Sans nom pour le moment... [Mac/Claire, petite enquête]

Mdr, concernant les fautes de conjugaisons, je n'ai jamais été très bonne en français, je crois que je n'ai même pas passé ma grammaire

Bref, le français moi, c'est pas mon fort haha mais j'essai du mieux que je peut pour corriger toutes mes fautes, mais je réalise que je suis un peu aveugle

Ma prof de français en était décourager de moi mdr en voyant comment j'écrivais

Nan t'en fais pas, c'est pas non plus illisible hein. Et puis je savais pas comment tourner le truc pour ne pas blesser (y'a des gens que j'ai blessé pour moins que ça...).

Sinon ton histoire est vraiment bien. Ca ne doit pas te décourager pour écrire Car écrire, c'est aussi poser sur papier nos rêves, nos désirs et nos envies. Ca aide, ça soulage...

Ah mais je suis pas blessé mdr

En fait j'ai sourit quand j'ai lu ton dernier poste, parce que c'est vrai dans un sens, je suis pourri en conjugaison XD

Quelle superbe suite. Plein de suspens, j'adore.

J'attends avec impatience la suite.

j'espère que tu nous feras pas trop longtemps attendre pour la suite car c'est vraiment chouette maintenant que je sais que Claire est vivante je veux savoir ce qu'il lui est arrivé et pourquoi elle a jamais appelé Mac ... enfin la suite quoi !!!!!

Super fic!!! J'adore!!! Elle nous montre un autre angle de l'histoire et je trouve intéressant de faire une enquête pour voir si Claire est encore en vie!! J'ai hâte de lire la suite!! vivement que tu postes!!
En tout cas, bravo, t'as eu une super idée!!

Merci à tous pour tous ces commentaires et désolé de vous avoir posté ça tardivement...

Et merci de la lire et... merci d'avoir été patient pour la suite XD

@Jersey_07: Je suis désolé pour mes fautes!
@Greisa: Merci c'est gentil! Tu va avoir la suite sur ce poste!
@Poupi27: Je suis désolé de t'avoir fait attendre lontemps et j'espère que tu va me pardonner
@Ludivine03: Je suis contente que la fic te plaise, je m'était dit que comme on ne parle pas vraiment de la manière dont Claire est morte, à part qu'elle était dans le World Trade Center, ce serait une idée de faire une enquête et puis pouf! On découvrirais des choses avec le temps XD

Voilà la suite!

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Mac était à la morgue, attendant que Hawkes sorte de son sommeil sur le pas de la porte. Ce dernier semblait dormir profondément, pensait Mac. Il laissait quelques mumures ici et là, et donnait de petit coup en bougeant la partit supérieur de son pied, ayant enlevé ses souliers dans son petit lit simple. Mac soupira. Il se retourna quelques instants, voyant un autre corps entrer d'une autre enquête. Derrière, Hawkes lanca un ronflement qui donnait l'impression à un tracteur qui essayait de démarrer, avant de se tourner sur le côté, un livre sur lui. Son bras pendait dans le vide, le livre était pas loin de glisser, et son corps penchait de plus en plus vers le vide. Mac le ragardait, d'un air étrange, avec le sourir toutefois, parce qu'il n'avait jamais vu Hawkes tomber, et qu'il savais que ça allait ce produire. À l'ordinaire, il aurait intervenu, mais cette fois là, il ne pouvait empêcher sa curiosité de voir comment son médecin légiste allait se réveiller. Probabilitées: une chance sur deux qu'il tombe le visage dans le livre, pensait-il. Une chance sur deux que ce soit la tête première, une chance sur deux que se soit le nez le premier, et une chance sur deux qu'il tombe et qu'il ne se réveille pas. Puis, sa curiosité fut récompensé. Hawkes hoqueta un ronflement, le livre tomba par terre, et ce dernier suiva dans un mouvement mou et lent et tomba le visage premier en plein dans la fente du livre. Sheldon sursauta en faisant un cri aigu et se retourna. Il vit Mac, qui riait délibérément sous son nez, ayant trouvé la chute marrante. Décidément, il est d'une meilleur humeur que ce matin, pensait Hawkes, pendant qu'il se leva et se frotta le nez, encore douloureux. Hawkes le regarda d'un air neutre.

Hawkes: -Vous êtes là depuis combien de temps...? Dit-il pendant qu'il enlevait la poussière sur ses vêtements.

Mac: -Oh, à peine quelques minutes, assez longtemps pour vous voir tomber...

Hawkes souria, repensant à son sursaut. Il repris rapidement son sérieux, sachant que Mac n'était pas là necessairement pour rire.

Hawkes: -Alors, en quoi puis-je vous aider, Mac?

Mac repris son calme et son sérieux également.

Mac: -Je voudrais savoir si vous avez trouvé d'autres éléments qui pourrais me servir sur ce meurtre... parce que je piétine en ce moment...

Mac soupira. Hawkes le regarda, et voyait qu'il semblait épuisé, même s'il n'était que deux heures de l'après-midi.

Hawkes: -Dur journée, n'est-ce pas?

Mac répondit d'un air d'épuisement total.

Mac: -Oh, vous pouvez pas savoir... mais le boulot, c'est le boulot...

Hawkes contourna Mac et alla à son bureau, où il prit un dossier.

Hawkes: -Bon, voyons voir... non. il n'y a rien de nouveau. Ce sont les mêmes depuis le début, coups de couteaux, lacération au coup et au visage démontrant une mort par strangulation, sans compter de la présence de pétéchie dans les yeux.

Mac: -Très bien... merci.

Mac s'apprêta à remonter, mais avant il souffla à Hawkes:

Mac: -Je monte, j'ai d'autres choses à faire... passez une excellente journée docteur.

Il remonta.

* * *

Danny: -Au moins, on sais qu'elle est vivante....

Stella: -Ca, ont peut rien affirmer la dessus.

Flack hocha la tête, étant d'accord avec Stella. Mais Danny, lui, ne l'était pas.

Danny: -Mais... vous avez bien vus comme moi!? Ils l'ont emmené vivante! Et il ne peuvent pas la tuer à l'extérieur parmis tout ces gens!?

Flack: -Peut être, mais qu'est-ce qui dit qu'ils sont pas allé la tuer dans une ruelle et qu'ils n'ont pas caché sa dépouille quelque part? Ou qu'ils ne l'ont pas ammené dans une bonne cachette, où les flics ne penseraient les trouver, et qu'ils l'aurait tué là bas?

Un silence régna pendant un moment dans la salle d'analyse. Puis Stella s'agita.

Stella: -Attendez! Je crois qie j'ai trouvé quelque chose...

Elle pointa l'écran. Les deux hommes tourna la tête et regardait le dit-écran avec attention.

Stella: -Regardez bien, et dites-moi ce que vous remarquez dans cette séquence de la vidéo...

Elle tapa sur le clavier. La vidéo alors recula rapidement, jusqu'aux hommes qui pointaient leurs armes sur la sercrétaire.

Stella: -Regardez...

Au moment où la dame poussa le boutton et que les hommes eu peur et emportait Claire, l'un d'eux perdit une arme par terre.

Flack: -Le revolver!

Danny: -Est-ce qu'ils l'ont retrouvé dans les débris?

Au même moment, Mac remontait à l'étage. Il était dans le couloir, s'apprêtant à se rendre à son bureau. Il passa devant la salle d'analyse des vidéocassettes. Avant même qu'il passe devant la porte, Stella l'apperçus.

Stella: -Mac!Mac! Venez ici s'il vous plaît!

Mac s'arrêta et entra dans la salle.

Mac: -Qu'est-ce qu'il y a?

Stella: -Lors de la recherche dans les débris de la tour, avez-vous trouvé une arme à feu près de l'entrée?

Mac réfléchissa, puis aquiessa d'un signe de tête.

Mac: -Oui, il est dans les pièces à convictions du laboratoire je crois....

Stella: -Allons le chercher,dit-elle en le tourna et lui donnant des petites tapes dans le dos.

Tout en se tournant, il voyait l'écran, avec la vidéo en mode pause, montrant les ravisseurs qui emmenaient Claire. Mac blêmit. Stella et Mac sortirent de la pièce et se dirigea vers la géante salle, où les pièces à convictions y étaient entreposés. Il y avait de grandes étagères, pleines de boîtes en cartons empilés une par dessus l'autre, avec les numéros des dossiers inscrits sur la face des boîtes. Il firent une petite recherche sur un ordinateur et cherchèrent pour la boîte contenant le revolver. Après quarante-cinq minutes de recherche, ils trouvèrent enfin la boîte, qui était dans un coin, à l'écart des étagères. Stella prit la boîte et l'emmena au laboratoire, accompagné de Mac. Tous deux entrèrent dans la salle d'analyse des empreintes. Mac recula de quelques pas, voulant retourner à son bureau. Stella le regarda, il était toujours blanc comme un drap.

Stella: -Mac...? Demanda doucement Stella, qui appliquait de la poudre blanche avec un pinceau sur le revolver. Qu'est-ce qu'il y a?

Mac, hésitant, finis par vider son sac.

Mac: -La... la vidéo qu'il y avait dans la salle d'analyse... elle...... elle.... est toujours... vivante? Demanda Mac d'une voix rauque.

Stella ne pouvait pas lui mentir.

Stella: -Je ne sais pas, Mac.....

Il baissa la tête. Puis la releva, les yeux brillants.

Mac: -D'accord... Je... je vais retourner à mon bureau...

Il sortit rapidement de la salle et disparut. Stella le dévisagea un instant, puis se replongea dans ses travaux. Une empreinte ce déssina sur la crosse du revolver. Elle fit un sourir de satisfaction. Elle releva l'empreinte à l'aide d'un ruban adhésif, puis le fit scanner et vérifia dans la base de données de l'ordinateur s'il n'y avait pas déjà un empreinte qui correspondait. L'ordinateur fit un petit bruit et indiqua en anglais <<NO MATCH>> sur l'écran. Stella soupira.

Stella: -Il fallait plus que ca! Personne dans le fichier!

Puis elle se souvint d'une autre méthode pour avoir un profil du ravisseur. Elle sortit de la salle et alla voir Danny et Flack dans la salle d'analyse vidéo....

* * *

Il se leva la tête. Mac était à son bureau. Il semblait s'être endormis. Fallait dire qu'il était tout de même épuisé. Pourtant, il se sentait bizarre. Comme si tout son corps était engourdis. Puis il sentait un vertige. Il sentit également un tremblement de terre, il se retourna: rien. Puis, il se sentit tomber, l'édifice s'écroulait. Mac avait peur, très peur. Il criait, voyant le sol se rapprocher de plus en plus. Les débris du laboratoire explosés, tombaient sur le sol. Puis ce fut le tour de Taylor. Il tomba, tout en criant. Puis tout devint noir. Mac sursauta et ouvrit brusquement les yeux, voyant le plafond. Il avait chaud: il était tout en sueur. Du coin de l'oeil, il apperçus le coin de sa table de travail et le coin de sa chaise. À sa gauche, les fenêtres de son bureau. À sa droite, plus loin, il voyait la porte d'entrée de la salle. Une douleur vive se promena dans son dos et son cou: il était tombé de sa chaise, et maintenant il était couché par terre. Il s'assit sur le sol. Près d'une des pattes du bureau était tombé un dictionnaire, toujours ouvert. Il comprena alors qu'il venait de faire un cauchemar, le seconde de la journée. Il comprena également que son vertige provenait de sa chute, et que le tremblement de terre, du dictionnaire. Il se leva tranquilement et regarda par la fenêtre, encore sous le choc et étant encore essouflé. Enfin, il alla s'assoir sur sa chaise et se calma. Quel étrange rêve, pensait-il. Puis il repensa à sa femme. Ayant rêvé à ça, il pouvait savoir brèvement ce que Claire avait dû vivre avant qu'elle soit morte. Non, elle n'est peut être pas morte, pensait-il, repensant à la vidéo.

Mac: -Je ne peut pas me mêler à l'enquête... allez, resaisit toi Mac, et continu ton travail, se dit-il à haute voix.

Il se leva, et manqua de trébucher trois fois avant d'arriver à sortir de son bureau. Les scientifiques qui marchaient dans le couloir le dévisageaient. Des gouttse de sueur ruisselaient sur le front de Mac, d'autre coulant sur le côté de son visage, ne les sentant pas. Il marchait dans le couloir, il était encore légèrement essouflé. Sa veste était ébourifé: un bouton dans le milieux de sa chemise était débouttoné, un côté était mal rentré. Ses cheveux étaient mal placé, et il avait la lèvre enflé. Décidément, il avait beaucoup bougé pendant ce moment cauchemardesque. Il marchait en direction de la salle de bain. À la hâte, il traversait le couloir. Il entra en collision avec quelqu'un. Tous deux tombèrent. Mac se releva rapidement et , voulant s'excuser à la personne, alla l'aider à se lever. C'était Stella.

Mac: -Stella... pardonnez-moi...

Stella regardait Mac, stupéfaite. S'est-il battut avec sa chaise? Pensait-elle. Non, ce serait ridicule... quoi que...

Stella: -Mac? Mais qu'est-ce qui vous êtes arrivé? Demanda-t-elle tout en se relevant.

Mac se regarda, il se disait que seul sa chemise était malmené, ne remarquant pas le reste.

Stella: -Vos cheveux... et.... vous êtes en sueur Mac! Vous vous êtes battu? Regardez votre lêvre! Elle est très enflé, et elle change de couleur.... vous ne vous êtes pas manqué ma foi...

Mac se toucha la lèvre et grimaca, puis ses cheveux, remarquant qu'il était touffu au lieu d'être bien placé, puis se frotta le visage avec un mouchoir qu'il avait dans sa poche.

Mac: -Ce n'est rien... Dit-il, tentant de rassurer Stella.

Stella: -Mac! Vous ne pouvez pas vous battre avec une chaise!

Mac: -Quoi? Ne comprenant pas d'où elle voulait en venir.

Stella: -Oh, ce n'est rien...

Il eu un moment de silence.

Mac: -Je vais aller arranger cela à la salle de bain... et je vais aller prendre une douche.

Mais quand Mac s'apprêtait à partir, Stella le retint et lui attrapant le poignet.

Stella: -Vous n'irez nul part tant que vous m'aurai pas dit ce qui vous êtes arrivé!

Mac regardait Stella d'un air absent, ayant retombé dans ses pensé.

Stella: -Mac? Vous êtes sûr que vous allez bien? Demanda-t-elle, d'un air inquiet.

Mac revint à lui.

Mac: -Oui, oui... je... j'ai seulement eu un cauchemar... c'est tout...

Quand il déglutissa, il eu un gout de sang dans la bouche. Mac alors se décoinca et partit à la hâte au vestière. Stella, qui voulait aller voir les gars, allait plutot dans le bureau de son patron. Étant curieuse, elle entra. Elle apperçus le dictionnaire qui était au sol. Elle s'avanca et apperçus un amas de cheveux et de fibre de la veste de Mac de prisent dans la patte de son bureau. Elle se pencha et vit qu'il y avait un peu de sang. Il est tombé? Pensait-elle. Elle se leva la tête et regardait le coin de la table: encore du sang. Elle s'imagina alors Mac qui tomba et elle vit le dictionnaire tomber. Par ensuite elle voyait Mac se réveiller et regarder partout, se lever et sortir. Ne se posant plus de question, elle sortit du bureau et partit.

Mac, lui, prena une douche, et se changea. Par ensuite, il s'arrangea les cheveux. Malheureusement, il n'avait pas d'habit propre de rechange. Il mit alors un jean et un T-shirt, avec une veste de cuir. Il sortit du vestière et retourna à son bureau, travailler.

* * *


À vous de voir si je continue à poster ...TBC...

Si tu continues pas à poster, je t'attache au radiateur .

Excellente suite! On voit bien Mac qui se bat avec ses sentiments, c'est super! Et puis le suspens autour de Claire, ça prend aux tripes.

c'est très bien, j'espère avoir la suite dans la journée, pauvre Mac qui ne sait plus quoi penser , stella qui essaie toujours de l'aider, c'est super chouette, on attend la suite vite vite vite ...

Une suite bien intéressante!!! J'ai hâte que tu continues à poster!!!

Mac qui se débat avec ses sentiments, qui se sait plus trop quoi penser...
et Stella, toujours là pour lui.
j'aime beaucoup ta fiction !
vivement de lire la suite !

Merci pour les comms, j'ai fait le plus vite possible pour la suite XD, j'espère que ça vous plaira. Juste pour vous avertir que les prochaine suite vont avoir des languages quelques peu salé, je veux juste que vous le sachiez pour ne pas avoir de mauvaises surprises XD

@Jersey_07: Ah! Non pas le radiateur!!! Mac!! Viens de sauver!
@Poupi27: J'espère que j'ai été assez vite
@Ludivine03: Merci, je vais continuer à poster, c'est promis XD
@Abbycath: C'est plaisant de voir à quel point sa vous plait! Je suis contente que ça m'est sortit de la tête

Voilà la suite:

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Stella marchait dans le couloir. Elle réfléchissait à ce que Flack lui avait dit dans la salle d'analyse: << Stella, réfléchissez un peu à la fin...! Vous êtes en train d'enquêter sur la "mort" de sa femme, c'est un peu normal qu'il soit anxieux et agité! >> lui avait-il dit. Puis elle pensait à son patron et ami, à son état quand elle l'avait vu dans le couloir avant d'aller rejoindre les gars et d'evoyer Messer analyser le revolver: << sa chemise mal bouttoné, ses cheveux toute mal placé, il était en sueur et semblait agité et inquiet, sans compter de sa lèvre qui était enflé... >>. Sa lèvre enflé... je devrais lui apporter de la glaçe, pensait-elle. Elle se rendi alors à la salle à manger, où le réfrigérateur se trouvait, et sortit un petit sac de glaçons: le département en gardait toujours en réserve pour conserver certain liquide froid lors de cas comme des pannes d'électricité, mais elle peut servir également pour ceux qui se sont blessés. Puis elle se rendt au bureau de Mac, où il était forcément. Elle ouvrit la porte et le trouva qui gisait par terre. Le banc de la chaise pointait vers lui... il était tombé une seconde fois. Il semblait inconscient. Stella déposa le sac de glaçons sur le bureau, puis se pencha à côté de Mac. Elle lui tappota la joue quelques fois.

Stella: -Mac... Mac... réveillez-vous... Mac.

Mac ne bougeait pas dans les premiers tapotement, puis déglutissa un peu et bougea légèrement la tête, les yeux toujours fermé.

Stella: -Mac... allez, réveillez-vous enfin! Vous n'êtes pas dans votre salon vous savez! Et ce n'est pas votre lit que vous êtes couché dessus, sinon votre oreiller, je m'imagine pas ce que c'est... peu être du béton, disa-elle en tentant de blaguer, en vain.

Taylor ouvrit légèrement les yeux, il commencait enfin à se réveiller. Mais il était toujours à moitié conscient.

Stella: -Mac!

Mac: -Mmmmmhhh...? murmura-t-il, ayant entendut son nom.

Stella: -Réveillez-vous! Vous êtes au département, au laboratoire.... ce n'est pas le moment de dormir!

Puis, Mac fit un sursaut, ayant entendut <<laboratoire>> et <<département>>: bref, il était au boulot, et il n'avait pas le droit de sommeiller durant ses chiffres. Il se réveilla complètement et regarda où il était. Quand il vit qu'il était au même endroit que la première fois qu'il avait tombé, il soupira en fermant les yeux fort. Puis il regarda Stella.

Mac: -Désolé...

Stella soupira: il allait bien, c'était ça l'important, pensait-elle.

Stella: -Ce n'est pas grave, disa-t-elle, tentant de réconforter Mac, ce n'est pas de votre faute, allez venez!

Elle lui prit le bras et l'aida à se relever. Mac se rassit sur sa chaise et regardait Stella qui semblait l'observer.

Mac: -Qu'est-ce qu'il y a?

Stella: -...Vous n'êtes pas du style à porter ce genre de vêtement pour le travail... répondit-elle doucement

Mac se regarda un instant. Il avait oublié qu'il avait mit des vêtements plutôt ordinaire quelques temps après qu'il soit tombé la première fois.

Mac: -...Je sais, dit-il en soupirant, mais je n'avait pas le choix...

Il eut un silence embêtant. Puis Stella décida de changer la conversation. Elle prit le sac de glaçons et le tendit vers Mac.

Stella: -Tenez, lui dit-elle, prenez ces glaçons, pour votre lèvre enflé.

Mac le prit volontier.

Mac: -Merci...

* * *

Danny faisait son analyse en grognant, étant de mauvaise humeur. Il s'inquietait comme tout le monde de l'état de son patron, et il aurait voulut savoir pourquoi il était aussi blême avant de sortit de la salle avec Stella pour aller chercher le revolver. Mais bon. Le boulot, c'est le boulot, pensait-il. Par ordinateur, il prit l'empreinte et commencait à faire une recherche pour receuillir les cellules épitélliales, c'est à dire les cellules de la peau qui sont resté collé dans l'empreinte et qui contiennent de l'ADN exploitable.

Danny: -Je vais vous en faire moi, d'un <<plus tard>>... dit-il en grognant.

Flack entra dans la salle, toujours aussi calme et silencieux. Danny ne l'avait pas entendu arriver. Flack arriva derrière Messer.

Flack: -Alors? Ca avance? Demanda-t-il, surprenant du coup Danny.

Messer fit un sursaut, suivit d'un petit cris aigu. Il se retourna, manquant de près de frapper l'écran de l'ordinateur. Il dévisagea Flack, qui riait de lui à cause de son cris.

Flack: -Ah sa! Dit-il tout en riant, Ah sa! Vous auriez dû vous écouter! Ca valait un milion de dollars ce cris! Un vrai cris de fille!

Voyant Flack se tordre de rire, Danny souria.

Danny: -Attendez... dit-il tout en ricanant, vous voulez rire... j'ai pas fait un cris de...

Flack: -De fille oui! C'était comme un <<IIIIIIIHHH!>>, dit-il, plus capable de se retenir de rire, tout en allant s'assoir sur un banc, ayant peur de tomber.

Danny garda le sourir.

Danny: -Je vous croit pas... je vous croit pas...

Après quelques minutes, les deux hommes se calmèrent. Danny se remit au travail, et Flack le regardait faire, curieux.

Flack: -Alors, comment vous faites pour receuillr les cellule machin-chose des empreintes? Deamnda-t-il, ne se rappellant plus du vrai nom des cellules.

Danny: -Rien de plus simple!il vous suffit de prendre l'empreinte, de la déposer là, sur le microscope amélioré, et puis, par ordinateur, vous receuillez les données des cellules épitélliales, puis vous imprimez. Stella dit qu'elle est moins bonne que moi, mais c'est si simple...

Flack: -C'est les trouver qui est le plus dur...

L'imprimante fit un petit bruit, puis elle fit imprimer une feuille, ayant des tableaux compliqués inscrits dessus. Flack prit la feuille et le passa à Danny. Danny regarda la feuille.

Danny: -Ont l'a! Dit-il joyeusement en montrant la feuille, il est dans le fichier!

Flack: -J'en connais une qui va être contente, dit-il tout en faisant un grand sourir.

Danny: -Allons la voir, nous verrons bien!

Tous les deux sortirent de la salle d'analyse, les papiers en mains.

Flack: -Elle est avec Mac à son bureau, dit-il pour informer son collègue.

Danny: -Ouais... je sais...

Il regarda un instant les papiers qu'il avait dans les mains et souria.

* * *

Stella: -Vous êtes inquiet, n'est-ce pas...? Demanda-t-elle après un long moment de silence.

Mac, qui était concentré à mettre la glaçe sur sa lèvre bleuit retira le sac et regarda Stella avec étonnement. Voyant que celle-ci semblait inquiète, il tenta de la rassurer.

Mac: -Ce n'est pas grave vous savez...

Stella: -Non, je sais, mais je voulais dire... à propos de l'enquête... que moi, Danny et Flack faisons...

Mac ne savais pas quoi répondre. Un silence pénible envahissa la pièce.

La porte du bureau s'ouvrit brusquement et quelqu'un entra: c'étais Danny, essouflé, qui regardait Stella avec le sourir. Celle-ci le dévisagea, tandis que Mac haussa les sourcils, surpris, ne sachant pas pourquoi il était dans cet état. Il entra et s'approcha de ses collègues. Flack arriva quelques secondes plus tard, aussi essouflé que Messer, et semblait plutôt un peu frustré.

Flack: -Danny! Bon sens! Pourquoi avoir courru ainsi...!? lui dit-il, frustré et essouflé, Qu'est-ce qui vous a pris!?

Mais Danny ignora sa question et fixait toujours Stella, détournant son regard sur Mac à quelques reprises. Stella le regarda, et comme il ne parlait point, elle lui demanda:

Stella: -Danny, qu'est-ce qu'il y a? Vous allez bien?

Danny repris son souffle, regardant toujours ses collègues avec son grand sourir. Il fit un petit ricannement puis parla.

Danny: -Je vais super! Stella! On l'a! On l'a Stella! Il est dans le fichier des profil ADN! Et on a une addresse! On l'a!

Stella esquissa un sourir de satisfaction. Enfin, nous allons coincer les assassins, pensait-elle. Nous allons enfin l'avoir! Puis elle regarda Mac, qui, décidément, ne semblait pas comprendre de quoi Danny parlait. Elle s'approcha de Mac et mit sa main sur son épaule. Mac, du coup, la regarda.

Stella: -On a le profil ADN de l'assassin Mac. Lui souffla Stella en s'étant penché pour le lui dire.

Mac resta silencieux. Il baissa la tête, puis souria. Il releva la tête et regarda Stella. Ses yeux brillait, plein de larmes. Des larmes de joix. Enfin, je vais retrouver le corps de ma femme, et je pourrai dormir sur mes deux oreilles... pensait-il. Il était ému, et ce que Stella lui avait soufflé l'avait porté à réfléchir d'avantage. Sa bonne amie avait réussi ce que lui n'avait pas réussi à faire. Mais ce n'était pas gagné, car il fallait interroger l'homme. Mac se leva de sa chaise. Flack et Danny vit qu'il n'était pas habillé de sa manière habituelle, ce qui les porta à le dévisager. Taylor fouilla dans son tiroir et sortit son revolver, qu'il accrocha à sa ceinture. Son regard chengea et devint plus agressif, donnant l'impression qu'il vous scrutait l'interieur de votre tête quand il vous regardait droit dans les yeux, au point que Stella s'était reculé plus loin. Danny resta silencieux. Flack, lui, fut plutôt surpris de voir le visage de Mac changer aussi rapidement et lanca un <<ouuuuuuuuuu>> presque inaudible, en soupire. Mac regarda par la suite Messer, qui était figé.

Mac: -L'adresse?

Son ton de voix était tout aussi agressif que son regard. Danny se défigea, mais était tout de même nerveux, face à l'état à laquelle la nouvelle qu'il avait annoncé avait mit Mac.

Danny: -...Euh...c'est sur la quarante-troisième rue dans Manhattan....

Mac contourna son bureau. Avant de passer la porte de la pièce, il se retourna et regarda Stella.

Mac: -On y vas.

Il passa à côté de Flack et sortit à pas rapide, se dirigeant vers l'ascenceur. Stella et Danny le suivit derrière, puis Flack fit de même.

Mac demanda à Danny de lui donner les papiers avec le profil et l'adresse. Messer obéissa, et Mac prit le temps de le lire pendant qu'ils descendaient par l'ascenceur. Sur le papier était écrit plusieurs informations, dont Taylor mémorisa dans sa tête. Jesse Mcqueen. 46 ans. Habite dans un appartement de la quarante-troisième rue. Il y avait également une photo de la personne. Cheveux brun, yeux brun, environs un mètre quatre-vingt dix. Stella le regardait. Il était très concentré sur cette feuille de papier. Danny regardait Flack, et ce dernier haussa les épaules. L'ascenceur s'arrêta, et la porte s'ouvrit sur le couloir, au rez de chaussé, qui menait aux bureaux des patrouilleurs, et à celui de Flack. Mac sortit le premier, à pas rapide, se dirigeant vers les bureaux, où la porte d'entré menant au stationnement était. Flack s'apprêtait à demander des unités pour les accompagner, mais Mac l'attrapa par le bras et le regarda droit dans les yeux tout en le plaquant au mur. Flack se laissa faire, mais figea devant le regard de son patron.

Mac: -Qu'est-ce qui vous prend! Vous vous apprétiez à faire quoi Flack!? Hein!? À quoi vous jouez!?! Demanda aggressivement Mac en ayant haussé le ton.

Stella et Danny s'arrêtèrent et restèrent silencieux. Tout le monde dans la salle qui travaillait s'était arrêté, regardant Flack, qui était leur patron, se faire gronder par Mac. Taylor, de son côté rageait. Des voix dans sa tête lui répétait toujours la même chose depuis qu'il avait prit connaissance du papier dans l'ascenceur, ce qui mettait sa patience à rude épreuve: <<Jesse Mcqueen... Jesse Mcqueen... Jesse Mcqueen... Jesse Mcqueen...>>. Cela le hantait et l'énervait déjà.

Mac: -N'essayez pas de demander de l'aide Flack, je ne suis pas un de ces petits vieux qui ne sont pas capable de se battre ou de se défendre!!

Flack: -Je n'ai jamais dit que...

Mac: -Vous avez intérêt à ne pas faire de faux pas aujourd'hui Flack!

Flack: -Mac... calmez-vous bon sens... lui dit-il doucement, étant intimidé par le regard de son supérieur.

Mac le regarda pendant quelques instants, les yeux grands ouverts, puis poursuivit sa marche en direction de la porte d'entrée. Stella se hâta et alla rejoindre Taylor à côté de lui. C'est clair, il est sous le choc, ou sinon, il est déstabilisé, pensait-elle.

Stella: -Je vais conduire... lui dit-elle, d'un air inquiet.

Mac resta silencieux quelques instants. Stella avait toujours le don de le calmer. Même si ces voix ne se taisaient point, il se calma. Il soupira puis regarda Stella. Dans ses yeux, Stella pouvait voir la détresse et l'espoire, il était émotif, c'était rare depuis le 11 septembre.

Mac: -D'accord, dit-il en soupirant.

Flack, encore secoué et mal à l'aise, suivait derrière d'un air de chien battut. Danny restait à l'écart, ayant peur que ce soit son tour après Don. Tous sortirent et descendirent l'escalier, pour arriver dans le stationnement où une dizaine d'autopatrouilles était garés, sans compter des voitures ordinaire des gens qui venait travail, et des voitures banalisés. Stella et Mac prirent le camion bannalisé, tandis que Danny et Flack prirent une autopatrouille. Stella démarra la première. <<Jesse Mcqueen... Jesse Mcqueen... Jesse Mcqueen...>>. Elle s'engagea sur la route. <<Sur la quarante-troisième rue... sur la quarante-troisième rue... la quarante-troisième rue... quarante-troisième rue...>>. Mac mit sa main sur son visage, comme s'il tenait son front. Ces voix le tracassait.


Flack les suivait derrière. Il réfléchissait: <<Vous avez intérêt à ne pas faire de faux pas aujourd'hui Flack!>> <<Qu'est-ce qui vous prend! Vous vous apprétiez à faire quoi Flack!? Hein!? À quoi vous jouez!?!>> << N'essayez pas de demander de l'aide Flack, je ne suis pas un de ces petits vieux qui ne sont pas capable de se battre ou de se défendre!!>> lui avait dit Mac. Il se prend pour un petit vieux...? pensait Flack, embarrassé.

Danny: -À quoi vous pensez? demanda Danny, intrigué.

Flack sortit de ses pensées.

Flack: -Je pensais à Mac... à ce qui c'est passé au bureau tout à l'heure...

Danny le regardait d'un air désolé.

Danny: -Il est ainsi quand il est énervé ou anxieux... il ne faisait pas ça par méchanceté...

Flack le dévisagea quelques secondes, puis retourna son regard sur la route. Danny, ne comprenant pas pourquoi il le regardait ainsi, il lui demanda bêtement:

Danny: -Qu'est-ce qu'il y a?

Flack souria.

Danny: -Quoi?

Flack: -C'est pas vous qui aviez eu peur de lui dans le bureau au laboratoire? Demanda-t-il de son sourir moqueur.

Danny: -Qui? Moi? Non! Vous me prenez pour qui? Une fille peut être?

Flack: -Vous avez crié comme une fillette tout à l'heure, sa peut en être une preuve!

Danny: -Ouais... c'est sa ouais... rira bien qui rira le dernier! Dit-il, boudant dans son coin.

Stella regarda Mac un instant: il semblait inquiet. Après s'être tenus la tête comme il l'avait fait, elle le croyais plutôt anxieux. Cette enquête l'avait énormément troublé. Elle lui mit une main sur son épaule et fit comme un massage, pendant qu'elle conduisait,, tentant de le rassurer et de le calmer, même s'il était silencieux. Mac la regarda.

Stella: -Sa va bien aller Mac... lui souffla-t-elle

AHHH pourquoi pas deux pour le prix d'un??

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Mac ne répondit rien. Ca fonctionna: son patron se calma. Il mit sa main sur celle de sa collègue et la tapota. Il n'avait pas vraiment à être anxieux, ce n'est qu'une arrestation comme toutes les autres... pensait-elle. Mais Mac n'était pas axieux de procéder à son arrestation, non, bien au contraire. Il avait plutôt peur, oui. Peur de s'enrager. Mais s'enrager si fort en le voyant au point de le tuer. Calme-toi Taylor, calme-toi... tu as déjà vécus pire que cela en 1983 quand tu est allé à Beyrouth... et quand le Caporal Witney est mort dans tes bras... pensait-il en faisant des soupirs, tentant de se calmer d'avantage. Stella tourna à gauche, puis à droite et tomba sur la quarante-troisième rue. Les phares et sirènes qui fonctionnaient, Stella se rendi à vive allure jusqu'à l'édifice à appartement où Mcqueen habitait. Flack se stationna derrière eux sur le bord de la rue, en face de l'édifice. Mac, malgré que son coeur battait la chamade, retira son veston et enfila sa veste pare-balle. Stella, Danny et Flack l'immitèrent.Les quatres expères se rassemblèrent entre les deux vehicules et jetèrent un coup d'oeil à l'édifice: celle-ci était vieille. Il n'y avait que deux étages: le sous-sol, où il y avait que quatre ou cinq petit appartements, et le rez de chaussé. Un escalier était relié entre le balcon du rez de chaussé et le sol. Une porte ce trouvait en haut de cet escalier: celui de Jesse Mcqueen. Mac et Flack montèrent rapidement, les premiers. Stella et Danny les suivirent derrière. Tous dégainèrent leurs armes en montant. Mac et Stella du côté gauche de la porte, Flack et Danny de l'autre. Don fit un signe de tête à son patron, lui disant qu'il était prêt. La main de Mac tenant son arme sur le côté de la hanche, il prit l'autre et cogna violement.

Mac: -Mcqueen! Ouvrez immédiatement cette porte et sortez de là! Police de New York!

Un instant de silence, où les deux hommes se regardèrent. Puis un déclic derrière la porte. Pas celui d'une serrure. C'est le bruit qu'une arme fait quand on le chargait. Don et Mac se regardait toujours, mais cette fois, ils comprirent que Jesse n'allait pas coopérer.

Flack: -Ont se planquent!!

Tout le monde se poussa loin de la porte, chacun de leur côté sur le balcon. La détonation fut très forte. Il avait sans aucuns doutes un fusil. La porte s'envola en éclas après quelques coups, et l'on vit Mcqueen sortir de l'appartement et descendre des escaliers, courant de l'autre côté de la rue pour entrer dans une petite ruelle, Mac et Flack à ses trousses. Danny et Stella entra dans l'appartement, vérifiant s'il y avait quelqu'un à l'intérieur: personne. Pas même quelque chose qui prouverais que Claire avait été là.

Mac et Flack couraient, mais étaient tout de même vigilant, car Mcqueen était toujours armé. L'homme se cacha derrière une benne à ordure. Mac était accroupit derrière celle en face de la benne où Jesse était caché et Flack était de l'autre côté, à droite.

Mcqueen: -Qu'est-ce que vous me voulez les poulets!?

Flack: -Vous savez très bien ce que l'on veux alors ne fait pas l'innocent!!

Silence.

Mcqueen: -Je ne sais pas de quoi vous voulez parler!

Pendant ce temps, Mac s'approchait de Jesse, toujours accroupit, collé sur le côté des bennes. Flack continua d'attirer son attention.

Flack: -Vous mentez!!

Mcqueen: -Allez vous faire foutre!

Flack: -Écoute mon vieux! dit-il d'une vois amicale, si tu viens avec nous, je m'arrangerai pour que ta sentence soit moins longue, juré!

Mcqueen: -Je n'irai pas en prison, jamais!

Mac était sur le bord, prêt à agir. Il lanca un regard à Flack, et ce dernier fit un signe de tête, étant prêt.

Flack: -En tout cas, une chose est sûr! Tes une vrai pipelette, et ça, tes amis détenus vont le savoir très tôt!

Mcqueen: -Je vous ai dit que...

Mais Jesse n'eut le temps de terminer sa phrase, car Mac lui sauta dessus. L'homme se dégagea et frappa Mac de plein fouet son visage avec la crosse de son fusil. Mais Mac n'était pas encore K.O. Il réussi à prendre le fusil des mains de son aggresseur et le lanca plus loin. L'homme partit alors à courir, ayant bousculé Mac, et disparut dans la foule de l'autre côté de la ruelle. Ni Flack, ni Taylor ne put le ratrapper, et cela mit Mac en colère. Mais au moins, il avaient l'appartement de disponible. Mac avait la gueule en sang, mais rien de grave, la lèvre ayant enflé de nouveau. Flack demanda par téléphone une commision rogatoire d'urgence pour fouiller l'appartement de fond en comble et l'obtena. Ils allèrent donc rejoindre Danny et Stella, enfilèrent des gants et commencèrent à fouiller les pièces. L'appartement était très petite: la cuisine et le salon était dans la même pièce, il n'y avait pas de salle de lavage. Une seule chambre et salle de bain. Il y avait également une pièce avec bureau, babillard et ordinateur, celui-ci fermé. Mac entra dans la petite pièce. Apparement, Danny et Stella n'avait pas inspecté l'endroit. Il y avait pleins d'images d'une prison abandonné, maintenant un monument historique d'accroché sur le babillard, où personne n'a le droit d'entrer. Des plans aussi y était posé. Mac les regarda brièvement, puis son regard fut attiré par un vêtement par terre. Une veste. Il la prit et la regarda attentivement, la tournant d'un côté et de l'autre. Il réfléchissa un instant, car ce vêtement lui rappellait vaguement quelque chose.

Stella: -Vous avez trouvé quelque chose? Demanda-t-elle en entrant dans la pièce, ne disant rien au sujet de la lèvre de Mac qu'elle avait apperçus.

Elle regardait la veste, puis fouilla dans ses poches. Elle avait vue cette veste quelque part. Évidemment elle était vieillit par le temps, mais elle le reconnue pareil. Elle sortit la photo de Claire et la regarda, puis fit la comparaison avec la veste.

Stella: -C'est celle de Claire...

Mac blêmit, mais gardais son sang froid. Puis il regarda l'ordinateur.

Mac: -Il y a probablement des informations de stockés dans cet ordinateur qui pourrais nous donner une piste. Je vais vérifier, dit-il pendant qu'il l'allumait.

Stella fit un signe de oui de la tête, étant d'accord avec son patron. Mac se promena sur différents fichiers, tout en pianotant quelques mots sur le clavier, et tomba sur les mêmes images et plans que ceux posés sur le babillard. Ce n'était pas une coincidence: il y avait forcément quelque chose là bas. Puis, il trouva un programme de messagerie instantané, où il pu retracer une conversation entre Jesse et une autre personne, dans les années 2001.

<<
-Salut mon pote.

-Hey Jesse! Tu peut pas venir ce soir garder la fille?! Elle me casse les pieds sérieusement.

-Pas question.

-Hey, c'est notre problème maintenant! Si on la laisse s'enfuire, elle va aller déblatérer des conneries à la police, et moi je ne veut pas sa!

-C'est quoi le repport avec moi!?

-Je suis crevé bordel de merde, je te l'ai dit! Fait pas l'idiot! La fille ma casse les pieds!

-Qu'est-ce qu'elle fait?

-Elle pleur, elle crie, elle m'a même donné un coup de pied là ou sa fait le plus mal....

-Écoute mon pote, je vais venir tout à l'heure, je vois que c'est une vrai démone. Ta réussi à lui soutirer un prénom au moin?

-Euh... Clarce, quelque chose comme sa...

-Bon, et bien, je te rejoindrai à la prison.

-Merci Jesse.
>>

Mac, qui était penché sur le bureau pour mieux voir l'écran, se redressit. Il regarda Stella et lui fit signe de lire la conversation, ce qu'elle fit aussitôt. Puis elle fit la même chose, elle se redressit droit comme un piquet et regardait Mac.

Stella: -Vous pensez que...

Mac: -Clarce - Claire, c'est presque la même chose.

Danny: -Vous avez trouvé quelque chose on dirait, dit-il en entrant dans la pièce.

Flack restait à l'extérieur de la pièce, regardant d'autres choses par terre, mais tendait l'oreille et écoutait.

Stella: -C'est Claire...

Mac: -Elle est à la vieille prison abandonné.

Danny: -Vous en êtes sûr?

Mac pointa l'écran avec son pouce.

Mac: -Allez lire la conversation sur le programme de messagerie instantané, vous verrai, ça date de l'année 2001.

Messer en fit la lecture, et prit le même air que ses deux collègues.

Danny: -Eh ben ça alors... je suis sûr qu'elle est là bas moi aussi... aucuns doutes, mais... qu'est-ce qui dit que c'est pas une autre fille qui ont emmené là bas?

Mac prit la veste et la leva, la lui montrant.

Mac: -C'est la veste à Claire, dit-il avec une boule dans la gorge, En plus, il parle d'une certaine Clarce, et ce nom est proche de Claire.

Flack: -Nous allons y jeter un coup d'oeil?

Mac aquiessa d'un signe de tête. Puis il regardait Stella et Danny, avant de regarder Flack, d'un air désolé.

Mac: -Vous pouvez appeller du renfort Flack, ceci est une situation d'hotage, respectez la procédure. Mais je ne veux pas de vos hommes en ma companie. Seulement un pour surveiller à l'intérieur.

Flack: -Bien Monsieur.

Puis il prit son émmeteur récepteur pendant que tout le monde sortait rapidement de l'appartement et entra dans leur voiture.

Flack: -À toutes les unités de Manhattan, je demande renfort à la prison abandonné de New York, ceci est une situation d'hotage. Je répète. Ceci est une situation d'hotage, envoyer moi toutes les unités disponibles!

Dans la radio, on entendit << 10-4, à toutes les unités disponible de Manhattan et New York, nous vous demandons de vous dépêchez sur les lieux d'une situation d'hotage, à la vieille prison abandonné de New York.>>

<<10-4>>

<<Entendu, je serai là>>

<<Bien reçus>>

<<Cinq sur cinq>>

<<C'est où la prison abandonné??>>

<<Ta gueule Bob et suis moi derrière.>>

<<D'accord.>>

Pendant ce temps, Mac, Flack, Stella et Danny se dirigea vers cette prison, les gyrophares allumés, à vive allure, car chaque minutes comptait maintenant. Plusieurs autopatrouilles roulaient en direction de cette prison également, au moin une vingtaine d'unités tactiques se dirigeait là bas pour superviser à l'extérieur.C'est Mac cette fois si qui conduisait. Il roulait à 155 km/h dans une zone de 100 km/h et la voiture glissait sur l'asphalte quand il tournait. Stella, assis à côté de lui dans le camion, s'accrochait durement au banc pour ne pas se frapper la tête contre la vitre. Pendant ces cinq longues minutes de routes, Flack et Danny, qui roulaient à la même vitesse que Mac, était stressé par la vitesse à laquel ils allaient. Puis tous tournèrent dans une route peu achalandé jusqu'à arriver en face de cette prison. Pour une prison, elle était gigantesque!

c'est super ! non ne t'inquiète pas je n'ai pas trouvé le temps trop long en plus tu te rattrapes en nous mettant deux suites pour le prix d'une ...cool !!!


mais que ça se reproduise plus hein ??? je ne serais pas si patiente la prochaine fois

bravo

j'ai hâte de voir s'ils vont retrouver Claire vivante

je suis entièrement d'accord avec Poupi ! il me tarde de voir si Claire est vivante !
j'aime beaucoup ta fiction, toujours aussi accrocheuse !
maintenant, on ne peut que te réclamer la suite !

Les suites sont super!!! Par contre, ça fait bizarre que Don et Danny se vouvoient.... On dirait 2 inconnus alos que dans la série ils sont amis. Enfin, c'est le seul bémol que j'ai trouvé à ces suites (désolée, je suis chiante pour ça... :s )
Sinon, hâte que tu postes de nouveau car ton histoire devient de plus en plus intéressante!!!

>.< Ah oui je viens de remarquer! Mdr disons que je suis trop habitué à vousvoyer les gens, du coup, ça se répercute dans mes fictions

Coooooooool, deux suites pour le prix d'une, c'est super

Vraiment d'hâte d'en savoir encore un peu plus

Continue comme ça Myrtille!

Je suis en train de corriger une autre suite que je vais poster aujourd'hui XD ce ne sera pas long juré!

Vous avez une idée de nom pour la fic? Je suis à court d'idée pour le moment, et ne pas avoir dormis de la nuit ne m'aide pas XD

Bon d'accord! Le nom sera pour une prochaine fois!



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Mac ne prit même pas la peine de se stationner, fit un virage rude et glissa pour faire un 360 degré sur l'asphalte, avant de s'arrêter en plein milieux du stationnement en face de la prison. Flack se mit derrière a voiture de Taylor. Les autres unités arrivèrent deux minutes plus tard, se positionnant devant la bâtisse, aux aguets, se préparant à toutes éventuelles répliques. Mac sortit rapidement du camion, déguaina son arme, et se précipita près de la porte d'entrée. Il regardait devant lui: une voiture était garré là, comme si quelqu'un était là en travail. Mais c'était impossible, puisque l'immeuble était interdit aux visiteurs et travailleurs, étant un monument historique. Stella s'approcha aussi, déguaina son arme rendu derrière Mac. Puis Flack se positionna de l'autre côté avec Danny, comme à l'appartement de Mcqueen. Un policier les rejoignit et se placa derrière Stella. Mac les regarda.

Mac: -Soyez prudent. Il est possible qu'ils soient une dizaine la dedans, comme il est possible qu'ils ne soient qu'un ou deux, et il est possible qu'ils détiennent un hotage... soyez sûr que vos armes soient chargés, leur dit-il, voyant tout le monde charger leurs armes du coup.

Ils entrèrent à l'intérieur.Mac regardait partout. La manière dont la prison était fait, était bien différente des autres. Comme les grillages et certains murs étaient encore intactes, les constructeurs les avaient enlevés avant le déménagement des derniers détenus qui avaient passés leurs temps dans cette endroit. En entrant, ils pouvaient alors avoir un accès directe à la cafétéria. Tout était sale, poussiéreux. Les meubles, tables, chaises étaient vieillit par le temps, et la peinture sur les murs avait perdu de leur teinte de claireté, pour avoir une teinte plus grisâtre. Il y avait aucun song dans l'édifice, seulement le bruit des souliers de Mac et des autres qui marchaient. Il y avait beaucoup d'échos. Au font de la cafétéria, il y avait plusieurs portes, dont la bonne partit où les lumière était fermés, car les lumière étaient presque tous ouvertes dans la prison. Ils s'avancèrent pour être devant les portes. Flack donna quelques instructions.

Flack: -Okay. On fouille chacun une porte. Gary, tu reste dans le milieux de la cafétéria, et tu nous crie si tu trouve quelque chose, ou si il y a un probleme.

Gary: -Bien, fit le flic.

Flack, Danny et Stella partis chacuns de leurs côtés. Mac choisissa la première porte. La porte était légèrement ouverte, laissant une petite fente entre la porte et le mur. Taylor l'ouvrit d'avantage. La lumière était fermée à l'intérieur, et la salle était grande. Il entra prudemment, ouvrit sa lampe de poche. Il entendit du bruit derrière, mais il se disait que c'était sûrement Flack ou Danny, ou peut être Gary, le flic, qui se trouvait non loin. Il continuait. Il éclaira un coin où il avait entendu du bruit, et fut désagréablement surpris de trouver un squelette humain, assis, le crâne penché de côté, les bras de chaques côtés du corps, les jambes allongés sur le sol. Mac eu alors une monté d'anxiété. Tout à coup qu'il venait de trouver la dépouille de sa femme? Devrait-il plutôt être heureux ou triste? Heureux de l'avoir trouvé et de pouvoir l'enterrer, ou triste parce qu'il aurait voulu qu'elle soit vivante? Il ne savait plus. Il était pétrifié devant ce corps inerte, rongé par les rats, ayant des toiles d'araignées entre les doigts, les orteils, les os des bras et des jambe, et entre les côtes. Les pas était de plus en plus proche, mais Mac ne les entendit pas. Puis, il sentit une vive douleur à la tête. Il regarda quelques secondes, il était par terre. Puis le noir total...



Stella sortit de la salle au même moment que Flack.

Flack: -Alors, vous avez trouvé quelque chose?

Stella: -Non, rien de mon côté... et du vôtre?

Flack: -Non. Rien moi non plus...

Danny: -Moi non plus, dit-il en sortant de sa salle.

Silence. Tout le monde se regardèrent.

Flack: -Mac n'a pas terminé son inspection? Bizarre...

Danny: -Pourtant les pièces sont de la même grandeur...

Stella s'approcha de la porte.

Stella: -La lumière est fermé... dit-elle, Mac? Mac! Vous êtes là?

Aucuns sons. Stella regarda Flack, inquiète. Flack, par la suite regarda Gary.

Flack: -Gary, avez-vous vu le lieutenant Taylor sortir de la salle?

Gary: -Non, il n'est pas sortit.

Danny trouva l'interrupteur de la salle, par une cabine à disjoncteurs dans la cafétéria. Il appuya sur le bouton "on" et la lumière s'ouvrit.

Stella: -Oh seigneur... murmura-t-elle

La salle était comme un cachot à deux portes. Une d'un côté, et l'autre à l'extrémité. À l'intéreure longeait une quizaine de squelettes humains sur le sol. Des toiles d'araignées jonchaient les murs et le plafond, sans compter ceux dans les corps inertes de ce qui avaient déjà été un humain. Au centre, une petit flaque de sang, fraîche, semblait avoir été faites il y avait quelques minutes à peine. Mais pas de Mac à l'horizon.

Flack: -Bon dieu... où est passé Mac...? Demanda-t-il, ayant prit un air très inquièt.



???-Pauvre-toi... mais qu'est-ce qu'il t'on fait... disait une voix, encore lointaine dans la tête de Mac.

Qui est-ce...? se demandait Mac, à moitié conscient. Il sentit alors quelque chose de froid sur son front. Quelque chose de liquide lui coulait sur le côté de la tête, étant couché au sol. Puis la douleur, vive était-elle, se mit de la partie. Il ouvrit lentement les yeux. Non, il n'était pas chez lui.Que c'est-il passé? Je me rappelle seulement d'avoir vu ce squelette.. puis après, le noir... se disait-il. Il apperçut une silouhette, une petite silouhette.

???-Oh mon dieu, pauvre toi...

Cette voix... elle me dit quelque chose.... suis-je mort? Suis-je au paradis? Non, sinon je n'aurais pas mal... Il faisait noir, pas de lumière. Mais il s'était habitué à la noirceur, et donc, il pouvait tout de même voir qui se trouvait à être près de lui. Il ouvrit complètement les yeux et regarda. C'était une femme. Ses cheveux, long jusqu'au derrière, était d'un brun grisâtre, elle avait des rides sous les yeux, au niveau du nez et un peut dans le front. Sa voix était rauque. Elle portait une vieille chemise troué et des jeans, également troués.

???-Mac... pauvre toi....

La femme sembla avoir vu que Mac se réveillait, parce qu'elle se tut un instant et fixait Taylor.

???-Mac...? Mac? Comment tu te sens? Demanda-t-elle.

Mac: -Je... je vais... j'ai mal... lui répondit-il, encore faible après ce violent coup à la tête, Où... où suis-je...?

???-Tu es à la prison Mac... lui répondit la voix.

Cette douce voix... je la reconnais bien... pensait-il. Il regarda attentivement le visage de la femme. Puis il ne savait plus quoi dire. Il restait bouche bée devant ce qu'il considérait comme un miracle. La femme le regardait, les yeux qui brillait, plein de larmes. Elle semblait heureuse, sous le choc et semblait avoir peur. Mais Mac hésitait à le dire. Tout à coups que ce n'était que le fruit de son imagination, faute du coup qu'il avait reçus à la tête? Tout était possible. La femme retira la chose liquide qu'elle avait mit sur le front de Taylor, se leva et alla à un lavabo le rinçer derrière. Mac leva la tête et tentait tant bien que mal de regarder où il était: il était effectivement encore à la prison, mais pas n'importe où. Lui et la femme se trouvait dans une cellule, verrouillé. C'était maintenant eux les prisonniers. Mac tenta de se lever, mais la femme revint repidement l'en empêcher.

???-Non.. ne te lève pas.... tu est blessé, tu saigne du front, je vais te soigner...

Elle lui remit ce qui semblait être une petit serviette, pleine d'eau froide, sur le front. Puis elle se pencha d'avantage pour que son visage soit proche de celui de Mac.

???-Je veux pas que tu te blesse d'avantage...

Puis elle l'embrassa. Étonnement Mac se laissa emporter par le baiser, un doux et long baiser. Non, il ne rêvait pas, c'était bien elle, il reconnaissait cette manière d'embrasser n'importe où. Le baiser s'arrêtta et elle se rassit. Mac avait les larmes aux yeux, et elle aussi. Cette fois, il n'hésita point à le dire.

Mac: -Claire... murmura-t-il en faisant un léger sourir.

Il caressa la joue douce de sa femme avec le revers de sa main. Puis du bruit se fit entendre dans le couloir qui comptait qu'une dizaine de cellules. Puis un déclic bruyant, avant que les lumières à néons s'allumèrent une par une. Cette lumière fut si forte, que Mac et Claire dû se cacher les yeux. Puis des pas, qui approchaient. Qui s'approchaient de plus en plus. Puis les pas s'arrêtèrent devant la cellule.

???-Hey Mike! Notre invité est réveillé!, dit l'homme devant la cellule

Mac regardait l'homme qui parlait. Il n'en revenait pas. Ce salaud est de retour de sa petite promenade, pensait Mac. Devant la cellule, ce trouvait Jesse Mcqueen, l'homme que Mac et Flack avait poursuivit jusque dans la ruelle, avant qu'il ne disparaisse dans la foule.

Mike: -Ah ouais? Et la fille?

Mcqueen: -Elle s'est fermé la gueule pour la première fois! Dit-il fièrement.

Mike: -C'est qu'ils doivent sûrement se connaître alors! Dit l'homme, que Jesse appellait Mike, en s'approchant de son complice.

Mac détourna ses yeux des deux hommes et regardait Claire, maintenant qu'il pouvait la voir comme il le faut. Il était triste pour elle, et enragé contre les deux hommes en voyant dans quel état ils avaient mis sa femme: elle avait des éccymoses aux bras, aux poignets, aux jambes. Elle en avant surtout dans le visage, et une coupure se dessinait sur sa joue gauche, de deux ou trois centimètre, qui venait de commencer à cicatriser. Elle avait un oeil au beurre noir, et une blessure sur la lèvre. Une galle s'était formé sur le côté gauche de son front, au niveau du cuir chevelu, ayant fait un neud dans ses cheveux, avec du sang séché dedans. Ses mains avaient été mal menés: ses jointures, tous en sang, et ses petits doigts pleines de coupures et de bleues pouvait en témoigner. Elle était maigre: elle semblait ne pas avoir mangé depuis au moin une bonne semaine. Elle n'avait que la peau sur les os. De gros cernes se dessinaient sous ses yeux, pire que ceux de Taylor. Elle était éfrrayé par les deux hommes. Ils l'avait battut pendant toutes ces années. Elle recula dans le font de la cellule, lorsque les hommes ouvrit la porte. Jesse s'approcha de Taylor, encore couché par terre, toujours sous le choc. Mac bougeait à peine, il avait trop mal à la tête, mais s'en plaignait pas. Mcqueen le prit par le revers de son collet et le leva un peu, il le regardait droit dans les yeux, étant en rogne contre le lieutenant.

Mcqueen: -Tu m'a couru après dans la ruelle et tu ma piqué mon fusil, poulet!? Tu sais ce que l'on fait des voleurs?! On les fous en prison! Et tu sais quoi poulet?!? Tu es en prison! Mais pour moi, c'est pas suffisant!! Parce que je ne récupèrerai pas mon fusil, bordel de merde non! Je vais te montrer comment je punie les voleurs moi!!

Il s'élanca le bras, point fermé, pour frapper Taylor. Mais Mike le stoppa.

Mike: -Fait pas l'idiot Mcqueen!! C'est un flic! Nous pourrons nous en servir contre ses collègues!! Un hotage de plus nous donnera plus de leste! Et en plus, c'est le célèbre Lieutenant Mac Taylor! dit-il, en voyant Mac. C'est encore mieux! Il n'agiron pas par crainte qu'on le tue!!

Mcqueen lâcha brutalement Mac, le laissant tomber sur le sol dur de la cellule. Mike regardait Mac, qui le regardait également. Cet homme était un ancient détenus, aucun doute la dessus, pensait Mac. Il était beaucoup plus imposant que Taylor. Il était large d'épaule, grand, avec un visage carré et de grosses mains. Il portait une camisole de cuir, avec des piques, et avait une barbe qui lui descendait jusqu'au torse, de couleur grise. Il ne portait pas de chapeau, il était chauve.Il avait des tatouages aux bras, et des percings sur les oreille et le sourcil gauche. Sa voix était grave et menacante. Pas étonnant que Claire ait peur, pensait-il.

Mike: -Ta de beaux yeux, tu sais? Tu en aura de besoin tout à l'heure pour nous supplier de te sortir d'ici poulet, et pour les montrer une dernière fois à tes amis collègues, qui doivent être en train de te chercher comme des fous!

Les deux hommes avaient prit le temps de retirer le revolver de Mac avant de le mettre dans la cellule avec Claire, mais avais oublié d'enlever son radio émmeteur. Bande d'idiot.... Mac se tourna un peu, ce qui alluma l'émmeteur qui pouvait envoyer le message à tout le monde.

Pauvre ti Macounet. Vite une ambulance
Au moins il à retrouver Claire, il n'aura pas tout perdu
Hâte d'avoir la suite et que Mac se venge des deux hommes

Trop géniale ta suite!!! Pauvre Claire.... traumatisée par des brutes... J'ai hâte de savoir pourquoi ils l'ont embarqué et ce que Mac va leur faire pour se venger!!!! J'espère qu'ils vont déguster....

@ludivine03: J'adore être sadique tout à coup >.< alors je les met mal amoché
@Greisa: Héhé je suis pas pour vous laisser comme ça sans suite XD surtout là!

Il pourrais y avoir des mots salé, je m'excuse d'avance je devrais laver mon clavier avec du savon XD

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Stella tenta d'ouvrir la porte de l'autre extrémité de la pièce, sans succès.

Stella: -Elle est vérrouillé, dit-elle

Flack: -Merde! Mumura-t-il, frustré.

Danny: -Et maintenant? On fait quoi? Demanda-t-il, un peu perdu.

Puis, les émmeteurs firent un crichement, avant de devenir claire. Puis une voix ce mit à parler.

<<-Mais tu sais quoi poulet? Il ne te trouverons pas où nous sommes planqués!>>

Tout le monde avait arrêté de bouger et écoutait attentivement.

<<-Parce qu'il y a un passage secret dans cette prison, qui mène là où t'es! Cette jolie pièce à deux porte, l'une d'elle est toujours verouillé, et sa tombe bien, parce que Mcqueen t'a trouvé en train de contempler un squelette dans cette pièce, alors il t'a assomé avec un bout de métal, et il ta juste transporter de l'autre côté de la jolie porte!>>

Tous regardèrent la porte vérouillé de la pièce avec horreur.

<<Elle ne peut pas s'ouvrir! Sauf si tu a queques chose d'imposant pour l'ouvrir ou si tu a la clé! C'est de l'acier et du métal dur.>>

Puis on entendit des pas, de plus en plus lointain. Puis les pas s'arrêta. Silence de quelques secondes, inquiètant.

<<Jesse, emmène la fille. Je vais lui montrer moi à savoir soigner les gens!>>

Puis les pas recommencèrent. D'autre pas s'approcha.

<<Non! Ne fait pas sa! Laisse-la!>>

Stella fut surprise.

Stella: -Mais... c'est la voix de Mac?! Mumura-t-elle.

Puis des cries.

<<Claire!!!!!!>>

Danny: -Mac a trouvé Claire!? Elle est vivante! Mumura-t-il.

<<Toi, on ta pas sonné le poulet! Un de ces jours, je vais t'apprendre à ne pas piquer les fusils des autres!>>

Flack: -Je reconnais cette voix, murmua-t-il, c'est Jesse Mcqueen, l'homme de l'appartement!

Puis plus un crie. Un bruit sourd se fit entendre et on entendit Mac gémir dans l'émmeteur. Le bruit avait sonné comme un coup de pied. Enfin, on entendit une porte se fermer, comme ceux des cellules de prison.Puis un essouflement, presque inaudible. Le crichement revint et les émmeteurs s'arrêtèrent. Stella prit son émmeteur.

Stella: -Mac. Mac! Mac.... il ne répond pas, dit-elle en fermant son émmeteur.

Flack devint plus nerveux. Ils sortirent dehors et demanda aux unités d'entrer. Des hommes spécialisés vint forcer la porte, ce qu'il fit avec succès après quinze minutes de travail.

Flack: -Porte qui ne peut pas s'ouvrir, mon oeil!

L'escouade entra. Flack et Stella avait été les premiers à entrer. Ils entrèrent dans un petit couloir où il entendirent un essouflement. Stella regarda entre les barreaux des cellules, et vit quelque chose par terre dans la dernière au fond. Elle s'y précipita pour s'appercevoir que c'était Mac, encore conscient mais faible, qui s'y trouvait.

Stella: -Mac! Dit-elle en mettant ses mains sur les barreaux en face d'elle, Mac!

Les professionnels forca la serrure et ouvrit la porte de la cellule. Stella entra et se pencha vers Mac, qui respirait toujours, mais qui était mal en point.

Stella: -Mac... Mac!

Il était couché sur le côté. Stella le retourna pour qu'il soit sur le dos. Mac se laissa retourner dans un mouvement mou, comme s'il n'avait pas de muscle dans son corps en entier. Des ambulanciers entrèrent avec une civière quelques minutes plus tard, après avoir reçus l'appel de Flack, étant sur place depuis le début des opérations, le mit sur une civière et transportèrent Mac à l'hôpital, où il tomba inconscient durant le voyage.



Mike marchait dans le couloir de l'autre étage, avec Mcqueen, tenant fermemant Claire en l'empêchant de crier en mettant sa main sur sa bouche. Claire, de son côté, se débattait depuis que Jesse l'avait prise et sortit de la cellule: elle était inquiète pour Mac, vus dans l'état où Mcqueen l'avait mit avant de l'emmener hors de la cellule. Il entrèrent dans un petit bureau, ressemblant à celui d'un directeur de prison: le bureau, avec la chaise, l'ordinateur, le classeur et la petit bibliothèque. Sans compter les photos et les chaises pour les visiteurs. Mike alla s'assoir sur le coin du bureau, pendant que Jesse s'avanca devant lui, toujours avec Claire. Claire commencait à avoir peur, car quand ils entraient dans ce bureau, elle mangeait souvent la raclé, parce qu'elle avait fait quelque chose que Mike ne voulait pas...

Mike: -Tu sais ce que je t'ai dit tout à l'heure avant qu'on emmène le poulet dans ta cellule? Je t'ai dit de ne pas le toucher, même s'il était mal foutu...

Mike se leva et, enragé cogna sur le bureau en faisant beaucoup de bruit.

Mike: -Mais tu ne ma pas écouté, salope! Cria-t-il.

Claire s'était mise à pleurer. Les larmes lui coulaient sur ses petites joues délicates, pleines de bleues. Mike fit signe à Jesse de la lâcher, ce qu'il fit. Puis Mike lui claqua le visage du revers de sa main avec toute la force qu'il avait dans le bras. Claire tomba sans connaissance au sol, la bouche en sang.

Mcqueen: -Sa lui apprendra à ne pas écouter aux ordres!.

Mike le défigura de rage, il se leva du coin et s'approcha de près du visage de Mcqueen.

Mike: -Hey, toi non plus tu ne m'a pas écouté, petit con!

Mcqueen: -Mais Mike... de quoi tu...

Mike: -Ne fait pas l'idiot! cria-t-il

Mcqueen: -Je... je ne sais vraiment pas.... je le jure sur ma grand-mère que je ne le sais pas!

Mike: -Je t'ai dit de ne pas toucher au poulet tout à l'heure, non!?!?

Mcqueen: -Euh... ou-ou-oui.... dit-il d'un air intimidé.

Mike: -Et tu ne l'a pas fait!!! Encore heureux que tu soit mon complice, parce que sinon je t'aurais refilé une de ces râclés!

Mcqueen baissa la tête et regardait le sol, se sentant indigne de n'avoir point écouté aux ordres de Mike.



Flack regarda Stella.

Flack: -Il doit bien y avoir quelque chose qui peu nous dire où ils sont allés et dans quel direction... dit-il désespérément

Stella jeta un coup d'oeil au sol. Des traces de pas, faite par le sable sous des bottes...

Stella: -Oui, regardez, dit-elle en pointant les traces, la position de la trace indique qu'il y a une personne avec des bottes pleines de boues qui est allé dans le couloir en face de la cellule où Mac était. Il suffit d'ouvrir la porte qui la sépare.



Mike: -Sortons d'ici, s'empressa de dire Mike pendant qu'il se dirigeait vers la porte du bureau, dépêchons-nous avant que les flics arrivent.

Mcqueen: -Mais Mike... ils ne nous trouverons pas ici, la porte ressemble aux murs de la pièce! Il ne la remarquerons même pas!

Mike jeta un oeil à la porte, puis baissa tranquillement les yeux jusqu'au sol. Il apperçus alors des traces de pas faites de sable, et, suivant ces traces des yeux, remarqua qu'elles provenaient des bottes de Jesse. Son regard changea, regardant son complice dans les yeux.

Mike: -Espèce d'idiot! Tes bottes sont pleines de sable! Maintenant les poulets doivent être à deux pas du bureau! Allez! Ont se planquent avant qu'ils arrivent et efface tes traces en chemin!

Mcqueen: -Et la fille? Demanda-t-il en pointant Claire du pouce, qui était toujours inconsciente.

Quelques secondes de silences.

Mike: -Laisse-la ici! On s'en fiche de la fille!

Ils sortirent du couloir où il y avait plusieurs portes, qui étaient en métal. Celle du bureau était en brique, comme le mur. C'était comme un bureau secrèt: difficile pour quelqu'un de la distinguer du mur. Lorsque les deux hommes fut dans le couloir, ils fermirent la porte et effacèrent les traces laissés par les bottes de Jesse. Ils prirent une autre porte lorsqu'ils entendirent la porte du font du couloir se faire défoncer, et ils entendaient les flics parler non loin. Dans la pièce où Mike et Mcqueen se trouvait, était stocké des tonnes d'armes à feu. Mcqueen prit alors un Magnum 357, tandis que Mike fut preneur pour un AR-15. Ils étaient prêt pour le combat entre eux et les poulets.

Mike: -Attention ils arrivent! Chuchota-t-il.

On entendait des bruits sourds de pas, qui se raprochaient. Puis des voix qui étaient de plus en plus claires.

Stella: -Flack, allez de ce côté! Moi et Danny allons prendre l'autre! Il faut qu'on les trouve!

Flack: -Bien reçus!

Suite très intéressante!!!!! J'espère qu'ils vont vraiment arrêter ses sal***!!! Et que Claire et Mac pourront enfin se retrouver!!!

Hé, hé, superbe suite, merci de l'avoir poster
Espérons que personne ne sera toucher lors de la probable fusillade.
Bonne continuation pour la suite

HS: Ton avatar et ta ban sont magnifique Je pourrais passer des heures à les regarder