I shall be for you, just for you there [SMAC]

Il est classe, hein ? Mon Christos ? *SBAFF*
Mais je vous rassure, note Mac national est redevenu le mec parfait qu'on aime toutes !
En tous cas, je suis heureuse que vous l'ayez aimé aussi, je vous annonce que je suis guérie, que je vous aime, et que j'ai la fin !
<3
Mreci beaucoup pour vos encouragements en tous cas ,et le simple fait que vous ayez aimé me rend toute heurese ! <3

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Mais qu’allai-je bien pouvoir trouver pour vous séduire ? Hein ? Je vous avais fait pleurer, rompre avec votre fiancé ! Je ne savais même pas où vous étiez ! Pas chez Lindsay, je l’avais déjà appellée 3 fois ,et à chaque fois c’était la même réponse, vous n’étiez pas là-bas. Pas chez vous, vous n’aviez plus votre appartement sur New-York, Danny me l’avait certifié. Mais enfin, je comptais réfléchir à ce problème plus tard. D’abord, je devais me faire pardonner, et vous séduire. Comment ? Là était la quetion ! Comment pourriez vous me pardonner ce que je vous avez fait ? Des fleurs ? Trop commun. Un bijoux ? Vous n’êtes pas une femme matérialiste. Une ballade en calèche ? On l’a déjà fait ensemble lorsqu’on avait décidé de passer un 4 juillet sympa. Une ballade en limousine ? Vous êtes tellement têtue que vous seriez capable de me laisser seule avec le chauffeur et de ne pas monter dans cette satanée limousine. Vous parler simplement me semblait être ce que vous alliez préférer, mais je ne pouvais pas. Simplement parce que c’était trop simple, et parce que je ne tenais pas à me recevoir une nouvelle gifle, même je chérirai la marque de l’autre pour le restant de mes jours. La première gifle que j’ai reçu de votre part. La première preuve de votre amour. Espérons qu’à l’avenir vous n’ayez pas besoin de faire plus de démonstration.

Mais qu’est-ce que je disais ? Des aneries, des imbécilités, des bêtises… Une preuve de votre amour ? Comment pouvais-je présumer de cela ? Comment pouvais-je même penser cela ? Vous aviez parlé de sentiments, en m’embrassant, oui, mais où aviez-vous dit m’aimer ? Cela ressemblait à une certaine forme d’amour, à une forme que l’on pourrai aisément déterminer, mais comment alors que je venais de saboter votre mariage, je pouvais penser cela ? C’était complètement présomptueux de ma part. Et prétencieux. Comment pouvais-je même imaginer qu’une femme telle que vous pouviez aimer un homme tel que moi ? Allons ! Je devais me reprendre ! Vous étiez parfaite et moi…Notre histoire valait celle de la Belle et la Bête. Oui, je devais décidément me reprendre ! Mais est-ce que je le voulais vraiment ? Nous imaginer tous les deux, avec vous m’aimant m’étais simplement récoufortant, agréable, au point que je ne pouvais que rêver que ce soit la vérité …Quoi qu’il en soit, je devais trouver une solutions pour me faire pardonner, et vu qui vous étiez, tout était tellement compliqué ! Je ne dis pas que vous êtes susceptible et rancunière, non, loin de moi cette idée, bien que j’ai pleinement conscience de votre caractère bien trempé. Non, mon problème était surtout que vous étiez vous, et qu’à ce titre, je me refusais à venir vous parler de manière commune. Vous étiez extraordinaire, je devais venir vous parler de manière incroyble. Plusieurs appels d’harcèlement me permirent d’obtenir de Lindsay, ou plutôt de Danny qui en avait marre d’être réveillé, l’adresse de votre hôtel. J’avais une idée, j’avais une idée ,et je sentais qu’elle n’allait pas vous plaire.
New-York est une ville connue parce que la vie ne s’y arrête jamais, et là, coincé dans les embouteillages, j’en faisais les frais. J’aurai voulu faire tout ce que j’avais à faire avant que la nuit ne tombe, juste pour pouvoir être au plus vite en train de vous présenter avec originalité mes excuses. Que voulez-vous ? Je ne suis qu’un homme, et une fois que j’ai eu mon idée, je ne pouvais décement pas prendre mon temps. Mon moi poltron aurait sans doute voulu attendre le lendemain, ou !même le surlendemain, mais pas mon moi amoureux. Oui, vous l’avez deviné, j’avais peur. J’avais peur parce que je savais que quoi qu’il allait se passer ce soir-là, ce serait décisif pour la suite de nos relations. Ce serait … Ou bien cela signerait la fin de note amitié, ou de nos rapports ? Ou bien encore ce sera le début de notre histoire d’amour ? Le début d’une haine sans relache ? Non, non, pas de la haine, je ne pourrai jamais vous haïr. Mais cela ne changeait rien à l’importance de cette soirée. Tout se jouait. Ou plutôt, je jouais tout. J’entrai dans l’hôtel dans lequel vous aviez réervé une chambre. Danny ne m’en avait pas dit pus : comptiez-vous rester ? Repartir le lendemain ? Je n’en savais rien, sans doute la raison pour laquelle je devais faire vite. Je me dirigeais rapidement vers le receptionniste :

Mac : « Excusez-moi, je voudrais voir Mlle Bonasera s’il-vous-plaît, elle a une chambre ici…
Receptionniste : Et vous êtes ?
Mac : Mac Taylor, un...un ami
Receptionniste : Je suis désolé, elle a dit qu’elle ne voulait pas être dérangée »

Je serrai les poings. Sans doute si j’avais été plus démonstratif je l’aurai écrasé contre le bar derrière lequel se tenait cet homme en costume pour le moins ridicule. Mais non, Mac Taylor est connu pour la réserve. Toutefois, je me pris à me demander si vous aviez énoncer que seul moi ne pouvais pas venir, ou si c’était le cas de tout le monde . Après tout, pourquoi m’aurait-il demandé mon nom sinon ? Non, non … Il devait juste être un idiot ? N’est-ce pas ? Je ne voulais pas même m’imaginer l’idée que vous me fuyiez, bien que cela me paraissait plausible, et compréhensible. Quelques jours auparavent, vous ne m’auriez jamais fuit. Vous seriez venue vers moi parce que vous et moi, nous étions liés comme les doigts de la main.

Mac : « Peut-être pourriez-vous juste téléphoner ? Elle a peut-être changé d’avis ?
Receptionniste : Ecoutez monsieur Taylor, ici, le client est roi, et si votre amie ne veut pas vous voir, c’est son droit et je le respecte. "

Nouveau coup. Je ne parvenais toujours pas à distinguer si il parlait seulement de moi, ou du reste de l’équipe. Mais une petite voix m’indiquait que c’était moi que vous fuyiez. Qu’est-ce que ça faisait mal d’imaginer cela ! C’était parfaitement logique. Vous n’aviez jamais été une peureuse qui prenait ses jambes à son cou en cas de difficultés, mais là, la situation était différente. Sans doute aviez vous besoin de vous reprendre avant d’affronter vos problèmes, moi. Bvos perspectives d’avenir venaient d’être réduites à néant, et je devais comprendr eque vous deviez vous en cr(éer d’autres avant de revenir vers moi. Mais je ne pouvais pas. Parce que peut-être ne reviendriez-vous pas vers moi justement. Oubliant ma réserve, je donnai un léger coup de pied dans le dit bar. J’étais … je ne trouvait pas mes mots. Triste ? Plus que ça. Furieux ? Même pas, ou en tous cas, pas après vous, juste après moi. Détruit ? Sans aucun doute. En fait, je ne me souvenais pas avoir déjà été ainsi, et en me laissant glisser oucement contre le mur du couloir sombre pour laisser éclater tous ces sentiments que je ne comprenais pas par des larmes qui sans doute seraient salées, un point rouge attira mon attention. Non… Je ne pouvais pas faire cela. Mais c’était si tentant ! Le meilleur moyen de voir Stella sans attendre. Oui, mais…si les forces de l’ordre començaient à … Non, pas de poiliciers ce soir ! Ce soir-là, ce ne devait être que vous et moi ! Mais… Trop d’hésitations tue l’hésitation, c’et ce que vous m’aviez dit un jour, et je pris le parti de vous écouter. J’attrappai le marteau de plastique rouge, et l’écrasai contre la plaque de verre de l’alarme incendie. Le principe de base de ces inventions était que les gens puissent prévenir si un feu se déclarait, là, il n’y avait pas de feu, mais je brûlai d’impatience de vous revoir. Plus moyen de faire demi-tour. Ce n’était pas vraiment légal comme action, mais qu’importe ! L’alarme se déclancha, hurlant à nous en arracher les tympans. Les gens commençèrent à sortir en criant, se bousculant, courant. Tous étaient en pyjama, à moitié endormis et paniqués, mais je ne m’en préoccupais pas. Jen e ovus voyiez pas. Où étiez-vous ? Peut-être avais-je fait tout ce bruit pour rien ? Peut-être les pompiers et mes supérieurs allaient me faire regretter moon acte désespéré sans qu’il n’y ait eu de résultat ? L’angoisse, la peur, la deception, tout cela formait un voile sur mon cœur qui battait si fort. Jusqu’à manquer un battement. Vous veniez d’entrer dans la pièce. Vous étiez superbe.

Evidement, je vous dérangeais. Vous étiez vêtue d’une nuisette de satin bleu, et même si vous aviez le peignoir assorti, je pouvais distinguer votre silhouette parfaite et vos interminables jambes fines et bronzées. Vous étinceliez, encore. Même au beau milieu de la nuit alors que je vous avais sans doute réveillée, vous étiez splendide. Calmement, et sans affolement apparent, vous avez déscendu les marches qui menaient de votre chambre au hall d’entrée. Je parle d’affolement apparent parce que je voyais bien à vos yeux grands ouverts et aux aguets que vous cherchiez où pouvait bien se trouver ce feu. Vos instincts de policière revenaient à la vitesse grand V, et même, j’avais à ce moment-là envie de dire vos instincts de félin. Vous ressembliez tellement à un chat. Je vous vis vous avancer vers une enfant apeurée et lui parler. Sans doute essayiez-vous de calmer ses peurs et ses pleurs ? Vous ne pouviez vous en empêcher, et c’est ce qui faisait que je vous aimais. Avec discretion, je me plaçais derrière vous pour vous soulever et vous installer debout sur le bar avant de vous y rejoindre. Je n’avais pas fait attention au légers coups que vous me donniez, à la fureur de votre regard. Seuls comptions vous et moi, debout, sous les regards de tous. Vous me détestiez en cet instant. Je voyais dans votre regard que vous ne compreniez pas, et que cela vous agaçait grandement.

Stella : « Mac lâchez-moi ! Vous vous êtes assez donné en spectacle pour aujourd’hui ! Lâchez-moi ! »

Je vous maintenais fermement contre moi. Vous connaissant, vous auriez pû partir sans demander votre reste, tout comme vous auriez pû me gifler une deuxième fois. Déjà que vos petits poings avaient sans doute laissé de jolis bleus sur mes avant-bras. Tous nous fixaient ébahis, mais je ne voyais que vous.

Stella : « Je peux savoir à quoi vous jouez ?
Mac : Je t’ aime »

Vos jambes se sont mises à trembler. Elles avaient tremblé déjà à l’aéroport, mais sans doute le fait que je recomence à faire ma déclaration sans craindre votre courrou, sans craindre le regard des autres, sans craindre les conséquences, vous poussait à y croire toujours plus. J’étais passé au tutoiement naturellement, et votre regard perdu redevint rapidement dur. Vos yeux étaient superbes, et brillaient de mille feux. Sans doute était-ce la lumière des sirènes de pompirs ? Ou bien vos larmes qui menaçaient de couler. Depuis quand pleuriez-vous autant ? Je m’en voulais tellement d’être la cause de tout cela.

Stella : « Vous me l’avez déjà dit…
Mac : Mais je le répète, parce que c’est plus vrai chaque jour, et que je ne suis qu’un idiot d’avoir laissé passé ma chance.
Stella : Je n’aurai pas dit mieux »

Vous ne saviez pas quoi faire, quoi dire, je le voyais à votre regard, je le voyais à votre voix faible. Vous étiez perdue entre vos sentiments, les miens, mes actes et les votres. Je devais parler. Je me refusais à vous laisser plus longtemps dans cette obscurité croissante qui semblait vous rendre folle.

Mac : « Je t’aime Stella, sans doute depuis… depuis trop longtemps. Durant toutes ces années, tu as été mon rayon de soleil, et hier, lorsque tu m’as embrassé, je ne sais pas ce qui m’a pris. Je suis désolé. Je ne voulais pas gâcher ton mariage avec …
Stella : Mac, arrête, s’il-te-plaît, tu n’as pas besoin de …
Mac : De dire tout cela ? Si, je crois que c’est exactement tout ce que je dois te dire »

Je me tus. Je voyais dans ton regard que tu m’avais pardonné, que tu étais prête à me laisser ma chance à moi aussi, une seconde chance. Je voyais que tu étais prête à me refaire confiance. Mais avant, je devais faire quelque chose d’important. J’enfouis ma main droite dans la poche de ma veste et en ressorti des clés. Tu me fixas, tu les fixas. Ton regard passa d’elles à moi sans que tu ne parviennes à comprendre ce que je faisais. Je n’avais plus besoin de te tenir contre moi, mais je me refusais à te lâcher. Non, maintenant que je t’avais dans les ras, jamais pus je ne comptais te lâcher.

Mac : « C’est un double des clés de chez moi, de chez nous. J’ai entendu dire que tu avais vendu ton appartement, et je veux que tu restes. Avec moi . Je veux qu’on soit ensemble. »

Tu n’as pas répondu, tu t’es juste jetée sur moi, tu m’as embrassé. Les autres ont applaudi. Je n’en avais rien à faire. J’avais gagné. Je t’avais gagné, la plus belle des récompenses.

THE END

Et voici voilà comment se termine notre petite historiette =p
J'espère qu'elle vous a plu =D

j'adore...

C'est magnifique.

Mac à reussit à se faire pardonner

Merci beaucoup à toutes les deux

Je suis heureuse que vous ayez aimé <3

J'me rappelle quand j'ai écrit la fin de cette fic, j'ai plus parlé à mon copain de la journée lol

ohh je suis triste que ce soit terminée moi

A quand ta prochaine fic?

Je prend ça pour un compliment =p

Et je répond qu'elle devrait pas tarder: elle est déjà sur papier, plus qu'à trouver le courage de la taper =p

Ca en est un ! J'ai bien aimé cette fic et surtout l'idée!!

Allez COURAGE!! COURAGE!! COURAGE!!

Merci beaucoup

J'ai écrit le titre déjà !
*SBAFF*

Citation :

J'ai écrit le titre déjà !

C'est bien, c'est un début

Très jolie fin ^^ Il était temps qu'il fasse quelque chose, notre Mac ! Mais l'alarme incendie, là il a fait fort
Bravo, j'ai hâte de lire une autre fic de toi

Franchement Respect
C'était trop mignon
J'ai les larmes aux yeux sans rire
C'était vraiment une super fin

fin magnifique, enfin Mac s'est décidé à tenter le tout pour le tout, et hourra pour Mac !!!!!

j'ai adoré ta fic, elle était vraiment superbe !!!! tu peux en écrire une nouvelle quand tu le souhaites.

VIVE LE SMAC

Spooky a écrit:

Citation :

J'ai écrit le titre déjà !

C'est bien, c'est un début

Oui =p
C'est déjà mieux que rien xD

Marchi beaucoup Elfindel <3
J'avoue qu'il a fait fort, mais je crois que quand j'ai écrit la fin, j'étais dans un état euphorique, je me rappelle plus pourquoi, mais ça expliquerait cette idée bizarre lol

Merci Lisa <3
Je suis contente que ça apparaisse comme sympathoche <3


Poupi, Hourra pour Mac le retardataire ! *SBAFF*
Bref, je suis hureuse qu'elle t'ait plû <3
Et j'imagine que je vai pas tarder à poster la prochaine !
J'approuve à 100 % !!!

magnifique ....
merci pour cette très belle fin, j'ai vraiment adoré ta fic !!!

Merci beaucoup Stell' <3