Les cartes sont en jeu | enquête + Ship

Les cartes sont en jeu est une œuvre de Seabear qui est accompagnée de Romain qui collabore dans l'intrigue et les meurtres.
Personnages : Toute l’équipe de Manhattan, l’histoire sera cependant plus centrée sur Stella & Mac. (ces personnages ne m’appartiennent pas) De plus, des autres personnes seront ajoutés, comme Murdock le fou et le profileur anglais, Frederic qui eux m’appartiennent.
Je ne gagne pas d’argent avec mes écrits.
Ship : Smac ?
Résumé : Un tueur fou que jamais personne n’a réussi à stopper fait son apparition à New-York pour sévir de nouveau avec des intentions politiques cette fois.
Il y a des possibles moments de NC-17 voir -18 qui arriveront, je préviendrais, peut-être aussi un peu de violence dans certaines scènes, pareil, je préviendrais.
Bonne lecture (:

Prologue.

Londres, février 2009.

Charles débarqua sur la piste d’atterrissage avec un sourire satisfait. Il avait un jet à prendre pour se rendre dans un nouveau pays à traumatiser. Il se regarda sur une vitre et remit sa cravate correctement, c’est là qu’il vit quelqu’un derrière lui. Un homme d’une quarantaine d’années qui arborait lui aussi ce même sourire.

Docteur Oxford, un plaisir de vous revoir… Charles se retourne et tend sa main à son interlocuteur qui ne prend pas le temps de la lui serrer ce qui le fait rire. Je vois que le plaisir n’est pas partagé, c’est bien dommage.

Le temps joue en votre faveur Mister Murdock, mais la justice finira pour triompher vous le savez, le hasard nous permettra de vous inculper… Le docteur en psychologie croisa ses mains derrière son dos et fixe Charles. Je n’ai pas dit mon dernier mot Charles.

Je sais, je sais ce que vous pensez, mais pour le moment le hasard joue en ma faveur, sans preuves vous n’avez strictement rien contre moi, je suis aussi pure qu’un bébé à la naissance, innocent comme un enfant…

Je doute fort de votre innocence… Il grinça des dents et le fixa de ses yeux rougis par la fatigue, cet homme donne sa santé pour élucider des meurtres et pour rester debout, il prend des choses… pas très orthodoxes pour quelqu’un qui aide la police.

J’ai les cartes en mains Frederic, quoi que vous en pensez, c’est moi qui mène le jeu et attendez-vous à des surprises, la folie n’est plus très loin de vous… Il poussa un rire machiavélique alors qu’un pilote s’approcha de lui pour lui annonce que le jet allait bien décoller. Malheureusement, je dois couper cette discussion forte agréable. Passez le bonjour à votre femme… Il feinta la tristesse. Oh pardon… J’avais oublié, elle est morte ! Il entame sa marche vers l’avion alors qu’une main se pose sur son épaule et le retourne sèchement.

Murdock ! Rien n’est joué, je vais tout faire, tout ce que je suis capable, je donnerai ma vie, mon âme, tout ce que je possède pour vous stopper ! Sa voix était emplie de haine, de rage et de courage. Frederic a les yeux rouges, il le fixe d’un regard noir.

Docteur Oxford, bientôt, je ne sais quand, le jeu va reprendre, douze personnes au moins vont mourir et vous ne pourrez rien faire pour l’en empêcher… Rien du tout, ne vous battez pas contre quelque chose que jamais vous ne pourrez contrer… Le regard que lança Charles figea Frederic qui resta sur place alors que Charles courrait vers son avion. A Bientôt mister Oxford ! C’était un plaisir !

L’avion décolla laissant le docteur sur la piste, démunit, il savait que tout allait recommencer, mais qu’il n’allait rien pouvoir faire, que tout allait lui échapper, comme la première fois. Cependant, il n’abandonnera pas, il fera tout pour l’empêcher de tuer ces personnes-là. Seulement la Scotland-Yard n’avait pas réussi à l’arrêter, le manque de preuves, la rapidité et l’efficacité des actes. Il n’a tué que trois personnes en Angleterre, mais c’était déjà de trop. Charles voulait tester quelque chose ici, un mode opératoire, il prépare sans doute un mauvais plan. Mais où va-t-il allez, jusqu’où sa méchanceté et son sadisme peut aller ?
Voilà les questions que se posa Frederic seul sur la piste de décollage. Il finit par la quitter quand il ne put plus voir l’avion de Charles.

Chapitre un, il y a un début à tout.

New-York, 2011.

Mac Taylor quitta son bureau tôt dans la soirée, l’une des premières fois de sa carrière surement. Il ferma celui-ci sous le regard ébahit de sa collègue Stella qui le regarda en souriant passer dans le couloir, elle le salua et lui souhaita une bonne soirée en hochant la tête, son supérieur lui répondit d’un sourire tout en entrant dans l’ascenseur et en enfila sa veste. Il rentra chez lui se reposer, parce que demain, il va assister à un meeting politique, pour surveiller ? Non, pour son bon plaisir, il y va accompagné de Sheldon. Vers sept heures du matin il quitta son appartement élégamment vêtu pour se rendre en ville, à central Park plus exactement, Sheldon l’attendait deux cafés en main.

Bonjour Mac, il tendit le café à son patron qui le remercia d’un sourire timide. On a encore du temps devant nous, il est bientôt huit heure et le meeting ne commence qu’à neuf heures trente…

Il veut mieux être en avance qu’en retard Sheldon… Mac s’avança vers l’estrade ou des techniciens du son installaient des micros, des fils un peu partout ainsi que des enceintes. Les deux policiers scientifiques se firent accoster par des gardes du corps avec qui ils discutèrent un moment pour passer le temps. La foule prenait place, le politicien qui avait organisé ce meeting arrivait sur l’estrade sous les applaudissements, saluant la foule.

C’est calme je trouve, tout va bien se passer je pense lança le scientifique à son patron qui venait de jeter son gobelet de café dans une poubelle.

Je ne voudrais pas être pessimiste mais… Mac ne termina pas sa phrase. Une explosion projeta les deux scientifiques sur le côté, la foule qui venait d’arriver hurla. Les oreilles sifflantes Mac se redressa et souleva Sheldon qui était sonné.

Sheldon, est-ce que ça va ? Demanda mac inquiet pour son collègue qui avait du mal à reprendre conscience de ce qu’il se passait.

Oui... Je… Ca va… Sheldon lâcha ces quelques mots détachés. Mac le garda contre lui, le maintenant fortement pas qu’il le lâche. Le chef de la police scientifique regarda la fumé venant de l’estrade, les gens partaient en hurlant, des sirènes d’ambulances ce faisaient entendre. Pas le temps de prendre son portable, mac tourna son visage pour observer Sheldon, il porta celui-ci jusqu’à un banc.

Je vous laisse ici, je vais voir ce qu’il se passe, ne bougez pas de là, je reviens… Inquiet Mac le quitta d’un pas rapide vers l’estrade.

Vous…Vous inquiétez pas, je ne vais pas m’en aller balbutia le scientifique sonné et assit sur le banc pendant que Mac s’éloigne.

Mac s’avance poussant des gens, il montre son badge et grimpe sur le bout d’estrade qu’il reste. Son regard se pose alors sur un objet qui brille, sortant un gant en plastique de sa poche, il l’enfile et s’approche de cet objet, c’est une surprise qu’il voit une carte, un roi de pique, il soulève celle-ci et la met dans un petit sachet en plastique qu’il ferme hermétiquement. Il s’approche d’un corps qu’il voit entouré de policiers.

Mac Taylor, police scientifique, poussez-vous s’il vous plait… Il se fit une place et tomba sur le corps du politicien, à moitié brulé, le visage méconnaissable, mais son costume le rend reconnaissable. Il avala péniblement sa salive et prend son portable pour appeler son équipe. Stella ?

Pendant ce temps, de l’autre côté de la ville. Stella entend son portable sonner dans sa poche, elle le sort et ne peut s’empêcher de sourire voyant le nom de son interlocuteur.

Oui Mac ? Son patron lui expliqua ce qu’il venait de se passer à Central Park, la jeune femme serra les dents, désolée, attristée de ce qu’il vient d’arriver. Malheureusement Mac, je ne peux venir, Danny, Lindsay & moi sommes à l’autre bout de la ville, nous avons un meurtre sur le dos… On se rejoint au bureau et on en discutera… Mac raccrocha et Stella rangea son portable.

C’était Mac ? Demanda Lindsay qui ramassait des empreintes en même temps sur le lieu du crime, un vieil immeuble délabré qui n’était plus habité depuis quelques années.

Effectivement c'était lui, il y a eu une explosion juste avant le début du meeting auquel il assistait avec Sheldon… Stella soupira doucement et observa le corps du jeune homme.

Boris Hunter, 20 ans, il est en fac de droit dit Danny en regardant sa carte d’étudiant. C’est aussi quelqu’un qui aime bien prendre du bon temps. Il secoue un petit sachet remplit de feuilles de cannabis. Mais je crois que ce n’est pas tout…

Règlement de compte entre dealers tu crois ? Demanda Lindsay naturellement se tourna vers Stella alors que Danny continuait à fouiller dans les tiroirs des vieux meubles de cette chambre.

Je pense que oui, mais c’est tout de même bizarre, ce jeune homme à du pétrole sur lui, une tache sur sa chemise, elle n’est pas arrivé ici par hasard, il n’y a pas de pétrole ici… Elle fronça les sourcils. Attendez… La jeune femme enfila un gant et ouvrit délicatement la bouche du jeune garçon et en sorti une carte. Un valet de pique…

Alors là… Dit Danny surprit, il se mit accroupi à coté de Stella. Ce n’est pas tous les jours qu’on voit quelqu’un avec une carte dans la bouche, celle-ci est intacte… Ajouta Danny en regardant Stella.

Je sens que cette histoire ne va pas s’arrêter là… Enchérit Lindsay.

Stella observa les deux scientifiques avec elle et laissa le corps aux autres policiers présents leur disant de faire attention au corps, de ne pas le déplacer trop brusquement, elle mit les pièces à convictions dans la mallette et accompagnée de ses deux acolytes elle se rendit aux bureaux de la police scientifique pour s’occuper de l’analyse des preuves.

Manhattan25 a écrit:

Hou ! Yes, ta fic

Prologue : On rentre directement dans le sujet de la fic. On sent un plan machiavélique se mettre en place par un homme qui n'a l'air n'avoir aucune pitié. On sent une haine entre les deux hommes, ils se sont rencontrés et on une histoire en commun mais au jour d'aujourd'hui Oxford veut empêcher Murdock d'accomplir son plan...

Chapitre 1 :C'est rare de voir que Mac et Sheldon passe un moment ensemble mais c'est bien je trouve. Et tu n'attend pas deux heures pour les mettre en place l'intrigue de la fic Directe une explosion Heureusement aucun des deux experts ne sont blesser Mais ils ont déjà une victime et une carte de jeux...tout comme sur la scène de crime de Stella Le tueur anglais a une signature et il a déjà commencé à tuer... 2 personnes...

J'adore le début, c'est bien écrit c'est super
Bravo Seabear
Hâte de lire la suite

Merci Zat
Héhé, je vous mets la suite maintenant
Y en aura peut-être pas ce soir donc, tout dépend de comment j'avance dans l'écriture.
Un peu de Smac pour le plaisir

Chapitre deux, rapprochement.

Mac était dans son bureau en train de regarder les informations du soir à la télé tout en recopiant ce qu’il avait vu avant et après l’explosion de l’estrade. Son équipe fit alors irruption dans son bureau comme il l’avait demandé auparavant. Il lança un sourire à Stella avant de se mettre debout et d’attendre que Danny commence le briefing.

On a été appelé ce matin par une dame qui avait entendu des hurlements dans la nuit… Elle nous a montré l’immeuble en face et nous sommes allés voir avec Stella et Lindsay, là-haut, on a trouvé le corps d’un jeune garçon. Il prend la télécommande et l’écran affiche des photos prises sur la scène de crime. Boris Hunter, vingt ans… Il a été tué à coup de barre à mine, du moins c’est ce que l’on suppose. Son crâne est en mille morceaux, la mort a sans doute été douloureuse selon Sid. Il montre les images tout en continuant. Le plus bizarre dans cette histoire c’est que dans sa bouche, nous avons trouvé une carte, un valet de pique, cette carte est intacte et nous n’avons trouvé aucune empreinte dessus… Nous sommes au point mort sur cette enquête, le tueur est un professionnel. De plus, une tâche de pétrole se trouvait sur sa chemise, la tâche est en analyse pour savoir d’où elle provient.

Mac écouta le scientifique sans en perdre une miette tout en observant ses photos. Il soupira doucement pensant à ce que lui a trouvé sur le corps du politicien de ce matin. Il se racla la gorge lançant un regard à Sheldon qui semble encre fatigué.
De notre côté Sheldon et moi nous sommes rendu à Central Park pour assister à un meeting, malheureusement celui-ci n’a jamais eu lieu comme je l’ai expliqué à Stella au téléphone. Une bombe à exploser, celle-ci était en dessous du pupitre. Richard Mitchell est mort sur le coup, la moitié de son visage est brulé, nous avons aussi trouvé des trace de pétrole sur son corps. Mac prit la télécommande de Danny pour montrer lui aussi les quelques photos qu’il a pris.

Attendez mac, vous voulez nous faire comprendre que… Que nos deux affaires sont liées à cause d’une tâche de pétrole ? Osa demander Stella en fronçant les sourcils face aux photos.

Pas que le pétrole, effectivement si celui-ci est le même on sera certains, mais regardez ça… Il change de photos et là, on voir le roi de pique, la carte que mac avait trouvé ce matin. Voici notre lien le plus évident. Nous avons regardez tout à l’heure avec Adam. Mac fit un signe du menton à Adam qu’il prenne la parole.

Effectivement, j’ai analysé les deux cartes, elles proviennent d’un même jeu, elles sont pareilles… Il croisa ses bras sur son torse alors que l’image des deux cartes une à côté de l’autre apparait. Nous avons affaire à un double meurtre…

Je ne pense pas qu’il va s’arrêter là… Souffla Mac. Bon, pour demain, Danny, demandez à Flack d’envoyer ses hommes interroger les voisins de cette vieille dame qui a entendu les hurlements afin de voir si quelqu’un a vu le tueur ou pas, Lindsay, vous irez voir Sid demander les dernières analyses, Adam vous retournerez avec le pétrole, Sheldon rentrez chez vous, je vous mets en repos jusqu’à nouvel ordre.
Danny sorti avec Lindsay contre lui et Adam les suivit, restaient Stella, Sheldon & Mac. Le scientifique secoua la tête et répondit à son patron.

Pourquoi mac ? Je me sens mieux ! Dit-il avec assurance.

Dehors Sheldon, prenez un peu de repos, quand vous vous sentirez mieux, vous reviendrez, c’est un ordre de Sinclair, j’obéis Dit-il en haussant un sourcil alors que Stella l’observait d’un air suspicieux.

Bon… J’y vais alors… Sheldon sorti du bureau laissant les deux lieutenants seuls.

Vous vous cachez derrière Sinclair maintenant ? Interrogea Stella.

Je n’avais pas envie de me justifier plus, j’ai sorti l’argument de choc ! lança Mac avec un sourire. Il déposa la télécommande sur son bureau.

Stella lâcha un léger rire et se mit assise sur le canapé de son patron. Elle jeta un coup d’œil sur sa montre. Vous avez le temps pour un café ? Mac se retourna vers elle, les mains dans les poches, il jeta un coup d’œil sur sa montre. Une demi-heure seulement.

Attendez, je vais les chercher et on reste dans votre bureau afin de discuter de l’enquête ? Il est bientôt 20 heures. Dit-elle avec un sourire. Elle sait qu’il ne va pas rentrer chez lui ce soir, autant lui tenir compagnie.

Mac ne put répondre qu’elle était déjà dehors. Il souffla doucement avant de se mettre assit sur son canapé. Ce soir, pas de sommeil, il faut terminer les dossiers en retard afin de se concentrer sur cette affaire qui semble très importante. Dix minutes après le départ de celle-ci, elle revint avec deux cafés et un grand sourire.

Voilà mac… Elle déposa les deux cafés sur la table basse et elle s’installa à côté de son patron alors que les employés commençaient à quitter le bâtiment.

Merci… Il prit un gobelet qu’il apporta à ses lèvres pour en boire une gorgée sous le regard de Stella.

Je suppose que ce soir, vous allez rester ici pour travailler ? Demanda-t-elle en se tournant vers lui, pliant ses jambes sous elle.

Vous supposez bien Stella… Il se leva du canapé pour lui montrer la pile de dossiers sur son bureau. Il faut que je boucle tout cela afin de pouvoir m’adonner entièrement à cette nouvelle enquête qui m’intrigue…

Elle n’intrigue pas que vous… dit-elle avant de bailler aux corneilles sous le regard amusé de son meilleur ami. Quoi ?

Vous devriez rentrer chez vous, vous êtes fatiguée Stella... répondit Mac avec un regard inquiet et attendri sur sa meilleure amie. Il n’est plus très proche en ce moment, trop de travail, trop de stress, il n’a même plus de temps pour lui, cependant, il sait qu’il va devoir y remédier.

Ne vous inquiétez pas pour moi, c’est juste un bâillement parmi tant d’autre ! Dit-elle pleine d’entrain, mais Mac ne tomba pas dans le piège, il hausse son sourcil gauche et croisa ses bras sur son torse, se donnant un air faussement sévère envers Stella. Bon, je vais dans mon bureau terminer mes dossiers et quand j’ai finis, je vous oblige à rentrer chez vous…

Mac se mit à rire face au caractère de Stella, il hausse la tête de haut en bas. Bien…

Stella quitta son bureau rapidement, elle se dit que se dépêcher serait le mieux. Elle sentait la fatigue s’emparer d’elle. Elle entra dans son bureau, déposa ses dossiers sur la table basse et s’installa sur son canapé éclairé que d’une seule lampe. Elle se mit à écrire, une demi-heure avant de glisser sur le canapé, elle s’endormit. Quelques heures plus tard, Mac quitta son bureau, pas de nouvelles de Stella, il se demandait si celle-ci l’avait oublié ou pas. Inquiet et intrigué il quitta son bureau pour aller dans celui de Stella seulement éclairé que d’une lumière. Il sourit tendrement en voyant sa meilleure amie couché sur son canapé le visage sur des dossiers. Il prit la jeune femme dans ses bras, automatiquement celle-ci noua ses bras autour de sa nuque. Mac la déposa dans son bureau à lui, parce que selon lui, son canapé et bien mieux et puis, il pourra avoir un œil sur elle pendant qu’il travaille. Il la dépose alors très doucement dessus, lui pose une couverture et lui caresse la joue, tendrement. Il reste quelques minutes accroupi face à elle, la regardant dormir. Il semble émerveillé par ce qu’il voit, mais il ne devrait pas, il n’en a pas le droit, Stella est sa meilleure amie.

Bonne nuit ma Stella, dit-il d’une voix douce & tendre. il déposa un baiser sur son front et commença à s’imaginer des choses après ce doux contact avec sa peau. Il secoua sa tête et retira toutes ses idées peu catholiques qui lui venaient à l’esprit. Il se redressa et retourna à son travail.

Chapitre trois, le séduisant inconnu.

Vers six heures du matin, Stella commença à se réveiller. Mac revenait des douches des bureaux, chemise ouverte, torse en vue, Stella n’en perdit pas une miette. Il n’y a personne à cette heure-là. Il s’essuie les cheveux en baillant. Il semble fatigué ce qui fait soupirer la meilleure amie de celui-ci. Mac se retourne vers elle d’un seul coup. Il s’approche d’elle.

La marmotte se réveille enfin… Dit-il en souriant attachant les boutons de sa chemise tout s’installant sur la table basse en face d’elle qui se redresse.

Hum…? Voilà ce qu’arrive à dire Stella face à son patron qui se met à rire de la voir comme ça, les cheveux en bataille, le visage encore habité par le sommeil. Il passe une main rapide pour remettre ses cheveux en place arrachant un frisson à Stella qui baissa les yeux instantanément. J’ai dormi longtemps ?

Oui, il était une heure du matin quand je suis allé dans votre bureau et vous dormiez, je ne voulais pas vous laissez seule alors je vous ai porté jusqu’ici pour vous avoir sous la main… Dit-il avant d’aller chercher deux cafés tout frais. Il lui en tendit un.

Merci Mac... Pour le café &... l'autre... Enfin... lâcha Stella entre deux bâillements.

Mac coupa sa meilleure amie sentant qu'elle cherchait ses mots. Rentrez chez vous, nous n’avons pas de réunion avant dix heures…

Pas de traitement de faveur Mac, je reste et je me mets au travail ! Mais avant, vous m’avez donné envie de prendre une douche ! Elle se redresse et boit une gorgée de son café, la moitié à vrai dire. Elle lance quelques regards à Mac qui sourit. Ne me regardez pas quand je bois, vous me déconcentrez ! Dit-elle avec une moue boudeuse, comme une enfant.

Mac l’écouta et retourna se mettre près de son bureau, immédiatement, Stella soupira de le sentir loin d’elle, décidément, elle ne sait pas ce qu’elle veut. Mac s’installe sur son fauteuil alors que Stella se lève et pose sa main contre la porte en verre. Je vais prendre une douche et quand je reviendrais, je serais opérationnelle !

A tout à l’heure Stella…& bonne douche ! Lança Mac pendant qu’elle s’avançait dans le couloir. Il se détend un peu avec Stella dorénavant, il se laisse un peu plus aller à quelques gestes tendres et à une complicité un peu plus intime.

Deux heures plus tard, elle n’était toujours pas de retour, pas d’inquiétude pour Mac, elle a dû passer chez elle se changer, il la connait, une douche lui a pas suffi pour se sentir mieux. Il déposa ses dossiers dans le bureau de son chef & il discuta avec son chef avant de retourner dans le sien, l’équipe n’allait pas arriver pour un briefing. Surement le même qu’hier, mais cette fois, il va monter les équipes, qui va faire quoi etc… Tout va se faire au feeling puisqu’il n’a pas eu le temps d’y penser cette nuit. Il passe sa main droite sur son visage tout en baillant, il ne cracherait pas sur une bonne sieste là, mais malheureusement, il ne peut pas, il fera ça cette après-midi surement. Un coup d’œil sur sa montre et Danny toque au bureau. Mac lui fait signe d’entrer.

Bonjour Mac… Il le regarde bizarrement. Vous savez, la nuit, c’est fait pour dormir… Dit-il, amusé. Il n’obtient pas de réponse de son patron qui allumait l’écran, laissant les images des deux corps en parallèles avec les cartes apparaitre. Lindsay suivit d’Adam entrèrent. Toujours pas de Stella.

Bien, merci à tous d’être là, nous allons monter des équipes, j’ai eu le temps de discuter avec Sinclair tout à l’heure, cette affaire est une affaire d’état. Dit Mac très sérieux. Cette affaire doit être résolue le plus rapidement afin d’éviter le moins de meurtres possibles. Quelqu’un de l’extérieur doit arriver aujourd’hui pour nous filer un coup de main.

Homme ou femme ? Osa demander Danny avec un sourire.

Messer… lança Lindsay avec un sourire en lui donnant un coup de coude qu’il se taise et qu’il arrête ses conneries.

Bref, reprit Mac. Un profileur anglais qui connait le tueur, voilà la seule chose que m’a dit Sinclair, nous verrons lorsqu’il sera ici… Mac zooma sur les cartes avec la télécommande. Adam prit la parole.

J’ai regardé un peu qu’est-ce que ces cartes ont de différent avec les autres, et bien il y a de l’or dessus, un jeu de cartes comme celui-ci doit valoir une petite fortune, elle ont des dorures, elles sont brillantes… Des cartes presque introuvables, je pensais que c’était un atout, mais malgré mes recherches pour le moment, je ne trouve rien dessus…

Mac croisa ses bras sur son torse et observa les images en soupirant, c’est alors que la porte du bureau s’ouvrit, sur Stella élégamment vêtue ce qui fit sourire Mac, mais… Un homme accompagnait Stella, pas très grand, les cheveux noirs mi longs et mal coiffés, un regard fatigué, des yeux rouges, des mains abimés, une classe assez original. Lindsay avait la bouche ouverte, l’homme sourit, on aurait cru que Lindsay allait tomber de sa chaise, quand à Stella, elle avait un sourire en coin et des joues rosies, l’homme prit la parole.

Deux cartes ? Il en manque dix… dit-il tout naturellement. Il s’avança vers mac et lui tendit sa main, le scientifique hésita et finit par la lui serrer. Frederic Oxford, profileur, enchanté lieutenant Taylor… Le profileur sourit bêtement face à la réaction du policier, il est profileur, il comprend ce qu’il ressent, c’est-à-dire de la jalousie. Même quelqu’un de non profileur le verrait de toute manière. Faites pas cette tête, je ne vais pas vous la voler, glisse-t-il à l’oreille du scientifique. Il faillit ajouter un quoi que, mais il sentait que ça allait mal passer.

Bien, vous pouvez retourner travailler, je vais discuter avec monsieur Oxford. Dit-il sans un regard envers Stella. Danny Lindsay ensemble, et Stella vous irez avec Adam… Monsieur Oxford, lui dit-il en lui montrant le siège en face de son bureau.

Stella haussa un sourcil surprise de la réaction de mac et s’en alla vexée avec Adam suivit de Lindsay et Danny qui allèrent au labo pour les dernières analyses. Frederic s’installa nonchalamment sur le siège.

La personne que vous cherchez s’appelle Charles Murdock, dit-il. C’est un riche investisseur anglo-américain. Il a déjà sévit en Angleterre, trois meurtres, jamais personne n’a réussi à l’inculper et pourtant, tout le monde sait que c’est lui. Je suis ici pour vous aider un coup de main. Il pose ses coudes sur le bureau fixant Mac d’un air plus que sérieux. Vous êtes dans la merde si je puis me permettre le mot dit-il en sortant une cigarette qu’il tassa sur le bureau de mac et devant le regard ébahit de celui-ci.

Manhattan25 a écrit:

Hum...j'imaginais bien Mac torse nu

Chapitre quatre, la dame de pique.

Mac écouta ce que lui disait l’homme devant lui. Il n’en croyait pas ses oreilles, le tueur a déjà sévit, mais jamais il n’a été suspecté, personne n’a réussi à l’avoir. Le scientifique soupira.

L’affaire n’est pas pour autant bouclée d’avance, nous pouvons le pousser à faire des erreurs… lança l’anglais en fixant le scientifique. Il va falloir jouer avec le feu…

Jouer avec le feu… J’ai peur de vous comprendre, vous voulez qu’on rentre dans son jeu ou qu’on lui serve de cobaye, quoi qu’il arrive, c’est quitte ou double. Lança le scientifique avant de se lever et de se mettre devant la fenêtre de son bureau, dos à l’anglais.

Je suis profileur, je sais ce que je fais, dit-il en jouant avec sa cigarette nerveusement.

Manifestement non, lui répondit Mac en se retournant et en le fixant. Vous n’avez pas réussi à l’attraper lorsqu’il était en Angleterre… De plus, je vous sens impliqué qui plus est…

Laissez-moi m’expliquer… Frederic se racla la gorge. Pendant un an, il a sévit. Il a tué trois personnes en un an, un roi, une dame et un valet, pas de signe, rien qu’une image sur du papier, quelque chose de quelconque que tout le monde peut trouver. C’était il y a deux ans. Il a tué la première personne en janvier la seconde en avril et la dernière en septembre. Le roi, le valet et la dame dans l’ordre. L’anglais se redressa et rangea sa cigarette dans une boite de sa poche. La dame, c’était la mienne, ma femme…

D’où votre implication sur cette affaire. Le regard de mac se faisait sévère, pas vraiment de compassion, il sentait l’homme en face de lui obstiné. Il veut absolument arrêter ce tueur, peut-être un peu de trop.

Je suis capable de faire comme s’il ne s’était rien passé, je ne serais pas un poids pour votre équipe et je suis celui qui connait le mieux Charles… lança l’anglais pour remonter dans l’estime du scientifique.

Nous verrons cela monsieur Oxford, maintenant, vous pouvez vous en aller… Dit Mac en regardant le profileur anglais.

Celui-ci s’apprêtait à partir, il poussa la porte est se retourna juste avant.Ne laissez pas la jolie jeune femme aux cheveux frisés attendre longtemps…

Mac lui jeta un regard noir et allait crier quand le profileur ferma la porte et s’en alla. Pendant ce temps, Lindsay, Danny, Adam et Stella travaillaient dans le labo.

Sérieusement, l’anglais… Il est… Ouah… Souffla Lindsay tout en observant au microscope la tâche de pétrole de la chemise du jeune Boris. Danny grogna dans sa barbe ce qui fit rire les deux femmes tandis qu’Adam prit la parole.

Soit pas jaloux Danny, je crois qu’il en pince plus sur Stella que ta Lindsay…

Tu rigoles Adam ! Répondit Stella d’un air tout sauf détaché.

Tu as vu comment il te regardait, mais le mieux tu vois… Adam fit rouler son siège vers les trois scientifiques. C’est la lutte de regards, celle entre Mac et l’anglais, une pure merveille, on sentait de la tension et peut-être même de la jalousie !

Une main se posa sur l’épaule d’Adam. A défaut de sentir de la jalousie, moi je sens des claques qui se perdent lança Mac à Adam.

Pard…Pardon patron ! Je… Je retourne bosser… balbutie Adam avant de retourner à son bureau se poussant avec sa chaise sous le regard noir de mac alors que les autres rigolent.

Vous aussi ! Au travail ! Ajouta le lieutenant de police avant de quitter le bureau. Stella prit son courage à deux mains et rejoignit mac sur le chemin qui le menait vers son bureau.

Attendez Mac ! Elle posa sa main droite sur son épaule, celle-ci se déroba et Mac se retourna, la fixant dans les yeux, ce qui la déstabilisa. Je… Vous, vous allez bien ?

Oui Stella, je vais bien, retournez travailler maintenant ! Il reprit son chemin énervé, contre elle, l’anglais et lui-même. Dès qu’il se passe quelque chose ne rapport avec Stella il n’est plus capable d’avoir un jugement impartial, la barre penche vers la jeune femme tout le temps et ça l’énerve.

Stella resta plantée sur place, déçue de la réaction de son meilleur ami, mais elle n’alla pas le voir, rien réclamer. C’est un appel de Flack qui la sortie de sa torpeur. Flack… Oui… Ou ça ? Je… On arrive ! Elle raccrocha et alla chercher Danny et Lindsay pour aller sur le terrain.

Une demi-heure plus tard les trois scientifiques arrivèrent à l’adresse que Flack avait donnée, celui-ci les attendait tranquillement assis sur une rambarde de barrière d’une maison. Olivia Jones, 22 ans, étudiante en médecine, elle a été égorgée dans son bain. Je vous laisse allez voir le massacre, j’en ai déjà assez vu, je vais interroger les voisins. Sur cette phrase Flack s’en alla souriant aux scientifiques.

Il y a encore une carte, là devant la baignoire, annonça Lindsay en observant la salle. C’est la dame de pique… Elle enfila un gant et mit la carte dans un sachet de pièce à convictions.

Décidément, il n’a pas attendu longtemps pour agir et boucler la boucle des piques… Dit Danny et observant les tâches de sang partout dans la salle de bain. C’est un vrai carnage…

Stella fixa la jeune femme qui avait encore les yeux ouverts, elle avala difficilement la salive avant de reprendre ses esprits et de commencer à prendre les photos. Pendant ce temps, Mac était de nouveau avec le profileur anglais et discutaient de la démarche à suivre, ils suivaient en même temps les nouvelles de la scène de crime grâce à Lindsay. L’affaire commence à prendre une grande ampleur.

Chapitre cinq, le jeu commence.

Une journée plus tard, ce fut à Sheldon de faire son apparition. Il se sentait mieux et avait décidé de rester avec Sid afin de lui filer un coup de main pour les corps à examiner, il y en a trois et tous les détails comptes. Mac et Stella n’avait pas eu l’occasion de parler de la journée, faut dire qu’ils s’évitaient ne comprenant pas vraiment pourquoi. Lindsay avait travaillé avec Danny et Adam alors que Stella avait passé son temps avec le profileur anglais qui se révélait être un homme très charmant et très gentil. Elle appréciait sa compagnie. Ils ont passé la moitié de la journée dans les bureaux, mais aussi en ville, boire un café, dans le parc, faire une visite pour familiariser Frederic avec New-York.

Bon et bien, je crois que je vais retourner à mon hôtel. L’anglais prit galamment la main de Stella dans la sienne pour l’embrasser doucement. La scientifique se mit à rougir.

Nous nous verrons demain matin je pense… Lui dit-elle en souriant.

Si votre patron me laisse vous approcher… Dit-il avec un sourire. Il a l’air très proche de vous le lieutenant Taylor…

C’est mon meilleur ami effectivement, nous sommes très proches depuis longtemps, l’on se connait bien lui et moi, lui répondit-elle naturellement prenant sa veste sur ses épaules éteignant les lampes de son bureau.

Juste votre meilleur ami ? Le profileur passa sa main sur son menton se demandant s’il avait raison à propos des deux-là.

Eh bien oui, jusqu’à nouvel ordre, il n’y a que de l’amitié entre nous… Elle ne comprenait pas d’où il venait en venir et puis, même si elle le voyait, elle voulait éviter d’y penser.

En fait, vous ne voulez pas mettre votre amitié en péril, parce que vous ne savez pas ce qu’il est capable de faire pour vous et que cette relation au fond vous satisfait assez pour continuer, cependant vous en voulez plus sans jamais oser en demander à cet homme. Il semble vous écouter, vous aussi êtes sous ses ordres, à vous deux, vous êtes un équilibre, lui sans vous, il ne s’en sort pas et vous sans lui c’est la même chose. La complémentarité… Il hocha la tête de haut en bas. C’est intéressant. Dit-il en marchant vers la sortie laissant Stella ébahie sur place.

Co…Comment ? Stella était complétement perdue suite aux paroles de l’anglais, il est là depuis de jour et il arrive à mettre le doigt là où ça fait mal. Elle sait que ce qu’il dit est la stricte vérité, mais elle ne peut pas, elle ne sait pas ce que pense Mac de son côté. Elle n’osera jamais faire le premier pas et elle sait pertinemment que Mac non plus à moins qu’il devienne prêt du jour au lendemain. Ce n’est pas le genre d’homme à faire ce genre de chose. C’est peine perdue avec. Elle baissa la tête alors que Frederic disparu derrière les portes de l’ascenseur. Une main glissa imperceptiblement sur la chute de reins de Stella, qui soupira sous ce contact, comme surprise et un homme prit place à côté d’elle. Mac.

Vous n’êtes pas encore rentrée Stella ? Après l’avoir évité toute la journée voilà le lieutenant Taylor qui refait surface.

Non, j’y allais justement là… Dit-elle encore un peu sonnée des paroles du profiler et de la main de mac quelques secondes auparavant.

Je vous accompagne alors. Annonça Mac en s’avançant vers l’ascenseur.

Attendez, laissez-moi savourer ce moment, il est un peu plus de vingt heures et vous rentrez chez vous ! lança-t-elle envers son meilleur ami, taquine.

Mac ne put s’empêcher de rire et l’attendit dans l’ascenseur. Alors, votre journée avec… Sa voix se mit à racler. Avec l’anglais ?…

Stella pouffa de rire. Arrêtez, j’ai l’impression que vous êtes jaloux ! Stella joue la naïveté à fond, elle veut voir comme il réagit afin de voir quoi faire par la suite. Il ne répond pas et se contente de baisser les yeux ce qui intrigue la scientifique.

Pourquoi riez-vous Stella ? Demanda mac, la mine quelque peu énervée.

Pour rien, laissez tomber, dit-elle en passant furtivement sa main sur son torse, naturellement, sans se rendre compte de la gravité de son geste.

En effet, Mac avait regardé cette main passer sur son torse, il avait hésité à attraper celle-ci et à attirer Stella contre lui afin de lui montrer que oui, il est jaloux de l’anglais, que oui, il ne veut plus qu’il reste avec cet énergumène et que oui, il l’aime plus que tout au monde et que sa vie sans elle est un calvaire. Mais il ne fit rien. La porte de l’ascenseur s’ouvrit dans le parking souterrain. Stella sorti la première suivit de Mac. Ils entendaient une voiture rouler, sans pour autant la voir. Mac passa sa main sur le bas du dos de Stella l’entrainant à avancer, ils ne parlaient pas et furent soudainement aveuglés par des phares. Mac serra sa main sur le peu de tissus qu’il pouvait tenir appartenant à Stella, la voiture fonçait sur eux, pas d’échappatoire. Le scientifique serra sa meilleur amie contre lui et plongea sur le côté, aidé par l’adrénaline, il tomba pile entre deux voitures. Il laissa Stella à terre et se mit à courir derrière la voiture qui partait à tout vitesse afin d’avoir un numéro de série à donner, mais visiblement sur cette voiture, il n’y a rien, la plaque est noire. Il poussa des grognements de mécontentent avant de prendre son bras gauche contre lui, son omoplate lui faisait mal. Il revint au niveau de Stella.

Stella ? Il passa sa main sur son visage tendrement, celle-ci était réveillée, mais visiblement sous le choc.

Je… Je vais bien, elle se redresse subitement, surprenant Mac, leurs visage se frôlaient presque, elle tremblait encore. Mac la prit dans ses bras, oubliant sa douleur. Vous m’avez sauvé la vie, murmura-t-elle contre son meilleur ami qui l’a rassurait comme il le pouvait.

Les deux policiers quittèrent le parking pour remonter en haut, ce soir, ils ne rentreront pas, ils ne pourront pas. Sheldon revenu exprès examina l’épaule de son patron et lui donna une attelle pour son bras gauche, refusant de la mettre, Mac le fit, juste pour Stella. Elle, elle n’avait rien mis à part une blessure à l’arcade. Stella passa sa nuit une nouvelle fois sur le canapé de mac tandis que celui-ci ruminait dans son coin, tentant de travailler, de chercher des solutions, cherchant ce qu’il venait de se passer, donnant toutes sortes de sens à cette agression. Désormais lui & Stella ont interdiction de sortir seul en ville, ordre du chef, ce qui agace les deux lieutenants.

Manhattan25 a écrit:

N'ayant pas commenté la suite précédente, je vais le faire de suite

Suite Précédente : Hé bien je vois que le courant passe entre l'anglais et Mac s'en ait électrique Mac n'aime pas qu'on lise en lui comme dans un livre ouvert et surtout quand ça concerne ses sentiments à l'égard de Stella malheureusement le Profiler les as déjà cernés Mais le bouletisme de Mac ressort encore et comme toujours et il s'en prend en quelques sortes à Stella non mais comme-ci c'était de sa faute

Suite tout juste postée : hum...l'anglais s'approche un peu trop de Stella Du moins comment il fait leur profil à Stella et Mac Le p'tit mini moment Smac
Par contre l'agression Mac a sauvé Stella, heureusement qu'il est là Du moins il est blessé

Une théorie foireuse mais j'ai comme l'impression que le Profiler n'est pas blanc comme neige dans l'agression de Mac et Stella et je pense que si le tueur s'en prend à eux, je connais les cartes correspondante Dame et Roi de coeur

Ces deux suites sont bien écrire, léger.
Continue comme ça et merci de nous faire partager tes écrits

Ps : Cid ça s'écrit Sid