Afin de me faire pardonnée de n'avoir pas écris la suite de mon autre fic, ben voilà un OS.
Basé sur le 5x24, que j'ai particulièrement aimé au point d'en avoir pleurer à la fin..oui oui xD
Mac et Stella, comme toujours. Les sentiments sont tellement poignant dans ce zode que je me suis laissé emporter par la fièvre smac et voilà paf ça fait....des chokapic....mais non un OS voyons
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Auteur : £ly
Ecriture : 19 septembre 2009
Résumé : Basé sur le 5x24, comme je l'ai dit, mon OS développe certains aspects de certaines scènes. Toute l'histoire est du point de vue de Stella.
Genre : Ben Mac et Stella, c'est pas suffisant ? Nan ? xD...Je n'irai pas jusque guimauve, mais une bonne dose de romance tout de même.
Les persos ne m'appartiennent pas, ils sont à leurs auteurs respectifs
Ne pas copier sans mon autorisation. Bonne lecture !
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J’avais cru défaillir. Au fond, je savais qu’il se souciait, plus qu’il ne le fallait. Mais c’était Mac, cela ne m’étonnait plus à présent. Mais se soucier au point de venir en Grèce pour moi, je n’arrivais plus à penser. Je ne savais plus quoi. Tout était confus dans ma tête. Mes origines, mon boulot…et ma relation avec Mac qui au fil des années avait développée quelque chose de plus fort que l’amitié. Mes sentiments avait changé, je le sentais, mais refusais de me l’avouer. Me forçant à me dire à moi même que ce n’était que mon meilleur ami depuis 10 ans. Pourtant…et pourtant…
J’étais partie des Etats-Unis avec la ferme intention de découvrir qui j’étais, peu importe si je me mettais dans une situation dangereuse. Mais c’était sans compter sur lui, qui avait contrecarrer tout les scénarios que j’avais imaginé.
Je lui en voulais...un peu. Mais quand je l’entendis me dire ces mots qui résonne encore dans ma tête, tout s’était effacé.
« I came because I care about you »
Je tentais en vain de calmer les battements de mon cœur dans ma poitrine qui s’affolait. Mes poumons avaient besoin d’air…
Dans ses mots, j’avais ressenti ce changement qui jusqu’alors, je le croyais, n’étais qu’arrivé qu’à moi. Je me trompais.
Désormais, il m’était impossible de me voiler la face. Tout ce que j’essayais d’enfermer dans un coin revint au galop…les sentiments…et la peur… Peur que ce changement ne nous change à jamais pour en plus être ce que nous étions maintenant.
Et quand je croisa ses yeux, soucieux, tendres et protecteurs, la bataille entre la raison et mon cœur s’acheva.
En moi, une étape avait été franchie, cela, lui ne l’entendrait jamais. Le savoir près de moi pour traverser ce qui m’attendait, je savais que j’avais désormais quelqu’un sur qui m’appuyer, me reposer et à qui je ne pouvais cacher certaines choses. Je savourais le sensation d’être soulagée d’un poids...certes mais pas si gros que ça. Qu’importe, le destin avais mis Mac dans ma vie, elle n’était pas prête de me l’enlever...ça jamais.
Quand plus tard dans la soirée, Mac entra dans ma chambre, me trouvant face à un adversaire masculin, sa réaction fut immédiate. M’aider.
Mon agresseur me projeta en arrière. Je ne tomba pas sur le sol comme je m’y attendais, seulement dans les bras de Mac. Aussi court fut le contact de nos deux corps, les frissons qui me parcoururent à ce moment là furent indescriptibles. Je cacha bien vite ce trouble par le choc de mon agression.
Le lendemain, dans les vignes, les coups de feu nous frôlaient. Je n’avais pas mon arme hélas, ayant donné ma démission. Mac m’ordonna de ne pas bouger. A part l’écouter qu’aurais-je pu faire ?
Les instants d’après sont flous. Tout ce dont je me souvienne, le corps du professeur, mes mains pleines de sang et…les bras de Mac...encore.
Dans ses bras, j’avais laissé la douleur me submerger, les larmes tomber, et mon cœur souffrir.
A cet instant, je me trouve dans son bureau, assise dans le canapé, lui à coté de moi. En lisant sa tasse, sérieusement, je le convaincs qu’il avait quelque chose en or, qui a bien plus d’honneur que de valeur. Dès lors, je le vis me tendre mon badge tout en me souriant.
- Que ferais-je sans toi dans ma vie, Mac ?
Les mots m’échappèrent. Mince. Aïe aïe, qu’ai-je fait ?
Si j’étais étonnée que les mots puissent avoir dépassé ma pensée, sa réponse me surprit le plus.
- Que ferais-je sans toi dans la mienne ?
Je baissa la tête, consciente de rougir quelque peu. Il se rendit compte de mon embarras, il sut exactement quoi dire :
- Stella, l’un sans l’autre, quelque chose nous manque. Je l’ai senti quand tu es partie. Une partie de moi semblait morte parce que tu n’étais plus là.
On fera face ensemble désormais.
Il prit ma main dans la sienne, planta son regard dans le mien…Peut être que le proverbe est juste finalement. Entre la raison et son cœur, un humain ne peut vivre sans aimer. Le choix est fait.