Awake

Spooky a écrit:

Citation :

Semper Fi

Ca veut dire quoi ?

C'est l'abréviation de "Semper fidelis", c'est le devise des Marines et en français c'est "Toujours fidèle"

Merciii

j'ai beaucoup adoré cette suite, la rencontre avec l'équipe était sublime
ils s'entendent tous à merveille
la tête de l'équipe à la vue de Pénélope et Lila
ça valait le détour, en plus je les imagine très très bien surtout Danny et Don
l'échange de Pénélope et Stella était pleins d'émotions
et Stella qui pense qu'elle connaît de moins en moins Mac ça m'a achevé

Merci La Dilettante pour cette superbe suite
et il n'y a pas de problème, prends tout ton temps pour poster
et j'espère vraiment que tu iras mieux et que tout s'arrangera pour toi
et voici pleins de calins pour te réconforter

Oups. Mea culpa. J'aurai du préciser... (Je regarde trop ncis); Semper Fi, c'est l'abréviation de Semper Fidelis (toujours fidèle) et c'est la devise des Marines. En gros, ça traduit tout l'esprit militaire honneur, courage, fidélité, servir sa patrie... C'est Mac, quoi.

ah elle est génial cette suite, la rencontre avec l'equipe trop bien
et puis la rencontre entre Stella et Penelope ^^

mac passe à l'action ? ... j'ai hâte de voir ce que ça nous réserve ^^
j'espère que c'est par rapport à Mac et Stella ^^

la suite la suite

Géniale cette suite
Enfin la rencontre avec l'équipe
Ca va ca c'est plutot bien passé
Pénélope et Stella complice ohoh
Finalement elle est pas si méchante que sa pénélope
Je dirais même que je commence à l'apprécier, je commence seulement xd
Vivement la suite !!!!!

J'étais impatiente de lire les suites que j'avais loupées et c'est toujours aussi magnifiquement bien écrit , j'adore
et comme les autres , je commence à apprécier Pénélope .........

Bon, désolée du retard. je devais pposter la semaine dernière mais je suis overbookée (personne ne s'y connaît en tourisme sous-marin, par hasard ?) Peu importe. Me revoilà avec un nouveau petit bout d'histoire ! Vos commentaires m'ont beaucoup touchée... Vous êtes marrants, tous et toutes... Je ne comprends pas très bien ce que vous aviez contre cette pauvre Pénélope : elle a été très correcte depuis le début ! Bon, certes, elle est restée 3 ans sans donner de nouvelles mais, eh, il pouvait en prendre aussi ! Il avait le téléphone ! Bref, je suis ravie que vous finissiez par l'aimer même si je crains que ce chapitre... Enfin, vous verrez bien.


En essayant continuellement on finit par réussir. Donc : plus ça rate, plus on a de chance que ça marche.
[Jacques Rouxel]

La grande nouvelle avait très rapidement fait le tour du labo : Mac Taylor avait une fille. Finalement, il était un homme comme les autres. Peut-être même qu’il dormait de temps en temps ?
Et puis, comme il en va de tous les scoops, on se lassa de ce ragot finalement assez banal et Mac, à son grand soulagement, ne fut plus le centre d’attentions permanentes. Peu à peu, tout le monde se fit à l’idée que Mac Taylor était père et lui le premier. Les choses reprirent leur cours. Lila et Pénélope passaient parfois, sa fille – pour une raison qu’il avait d’abord eu du mal à comprendre – avait une grande passion pour Adam. Et puis, il avait fini par comprendre : le jeune technicien avait une réserve inépuisable de chocolat et une série d’expériences très divertissantes. Comme l’explosion d’une bouteille de coca grâce à trois pastilles de menthe.

Tout allait donc pour le mieux dans le meilleur des mondes lorsque Thanksgiving arriva. Et pour la première fois depuis la mort de Claire, Mac eut envie que toute sa ‘famille’ fut réunie autour de lui pour l’occasion. D’autant plus que sa mère n’avait pas toujours pas renoncé à son idée de rencontrer son équipe et particulièrement Stella dont, d’après elle, il ne cessait de lui parler. Il était certain qu’elle exagérait un peu mais le fait était que faire changer Adèle Taylor était plus compliqué que d’inverser le sens de rotation des planètes… Mac avait donc capitulé et une idée s’était formée dans son esprit. Mais pour ça, il avait besoin de l’aide de Pénélope. C’est pour cette raison qu’il se trouvait au saint des saints, après avoir du montrer patte blanche à une dizaine de gardes armés, à attendre que Mlle Artridge en ait terminé avec un groupe de diplomates français particulièrement bavards. On l’avait autorisé à patienter dans le bureau de Pénélope mais il se savait surveillé… Un garde passait et repassait dans le couloir, l’air de rien.
Mac sourit en apercevant les photos de Lila sur le bureau de la jeune femme. Il y en avait même une de lui et Lila… Ce meuble était le seul qui semblait un temps soit peu organisé. Quelques crayons dans une tasse bleue marquée ‘ONU’, une pile de papiers et un ordinateur dernier cri. Le reste de la pièce était dans un état de chaos indescriptible. Il y avait, dans un coin, un canapé sous lequel il apercevait des jeux pour enfants – inutile de se demander à qui ils appartenaient. Une série de dossiers s’alignait près de la porte. Des dictionnaires divers et variés jonchaient le sol. Il y avait aussi une télévision dont les câbles courraient dans toute la pièce et un petit lecteur CD. Du Pénélope tout craché, en fait.
« Ey, Mac. » Justement, la voici qui revenait. La jeune femme l’embrassa chaleureusement, referma la porte du bureau et se laissa tomber dans son confortable fauteuil de cuir. « Ca fait longtemps que tu m’attends ?
- Non.
- Ok ; je suis désolée. Mais ces types voulaient emmener leurs femmes en soirée et ils avaient besoin de bonnes adresses. Manifestement, ils pensent que tous les new-yorkais connaissent Manhattan comme leur poche. J’ai eu du mal à leur expliquer que je ne remontais la 6ème avenue que lorsqu’il y avait des bouchons. Je les ai confiés aux bons soins de Becca, la réceptionniste. Cette fille, c’est les sœurs Hilton à elle toute seule.
- Je vois. » Il ne voyait pas du tout, il n’avait même pas l’ombre d’une idée sur qui étaient les sœurs Hilton. Mais il s’en moquait un peu. « Mais tu n’es pas là pour ça, poursuivit Pénélope en farfouillant dans un tiroir d’où elle extirpa un sachet de biscuits. Tu en veux ?
- Non, merci.
- Qu’est-ce qui t’amènes ?
- Je me demandais ce que tu avais prévu pour Thanksgiving.
- Thanksgiving ? Je ne sais pas. Pas grand-chose. Je ne suis presque jamais aux Etats-Unis pour Thanksgiving…Lorsque c’est le cas, en général, on va chez Bree-Ann et Luke. On invite quelques amis. Des collègues de Bree, l’an dernier il y avait deux mecs de l’équipe de hockey – ils ont avalés une dinde à eux tout seul. Je suppose que c’est ce qu’on va faire cette année aussi. Pourquoi ?
- Parce que j’aurai aimé réunir tout le monde cette année. C’est le premier Thanksgiving avec Lila et…je voudrais avoir ma famille.
- Je vois. Pas de problème, tu connais Luke et Bree-Ann, tu n’as qu’à venir avec nous. Ta mère est la bienvenue aussi.
- C’est gentil, mais je pensais… inviter mon équipe. Je me demandais si toi et Lila pouviez venir.
- Bien… Je ne sais pas. C’est un peu délicat. Luke et Bree sont un peu ma famille… Je…C’est important pour eux de nous avoir, je crois. Lorsque je ne pouvais pas venir sur New-york, pour Thanksgiving ou bien Noël, c’est eux qui venaient me rejoindre. Ils ont toujours été là, je…
- Dans ce cas, invite-les également. » Ce serait probablement la plus grande tablée qu’il n’ait vue depuis son mariage, songea Mac. « Flack est un fan de hockey. » Sourit-il. Mais Penny ne sourit pas. Elle se mordillait la lèvre, signe qu’elle était sur le point de faire quelque chose de désagréable. « Franchement, Mac, je ne sais pas. Il faut que je vois ça avec eux, tu comprends ? Ils ont peut-être prévu autre chose.
- Bien sûr. » Le marine tenta de cacher sa déception. « Je comprends. Ecoute…essaie de leur demander et si…enfin, rappelle moi dès que tu sais.
- Ok. Quoiqu’il arrive, tu seras toujours le bienvenu à notre table, tu le sais. » Il la remercia d’un signe de tête et se leva. « Je devrais retourner travailler… »

Sur le chemin du retour, Mac songea soudainement que les choses ne seraient jamais aussi simples qu’il ne le voudrait. La question se reposerait à l’avenir, pour tous les Thanksgiving et Noël qui viendront. Avec qui Lila passerait-elle les fêtes ? Ils ne seraient jamais une véritable famille.
«Vous avez l’air déprimé. » Constata Stella en entrant dans le bureau. Comme si de rien était la jeune femme se laissa tomber dans le siège en face du sien, et le regarda avec intérêt. Elle était prête à l’écouter, traduisit-il. Mais il n’était pas certain de vouloir en parler. « Que se passe-t-il ?
- Rien.
- Mmm.
- Quoi ?
- Je connais vos riens, Mac Taylor. Ils veulent dire ‘j’ai des soucis mais je ne veux pas en parler’. Est-ce que vous allez me dire ce qu’il y a ou vais-je devoir le deviner moi-même ?
- Stella.
- Très bien. » Elle se releva. « Vous ne voulez pas en parler, j’ai compris. Mais ne croyez-pas que je vais renoncer pour autant. » Mac sourit. « Retournez travailler.
- A plus tard. »

Stella était en train de rassembler les derniers morceaux de vitre brisée lorsqu’une ampoule s’alluma dans sa tête. Thanksgiving. Bien sûr, c’était sans aucun doute le problème. Il devait y avoir un problème avec Lila et Pénélope… Peut-être qu’il avait voulu avoir sa fille pour l’occasion et que la jeune femme avait refusé ? Ou bien peut-être que… Pénélope avait l’air du genre à sauter dans le premier avion pour fêter Noël et autres aux Bermudes ou au fin fond de l’Alaska. Si ça se trouve, elle voulait simplement emmener Lila avec elle et Mac se sentait mis à l’écart. Compréhensible. Tous les deux s’étaient toujours refusé à mettre à plat les droits parentaux, signer quelques papiers… Elle devait bien avouer que cela surprenait de la part de son ami : lui toujours si à cheval sur les règles… Mais il ne devait pas vouloir risquer de tout perdre en appelant un avocat, surtout après le fiasco du mariage. Et il faisait confiance à Pénélope – peut-être même un peu trop d’après elle. Pas que la jeune femme n’ait pas eu l’air digne de confiance, difficile de juger en une entrevue de 10 minutes, mais c’est vrai qu’il l’avait habituée à autre chose.

Elle avait du mal à se faire à ce nouveau Mac Taylor. Une petite voix narquoise murmurait ‘jalouse’ à son oreille. Oui. Peut-être. Mais pas de ce qu’ils croyaient, tous. Elle n’était pas jalouse de la possible relation amoureuse avec Pénélope… C’était juste… Cette famille. Pendant longtemps, elle avait cru qu’ils formaient tous une grande famille – seulement, aujourd’hui… Danny avait Lindsay. Lindsay avait Danny et une grande famille dans le Montana à laquelle son petit-ami appartenait quasiment… Flack avait Angell, Sid avait toujours eu ses filles. Et Mac avait maintenant Lila, Pénélope et sa mère. Il était bien entouré, c’était la seule chose qu’elle lui enviait. Mais il était heureux, se raisonna la scientifique, Mac est heureux, et s’il l’est et bien je devrais l’être aussi…
Et s’il voulait ce premier Thanksgiving en famille depuis la mort de sa femme, alors il devrait l’avoir. Il le méritait bien.

« Pénélope ? C’est Stella. Je ne sais pas si vous vous souvenez de moi…Est-ce qu’on pourrait se voir un moment ? Dans une heure au Starbucks ? Parfait »


A suivre : the conversation

Cette suite est super comme toutes les autres d'ailleurs.

J'espère que Stella va réussir à tout arranger avec Pénélope.

Maman Taylor qui veut rencontrer Stella, c'est une excellente nouvelle ça

cette suite est génial ! j'adore

Pénélope est un peut chiante pour tout ça quand même, faudrait qu'elle apprenne à faire des compromis maintenant.

Stella à la rescousse, elle va convaincre pénélope pour thanksgiving j'en suis sur ^^

Elle a bien raison Mme Taylor de vouloir rencontrer Stella, elle va l'adorer et après elle va tanner Mac pour qu'il l'épouse ... et se sera dans la poche MDR ^^

j'ai hâte de voir l'entrevue de Stella et Pénélope en tout cas ...

Bah voila c’est officiel, je recommence a pas aimer Penelope ! Nan mais qu’elle égoïste franchement, c’est aussi la fille de Mac il a le droit d’être avec elle pour les fêtes nan ? >_<

Que d’effort pour apprécier cette jeune femme réduit a néant en quelques secondes XD


Hum comme Stella je pense que Mac et cette jeune femme que je saurai nommer devrais régulariser les choses avec Lilas (heuuu je parle pas de mariage hein, juste de garde partagé )


Mme Taylor va rencontrer Stella et filer deux bonnes claques a son fils pour ne l’avoir déjà demandé en mariage ! (quoi on peut rêver nan ? )


J’ai hâte de lire la discutions Penelope/Stella… Si cette Penelope pousse Stella vers Mac et inversement, qui sait ? Je vais peut-être recommencer a l’apprécier… Ou du moins a la supporter XD

tout comme Emilie, je recommence à ne pas aimer Pénélope!!!! Elle pourrait quand même penser à Mac un temps soit peu .D'accord, ils ont des habitudes mais elle pourrait expliquer à ses amis ou du moins essayer

très belle suite comme les précédentes d'ailleurs.Madame Taylor qui veut rencontrer notre chère Stella ; elle pourrait nous être d'une grande utilité je crois!

Emilie a écrit:

Mme Taylor va rencontrer Stella et filer deux bonnes claques a son fils pour ne l’avoir déjà demandé en mariage ! (quoi on peut rêver nan ? )

bien sûr Emilie, je suis bien tentée de faire le même rêve que toi

La discussion Pénélope/Stella, hâte de savoir ce que ça va donner, Stella a pour habitude d'être très persuasive, j'espère qu'elle réussira à offrir à Mac le Thanksgiving qu'il mérite.

J'ai bien aimé cette suite!!!

J'ai hâte THE conversation!!!!

Géniale cette suite comme toujours
Thanksgiving
Bien sur qu'il l'aura son Thanksgivins Stella fera tout pour qu'il l'ait
Impatiente de lire The conversation

j'adore

Impatiente de lire la suite même si je crains fort que les bonnes intentions de Stella braquent Pénélope............

Je sui sfan !!!!!!!!
fan de toi, de ton style d'écriture! J'adoOore ! C'est fluide, trés agréable avec des pointes d'humour distillées ci et là, et une émotion pure, sous entendue, entre les lignes, juste sublime!

Et je crois que je l'aime déja énormement cette Adèle Tailor avant meme de l'avoir rencontrée!

ah oui, j'allais oublier! Danny et Don version Tex Avery avec la machoire qui se décroche

Hate de lire la suite!

Bravo à toi!

OUps... J'avais oublié de poster. Mon plan prévoyait de vous laisser le chapitre 25 vendredi et, vu qu'il est très court, mettre le 26 le dimanche. Mais j'ai complètement zappé... Peu importe. Je vous en un met aujourd'hui et le deuxième demain soir (si je n'oublie pas).
En tout cas, vos commentaires m'ont bien amusées : pauvre Pénélope, elle ne fait rien de mal pourtant. Si c'était Stella à sa place, vous auriez compris son point de vue Enfin, il faut toujours un bouc émissaire isnt it ?
Allez, place à la conversation tant attendue...



Il y a parfois entre deux personnes un lien si profond qu'il continue de vivre même quand l'un des deux ne sait plus le voir.

Christian Bobin


Stella attrapa son café d’une main, tandis que l’autre tendait la monnaie à la jeune serveuse avant d’attraper une serviette en papier dans un geste démontrant une grande aisance. Elle remercia la jeune fille d’un signe de tête, cherchant une table vide dans la foule. Soudain une main s’éleva quelque part sur sa gauche, avec, au bout de cette manche bariolée, Pénélope. L’interprète avait réussi à dégager deux fauteuils près de la vitre, à l’abri de la cohue. Impressionnant. Stella zigzagua entre les hommes d’affaires vissés à leurs portables et les femmes en tailleur-escarpin. C’est l’heure de la pause à Wall-Street, songea la scientifique en rejoignant la jolie blonde.
« Bonsoir.
- Bonsoir. Vous allez bien ? » Les deux femmes échangèrent quelques civilités polies, puis c’est Pénélope qui rompit la glace. « Désolée de vous demander ça, je vais vous paraître malpolie mais…que me voulez-vous ?
- Je voulais vous parler.
- Mac va bien ? » L’inquiétude n’était pas feinte. « Oui, oui, rassurez-vous. » Le soulagement qui se peignit sur le visage fin non plus. « Un moment j’ai cru que…
- Il va bien. Je voulais vous parler à propos de Thanksgiving. » Les yeux verts s’assombrirent légèrement et Pénélope fronça les sourcils, apparemment prête à se relever. « Écoutez Stella, je suis certaine que vous êtes pleine de bonnes intentions mais je ne crois pas que ce soit vos affaires.
- Attendez. Je sais…je sais que je ne devrais pas m’en mêler mais c’est vraiment important pour lui. Je crois qu’il a besoin de ça.
- Est-ce que c’est Mac qui vous a demandé de me parler ? » Stella rit. « Oh, non. S’il apprenait que je suis là, il serait sans doute furieux.
- Mais vous êtes venue quand même ?
- Oui. Il avait l’air tellement malheureux. Je devais faire quelque chose.
- Et bien…c’est très gentil, mais comme je l’ai déjà expliqué à Mac, j’ai déjà des plans pour Thanksgiving.
- Mais c’est important pour lui. Il voudrait être auprès de sa fille ce soir-là. Ce n’est pas juste de l’en empêcher… » Pénélope fronça les sourcils. « Attendez. Qu’est-ce qu’il vous a raconté exactement ?
- Rien. Mais je connais Mac, j’ai deviné que quelque chose n’allait pas.
- Et vous avez cru que je refusais qu’il passe les fêtes avec sa fille ? » Stella se sentit un peu stupide soudain. « Pourquoi ? Ce n’est pas…le problème ?
- Non ! Bien sûr que non ! Je serais ravie qu’il se joigne à nous.
- Ah ? Mais alors…
- C’est cette histoire de repas avec son équipe qui m’ennuie. Je n’ai rien contre vous, au contraire mais j’ai déjà des plans et…
- Attendez, attendez… Un repas avec son équipe ? C’est lui qui vous a dit ça ?
- Oui. Ce matin, il est passé me voir au bureau et il voulait m’inviter à me joindre à vous pour le dîner. » Pénélope secoua la tête. « Je comprends que vous ayez vos traditions mais je ne peux pas annuler les miennes pour autant.
- Nos traditions ? Ce n’est pas une tradition. C’est la première fois que l’idée est lancée pour être honnête. En fait, c’est la première fois depuis la mort de sa femme que Mac semble vouloir faire quelque chose pour Thanksgiving. En général, il reste cloitré dans le labo…
- Ah. Bien, je…
- Pénélope. Il faut qu’on le fasse. Pour lui. S’il vous plaît. » Stella planta son regard vert dans les yeux de la jeune femme : il fallait qu’elle la convainque d’accepter. Coûte que coûte.


Alors ? Pas trop déçus ?
A suivre : Thanksgiving, enfin ! Reste à voir avec qui et où...

Décue, ça va pas la tête, c'est trop génial.

Je suis sûre que maintenant que les deux femmes se sont expliquées, Pénélope va laisser Lila à Mac pour Thanksgiving. En tout cas, Stella a donné de bons arguments pour que ça aille dans ce sens. Allez Penny, un petit effort pour Macounet et Lila

Impatinete de lire la suite.

J'adoOore le titre !!!!
Déçue ? même réaction que Zat! elle est parfaite cette suite!
Les dialogues et la narration sont trés réalistes je trouve et ça me plait énormement! tu as beaucoup de talent!
vivement demain!

ah non pas déçu du tout, c'est génial j'adore ^^

j'espère que Pénélope va accepter

j'ai vraiment hâte de voir ça

la suite la suite

Wow !!!

Je n'avais pas encore lu ta fic et je viens de rattraper mon retard sur les 25 chapitres d'un coup !!!
Un pur plaisir !!!

Ton style d'écriture est vraiment sublime !!! Simple mais si efficace

L'histoire est très alléchante également même si j'avoue que j'ai eu pendant pas mal de temps une très forte envie de foutre quelques baffes à Mac (qui les aurait bien méritées !)

J'ai hâte de voir comment tout ça va se terminer mais j'ai pleine confiance en Stella !!!

Alors vivement la suiiiiiiiiiiiiiiite !!!

Géniale cette suite
Il faut que Pénelope accepte
Pour Mac
Qu'est ce que Stella ferait pas pour lui !!!!
La suite stppppppp

Déçu???? Jamaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis, cette suite est magnifique, j'adore.

Il faut dire que Stella fait tout son possible pour faire plaisir à Mac, c'est vraiment une très bonne amie!

Hâte de lire la suite

Merci La Dilettante

Vite, vite je poste mon chapitre avant qu'il ne soit demain et que je faillisse à ma promesse de poster ce soir... PLus que 5 minutes pour vous remercier de touts vos com', amis fidèles et nouveaux venus toujours les bienvenus ! Merci.
Je pense que ce chapitre va plaire aux Smackeuses en manque d'action... j'espère qu'il ne sonne pas trop faux parce que je ne suis pas convaincue, convaincue... mais chose promise, chose dûe comme on dit.
Allez plus que 4 minutes avant les douze coups de minuit cendrillon. Place au chapitre

Chapitre 26 : Love actually

“…When the planes hit the Twin Towers, as far as I know none of the phone calls from the people on board were messages of hate or revenge - they were all messages of love…”If you look for it, I've got a sneaking suspicion... love actually is all around.
--- Hugh Grant in Love Actually


Thanksgiving day.

Mac ramassa son dernier papier et jeta un œil à sa montre. Il avait tout juste le temps de passer chercher la tarte au potiron (la préférée de sa fille et, coup de chance, la grande spécialité de sa mère) avant de rejoindre Lila et Pénélope chez Luke et Bree-Ann. Il n’avait pas réussi à convaincre Pénélope de changer ses plans pour la soirée, mais la jeune femme lui avait promis de trouver un arrangement pour noël.
Il n’était pas follement enthousiaste à l’idée de se retrouver au milieu de 6 hockeyeurs inconnus et d’amis d’enfance… Mais il se consola en songeant que sa fille serait là et il avait hâte de la voir. Elle grandissait tellement vite qu’il craignait même de cligner des yeux de peur de manquer quelque chose d’important. Pour ce soir, elle lui avait promis une chanson apprise à l’école. C’était tout ce qui comptait.
De toute façon, toute son équipe avait des plans pour la nuit. Danny et Lindsay devaient aller chez un oncle de ce dernier. Angel passerait son premier Thanksgiving à l’irlandaise chez les Flack. Sheldon rentrait chez ses parents. Sid lui avait de nouveau offert de se joindre à sa famille pour l’occasion… Stella… Il ne savait pas ce que Stella avait prévu. Elle avait éludé la question – bafouillé un mensonge sur d’éventuels plans. Il la soupçonnait de vouloir rester seule. Mac lui avait bien proposé de l’accompagner, mais elle avait refusé. Ce qui était étrange, elle qui semblait littéralement adorer Lila. Mais peut-être n’était-elle pas d’humeur à les voir en famille, tous ? Lui-même avait longtemps détesté cette fête après la mort de Claire… Pourquoi ceux qui ont encore une famille se sentaient-ils obligés de lui rappeler à quel point il était seul ? Alors, par respect, il n’avait pas insisté. Si Stella préférait oublier quel jour on était, libre à elle. Et si elle changeait d’avis, il avait veillé à ce qu’elle ait l’adresse de Luke dans sa poche. Au cas où. Justement, elle arrivait …
« Vous partez ?
- Oui. » Avisant le manteau qu’elle avait sur le dos. « Vous aussi ? » La scientifique eut un faible sourire. « Je suis fatiguée, je vais faire une soirée tranquille. DVD, plat chinois devant la télé et bain à la bougie… » Il rougit légèrement à cette dernière idée. « Le grand jeu, quoi.
- C’est bien.
- Oui. » Mais son sourire manquait cruellement de conviction. « Vous allez chez les amis de Pénélope ?
- Je dois d’abord passer chercher le gâteau chez ma mère, ensuite je les rejoins là-bas.
- Votre mère ne vient pas avec vous ?
- Non. Elle a retrouvé une cousine sur New-York, il y a quelques semaines. Elles ont du temps à rattraper.
- Oh. Bonne soirée, alors. » Tout en discutant, ils avaient atteint le parking et Stella allait remonter en voiture lorsqu’on la retint par le poignet. « Vous êtes certaine de ne pas vouloir venir avec moi ?
- Non, Mac. C’est gentil mais non. Ce n’est pas ma place.
- Je…
- Joyeux Thanksgiving, Mac. » Sourit-elle en grimpant en voiture. Impulsivement, il se pencha juste avant que la portière ne se referme, et déposa un baiser sur la joue fraiche de son amie. Juste au coin des lèvres. « Jo…Joyeux Thanksgiving, Stella. » Et, avant qu’elle n’ait eu le temps de réagir, il détala vers sa voiture.

Mac gravit les escaliers jusqu’à l’appartement de sa mère, la tête pleine de questions… Il n’arrivait pas à comprendre ce qui lui arrivait – pourquoi… Ce baiser… C’était.. Enfin, ce n’était pas lui. Il travaillait avec Stella depuis quoi ? 7 ans ? Il n’avait jamais eu ce genre d’attention à son égard, avant. Il n’y avait même jamais pensé. La première année il y avait Claire. Ensuite, il y avait eu le fantôme de Claire rôdant autour de lui, comme l’épouse jalouse qu’elle n’avait jamais été et maintenant…
Maintenant, il demandait des femmes en mariage sur un coup de tête et il embrassait ses collègues dans des parkings sombres. S’il avait été plus à l’aise, s’il avait pu… Ce baiser, qui sait s’il n’aurait pas atterri sur les lèvres tièdes de Stella ? Mon dieu. Cette simple pensée le fit rougir jusqu’aux oreilles. Que diable suis-je allé faire dans cette galère ?
Tout cela c’était la faute de Pénélope, elle et sa manie de l’embrasser comme du bon pain dès que l’occasion se présentait. Sa fichue habitude de vous prendre dans ses bras, de vous faire avouer vos sentiments…
Mac Taylor. Qu’est-ce qui t’arrive, marine ? Tu es heureux que ta fille soit élevée par une femme qui soit capable d’exprimer ce qu’elle ressent plutôt que par un handicapé des sentiments. Tu es heureux que cette petite fille soit capable de dire ‘je t’aime’, elle.
Confus, il se heurta à la porte close de sa mère. Un post-il fuchsia l’attendait – avec l’écriture de sa mère. « Mac, chéri, je suis partie plus tôt que prévu. Je te raconterai. La tarte est dans le four. Les clés sont où tu sais. » Soupirant, il fourra le papier dans sa poche. Sa mère aurait besoin d’un léger rappel des règles de protection : ne pas indiquer au cambrioleur qu’une maison est vide. Et ne pas leur dire que les clés sont dans un rayon d’un kilomètre.
Son père aurait poussé les hauts-cris en voyant ça.
Mac récupéra le trousseau dans sa cachette et s’acquitta de sa mission. Avant de rejoindre le pavillon de Luke.

Depuis l’extérieur, il pouvait entendre les chants et les rire. La cheminée fumait doucement dans le ciel noir de cette soirée d’octobre et il devinait les invités, en ombres chinoises, derrière les rideaux clairs.
Ils étaient au moins 10, soupira le scientifique sur le point de faire demi-tour. Courage soldat. Là, derrière cette porte décorée de dindes en carton, il y a ta fille qui attend sa tarte au potiron.
Il allait entrer lorsqu’une silhouette familière attira son regard par la baie vitrée. Une silhouette élancée, des épaules fines sur lesquelles on devinait des boucles… « Stella ? » Mac secoua la tête. N’importe quoi. Stella était chez elle. Il délirait complètement ce soir.

« Papa ! » C’est une Lila en robe de jean et collants noirs qui lui ouvrit, un immense sourire accroché aux lèvres. « T’es le dernier, lui signala charitablement la fillette en plantant un baiser un peu poisseux sur sa joue. C’est mon gâteau ?
- Oui. De la part de ta grand-mère. Elle ne pouvait pas venir ce soir, mais elle t’embrasse.
- Ok. » Prenant une voix d’hôtesse de maison, la fillette lui désigna la porte sur leur droite. « Dans la cuisine, s’il te plaît » Mac sourit, adressant un vague signe de la main à deux colosses qui lui jetaient d’étranges regards. S’ils avaient été des suspects, il aurait dit qu’ils étaient sur le point de tout avouer…Il allait leur demander si tout allait bien mais déjà Lila le tirait vers la cuisine. « Viens…On va voir la grosse grosse dinde. »

Ils suivirent les délicieuses effluves de nourriture, la petite ouvrit la porte à la volée et…
« Stella ?! » Là, entre Pénélope et Bree-Anne, son amie était en train de plier des serviettes en forme d’il ne savait trop quoi. Comme si c’était la chose la plus naturelle du monde.
Sa première réaction fut un soulagement : il n’était donc pas complètement fou. Il avait bien aperçu Stella.
Ensuite, son cœur s’emballa. Qu’est-ce qu’elle faisait là ? Est-ce qu’elle voulait des explications pour le baiser ? Est-ce qu’elle était furieuse ? Il la scruta, incapable de regarder ailleurs, mais ne décela rien. Elle ne paraissait pas lui en vouloir. Au contraire, elle lui adressa un grand sourire. « Bonsoir, Mac.
- Stella. Que…Pourq…
- Tu lui fais pas un bisou ? » S’inquiéta Lila que le manque de politesse de son père semblait outrer. Elle mit ses petits poings sur ses hanches et fronça les sourcils. « Dis bonjour.
- Oui. Oui, bien sûr. » Rapidement, le scientifique salua Pénélope, Bree-Anne et enfin sa collègue. « La grosse grosse dinde est dans le four !
- Oui, chérie. Une minute. » Regardant Stella. « Je suis content que vous ayez changé d’avis.
- Vous n’allez pas tarder à l’être.
- Pardon ?
- Content. Vous allez… » Un impérieux coup de sonnette retentit et les trois femmes échangèrent un regard complice. Puis Pénélope se pencha vers sa fille, lui murmurant quelque chose à l’oreille. La fillette acquiesça vigoureusement et attrapa la main de son père. « Viens ouvrir ! Viens vite ! »
Un peu perplexe, Mac guetta un signe mais les filles se contentèrent de lui faire signe de quitter les lieux et de s’exécuter. Comme tout homme sage, Mac Taylor savait que ce que femme veut… « Ok, chérie. On y va. »

Cette fois-ci, il faillit véritablement avoir une crise cardiaque. Parce que de l’autre côté de la porte, il y avait…
Lindsay, les bras chargés de denrées alimentaires.
Suivie de très près par Angel qui portait deux chaises.
Sheldon en portait deux autres. Adam avait un carton dans les bras. Et, juste derrière, Danny et Flack transportaient une large table de bois.
Enfin, fermant la marche, une Adèle Taylor sur son 31.

Mac se frotta les yeux vigoureusement, pour s’assurer qu’il ne rêvait pas. Ou qu’il n’était pas en proie à une nouvelle hallucination.
Mais tout ce cortège semblait aussi réel que le vent froid qui s’engouffrait dans la maison, aussi palpable que les petits bras de sa fille autour de son cou. Que sa voix à son oreille. « Surpise ! T’es content ? » La gorge nouée, Mac ne réussit qu’à acquiescer – contemplant ses amis. Sa mère. Sa famille. Tous venus ici pour lui. Il n’était pas en danger, il n’avait pas besoin d’eux, et ils avaient tous des dizaines de choses à faire – pourtant ils étaient là. Parce qu’ils savaient que cela lui ferait plaisir. C’était le plus merveilleux des Thanksgiving qu’on ne lui ait jamais offert.

« Bon. On pourrait peut-être entrer ? Tenta Danny dans une grimace. Parce que ce truc pèse une tonne !
- Chochotte. Glissa Adam avec un sourire. Qui se transforma en éclat de rire. « Bien sûr, entrez, sourit Mac. Entrez vite, on sera mieux dedans. » Ensemble.


A suivre : la fête bat son plein. Adèle et Stella discutent...

YEAH! GREAT CHAPTER !

La suite promet! toutle monde est là! c'est génial !!!!
et Adèle! hate de lire la discussion Adèle/Stella