Je reviens avec un OS Smac
Titre : Cette fois-ci...
Personnage : Mac et Stella.
Ship : Smac.
Résumé : ...
Dislaimer : Aucun personnage ne m'appartient et je ne touche aucun argent de mes écrits.
Comme chaque semaine, il venait jouer de la basse pour se détendre, oublier les nombreux corps et dossier qu’il avait vu défiler dans les jours précédents. Mais ce soir, il manquait quelqu’un que Mac n’essaya même pas de chercher du regard. Elle n’était pas là ce soir, comme elle le faisait habituellement, elle n’était pas venue l’encourager d’un sourire et lui ne le lui rendit pas. Cette soirée, elle n’était pas là .
Il savait qu’elle ne viendrait pas, ils s’étaient disputés, mais cette fois-ci, ce n’était pas comme leur précédentes altercation, elle ne l’avait pas serré contre elle et ne l’avait non plus déposer un baiser sur la joue. Non cette fois-ci, après leur dispute qui avait attiré tout le laboratoire devant son bureau, elle avait claqué la porte, récupéra ses affaires laissant son arme et son badge sur son propre bureau avant de franchir les portes de l’ascenseur. Après ça, la colère n’ayant pas redescendu, il avait balayé les dossiers et autres affaires de son bureau d’un seul coup, même les membres n’avaient osés entrer pour le calmer, peur de ne jamais y ressortir vivant. Ils n’avaient jamais vu une altercation aussi violente entre leur deux supérieurs et amis.
Et il comprenait que ce soir elle ne viendrait pas, parce qu’après leur disputes, elle avait prit un billet d’avion ainsi que ses affaires et étaient partit pour Boston. Il avait essayer de la retenir mais quand il arriva à l’aéroport, l’avion avait déjà décoller, laissant la possibilité de s’excuser et de la serrer contre lui voler en éclat.
Il avait décider de venir jouer avec le groupe pour se changer les idées, mais en vain, dès qu’il pensait à elle, son cœur se serra.
A la fin de la chanson, il quitta la scène. Alors qu’il ouvrit la porte de son casier, il remarqua son alliance, ce qui le fit sourire. Elle avait été là, après la mort de Claire jusqu’à maintenant, et lui, lui disait merci de son soutien en l’envoyant balader. Il claqua violement la porte de son casier et se cogna la tête contre celui-ci. Qu’avez-t-il fait !
Il se changea en vitesse, et se rendit à l’aéroport prendre un billet d’avion en direction de Boston.
Il arriva deux après son embarcation. Il essaya de la joindre mais elle ne répondit pas, il avait demander à Lindsay où elle séjournait. Et si rendit, le taxi s’arrêta devant un hôtel 5 étoiles, un portier lui ouvrit la porte, en entrant, il ne regarda pas la décoration du hall d’entrée qui aurait pu sortir tout droit d’un magazine et se rendit directement à l’accueil.
Il monta deux par deux les marches de l’hôtel, pensant à toute les possibilités de sa réaction, lorsqu’elle remarqua qu’il est venu jusqu’à Boston mais une seule lui revenait en tête, il prendrait sûrement la porte en pleine figure après une bonne gifle. Et il aurait mérité.
Il trouva enfin la chambre, il attendit de reprendre son souffle avant de frapper deux fois. Lorsqu’elle ouvrit, son visage changea passant de joyeux à énervé en une fraction de seconde, et c’est sur un ton glacial qu’elle prit la parole :
- Que faites-vous ici ?
- Je suis ici pour vous, pour m’excuser, parce que j’ai étais le pire des enfoirés de cette terre. Je ne pensais aucun traitre mot de ce que je vous ai dit. Vous avez toujours été là pour moi et moi, je vous fais du mal ! Vous avez le droit de me gifler, me fermer la porte au nez mais il y a bien une chose de certaine, je ne vous referez plus jamais souffrir Stella !
Elle fixa les yeux gris de Mac, et il n’y avait en aucun cas être un expert en expressions non verbales, pour voir que dans son regard il était sincère.
Elle continua toujours de fixer l’homme en face d’elle et avec un sourire au coin :
- Et vous avez fait tous ce chemin pour venir vous excuser ?
- Oui, parce que vous le méritez amplement !
Elle s’avança vers lui et le prit dans ses bras :
- Merci. Lui murmura-t-il.
Elle sourit et lui déposa un baiser sur la joue.
- Maintenant que je suis là, je peux vous inviter à diner ! Demanda-t-il.
- Avec plaisir, attendez cinq minutes je reviens.
Alors qu’elle allait retourner dans son appartement, il la saisi délicatement par le poignet et l’attira vers lui, et déposa délicatement et timidement ses lèvres sur les siennes, à l’affût d’un probable refus, mais elle approfondit le baiser.
A bout de souffle, ils se séparèrent et avec un sourire, demanda à Mac de patienter. Elle alla se changer rapidement, enfilant une robe noir au dos échancré en vitesse avant de le rejoindre.
Elle aimait cet homme, c’était une certitude et dès demain elle retournera avec lui à New York.
« La plupart des hommes ont un moment dans leur vie où ils peuvent faire de grandes choses, c’est celui où rien ne leur semble impossible »Stendhal [ Extrait de De L’Amour]