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| La Maison Close [ship--Stellack/léger DL] | |
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+8GwenLuna LoLo laurence0311 perlnoir Wolfinette Olive Flo lagentillefan 12 participants | |
Auteur | Message |
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lagentillefan "Mordue de Deeks"
Perso(s) Préféré(s) : Don Flack Jr (miam!) et Adam Ross Nombre de messages : 4161 Age : 42 Date d'inscription : 20/09/2007 Réputation : 0 Points : 20952
| Sujet: La Maison Close [ship--Stellack/léger DL] Ven 21 Sep - 1:01 | |
| Création de Valm.csi ATTENTION,CETTE FIC EST TRES SOMBRE.DECONSEILLEE AUX AMES SENSIBLES!!!
Dernière édition par le Jeu 27 Sep - 1:18, édité 1 fois | |
| | | Flo Serial Series
Nombre de messages : 2230 Age : 34 Date d'inscription : 21/09/2007 Réputation : 0 Points : 19152
| Sujet: Re: La Maison Close [ship--Stellack/léger DL] Mer 26 Sep - 18:41 | |
| c'est vrai que cette fic est sombre, mais en même temps, elle est superbe !!!!! | |
| | | Olive
Perso(s) Préféré(s) : Danny, Lindsay Nombre de messages : 361 Age : 34 Date d'inscription : 21/09/2007 Réputation : 0 Points : 18792
| Sujet: Re: La Maison Close [ship--Stellack/léger DL] Mer 26 Sep - 18:42 | |
| Je me rappelle... Elle était géniale! Mais assez dure à lire... Je crois que je la relirai quand même! | |
| | | lagentillefan "Mordue de Deeks"
Perso(s) Préféré(s) : Don Flack Jr (miam!) et Adam Ross Nombre de messages : 4161 Age : 42 Date d'inscription : 20/09/2007 Réputation : 0 Points : 20952
| Sujet: Re: La Maison Close [ship--Stellack/léger DL] Jeu 27 Sep - 1:17 | |
| Voilà le prologue et le chapitre un Disclaimer:rien est à moi.C'est à CBS. AVERTISSEMENT POUR CETTE FIC TRES DURE ET SOMBRE!!POUR LECTEURS AVERTIS!!_____________________________________________ LA MAISON CLOSE Prologue Alicia : Alors ? Vous avez fait votre choix ? Homme : Oui. (désignant une photo) Celle-ci.
Alicia regarda la photographie qu’il lui indiquait et sourit. Parfait…
Alicia : Excellent choix. Elle se débat comme une lionne. C’est une vraie tigresse…Vous aimez que cela soit violent, n’est-ce pas ? Homme : Je ne serais pas ici, sinon. Alicia : En effet… Voulez-vous voir ses yeux ou faut-il que je le lui bande ? Homme : Je l’ai justement choisie pour ces beaux yeux. Je veux qu’elle me regarde. Alicia : Pour votre sécurité, il vous faudra donc mettre un masque. Homme : Très bien.
La jeune femme lui tendit alors une cagoule noire qui couvrirait la totalité de son visage, excepté les yeux, les narines et la bouche. L’homme, très élégant, la prit et paya Alicia, comme ils l’avaient convenu avant qu’il ne fasse son choix dans le catalogue.
Alicia (comptant les billets) : Parfait. Je vais vous mener à la chambre d’Emeraude.
L’homme sourit d’anticipation, impatient, et suivit Alicia avec empressement. Il allait se régaler…
Homme : Est-ce qu’elle crie ?
Alicia se mit à sourire. C’était un client sadique et certainement très violent. Emeraude plierait bientôt…Elle se soumettra…
Alicia : Si vous faites un effort, oui. C’est une battante et une dure. Elle retient ses cris à chaque fois. Mais en mettant la dose… Homme : Parfait.
Alicia lui ouvrit enfin une porte menant à une petite chambre, lui conseillant de mettre sa cagoule, et l’invita ensuite à entrer. Quand la jeune femme, nue et attachée au lit par les poignets, vit l’homme se diriger droit sur elle, se déshabillant rapidement, des larmes perlèrent sur ses joues.
Stella (suppliant) : Non…Pitié…1- Disparition Deux mois. Ça faisait deux mois que Stella Bonasera avait disparu. Et le jeune lieutenant Don Flack Jr s’en sentait responsable. Il l’avait laissée seule dans cette ruelle juste cinq minutes, le temps d’une conversation téléphonique avec Mac Taylor. Et ç’avait été cinq minutes de trop. Quand le détective était revenu, il n’était resté que sa mallette médico-légale, son arme et sa plaque. Plaque qu’il gardait constamment sur lui aujourd’hui, comme s’il voulait sentir Stella à ses côtés… Bien sûr, Don l’avait cherchée partout, interrogeant chaque passant, chaque habitant, fouillant le moindre recoin…En vain. Le F.B.I avait été appelé mais il n’avait toujours rien trouvé. Pourtant Mac et son équipe ne voulaient pas perdre espoir, ils s’y refusaient. Et Flack aussi. Surtout Flack. Le jeune homme s’était juré de la retrouver, à n’importe quel prix ! Il avait manqué de vigilance et cette faute lui avait coûté la perte de Stella. Non, elle avait juste disparu… Elle n’était pas encore perdue… C’est pourquoi chaque jour depuis deux mois, Don revenait sur les lieux de la disparition de la scientifique, espérant trouver un nouvel élément, un nouvel indice qui lui auraient échappé les fois précédentes… Cette disparition avait aussi permis à Don de lever le voile sur ses sentiments envers Stella. Des sentiments qu’il ne s’attendait pas à ressentir…Et cela accentuait sa peine et sa culpabilité…Il l’aimait…À un point qu’il n’aurait jamais cru pouvoir imaginer…Mais elle n’était plus là pour qu’il lui dise… Flack était connu pour sa franchise. Il n’était pas homme à tourner autour du pot. Il avait pris sa décision depuis longtemps : dès qu’il la retrouverait, il lui avouerait tout…Mais si Stella était morte ? Ça aussi, il l’avait décidé depuis longtemps…Il la suivrait… Cela faisait presque une heure que le jeune détective était là et Don finit par retourner vers sa voiture, bredouille encore une fois. Mais quelque chose attira son regard bleu, légèrement terni depuis la disparition de Stella. Deux hommes. Deux hommes très élégants qui faisaient vraiment tache dans le décor délabré et sordide de ce quartier pourri du Queens. Deux hommes inappropriés dans ces lieux. Pour Flack, il devait s’agir de cadres, de courtiers ou d’avocats…Enfin, des types qui gagnaient très bien leurs vies. Alors que faisaient-ils ici ? Le détective finit par les suivre discrètement jusqu’à un vieil immeuble délabré et en principe désaffecté depuis des années mais les deux hommes y entrèrent sans hésitation. Don resta quelques instants devant l’entrée, hésitant. Puis il prit une décision. S’il y avait un indice, ou la moindre chance de trouver Stella, Flack ne devait pas hésiter une seconde. Le jeune détective entra donc dans l’immeuble à son tour. | |
| | | Olive
Perso(s) Préféré(s) : Danny, Lindsay Nombre de messages : 361 Age : 34 Date d'inscription : 21/09/2007 Réputation : 0 Points : 18792
| Sujet: Re: La Maison Close [ship--Stellack/léger DL] Jeu 27 Sep - 11:55 | |
| J'ai hâte de relire la suite! | |
| | | Wolfinette "Let's shake some dust"- Samson
Perso(s) Préféré(s) : Lindsay,Danny, Don Nombre de messages : 1807 Age : 33 Date d'inscription : 21/09/2007 Réputation : 0 Points : 19858
| Sujet: Re: La Maison Close [ship--Stellack/léger DL] Jeu 27 Sep - 19:07 | |
| Je m esouviens de celle la!! elle est vraiment super !! avec vraiment de la profondeur et tout et tout!! Trop contente de la relire!! | |
| | | lagentillefan "Mordue de Deeks"
Perso(s) Préféré(s) : Don Flack Jr (miam!) et Adam Ross Nombre de messages : 4161 Age : 42 Date d'inscription : 20/09/2007 Réputation : 0 Points : 20952
| Sujet: Re: La Maison Close [ship--Stellack/léger DL] Ven 28 Sep - 2:31 | |
| Merci les filles!!et voilà la suite!! _______________________________________________ 2- Descente en enfer Flack fut étonné quand il découvrit le hall d’entrée de l’immeuble. Quelle différence avec son aspect extérieur délabré ! Tout paraissait neuf ici…Et accueillant. Ça cachait vraiment quelque chose… Avançant prudemment, le jeune détective aperçut enfin une sorte de bureau d’accueil…Les deux hommes qu’il suivait étaient passés rapidement. Certainement des habitués de l’endroit… Prenant une profonde inspiration, Don avança avec détermination vers l’hôtesse d’accueil, qui sourit poliment à sa vue, et pria pour qu’on ne le fouille pas : il avait caché son arme et sa plaque au cas où il y aurait du grabuge. Il pouvait en avoir besoin à tout moment… Alicia : Bonjour. (l’observant rapidement) Vous n’êtes jamais venu, n’est-ce pas ? Don : En effet… Surtout garder son calme, paraître le plus zen possible. Elle ne devait se douter de rien… Alicia : Bien. Si vous êtes là, c’est que vous avez rencontré l’un de mes collaborateurs… Don : Oui. A… Alicia : Je ne veux pas savoir d’où vous venez. S’il est venu à vous, c’est que nous pouvons nous satisfaire mutuellement. Don : En effet… Bien. Il donnait le change. Mais de quoi parlait-elle ? Alicia : Je vois que nous nous comprenons…Suivez-moi. Comme vous êtes un nouveau client, je dois vous expliquer les règles de notre établissement. Client ? Qu’est-ce qu’elle vendait ? Que proposait-elle comme service ici ? Et pourquoi tenait-elle à ne pas savoir qui il était ? Enfin, ça l’arrangeait bien mais cela intriguait énormément Flack. Alicia mena le détective au petit salon et l’invita à s’asseoir sur l’un des fauteuils confortables. Elle se dirigea ensuite vers un petit bar, admirant discrètement le beau jeune homme…Il ne devait pas avoir de problèmes pour se trouver des filles…Mais manifestement, il cherchait autre chose… Alicia : Voulez-vous boire quelque chose ? Don : Non, merci. Alicia (le rejoignant, s’asseyant à son tour avec élégance, un verre de cognac à la main) : Bien. Ecoutez-moi attentivement. Je ne répéterai pas les règles…Vous ne parlez de cet endroit à personne_ j’ai déjà ce qu’il me faut pour ça. Quand vous venez ici, soyez discret… Flack souriait intérieurement : il en connaissait déjà deux qui avait violé cette règle. Alicia : Vous payez cash et d’avance. Je ne vous connais pas et vous ne me connaissez pas. Votre identité ne m’intéresse pas. Seul compte votre plaisir et votre argent pour moi. Compris ? Don (hochant la tête) : Oui. Alicia (souriant, satisfaite) : Parfait. Combien de temps voulez-vous rester ? Rester ? Mais rester pourquoi faire ? Flack jurait intérieurement devant tous ces mystères. Mais si c’était le seul moyen d’avoir une piste sur la disparition de Stella… Don (hésitant, espérant qu’il ne dirait pas une bêtise) : Une heure… Alicia (notant sur son agenda électronique) : Bien. Ça vous fera 500 dollars. Flack soupira de soulagement. Heureusement qu’il avait eu l’idée de prendre pas mal de liquide avec lui, comme à son habitude, pour payer les éventuels indics. Le détective sortit prudemment son portefeuille, évitant que la jeune femme assise en face de lui ne voie son arme, et lui tendit dix billets de 50 dollars. Alicia lui prit des mains et lui donna un énorme classeur. Alicia (souriant, commençant à compter les billets) : Faites votre choix. (apercevant une femme à son comptoir d’accueil) Excusez-moi, je reviens. Une cliente. Flack fronça les sourcils. Une femme ? Mais qu’est-ce que c’était que cet endroit ? Le jeune détective suivit son hôtesse du regard et ne put apercevoir la cliente en question. Alicia avait fermé la porte… Soupirant de frustration et de contrariété, Don finit par ouvrir le classeur et se figea en voyant ses… « produits » : des femmes. Ce classeur semblait contenir une centaine de photos. Il n’y avait rien d’autre sur ces femmes : ni identité, ni âge, aucun renseignement quelconque…Juste leurs photos. Et on pouvait voir une certaine frayeur dans leurs yeux. Une angoisse sourde tenaillait ses entrailles, une peur intense l’envahissait pendant que Don continuait de feuilleter ce terrible classeur. Il craignait le pire… Lorsqu’il arriva à la page 25 de son « catalogue », son sang se glaça dans ses veines et une tristesse immense déferlait sur lui. Non, c’était impossible, ça ne pouvait pas être elle… Alicia (le faisant sursauter) : Vous avez choisi ? Don (déglutissant, essayant de rester maître de lui-même) : Heu…Oui. (lui montrant la photo de la page 25) Elle. Alicia (haussant les sourcils, étonnée) : Emeraude ? Vous n’en voulez pas une plus jeune ? Don (déterminé, serrant le classeur avec force) : Non. Je veux…Emeraude. Alicia (s’inclinant, lui souriant) : Très bien. Elle est très demandée, vous savez…Mais par des personnes plus mûres que vous. Don (souriant) : Je suis quelqu’un d’incroyablement mature… Alicia : Votre choix le démontre. Avant de vous mener à sa chambre, je dois tout de même vous signaler certaines conditions. Don (sarcastique) : Je croyais que je les avais déjà eues. Alicia (aimable et conciliante) : Les règles de « La Maison Close », en effet. Mais chaque fille a sa particularité, ses exceptions. Don : Ha… Alicia : Pour Emeraude, c’est assez simple. Vous pouvez faire tout ce que vous voulez avec elle : violence, utilisation d’objets, insultes…Mais vous ne devez en aucun cas la tuer, ou la blesser au point d’entraîner sa mort, et frapper son visage. C’est son atout principal : son beau visage fin et ses yeux émeraude. Beaucoup ont été charmé par son regard… Don (sentant son déjeuner remonter au fond de sa gorge) : Comme moi… Alicia : Parfait. Emeraude est à vous pendant une heure. Don (déglutissant) : Merci. Alicia : Ho ! J’allais oublier…Voulez-vous qu’elle vous voit ? Don (fronçant les sourcils) : Comment ça ? Alicia : Si vous voulez qu’elle vous regarde, vous devez porter un masque. Sinon, elle aura les yeux bandés…C’est juste une question de prudence et de sécurité pour vous… Don : Et bien…Bandez-lui les yeux… Alicia (surprise) : Je croyais que vous aimiez ses yeux ? Don : Je préfère les imaginer. Et puis, qu’elle ne me voit pas rendra l’expérience plus… intense. Rien qu’en prononçant ces paroles, Flack se dégoûtait. Alicia : Comme vous voulez. (interpellant un homme) Mike, bandeau pour Emeraude. Mike : Tout de suite. Alicia fit patienter Don pendant quelques minutes devant un long couloir menant à de nombreuses portes. Mike lui fit un signe « ok » de la main peu après et disparut de sa vue. La jeune femme, souriant toujours avec amabilité, conduisit le jeune détective jusqu’à la chambre d’Emeraude et finit par lui ouvrir la porte. Alicia : Amusez-vous bien…Méfiez-vous tout de même, elle se débat énormément. Vraiment, c’est une battante… (l’évaluant de la tête aux pieds, avec un regard appréciateur) Mais je pense que vous n’aurez aucun problème pour la gérer et la soumettre à votre contrôle… Don (sentant la colère monter en lui de plus en plus) : Et vous avez raison. Vous savez bien jauger les gens, dites-moi… Alicia (flattée) : Ça fait parti de mon métier… Puis la jeune femme s’inclina et l’invita à entrer, fermant la porte derrière Flack par la suite. Don avança doucement vers la femme nue, attachée et aveuglée, ne regardant que son visage, et sentit des larmes perler sur ses joues. Mon Dieu… Don (dans un souffle, avec une incroyable souffrance dans la voix) : Stella… | |
| | | perlnoir Looping accessoirement Admin.
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| Sujet: Re: La Maison Close [ship--Stellack/léger DL] Mar 4 Mar - 0:13 | |
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La suiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
Je la veux de suite mdr!
Ma suite Elie!
Allez au boulot, qu'est-ce que tu fiches là mdr!
Punaise je vais sur le fofo de Val, je la découvre mdr, et pour mon plus grand plaisir, je vois qu'il y en a plus ici mdr!
Comment je n'ai pas pensé à venir ici en premier mdr!
M'enfin là n'est pas le problème!
Le problème c'est qu'il n'y a pas de suite à lire alors que je la veux!
Donc fais comme tu veux mais donne la moi!
Non mais zut de zut alors!
Parfait, super mdr!
Je comprends Don n'empêche quand à son envie de renvoyer son repas quand il l'entend parler ainsi de ses pauvres femmes!
Plus encore quand il découvre que Stella fait partie de ces mêmes femmes!
Donc je résume!
Don a laisser 5 minutes Stella pour parler a Mac et à son retour plus de Stella juste sa mallette:
Deux mois plus tard, après maintes et maintes recherches non concluantes, il poursuit deux hommes qui le mêne droit à une maison close, où Stella est séquestrée!
Punaise Ca doit faire mal de la voir ainsi, apeurée aveuglée par ce bandeau et durant quelque seconde croire qu'il est un autre de ses tortionnaire! Il sera sa délivrance en tout cas, elle va être à la fois ravit de le voir mais aussi honteuse qu'il la découvre ainsi dévêtu!
M'enfin Allez Don, au boulot la pauvre elle peut pas rester la bas encore à se faire torturé par ses malades sans cœur!
Bravo ma belle!
Ma suite maintenant!
De suite!
Je l'exige
Non mais mdr!
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| | | lagentillefan "Mordue de Deeks"
Perso(s) Préféré(s) : Don Flack Jr (miam!) et Adam Ross Nombre de messages : 4161 Age : 42 Date d'inscription : 20/09/2007 Réputation : 0 Points : 20952
| Sujet: Re: La Maison Close [ship--Stellack/léger DL] Mar 4 Mar - 2:05 | |
| Houlà!Quel enthousiasme!!Bon,je vais pas te faire mariner plus longtemps,voilà enfin la suite!! ________________________________________________ 3- Délivrance Flack ne pouvait le croire. Stella était là, juste sous ses yeux…Et elle avait été si proche de lui depuis tout ce temps ! Et lui avait été incapable de la retrouver plus tôt… Qu’avait-elle subi durant ces deux mois ? La culpabilité rongeait le jeune détective de l’intérieur, sans aucune pitié, et ses larmes s’accrurent. A cause de son manque de vigilance et de son incompétence, Stella avait sans aucun doute souffert le martyre dans cette maison close…Et il en était responsable ! Don jeta un rapide coup d’œil sur le corps nu de la scientifique et put y voir des hématomes de tailles diverses et de multiples écorchures, désinfectées étrangement. Manifestement, la gérante de cet établissement aux services particuliers tenait à avoir ses « employées » en bonne santé… Stella se mit soudain à parler, sortant le jeune homme de ses sordides pensées. Stella (suppliant) : Non…Pitié…Je ne veux pas…Je n’en peux plus… Don sentit son cœur se briser en mille morceaux en entendant la voix désespérée et fatiguée de la scientifique. Il allait la sortir de là…Et tout de suite ! Le détective s’approcha doucement et s’assit au bord du lit calmement, ne voulant pas l’effrayer. Il amena ses mains sur le bandeau cachant les beaux yeux émeraude de la jeune femme pour l’enlever mais Stella eut un mouvement de recul, terrorisée. Stella (effrayée mais se débattant) : Non ! Ne me touchez pas ! Ne me touchez plus… Le cœur de Flack se serra de douleur au son presque hystérique de la voix de Stella, où pointait aussi le désespoir, et à ses mots. Que lui avait-on fait ? Mais d’abord, il devait la rassurer… Don (d’une voix très douce) : Stella, c’est moi. Don Flack. Je suis là pour… Stella (commençant à pleurer) : C’est…impossible…Il…Il… (rageusement) C’est un nouveau stratagème pour me torturer ? Me faire plier ? Me soumettre ?! Don (esquissant un geste pour l’attraper mais se retenant à temps) : Ecoutez ma voix, Stella. C’est bien moi, Flack. Votre collègue dans la police. Votre ami ! Laissez-moi vous retirer ce bandeau pour que vous puissiez me voir, que vous puissiez voir que je suis là. Vous savez bien que je ne vous ferai aucun mal, Stella… Et avant qu’elle ne puisse protester une nouvelle fois, Don lui retira rapidement mais délicatement ce maudit bandeau et prit son visage entre ses mains avec une immense douceur, le tournant vers le sien. Il pouvait sentir ses tremblements de terreur sous ses doigts… Stella (les yeux toujours fermés, sanglotant de plus en plus et bougeant comme elle pouvait) : Non ! Non ! Nooon ! Don (avec douceur mais aussi persuasion) : Stella ! Ouvrez vos yeux ! Regardez-moi ! Laissez-moi vous aider à sortir de cet enfer ! S’il vous plaît… Flack se mit à caresser tendrement les joues humides de la scientifique, essayant de la calmer, de la rassurer par ce geste doux. Et il y réussit… Stella avait été étonnée par la douceur des mains posées sur son visage. Les autres n’étaient pas comme ça…Pas comme ça du tout… La scientifique finit par ouvrir lentement ses yeux verts avec crainte et des larmes se mirent à couler abondamment quand elle reconnut Flack, qui lui souriait et la regardait de ses beaux yeux bleus pourtant voilés, tout en continuant à caresser doucement ses joues. Stella (sanglotant et hoquetant) : Dooon…Don…Don… Don (continuant ses caresses sur son visage) : Je suis là, Stella et je ne vais pas vous abandonner ici… (regardant les poignets de la scientifique) Occupons-nous d’abord de ces menottes. Le jeune détective prit un des coussins colorés et bien rembourrés de la chambre comme silencieux provisoire et sortit ensuite son pistolet pour détruire les chaînes des deux paires de menottes, qui retenaient les poignets de Stella à la tête du lit. Dès que la jeune femme fut libérée de ses entraves, la scientifique se jeta dans les bras de Flack, pleurant sur son épaule et agrippant sa veste avec force. Le détective ne savait pas comment réagir et finit par l’entourer de ses bras avec douceur et prudence, sentant malgré ça le corps de la scientifique se tendre à ce simple contact. Elle avait peur… Don (la réconfortant) : Shhh, Stella. Je ne vous veux aucun mal. Vous le savez. Vous savez que je ne vous blesserais pas. Je…Je vous… Puis Flack cessa de parler. Ce n’était vraiment pas le moment idéal pour faire sa déclaration. Où avait-il la tête ? Stella (se détendant peu à peu à ses paroles) : Don…Faites-moi sortir d’ici…Je vous en prie… Le corps entier de Don frissonna en entendant la jeune femme prononcer son prénom. Et l’avoir ainsi dans les bras, si vulnérable…Il devait se reprendre ! Et agir vite. Très vite. Flack finit par s’écarter lentement de Stella afin de pouvoir retirer sa veste et lui fit mettre sur son corps nu…et meurtri. Le détective prit ensuite son portable et composa le numéro de Mac. Les autres filles de cette maison close devaient aussi être libérées… Mac (voix off) : Taylor. Don : Ici Flack. J’ai retrouvé Stella. Envoyez une équipe d’intervention et une ambulance à cette adresse… Pendant que le jeune homme parlait avec le chef de la scientifique, Stella s’était raccrochée à lui presque avec désespoir. Flack était son phare, son point d’ancrage, sa bouée de sauvetage. Sa seule présence la rassurait, la réchauffait, lui réparait peu à peu le cœur…Et ça faisait si longtemps qu’elle n’avait pas ressenti ça… Ayant terminé sa conversation téléphonique, Don raccrocha et regarda gentiment Stella, toujours accrochée à lui avec force. Il l’enlaça avec douceur, la sentant encore se raidir puis se détendre lentement, et caressa tendrement ses cheveux bouclés. Don : Tout va bien, Stella. Mac va arriver avec une équipe…Est-ce que vous pouvez vous lever et marcher ? Stella (hésitant) : Ou…Oui, je crois. Don : Bien. Nous allons partir. Je ne veux pas que vous restiez une minute de plus ici. Stella, acquiesçant, crut déceler de la fureur dans la voix du jeune détective mais aussi de la tristesse. Il se sentait coupable…Coupable de ce qui lui était arrivé…Mais ce n’était pas sa faute… Flack la fit se lever avec douceur et la soutint avec gentillesse, l’aidant à marcher, son arme à la main. Il serait sans doute obligé de passer en force… Stella était toujours agrippée à sa chemise et semblait ne plus vouloir le lâcher. Il était le seul être en qui elle avait confiance…Son seul espoir… Les deux policiers atteignirent la porte de la chambre, l’ouvrirent et tombèrent nez à nez avec Mike, qui pointait un revolver sur eux. Mike (menaçant) : Elle reste ici et toi, tu meurs, mon pote. Don (ne contenant plus sa colère, ses yeux bleus assombris par la fureur, sa voix devenant dure et froide) : C’est vous qui allez mourir…Jusqu’au dernier… * Alicia était entrain de surveiller ses « filles » sur ses écrans de contrôle pendant leur « travail ». Lorsqu’elle vit son dernier client sortir un flingue et délivrer Emeraude, elle envoya ses cerbères les intercepter. Quant à elle, il valait mieux qu’elle se tire en vitesse dans un de ses établissements secondaires. Et dès maintenant, elle se montrerait plus prudente avec ses clients et améliorerait sa sécurité… | |
| | | perlnoir Looping accessoirement Admin.
Perso(s) Préféré(s) : Danny. Mac. et Jo Nombre de messages : 37318 Age : 48 Date d'inscription : 20/09/2007 Réputation : 0 Points : 53925
| Sujet: Re: La Maison Close [ship--Stellack/léger DL] Mar 4 Mar - 2:49 | |
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| | | lagentillefan "Mordue de Deeks"
Perso(s) Préféré(s) : Don Flack Jr (miam!) et Adam Ross Nombre de messages : 4161 Age : 42 Date d'inscription : 20/09/2007 Réputation : 0 Points : 20952
| Sujet: Re: La Maison Close [ship--Stellack/léger DL] Mar 4 Mar - 23:17 | |
| Merci Perl pour ce super com!!Et voilà ta suiiiiiiiiiiiiiiite!! Avertissement pour la violence de ce chapitre(ou plutôt,la grande noirceur)_____________________________________________ 4- Massacre Totalement envahi par la fureur, Flack amorça la gâchette de son pistolet et fixa froidement Mike. Ce dernier, en voyant les yeux bleus pleins de haine du policier, se mit à frémir…de terreur. Il n’avait ressenti ça qu’une seule fois, lorsque Alicia avait expliqué à Emeraude tout ce qu’elle allait subir avec cruauté, après son enlèvement. Elle avait dit ça avec une voix froide, cruelle et sans pitié. Mais là, cet homme si jeune réussissait à le faire trembler de peur juste avec son regard. Il allait crever… Flack s’apprêta à tirer quand une main l’arrêta. Don (surpris, se tournant vers la propriétaire de la main) : Stella ? Stella (ses yeux émeraude humides de larmes, le regardant d’un air suppliant) : Non, Don, ne le tuez pas. N’oubliez pas qui vous êtes, ce que vous êtes…Ne tuez pas pour moi… Don (serrant les dents, outré) : Stella ! Ils…Ils vous ont…Ils se sont… Mike savait que s’il n’agissait pas maintenant, il n’aurait plus aucune chance de s’en sortir vivant. Le jeune homme ne semblait plus se préoccuper de lui…Il devait donc en profiter… Stella (se rendant compte que Mike allait tirer sur Flack) : Don ! Et Flack tira le premier. L’homme s’écroula sur le sol telle une poupée de chiffon. Mort. Don (d’une voix neutre et inquiétante) : Légitime défense… Stella (se serrant contre lui) : Je sais…Mais ne tuez plus, je vous en prie… Voyant la scientifique pleurer, le jeune détective hocha la tête, se promettant de lui obéir. Il ne tuerait plus…Ils allaient juste souffrir comme elle avait souffert… Les deux policiers finirent par quitter le seuil de la chambre et coururent en direction de la sortie. Les autres gardes d’Alicia débarquèrent, se plaçant sur leur chemin, et commencèrent à les canarder. Flack ne loupa pas une seule de ses cibles, leur tirant dans les genoux ou sur d’autres articulations. Et il trouvait ça encore trop doux pour eux… Les deux policiers arrivèrent enfin à la porte quand une main énorme s’abattit sur l’épaule de Flack et le balança violemment au sol, faisant ainsi tomber Stella par terre. Le détective avait perdu son arme et se retrouva face à un homme massif d’au moins deux mètres ! Et Dieu seul savait combien il pesait, mais il était costaud ! Mais Don ne cilla pas. Stella devait toujours être sauvée…Le détective et son adversaire gigantesque se tournèrent autour quelques instants avant que ce dernier ne se jeta enfin sur Flack, agrippant sa chemise d’une main et lui enfonçant violemment son poing dans l’abdomen. Le jeune homme eut le souffle coupé et se retrouva brutalement plaqué contre un mur. Il vit le poing énorme du géant s’approcher de son visage quand une détonation retentit. L’homme grogna et relâcha soudain Flack, toujours un peu sonné, pour se retourner vers son nouvel assaillant. Don (respirant avec difficulté) : Stella… La scientifique tenait faiblement sur ses jambes et avait l’arme de Don entre les mains, la pointant sur l’homme gigantesque. Ce dernier s’avança lentement vers elle et sourit d’un air sadique en voyant l’état de faiblesse évident de la jeune femme. Stella tremblait de plus en plus. La peur la tenaillait, implacable et cruelle. Elle avait déjà vu ce genre de démarche… Elle l’avait vue bien trop souvent… De nouvelles larmes roulèrent sur ses joues et des frissons irrépressibles secouaient tout son corps. Le géant finit par attraper la jeune femme par la veste de Flack et la souleva du sol avec facilité, lui faisant lâcher le pistolet. Puis sa main libre commença à serrer son cou, de plus en plus fort, tel un étau implacable. Soudain, l’homme sentit une de ses jambes se dérober sous lui, l’obligeant à s’agenouiller, mais il garda encore son emprise sur le cou de Stella, de plus en plus faible. La dernière chose qu’il sentit fut un canon de pistolet contre sa tête puis plus rien. Le géant s’effondra, relâchant sa puissante poigne de la trachée de la scientifique, qui toussa fortement, essayant de reprendre un peu d’air, puis elle releva la tête pour voir Flack, debout, le visage et la chemise éclaboussés par du sang, regardant le mort avec haine. Ses yeux bleus s’adoucirent immédiatement quand le jeune homme les posa sur Stella, rassuré de la voir vivante. Il s’approcha doucement d’elle, ne voulant pas l’effrayer encore plus. Don : Stella. Je…Il… Stella (s’accrochant à ses épaules solides, posant sa tête sur l’une d’elle) : Inutile de vous justifier. Légitime défense… Don rangea son arme, entendant encore les plaintes de souffrance des blessés, et prit Stella dans ses bras. La scientifique se pelotonna contre lui en toute confiance, agrippant sa chemise et sa cravate avec force. Flack était son Sauveur…Le seul être en qui elle avait confiance pour le moment… Les deux policiers s’apprêtèrent à sortir quand Mac et l’équipe d’intervention débarquèrent en trombe. Mac (hurlant) : NYPD ! Vous êtes… Puis l’expert s’interrompit en voyant Flack et Stella et l’hécatombe qui les entourait, sous le choc. Mais que s’était-il passé ici ? | |
| | | perlnoir Looping accessoirement Admin.
Perso(s) Préféré(s) : Danny. Mac. et Jo Nombre de messages : 37318 Age : 48 Date d'inscription : 20/09/2007 Réputation : 0 Points : 53925
| Sujet: Re: La Maison Close [ship--Stellack/léger DL] Mer 5 Mar - 0:30 | |
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| | | lagentillefan "Mordue de Deeks"
Perso(s) Préféré(s) : Don Flack Jr (miam!) et Adam Ross Nombre de messages : 4161 Age : 42 Date d'inscription : 20/09/2007 Réputation : 0 Points : 20952
| Sujet: Re: La Maison Close [ship--Stellack/léger DL] Jeu 6 Mar - 1:29 | |
| Merci Perl pour ton super com!! Voici enfin la suite!! ____________________________________________ 5- Peur Dès que Stella vit tous les policiers masqués de l’équipe d’intervention, la scientifique ne put s’empêcher de se serrer plus contre Flack, tremblante de peur, et ferma les yeux pour ne plus les voir. Ils leur ressemblaient… Don sentit le corps de Stella frissonner dans ses bras et se pelotonner étroitement contre lui dans un mouvement craintif. Il resserra alors son étreinte, protecteur. Qu’est-ce qu’ils lui avaient fait ? Elle était terrifiée par ses propres collègues… Mac s’approcha d’eux, visiblement soulagé de revoir Stella bien vivante, et amena sa main vers l’épaule de la jeune femme, voulant s’assurer qu’elle allait bien. Tout ce sang sur elle et le jeune détective ne le rassurait pas… Dès que le chef de la scientifique, son meilleur ami pourtant, la toucha, Stella se mit à crier de terreur, se serrant toujours plus contre Flack, atterré. Mac (sous le choc) : Stella ? Mais… Don (regardant Mac avec tristesse) : Ne la touchez pas, Mac. Pas maintenant… Et Flack serra la scientifique un peu plus contre lui, tentant de calmer ses tremblements incontrôlables et la rassurant en caressant ses cheveux bouclés, et la laissa mettre son visage sur son épaule et nouer ses bras avec force autour de son cou, comme une enfant terrorisée. Elle ne voulait plus être touchée… Don (reportant son attention sur Mac) : L’ambulance est là ? Mac (encore choqué par la réaction de Stella, vraiment inquiet) : Oui…Mais j’aimerais des explications. Don (se dirigeant vers la sortie pour rejoindre l’ambulance, parlant à l’expert presque sèchement) : Plus tard. D’abord, Stella… En entendant le ton sans appel de Flack, Mac n’insista pas et s’écarta de son chemin, continuant à les observer. Pour que Flack ait autant de sang sur lui, c’est qu’il devait être très proche de certaines victimes…Les aurait-il exécuté ? L’expert espérait que ce ne soit pas le cas…Mais le jeune homme semblait tellement affecté par l’état de Stella…Dans quelle circonstance l’avait-il retrouvé ? Aurait-il voulu la venger ? Mac en avait vraiment l’impression quand il avait vu Flack être aussi protecteur avec elle… Don atteignit enfin l’ambulance, rassuré que Stella puisse avoir quelques soins. Mais quand les secouristes cherchèrent à lui prendre la scientifique des bras, celle-ci s’agrippa à lui avec force et désespoir, totalement effrayée. Don (avec douceur et gentillesse) : Stella…Laissez-les vous examiner… Stella (tremblant et pleurant) : Je…Je ne peux pas, Don…Je ne veux pas qu’ils me touchent… Don (avec tristesse) : Stella… Flack étreignit Stella pour la rassurer, jetant un regard d’excuse aux deux secouristes, Jimmy Custer et Barry Andrews, et sentit la scientifique le serrer presque à l’étouffer. Custer : Ecoutez, détective, il faut au moins qu’on l’emmène à l’hôpital. Elle a besoin de soins. Don : Je peux l’accompagner ? Andrews (avec humour) : Je crois que nous n’avons guère le choix… Flack déposa finalement Stella sur la civière mobile avec délicatesse et la fit doucement le lâcher, prenant rapidement sa main fine dans la sienne. Le jeune homme sentait bien qu’elle avait besoin de lui, de sentir sa présence, d’avoir un contact avec lui… Les deux secouristes fermèrent les portes arrières et se regardèrent, embêtés. Custer : J’ai déjà vu ça…Il faut appeler le psy. Andrews (soupirant) : Je sais… Mac put voir les ambulanciers monter dans leur véhicule et partir puis il se tourna vers l’agent Dave Klinson, qui arrivait précipitamment pour lui faire un premier rapport. Mac : Alors ? Quel est le bilan pour le moment ? Klinson : Deux morts et huit blessés. Et on a trouvé une trentaine de femmes actuellement. Il reste encore quelques étages à fouiller. Mac : Bien. Continuez et identifiez les femmes. Appelez aussi d’autres ambulances. Klinson : Oui, lieutenant. Mac soupira. Flack se serait débarrassé de dix gardes à lui tout seul ? Et deux étaient morts…Les conclusions des autopsies lui donneraient peut-être des éléments de réponses… Ainsi que le témoignage des survivants… Agent Tate : Lieutenant Taylor ! Venez voir ! Mac se précipita, inquiet. Qu’allait-il encore découvrir ? Mac (le rejoignant enfin) : Oui ? Qu’y-a-t’il ? Tate : Regardez ça. L’expert vit des étagères immenses contenant des centaines de cassettes vidéo, voire même plus… Qu’y avait-il dessus pour que ces gens veuillent les garder ? Il allait devoir les visionner une à une… Mac : On embarque tout au labo. Il faut qu’on sache ce qu’était exactement cet endroit et pourquoi ils ont gardé ces vidéos… L’agent Tate acquiesça et interpella deux hommes pour qu’ils l’aident dans sa tâche. Mac craignait ce qu’il allait découvrir sur ses bandes. Mais elles étaient sans doute des éléments importants de cette enquête… | |
| | | perlnoir Looping accessoirement Admin.
Perso(s) Préféré(s) : Danny. Mac. et Jo Nombre de messages : 37318 Age : 48 Date d'inscription : 20/09/2007 Réputation : 0 Points : 53925
| Sujet: Re: La Maison Close [ship--Stellack/léger DL] Jeu 6 Mar - 2:39 | |
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| | | laurence0311 Gary, un point c'est tout !!!!!
Perso(s) Préféré(s) : MAC Nombre de messages : 1443 Age : 53 Date d'inscription : 21/09/2007 Réputation : 0 Points : 19154
| Sujet: Re: La Maison Close [ship--Stellack/léger DL] Jeu 6 Mar - 11:27 | |
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| | | Flo Serial Series
Nombre de messages : 2230 Age : 34 Date d'inscription : 21/09/2007 Réputation : 0 Points : 19152
| Sujet: Re: La Maison Close [ship--Stellack/léger DL] Jeu 6 Mar - 20:30 | |
| ah cette fic !!! ça faisait longtemps que je l'avais lue !!! encore une fois, tu n'y va pas de lain morte avec Stella et Don, Magentillefan !!! | |
| | | lagentillefan "Mordue de Deeks"
Perso(s) Préféré(s) : Don Flack Jr (miam!) et Adam Ross Nombre de messages : 4161 Age : 42 Date d'inscription : 20/09/2007 Réputation : 0 Points : 20952
| Sujet: Re: La Maison Close [ship--Stellack/léger DL] Ven 7 Mar - 0:50 | |
| Merci à vous trois pour vos coms!!et oui,c'est une fic très sombre...Voilà ce qui arrive quand j'ai de l'inspi et que je suis bien déprimée Allez,voilà la suite! ____________________________________________________________ 6- Le seul être en qui j’ai confiance Stella n’avait toujours pas lâché la main de Flack une fois arrivée au Mount Sinai Hospital puis dans une chambre d’examen. Elle ne le quittait pas des yeux non plus. C’était le seul point rassurant qu’elle avait depuis ces deux terribles mois… A chaque fois que quelqu’un s’approchait de sa chambre, la scientifique se recroquevillait sur elle-même ou cherchait à se rapprocher du détective, se raccrochant à lui avec détresse. Don était accablé de tristesse en voyant dans quel état de prostration se trouvait Stella. Elle qui était si pleine de vie, si dynamique…Elle ressemblait plus à un petit animal affolé, terrorisée par le moindre bruit étranger. Et tout ça, c’était de sa faute ! Des larmes de rage et de souffrance se mirent à couler le long de ses joues tandis qu’il serrait les poings à s’en faire blanchir les phalanges…Il était responsable de ce qui était arrivé à Stella…Et elle, elle semblait… Stella (le voyant en larmes) : Don ? Pourquoi pleurez-vous ? Don : Je suis désolé, Stella. Tellement désolé. C’est de ma faute si… Stella (presque avec crainte, touchant sa joue pour essuyer ses larmes) : Ce n’est pas votre faute, Don…Croyez-moi…Ce n’est pas votre faute… Don (sanglotant) : Non, Stella ! Je n’ai pas été capable de vous trouver…plus tôt. Je…Je… Stella : Don, vous m’avez trouvée. C’est le principal… En voyant le regard compréhensif de Stella, Don n’avait qu’une envie : l’enlacer avec force. Mais il savait que s’il faisait ce genre de geste brusque, elle le fuirait, elle le craindrait. Et ça, il ne le voulait surtout pas… Ce fut Stella qui agit. Elle glissa ses bras autour de sa taille et posa doucement, toujours avec une certaine crainte dans ses gestes, sa tête sur son torse ferme. Don n’osa pas esquisser le moindre geste. Il tenta tout de même de lui caresser tendrement les cheveux, lentement, sans la brusquer. Elle se raidit brièvement puis accepta ce geste tendre. Flack n’était pas comme eux… Au bout d’une dizaine de minutes, Lindsay Monroe et un médecin, le docteur Milla Blacks, entrèrent dans la chambre. Don fut surpris de sentir Stella resserrer son étreinte à l’approche des deux jeunes femmes. Des femmes auraient aussi… Lindsay (souriant et parlant avec une grande gentillesse) : Bonjour, Stella. Je suis si contente de vous revoir. Nous étions si inquiets… La jeune experte essayait de rester le plus calme possible mais elle n’avait qu’une seule envie : pleurer. Stella avait l’air si…vulnérable, presque faible alors que c’était quelqu’un de très fort…Et quand elle avait aperçu Flack, du sang partout sur lui, ses yeux bleus si tristes et encore humides de larmes, Lindsay avait senti son cœur se serrer. Elle ignorait si elle était la seule à s’en être aperçue mais elle savait que le jeune détective était amoureux de Stella et que la disparition de cette dernière l’avait fortement éprouvé. Chaque jour, il venait aux nouvelles, avec l’espoir qu’ils avaient de nouveaux éléments. Chaque jour, il se rendait dans la ruelle où Stella avait disparu. Lindsay avait eu l’idée de lui confier la plaque de sa collègue et avait vu une petite étincelle dans ses yeux bleus devenus ternes à cette époque. Et aujourd’hui, alors qu’il l’avait enfin retrouvée, Stella semblait très fragile psychologiquement. Mac lui avait raconté les scènes de leurs retrouvailles et cela avait alarmé Lindsay. Pauvre Stella ! Et pauvre Flack… Lindsay (interrompant ses pensées, présentant la femme à ses côtés) : Voici le docteur Milla Blacks. Elle est là pour vous examiner et vous soigner…Enfin, vous connaissez la procédure. Stella opina silencieusement de la tête mais restait fermement accrochée à Flack, et la force de son étreinte s’accentua quand elle vit Milla mettre ses gants de latex et préparer le kit de viol et d’autres instruments médicaux. Lindsay, quant à elle, préparait son appareil photo et sentit immédiatement qu’il y avait un malaise. La jeune experte regarda Flack, lui faisant une demande silencieuse de ses yeux marron. Don caressa doucement les cheveux bouclés de la scientifique pour la rassurer et finit par s’écarter d’elle lentement, afin de quitter la chambre. Mais Stella le retint, agrippant sa manche, ses yeux émeraude apeurés le suppliant de rester. Stella : Don…Ne me laissez pas seule… Don : Stella…Elles ne vous veulent aucun mal. Vous connaissez Lindsay, non ? Elles doivent savoir ce qui vous est arrivé… Stella (s’accrochant à lui, les larmes perlant sur ses joues) : S’il vous plaît, Don…Je… (dans un souffle) Je n’ai confiance qu’en vous… Flack sentit son cœur se gonfler de joie mais aussi se briser en même temps. Stella lui confiait toute sa vie, toute sa confiance et lui se sentait indigne de recevoir tout ça de sa part… Don céda tout de même et fit un regard interrogateur aux deux femmes, ne sachant que faire. Milla (avec un sourire compréhensif) : Vous pouvez rester…Mais elle doit se changer et vous, vous nettoyer. Don : Bien sûr. Milla installa un paravent pour que le détective puisse se changer, lui préparant une petite cuvette d’eau et un uniforme d’hôpital. Flack s’y dirigeait quand Lindsay l’arrêta. Lindsay : Attendez, Flack. Je dois d’abord prendre quelques clichés de… Don (comprenant) : De moi. Lindsay : Oui. C’est rapport aux… Don : Je vois. Allez-y… La jeune experte s’exécuta rapidement puis prit ensuite les vêtements du jeune homme pendant qu’il se changeait tandis que le docteur Blacks retirait la veste du détective du corps de Stella pour la remplacer par une blouse d’hôpital. La scientifique était secouée de frissons lors de cette manœuvre, pourtant anodine dans le milieu médical, et ne cessait de fixer le coin où se trouvait Flack. Elle n’avait confiance qu’en lui. En lui seul… | |
| | | perlnoir Looping accessoirement Admin.
Perso(s) Préféré(s) : Danny. Mac. et Jo Nombre de messages : 37318 Age : 48 Date d'inscription : 20/09/2007 Réputation : 0 Points : 53925
| | | | laurence0311 Gary, un point c'est tout !!!!!
Perso(s) Préféré(s) : MAC Nombre de messages : 1443 Age : 53 Date d'inscription : 21/09/2007 Réputation : 0 Points : 19154
| Sujet: Re: La Maison Close [ship--Stellack/léger DL] Ven 7 Mar - 6:52 | |
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| | | Flo Serial Series
Nombre de messages : 2230 Age : 34 Date d'inscription : 21/09/2007 Réputation : 0 Points : 19152
| Sujet: Re: La Maison Close [ship--Stellack/léger DL] Ven 7 Mar - 18:00 | |
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| | | LoLo
Perso(s) Préféré(s) : Adam & Don ♥ Nombre de messages : 127 Age : 32 Date d'inscription : 20/02/2008 Réputation : 0 Points : 18360
| Sujet: LolO Ven 7 Mar - 20:23 | |
| MAGNFIQUE !
LA SUITEEE !!!!!! | |
| | | lagentillefan "Mordue de Deeks"
Perso(s) Préféré(s) : Don Flack Jr (miam!) et Adam Ross Nombre de messages : 4161 Age : 42 Date d'inscription : 20/09/2007 Réputation : 0 Points : 20952
| Sujet: Re: La Maison Close [ship--Stellack/léger DL] Sam 8 Mar - 0:57 | |
| Merci à vous toutes!!!! Et voilà la suite!!! _____________________________________________ 7- Des conclusions difficiles à entendre Lindsay et Flack attendaient le docteur Blacks pour connaître les résultats des divers examens effectués sur Stella. Cela avait été une nouvelle épreuve pour la scientifique. En particulier lors des prises de photo de son corps par Lindsay et les examens gynécologiques du docteur Blacks, mais Don n’était jamais loin. Il était resté constamment à ses côtés, s’écartant d’elle ou fermant les yeux lors d’analyses trop intimes. Il fallait dire qu’il n’avait pas vraiment le choix car Stella avait soudé sa main dans la sienne, seul point rassurant dans ce milieu froid et stérile. Flack avait réussi à trouver un vague stratagème pour pouvoir s’éloigner de la jeune femme afin de connaître les conclusions du médecin sur son état physiologique : il lui avait laissé sa plaque. Ainsi, la scientifique savait qu’il reviendrait la chercher, qu’il était toujours là, proche d’elle. Le jeune détective lui avait aussi promis une dizaine de fois qu’il la rejoindrait très vite. Stella avait manifestement constamment besoin de lui maintenant, de le sentir à ses côtés…Elle se sentait en sécurité avec lui… Milla arriva, plusieurs feuilles à la main, et invita les deux policiers à entrer dans une petite salle d’examen, actuellement inoccupée, pour plus de discrétion. Lindsay (avec appréhension) : Alors ? Milla (prenant une profonde inspiration, dégageant une mèche brune de ses yeux) : Je ne sais vraiment pas par quoi commencer…Je n’ai jamais vu ça sur une seule femme… Don (contenant son inquiétude en serrant les poings, essayant de garder une voix posée) : Vu quoi ? Milla (soupirant) : Déjà, les radios ont révélé plusieurs côtes fêlées, ressoudées aujourd’hui, et les os des poignets sont abîmés… Don (gardant son calme, respirant lentement) : Les menottes… Milla (levant les yeux vers lui avant de revenir à la lecture des résultats des examens) : Sans aucun doute…Le corps de Miss Bonasera présente de nombreux hématomes, dû à des coups plus ou moins violents…Des coups à mains nus et avec des objets. J’ai aussi trouvé des anciennes estafilades assez longues. Certainement un fouet ou une corde. Et il y avait aussi des écorchures, la plupart provoquées par un… (hésitant) humain… Don (très bas, sombrement) : C’est indigne d’un être humain… Milla (continuant) : …et des coupures, faites par des lames bien aiguisées… Don (sentant que le médecin n’avait pas encore tout dit) : Et ? Milla (hésitant, sentant bien la colère qui bouillonnait chez Flack) : Votre collègue a été…violée…Régulièrement et avec violence. Lindsay (le souffle coupé pendant quelques instants puis se reprenant, essayant de rester professionnelle) : Du sperme ? Milla (secouant la tête) : Non. Pas la moindre trace. Je pense qu’ils ont… Don (les yeux agrandis d’effroi) : Ils ? Milla (grimaçant) : Oui…Un seul homme ne pouvait faire autant de dégâts, détective…Et vu sa réaction quand elle nous a vus, il devait certainement y avoir eu des femmes… La respiration de Flack s’accéléra alors que son cœur semblait vouloir s’arrêter. Le jeune détective était horrifié puis devint peu à peu furieux. Contre eux, contre ce monde… Contre lui… Lindsay (reprenant là où elle s’était arrêtée avec Milla) : Vous disiez avoir une théorie sur l’absence de sperme… Milla : Oui. Les violeurs ont dû se protéger…Elle n’est d’ailleurs pas enceinte. Don (sombrement) : Le pourra-t’elle ? Milla : Pardon ? Don (sentant sa voix trembler) : Pourra-t’elle avoir des enfants ? Flack savait que Stella voulait avoir des enfants. Elle n’avait pas eu de famille et voulait s’en créer une. Mais pour le moment, elle n’avait pas trouvé la personne qui partagerait cet idéal…Enfin, le croyait-elle… Le détective sentit une larme couler le long de sa joue à cette pensée. Une larme de tristesse et de rage…Il les trouverait ! Et il les tue…Non, il les arrêterait. Il avait promis à Stella de ne tuer personne pour elle… Milla : Physiologiquement, oui. Et c’est un vrai miracle après tous les sévices brutaux et répétitifs qu’elle a subi. Mais psychologiquement… Don (murmurant) : Elle ne voudra sans doute plus qu’un homme la touche… Lindsay sentit les larmes couler quand elle entendit le désespoir dans la voix de Flack. Il était si amoureux de Stella et il venait d’apprendre qu’il ne pourrait sans doute que lui faire du mal s’il tentait une approche. Et l’experte pouvait voir qu’il se sentait coupable, qu’il se sentait responsable de tout ça… Lindsay (s’apprêtant à poser sa main sur le bras de Don, d’une voix compatissante) : Flack… Soudain, le jeune détective frappa violemment le mur de son poing, faisant sursauter les deux femmes. Don (avec rage) : Merde ! Puis Flack recommença cinq ou six fois, se meurtrissant peu à peu les phalanges. Don (sa voix passant de la fureur à la souffrance) : Merde ! Merde ! Merde… Don finit par s’agenouiller, la tête et les poings posés sur le mur, sanglotant avec force, criant son désespoir et sa rage, prononçant le nom de Stella avec détresse. Stella (entrant dans la petite pièce, tenant fermement la plaque de Flack contre elle) : Don…Arrêtez… Lindsay et Milla se tournèrent vers la scientifique, surprises de la voir ici, et l’observèrent. Stella s’avança lentement vers le jeune homme en larmes et sembla hésiter quelques instants en voyant le grand corps prostré et secoué de sanglots. Pourquoi Flack se rendait-il responsable à ce point ? Il n’avait rien fait de mal… Respirant à fond, Stella s’accroupit alors à ses côtés et l’enserra doucement de ses bras, caressant gentiment ses cheveux noirs pour le calmer. Stella : Don…Ce n’est pas votre faute…S’il vous plaît, ne pleurez plus…Vous n’êtes pas responsable… Don (levant enfin ses yeux bleus vers elle, le visage ravagé par la tristesse) : Stel…Stella… Milla les regarda, étonnée. Les rôles s’étaient inversés : la victime tentait de supporter, d’aider son Sauveur, de l’empêcher de s’enfoncer dans une profonde dépression. Peut-être y avait-il un espoir… Stella essayait de garder un calme olympien en sentant ce corps masculin contre le sien. Elle les craignait tant aujourd’hui…Mais Flack avait besoin d’elle comme elle avait besoin de lui. Courageusement, elle finit par l’amener contre elle et se mit à le consoler comme un enfant. La scientifique n’aimait pas voir Don ainsi. Ça ne lui ressemblait pas… Stella (embrassant son front avec crainte et hésitation) : Don…Je vous en prie…J’ai tellement besoin de vous aujourd’hui… La scientifique tressaillit de frayeur quand elle sentit les bras musclés de Flack l’entourer puis se détendit peu à peu. Il n’était pas comme les autres. Il n’était pas du tout comme les autres…Car lui, elle l’aimait… Lindsay les observait avec tristesse, ne sachant que faire quand son portable vibra dans sa poche. Lindsay (s’éloignant et répondant) : Monroe. Oui, j’ai les résultats et…D’accord, j’arrive, Mac. Mais je ne suis pas sure que Flack… Ok, il viendra. Raccrochant, la jeune experte soupira. Elle craignait le pire. Mac avait fait de nouvelles découvertes et semblait bouleversé au bout du fil, ce qui était assez inquiétant. Et ce qui angoissait un peu plus Lindsay c’est la réaction de Flack face à ces derniers éléments… | |
| | | laurence0311 Gary, un point c'est tout !!!!!
Perso(s) Préféré(s) : MAC Nombre de messages : 1443 Age : 53 Date d'inscription : 21/09/2007 Réputation : 0 Points : 19154
| | | | Flo Serial Series
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| Sujet: Re: La Maison Close [ship--Stellack/léger DL] Sam 8 Mar - 12:38 | |
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| | | lagentillefan "Mordue de Deeks"
Perso(s) Préféré(s) : Don Flack Jr (miam!) et Adam Ross Nombre de messages : 4161 Age : 42 Date d'inscription : 20/09/2007 Réputation : 0 Points : 20952
| Sujet: Re: La Maison Close [ship--Stellack/léger DL] Dim 9 Mar - 3:35 | |
| Merci les filles pour vos coms!!! et zouplà,la suite!! _____________________________________________________ 8- Une vérité atroce mais bien réelle Lindsay avait préféré attendre que Flack se calme avant de le mener au central. La jeune experte était vraiment inquiète pour lui et le comprenait, dans un sens. Si un tel malheur arrivait à un certain jeune expert insolent de sa connaissance, elle serait sans aucun doute dans le même état... Pendant que Lindsay faisait son rapport à son supérieur, Flack avait installé Stella dans son bureau, espérant qu’elle se sentirait rassurée dans ce lieu familier. Il avait fait des pieds et des mains pour que personne ne touche à son bureau, se brouillant avec Mac pendant quelques jours. Pour le détective, donner le bureau de Stella à un autre ou le vider avait signifié la perte de l’espoir de la retrouver un jour et il s’y était fermement refusé. C’était ce minuscule espoir qui lui permettait de tenir, de venir au boulot tous les jours, de vivre… Stella n’avait pas lâché la main de Flack durant tout le trajet jusqu’au commissariat et la tenait encore fermement. C’était son réconfort, la seule personne en qui elle avait confiance et qu’elle ne craignait pas…enfin, pas trop…Et la scientifique pouvait sentir que le jeune détective tenait à ce simple contact, comme s’il voulait s’assurer qu’elle était bien là et vivante… Un peu plus tard, Flack finit par laisser à contrecœur Stella aux bons soins de Lindsay pour pouvoir rejoindre Mac. Mais il dut une nouvelle fois lui laisser sa plaque que Stella conserva comme un talisman de protection. Elle craignait moins sa jeune collègue et réussissait à soutenir des bribes de conversations mais la peur était toujours là, au fond d’elle-même, tenaillant ses entrailles. Don lui serra une nouvelle fois la main pour la réconforter et finit par partir. Il atteignit rapidement le bureau de Mac et attaqua direct. Don (le saluant de la tête) : Mac. Qu’avez-vous découvert ? Mac : Des vidéos. La gérante de cette maison close en avait des centaines, voire plus. (énigmatique) Stella était surnommée Emeraude, c’est bien ça ? Don (fronçant les sourcils, intrigué) : Oui… Mac (montrant une cassette) : Bon. En voici une à son nom… Flack put lire sur la tranche « Emeraude- 12/04/06 » et regarda Mac. Il n’aima pas du tout son regard. Mac avait peur ! Peur de découvrir ce que contenait cette vidéo… L’expert finit par insérer la cassette dans son magnétoscope et pressa le bouton ‘lecture’. Dès que les premières images apparurent sur l’écran, Flack sentit son estomac se contracter avec violence : Stella était là, nue et attachée, les yeux bandés, et elle se débattait de toutes ses forces, repoussant comme elle pouvait un homme nu qui était penché au-dessus d’elle. Le détective pouvait voir qu’elle le suppliait de ne pas la toucher, qu’elle criait de rage et de tristesse mais malgré tout, l’homme arriva à ses fins…violemment. Cela dura une vingtaine de minutes qui semblèrent une éternité pour Don. Comment pouvait-on faire ça ? Comment un être humain pouvait faire ça ? Les deux policiers virent ensuite l’homme se rhabiller, alors que la scientifique semblait pleurer toutes les larmes de son corps et souffrir à un point qu’il était difficile d’imaginer, et cela brisa le cœur malheureux de Flack. Puis l’homme, que le détective se mit à haïr avec force, se tourna face à la caméra, dévoilant ainsi son visage. Alors que Mac se figea de stupeur, Flack ne tint plus et se mit à vomir dans la corbeille à papier de l’expert. C’était encore plus atroce qu’il ne pensait… Mac (les yeux écarquillés, ayant mis ‘pause’, reconnaissant l’homme sur la vidéo) : C’est… C’est le juge Mark Alpens… Don (sentant la bile remonter une nouvelle fois, mais essayant de se reprendre, la voix pleine de colère) : C…Comment a-t’il osé faire ça ? Ce n’est pas parce qu’il est juge qu’il est au-dessus des lois ! Mac (essayant de le calmer) : Flack… Don (furieux) : Il faut l’arrêter, Mac. Il faut tous les arrêter… Mac : Et c’est ce qu’on va faire…On va en trouver beaucoup grâce aux vidéos mais… Don (déglutissant, les poings serrés et tremblant) : Combien y en a-t’il ? Mac (fronçant les sourcils) : De quoi ? Don : De vidéos…Combien y en a-t’il qui concerne Stella ? Mac (refusant de la tête) : Flack… Don (s’avançant vers l’expert, menaçant) : Combien ?! Mac (le fixant, les dents serrées) : 61…Une pour chaque jour de sa disparition…Et ce sont des cassettes de 5 heures… Et le jeune détective retourna voir la corbeille, avec tristesse et douleur, n’ayant plus rien à rejeter…Comment Stella pouvait-elle lui pardonner ? Elle avait vécu pire que l’enfer durant ces deux mois… Mac (le rejoignant, l’aidant à se redresser et mettant une main ferme sur son épaule) : Ecoutez, Flack. Nous allons devoir les visionner une à une mais ça risque d’être long. Stella passe en priorité… (voyant que le jeune homme s’apprêtait à parler) Et non, vous ne nous aiderez pas. Je ne vous laisserai pas voir une seule minute de plus de ces vidéos, Flack. Vous êtes beaucoup trop affecté pour le moment. Ramenez Stella chez elle et veillez sur elle. C’est le mieux que vous puissiez faire…Pour elle et pour vous…Demain, vous serez peut-être plus à même de nous aider, tout comme Stella. Donc, partez et essayez de vous reposer… Don (avec un pauvre sourire) : Comme si j’allais y arriver… Puis le détective quitta le bureau de Mac, encore plus abattu, et se dirigea vers le bureau de Stella. Se reposer ! Cela faisait deux mois qu’il avait du mal à dormir…Et ces dernières découvertes sordides n’allaient pas l’aider à retrouver le sommeil… Mac vit Flack entrer dans le bureau de Stella et en ressortir quelques instants après avec elle, sa main dans la sienne, tous deux se dirigeant vers la sortie. Lindsay sortit peu après et rejoignit son supérieur, une expression indéchiffrable sur le visage. Lindsay : Alors ? Mac : C’est encore pire que ce que je pensais. Et Stella ? Lindsay : Ça va un peu mieux. Mais je ne m’inquiète pas avec Flack à ses côtés. Il va bien s’occuper d’elle… Mac (avec un tout petit sourire) : Je sais… Lindsay haussa les sourcils, étonnée. Savait-il pour les sentiments de Flack ? C’était possible, après tout…Vu le comportement du jeune détective de ces derniers temps…Et puis, Mac savait toujours tout… Lindsay : Et elle, de lui… Mac (fronçant les sourcils) : Comment ça ? Lindsay : C’est Stella qui soutient Flack…Il se sent vraiment coupable et a cherché à la venger mais Stella l’a retenu…Elle fait tout pour qu’il reste…lui-même… Mac (tristement) : Il ne l’est plus depuis un moment… Lindsay : Il y a encore de l’espoir, Mac. Tous les deux se soutiennent mutuellement et je sais que c’est ça qui va les aider à s’en sortir. Mac : J’espère que vous avez raison…J’ai vraiment peur pour eux… Lindsay : Moi aussi. Mais nous sommes là aussi. Nous pouvons les aider… Mac : Et nous y arriverons… (soupirant) Je vais avoir besoin d’aide pour visionner ces vidéos et faire une liste de tous les suspects identifiables. Appelez Hawkes. Lindsay (intriguée) : Et Danny ? Mac : Il travaille actuellement…Et je pense lui confier un autre travail… Lindsay acquiesça et sortit du bureau pour prendre quelques vidéos, tout en appelant Sheldon de son portable. Mac soupira une nouvelle fois. Danny inspectait la maison close pour le moment. Mais après, il allait devoir aider Flack. Le jeune détective était sujet aux erreurs après tous les derniers évènements. Son meilleur ami pourra l’aider à traverser ces épreuves… | |
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