Sauvetage [euh... je dirais petite enquête et un peu de smac :) ]

Alors quicou! C'est une drôle d'hitoire sur le comment j'ai écrit cette fic. D'abord je l'ai commencé la semaine passé, après m'être réveillé en sursaut d'un cauchemar atroce... et oui, ce n'est pas toujours drôle de rêver à des flics, d'ailleurs, mon mauvais rêve, c'était Mac qui se faisait tuer, alors vous comprenez que j'ai sursauté et pas juste un peu. En me réveillant, je me suis précipité à mon bureau et j'ai sortit rapidement des feuilles de papiers. J'ai écrit, à 3 heures du matin un début de fanfic triste. Moi et la tristesse, je suis doué avec ça!

Disclaimer: Les personnages ne sont pas à moi!!! Et tout le tralala habituelle!!

Résumé: Je peut pas en faire une! Pas que je veux faire ma cruelle, quoi que.... meuuuuh non! Vous n'alliez pas croire ça tout de même?!? Hein!?! Non! Si j'en fait une je vais briser mon intro mdr, désolé!

Détail: Le temps de verbe est au présent, il ne devrais pas y avoir de problémes! (pour Jersey_07 mdr)

Alors voilà Sauvetage!

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Sauvetage [euh... je dirais petite enquête et un peu de smac :) ] Smac_s10

Sauvetage

Je marche dans un couloir sombre, seul. On m'a dit d'être prudent parce qu'il y a danger qui cours dans cet édifice abandonné et lugubre, alors j'ai mit ma veste pare-balles et je marche, revolver en mains. Mais je m'en balance du risque... tout ce que je désir, c'est qu'elle soit en vie, et pas blessée... c'est mon seul voeu jusqu'à présent. Je n'aurais jamais cru qu'ils s'en prendraient à elle, ça m'a mit hors de moi... et d'ailleurs je ne les comprend pas: kidnapper une femme si gentille, une femme qui a trouvé une famille en venant travailler en ma compagnie alors qu'elle n'en avait pas, une femme avec un caractère et une détermination hors du commun, une femme que j'apprécie et que j'aime... c'est impensable de kidnapper une si belle femme... je n'ai même pas eu le temps de lui demander sa main! C'est terrible! J'en ai le coeur tout à l'envers...

Je m'apprête à entrer dans un autre couloir... perpendiculaire au mien. J'ai peur, peur de ce que je vais trouver dans ce couloir... parce que j'ai le présentiment que je vais y trouver quelque chose que je n'aimerai certainement pas. Je suis adossé au mur, tout près de ce dit couloir. Il me faudrait juste faire un pas pour être devant. Mais mon pied est prisonier dans un piège qui ne se vois pas, invisible. Mon coeur fait la danse rapide dans ma poitrine, tandis que la chaleur qui augmente en moi devient insupportable.. Ma plaque avec les numéros "8433" gravés dessus est mouillée des gouttes de sueur qui perlent de mon front et de mon visage attaqué par la peur et l'inquiétude qui me ronge l'intérieur...

Il faut que je trouve le courage de faire le pas... si je n'arrive pas à le faire, je ne saurai jamais pourquoi j'ai si peur en ce moment... J'ai la peur au ventre, j'ai envie de revoyer mon déjeuné dans la poubelle de l'autre côté du couloir. Je respire si rapidement et si fort que je me rafraîchi à mon halène...

Mon pied s'est dégagé. J'ai pus faire le pas que je voulais faire depuis un bon dix minutes déjà, mais je l'ai vite regretté. Mes sourcils haussés, mes yeux écarquillés, je regarde la scène avec horreur. Je ne me suis pas rendu compte que j'ai échappé mon revolver par terre, ni que je m'était précipité avec panique vers le fond du couloir, partiellement éclairé. Un corps gise sur le sol, et j'espére que ce ne soit pas elle. Je m'approche. Je sens quelque chose me couler des yeux et glisser tranquillement sur mes joues blanchis, froides, et qui tombe par terre. Je tombe à genou et je me rend compte que je pleure, les gouttes atteigne son visage doux et délicat, mais sans vie... je la prend dans mes bras, toujours à genou. Je caresse ses boucles brunes, je colle mon visage au siens, je ferme les yeux, en la balancant légèrement d'avant à l'arrière, comme pour endormir un enfant qui a peur. Maintenant je ne bouge plus. Je ne fait que la regarder, en me disant que ce n'était qu'un rêve, que je me réveillerais le matin, et que je retournerais au travail en la voyant passer dans le couloir avec son sourir enchanteur. Ca ne peut pas arriver, pas encore. Je ne veux pas perdre une troisième femme. D'abord Claire, puis Aiden, et maintenant elle? Je ne veux pas y croire. Je l'embrasse, je fait tout pour essayer de la réveiller, même si le poignard qui est planté dans sa poitrine a eu raison de sa vie, même si cette marque de coupure dans le coup lui a vidé tout son sang....

"Stella..."

quoi ?????? tu me tues Stella ?
ahhhhh !! mon diieu !!!

Oh monnn Dieu !!
Tu vas pas nous la faire mourir quand même ?
Vite la suite!

oooooooooooola ! j'espère avoir mal compris !
vivement la suite ! Razz

Oh

C'est super triste.
Tu n'as pas le droit de nous la tuer!
Rends la nous vivante respect

Pauvre Mac Crying or Very sad

C'est juste un rêve hein? Dis moi que c'est juste un rêve Rolling Eyes

Eh ben! tu commences fort toi!! lol J'espère vraiment qu'elle ne va pas mourir car ça serait trop triste.... Sad

Le début est excellent mais.... dis moi qu'elle est pas réellement morte stp pinponpin

vivement la suite Very Happy

Malheureusement, je suis cruelle et sans pitié pour Stella dans cette fanfic, et ausis pour Mac guns

Désolé de vous décevoir triste

Voilà la suite

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La lueure du jour enterre tranquillement la noirceur de la nuit sur notre ville de New York. La vie monotone recommence alors son cotidien: on se lève, on part pour travailler tôt le matin et l'on reviens pour se coucher tard le soir pour recommencer le même cercle vicieux jour après jour. Mon cotidien n'est plus le même depuis que j'ai découvert le corps inerte et sans vie de Stella...

Je n'ai pas dormis depuis deux semaines. Je ne veux plus parler à personne et même si Danny vien me voir chez moi ou au travail pour me raconter des blagues, je ne lui sourit pas. Sinclair m'a ordonné des journées de congés forcées, prétendant que vu mon état, je ne suis pas apte à travailler.

Flack m'a donné l'adresse d'un psy. Je ne crois pas en avoir besoin, mais lui prétend le contraire, m'ayant dit que je pourrai aller "vider mon sac" et que ça me soulagerais ne serais-ce qu'un peu. C'est gentil de sa part. Pour être poli, j'ai décidé aujourd'hui d'aller y faire un tour. C'est d'ailleurs là que je suis en ce moment.

Assis sur l'horrible canapé brun, j'attend le psy, que la secrétaire avait nommé "Cantin". Il est entré quelques minutes après mon arrivé dans la salle. Il n'a aucunenement l'air d'un "Cantin". Il a plus l'air d'un "Robert" avec sa longue barbe et ses longs cheveux, tout deux blanc comme neige. Bref, je n'aurais jamais cru dire ça un jour mais "tel canapé, tel psy..."

Le psy se présente. Je fait de même en me levant et lui serre la mains en lui disant que je suis enchanté de le rencontrer. Je me rassied sur le canapé et lui, sur son fauteuil en face de moi, tenant son calepin et son crayon. Il me demande en quoi il peut m'aider... je lui explique alors comment j'ai eu son adresse, par Flack.

Moi:"Je n'arrive pas à réaliser... je ne crois pas à ma propre conscience sur les évènements d'il y a deux semaines..."

Psy:"Eh bien votre ami a bien fait de vous suggérer de venir me rendre visite Monsieur Taylor. Si vous m'epliqueriez ce qui c'est passé il y a deux semaines?"

Moi:"C'est que je ne sais pas par où commencer..."

Psy:"Alors commencez par le commencement."

Moi:"Bon. Très bien... alors tout a commencé..."

c'est très bien écrit félicitations mais alors tu m'as brisé le coeur snif

c'est tellement triste ....

triste

Pauvre Mac Crying or Very sad

Qui va le réconforter vu que Stella n'est plus là Crying or Very sad

Hate de lire la suite Wink

Très belle fanfic. C'est pas très sympa d'être aussi cruelle avec Mac XD

J'aime bien ta fic, mais elle est trop triste triste

!
Pauvre Mac !

Désolé que ça ait prit autant de temps, c'est que je bosse sur trois histoire en même temps et du coup, je ne pense pas toujours de poster mes suites >.<

J'espère que vous allez me pardonner!

Ne vous inquietez pas! Je réserve quelque chose de passionnant pour Mac vers la fin guns

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Chapitre premier____ Flash Back

On est le lundi, 17 juillet. Le soleil chaud et radieux illumine doucement les meubles et moi-même dans ma chambre à mon appartement. À l'ordinaire, c'est mon portable qui me réveille quand je n'ai pas de crise d'insomnie et que j'arrive à dormir ne serais-ce que quelques heures parce que je le laisse toujours allumé au cas où je serais appellé pour me rendre sur une scène de crime. Mais cette fois, ni même mon cadran n'a pû avoir la chance de me réveiller à six heures du matin. Je me suis levé parce que ce cher soleil radieux de la matinée a décidé de faire des siennes. Lassé de fermer les yeux et de voir rouge-orange, je me lève. Comme à tous les jours, je me douche, me prépare pour travailler. Après m'être habillé, je me fait un café et je révise quelques papiers, factures et autres documents pour la plupart du laboratoire. Je me prépare finallement quelque chose pour le dîner puis je m'en vais travailler. Souvent, je me rend au bureau de la Criminel en voiture, mais cette journée là, je me suis décidé à y aller à pied... pour faire changement. Je suis arrivé là bas vers... six heures trente. J'ai mit environs quarante-cinq minutes à une heure pour m'y rendre. J'entre dans l'édifice et prend l'ascenceur pour arriver sur l'étage des salles d'analyses et des bureaux de la Criminel. Je croise des scientifiques en chemin et quelques officiers de polices, en les saluant respectueusement avant d'entrer dans mon bureau et m'assoir, pour reviser comme à tous les matins de toutes les journées les enquêtes en cours et les enquêtes terminés pour me rafraîchir la mémoire.

Je lêve ma tête pour regarder dans le couloir et je vois Stella qui entre dans mon bureau. Elle me regarde avec un regard interrogateur, et je me rend compte que je la fixe depuis un bon cinq minutes sans arrêts. Jolie, cette femme. Elle est ravissante ce matin, avec ses talons hauts, son t-shirt violet et sa veste bleu marine assortis à ses pantalons propres. Ses jolies boucles brunes dancent sur ses épaules pendant qu'elle s'approche de mon bureau alors que son sourir m'hypnotise et que son regard émeraude plongé dans mon regard vert me fait frissoner tout à l'intérieur de moi. Jolie, cette femme...

Enfin, elle n'est pas venue pour me raconter ses prouesses sur la manière dont elle a utilisée pour mettre son rouge à lèvres sur ses lèvres si parfaites, mais plutôt pour me parler de l'enquête qu'elle vient de terminée. Une sale affaire avec la mafia New Yorkaise. Trois membres importants ont été arrêtés et seront inculpés de meurtre, de trafique de stupéfiants et de gangstérisme...

Je lui sourit et lui dit que je suis content que l'on soit arrivé à mettre trois ordures de la pire espèce derrière les barreaux. Elle semble satisfaite de ma remarque, parce que son sourir est encore plus grand et enchanteur que tout à l'heure.

Sa journée est terminé, du moin... pour l'instant. Elle peut donc disposer jusqu'à ce qu'elle recoive un nouvel appel pour se rendre sur une autre scène de crime et commencer une nouvelle enquête. Elle sort de mon bureau et disparaît dans l'ascenceur, sûrement pour rentrer chez elle, se préparer de quoi manger et relaxer devant un film à la télé...

Je commence ma matinée avec un scène de crime tout près de l'Empire State Building. Apparament, la victime aurait but un verre de trop et se croyait un oiseau, et il a sauté du haut du toit d'un immeuble à appartement. Arrivé sur les lieux, Flack me donne toutes les informations nécessaires avant le début de l'enquête.

Flack:"Homme de race blanche, trente-deux ans, marié. Je vous présente Mike Campbell. Et non, ce n'est pas le gars de la pub de soupe, mais bien le fils d'un grand capitaine dans la police."

Je lui sourit en écoutant ses remarques.

Moi:"Des témoins?"

Flack:"Le vieu monsieur avec son chien là bas. Il affirme l'avoir vu tomber devant lui à quelques mètres pendant qu'il promenait son sale cabot..."

Je vois bien qu'il semble frustré par quelque chose, le ton de sa voix pouvais très bien en témoigner.

Moi:"Quelque chose ne va pas Flack?"

Flack:"Son sale chien est venu se coller contre moi! C'était mon costume préféré et il viens de m'éttendre du poil partout sur mes pantalons! Et dieu sais que du poil blanc paraît très bien sur un costume noir!"

Je rit un bon moment pendant que Flack me dévisage du regard, ce qui me fait sourir d'avantage. Et le pire, c'est que je sais très bien qu'il a de la difficulté à endurer les chien... ils sont mignions, mais ils resteront mignions que loin de moi. C'est vrai que je suis pas très bien placé pour penser ça... parce que moi aussi je n'endure pas trop la présence de cabots quand je suis bien habillé, mais c'est la vie et je ne peut pas empêcher le monde entier d'avoir un chien comme animal de compagnie.

Moi:"Autres choses?"

Flack:"Non. Apparement qu'il aurait but la tasse dans plusieurs bars de Manhattan... Ont a retracé ses déplacements grâce à sa carte de crédit et à l'odeur de son haleine. Il aurait sauté de cet immeuble là et est tombé là où il repose maintenant. Se sera pas la fièrté de papa quand il va apprendre la nouvelle!"

Moi:"Autrement dit, je risque de filer un mauvais coton...?"

Flack:"Eh... je crois que c'est bien ça ouais... À oui! Danny est sur le toit présentement."

Moi:"Très bien. Merci Flack."

Ses explications sont assez clairs pour que je comprenne que c'est sûr, je file un mauvais coton avec le capitaine Campbell. Mais bon. Je doit tout de même respecter la procédure, alors je suis monté voir Danny qui se trouve sur le toit en train d'inspecter l'endroit pour la moindre indice, si petite soit-elle...

Le toit de l'immeuble est mal entretenu: il y a des craquelures dans l'asphalte ici et là qui peut laisser entrer de l'eau ou de la neige pendant des précipitations dans les appartements juste en dessous. Une de ces craquelures est si grosse que je l'ai contourné pour ne pas me blesser.

Je trouve Danny qui regarde en bas de l'immeuble où le corps gise toujours sur le sol, attendant le légiste qui doit arrivé dans très peu de temps. Il entend mes pas derrière et se retourne, en s'assurant de ne pas mettre le pied dans la craquelure derrière lui.

Danny:"Hey patron! Vous croyez que si je me promènerait dans tout les bars de New York et que j'y boirais un verre à chaques endroits j'arriverais à voler en sautant du haut du toit du laboratoire?? Et si ça marche pas, vous pourriez venir me ramasser avec une cuillère en plastique que vous pouvez chipper de la salle de repos!"

Son humour m'a presque manqué...

Moi:"Très drôle Danny... Alors, qu'est-ce que vous avez trouvé?"

ah ah ah ce Danny toujours aussi drole

j'attends La suite !!!!

avec imatience

Oh la vache, j'avais pas vu ta fanfiction désolée Embarassed

Je viens donc de rattraper mon retard tu m'as briser le coeur avec la mort de Stella snif snif
Et voir Mac obligé de voir un Psy sa me rend toute chose. J'irai bien le consoler moi lol

Vivement la suite

Ta fic est vraiment bien!! J'adore le flash back!!! Very Happy

Merci tout le monde, sincèrement désolé pour le temps d'attente, mais ça valu le coup, parce que je l'ai écrite jusqu'à la fin! Ma première fic finis! Yip yip yip... ourrra! Mdr

@MagicMum: Merci, j'espère que tu ne sera pas déçus de la suite, vue qu'il y a pas beaucoup de Danny Embarassed

@lili38: Ce n'est pas rave, je te pardonne xD je me suis mise dans les fic triste, je l'ai rêvé et du coup, j'ai eu besoin de le mettre sur papier
@ludivine03: Merci ludivine03! calin

c'est plaisant d'avoir ce genre de compliment!

Merci beaucoup pour vos comms, ca m'encourage toujours de continuer! Et du coup, je vous ai écrite la suite jusqu'à la fin!

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Danny:"J'ai comparé les semelles de la victime avec les traces que j'ai trouvé sur la rambarde et ça correspond."

Moi:"Donc c'est bien la victime qui a sauté, et donc c'est bien un suicide..."

Danny:"Attendez, c'est pas tout... ce qui colle pas, c'est qu'il y a deux autres séries de traces qui n'appartiennent pas à la victime. J'en déduis, que notre cher amis en bas s'est fait aidé un peu pour jouer à l'homme volant..."

Moi:"Donc c'est bien un meurtre."

Danny:"En gros, c'est ça ouais."

Moi:"Avez-vous pus établir quelque chose concernant ces traces?"

Danny:"Pas pour le moment, mais ça va venir, je vais vous trouver la pointure exacte et je vais faire un moule. Avec un peu de chance, nos candidats auront été assez bête pour garder leurs chaussures et ne pas les mettre à la poubelle..."

Je vois Danny regarder le sol, et ramasser un petit objet avec ses pinces, avant de le regarder à la lumière de la matinée tout en le tournant dans tout les sens.

Danny:"Je connais ça... c'est un morceaux de cigare. Les mêmes que ceux que la mafia fabrique."

Moi:"La mafia?"

X____Flashback___X

Mac regardait Stella qui ce trouvait devant lui dans son bureau.

Stella:"Je viens de boucler une sale affaire avec la mafia New Yorkaise!"

Mac:"C'est super!"

Stella:"Oui! Ont a réussi à arrêter trois membres importants du groupe! Il vont être inculpés de meurtre, de trafic de stupéfiants et de gangstérisme! On les as eu ceux-là. Il ne verrons pas la lumière du jour très très longtemps."

Mac:"Je suis content, comme ça on retire trois ordures de la pire espèce des rues de New York!"

X___Fin du flashback___X

Je regarde Danny droit dans les yeux.

Danny:"À quoi vous pensez patron?"

Moi:"Stella m'a parlé d'une affaire avec la mafia ce matin... je crois qu'on essaie de nous faire passer un message avec cet homme. Reste à le trouver..."

Danny:"C'est peut être sur le corps même?"

Moi:"Je ne sais pas... mais ça me dit rien qui vaille Danny... quelque chose va mal tourner avec ce gang, je le sens."

Danny:"Ah? Ah ben moi je sens rien du tout."

Je remercie Danny pour les informations, brèves ont-elles été, et je redescend prudament sur la terre ferme, où je retrouve le médecin légiste que j'attend depuis mon arrivée, pour faire le point sur l'état de la victime et sur sa chute.

Légiste:"À part son taux d'alcoolinie très élevé, la victime semblait en parfaite santé. Il n'a aucunes blessures défensive, et ses ongles sont intactes. Il est tombé la tête première et a percuté le sol à la vitesse d'une voiture sur l'autoroute. Il s'est littéralement brisé la nuque en deux, et a subit un traumatisme crânien important. Même s'il ne s'aurait pas brisé la nuque, il n'aurait pas suvécus... il aurait subit une hémorragie cérébrale importante."

Moi:"Tête première? Donc Danny avait bien raison... il n'a pas sauté par lui même..."

Légiste:"Normalement quand une personne se suicide en sautant, il tombe à l'horizontale, puisque qu'au lieu de vraiment sauter, il se laisse aller dans le vide. Donc il n'aurait pû tomber tête première, mais tout le corps aurait frappé le sol en même temps, ce qui aurait causé des lésions internes importants et de nombreuses fractures. Ici, le corps semble intacte, et c'est la tête qui a littéralement amortie sa chute."

Moi:"Et puis un suicidaire laisse toujours quelque chose derrière lui, comme souvenir ou pour signer leurs adieux au monde des vivants... ce qui n'est pas le cas ici. Il n'a rien laissé derrière, à moin que quelqu'un l'ait volé. Mais ce qui est étrange, c'est comment il est parvenus à monter là haut, puisque l'accès au toit est toujours verrouillé, et pourquoi aurait-il sauté saoul s'il était suicidaire? Et surtout, qui sont les heureux invités qui l'accompagnaient?"

?:"Vous saurez jamais ce que j'ai appris par quelques occupants de cet immeuble à appartements!"

Je reconnais bien la voix de Don qui me parle, dans mon dos d'ailleurs. Je me retourne et je l'apperçois, le sourir aux lèvres, satisfait de la découverte qu'il a fait en interrogeant quelques habitants de l'édifice d'où la victime a sauté, ou plutôt, où la possibilité que deux membres de la mafia New Yorkaise aient poussé la victime.

Moi:"Ah oui? Quoi donc? Ne gardez pas ça pour vous et partagez-moi votre découverte."

Flack:"Imaginez-vous que notre cher victime est le propriétaire de l'édifice à appartements où il a sauté!"

Moi:"Alors sa expliquerais comment il a accédé au toit de l'immeuble..."

Flack:"Ouais mais c'est pas tout."

Moi:"Quoi d'autre?"

Flack:"Il semblerais que notre cher amis au nom de soupe avait des liens étroit avec la mafia. C'est un des locataires très proche de Campbell qui me l'a dit... j'ai poussé mes recherches plus loin, et tenez vous bien: il a reçus plusieurs plaintes de plusieurs locataires de l'immeuble pour vente de stupéfiants. Des gars de l'assurance de l'édifice l'a même menacé de changer de proprio s'il continuait à en vendre."

Moi:"Ca tombe bien, parce que tout porte à croire que ce n'était pas un suicide, mais bien un meurtre, et pour le moment, le meurtre aurait un lien avec la mafia New Yorkaise."

Flack:"Alors le dealer aurait joué un peu trop avec ses nerfs?"

Moi:"Je ne sais pas, mais on va avoir des problèmes avec ce gang."

Flack:"Qu'est-ce qui vous fait dire ça?"

Moi:"Je ne sais pas, un presentiment..."

J'avertit les personnes qui s'occupe de transporter le corps à la morgue qu'il peuvent y aller, puis je regarde les alentours pour trouver le même bout de cigare que Danny avait trouvé sur le toit un peu plus tôt. Un peut être une coincidence, mais deux forcément une piste.

Moi:"Nos deux suspects aiment le goût du luxe on dirait... ce sont des cigares de première qualité. La mafia ne vend pas de la camelotte..."

Je finis par réaliser que je me suis parlé tout seul...

Flack:"Vous avez dit quelque chose?"

Et... oui, Don a été dans la lune ou sinon il a fixé quelque chose pendant un moment et du coup, il a fait son sourd.

Moi:"Non, je me parlait à moi-même."

Je dépose délicatement le morceau de cigare dans un sac inscrit clairement le mot "Evidences" dessus, et je le referme et le range dans ma malette. Je reçoit alors un appel de la part de Sid, me disant de venir voir un détail que le légiste qui est venus sur place ne m'a pas montré. Je quitte donc la scène de crime en laissant Danny et Flack sur le coup, et je part en direction du laboratoire de la Criminel pour cette information que l'on ne m'a pas dites. Arrivé, je suis monté à l'étage pour prendre l'escalier à côté de l'ascenceur et je suis descendu à la morgue, où je retrouve Sid, qui ne semblais pas dans son assiette. Il est blanc comme un drap ma foi...

Moi:"Bonjour, je n'ai pas été trop long j'espère... Sid? Vous allez bien? Vous êtes pâle..."

Sid:"Vous devriez voir ce que j'ai vus, et vous allez sortir d'ici aussi pâle que moi Mac..."

Moi:"De quoi vous parlez?"

Je commence à le questionner du regard. Je ne comprend pas. Ce qu'il a vus? C'est le corps? C'est quelque chose à l'intérieur? Finallement, sans dire quoi que ce soit d'autre, Sid s'est approché de la victime et a relevé le drap qui le couvrait pour me montrer ce qui l'a rendu si pâle. Je me suis approché et j'ai vu quelque chose que je regrette d'ailleurs, d'avoir posé mon regard dessus. Je comprend maintenant pourquoi Sid a tant pâli...

Sid:"Ce message sur son torse vous a été désigné je crois Mac..."

Je lis attentivement le message, encore et encore et encore, pour m'assurer de l'avoir bien lus... je me pince, pour m'assurer d'être bien réveillé. Pourtant, j'aurais souhaité de tout mon coeur que ce ne soit qu'un cauchemar, mais ce cauchemar est bien réel, et il se passe là...

Moi:"Nous détenons la femme, venez seul dans l'édifice abandonné, nous libérerons la femme en échange de votre coopération... c'est quoi ces conneries?"

Je dit ça... mais je me suis souvenus de Stella qui est retourné chez elle, et je me suis souvenus que c'est elle qui a bouclé l'affaire avec la mafia, et non pas que ça me trouble, mais j'ai peur. J'ai prévus d'aller la voir en soirée pour lui dire que je l'aime, que je veux vivre éternellement avec elle et que je veux la marier... tout ça me revient dans la tête tel un boulet de canon. Je commence à avoir peur, mon coeur bat la chamade et je commence à l'intérieur de moi à paniquer. Je remercie Sid, qui me dévisage jusqu'à ma sortit de la morgue. Je prend mon téléphone et je compose le numéros de téléphone de l'appartement de Stella: aucunes réponses. Puis je compose son portable: pas de réseau. Je sort en catastrohe du labo pour prendre ma voiture et, gyrophare allumé, je me rend le pied au plancher à l'appartement de ma collègue. Après cinq longues minutes de routes interminables, j'arrive enfin à l'édifice à appartements. Je monte l'escalier par quatre marches à la fois et je me rend rapidement jusqu'à chez elle, où je découvre une porte forcé, dont la poigné a été sauvagement défoncé. J'entre doucement sans trop faire de bruit, la main sur la cross de mon arme, près à répliquer aux moindres coups ou à le sortir aux moindres mouvements.

Moi:"Stella....? Vous êtes là...? C'est Mac..."

Aucunes réponses, ce qui fit grandir l'anxiété et le stresse que j'ai déjà depuis que j'ai lu cet affreux message marqué au crayon noir sur le torse de la victime, fils du capitaine de police. Je m'avance d'avantage: l'endroit est une vrai porcherie. Stella n'est pas du genre à laisser trainer ses affaires partout. Tout à été retourné. Pourquoi? Je ne sais pas. Quelque chose me dit que c'est probablement de la drogue que les aggresseurs cherchaient, et comme ils en ont pas trouvés, ils ont enlevés Stella en guise de dédomagement. Pourquoi elle? Non. Avant je doit confirmer que c'est bien elle dont le message faisait allusion sur la victime. Je cherche dans tout ce saccage un message, un indice ou quoi que ce soit qui pourrais me prouver que c'est eux qui l'on enlevé, avec l'espoir que je ne trouve rien. Je trouve un message, sur le lit. <<N'oubliez pas votre rendez-vous, voilà l'adresse.>>. Je prend l'addresse et le fou dans mes poches. Si c'est moi qu'ils veulent, alors il auront ce qu'il voudront, pourvus qu'il ne touchent pas à un cheveux de Stella. Ce qui m'étonne, c'est comment ils ont fait pour remonter jusqu'à moi....

Je retourne rapidement au laboratoire et je fait une petite recherche en regardant le dossier sur l'affaire que Stella a clos ce matin. Je suis surpris de voir des noms qui me rappelle les membres de la mafia que j'ai arrêté le mois derniers. Malheureusement, le juge les avaient relâchés, prétextant que les preuves que j'avais ramassé contre eux étaient insuffisantes, alors que le dossier que j'avais monté avait l'épaisseur de trois dictionnaires. Voilà comment ils sont remontés jusqu'à moi.... quand la vengeance se met de la partie, ont fait tout pour faire payer celui qui a tenté quelque chose sur vos épaules, surtout quand cette vengeance est avec la mafia... ils ne reculeront pas pour vous faire payer pour ce que vous avez fait. Si je ne fait pas attention, Stella risque de se faire tuer. Je doit agir comme ils disent, et elle sera surement épargné...

J'appelle Flack, Danny, Lindsay et Hawkes et je leur parle du problème. Flack me dit alors qu'il appelle des renforts et ont se mets tous en route pour cet endroit abandonné, avec cette addresse... Je n'arrive toujours pas à croire...

...

Psy:"Alors Stella s'est faite kidnappé par des gars de la mafia New Yorkaise..."

Moi:"En fait, kidnapping est un bien grand mot... je dirais enlevé... quoi que vous n'avez pas tort, puisqu'ils voulaient ma peau..."

Psy:"Et qu'est-ce qui est arrivé?"

Moi:"Je poursuit..."

Chapitre second_____Flashback____fin

Sur les lieux, je regarde l'édifice avec frayeur. Elle est si instable qu'elle risque de tomber sur nos têtes à tout moments. Tout le monde autour de moi sont nerveux. Surtout mon équipe, qui se font tous du sang d'encre pour Stella, n'ayant pas eu aucunes nouvelles d'elle depuis sont départ du laboratoire ce matin. Les préparations ont été si longue, que maintenant nous sommes en soirée. Je précise à mes collègues qu'il faut que j'entre seul. Flack me donne alors ma veste pare-balles et me dit d'être prudent. J'entre tranquillement dans l'endroit sinistre, avec tout le courage que je peut avoir dans ce moment là....

...Je marche dans un couloir sombre, seul....

...

Moi:"Voilà ce qui est arrivé..."

Psy:"Je vois... et là vous avez trouvé votre collègue morte là bas pas longtemps après votre entré. Il n'y avait personne dans l'édifice?"

Moi:"Non... tout portait à croire qu'ils avaient quitté les lieux après avoir.... enfin, vous savez de quoi je parle....."

Psy:"Parfaitement."

La secrétaire est entré pendant quelques minutes. Elle est venus mener un papier au psy Je-Suis-Le-Sozie-Du-Père-Noël. Le psy regarde les papiers un instant et me lance un drôle de regard.

Psy:"Je vois... que l'on vous a mit en congé forcé pour avoir tenté de vous suicider dans votre cabinet avec votre revolver de service..."

Je baisse la tête.

Psy:"Monsieur Taylor... ce n'est pas comme ça que vous allez rammener Stella en vie vous savez... et je suis persuadé que ce n'est pas ce qu'elle voudrait de vous..."

Lassé de voir ce maudit psy, je me lève et lui sers la main.

Moi:"Merci beaucoup de m'avoir écouté... ça m'a fait beaucoup de bien.... j'ai bien fait de suivre les conseils de mon collègue."

Je regarde son crayon qu'il a toujours dans sa main.

Moi:"Je peut vous emprunter votre crayon?"

Psy:"Je vous le donne, j'en ai plein de toutes manières..."

Je prend le crayon et je m'apprête à sortir. Je remercie le psy et je sort de là pour marcher quelques minutes, histoire de prendre l'air. C'est vrai... Stella n'aurait pas souhaité que je me tue comme ça... je le comprend maintenant. Je ne veux pas la laisser seule pour autant....

Après cinq minutes de marche, j'arrive à un pont....

Je me laisse aller dans le vide, ayant vécus toute ma vie ou presque, seul. Je ne peut plus le supporter, j'ai perdu beaucoup trop de choses dans cette vie maintenant devenue monotone, et il faut que cela cesse. Je ne veux plus vivre seul, dans un monde où les gens vous arrachent ceux que vous aimez tel une sucette que l'on arrache à un enfant. On m'a arraché la vie de mon épouse, la vie d'une amie, et maintenant la vie de celle dont j'ai réalisé que je suis tombé fou amoureux, et ce depuis longtemps... Je ne le supporte plus. Il faut que j'en finisse. Je ne vivrai plus jamais seul, je ne vivrai plus en étant malheureux. Je ne me lèverai plus le matin en découvrant qu'à côté de moi, dans mon lit, ce trouve qu'un vulgaire oreiller. La paix tant souhaité m'appelle, cogne à ma porte, est à ma porté. Ne plus rien me soucier, ni au boulot, ni des gens, ni de ma propre personne, un rêve que je vais bientôt réaliser. Je suis fatigué... si fatigué de la vie...

Je vais vivre éternnellement à leures côtées maintenant, et pour toujours... enfin!

Je ne suis pas disparut, ne vous inquietez pas, vous retrouverai mon corps dans l'Hudson...

Danny... vous héritez du poste de chef de l'équipe, félicitation.

J'écrit ces dernières lignes, afin de dire adieux à la vie que j'ai vécus. Je les écrits aussi pour dire que j'aimais Stella, et que jamais je ne la laisserais seule...

À celui qui trouvera ce livre, veuillez le faire parvenir à Don Flack, Danny Messer, Lindsay Monroe, Sheldon Hawkes ou à Sid Hammerback de la police scientifique, pour qu'il puisse le publier, ou le mettre dans ma tombe, aux côtés de la femme que j'aime.

Amicalement,
Mac Taylor

...

Mac déposa le livre sur la ranbarde du pont. Il monta dessus et sauta...

Quelques jours plus tard, toute l'équipe fut réunis à l'église pour souligner la mort de deux de leurs collègues. Danny s'approcha du cerqueuil, et déposa le livre, intitulé "Solitude, plus jamais...écrit par Mac Taylor", tout près de son patron....

Tous ont pleuré leurs amis maintenant partit au ciel, avec l'espoir qu'il soit toujours et à jamais ensemble, heureux, et avec l'espoir qu'ils veuillerons sur leurs collègues qu'ils ont laissé dans le deuil, à tout jamais...

Fin...

Sauvetage [euh... je dirais petite enquête et un peu de smac :) ] Bob11

alors là on peut dire que tu m'as brisé le coeur, c'est superbe, mais c'est tellement triste. la journée va être dure après avoir lu ça, mais je te félicite, c'est très beau !

snif

Alors là, tu 'as achevée! J'en pleure.
C'est super courageux ce qu' a fait Mac quand même Crying or Very sad

C'est émouvant et super bien écrit et le fait que ce soit Mac qui parle, m'a touchée à un point. J'y ai réellement cru. J'ai même vu Mac sauté affraid

Bravo pour cette fic Myrtille!

Tu m'as achevé, c'est bon, je pleure.
Pauvre Mac !

voilà une fic qui m'a valu une jolie déprime... triste

Voir Mac si triste sa me fait tellement de peine... snif

Mais bon ce fut une jolie fic malgré tout même si j'ai du sortir mon mouchoir lol

Merci beaucoup à vous tous ^^ je suis contente de savoir que vous avez aimé Wink

Et puis... vous n'êtes pas les seules à qui les mouchoires étaient tout près, pendant que je l'écrivait j'en pleurais mdr

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