Awake

Je m'en vais sinon j'explose Mac lol

J'ai bien aimé cette suite!! Merci bcp de poster aussi vite!!
A quand la prochaine??!!!!

Emilie a écrit:

Savourer notre plaisir? oui c'est sur.. sauf que la on souffre! J'aime tout les petits moments eparpillés comme ça!

La Dilettante a écrit:

Tu avais besoin de parler et de…réconfort. Ça arrive même aux meilleurs d’entre nous, pas besoin d’en faire tout un fromage.»

De réconfort??!! Mac??!! C'est Stella qui avait besoin de réconfort oué! C'est quand elle qui a faillit mourir!!

Mac est vraiment bizarre, on dirait qu'il veut pas s'approcher de Stella...

Purée on en vient a detester Mac avec cette fic'!

Bon bah on attend la suite maintenant...

je ne trouve rien à dire de plus Emilie a parfaitement résumé la situation, on va devenir folles à guetter une nouvelle suite

Mac Mac Mac si je t'avais devant moi je te ..... c'est pas possible !!!!!

Pauvre Stella !!!!! apparemment Derek est plus proche d'elle maintenant ...merci Derek....parce que là Mac tu crains !!!!!

Pfffffff non mais Mac ah il merite des claques
tu vois pas que Stella a besoin de toi c'est pas vrai ca
Non monsieur prefère rester avec sa p********
Ba au moins Derek sera la pour la reconforter
Quelqu'un de gentil au moins
Mac m'énerve pffff
La suite stpppppppppppppp

très bonne fic , j'aime beaucoup ta façon d'écrire...........et j'adore tous les commentaires

Quelqu'un fort sage a dit que Mac méritait des claques, je suis bien d'accord ! xD
Notre Mac, bah c'est un méchant !
Mais bizarrement je le reconnais, au moment où elle lui dit qu'il essaie de l'éviter et que son regard fuit: trop timide pour lui dire qu'il est gêné, trop franc pour lui mentir.
C'est tellement beau et bien écrit que je trouve vraiment ça superbe !
On voit les sentiments des personnages, c'est magnifique !
<333

Ben euh, comment dire ... Dereck de Criminal Minds !!!! Purée les filles !!! Que demander de plus ??!!!

poupi27 a écrit:

Lino a écrit:

Ben euh, comment dire ... Dereck de Criminal Minds !!!! Purée les filles !!! Que demander de plus ??!!!

MAC !!!!!!!!!!!!!!

Tout est dit!



Bien sur nous passerons sous silence que la c'est un gros nul qui agit comme le dernier des idiots...



Bon j'en profite pour faire une relance pour la suite... On en fait jamais trop!

Emilie a écrit:

poupi27 a écrit:

Lino a écrit:

Ben euh, comment dire ... Dereck de Criminal Minds !!!! Purée les filles !!! Que demander de plus ??!!!

MAC !!!!!!!!!!!!!!

Tout est dit!



Bien sur nous passerons sous silence que la c'est un gros nul qui agit comme le dernier des idiots...



Bon j'en profite pour faire une relance pour la suite... On en fait jamais trop!

exactement Mac se comporte comme un crétin.... j'en reviens pas

ben oui une relance pour une suite, tu as raison Emilie on en fait jamais trop quand il s'agit d'une super fic!!!!!!!!!!!!!!!

Oh merci, merci... Vous êtes vraiment la crème de la crème. Bref. Don't worry girls, il y a une lumière au bout du tunnel - il y a toujours de la place au ship dans ce monde de brutes. Bien que je ne sois pas encore trop sûre de mon coup. J'hésite. Bref, vous allez en savoir un peu plus ce soir - si on veut- et je pense que vous allez avoir envie d eme tuer. Mais je tiens à vous prévenir que si je disparaît ensuite, ce n'est pas par lâcheté, mais parce qu'on me traine au Mont Saint michel jusqu'à dimanche. J'ai fortement envie de me pendre avec le fil de ma souris but...
Enfin, j'espère que vous passerez un bon moment.
PS : Et c'est vrai, quoi, Derek Morgan quand même !!
PS 2 : Les citations ne sont jamais prises au hasard... Follow the lead, misses !



Une solution qui vous démolit vaut mieux que n'importe quelle incertitude.
Boris Vian

« Ey, Stella ! Les garçons et moi descendons boire un verre chez Sullivan, tu viens ? » La voix de Lindsay tira la scientifique de sa soporifique paperasserie. « Les garçons ?
- Oui. Danny, Don, Adam…
- Mac ? » La jeune femme grimaça. « Il a demandé son week-end.
- Ah, oui. C’est vrai.
- Mais tu peux tout de même te joindre à nous… »Plaisanta son amie. Redevenant sérieuse. « Tu devrais vraiment sortir de ce labo.
- J’ai encore du boulot. » Lindsay repoussa négligemment les dossiers qui s’accumulaient dans le coin du bureau pour s’y asseoir. « Ecoute, Stel’. Je sais que ces derniers temps sont un peu durs pour toi…Et si tu veux tout savoir…Je trouve que Mac n’a pas vraiment assuré sur ce coup-là.
- Pardon ?
- Tu as toujours été là pour lui et maintenant que tu as besoin de lui…il est toujours rendu dieu sait où.
- Je n’ai pas besoin de lui. Je vais bien. » Sa jeune amie fronça les sourcils. « C’est comme ça que tu définis aller bien ? Ne plus manger, ne plus dormir ?
- Linds.
- Ne le prend surtout pas mal mais tu as une tête affreuse.
- Merci, grinça Stella, c’est exactement le genre d’encouragement dont j’ai besoin ces derniers jours.
- Je sais que je ne suis pas Mac et que je ne te connais pas aussi bien que lui ne te connaît mais…je peux écouter. Je ferais de mon mieux. » Touchée, la scientifique sentit les larmes lui monter aux yeux. « Merci. Mais ça va aller.
- Comme tu veux. Tu viens prendre ce verre ?
- Je vous rejoindrais peut-être plus tard. » La jeune femme roula des yeux, absolument pas dupe. « C’est ça. A plus, alors. »

« Et merde, grommela Stella. Il a oublié ça. » Il c’était Mac, bien sûr. Et ‘ça’ c’était le dossier urgent que Sinclair attendait dans son bureau à la première heure demain matin. Elle se mordilla la lèvre un instant, hésitant à contrefaire la signature – elle l’avait vue tellement de fois, ce ne serait pas très compliqué. Ce ne serait pas la première fois. Sauf qu’on ne parlait plus d’un avis de réception, ou d’un bon de commande pour une machine à café. C’étaient des documents officiels : elle ne pouvait pas prendre ce risque. Avalant une gorgée de son thé, Stella évalua ses possibilités : laisser tomber, rentrer se coucher et le laisser se débrouiller. Après tout, c’était SON erreur. Ou bien lui téléphoner, attendre qu’il vienne – s’il venait. Aller chez lui, lui faire signer ces foutus papiers et en profiter pour lui dire…qu’il lui manquait. Qu’elle avait besoin de lui parler. Peut-être même qu’elle verrait enfin cette mystérieuse femme. Oui, cette solution était très tentante. Un peu cavalière, cependant. Finalement, Stella décrocha le téléphone et composa ce numéro qu’elle connaissait par cœur.
Laissa glisser une sonnerie…croisa son reflet dans le miroir et constata à quel point Lindsay avait raison : elle avait vu des cadavres plus réchauffés.
Deuxième sonnerie… Détourna son regard des yeux verts ternes, cernés qui la fixaient sans la voir.
Troisième son… « Taylor ! » Il était un peu essoufflé, nota-t-elle. Est-ce qu’elle interrompait quelque chose ? « C’est moi.
- Stella ? » Aussitôt ce ton inquiet. « Tout va bien ?
- Vous avez oublié de signer le dossier Raferty.
- Oh, non.
- et si. Je voulais vous prévenir : Sinclair l’attend pour hier, comme toujours. » Le silence qui lui répondit la fit sourire : elle pouvait presque l’entendre réfléchir. Prise de pitié, Stella se lança. « Je peux passer chez vous, si vous voulez…
- C’est que…
- Ou bien vous n’avez qu’à revenir au labo avant huit heure demain.
- Je suis coincé ici. » Il hésita une fraction de seconde. « Vous pourriez traverser le pont de Brooklyn pour moi ? » Le pont de Brooklyn. Elle se souvenait parfaitement l’avoir traversé l’autre nuit, avec Derek. Evidement, il était là-bas, chez ELLE. Enfin, au moins, il semblait accepter l’idée que les deux femmes se croisent…Il y avait déjà du progrès. Stella réprima un petit rire, secoua la tête. « Vous savez que oui. Ça et bien pire. Je serai là dans vingt minutes.
- Attendez ! Je ne vous ai même pas donné l’adresse… » Elle se mordit la lèvre, coupable soudain. « C’est exact. Je vous écoute.
- 567, Dean Street. Brooklyn Hill. Vous allez trouver ? » Bien sûr qu’elle allait trouver…Retrouver, plus être précise. Ce n’est pas comme si elle n’y était jamais allée… « Ça ira, Mac. A tout à l’heure. »

Stella se glissa au volant de l’Avalanche et enfonça le bouton de l’autoradio, se laissa bercer un moment par la voix de Lennon.


Elle se sentait légère, soudain. Plus légère qu’elle ne l’avait pas été depuis longtemps… Elle allait chez ‘elle’. Peut-être qu’’elle’ y serait. Peut-être que non. Elle s’en fichait pour être honnête – tout ce qui importait, c’était de retrouver son meilleur ami. Son autre aile. Mac avait apparemment décidé de cesser de la laisser de côté, de lui cacher …ça. Il savait qu’elle aurait des questions pour lui, mais il lui avait quand même laissé l’adresse : c’était bon signe, non ?

Tout d'abord MERCI pour avoir poster une suite!! j'étais désemparer j'avais pas eu ma dose à lire lol


Oh ma pauvre Stella! Dans quel état tu l'as met!
J'espère qu'elle n'aura pas d'accident!

J'ai adorée cette suite!!!

Qu'est ce que ça présage?

encore!!!!!!!!!!!!!!

suite exceptionnelle comme d'habitude mais ce n'est pas assez du tout, nous on veut savoir ce qui va se passer, si Stella va rencontrer sa "rivale" si Mac va enfin cessé d'agir comme un méga idiot !!!!!

nan nan nan tu laisses trop de questions en suspens et là je t'assure que mon coeur ne va pas tenir



allez allez allez encore une suite !!!!!!!!!!!

Ho non non non tu coupe au meilleur moment la...

Je veux lire la confronation Stella/L'autre fille que personne aime!

J'espere que Mac va un minimum réagir et se rappeller que Stella éxiste!

Elle est bien gentille Stella d'aller jusqu'a Broocklin pour lui faire signer un papier alors que lui il la laisse tombé..

La Dilettante a écrit:

- Je trouve que Mac n’a pas vraiment assuré sur ce coup-là.
- Pardon ?
- Tu as toujours été là pour lui et maintenant que tu as besoin de lui…il est toujours rendu dieu sait où.

Bravo Lind's bien dit!

Atta,atta tu est train de dire que la on va devoir attendre jusqu'a Dimanche voir même plus pour une suite?

J'adore toujours !
C'est beau, c'est bien écrit, c'est poignant...
Et assez triste sur les bords *SBAFF*
Mais là, y'a de l'espoir <33
Merci beaucoup d'avoir posté la suite: pour moi qui était en manque et déprimée, c'st génial. Ca a egayé ma soirée ,et sans doute ma journée de demain, et puis en pluis...Quelle Suite !
Elle est géniale ! <33
Merci ! <3

Trop gentille Stella. A sa place, je l'aurais laisser se débrouiller non mais oh.
Comme le dis si bien Lindsay, pourquoi Stella est toujours là pour Mac et pas lui

Hate de voir la rencontre entre les deux rivales. Bien que je crains le pire

Moi aussi j'aurais laissé Mac se débrouiller et j'aurais vérifié si Dereck était encore là

J'attends la confrontation des "rivales" avec intérêt !

j'ai l'impression que Stella va se prendre une douche froide...Même si j'ai toujours dans l'idée que la blonde ne sort pas avec Mac....

mais je me rassure peut-être...

Merci beaucoup pour cette superbe suite
Pauvre Stella, il faut qu'elle écoute linds ce serait bien
Et puis ba moi a sa place Mac je l'aurais laisser se debrouiller toute seule
Elle est un peu trop gentille
Elle va rencontre l'autre
Il nous faut la suite pour voir ce que sa donne
STPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPP

Je viens de tout lrie d'une traite (oui j'ai pas pu m'arrêter...) Et je peux te dire que je souffre pour Stella.... Ce qui est souligne tes qualités d'écriture ! Bravo !

J'ai hâte de pouvoir lire la suite et de savoir ce qu'il va se passer de l'autre côté du pont de Brooklyn....

Tadam ! Je suis de retour... Contrairement à toute attente, j'ai survécu à cette virée en enfer. Tous les messages m'ont bien réchauffée en revenant. Je suis heureuse de voir que le sujet vous passionne et vous émeut autant.
Bon, sans trop en dire, je pense que ce chapitre ci ne vous laissera pas indifférentes ! Bonne lecture !

CHAPITRE 8 : Veni…Vidi… Vici ?

«Il y a tant de choses sur la Terre que nous ne comprenons pas, et tant de choses incroyables qui sont vraies.»
[ François Truffaut ]


La maison était aussi grande que dans son souvenir.
Un peu impressionnée, la jeune femme gravit la dizaine de marche menant à la porte. Elle resta immobile un moment, regardant autour d’elle. L’heure du dîner approchait et les monospaces familiaux rejoignaient leurs garages. Les enfants profitaient de la belle soirée d’été en se lançant des balles dans les jardins. Stella suivit un instant une petite famille qui arrivait, vidait le coffre de la voiture et se demanda ce que cela pourrait faire d’être à leur place. D’être cette femme qui prenait son bébé dans ses bras, et ébouriffait les cheveux d’un petit garçon. S’arrachant à cette vision idyllique de la famille bonheur, Stella enfonça la sonnette qui tintinnabulait sur l’air de vive le vent. Elle souriait encore lorsque la porte s’ouvrit sur Mac.
Son collègue portait une chemise blanche complètement trempée qui lui collait au torse, un jean délavé, humide lui aussi, et il avait une étrange trainée rose sur la joue gauche. Sans compter que son habituelle coupe de marine si impeccable était ébouriffée par on ne savait trop quel courant d’air.
« Mac ?
- Stella. » Il sourit, se décala pour la laisser passer et elle nota qu’il n’avait pas de chaussures. « Entrez. »Ses pieds laissèrent des marques humides sur le linoléum beige lorsqu’il la conduisit jusqu’à ce qu’elle identifia comme étant la cuisine.

Soudain, la scientifique eut l’étrange sensation d’être Alice au Pays des Merveilles – son regard embrassa le plan de travail carrelé, le four d’où s’échappait une délicieuse odeur de fromage et d’autres ingrédients qu’elle ne pouvait identifier. Sur le grand frigo, il y avait des dessins d’enfants aimantés par des figurines colorées– remarqua-t-elle. Ainsi qu’une ‘to do list’ longue de deux pages. « Allez-y, asseyez-vous. » Galamment, Mac tira la chaise et l’installa à la table ronde. Stella remarqua un étrange objet mauve, aux allures d’escabeau très particulier. Cela allait sans doute de pair avec les jouets qui trainait de l’autre côté du comptoir les séparant du salon. La scientifique fronça les sourcils en reconnaissant une poupée Barbie, une série de peluches diverses et variées et une poignée de Crayola étalés sur la moquette vert anis. « Vous voul… »

« Papa ! » Un cri résonna soudain à l’étage et Mac sursauta. « Papa ! C’est coincé ! »

« Papa ?!! » Mais avant qu’elle n’ait le temps de lui poser le millier de questions qui lui venait à l’esprit, son ami avait filé au fond du couloir et elle l’entendit crier ‘j’en ai pour deux minutes’, alors qu’il grimpait l’escalier quatre à quatre.

Deux minutes plus tard, la jeune femme entendit à nouveau les marches de bois résonner et Mac réapparut dans la pièce, tenant dans ses bras une petite fille emmitouflée dans un peignoir de bain pêche. La fillette avait de jolies boucles brunes humides, un petit visage rond, des joues toutes roses et des yeux bleus. Bleus…comme ceux de l’homme qui la regardait avec inquiétude. « Stella ? Vous êtes un peu pâle, ça va ?
- T’es qui toi ? S’enquit la brunette. T’es dans ma maison de ma maman.
- Lila. Ce n’est pas comme ça qu’on se présente, la corrigea gentiment le marine. C’est Stella, c’est une amie. Stella, je vous présente Lila – ma…ma fille.
- C’est moi, confirma la petite voix. J’ai deux ans et demi presque trois.
- … » Le manque de réponse parut lasser l’enfant qui se détourna de leur invitée pour regarder son père. « J’ai faim. S’il te plaît.
- Oui. C’est presque prêt. Il faut qu’on aille mettre ton pyjama d’abord.
- C’est moi toute seule !
- On va voir ça. » Il se tourna vers sa collègue qui n’avait toujours pas bougé. « Je peux vous abandonner cinq minutes ?
- …
- Stella ?
- Oui. Oui c’est bon…allez-y. »

Elle les écouta un instant alors qu’ils remontaient et décida de se dégourdir les jambes : avec un peu de chance, cela irriguerait son cerveau fatigué. Lentement, elle quitta la cuisine pour le salon. Admira le subtil mélange de bois et cuirs, l’hi-fi et les photographies de paysages exotiques accrochés sur les murs. On était loin de l’ambiance lourde, des décors saturé que l’extérieur pouvait laisser suggérer. Si le reste montrait une certaine aisance financière, il n’en restait pas moins sobre et lumineux. La maison n’avait de bourgeois que son architecture extérieure – le reste tenait du loft. Vaguement impressionnée, Stella se dirigea vers la cheminée et les petits cadres multicolores qui égayaient le manteau de pierres rouges. Photos de famille, ou d’amis, devina-t-elle. Un petit groupe devant un arbre de noël. Deux mariés souriant. Une jolie blonde en toge d’étudiante et chapeau à pompon jaune. Son regard fut attiré par les derniers clichés : une femme tenait un minuscule nourrisson en body rose dans ses bras. C’était elle. La femme de l’autre jour – c’est vrai qu’elle ressemblait à Claire. Cela en était troublant. Le bébé devait être Lila, supposa-t-elle. Et cette femme…devait être sa mère. En tout cas, malgré la fatigue apparente, elle resplendissait de bonheur. La scientifique détourna les yeux, comme prise en flagrant de voyeurisme, et glissa son regard vers le cadre suivant.
Cadre orange acidulé – le même bébé dans les bras d’un géant blond.
Cadre vert pomme – Lila debout sur ses petites jambes potelées. Souriant de ses quelques dents.
Cadre bleu pétrole – Lila et sa maman au milieu d’une patinoire.
Cadre jaune citron – le géant blond enlace une petite rouquine en robe de mariée.

« Non ! Non ! J’veux pas ! » La petite voix de la fillette la fit sursauter et elle se retourna juste à temps pour voir une petite tornade brune lui foncer dessus, suivie de près par un Mac brandissant une brosse à cheveux bleue à paillettes. Très mignon. « Lila, reviens par ici.
- Non.
- Si. » En un mouvement, il attrapa la petite et alla la caler dans l’étrange escabeau de la cuisine – qui s’avéra être en réalité, une chaise haute et cet ingénieux système devait permettre de la faire évoluer en fonction de l’âge de l’enfant. Malin. Et Mac semblait particulièrement à l’aise avec le concept. En un tour de main, Lila était sanglée là-haut et son collègue entreprit de natter les boucles indisciplinées. Mais, visiblement, la fillette avait d’autres projets. Elle commença à s’agiter, lancer des coups de pieds dans le vide. « Tu tire ! Geignit-elle, son petit menton tremblant dangereusement. Les larmes n’étaient plus très loin. « J’veux pas de toi, renifla l’enfant. Je veux maman. Où est ma maman ? S’il te plaît.» Stella vit alors son collègue se figer, complètement désemparé. Il ne semblait pas loin des larmes, soudain. La scientifique tendit la main vers la brosse à cheveux : « Je peux ?
- …
- Allez surveiller le dîner, je m’occupe de ça. »
Lila 1 – Mac 0



Alors ? Je serai curieuse de savoir : vous l'aviez senti venir ou pas ?
Quoiqu'il en soit, sachez que ce n'est pas fini même si on vient en effet de résoudre une partie du mystère... il reste toujours une inconnue dans l'équation.

Oula la vache..je tombe de haut là

nan, je ne l'avais pas senti venir du tout et je peux t'avouer qu'à chaque suite, tu achèves un petit peu plus mon coeur de smackienne...

Et pourtant j'ai hête d elire la suite !

Alors là Je m'attendais pas à ça du tout Et Stella non plus d'ailleurs

Mais c'est toujours super même si, même si Je suis triste pour Stella.

Boom! Ok alors la...

Ho la vache!

Bon alors la je pense que la suite est nécéssaire...

Je suis triste pour Stella mais j'espere un peu plus la... (c'est vrai quoi si il a accepté qu'elle voit sa fille ya déjà du progrés.. Je me rattrape aux brindilles je sais!)