I shall be for you, just for you there [SMAC]

Allez ! Première fic postée ! Enfin pas entièrement, mais autant elle me plaisait énormément quand je l'écrivais dans mon lit, autant depuis 2 jours que je la tape elle me plaît moins. Alors elle sera jamais longue, mais voilà, j'me suis dit qu'au moins j'aurai posté la moitié lol En fait, ça me permet d'avoir un avis, si vous accrochez pas trop, je peux toujours la reprendre ou faire quelque chose pour qu'elle soit plus classe ... Enfin voilà =D J'en étais super fière à la base, et là j'ai un bug lol J'esprèe qu'elle vous plaira quand même, et j'essaierai de poster la suite rapidement, entre les devoirs et la fête de mon village =D

Oh et puis, c'est du Smac, les personnages ne m'appartiennent pas, j'ai essayé de coller un peu aux caractères sachant que si parfois ça diverge un peu, j'en suis désolée, pour le cadre au niveau du temps, je n'ai pas d'idées particulières j'ai écrit sans trop faire attention à où caser cette histoire, et euh... Bonne lecture =p

I shall be for you, just for you there

Stella, la première fois que je vous ai vu, j’ai senti que notre relation serait particulière. Je ne me suis pas trompé. Vous êtes, et serez toujours la meilleure amie que je n’ai jamais eue. Comment mieux vous considérer ? Vous êtes véritablement la personne qui compte le plus pour moi et lorsque j’ai appris votre retour sur New-York alors même que vous ne m’aviez pas averti, j’ai su que vous auriez besoin de moi. Cela fait pourtant pès de 2 mois maintenant que vous vous êtes installée en Grèce, vous m’avez dit y avoir trouvé votre paradis sur terre. Et pourtant vous voilà dans votre ville d’adoption sans même avoir prévenu personne. Que pouvez-vous bien nous cacher ? Me cacher ? Vous avez toujours été forte et indépendante, dire le contraire serait mentir, mais je sais que lorsque vous avez mal vous avez l’habitude de revenir vers nous, vers votre équipe, vers vos amis, votre famille. Et lorsque vous avez mal, je suis là. Je vous attendais, Lindsay m’avait prévenu de votre retour, elle était inquiète, comme toujours lorsqu’il s’agit de vous. Et vous êtes arrivée, êtes sortie de l’ascenseur, superbe, comme toujours. Toujours avec votre habituel sourire enjôleur et malicieux, avec vos merveilleux cheveux bouclés et votre fine silhouette tellement semblable à celle d’un félin, élancée et silencieuse, merveilleuse. Vos yeux ont parcouru le hall jusqu’à m’apercevoir et j’ai cru voir dans votre regard une certaine forme de surprise, avant que votre sourire n’apparaisse vraiment, saisissant. Vous sembliez heureuse de me voir, comme j’étais heureux de vous voir.

Stella : « Mac ! Je suis heureuse de vous voir ! »

Vous vous êtes précipitée dans mes bras pour me serrer contre vous et m’enlacer, comme avant. Si vous saviez comme les battements de mon cœur se sont soudain accélérés ! Votre présence m’a manqué. Vous ne devez pas pouvoir vous imaginer à quel point ! Vous m’avez manqué. Je n’en avais pas tellement conscience avant de vous avoir serrée contre moi, de vous voir si radieuse en sortant de cet ascenseur en arrivant dans ce lieu qui vous était si familier. Ma meilleure amie était de retour, et je crois que jamais je ne me suis senti aussi bien !

Mac : « Stella ! Si vous saviez comme je suis heureux aussi ! Vous êtes radieuse !
Stella : Merci, vous n’êtes pas mal non plus. Enfin vous feriez bien de dormir un peu plus, vous êtes un peu pâlot …
Mac : Stella…Vous savez bien que je n’ai pas besoin de beaucoup de sommeil… »

J’avais sourit en entendant cette voix tellement connue et agréable, et cette phrase que vous m’avez tellement dite. Vous avez toujours fait attention à moi, même maintenant il semblait que vous ne vouliez pas changer. Cela ne me dérangeait pas. Stella sans inquiétude ne serait pas Stella. N’est-ce pas parce que vous avez toujours été là pour moi, que j’ai pût survivre ? Et je sais que cela va durer longtemps parce que lentement, je me rends compte que j’ai besoin de vous. Vous me devenez essentielle, vous l’avez sans doute toujours été d’ailleurs. Juste que je n’avais pas eu l’occasion de m’en rendre compte. Mais votre départ m’a attristé, Danny vous le dira, lui comme les autres. Aucun réel sourire n’est revenu sur mon visage depuis que vous êtes partie. Et maintenant, 2 mois après, voici le premier, celui qui fête votre retour. Pour longtemps je l’espère.

Stella : « Je sais que vous ne vous en offrez pas beaucoup, mais après je …
?: Stella ! »

Lindsay… Sa voix trahissait bien la joie qu’elle avait de vous revoir, elle se jeta dans vos bras, vous faisiez dans le même temps de même. Lorsque vous aviez entendu sa voix, vos yeux avaient brillé, d’une lueur, douce, belle, tout comme vous. Si vous saviez comme vous lui avait manqué ! La pauvre Lindsay passait son temps à proximité du téléphone, même pour voir Danny elle ne parvenait pas à s’en détacher. En partant, vous nous avez laissés. Nous ne vous en voulons pas - comment pourrions nous le faire ? – mais vous ne pouvez pas imaginer combien vous nous avez manqué. Lindsay souriait, ses bras autour de votre cou, même, elle riait. Je me revoyais dans l’étreinte qu’elle vous donnait, elle exprimait tellement de bonheur, que je me pris à penser que sans doute il en avait été pareil pour moi. Bon sang ! J’arrive pas à croire que vous êtes là, face à nous.

Stella : « Lindsay ! Qu’est-ce que je suis contente de te voir !
Lindsay : Et moi donc ! Tu m’as manqué ! Et puis tu vas pouvoir, enfin, me raconter comment ça se passe là-bas ! Parce que le téléphone, enfin voilà …

Vous partirent dans un petit éclat de rire, mais parce que je vous connaissais tellement bien, j’avais vu vos yeux s’assombrir légèrement alors que votre meilleure amie vous parlez de votre vie en Grèce. Je savais que moi seul pouvais le voir, moi seul vous connaissait assez, et de toutes les façons, Lindsay était à des millions d’années lumières de ce genre de pensées, seul comptait votre retour, elle était heureuse… Je ne sais même pas si vous pouvez vous imaginer ! Moi je le peux, sa joie semblait être pareille à la mienne, et même, égoïstement, j’en arrivais à penser que c’était elle qui ne pourrai jamais imaginer ma joie de vous voir. J’étais le plus heureux, j’en étais persuadé, même si je m’en voulais de le penser. Jamais je n’avais éprouvé un telle joie, juste pour un retour, comme ça. Bref, il semble que lorsque je parle de vous et de ma joie de vous revoir, je ne puisse plus m’arrêter, c’est terrible. Pourquoi à moi qui suis en temps normal si peu bavard ? Votre rire fit éclater en moi une bulle de joie, mon cœur manqua un battement tandis qu’il se remplissait d’un bonheur indéfinissable. Comme toujours en votre présence d’ailleurs.

Stella : « Bof, tu sais, il n’y a pas grand-chose à raconter » Vos yeux brillèrent de malice « Par contre toi, je crois que tu as de nombreuses choses à me raconter au sujet d’un certain blondinet derrière toi »

Et Lindsay s’est retournée, comme à chaque fois que son expert adoré entrait dans une pièce. Il affichait un sourire qui en disait long sur la joie que lui aussi avait de vous revoir. Et naturellement vous l’avez pris dans vos bras. Il semblait que le labo entier était en train de reprendre vie, comme si son âme était de retour. Lindsay et Danny retrouvait leur colègue, leur grande sœur, les autres retrouvaient leur collègues… Les gens arrivèrent bientôt. Je ne crois pas qu’avant ce moment vous n’aviez compris combien vous étiez importante. Et moi Qu’est-ce que je retrouvais ? Ma meilleure amie ? Ma collègue ? Ma confidente ? Oui, mais encore ? Il me semblait qu’au ond de moi brillait une chose que je n’avais jamais suspecté avant. Mon cœur manquait des battements à chacun de vos mouvements, j’étais heureux, mon estomac était retourné par la présence agréable de papillons qui volaient lorsque vous souriiez… Se pourrait-il que je sois tombé amoureux ? Je vous regardais, vous trouvant supere et devinant l’émotion par laquelle vous étiez étreinte et après un regard échangé avec Danny pour lui indiquer que je rejoignais mon bureau, je disparu, silencieusement, pensant à tout cela.

A suivre si vous aimez =D
Sinon ce sera à suivre, mais sur du plus long terme
et à améliorer *SBAFF*

J'aime beaucoup ce début.

J'aime aussi le faite que ce sit Mac qui raconte.

En tout cas je veux bien une suite

moi aussi je veux bien une suite.

écoute de mon avis tu n'as pas d'inquiétude à avoir, je trouve ce début très prometteur, super bien écrit, et que ce soit du point de vue de Mac je trouve ça super !!!

bravo, tu peux continuer sur ta lancée

à très vite

Ha moi je veux une suite!! ^^

J'aime baucoup le monologue de Mac concernant Stella, c'est trés prometteur!!

Pas de soucie a te faire, ta fic est trés bien écrite!! Je veux la suite!

J'adore j'adore j'adore!!!! Il faut une suite!!!

Merci à vous toutes


Je pensais pas du tout que ça plairait autant, du coup je vais me grouiller de taper le reste, si ça vous plaît
J'avias un peu la frousse, du fait que ce soit Mac qui parle, ou de pas trop coller, ou que ce soit un peu longuet sur la trame, mais du coup, si vous aimez, je continue =D

Marchi beaucoup à tous cas

C'est chouette que ce soit Mac qui parle pour une fois! On ne sait jamais trop ce qu'il pense et ça pourrait bien coller à ce qu'il ressent ^^.

Ah moi j'adhère!

Je réclame d'ailleurs la suite le plus vite possible lol

Pourquoi être partie en Grèce? Pour revenir à New York?
Je me pose pleins de questions ^^

J'aime beaucoup ce style, cette narration est tout bonnement

J'adore la façon que tu as de décrire l'amitié Linds/Stella.
Que l'histoire soit narrée par Mac rend vraiment bien !!
Autant te le dire : je lis rarement du Smac mais là c'est une exeption qu'il me fallait de faire

comme Spooky, j'ai hate d'avoir des explications...

Je suis vraiment contente que ça vous plaise !=D

Pour Mac en fait c'est venu assez naturellement, j'ai voulu tenter... En général c'est vrai que je suis toujours dans un narrateur interne, mais je tente pas trop la première personne. Là j'ai complètement changé mon personnage: j'ai abandonné Stella alors que d'habitude c'est elle que le narrateur suit partout pour tenter Mac.
J'espère que je pourrai boucler une suite pour ce week-end, là j'ai pas encore pû puisque j'ai passé mon après-midi à travailler (*horreur*), mais je vais voir pour avancer un peu ce soir =D De toutes les façons sinon je résumerai un max ce que j'ai écrit et puis j'essaie pour demain maximum =D Je promet pas, mais voilà xD

Merci beaucoup
Vous pouvez ps savoir comme je suis heureuse que ça vous plaise, et touchée par ça aussi <3

Justine, je suis contente que tu aimes <3
Pour l'amitié Stella/Lindsay, j'ai toujours un passage entre elles, juste parce que j'adore l'idée qu'elles puissent être extrêmeent complices.
Arg ! J'suis contente que tu aimes, que vous aimiez !

La quite arrive vite, promis !

Hey !
Alors t'en fait pas, ce début est très prometteur... J'aime beaucoup ta façon de faire, d'avoir un narrateur, et les dialogues pour illustrer ce qu'il raconte.
De plus tu t'exprimes très bien, ce qui rend la lecture plaisante, et on arrive bien à ressentir cette joie que chacun éprouve grâce au retour de Stella.

Enfin bref je blablate, mais tout ça pour dire qu'en fait je veux avoir la suite

Merci beaucoup à toi Stell' =D

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J’étais là, assis à mon bureau de grand chef puissant, redouté et respecté, mon stylo à la main, travaillant sur un dossier. Pourtant, je ne trouvais rien à écrire, et surtout aucun moyen de me concentrer. Ca ne venait pas. Je ne pensais qu’à vous, vous et votre retour, vous et les battements de mon cœur, vous et votre sourire, vous et vos grands yeux verts, vous et votre douceur… A vous, tout simplement. Et à moi. A mes réactions tellement fortes, tellement saisissantes et troublantes. Depuis Claire, je n’avais jamais ressenti tout cela. Et encore, plus j’y réfléchissais, et moins je parvenais à me souvenir quand est-ce que j’avais eu ce genre de ressentis, ce genre de réactions et de sentiments avec Claire. Je l’avais aimé, bien sûr. Vous le savez sans doute mieux que quiconque puisque sans vous et votre amitié, je ne me serai sans doute jamais relevé, mais j’ai l’impression de redécouvrir mon cœur. J’ai l’impression que tout cela est nouveau, comme si les battements forts et rapides de mon cœur étaient ceux d’un adolescent face à son premier coup de foudre. Un coup de foudre… Une voix dans mon esprit me rappelait que vous, Stella Bonassera vous étiez tellement plus qu’un coup de foudre. Mais je ne voulais pas l’entendre. Vous me connaissez. Vous savez que sorti de la science, je ne suis pas vraiment de nature maline, que je suis fermé comme une huître face aux émotions. Que j’ai besoin de comprendre scientifiquement, à la manière de Durkheim, ce brillant sociologue pour qui chaque chose devait être analysée par des faits. Je suis comme ça, c’est ce que parfois vous me reprochiez avec un petit sourire moqueur. J’ai besoin d’avoir des preuves matérielles. Mais comment pourrai-je voir des preuves matérielles dans des sentiments ? Qui plus est des sentiments que je ne comprenais pas ? Des sentiments qui me rappelaient ceux que j’avais pour Claire, mais d’une manière différente, peut-être même plus forte ? Je posais mon stylo vivement, agacé, et me passais une main sur le visage en grognant un peu. Pourquoi tout était toujours si compliqué ? Soudain, je sursautais alors que la porte de verre s’ouvrait pour laisser passer une fine silhouette. Une silhouette gracieuse. Une silhouette que je reconnaîtrai entre mille. Votre silhouette. Vous étiez là, superbe. La légère pénombre de mon bureau faisant ressortir la beauté de vos yeux. Un sourire timide se dressa sur votre visage et je devinais que vous étiez gênée de m’avoir soudain dérangé, et inquiète de ma surprise. Sans doute étiez vous venue pour faire comme d’habitude et me retrouver, et vous m’avez trouver à sursauter. Je souris, vous indiquant que votre venue était un pur bonheur. La pièce avait changé d’atmosphère par votre simple venue. Plus conviviale, plus agréable, plus chaleureuse. J’avais toujours trouvé cet aspect de votre personne déstabilisant mais tellement agréable. Vous vous êtes avancée vers moi, me laissant admirer votre démarche souple et féline, votre démarche assurée .

Stella : « Je savais que je vous trouverai là.
Mac : On ne change pas les bonnes habitudes comme on dit
Stella : Bonnes habitudes ? Vraiment ?
Mac : On ne change pas ses habitudes »

Je rectifiai. Vous aviez gagné cet échange, comme vous en gagniez souvent lorsque nous parlions. Je savais que sur ce point vous seriez intraitable, je savais que vous n’aviez jamais apprécié de me voir rester au bureau trop longtemps, je savais que je votre naturel inquiet vous poussait à ne pas l’approuver. Le plus comique, si je peux dire, c’est que vous êtes la même. Vous aussi restez, ou restiez tout au moins tard le soir au travail.

Stella : « Je vous dérange ?
Mac : Vous savez bien que vous ne me dérangez jamais, Stella.
Stella : Vraiment ? J’aurai juré vous avoir vu faire un bond lorsque je suis entrée ? »

Je devinai votre petit sourire amusé, ce sourire que j’aime tant, et que vous arborez si souvent. Mais je devinais aussi bien assez vite que vous étiez inquiète de ce sursaut, et que je me devais de vous rassurer. La solution pour l’instant, me semblais de ne pas nier. De toutes les façons, je n’aurai pas pût, et je ne vous mentirai sans doute jamais. Toutefois, je redoutais le moment où vous me demanderiez ce qui me tracassais. Peut-être ne le feriez-vous pas ? De toujours vous avez compris quand est-ce que j’étais prêt à parler, et quand est-ce que je ne l’étais pas. Presque instinctivement. Je ne vous remercierai jamais assez pour votre discrétion, votre respect.

Mac : « Que voulez-vous ? Il semble que vous soyez la seule à oser pénétrer dans le bureau du patron sans frapper, et à n’importe quelle heure »

Je plaisantais. Enfin pas totalement. Je disais la vérité. Seule vous avez ce droit, ce droit d’être comme chez vous dans mon bureau, d’y entrer et d’en sortir comme vous le désiriez. Ce droit unique d’être mon amie, d’être dans mon paradis, d’être à mes côtés. Et de toutes les façons, seule vous pourrez jamais avoir ce droit. Je ne sais pas si vous en avez conscience, mais c’est ainsi, depuis notre rencontre. Vos lèvres pleines et carminées se retroussèrent en un rictus amusé, même si je devinais que vous aviez saisi le fait que c’était un privilège que vous aviez, et non pas une marque de courage de votre part.

Stella : « Personne n’ose entrer ? Ne me dîtes pas que vous leur faîtes peur Mac !
Mac : Il faut croire que si…

Je me levais, souriant. C’était étrange, mais seule vous pouviez et pouvez me faire sourire ainsi, avec tellement de franchise et de sentiments. Un de ces sourires vrais et irrépressibles. Je vous indiquais, une main dans votre dos le canapé qui ornait mon bureau. Notre lieu où, jadis, nous nous installions pour discuter. Je me doutais que vous aviez autant besoin que moi de vous ressourcer, de retrouver votre essence. Vous étiez la mienne, de source. Depuis la mort de Claire, avant même peut-être déjà, vous êtes ce qui est mon repère, ce qui me permet de ne jamais me perdre. Sans aucune résistance, vous vous êtes installée à mes côtés sur le canapé, soupirant de bonheur. Si j’avais été plus expressif, j’aurai sansdotue fait de même. C’est ce qui nous oppose un peu, vous êtes fraîche, vous agissez sans vous soucier des autres, vous êtes ce que vous êtes, sans réfléchir et vous laissant aller pour exprimer vos joies et vos peines. Moi je suis plus discret, plus réservé, au point que seule vous puissiez me comprendre et intrepréter mes gestes, dires, réactions. Mes regards, ma voix, mes expressions. Entre nous, pas besoins de mots, depuis toujours.

Mac : « Alors ? Votre installation en Grèce s’est bien passée ? Vous vous plaisez là-bas ?
Stella : C’est merveileux Mac ! Là-bas, les gens sont tellement gentils, et tout est tellement beau ! J’ai encore tellement d’endroits à découvrir et … »

Je vous écoutais parler, je crois que vous ne vous vous rendiez même pas compte du fait que j’étais perdu dans mes pensées. D’abord parce que je vous trouvais ravissante, parce qu’au contact de la mer méditerranée vous aviez pris un joli bronzage, mais aussi parce que dans vos yeux, je voyais que tout n’était pas tout rose. Je ne dis pas que vous me mentiez en disant trouver ce pays, vos racines tellement merveilleuses, je dis juste qu’il y avait une ombre au tableau, que je le sentais. Vos yeux brillaient moins que d’habitude, moins que lorsque vous nous avez tous retrouvés quelques heures auparavent, moins aussi que lorsque vous viviez encore à New-York. Peut-être ce pays vous plaisait-il, mais je ne comptais pas vous laisser vous enfermer dans ce mesonge qui semblait tellement vous plaire. Vous parlier avec bonheur de l’acropole que vous aviez visité et qui vous avait tellement plût quand j’interviens, la voix un peu dure.

Mac : « Que faîtes-vous ici Stella ? »

Il ne faut pas se méprendre. Ma voix dure n’était en aucune façon dûe au fait que je n’étais pas heureux de vous revoir, au contraire, j’aurai adoré encore plus vous revoir durant ces deux derniers mois. Elle était dûe à un accès d’inquiétude, au fait que je vous voyais me mentir, et peut-être même vous mentir à vous-même. Là, vous m’avez lancé un regard scandalisé. Vous n’aviez que rarement entendu cette voix sortir de ma bouche pour vous parlez à vous. Mais la lueur éteinte de vos yeux me touchait trop pour que ma voix ne s’en ressente pas. Votre absence, si elle vous rendait heureuse ne me faisait rien, ou en tous cas j’étais prêt à faire comme si elle ne me faisait rien, mais si elle vous otait la joie que vous méritez d’avoir, alors je me refusais à rester sans rien faire. Peut-être suis-je un peu excessif, vous ne semblez pas malheureuse au point de pleurer à tout va, mais le simple fait que vous sembliez moins heureuse qu’avant votre départ m’était insoutenable. Finalement, votre regard changea. En fait, il n’avait affiché la surprise que durant un millième de seconde, ensuite, vous aviez soupirer, un peu sourit peut-être avant de me fixer. De ce regard lourd que vous n’arborez que très rarement, de ce regard qui me touchait parce que c’était vous qui l’aviez. Votre voix s’assombrit, votre regard s’assombrit, et je devinais sans mal que vous vous sentiez perdue. Ce que j’avais pris pour de la tristesse était seulement l’expression du fait que vous ne saviez plus où vous alliez. Peut-être même aviez-vous attendu que je pose cette question. Peut-être vous étiez vous trompée ? Vos racines étaient à New-York, pas en Grèce. Mon cœur était partagé, se serrant parce que je vous sentais mal, mais se gonflant d’un semblant de bonheur parce que j’avais le sentiment que vous vous étiez tournée vers moi, et que c’est ce que vous faisiez en cet instant précis. C’est vrai que c’est le socle même de notre amitié, on se soutient mutuellement, mais vous aez toujours été si indépendante et forte, que souvent, c’était moi qui venait vous voir, pour que vous me souteniez, ou pour vous soutenir. Vous n’avez jamais trop fait de pas vers moi, sans doute pare qu’on ne vous a jamais appris à le faire. Là, j’avais le sentiments que vous étiez en train de vous avancer vers moi, doucement. Comme un enfant qui apprend à marcher.

Stella : « Il veut qu’on se marie…
Mac : Qui ça Stella ?
Stella : Christos… Il dit qu’il veut rester avec moi, qu’on se marie, qu’on fonde une famille… »

Je ne disait rien, je sentai que vous n’aviez pas fini, et de toutes les façons, je ne savais pas quoi vous dire. Je ne savais pas ce que je devais vous dire. Je sentais juste que mon cœur s’était serré, mais que j’attendais, ne cherchant pas à analyser les réactions de mon cœur, mais plutôt en étant votre ami, votre meilleur ami, celui que vous étiez venu chercher.

Stella : « Je… Je sais que c’est idiot, mais…
Mac : Vous ne voulez pas l’épouser ?
Stella : C’est pas ça, c’est juste que… Je… »

Vous cherchiez vos mots. Non, vous sembliez vous retenir de dire queqlue chose. Oui, c’est ça. La Stella raisonnée et raisonnable essayait de faire taire la Stella impulsive et franche que je connaissais tellement et qui était toujours présente. Je ne savais pas qui était ce Christos, mais j’imagine que s’il voulait vous épouser, c’est que vous étiez ensemble. A cette pensée mon cœur se serra, toujours plus. Oui, cet homme deait être votre petit-ami. Soit, je ne devais pas penser àcela. D’ailleurs, pourquoi y penserai-je ? Mais pourquoi donc refusiez vous de me dire ce que vous aviez sur le cœur ? Vous voir ainsi vous retenir d’être honnête me paraissait tellement étrange ! Je décidais de me taire ,et d’attendre. De voir quelle Stella gagnerait. J’espérais que la Stella franche l’emporterait, parce que cela marquerait le fait que notre amitié faisait un nouveau pas en avant. Vous vous êtes alors passée une main dans les cheveux, puis sur votre doux visage en soupirant un peu. J’essayais de ne pas faire attention aux éfluves de votre parfum qui venaient me chatouiller les narines. Et puis j’attendais, et vous avez commencé à parlé.

Stella : « On est ensemble depuis que je suis arrivée en Grèce. Il est gentil, même, il est parfait. Avec moi, il est vraiment parfait mais … j’ai besoin de savoir où j’en suis Mac…
Mac : Si vous l’aimez ?
Stella : Où j’en suis, en général. Non, en fait, j’ai besoin de savoir où nous en sommes. »

Vous me fixiez désormais de vos saisissants yeux verts, vous me fixiez droit dans les yeux, et je pouvais sentir un frisson me parcourir l’échine. Vous me fixiez comme vous ne m’aviez jamais fixé, attendant une réaction de ma part, même minime. Mais moi je ne comprenais pas. J’étais obnibulé par votre regard,j’étais obnubilé par vos paroles sans pour autant parvenir à comprendre ce que vous m’aviez dit. Que signifie « nous », pour vous ? Notre amitié ? Oui, mais que viendrait-elle faire dans tout cela ? Et n’y avait-il pas que de l’amitié entre nous ? Une voix dans mon esprit m’indiqua que queqlues instants auparavent ce n’était pas exactement ce à quoi je pensais. Mais je la chassais rapidement : je ne devais plus penser à cela. Pas avant, au moins de comprendre de quoi vous parliez, et ce que je ressentais. Je répétais bêtement la dernière partie de sa phrase, incertain.

Mac : « Où nous en sommes ?
Stella : Mac je … Vous savez bien entre nous… On s’est toujous compris, entendu, on s’est fait confiance et j’ai parfaitement conscience que pour vous, je serai prête à tout parce que vous êtes mon meilleur ami mais… J’ai besoin de savoir ce que vous ressentez pour moi. Si c’est la même chose que ce que moi-même je ressens
Mac: J’ai peur de ne pas vous suivre Stella. »

J’avais du mal à parler, à m’exprimer, et je voyais dans votre regard que vous étiez un peu deçue, que vous attendiez une autre réaction de ma part, qu’en cet instant précis, vous auriez voulu pouvoir disparaître et vous précipiter vers la sortie. Mais vous ne le firent pas. La Stella courageuse avait repris le dessus sur la Stella prudente, et comprenant que je n’étais pas dans un moment d’intelligence suprême et que si vous n’étiez pas plus claire je ne comprendrais pas, vous commenciez déjà à chercher une autre alternative. Je vous reconnaissez bien là, têtue, capable de tout pour obtenir ce que vous vouliez. Encore que non, à cet instant précis, je ne voyais plus rien. Je restais en mode pause sur le verbe ressentir qui rimait avec meilleur ami, et alors que j’allais voir dire combien votre amitié compait pour moi, combien vous comptiez pour moi, je sentis deux lèvres chaudes se poser sur les miennes. Je sentis que vous m’embrassiez, et j’étais incapable de réagir. Dans les films en général, lorsque le héro se fait embrasser par l’héroïne, il répond bien assez vite au baiser, trop heureux de pouvoir enfin serrer dans ses bras l’élue de son cœur. Sans doute les films sont mal faits, parce que moi j’étais incapable de bouger, j’étais pétrifié, je ne comprenais pas. Mon cœur battais la chamade sans que je puisse l’arrêter, mais ma bouche était incroyablement sèche, mon dos était parcouru de picottements agréables mais j’étais incapable de répondre à votre baiser, j’étais incapable de vous inviter à continuer, j’étais incapable de bouger, incapable de vous dire qu’alors, si c’était cela que vous ressentiez, mes sentiments étaient les mêmes, peut-être même plus forts. Mais je ne bougeais pas, j’étais pétrifié sur place. L’ironie. La plus belle femme que je connaissais, la personne la plus extraordinaire qui existait, la femme que j’aimais, parce que désormais, je pouvais affirmer que je vous aimais, plus que je n’avais jamais aimé personne, m’embrassais, et je ne pouvais plus bouger. Je sentis que vous vous sépariez de moi. J’imagine que vous espériez une réaction de ma part. Logique… Mais elle n’est pas venue… Et vous êtes partie, rouge, les yeux brillants de larmes, attrappant précipitement votre sac à main que vous aviez posé sur le canapé. J’essayais de vous attrapper le bras, en douceur, doucement, prêt désormais à avoir une réaction, mieux vaut tard que jamais comme on dit, vous ne l’avez pas pris ainsi.

Stella : « Lachez moi Mac, s’il vous plaît. J’ai besoin de … D’être seule, un petit moment. Ce n’est pas votre faute, je suis désolée de vous avoir mis dans l’embarras, je voualis une réponse, je l’ai eue, je vous remercie, même si j’en aurais espéré une autre… »

Et sans me laisser parler, vous avez dégagé votre bras, et êtes partie, telle une ombre silencieuse dans les couloirs du laboratoire. Sans que j’ai pût vous retenir. Je ne pouvais pas vous courir après, je vous respecte trop pour ne pas vous laisser la paix que vous m’avez demandé, et je restais encore sous le choc, malade de chagrin, mais soudain conscient de ce que je ressentais pour vous. Peut-être trop tard ?



A suivre =p
J'espère que ça vous plaît toujours ^^

J'adore ta manière d'écrire! Chapeau!

Myrtille a écrit:

J'adore ta manière d'écrire! Chapeau!

oui oui oui la suite et vite !!!!!!!!!

oui oui moi ça me plait toujours !
et le coup de l'intelligence supreme ........
s'il te plait

Franchement chapeau
Ta fic est super
J'adore ton style d'écriture
Et j'aime beaucoup le faite que ce soit du point de vue de Mac
En tout bravo, c'est super
La suiteee stpppp

C'est toujours aussi chouette.
J'adore!
J'ai hâte de voir comment Mac va se faire pardonner!

j'aime beaucoup cette fic ...
mais il est en train de lui écrire là ?? Ou de lui parler ??

Y'a juste ce petit truc que j'aimerais comprendre sinon ben... J'espère qu'il va réussir à lui montrer ce qu'il ressent...

moi aussi j'aodre cette fic, j'espère que Mac va faire comprendre à Stella combien il l'aime parce qu'il ne peut pas la laisser partir comme ça sur un malentendu

allez vite LA SUITE !!!!

Merci à vous, la suite arrive =D
J'ai tapé déjà une bonne partie, si je peux je finis ce soir, sinon demain ou dans le courant de la semaine - cours y'es-tu ? xD-
Merci beaucoup de chez beaucoup !
Je suis ravie que ça vous plaise

Danseuse, disons qu'il lui parle, mais un peu comme on pourrait parler lorsqu'on ose pas ouvrir la bouche c'est une forme de monologue qu'il adresse à Stella. En fait, il s'adresse à lui-même, mais en ayant instauré une image à ce lui-même auquel il s'adresse. En gros, Stella ne sera jamais au courant de cela, ni il lui parle, ni il lui écrit. Ce sont ses pensées profondes qu'il renvoie à une image qui est celle de Stella puisqu'elle est au centre de ses pensées justement.
Je sais pas si je suis très claire ? xD

rolala j'adore de plus en plus!!

C'est fou comment on peut se mettre facilement à la place de Mac, tellement que c'est bien écrit!

J'adore!!! C'est bien de les faire patauger un peu (moi sadique? oh si peu lol), mais j'espère que ça se finira bien comme même hein lol (Pas sadique à ce point là lol)

Madmoizelle Stella a écrit:

. En gros, Stella ne sera jamais au courant de cela, ni il lui parle, ni il lui écrit. Ce sont ses pensées profondes qu'il renvoie à une image qui est celle de Stella puisqu'elle est au centre de ses pensées justement.
Je sais pas si je suis très claire ? xD

Si, si tu es claire. c'est exactement ce que je voulais savoir : si elle va être au courant ou pas.
Le savoir me permet de voir la fic d'un autre oeil....

J'ai hâte de connaitre la suite et prie pour un happy end...

(cette dernière phrase veut dire : VIRE-MOI CE CHRISTOS !!!)

Ouah ...
C'est toujours aussi bien, toujours aussi prenant...
J'adore vraiment ! Je crois que c'est une des meilleures fics que j'ai pu lire.
Chapeau !!
J'attends la suite avec impatience

Mieux vaut tard que jamais, mais...waw ! On ne se trompait pas en spéculant sur tes talents d'écrivailleuse de fic (non c'est pas français, et alors ? ) sur ton topic de présentation, j'ai l'impression.
J'aime beaucoup le fait que ce soit écrit du point de vue de Mac, d'abord parce que bon, c'est Mac, quoi ( ), et puis, ça a peut-être déjà été fait avant mais dans ce cas je n'avais encore lu aucune fic où il est le narrateur à la première personne...et je trouve ça très intéressant et rafraîchissant, ça change un peu des autres fics que j'ai eu l'occasion de lire ^^ D'autant que c'est bien maîtrisé, alors que d'emblée ça me semble un pari osé de prendre Mac comme narrateur, difficile de toujours imaginer ce qu'il pense et difficile de ne pas tomber dans le OOC...du moins je pense ^^ Donc, je trouve que jusqu'à maintenant tu y réussis à merveille, continue comme ça !
Quelques fautes d'orthographe/grammaire que l'amoureuse de la langue française que je suis n'a pas pu s'empêcher de remarquer, mais ça n'est pas à outrance et ça ne gâche en rien la lecture donc pas de problème ^^
Puis c'est du Smac, alors...en tant que Smackeuse, je ne peux qu'aimer ! Vivement la suite, qu'on en apprenne plus sur ce Christos, et puis...qu'il dégage !

Bravoooo, et la suiiiiite ! =)