de façon brutale dans le bureau du proviseur.

Le proviseur : Monsieur, je ne vous ais pas invité à entrer.

Le suspect pointe son arme

Le suspect : La ferme !
Le proviseur : D’accord, je me tais (effrayé)
Le suspect : Maintenant vous allez prendre votre micro et demander à tout les élèves d’aller au gymnase et attention restez naturelle !
Le proviseur : Oui, d’accord !

Le proviseur exécute et tous les élèves se retrouve dans le gymnase dans un chaos total.

Certains élèves prennent immédiatement peur lorsqu’ils voient le ravisseur arriver avec son arme, d’autres se moquent de lui pensant à un canular, jusqu’à ce que l’homme tire une balle au plafond.

A l’extérieur, ils entendent le coup de feu

Jo : Oh mon dieu !
Don : Un coup de feu, tous en place.
Jo : Il faut qu’on rentre !
Mac : Je pense que tu es trop vulnérable sur ce coup là Jo ! Tu devrais nous laisser faire.
Jo : Mac ! Si tu aurais des enfants, tu ne lâcherais pas ! Je le sais !
Mac : Oui, mais…
Jo : Mac, tu auras beau me dire ce que tu veux, mais je lâcherais pas ! Ma fille est à l’intérieur !
Mac : D’accord !!
Jo : Alors reprenons les plans.

Un officier : Il y a du mouvement dans la partie Sud.
L’autre officier : C’est le gymnase !

Le nombre de personnes commence à s’accumuler derrière les barrières de sécurité.

A l’intérieur

Le proviseur : Mais qu’est ce que vous nous voulez ?
Le ravisseur : Juste que ces putains de flics me fiche la paix ! Désolé, ce lycée était sur mon chemin lorsqu’ils ont commencé à me poursuivre. La meilleure option que j’ai c’est de retenir tout ce petit monde en otage.
Jordan (un élève) : Monsieur, libérez les filles au moins !! Elles sont terrifiées.
Morgan (en douce) : Tu es aussi terrifié que nous.
Maureen : Tais toi Morgan !
Le ravisseur : Pour l’instant je ne lâche personne et le premier qui bouge ou qui tente quoi que ce soit, je lui perse un joli petit trou dans le crâne à l’aide de mon petit bijou.

A l’extérieur, l’équipe cherche diverses solutions pour rentrer en contact avec le ravisseur. Une petite heure passe Don et Mac on passé plusieurs appel au suspect au porte voix, mais aucune réaction.

A l’intérieur

L’homme : Bon, je ne vais quand même pas rester là éternellement, mais je vais en prendre deux ou trois d’entre vous pour que je puisse m’enfuir ! Des volontaires ?

Personne ne se manifeste.

L’homme : Je m’en doutais ! Alors je vais sélectionner au hasard les élèves qui pourront sortir. Restez calme surtout, vous êtes super nombreux vous avez peu de chance d’être choisi.

L’homme se lève et prend un plaisir de terroriser les élèves avec son arme.

L’homme : Alors comme l’a dit un camarade qui a voulu se la jouer gentleman tout à l’heure, je vais laisser l’honneur au fille.

L’homme : Toi, va t’en ! J’aime pas les chouineuses !

La jeune fille s’en va sans se retourner.

L’homme : Attend !

La jeune fille s’arrête.

L’homme : Toi, tu ne pourras pas assurer ma sécurité, tu es trop petite. Casse toi !

Les deux jeunes filles sortent.

A l’extérieur

Un officier : La porte s’ouvre, je répète la porte s’ouvre.
Don : Personne ne bouge !!
Mac : Deux jeunes filles sortent.

Jo remplie d’espoir regarde très vite et s’aperçois au loin que ce sont deux filles brunes à la peau blanche.

Lindsay passe sa main sur l’épaule de Jo.

Lindsay : Je suis désolé Jo !

Jo empoigne la main de Lindsay

Jo : Je sais, merci !

Les deux jeunes filles arrivent et Don les interroge.

Don : On a entendu un coup de feu
La première jeune fille : Il voulait nous faire peur car certains camarades n’avaient pas peur et pensait à un canular.
Don : Donc aucun blessé ?
La première fille : Non !
Don : Personne n’a fait de malaise ou montre de signe de faiblesse ?
La deuxième : Juste des personne terrorisé.
Don : Comment avez-vous réussi à sortir ?
Une des jeunes filles : D’après ce qu’il dit, il va garder deux ou trois élèves en otages pour s’échapper ! Mais je crois qu’il va laisser sortir toutes les filles.

Jo lève la tête au ciel

Jo : Dieu merci
Mac : C’est qu’une histoire de temps Jo ! Elle va sortir. Il est malin, il laisse sortir les élèves en petit comité pour éviter qu’on s’infiltre en même temps.
Jo : Je sais, mais tant qu’elle ne sera pas là ! Je ne serais pas tranquille !
Mac : Je comprends !

Mac serre Jo contre lui.

A l’intérieur

Le ravisseur : Toi la blonde !!
La blonde : Merci de me libéré !
Le ravisseur : Non, tu es très jolie, je vais te garder encore un peu !
La blonde : Mais ….
Le ravisseur : Tait toi ! Toi la petite métisse là !!! Sort ! Toi aussi celle qui a les mèches violette !

Les jeunes filles se lèvent.

Le ravisseur : Passez un message aux flics ! Je veux une voiture dans une heure et vous leur dite bien que je ne veux pas d’entourloupe.

Les filles font un signe oui de la tête et s’en vont terrifiées.

A l’extérieur

Un officier : Deux autres sortent !! Lieutenant Danville !!

Jo s’approche

Jo : Oui !!
L’officier : L’une d’entre elle semble être métisse.

Jo regarde attentivement avec la boule au ventre et beaucoup d’espoir.

A suivre

Merci
Oh tu es une sadique en faites J'espère que c'est Ellie
J'aime beaucoup merci pour cette suite

je crois que ta fic a des effets secondaires , je suis comme .........droguée! super suite

Merci à vous deux !! C'est vrai que des fois j'ai un petit côté sadique dans mes fics !! mdr


Chapitre 23

Un suspect dans une affaire de meurtre familiale, a réussi à échapper à Don Flack et Jamie Lovato. Il s’infiltre dans un lycée qui n’est autre que celui dans lequel est scolarisée Elie. Jo est sur le coup, mais terrifiée de savoir sa fille à l’intérieur.

L’homme à déjà laissé quatre jeunes filles sortir dont une jeune filles métisse parmi les deux dernière. Un officier prévient Jo, elle se précipite pour voir la jeune fille.

Jo : Ce n’est pas ma fille ! Non, c’est pas elle.

Jo repart vers Mac la main sur son front et les larmes aux yeux.

Jo : Ce n’est pas elle Mac ! Ce n’est pas ma fille que ce salaud a libérée !!

Jo se blottit dans les bras de Mac et pleure toutes les larmes de son corps. C’est la première fois que l’équipe voit Jo pleurer ainsi. Ils ne l’avaient jamais vu verser une seule larme depuis un peu plus de trois ans.

Mac : Jo, il va la libérer, tu as entendu, il libère les filles ! Il les libère pas toute en même temps pour pas se faire doubler et pour jouer avec nos nerfs.

La jeune métisse : L’homme veut une voiture et il a dit pas d’entourloupe ! Il faut le faire sinon il va tuer tout le monde. C’est un malade.
Mac : Ne vous en faites pas, nous prendrons pas de risque.

Les jeunes filles sortent les unes après les autres à cinq ou dix minutes d’intervalle.

Au bout d’une trentaine de filles sorti, Jo n’a toujours pas vu Elie et tente de prendre sur elle. Elle reconnaît Bridget.

Jo : Bridget ! Bridget !
Bridget : Madame Danville ! Vous êtes là !
Jo : Comment va Elie ? Il va bientôt la libérer ?
Bridget : Il ne dit pas à l’avance qui il va libérer, mais Elie va bien. Elle ne pleure pas et se montre forte. Elle est courageuse.
Jo : Merci Bridget ! Va vite retrouver tes parents !

Certains parents sont soulagés de voir leur enfant sain et sauf mais encore le désarroi pour d’autre, comme c’est le cas pour Jo.

A l’intérieur, l’homme continu à s’amuser avec les nerfs des élèves et leur fait peur lorsqu’il passe devant chacun d’entre eux en leur pointant son arme dessus.

Elie est là avec ses amies et ne parlent pas.

L’homme : Toi comment tu t’appelles ?
La jeune fille : Ev….Ev.. Eva !!
L’homme : Tu m’as l’air stressé dit moi.

L’homme s’amuse avec son arme et lui caresse le visage avec. Les larmes de la jeune fille coulent comme les chutes du niagara.

Jordan qui est juste à côté donne un violent croche pied au ravisseur. Il tombe, certains ont le temps de s’échapper, mais pendant ce temps, il tire un coup de feu. La balle atteint Jordan et son sang éclabousse sur certains élèves qui se trouvent à côté.

A l’extérieur

Un officier : Deuxième coup de feu, je répète deuxième coup de feu.

A l’intérieur

Elie : Jordan non !!

Jordan est touché dans le bras mais perd beaucoup de sang.

L’homme : La prochaine fois que quelqu’un tente un coup pareil, je le tue sans la moindre hésitation ! Tu as de la chance que la balle n’a pas touchée ton cœur ou ta petite tête gamin.

Elie et Ashley restent auprès de Jordan

L’homme : Eloignez vous, vous deux !

Elie recule et voit le pull de sa mère imbibé de sang.

Les larmes d’Elie coulent

Elie : Le pull de ma mère !
Ashley : Elle t’en voudra pas, ta mère comprendra !
L’homme : Taisez vous vous deux !!

A l’extérieur, une trentaine d’élèves dont des garçons et des filles se précipitent pour sortir. Ils expliquent aux policiers ce qui vient de se passer, mais personne n’a vu le ravisseur tirer.

Jo a grand espoir de trouver Elie, mais toujours rien.

A l’intérieur

L’homme : Allez toi là !! Tu sort maintenant ! Ton pull est crade !

Elie se lève et s’apprête à partir.

Elie : Courage Jordan !
Carla (discrètement) : Elie, dit à ta mère qu’elle se grouille avec la voiture.
Elie : Laisse là en dehors de ça !
Carla : Elle est flic non ?
Sean : La ferme Carla !

L’homme entend. Il s’approche avec son arme

L’homme : Attend toi ?

Elie stop le pas.

L’homme : Qui est flic !
Carla : C’est….

Sean lui coupe la parole

Sean : Carla ferme ta gueule !
L’homme : Si tu ne dis pas, je tire sur ta tête de crapauds.
Sean : Elle parlais des policiers en général !
L’homme : Tu as dit ! « Elle est flic » et vous les deux vous avez murmuré !

Il continu d’harceler le jeune homme, il le prend par les cheveux.

L’homme : Quelqu’un de ta famille est flic ? C’est ça ?
Elie : Lâcher le ! C’est ma mère qui est Lieutenant !
L’homme : Voilà qui est intéressant !! Toi finalement je te garde ! Tu est trop précieuse. Rassiez toi !! Dépêche !!

Elie se rassoit. Sean regarde Carla de travers vers de rage.

A l’extérieur

Jamie Lovato : Il y a une trappe de secours qui mène dans le secteur B. Le gymnase est à quelques mètres et d’après la déclaration des élèves, ils sont à droite sur les gradins.
Don : Il reste une centaine d’élèves. Je pense que après les cinquante prochains, on peut intervenir.
Jo : On est prêt mais pas de risque.
Mac : Tu es sûr que tu veux y allez ?
Jo : Mac, il faut que j’y aille !
Mac : D’accord !

Les élèves continue à sortir, mais Don tient Jo à l’écart. Mac comprends vite que quelque chose ne tourne pas rond. Il va à sa rencontre.

Mac : Tu dis à Jo qu’il n’y a pas de nouveau et tu la tiens à l’écart à chaque interrogatoire. Que se passe t’il ?
Don : Ecoutez, je ne préfère pas qu’elle sache. Il faut reconnaître qu’on a besoin de Jo sur cette intervention. C’est une bonne tireuse, et on a besoin d’elle si il faut qu’on en arrive là. Lindsay, Danny, vous et Jo êtes indispensable.
Mac : Ça ne répond pas à ma question Flack !
Don : Le ravisseur à choisit Elie pour s’enfuir. Il y a eu une fuite et il sait que sa mère est Lieutenant.
Mac : Et merde !! Vous avez raison Don ! Pas un mot !
Don : Il y a un blessé !
Mac : Grave !
Don : Le gamin souffre mais c’est le bras.
Mac : D’accord ! Charge Lovato de prévenir les parents !
Don : D’accord !

Une petite heure plus tard

Mac : Il reste une trentaine d’élève, il faut y aller ! On ne peut plus repousser cette fois ! Jo ! Tu n’es pas obligé d’y allez ! Tu peux encore te rétracter.
Jo : Jamais de la vie Mac ! Je dois venir, ma fille est là-dedans !

Les policiers s’infiltrent les uns après les autre par la trappe pendant que les élèves continuent à sortir.

Un élève sort et Mac met son index devant sa bouche pour lui faire comprendre qu’il ne faut pas qu’il les fasse remarquer.

Jo a sa fille en visuel. Elle la voit en larme et pleine de sang. Son cœur bat très vite, elle pense que sa fille est blessée mais tente de garder son sang froid.

L’homme : Maintenant vous êtes plus très nombreux. Alors toi le grand tu vas marcher devant moi et toi la black tu vient là. Les autres vous ne bouger pas tant que je ne suis pas sortie sinon leurs cervelles sautes et les vôtres aussi.

Les hommes se tiennent prêt et se cache dans les salles de classes.

L’homme franchit la porte avec ses deux otages.

Ils marchent ne se doutant pas un instant de la présence des policiers.

L’homme marche tout droit jusqu’à ce qu’ils franchissent la première classe dans laquelle se trouve Mac.

Mac arrive et pointe son arme sur le ravisseur. L’homme met un coup de coude dans le ventre de Mac et Elie à juste le temps de se débattre. Le jeune homme prit en otage a le temps de courir pour s’échapper.

Jo sort de la pièce et hurle

Jo : ELIE FERME LES YEUX. VITE !!!

La jeune fille à a peine le temps de faire ce que sa mère lui dit que Jo tire dans le dos du ravisseur.

Jo jette son arme et se laisse tomber, la pression ayant prit possession d’elle. Lindsay la regarde impossible de bouger, se rappelant à ce moment là le jour où elle a abattue Shane, l’homme qui tentait de s’en prendre à sa petite Lucy.

Elie court au chevet de sa mère.

Lindsay : Tu devrais sortir !
Elie : Mais maman !!
Lindsay : Elle va s’en remettre, mais il faut que tu sortes Elie.

Lindsay sait qu’il est préférable pour elle qu’elle ne voit pas Jo pour le moment.

Danny et Don s’approche de l’homme, Don prend son pouls.

Don : C’est finit.

Mac s’approche de Jo assise parterre contre le mur, le regard vide et les larmes descendant les unes derrière les autres.

Mac : Jo, c’est fini.
Jo : Elle est morte ! J’ai tuée ma fille ! Mac j’ai tué ma fille !
Mac : Non, bien sûr que non, elle était déjà loin de lui quand tu as tiré.
Jo : Qu’est ce que j’ai fais Mac ?
Mac : Tu m’as sauvé la vie, il m’aurait tiré dessus à bout portant. Sans ton intervention, c’est moi qui serais au sol.
Jo : Où est Elie ?
Mac : Lindsay l’a fait sortir quand elle t’a vu t’effondrer.

Jo tremble de partout et serre Mac dans ses bras très fort.

Mac : Tu as eu un geste héroïque ma Jo. Je t’aime très fort.
Jo : Il faut que je vois Elie !
Mac : Tu peux te relever ?
Jo : Oui, je crois !

Mac aide Jo à se relever et ramasse son arme au passage.

Sheldon et Jamie se chargent de faire sortir les élèves restant de manière à ce qu’ils ne voient pas l’homme abattu.

Jo sort du lycée dans les bras de Mac. Elie les voit et court dans ses bras.

Elie : Maman !!
Jo : Ma chérie ! Je suis désolé de t’avoir infligé ça, je n’avais pas le choix !
Elie : Maman tu as été exemplaire.
Jo : Oh ma chérie.
Elie : Maman ! Je suis désolé, j’étais à côté de Jordan quand ce fou a tiré. Ton pull !!
Jo : Ce n’est pas grave, mon pull on s’en fiche.

L’équipe passe et ausculte Jo, elle remet son arme comme la réglementation l’impose.

Jo part tout de même pour l’hôpital pour une nuit d’observation ayant une tension plutôt élevée.

Le lendemain.

Mac : C’est bon, tout est réglé, tu peux sortir !
Jo : Tu sais, c’est la troisième fois que je suis obligé d’abattre un homme mais ça reste une douloureuse épreuve, même si c’est un fou.
Mac : Je comprends, mais avec le temps !
Jo : Je sais !

Quelques jours plus tard, Jo revient au bureau sous les applaudissements de tous ses collègues. La vie reprend son cours au labo.

A suivre

mgnifique suite parmis toutes les fic la tienne est ma favorite

Ohhhhhhhhhhhhhhhhhhh c'est géniale !!! Ta fic est superbe
Hâte de voir la suite !

mactaylor23 je suis très touchée !!! Merci beaucoup ! ça me va droit au coeur surtout qu'il me semble que tu es une smac donc avoir un tel compliment d'une smac c'est juste grandiose pour moi !!

Merci Eddie c'est adorable !!!

La suite pour très bientôt !!

de rien !! j'adore ta fanfic !!

derien

Merci Eddie

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Chapitre 24

Quelques mois sont passés depuis qu’Elie a été prise en otage avec ses camarades dans son lycée. Jo a été amenée à abattre l’homme afin de protéger sa fille et Mac.

Au labo

Jo : Quelqu’un a vu Mac ?
Lindsay : Non, il n’est pas encore arrivé !
Jo : Hum bizarre ça !
Danny : Vous ne l’avez pas vu ce matin ?
Jo : Non, il a dormit chez lui cette nuit !
Danny : Ah ça arrive encore ?
Jo : Taisez vous voir Messer (en plaisantant) Enfin, quoi qu’il arrive, Don nous attend pas loin du central parc, un meurtre.

Sheldon, Danny et Lindsay suivent Jo.

Sur le terrain.

Jo : Mac tu es là ?
Mac : Ben oui, Don m’a prévenu, du coup, je ne suis pas passé par le labo.
Jo : Bonjour quand même.

Jo embrasse Mac du bout des lèvres.

Mac : Bonjour !
Jo : Qu’est ce que nous avons ?
Mac : Josh Mickelson !
Jo : Hum ! Ça me dit quelque chose !
Mac : Oui, j’ai arrêté ce type il y a sept ans. Il a prit dix ans pour meurtre, il a été libéré pour remise de peine il y a quinze jours !
Jo : Il n’a pas eu vraiment le temps de jouir de sa liberté !
Mac : Oui, c’est bien vrai !
Jo : Il avait des ennemies ?
Mac : Certainement !

Ils s’approchent de la victime.

Don : Trois balle en pleine poitrine ! Les mecs qui ont tiré n’étaient pas des pros et ils étaient plusieurs, on a retrouvé dix huit balles autour de la victime.
Jo : De l’acharnement quoi !
Don : En effet ils n’ont pas fait ça en douceur !

Jo met ses gants et examine la victime.

Au labo

Jo et Mac sont en compagnie de Sid

Sid : Sur les trois balles extraites, deux proviennent d’une seule et même arme et la dernière d’une arme différente. La dernière balle est arrivé droit dans le cœur de la victime et a entraîné sa mort immédiate. Ce qui est étonnant, c’est que les premières balles ont été tirée à une dizaine de mètre et la dernière presque à bout portant.
Jo : Mais les deux autres balles auraient pu le tuer aussi !
Sid : Oui, sans l’ombre d’un doute si on ne lui aurait pas porté secours ! Mais ce qui est également intéressant, c’est qu’on peut voir que la troisième balle à été tiré au moins dix à quinze minutes plus tard.
Jo : Là où il a été retrouvé, à l’abris du monde, des regards ! Un truc est sûr, quelqu’un est venu finir le travail.
Sid : Voilà les trois balles.

Jo apporte les balles à Sheldon, pour les comparer aux autres retrouvées sur place.

Deux petites heures plus tard, Sheldon informe Jo que la dernière balle retrouvée dans le cœur de l’homme est unique, elle ne correspond pas aux autres balles retrouvées.

Jo : Nous avons donc au moins deux assassins.
Sheldon : Oui !!

Lindsay arrive

Lindsay : J’ai le deuxième tireur.
Jo : Quoi ? Déjà ?
Lindsay : Il y a parfois des miracles !
Jo : Alors dit moi !
Lindsay : Mike Dirley. C’est un jeune toxico qui a partagé la même cellule que Josh Mickelson.
Jo : Comment es tu remonté à lui ?
Lindsay : L’arme a été retrouvée par les services de la voirie dans une bouche d’égout à cinquante mètres de la scène de crime. Les balles correspondent à l’arme et des empreintes de Mike Dirley un peu partout.
Jo : Hallucinant ça ! Presque trop beau pour être vrai je dirais !
Lindsay : Oui, un miracle ! Comme je dis !
Jo : Ce que je ne comprends pas, pourquoi il laisserait son arme avec ses empreintes à quelques mètres du corps ! C’est se jeter dans la gueule du loup ça !
Lindsay : Ben c’est ce qu’on va essayer de savoir !
Jo : Allez lui rendre une visite avec Danny et Don si il est disponible.
Lindsay : Avec grand plaisir !

Jo va voir Mac

Mac : Du nouveau ?
Jo : Ça avance !

Mac semble préoccupé.

Jo : Ça ne va pas ?
Mac : Si, mais il y a quelque chose qui ne colle pas !
Jo : Quoi donc ?
Mac : Mickelson était tout sauf un enfant de cœur et j’ai mis plus de trois ans pour le serrer. Je ne comprends pas comment il a pu se faire tuer comme ça. Il était méfiant, il ne laissait rien au hasard et connaissait toute les ruses pour échapper aux autres. Il était dangereux, c’est un homme qui n’a pas hésité à tuer son père.
Jo : Il a trouvé plus fort que lui, c’est simple.
Mac : Mais tu étais sur le terrain avec moi et ce ne sont pas des pros qui ont fait ça. Mickelson n’était pas du genre à se faire doubler. Je me demande ce qui a bien pu se passer !
Jo : On est sur une piste, une arme à été retrouvé !
Mac : Des empreintes ?
Jo : Oui, Lindsay et Danny sont déjà en route.
Mac : Ok

Une heure plus tard, Don interroge le suspect.

Don : Votre arme a été retrouvée sous une plaque d’égout. Vos empreintes son dessus.
Mike : Mon arme ?

Don montre la photo.

Mike : Oui, c’est la mienne.
Don : Que faisait elle là ?
Mike : J’en sais rien, je l’avais prêté mon arme !
Don : A qui ?
Mike : Un ancien camarade de cellule, il s’appelle Josh.
Don : Josh Mickelson ?
Mike : Oui, c’est ça !
Don : Sauf que malheureusement Mickelson à été tué hier soir avec cette arme.
Mike : Non, mais attendez ce n’est pas moi ! Je n’ai rien fais moi ! Je ne suis pas un meurtrier, je ne vends même plus de drogue, je ne consomme plus, je suis clin ! J’ai fait trois ans de tôle, j’ai compris la leçon, je ne veux certainement pas retourner au trou !

Derrière la vitre, Jo suis attentivement l’interrogatoire.

Don : Où étiez vous hier soir ?
Mike : J’étais dans un foyer pour sans abris, je vais là bas deux fois par semaine pour aider à distribuer les repas. Je suis en réinsertion et j’essaie de me trouver une place dans un monde honnête.

Derrière la vitre

Jo pense : Oui, le genre d’alibi qui ne s’invente pas.

Don : Pourquoi lui avez-vous prêté votre arme alors ? Je trouve pas ça honnête moi !
Mike : Je lui ai pas vraiment prêté, c’est lui qui la pris sous mes yeux et il a juré de m’abattre si j’ouvrais ma gueule.
Don : Il vous a dit pourquoi il avait besoin de l’arme ?
Mike : Un gars lui avait fait des menaces. Il voulait le doubler.
Don : Il vous a parlé de cet homme qui voulait le tuer.
Mike : Il m’a dit que lors de son arrestation il y a sept ou huit ans, ça s’est mal passé. Il a pointé son arme sur un lieutenant et a manqué de le descendre. Mickelson aurait dit au lieutenant qu’à sa sortit il finirait son boulot et qui le butterais lui, sa femme et ses gosses.
Don : Et ?
Mike : Vous savez, quand Mickelson dit quelque chose, c’est pas dans le vent. Si il a dit au Lieutenant qu’il le butterait, c’est qu’il allait le faire un jour où l’autre.
Don : Mais vous avez dit que ce fameux Lieutenant le menaçait, vous avez des preuves de ça ou des pistes à nous fournir ?

Derrière la vitre

Jo repense à ce moment là à Mac qui lui a dit que c’était lui qui c’était chargé de l’arrestation.

Mike : Il y a une semaine, on sortait d’un bar du côté de Upper East Sides et le Lieutenant sortait d’un immeuble, il était tard, je dirais deux heure du mat, facile et le lieutenant l’a vu et a pensé immédiatement que Mickelson le suivait. Le lieutenant est entré dans une colère noir quand il l’a vu et il l’a bousculé avec son arme et lui a promis que si il touchait à un cheveu de sa femme, il le flinguait. Mickelson a fait le brave et à dit au Lieutenant qu’il fallait qu’il se prépare à perdre tout ce qu’il avait de cher et le lieutenant lui a dit qu’il le tuera avant qu’il s’en prenne à sa femme.
Don : Et vous et Mickelson vous étiez vraiment là par hasard ?

Mike baisse la tête.

Mike : C’est Mickelson qui voulait allez là et il regardait souvent par la fenêtre et observait les gestes dans les étages. Mais il regardait toujours dans la même direction, un peu en hauteur mais plus vers la droite.
Don : Vous n’avez pas trouvé ça suspect ?
Mike : Si, mais c’est le genre de mec à qui ont ne pose pas de questions.
Don : Que s’est il passé après ?
Mike : Au troisième étage, la lumière s’est éteinte et c’est à ce moment là qu’il a voulu sortir. Je pense que Mickelson savait que le lieutenant serait là. Je pense que le Lieutenant vit là-bas.

Jo habitant dans un petit immeuble de ce quartier et au troisième étage, les similitudes deviennent trop importante. Les larmes apparaissent sur le visage de Jo. Et si Mac avait tué pour la protéger ! Serait il capable de faire ça. Voici les questions qui se répètent dans sa tête.

Don : Il vous a dit le nom du Lieutenant ?
Mike : Son nom est facile à retenir, il s’agissait du lieutenant Taylor.
Don : Quoi ? Vous êtes sûr ?
Mike : Oui, c’est le Lieutenant Taylor qui l’a menacé et sans doute tué.
Don : Ok ! J’ai terminé pour l’instant.

Don termine son interrogatoire et fait amener le témoin en cellule. En sortant, il trouve Jo appuyé contre la vitre regardant le sol.

Don pose sa main sur son épaule.

Don : Ça va aller ?

Jo le regarde avec une petite larme apparente.

Jo : C’est un cauchemar Don !! Tu crois qu’il a pu faire une chose pareil toi ?
Don : Je ne sais pas qu’est ce que je dois croire, mais je trouve son témoignage plutôt crédible et il n’avait pas l’air de mentir !
Jo : Mais ça ne tient pas debout, Mac n’a pas de femme !
Don : Non, il n’a pas d’épouse, mais il vous aime Jo, franchement ça fait des années que je bosse avec Mac et je ne l’avais jamais vu aussi amoureux, aussi heureux. Il parlait sûrement de vous quand il a parlé de sa femme.
Jo : Vous croyez ?
Don : Mac est difficile à cerner, mais il ne laisserait personne nuire aux gens qu’il aime.
Jo : Donc tu crois qu’il aurait pu tuer cet homme me croyant en danger ?
Don : Jo, je ne sais pas quoi vous répondre.
Jo : Désolé, je suis tellement chambouler que je vous tutoie du coup !
Don : Ça m’arrangerais que vous me tutoyer ! Ça fait presque quatre ans qu’on se connaît ! Ça ne me dérange vraiment pas !
Jo : D’accord, mais tu fais pareil avec moi alors !
Don : D’accord !

Jo se blottit dans les bras de Don, il la console de son mieux.

Don : Jo ?
Jo : Oui ?
Don : On fait quoi là ??
Jo : Comment ça ?
Don : On le couvre ou on suit la procédure.

Jo le regarde.

Jo : Don on n a pas le droit de faire ça. J’aime Mac et tu le sais, mais notre serment est clair ! On ne doit pas dissimuler des preuves au profit des gens que l’on estime.
Don : Oui, tu as raison, désolé Jo !

Don raccompagne Jo au labo, encore une période difficile pour eux.

A suivre.

mac n'aurait pas fait ca !!!!!!!!!!

ah j'aime tellement ces moments avec Don !!Il est si .... si Don :p
Mac tuer quelqu'un ? Pour Jo s'est peut-être possible ? ....

La suite

Elle est top cette fanfic !

Chapitre 25

Jo est sous le choc, Mac serait mêlé à une affaire de meurtre sur un ancien détenu qu’il aurait arrêté 7 ans plus tôt.

Après l’interrogatoire, Jo revient avec Don au Labo. Elle tente de faire bonne figure afin que les autres ne comprennent pas que quelque chose cloche.

Lindsay arrive

Lindsay : Alors Jo ! Il a avoué ?
Jo : Euh non non, c’est pas lui ! Il a un bon alibi !
Lindsay : Mais les empreintes ?
Jo : On lui avait volé l’arme.
Lindsay : Mince, tu avais raison du coup ! C’était trop beau pour être vrai !
Jo : Tu ne crois pas si bien dire ! (Regardant Mac avec insistance)

Jo décide d’aller voir Mac. Elle entre dans le bureau. Mac sourit.

Jo : Mac, il faut qu’on parle. C’est très grave.
Mac : Qu’est ce qui se passe ?
Jo : On a interrogé le suspect et c’était son arme, mais Mickelson lui avait volé. Ils se connaissaient, ils étaient dans la même cellule pendant un moment.
Mac : Oui, Ce n’est pas rare comme cas, mais pourquoi tu te mets dans un état pareil ?
Jo : Mac ! Je veux que tu me dises la vérité. Tu connaissais ce mec et tu as eu une altercation avec lui il y a quelques jours !
Mac : Comment tu sais ça ?
Jo : Le suspect était avec Mickelson quand c’est arrivé.

Mac soupire

Mac : Oui, en effet c’est vrai. Jo ! Ce type faisait le guet en bas de chez toi. J’ai eu divers messages sur mon téléphone et dans ma boîte à lettre ou il me disait qu’il te ferait la peau et que j’étais le prochain. Jo, tu es ce que j’ai de plus cher au monde et je ne voulais pas qui te fasse du mal.

Jo est touchée par les mots de Mac, mais déterminée à savoir la vérité.

Jo : Mac ! Est-ce que tu as tué cet homme ? Je pourrais te pardonner vu les raisons, mais je veux savoir la vérité.
Mac : Jo, je te jure que ce n’est pas moi qui l’ai tué.
Jo : Excuse moi d’en douter, mais tu n’as même pas dormi chez moi cette nuit là. Tu étais déjà sur les lieux quand on est arrivé. Je me pose des questions tu comprends ?
Mac : Pas tellement, mais je peux essayer ! (Anéanti)
Jo : Mac ! Tu risques d’être suspecté. Je préfère t’avouer, Don m’a proposé de te couvrir, mais j’ai refusé. On a pas le droit de falsifier un témoignage.
Mac : Ce qui me rend triste c’est que tu mettes ma parole en doute et que tu préviennes nos supérieurs avant que je te fournisse une explication.
Jo : Mac ! Tu n’étais pas là, comme toute les nuits depuis presque deux semaines. Je t’avoue même que j’ai pensé à un moment donné que tes sentiments envers moi avaient changé ou que peut être tu voyais une autre femme.
Mac : Jo, tu me déçois. Tu me crois capable de te tromper franchement ?
Jo : J’ai déjà vécu ça Mac ! Désolé d’être méfiante.
Mac : Toutes ces nuits, je les passais en bas de chez toi à surveiller que ce pourrit ne vienne pas te faire de mal.

Jo baisse la tête

Jo : Je ne sais pas quoi dire.
Mac : Ça ne tient pas debout, c’est même pas mon arme qui a tué cet homme.
Jo : Oui, mais on sait que tout est possible. Tu aurais pu ramasser son arme parterre et finir le travail.
Mac : Jo, je n’ai pas fait ça ! Je n’aurais jamais descendu un homme à terre, de sang froid ! Je n’en reviens pas que tu m’en crois capable. Où est passé la Jo humble et qui innocente les gens tant qu’il y a pas de preuve ?
Jo : Tu as raison ! Maintenant il y a plus qu’à trouver ce qui s’est passé ce jour là.
Mac : Je suis vraiment peiné que tu ais pu croire que je t’avais trompé. Si il n’y a pas de confiance entre nous, notre relation est voué à l’échec.
Jo : Je suis désolé !
Mac : Informe l’équipe de la situation et retrouvez moi vite ceux qu’on fait ça.
Jo : D’accord ! On se voit ce soir ?
Mac : Je ne préfère pas, je ne serais pas de bonne compagnie.
Jo : Très bien !!

Jo s’en va, regrettant d’avoir pensé que Mac pouvait l’avoir trompé et tué un homme.

Jo informe l’équipe de la situation et tout le monde se démène pour trouver des preuves qui blanchiraient mac.

Alors que l’équipe se démène, le chef Sinclar arrive en compagnie de deux officiers et emmène Mac.

Jo sort dans le couloir.

Jo : Attendez ! Je voudrais lui parler juste une minute.
Mac : Ce n’est pas la peine Jo ! On a pas grand-chose à se dire.

Jo le regarde partir, les larmes aux yeux. Danny arrive et la prend par l’épaule.

Danny : Allez Jo, ça va allez !
Jo : Mac me pardonnera jamais !
Danny : Mac finira par comprendre que c’est le règlement qui s’impose et que vous avez simplement respecté les règles.
Jo : J’espère ! Allez, maintenant il faut qu’on le sorte de là !!

Adam arrive vers Jo

Adam : Jo ! J’ai une idée, elle vaut ce qu’elle vaut, mais ça peut aider.
Jo : Dit moi !
Adam : Est-ce qu’il y a des caméras surveillance chez toi ?
Jo : Non, mon quartier est assez calme je dirais !
Adam : Des banques ou magasin ?
Jo : Juste le café en face de chez moi, mais ça nous mènera pas à grand-chose, ils ferment à deux heures de matin.
Adam : Ok !
Jo : De toute façon Don et Jamie sont déjà là bas et interroge le voisinage.

Jo se pose dans son bureau et réfléchie un moment. Soudain elle a une illumination. Elle va voir lindsay.

Jo : Lindsay, je voudrais voir le détail des empreintes retrouvées.

Lindsay et Jo inspectent.

Jo : Il y a des empreintes sur la cross, si le tueur aurait pris l’arme avec sa main il aurait forcément laisser d’autre empreinte. De plus, on n’a trouvé aucune empreinte de Mickelson.
Lindsay : Peut être que Mickelson portait des gants !
Jo : Mickelson ne portait pas de gant et on a pas retrouvé autour de lui. De plus, si Mac aurait ramassé l’arme et tiré, il aurait pris des gants ou un torchons et ça aurait effacé de empreintes sur la cross et toute les empreintes sont intacts, ce ne sont pas des empreintes partiels que nous avons.
Lindsay : Exact !
Jo : Nous nous sommes concentré sur le fait que Mac était impliqué, mais nous avons pas examiné cette piste plus tôt ! Je crois que notre saint qui essaie de devenir un modèle est en fait un beau menteur.

Plus tard, Don revient au Labo.

Don : Alors une femme qui habite dans l’immeuble en face de chez toi a fait un signalement il y a deux jours à propos de Mac. Ça faisait une quinzaine de jours qu’elle le voyait passé ses nuits dans sa voiture et elle commençait à flipper.
Jo : Ok, Dirley a été libéré ?
Don : Non, il faut qu’on éclaircisse encore des pistes.
Jo : Ok, il faut le réinterroger de suite et c’est moi qui m’en occupe.
Don : D’accord !

Dans la salle d’interrogatoire.

Jo : Alors vous dites avoir prêté votre arme, enfin non, que Mickelson vous a subtilisé votre arme.
Dirley : Oui
Jo : Il portait des gants ?
Dirley : Oui, je crois ?
Jo : En plein mois de Juillet ?
Dirley : En fait, je ne sais pas ! Je me rappelle pas trop !
Jo : Mickelson n’a pas pu être en possession de votre arme. Il y a aucune de ses empreintes dessus ! Vos empreintes sont partout sur cette arme. Alors je vais vous expliquer ma théorie.

Jo pose en finesse une boîte de mouchoir et son café sur la table comme elle a l’habitude de le faire.

Jo : Vous étiez avec Mickelson ce soir là et quelque chose a mal tourné. Vous lui avez tiré dessus et vous avez paniqué, vous avez jeté l’arme dans une bouche d’égout.

Dirley penche la tête.

Dirley : Je voulais redevenir un mec bien, un mec respectable, mais Mickelson voulait que je bosse pour lui et je n’avais pas le choix.
Jo : Pourquoi n’êtes vous pas venu voir la police ?
Dirley : Mickelson a énormément de contact, je prévenais la police, j’étais mort dans l’heure.
Jo : Ce soir là il vous avait demandé de faire un truc pour lui.
Dirley : Ouais !
Jo : C’était quoi le biseness ?
Dirley : Mickelson enquêtait sur Taylor depuis sa sortie et il voulait mette ses parole à exécution.
Jo : Le tuer ?
Dirley : Ce n’était pas sa priorité, il voulait que Taylor en bave, qu’il souffre.
Jo : C'est-à-dire.
Dirley : Mickelson savait où vivait la meuf de Taylor, mais il savait aussi que Taylor surveillait la nuit devant chez elle depuis quelque temps. Le but c’était que j’aille buter la meuf de Taylor à sa place. Si j’aurais suivi les ordres de Mickelson, je me serais introduit chez elle et je lui aurais tiré une balle dans la tête pendant son sommeil.

Jo garde son sang froid, mais ne cesse de penser à ce qui aurait pu lui arriver à elle et ses enfants.

Dirley : Mickelson connaissait les systèmes pour déjouer les systèmes d’alarme, il m’a briefé sur ce coup là. Je sais même le nom de cette femme, l’étage et le numéro de son appartement.
Jo : Le nom de cette femme, c’est Danville ?
Dirley : Oui, c’est ça. Elle vit au troisième étage !

Jo le regarde droit dans les yeux.

Jo : Tu as face à toi la personne que tu aurais du tuer.

Dirley perd pied et verse ses larmes

Dirley : Oui, mais je ne l’ai pas fait !
Jo : Pourquoi avoir accusé Taylor ?
Dirley : Il avait un bon mobile, c’était une super occasion et c’est peu être lui qui nous a tiré dessus.
Jo : Quelqu’un vous a tiré dessus avant ?
Dirley : Oui, un gars est arrivé de nulle part, il avait une voiture rouge et il a tiré depuis la fenêtre passager, un autre conduisait. Le gars avait deux flingues, j’ai juste eu le temps de me barrer.
Jo : Vous l’avez vu ?
Dirley : Il faisait nuit, mais je dirais un blond et une trentaine d’année, pas plus. Il avait une plaque d’immatriculation qui venait du Texas.
Jo : D’accord et vous êtes revenu après ?
Dirley : Oui, au départ, je voulais appeler les secours, mais j’ai finalement rangé mon portable et je me suis dit que si il s’en sortait, il ne me laisserais jamais tranquille et qu’un jour, il tuerait cette femme innocente, enfin vous quoi ! J’ai pas réfléchie, j’ai tiré en pleine poitrine pour l’achever. J’ai regardé mon arme et j’ai tremblé de partout, j’ai trouvé une bouche d’égout sur mon chemin et je l’ai jeté là. Je flippais, mais aujourd’hui, je ne regrette pas, Mickelson était une ordure, il a tué de nombreuse personne sans qu’il soit inquiété et je sais que j’ai sauvé des vies car il vous aurait tué vous et Taylor.
Jo : D’accord ! Je crois que j’ai ce qu’il me faut.
Dirley : Vous croyez que ma peine sera lourde ?
Jo : Votre avocat devrait plaider les circonstances atténuantes. Je ne peux pas me prononcé, mais peut être que le juge tiendra compte que deux policiers n’ont pas été tué. Par contre, vous risquez une peine pour les fausses accusations portées au Lieutenant Taylor.
Dirley : Je sais, j’assume entièrement.
Jo : Mon collègue va venir vous chercher pour la mise sous écrou.

Jo sort

Don : Bien joué.

Jo s’appuis sur la vitre.

Jo : Ouf ! Quelle histoire ! Pauvre gamin quand même !
Don : Oui ! Enfin, n’oublie pas tout de même que si il n’aurait pas tué ce mec, tu serais entre les mains de Sid aujourd’hui !
Jo : Ouais, c’est pour ça que je vais l’aider.

Le soir, Jo reste au bureau pour faire son rapport. Elle entend le bip de l’ascenseur, Mac arrive.

Jo : Mac !
Mac : Je savais que tu serais encore là !
Jo : Le chef Sinclar t’a expliqué ?
Mac : Oui, dans le moindre détail. Quelle histoire !
Jo : Oui ! Enfin c’est fini, on va pouvoir retrouver une vie normal (souriant)
Mac : Jo, je sais que tu as respecté les règles, mais je trouve injuste que tu m’ais dénoncé sans le moindre scrupule avant de m’informer de la situation.
Jo : Tu n’aurais pas fait la même chose ?
Mac : Je ne sais pas, mais le fait qu’en plus tu me soupçonnes de te tromper ou de ne plus t’aimer me peine. L’amour que je te porte est inestimable.

Jo baisse la tête

Jo : Je suis désolé, j’étais sous le choc Mac !
Mac : Je suis une personne sincère Jo ! Si je ne t’aimerais plus, je te l’aurais dit, je ne jouerais jamais avec toi, je te respecte trop pour ça.
Jo : Je sais, je ne douterais plus de toi.

Jo se lève et s’avance vers Mac.

Mac : Jo, j’ai passé sept mois super avec toi et mes sentiments sont sincère, croit moi, mais je préfère qu’on en revienne aux rapports professionnels.
Jo : Tu essaies de me dire que tu veux rompre ? (peinée)
Mac : Je dois rentrer à présent, le chef Sinclar m’a conseillé de prendre une petite semaine de congés, tu prends donc ma relève durant cette durée.
Jo : Bien !
Mac : A bientôt Jo !

Mac s’en va, Jo ne peut retenir ses larmes.

A suivre

j'aime pas ta suite........JE L'ADORE!!!!!!!!!!!!!! mais ..... ils ...vont pas se ....separer

Merci !!!

Mac peut être très rencunier !!!!

super !!!!!!!!!!!!!!

Mais ils ont rompu ..

La suite ?

Chapitre 26

Jo et Mac ont été confrontés à une affaire qui a malheureusement provoqué leur rupture. Mac reproche certains faits à Jo qui ne peut lui pardonner. Suite à ces épreuves éprouvantes Mac décide de prendre une semaine de congés.

Quelques jours plus tard, Jo est en salle de réunion et briefe l’équipe sur une affaire importante concernant un tueur récidiviste.

Jo : Voilà, je compte sur vous.
Adam : Au fait patronne ? Comment va Mac.

Jo est un peu gêné par la question.

Jo : Je ne sais pas trop, je ne l’ai pas revue.
Sheldon : Ah bon !
Jo : Autant que vous le sachiez avant que ce soit source de ragots ou de paris, Mac et moi, nous ne sommes plus ensemble. Fin de la discussion.

Personne n’ose dire quoi que ce soit et quitte la salle.

Les jours qui suivent, Jo reste opérationnelle dans son travail, mais ses beaux sourires et sa joie de vivre ont bel et bien disparues.

Mac revient au bout de sa semaine de congés. Il va saluer l’équipe puis va voir Jo.

Mac : Bonjour !
Jo : Salut !!
Mac : Je viens me renseigner sur les nouvelles affaires en cours !
Jo : Voilà les dossiers si tu veux les étudier.
Mac : Oui, bien sûr !
Jo : Ça va sinon ?
Mac : Oui, ça va ! Cette semaine de repos m’a fait du bien.
Jo : Tu as réfléchis pour nous ?

Mac la regarde droit dans les yeux.

Mac : Il y a plus rien à dire.
Jo : Ok !! Pendant que tu es là, tu as quelques affaires chez moi, tu souhaites les récupérer ou…. ?
Mac : Il n’y a pas grand-chose, tu n’as cas me les rapporter demain.
Jo : Tu ne veux pas passer les prendre chez moi ?
Mac : Non, je ne préfère pas.
Jo : Très bien !!
Mac : Bon ben ces dossiers semblent complet, tu as fais du bon boulot, comme d’habitude ! Par contre Jo, si je peux me permettre, ça serait bien que tu mettes un peu d’ordre sur ton bureau, c’est le bazar !
Jo : Ça ne t’a jamais posé problème !

Mac sort et ne répond pas.

Les semaines passent et l’ambiance est tendue entre Mac et Jo, Mac fait tout pour l’éviter et préfère même travailler chez lui le soir afin de ne plus la croiser au bureau et éviter à tout pris de se retrouver seule avec elle.

Mac rentre dans la salle de repos et Jo est seule. Elle est sur le divan en train de dormir, un magazine posé sur la poitrine.
Mac s’approche et enlève le magazine. Il se met à genoux, fait un petit sourire et replace une mèche de cheveux qui se ballade sur son nez. Il ne peut s’empêcher de lui caresser le visage en même temps.

Plus tard, Jo sort de la salle de repos et surprend Mac en train de la regarder. Elle se décide à allez le voir.

Jo : Du nouveau ?
Mac : Ben on ne peut pas dormir et avoir du nouveau en même temps.
Jo : C’est pour moi que tu dis ça ? C’était mon temps de pause Mac
Mac : Oui, c’est vrai ! Excuse moi, je ne suis pas juste là.
Jo : Comme souvent en ce moment !!

Jo sort du bureau.

Quelques jours plus tard, Mac, Jo, Don et Danny sont devant la porte d’un suspect qu’ils viennent arrêter. Don défonce la porte. Danny et Mac entrent en premier suivit de Jo et Don.

Ils fouillent l’appartement quand un homme surgit et tire avec sa mitraillette un peu partout.

Mac ne réfléchie pas et plaque Jo à terre et reste sur elle pour lui protéger la tête.

L’homme prend la fuite, Don et Danny partent à sa poursuite.

Mac : Ça va ?
Jo : Oui, ça va. Allons y !

Mac et Jo partent en chasse, mais Don et Danny l’ont rattrapé.

Mac : Allez emmenez le.

Ils emmènent le détenu.

Jo : Mac ! Tu saignes !
Mac : Oh c’est rien, il m’a un peu frôlé.
Jo : En protégeant ta coéquipière !
Mac : Oui !
Jo : Mac Taylor tu es incorrigible.

Mac sourit

Jo : Allez vient, on va soigner ça !
Mac : Jo, ça va allez !
Jo : On ne discute pas.

Mac et Jo retournent au labo et elle s’occupe de lui.

Jo : Effectivement, c’est un petit bobo !

Jo désinfecte délicatement la plais.

Jo : Un petit pansement et tu seras comme neuf.
Mac : Merci !
Jo : De rien.

Mac ne s’éternise pas et part vite.

Le soir Jo revient au Labo pour venir chercher son portefeuille qu’elle a laissé dans son bureau. Jo est habillé de manière très élégante, une petite tenue de soirée.

Mac arrive

Mac : Qu’est ce que tu fais.

Jo sursaute.

Jo : Ah Mac ! Tu m’as fait peur. Je viens récupérer mon portefeuille. J’ai donné de l’argent à Danny pour l’anniversaire d’Adam et je l’ai maladroitement laissé là !

Jo baisse un peu la tête

Jo : De toute façon tout ce que je fais est maladroit.
Mac : Tu es très élégante !
Jo : Merci !
Mac : Tu as un rendez vous galant on dirait ! Tout va bien pour toi, je suis content. (Amèrement)
Jo : C’est l’anniversaire de Tyler et on va dîner ! Voilà où je vais ! Pas de rendez-vous galant et de toute façon, ce n’est pas ma priorité. Je ne suis pas prête pour une autre relation. Sur ce, j’y vais, je ne veux pas être en retard. (Amer)
Mac : Bonne soirée !
Jo : C’est ça ouais !! Merci !

Jo s’en va, Mac retourne dans son bureau et voit cette photo de lui et Jo qui est encore sur son bureau. Il se lève et ferme les lumières et part à son tour.

Quelques jours plus tard, Jo rentre dans le bureau de Mac.

Jo : Une signature du chef !
Mac : Ferme la porte Jo !
Jo : Euh oui !

Jo ferme la porte.

Mac : Assied-toi !

Jo s’assoit

Mac : Jo, j’aimerais qu’on retrouve une vie professionnelle normale !
Jo : Comment ça ?
Mac : Peut être éviter tout ces pics ou regard noir.
Jo : Oui, tu as raison !
Mac : J’aimerais qu’on redeviennent amis comme avant !
Jo : J’y travail Mac, même si c’est dur. Tu n’as pas été tendre avec moi ces derniers temps !
Mac : Je sais ! Mais…. Puis non rien ! Tout ce que je veux c’est qu’on arrive à s’entendre comme à l’époque où nous étions amis.
Jo : On peut être amis, mais je ne pense pas qu’on puisse être à nouveau amis proche.
Mac : Je sais !
Jo : J’ai du boulot Mac !
Mac : Oui !
Mac : Allez va y !

Jo s’en va, retenant ses larmes. Elle ne savait pas dans le fond si c’était des larmes de joie ou de peine.

A suivre

génial!!!!!!!!!!!!

meme si leur rupture a l'air d'etre definitive