I shall be for you, just for you there [SMAC]

ben alors elle où la suite ???? !!!! moi je crève d'impatience de te lire !!!! tu peux pas nous abandonner comme ça en pleine action c'est trop crumel


allez madmoizelle Stella ai pitié de nous peuvres lectrices !!!!


VITE VITE VITE

Oui

Je suis contente d'avoir pût éclairer ta lanterne alors Danseuse, et espère pouvoir satisfaire ta demande tout à fait acceptable =p

Merci beaucoup Stell' J'étais pas sûre au début, mais si ça plaît alors je suis folle de joie !

Elfindel ! <33
Marchi !! <3 Je suis contente que ça te plaise, et de ne pas vous avoir fait dire des bêtises sur le topic de présentation =D
J'dois dire que ça fait plaisir de savoir que les gens n'aiment la fic =D
Merci beaucoup, et désolée pour les fautes: entre les fautes de frappes, et les galères dûes au "vous" qui me pompe sérieusement l'air (bah oui, c'est drôlement chaud ! xD) et mon World qui marche pas c'est la galère lol D'autant que je suis incapable de relire ce que j'écris parce que je déteste en général, bah c'est pas génial lol
Bref merci et puis ... Peut-être seras-tu exaucée ? =p


Poupi, Spooky, je suis désolée pour le retard ! Vous pouvez pas savoir à quel point ! C'est la galère en ce moment, j'ai pas mal de devoirs alors j'écris un peu tous les soirs, mais je me rend compte au bout d'un moment que je fais n'importe quoi et remet au lendemain. Là je m'y suis mise et voilà le résultat ! Je suis vraiment désolée ! Cette semaine c'était assez chaud, j'avais pas prévu que j'aurai tellement de devoirs lol
Désolée



Non, ça ne pouvait pas être trop tard ! N’est-ce pas ? J’étais là, dans la pénombre du bureau, comme si souvent. Mais les choses étaient différentes cette fois-ci. Elles étaient différentes parce que j’avais de nouvelles certitudes, elles étaient différentes parce que ce n’était plus à Claire que je pensais en brouillant du noir, elles étaient différentes parce que j’étais encore sous le choc. Elles étaient différentes parce que j’avais encore le goût de vos lèvres chaudes, vos lèvres douces posées sur les miennes. Je sentais encore les battements de mon cœur, et ce serrement qui venait sans aucun doute du regard larmoyant que vous m’aviez lancé, de ce mariage que vous ne désiriez peut-être pas mais jusqu’auquel vous auriez pu allée…J’étais assis sur le canapé. Je n’en avais pas bougé depuis que je m’étais avachi dessus suite à votre départ. Je n’arrivais plus à penser. Non pardon, je n’arrivais plus à penser à autre chose qu’à vous, vos lèvres, nous. C’est horrible cette sensation de faire du surplace, cette terrible impression que plus on pense aux choses, plus on souffre, mais qu’à côté de ça, on ne peut plus se séparer de ces idées. Je n’en reviens pas de voir à quel point vous m’obsédiez ! Maintenant, j’en étais certain, c’est ce ue l’on appelle l’amour, avec un A majuscule. L’amour qu’aucun film ne peut décrire, l’amour que l’on ne peut pas imaginer sans l’avoir vécut, l’amour qui n’arrive qu’une seule fois dans notre vie. Pensiez-vous à la même chose ? Non, sans doute pas. De votre côté, vous deviez surtout penser, avec tord d’ailleurs, que vous aviez été une idiote. C’était le contraire. Pour une énième fois, vous aviez été la plus intelligente, la plus maline, la plus forte. Vous aviez compris ce qui nous unissait, et vous aviez eu le courage de l’assumer. Moi, je ne sais même pas si je l’avais compris avant, mais je sais une chose : même si je l’avais compris, je l’aurais terré au fond de moi, et j’aurai tout fait pour l’oublier. Ma lâcheté aurait repris le dessus. Ma main droite, prise d’un soudain spasme nerveux frappa avec violence l’accoudoir du canapé tandis que je laissais éclater ma colère. Pas envers vous, non, juste envers moi. Je laissais sortir ma colère, ma détresse par des coups répétés sur le canapé avant de me raisonner. Je devais faire quelque chose ! Je n’avais pas le choix. Je me levais, et commençais à faire les 100 pas. Je ne savais pas encore ce que j’allais faire. En fait, je ne savais même pas où vous étiez en cet instant précis. Sans doute aivez vous vendu votre appartement et à New-York, ce ne sont pas les hôtels qui manquent … Non, une seule personne pouvait savoir où vous étiez. J’attrappais mon portable et cherchait dans le répertoire de celui-ci un numéro. Le numéro de fixe de Danny Messer, et Lindsay Monroe. En temps normal, j’aurai sourit, toujours aussi heureux de savoir qu’ils vivaient ensemble, mais là, je n’avais pas la tête à ça.

Mac : «Danny ? C’est Mac, est-ce que Lindsay est là ?

En temps normal aussi, je me serai excusé de l’heure tardive de mon appel, mais là, je ne pouvais pas, simplement. Pas plus que je n’avais fait attention au son de sa voix. Il chuchottait, je ne m’en étais pas rendu compte.

Danny : « Mac ? Euh… Lindsay est occupée là, vous ne voulez pas qu’elle vous rappelle plus tard ? Ca ne peut pas attendre ?
Mac : Je suis désolé Danny, mais non, ça ne peut pas attendre. Il faut vraiment que je lui parle.
Danny : Mac, elle parle avec Stella, elle va pas bien, pas bien du tout alors peu importe ce qui vous motive, je ne peux pas vous la passer, je suis désolé. »

Le pauvre Danny parlait seul, il n’en avait même pas conscience. J’avais complètement cessé de l’écouter lorsqu’il avait prononcé votre prénom suivi de « elle va mal », je m’étais presque précipité pour attrapper ma veste noire et je sortais déjà du bureau lorsqu’enfin je refis attention à lui :

Danny : « Mac, ça va ?
Mac : J’arrive Danny, je suis là dans … pas longtemps
Danny : Mais enf… »

Je devinais aisément qu’il était surpris de cette déclaration, et en même temps que mon arrivée lui déplaisait. Pas tant parce que je venais - sans me vanter, je pense pouvoir dire que Danny appréciait assez ma compagnie - mais juste parce que je venais importuner Lindsay, sa compagne. Que je ne respectais pas le fait qu’elle fasse autre chose, que j’entrais dans le jeu que j’avais toujours fui : celui du patron abusif. Ou même, peut-être était-ce de savoir que je ne repectais pas le désir de Stella de ne pas me voir. Je connaissais assez le lieutenant Messer et son fort caractère pour savoir qu’il avait un fort instinct protecteur ,et qu’il tenait profondément à vous. Il l’avait déjà tellement prouvé ! Tout comme je savais qu’il était intelligent, et intuitif. Je ne lui ai jamais demandé, mais je suis presque sûr que dès le départ, dès qu’il n’avait plus entendu de réponse de ma part après qu’il ait prononcé votre prénom, il avait compris. Il avait compris que je venais vous voir, vous. Danny ne parle peut-être pas de tout ce qu’il a sur le cœur, mais il sait toujours plus que ce que l’on veut bien lui dire. C’est sans doute ce qui fait de lui un si bon élément, et un si bon ami. Mais enfin, je ne pensais pas à ça à ce moment-là. Là, je réfléchissais juste à ce que j’allais vous dire. Et rien ne venait.
Un fou, je roulais comme un fou. Il n’y avait pas meilleur moyen de définir ma manière de conduire. Je conduisais comme ces chauffards que l’on voyait dans les films et que même certains pouvaient admirer. Moi, je ne les avais jamais admirés, au contraire, je les avais toujours regardés avec un certain dédain, jugeant qu’ils donnaient une mauvaise impression aux jeunes conducteurs qui pensaient pouvoir faire de même…Et mourraient dans un accident de voiture. Ou pire encore. Et pourtant je faisais comme eux… Je me suis même surpris à un moment à rouler sur le trottoir. Moi qui ai toujours respecté les règles me retrouvais à rouler la nuit, sur le trottoir, vite. Si en cet instant un passant était arrivé, je crois que je ne m’en serai jamais remis. Mais je ne pensais pas à ça. Je ne pensais qu’à vous. Vous et votre baiser. Vous et vos lèvres. Vous et le fameux « elle va mal ». Vous. Vous. Toujours Vous. Si on m’avait un jour dit que je finirai drogué, j’aurai rit au nez de la personne qui selon moi serait folle. Et pourtant je devais me rendre à l’évidence, j’étais drogué à vous. Vous étiez déjà ma drogue, mon héroïne, dans tous les sens du terme. Je me garai brusquement devant l’appartement de la famille Messer presque sans me rendre compte que j’étais arrvié, et accessoirement que si un automobiliste arrivait sans faire attention, je me retrouverait avec une épave sur les bras. En ouvrant la portière, je respirai un grand coup. OK, j’étais pressé de vous trouver et de vous dire tout ce que j’avais sur le cœur, mais je sentais que si j’arrivais comme ça, sans avoir au préalable réfléchi à ce que j’allais vous dire, j’allais me faire éjecter. Vous n’étiez pas de ces femmes mièvres, de ces femmes sans caractère qui accueillent les gens à bras ouverts alors qu’ils leur ont fait du mal. Vous étiez beaucoup plus que cela, et je vous avais blessée, j’en avais conscience, et devais tout faire pour rattrapper ça. Enfin, je me décidais à sonner à la porte du bas de l’immeuble. Je n’avais toujours pas de réponse exacte à vous donner, mais je savais déjà ce que j’allais faire. Vous embrasser en vous déclamant ma flamme restait la meilleure solution. Oui, la meilleure, et la plus agréable sans doute. La plus honnête. Je vous aimais, ceci était plus qu’une certitude ! Je montais les escaliers, Dnny m’attendais devant la porte de son appartement. Il la ferma silencieusement, nous plongeant dans le couloir. Je devinais qu’il était gêné, et qu’il ne tenait pas à me voir rentrer. Pour une raison inconnue.

Danny : « Mac, je ne crois pas que ce soit le bon moment-là…
Mac : Moi je crois que si Danny, au contraire, il faut que je vois Stella, c’est important.
Danny : Ecoutez, si jamais elle vous attrappe, elle va vous arracher les yeux. Je ne sais pas ce qu’il s’est passé entre vous, et je ne veux pas savoir, mais à votre place je ne rentrerai pas de suite. »

Il lut dans mon regard à quel point j’étais décidé, et rouvrit la porte, m’invitant à entrer en posant sur mon épaule une main chaleureuse. D’un geste du menton, il m’indiqua le salon tandis qu’il attrappait un biberon. Sans doute la petite Lucy avait-elle faim ? Elle était tellement adorable et … Moins que vous bien sûr. J’entendis soudain votre voix. Comme toujours j’étais charmé, mais cette fois-ci, il sembla que mon stress s’accentua. Pourquoi tout étais si dur ? Je m’avançais un peu. Je vous voyez, mais sans doute vous ne pouviez pas me voir. Vous teniez la petite dans vos bras, lui souriant comme une véritable tata gateau. J’étais sous le charme. Vous resplendissiez avec cette enfant dans les bras, et ce même si vos yeux semblaient plus humides, et plus sombres qu’à l’accoutumée. Vous étiez superbe, et vous dégagiez, comme toujours une réelle aura autour de vous. Une aura inimaginable. Une aura digne de vous. Je ne rentrai pas. J’aurai dû, mais Lindsay parla, et sa question attira mon attention.

Lindsay : « C’est Christos qui t’a appellée ? Tout à l’heure ? »

Votre regard fuya le sien tandis que je me rendais compte qu’effectivement, il avait amplement eu le temps de vous appeler s’il avait voulu depuis la fin de notre conversation. Voilà près de 5 heures qu’elle était finie. 5 heures que j’ai perdu parce que je n’étais pas à vos côtés. Il était surprenant de vous voir soudain hésitante. Vous qui êtes en général si sûre de vous. Vous ne sembliez pas vouloir croiser le regard de votre meilleure amie qui vous couvait avec inquiétude. En général, vous étiez une vraie mère poule, autant pour moi que pour le reste de l’équipe, et là, c’était la jeune maman qui vous fixait avec un de ces regards aimants, protecteurs et chaleureux que seule une personne qui nous aime réellement peut porter sur nous.

Stella : « Oui…
Lindsay : Et .. ?
Stella : J’ai accepté de l’épouser. »

Les mots étaient tombés, simples et seuls. Lindsay vous fixa un instant. J’étais incapable de deviner ce qu’elle pensait. Je n’étais plus en état. Vous veniez de me briser le cœur. Inconsciement, sans aucun doute, mais tout de même ! Je n’étaisp as sûr de m’en relever. Vous étiez venue chercher une réponse auprès de moi, la réponse qui allait changer votre vie. Je ne vous avais pas donné la bonne apparement, à moins que cette solution vous aille plus que celle que j’avais à vous offrir. Je posais mon front contre le mur, douloureusement. Mes derniers espoirs venaient de partir en fumée. Mon cœur venait de se briser. Je ne voulais plus m’en relever. Le matin même, je vous voyais encore comme ma meilleure amie qui revenait, ce soir-là, vous étiez désormais la femme de ma vie qui s’envolait.

Lindsay : « Stella tu …
Stella : Ecoute, il est génial. Je suis venue chercher une réponse, je l’ai eue. Ma question était de savoir lequel des deux je devais choisir. Je n’ai pas eu à faire de choix, Mac l’a fait pour moi. Christos est …
Lindsay : Tu l’aimes ? »

Un petit rire nerveux s’échappa de vos lèvres, un de ces rires qui étaient certes merveilleux, mais qui sonnaient faux lorsqu’ils sortaient de votre bouche. Vous qui êtes tellement franche en toutes circonstances …

Stella : « Jusqu’à présent je ne mettais jamais posée la question, mais je sais d’ores et déjà que je n’aurai aucun mal à l’aimer lorsque Mac aura …
Lindsay : Lorsque Mac aura quoi ??
Stella : Non rien, c’est stupide… Tu verras, il est vraiment parfait ! Je n’aurai même pas eu à hésiter avant de me décider si oui ou non je voulais l’épouser ! Il est adorable avec moi et …
Lindsay : Mais tu as hésité Stella. Tu as hésité parce que tu sais très bien au fond de toi que ce n’est pas celui que tu veux. »

Vous n’avez rien répondu, vous vous êtes contentée de sourire un peu, et avait passé Lucy à sa mère. Vous ne sembliez pas vouloir parler de vos sentiments, et de moi. Pourquoi ? Danny apparut derrière moi, et serra mon épaule de sa main massive avant d’entrer dans le salon., biberon à la main, provoquant des éclats de joies venant du bébé, et des rires chez vous et Lindsay. Je lui étais reconnaissant de ne pas avoir parlé de ma venue, et de ne pas m’inviter dans le salon. Je ne me sentais pas prêt à croiser votre regard, et à accepter de vous avoir perdu pour toujours. Je sorti silencieusement de l’appartement, laissant seulement un mot pour indiquer à Danny de ne pas s’inquiéter : « Vous aviez raison, je n’aurai pas dû venir. »

A suivre les enfants,
Rapidement j'espère =p
J'espère que ça vous plaît toujours ?
Malgré mon sadisme prononcé ?

Oh
Je me mets à la place de Mac, il dois énormément souffrir le pauvre
Maintenant faut qu'il se batte pour la récuperer.
S'il l'aime vraiment, il doit le faire.
J'ai bien aimé aussi le fait que Danny essaie de protéger Mac en lui disant de ne pas venir.

En tout cas, cette suite est superbe poignante.

Pauvre Mac
Mais bon il avait qu'a réagir quand Stella la embrasser quoi
Mais bon quand même le pauvre
Pfff Stella aller tu sais que tu l'aimes
T'aime pas christos
On le sais tous
En tout cas super suite
Vivement ta suite, ta fic est vraiment géniale !!!!!!!!!!!!!!!!

OMG!!! Quelle superbe suite!!

J'ai adorée!!! C'était super!!! raaa quelle sadique!! J'aurais voulu qu'il se montre moi lol

Ah la la les devoirs.... comme je te comprends! Quelle plaie!

Stella nan!! Arf Mac tu dois faire quelque chose!! Je sais pas moi rattrape et embrasse la!! Ca va vite regler le probleme xD

J'ai adoré ce chapitre.. J'espere voir la suite bientôt!!

pffffff....

ça m'agace !!!! mdrrr...

Encore une fois Mac n'a pas pris le courage d'entrer dans la pièce !!
ça m'énerve !!!


la suite !!

oh mon dieu ! t'as pas le droit de nous laisser comme ça hein !!!
Le pauvre Mac... et aussi la pauvre Stella, parce que dans le fond
elle s'en fout de son Christos !
allez, une suiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiite

Arg ! J'ai l'impression qu'il va falloir que notre Mac national se réveille lol
Désolée s'il est un peu pas courageux... C'est à dire qu'au début, i a rien comrpris à ce qui se passait, et Stella a tout mal compris, et là c'est parce qu'au fond il veut le bonheur de Stella, et il se retrouve avec elle qui dit qu'elle accepte de se marier donc forcément ... Mais il va se réveiller ! Promis ! Le coma ethylique, c'est pas pour lui ! xD
Allez ! Je continue à taper la suite ! xD

Merci, et désolée de mon sadisme du moment, c'est la fatigue *SBAFF*
Je suis contente que vous aimiez toujours

Mon p'tit coeur a battu, j'ai cru qu'il y avait une suite LOL

Une suite /o/
Et quelle suite ! C'est bien de voir Danny si protecteur avec ses proches ^^ Par contre, Mac il faut se réveiller, là ! Qui ne tente rien n'a rien... Bon, tu l'auras compris, la suiiiiite viiiiite ! Enfin dans la mesure du possible, c'est vrai que les devoirs et tout, parfois ça prend du temps. Courage ^^ J'aime toujours autant ta fic, en tout cas =)

superbe suite mais que de malentendus entre nos chéris !!! il faut que Mac se bouge les fesses !!!! non mais ......

oh j'ai vraiment envie de lire encore une suite mais ne t'inquiète pas on comprend que tu as beaucoup de devoirs, mets là dès que tu en as le temps, nous tâcherons de ne pas nous arracher les cheveux en attendant


merci et bravo

A quand une suite???!!

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Perdu. J’étais perdu. Et malheureux. Et soudain mal dans ma peau. Je me sentais comme à la mort de Claire. Comme lorsque vous aviez dû me ramasserà la petite cuillière, que vous aviez été la seule à pouvoir m’approcher, et pouvoir me soutenir parce que je n’acceptais que votre présence, et parce que seule vous aviez sû trouver les mots pour me rendre le sourire, et me permettre d’être de nouveau heureux. Vous êtes unique, Stella. Unique dans tous les sens du terme. Vous êtes unique parce que vous êtes extraordinaire, vous êtes unique parce que je n’aime que vous Vous êtes sans doute mon unique amie, et mon unique amour. Oui, c’est idiot de dire cela, d’autant plus à vous qui m’avez vu dans un état lamentable après la mort de Claire, mais je crois vous aimer encore plus que ce que je l’ai amiée. Non, en fait, j’en suis sûr. Je m’affalais sur mon canapé, une bouteille de bière dans la main. Ce n’était pas la première, ce n’était pas non plus la dernière. Ce n’était pas dans mes habitudes de boire, mais là, je ne savais pas quoi faire de plus. J’étais totalement déboussolé, et totalement déprimé. Pour rien. Vous alliez vous marier, le rôle de l’ami, plus encore du meilleur ami était d’être heureux pour vous, mais je n’y parvenais pas. Peut-être était-ce parce ue je m’étais rendu compte que je n’étais plus votre ami. Ou en tous cas, plus seulement. C’était étrange, je me sentais être devenu plus que votre ami, et en même temps, j’étais soudainement tellement éloigné de vous ! On frappa à ma porte et je me levais péniblement, ma bouteille de bière toujours à la main.

Mac : « Qui c’est ?
Lindsay : Mac, c’est moi, Lindsay »

Je grommelais. Qu’est-ce qu’elle pouvait bien me vouloir maintenant ? Elle aurait dû rester aurpsè de sa famille, de vous peut-être aussi . J’étais et je suis un grand garçon, malgré ma récente conduite comme celle d’un adolescent boutonneux, et elle devait bien savoir que dès le lendemain matin j’irai mieux. Ou pas. En apparence j’aurai été mieux, vous le savez mieux que quiconque, mais en réalité, je ne pensais pas me relever de cette histoire. A travers la porte, je savais qu’elle m’entedais râler parce qu’elle parla bien assez vite. Que seraitLindsay sans son irrépressible besoin d’aller vers les autres ? Elle vous ressemble en ce point d’ailleurs, même si vos méthodes sont différentes. Vous, vous y allez franco, sans avoir peur de blesser. Lindsay fait toujours plus dans la psychologie et l’attaque frontale ne semble pas lui convenir.

Lindsay : «Allez Mac, ne faîtes pas votre tête de mulle »

Tête de mulle… Là, je dois avouer que vous l’avez bien influencer. Qui d’autre que vous aurait pû oser m’appeler ainsi ? Dans les paroles de Lindsay, j’avais soudain le sentiment de vous entendre. Peut-être était-ce l’alcool qui faisait ça ? J’ouvrit la porte et invaitai votre jeune amie à rentrer. Je me doutais bien de ce qui motivait sa venue.

Mac : « Ne vous inquiétez pas Lindsay, je vais bien
Lindsay : Danny m’a dit que vous aviez tout entendu
Mac : Et alors ? Je suis un grand garçon vous savez ,et dès demain, je me porterai comme un charme !
Lindsay : Mac… Ce n’est pas en buvant de la bière que vous allez oublier Stella.
Mac : Qui vous dit que je veux l’oublier ? Si après plus de 10 ans j’arrive à oublier ma meilleure amie, c’est que je suis vraiment fort, ou totalement idiot.
Lindsay : Et si Stella était plus que votre meilleure amie ? »

L’alcool ne devait véritablement pas m’aider parce que je me souviens vaguement avoir eu un comportement d’enfant ce soir-là. Je me suis avachi sur mon canapé, invitant d’un simple geste Lindsay à faire de même et je me suis mis à marmoner dans ma barbe. C’était ce que je faisais de mieux ce soir-là j’ai l’impression.

Mac : «Lindsay, je n’ai pas envie de jouer aux devinettes, et j’aime penser que Stella est et sera toujours ma meilleure amie
Lindsay : Mac, elle vous aime. J’en suis sûre . Sinon, elle ne serait pas venue vous voir.
Mac : Lindsay écoutez..
Lindsay : Pour une fois, vous allez mécouter : je ne veux pas que ma meilleure amie se gâche la vie parce qu’elle n’épouse pas celui qu’elle aime. Vous la connaissez mieux que moi : elle est têtue. Elle n’a pas cherché à comprendre ,et quoi que vous lui ayez fait, elle a pris ça pour un refus. Christos, ou Nikos, ou quelque soit son prénom devrait arriver par le premier avion pour la retrouver, et croyez-moi, si elle repart avec lui, elle ne sera pas heureuse, et vous non plus. Elle vous aime Mac, elle me l’a dit, et répété. La seule chose c’est qu’elle ne veut plus attendre indéfiniment, et que son fiancé grec l’aime comme elle aimerait qu’on l’aime »

Elle se tut, je ne dis rien. J’avais envie de lui dire que je vous aimais sans doute plus encore que ce que vous aimais votre grec. Que je vous aimais comme personne ne pourra jamais vous aimer. Mais je ne le dis pas. Je le pense juste très fort. Le dire, ce serait dévoiler mes failles, et ce serait comme si j’abandonnais mes traditionnels secrets que vous seule pouvez décrypter. Lindsay se heurtait à un mur, elle le savait. Et elle est partie, avec un regard qui en disait long sur sa manière de penser, me disant seulement que l’avion de Christos arriverait aux alentours de 14 heures. Je ne répondis rien. Cette fille vous adore. Cette fille vous soutiendra toujours. Cette fille fera tout pour vous empêcher de gâcher votre vie. Cette fille a entièrement raison. Je ne sais pas si elle a raison pour vos sentiments, mais elle a raison sur le fait qu’il est hors de question que je vous laisse partir sans rien faire ,et sans rien dire. Je vous aime, et il est hors de question que vous ne le sachiez pas !

Cette nuit-là fut longue. Pour venir de l’aéroport d’Athènes à celui de New-York, il faut 12 heures environ. 12 heures, c’est plus de 3 fois le double de ce que j’ai dormi cette nuit-là. Je n’ai presque pas dormi. Je n’ai pas bu plus. Je me suis contenté de penser. A vous, à moi, à nous. Ou en tous cas, au nous possible que mon esprit fatigué essayait d’imaginer. A 14 heures, je démarrais ma voiture pour vous rejoindre ,et vous hurler mes sentiments. Pour que vous sachiez. Pour que vous fassiez le choix que vous étiez venue faire. S’il n’était pas trop tard en tous cas. J’avais peur, j’avais l’espoir que Lindsay ait raison sur vos sentiments, mais j’avais peur et … Les portes coulissantes de l’aéroport s’ouvrirent devant moi et j’entrai dans le vaste hall éclairé par le soleil.

Mac : « Stella je vous … ! »

J’entrai en criant, et je fermai la bouche bien assez vite, soudain honteux. Devant moi, un couple enlacé se tenait. Vous étiez là, devant moi, si proche et si loin en même temps, vos lèvres posées sur celles d’un inconnu, un grand brun à la légère barbe de trois jours qui vous maintenait fermement contre lui. Vous l’embrassiez passionnément. Il ressemblai un peu à Franky. En différent. En m’entendant, vous avez cessé de l’embrasser, et vous êtes tournée vers moi, surprise. Dans vos yeux, je voyais que vous ne m’aviez pas pardonné. Vos mains quittèrent le cou de votre fiancé, mais les siennes ne quittèrent pas vos hanches, provoquant chez moi un accès de jalousie, et une nouvelle brisure de mon cœur. Cette vision me l’avait arraché, je devais pourtant croire qu’il en restait u bout, juste assez gros pour que je puisse continuer à souffrir. Je détaillais mon rival. Il était grand, fin et musclé. Ses yeux étaient rieurs, ses yeux étaient noirs. Il devait être beau, sans doute l’était-il. Il vous aimait. Je le voyais à son regard, le regard qu’il posait sur vous et qui me faisait si mal. Il embrassa votre cou et je pût entendre sa voix. Il avait une voix grave et tendre à la fois. Une voix douce. Une voix qui semblait vous couver autant que son regard. Je comprenais soudain vos paroles de la veille « je n’aurai aucun mal à l’aimer ». Il semblait être avec vous, comme l’être parfait que vous aviez peut-être toujours recherché.

Christos : « Tu nous présentes ? »

Vous lui fires un sourire. Un sourire resplendissant, mais un sourire que j’identifiai comme gêné. Sans doute était-ce parce que je vous connaissais si bien ? J’étais curieux de savoir comment vous alliez me présenter. Comme votre ami ? Comme votre meilleur ami ? Vote collègue ?

Stella : «Euh oui, bien sûr : Christos, voici Mac, Mac Taylor, mon … mon meilleur ami
Christos : Alors c’est lui que tu voulais tellement voir ?
Stella : Oui, c’est lui, j’avais besoin de …de ses lumières sur quelque chose »

Il s’avança vers moi et me tendis une main brunie par le soleil de Grèce. Vous, comme lui, étaient parfaitmenet bronzés. Vous étiez superbes, je faisais tâche. Son sourire aurait pû être celui d’un mannequin pour la pub Colgate, mais je lui serrai toutefois la main, avec dans l’idée je dois l’avouer, de lui broyer les doigts. Mais je n’en fis rien. Je n’avais pas le droit. Sa poigne de main était franche. Oui, ce type semblait être fait pour vous. Vous nous regardiez. Non, en fait, vous me regardiez. Juste moi. Vos yeux verts ne me quittaient pas. Sans doute essayiez-vous de comprendre ce que je faisais ici ? Je ne savais pas quoi faire.

Christos : «Je vais aller chercher les valises, d’accord ?

Vous vous êtes tournée vers lui, souriante et vous êtes hissée sur la pointe des pieds pour déposer un léger baiser sur le coin de ses lèvres. Ca me faisait mal, mais il me semblait que cet homme vous rendez heureuse. Il vous a sourit, et est parti. Vous ne l’avez pas quitté des yeux, lui non plus. Lorsqu’enfin il sorti de votre champ de vision, vous vous êtes décidée à me parler.

Stella : «Qu’est-ce que vous faîtes ici ? »

Votre voix était calme, mais je pouvais deviner que vous masquiez votre colère, que vous faisiez votre possible pour l’empêcher d’exploser. Cela ne vous ressemble pas, mais je me doutais que le but était de ne pas provoquer d’affrontement où vous pourriez regretter vos paroles, ou mettre la puce à l’oreille de Christos.

Mac : «Stella, je suis désolé de ma réaction de l’autre jour et…
Stella : Votre manque de réaction vous voulez dire ?
Mac : Oui, mon manque de réaction…
Stella : Vous n’avez pas à vous en vouloir, les sentiments n’étaient pas partagés, point à la ligne. Il n’y a pas à plus en discutter.
Mac : Mais vous …
Stella : Non, je ne vous en veux pas, je ne vous comprend pas, mais il faut croire que partir quelques mois nous empêche de redevenir votre décodeur attitré trop vite »

Vous m’avez sourit, mais je sentais que vous n’aviez pas vraiment envie d’en rire. Toutefois, une nouvelle douceur s’était empreinte dans vos yeux. Au loin ; je distinguai Christos revenir, souriant. Je devais parler, et vite :

Stella : «C’est Lindsay qui vous a dit que je serai là ?
Mac : Oui… Stella écoutez je …
Stella : Je m’en doutais qu’elle ferait ça, il faut croire que j’ai détins sur elle à me mêler de ce qui ne me regarde pas »

Christos était là, à deux mètres, et vous continuiyez à parler. Je devais faire quelque chose.

Mac : « Je vous aime Stella »

A suivre =p

Spooky, je suis désolée, de t'avoir donné de faux-espoir, et d'avoir encore mis deux plombes à poster. Cette fois-ci, c'est dû à l'école, mais surtout à un zaccès d'inspiration dû à l'abus d'écoute de musiques. En somme, je suis repartie sur un nouvelle fic *SBAFF*. Ca m'a pris d'un coup, et voilà le résultat, j'en oublie de taper celle-ci lol
Elfindel, je suis ravie que ça te plaise toujours Là il s'est réveillé, mais quant aux résultats ...
Poupi, je crois que les malentendus sont finis. Un peu trop finis *SBAFF* Et je suis désolée du retard ,encore ! xD

En tous cas, j'espère que la suite vous plaît, même si en l'écrivant je l'ai trouvée assez pas mal, et en la retapant je l'ai trouvé bof xD

siiiiiiiiiii elle est bien cette suite !!! Et la dernière phrase !!!!

OMG il a osé !!!

Je veux la suite ! je veux voir la réaction de Stella !!!

STP poste la vite !!!!! ne l'oublie pas !!!

Wah wah, wahou, cette suite est...Comment dire ça m'a coupé le souffle tellement c'est bien écrit.

C'est super, Mac qui se décide à agir mais c'est peut-être trop tard. En tout cas je pour que ce ne soit pas le cas.
Stella la balle est désormais dans ton camp! Ne fait pas l'imbécile

HAAAA Non mais c'est pas possible de s'arrêter la!!

Cette suite est excellente, Mac l'a dit, Mac l'a dit!!

Comment Stella va réagir.. Et comment le petit ami va réagir?

OMG, il faut vite que tu poste la suite!!

Allez ! Je me suis dit que c'était horrible de s'arrêter là, alors j'ai un peu continuer, juste histoire de pas vous laisser avec cette simple phrase à la fin =D C'était pas super sympa de vous laisser sans la réaction de Stella alors voilà, au moins si je suis longue, vous n'aurez pas trop le suspens =D

Merci beaucoup les filles, je suis ravie que ça vous aie plû =D
Il a enfin osé ! Mieux vaut tard que jamais comme on dit ! Forcément il a mal choisi son moment, encore, mais bon, on fait ce qu'on peut avec ce qu'on a, hein ! xD
Merci beaucoup !

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Pour la discretion, c’était loupé. J’avais presque hurlé cette phrase, seul moyen que j’a itrouvé pour que vous entendiez ce que je ressentais pour vous. Je vous ai regardé. Il semblait que vous ayez besoin d’un appui. C’était la première fois que je vous voyais ainsi. Vous sembliez avoir des problèmes d’équilibre, et Christos fut le plus prompt à réagir puisqu’il vous rattrappa, vous laissant s’appuyer sur lui. Il avait tout entendu. Je le savais. Ce n’était pas le but, mais vu mon cri, il ne pouvais qu’avoir entendu . Vos muscles semblaient s’être tendu. Je sentais le regard que Christos posait sur moi, mais je n’y faisais pas attention. Seul comtpait le votre. Seuls comptaient vos yeux.

Stella : « Quoi ?
Mac : Je sais, c’est soudain, et je sais aussi que le moment est mal choisi mais je … Je devais vous le dire »

Vous avez lâché votre fiancé, vous vous êtes avancée, franchissant le mètre qui nous séparait. Vous étiez furieuse et chamboulée. Vous étiez incapable de savoir quoi faire, je le voyais. Moi-même je ne savais pas ce que vous alliez faire : m’embrasser ? Pleurer ? Il me sembla que votre option était bien plus radicale. Votre main claqua bruyament contre ma joue qui devait déjà être en train de rougir. Dans le même instant, vous commenciez à pleurer, silencieusement. Vous en deviez même pas vous en rendre compte.

Stella : « Comment osez-vous ? Comment osez-vous venir me dire ça alors que je vais partir ?
Mac : Je sais, je n’aurai pas dû mais je …
Stella : Non, vous n’auriez pas dû. »

En vous entendant, je sentais tous ces mots que vous esayiez de ne pas faire sortir de votre bouche. Je sentais que vous ne vouliez pas en dire trop. Par peur de briser notre amitié ? Ou votre futur mariage ? Je ne savais pas, mais vous essayiez de vous modérer, même si vos yeux faisaient plus mal que vos mots. Je lisais en eux tout ce que vous ne vouliez pas me dire. Je lisais que j’avais eu ma chance, que je ne l’avai pas saisi, je lisais que je n’avais pas le droit de briser votre mariage qui était passé du plan B, au plan A. Je lisais tellement de chose que j’aurai tout donné pour être aveugle, juste pour ne plus voir votre regard tourmenté tellement douloureux lorsqu’il se posait sur moi. Christos s’est avancé aussi. Il n’a rien dit. Je lui en était reconnaissant. Il a attrappé votre main, vous vous êtes blottie contre lui, vous êtes partis, tous les deux, main dans la main. Et alors même que vous ne m’aviez rien dit, j’entendais dans ma tête votre voix répérer inlassablement ce que vous pensiez sembler tout bas : encore une fois, j’avais agis sans réfléchir suffisement. Lindsay avait eu tord. Je m’en redais compte en voyant votre silhouette se diriger vers le café de l’aéroport accrochée à celle de Christos. Je me laissais lourdement tomber sur les chaises peu confortables de la salle d’embarquement, comme un vulgaire voyageur. Un voyageur qui en deux mots avait tout perdu. Un voyageur idiot.

Ces chaises, personne ne peut rester assis dessus. Elles sont inconfortables au possible, et pourtant je ne m’en rednais pas compte. Je regarder défiler les voyageurs sans les voir vraiment, ils prenaient leurs vols les uns après les autres, et moi, je ne sais pas combien de temps je suis resté là, assis, le regard éteint, l’air hagard. Je n’étais qu’un imbécile. Un imécile qui a laissé partir sa chance. Un imbécile, point. Pourquoi avais-je dit cela ? Pourquoi avais-je parlé alors que votre choix était déjà fait ? Pourquoi n’ai-je pas fait comme tout le monde et écrit une lettre ? Ou mieux encore, pourquoi n’ai-je pas répondu à votre baiser, lorsque vos douces lèvres se sont posées sur les miennes ? Pourquoi est-ce que je suis un idiot ? J’avais agi en parfait imbécile. Alors que quelques heures auparavent j’avais une meilleure amie à mes côtés, aujourd’hui je n’avais plus personne, alors qu’une journée auparavent vous étiez heureuse de me voir, aujourd’hui je vous ai vu capable de me gifler, alors que 6 mois auparavent nous mangeions des nouilles dans mon bureau, aujourd’hui vous dugustiez votre nouvelle vie avec votre fiancé. J’avais tout perdu en une journée. Oui, tout. Parce que vous êtes mon tout. J’ai menti à Lindsay, vous n’êtes pas seulement ma meilleure ami. Je me suis menti, vous n’êtes pas seulement la femme que j’aime. Vous êtes mon tout. Vous êtes tout ce que j’ai ,et tout ce que je détiens. Tout ce que je détenais tout au moins. Tout ce que je veux chérir. Tout ce que j’ai perdu…

Mac : « Je ne suis qu’un imébile !
?: Mais non, vous n’êtes pas un imbécile. Il vallait mieux que vous parliez maintenant, plutôt que d’attendre 10 ans, vous ne croyez pas ? »

Je me tournai vers l’homme qui avait parlé. Je ne l’avais pas vu s’asseoir près de moi. Et pourtant, il n’était pas facile de le louper avec sa chemise blanche et son charme latin. Christos se tenait à mes côtés, me souriant un peu. Pourtant, je devinais à ses yeux qu’il avait pleuré. Qu’avait-il bien pû se passer ? Que faisait-il là, à mes côtés ? Ne devrait-il pas plutôt être avec vous ?

Mac : « Je … Dans 10 ans les choses auraient peut-être été différentes
Christos : Je ne le pense pas. Mais si c’est dans cette idée que vous voulez vous enfermer, faîtes donc. Que faîtes-vous ici ?
Mac : C’est plutôt à moi de vous demander ça.
Christos : Ca fait plus de 3 heures que vous êtes là ? »

3 heures ? C’était le temps ue j’avais passé assis sur ces chaises ? Il n’était alors pas étonnant que j’ai mal aux fesses. Je n’avais pas vu le temps passer, perdu dans mes souvenirs, et mes regrets. Il m’en avait fallu du temps pour revenir à la réalité.

Mac : « Il semblerait … Et vous alors ? Que faîtes vous encore ici ? Stella voulait sans doute vous présenter à ses amis ?
Christos : J’ai un avion à prendre : je rencontrerai les autres amis de Stella plus tard. Si tous me font le même numéro ! »

Il me sourit, un peu amusé, et taquin, même si je voyais bien qu’il se donnait une certaine forme de contenance. Plus je le voyais, et plus je comprenais ce qui vous avez plu chez lui. Pourtant, j’étais gêné par ses propos. Il ne voulait pas rencontrer Danny, Lindsay et les autres de peur que tous aient la même réaction ? Non, il ne fallait définitivement pas penser cela. Il n’y avait que moi pour être assez idiot pour faire sa déclaration au moment crutial des retrouvailles amoureuses. Je lui répondis sombrement.

Mac : « Je doute que quiconque soit assez idiot pour vous faire le même coup…Christos : Je vous ai déjà dit que je ne trouvais pas votre déclaration idiote.
Mac : Mais vous n’allez quand même pas rencontrer les amis de Stella ?
Christos : Ce n’est pas le moment. Je doute qu’elle soit en état d’expliquer que l’on est plus ensemble. Je les rencontrerai un autre jour sans doute. »

Plus ensemle ?! Etait-ce de ma faute ? Sans doute, vu la joie que je percevais alors qu’ils étaient enlacés. La petite voix avait raison. Je venais de gâcher le mariage de ma meilleure amie. Mais qu’avait-il pût se passer ? Christos n’avait-il pas vu la giffle monumentale que je m’étais prise ? N’avait-il pas vu que c’était lui que Stella aimait ? Qu’elle ne voualti pas de moi ? Soudain, j’espérais qu’il ne soit pas suffisement jaloux et possessif pour laisser Stella partir à cause de ma déclaration.

Mac : « Je suis désolé…
Christos : Il ne faut pas. Vous savez, les sentiments ne se commandent pas, je le sais et je ne vous en veux pas. Je n’ai pas à vous en vouloir. Avec Stella, on a décidé d’un commun accord de se séparer. Sans doute resterons-nous toujours amis, mais je ne veux pas qu’elle se lance dans un mariage dans lequel elle n’est pas sûre d‘être heureuse.
Mac : Je ne voulais pas être la cause de votre séparation, je lui ai dit pour qu’elle le sache, c’est tout.
Christos : Vous l’avez précipitée, mais Stella et moi, je ne sais pas si ça aurai marché. Vous savez, lorsqu’on était en Grèce, elle m’a plu de suite. Mieux, je l’ai aimé de suite. Mais je sentais qu’il lui manquait quelque chose. Quelque chose d’important. Ce n’est que lorsque vous êtes arrivé que j’ai eu le sentiment de la retrouver entière. Et la gifle que vous avez reçue (superbe je dois l’avouer) est simplement la preuve des sentiments qu’elle éprouve pour vous. Je m’en doutais déjà, maintenant j’en suis sûr et je ne voulais pas que Stella se marie sans m’aimer. Enfin, je ne voulais pas…. : Passer le reste de ma vie ave celle ne m’aurai pas déranger, loin de là, mais elle est intègre, elle est forte, et elle ne se serait pas contenté longtemps d’un fort sentiment d’affection. Et moi non plus, pas de la part de Stella. Je crois que je la veux en entier, pas un simple bout de sa personne. »

Cet homme que j’avais pris pour mon rival m’apparaissait soudain comme quelqu’un de fabuleux. J’avais déjà relevé son côté charmant qui avait dû vous faire fondre, je trouvais maintenant son intelligence, sa sagesse, son amour immense pour vous, et son respect de votre personne. Ce type était véritablement quelqu’un de bien. Quelqu’un qui vous aimait suffisement pour vous laisser partir et vous pousser à être heureuse. En sachant que vous alliez l’épouser, je l’ai haït. En réalité, il n’a rien pour être haïssable. Vous aviez raison, avec vous, il est parfait. Et ses mots gonflèrent mon cœur.

Mac : « Je suis désolé pour vous deux
Christos : Moi aussi, mais que voulez-vous ? Stella est quelqu’un de bien, qui mérite d’être heureuse. Et comme je lui ai dit, ma porte lui sera toujours ouverte si par miracle elle trouve pour moi un amour incommensurable. Je l’aime vraiment, mais il faut savoir accepter les défaites pour s’en sortir. Et d’ailleurs, c’est ce que je fais en repartant pour la Grèce de ce pas. Elle m’a dit qu’elle m’appellerait, j’aurai au moins la joie de l’avoir comme amie… »

Il s’est levé, moi aussi . Nous nous sommes serrés la main. Sa poigne était différente. Toujours aussi franche, elle m’indiquait toutefois que je n’avais pas intérêt à vous faire souffrir. Son regard essayait d’être rieur. Je voyais toutefois qu’il n’avait qu’une envie, pleurer de nouveau. Qu’il voulait partir vite pour ne plus penser à vous. Il attrappa sa veste en cuir qu’il plaça sur son épaule comme un mannequin désinvolte et parti, après m’avori fait un dernier signe de la main, et s’arrêter. Il se tourna, le regard moqueur:

Christos : « Bonne chance avec Stella !
Mac : Merci
Christos: J’vous en prie : vous êtes tellement pas doué pour parler sentiments que d’ici trois jours elle va m’appeler en disant que je lui manque »

Il se moquait de moi. Je n’y croyais pas. Ce type, ce rival se moquait de moi. Ouvertement en plus. Il avait votre légèreté et votre fraîcheur. Je lui souris bien qu’ayant envie de lui répondre. Si je ne m’étais pas interposé, je suis convaincu que vous auriez formé le plus beau ocuple qu’il ait été donné de voir. Vous étiez tellement les mêmes ! Aussi beaux l’un que l’autre, aussi gentils et attentionnés, aussi drôles… Après lui, comment pouviez-vous vouloir de moi ? Et pourtant, je me sentais plus léger… Une nouvelle idée naissait dans mon esprit, celle qui allait ryrthmer la mission : « reconquérir Stella Bonasera »…





NB: le soucis avec cette fic, vous voulez le connaître ? Je suis presque tombée amoureuse de ce Christos *SBAFF* J'exagère, mais alors qu'à Mac je lui ai donné le terrible défaut d'être un peu peureux, je suis presque tombée sous le charme de ce Christos, c'est horrible lol

ohhh merci pour cette suite si rapide !!! j'ai adoré !

et enlève toi ce Christos de ta tête vite fait ! Ou trouve lui une compagne, sais pas moi, une hotesse de l'air !


et écris nous une belle fin pour nos deux chéris...

je reconnais que tu nous l'as soigné aux petits oignons le Christos et moi aussi je ne suis pas insensible à son charme, bien sûr personne ne vaut Macounet mais lui il est très agréable et si vraiment il s'ennuie de Stella je veux bien le réconforter un peu

en tout cas merci pour ces deux merveilleuses suites, et puis nous serons toujours aussi ravies de te lire, ne nous abandonne pas trop longtemps quand même.

j'ai également hâte de découvrir ta nouvelle fic, c'est un plaisir de te lire.

Ca c'est de la gifle

Si je n'aimais pas aussi fort Mac, je n'aurais pas été contre qu'il parte avec Stella, car c'est une personne bien ce Christos.

Hate d'avoir la suite

J'adore ce Christo LOL Ca va elle est tombée sur un type bien lol

rroo la pauvre comme même

Allez Mac fonce maintenant!! T'as plus d'obstacles... enfin à part les sauts d'humeur de Stella

J'ai adorée ces deux suites!!!

A quand la prochaine??

Franchment y'a de quoi tomber sur le charme de Christos
Moi je veux bien un homme comme ca
Vu que stella n'en veut pas qu'elle me le laisse mdr
Bon maintenant Mac tu leve tes fesses de cette chaise
Et tu vas voir Stella et plus vite que ca
Vraiment adoré tes suite comme toujours

C'est vrai qu'il a l'air d'un type bien, ce Christos, limite c'est lui qui a le beau rôle au lieu de Mac ^^ Enfin, maintenant il va pouvoir aller reconquérir Stella...go, Mac ! xD
Superbes suites, pour ne pas changer ^^ Vivement la réconciliation entre Stella et Mac