L'affaire Jo Danville [Angst/Jac]

Bravo, c'est une très jolie suite !

j'adore ta suite !!! Elle est géniale ! Comme le reste de ta fic !!

Merci à vous

Chapitre 18

Mac et Jo se sont enfin trouvés. Jo est retourné à NY après avoir trouvé la lettre de Mac et ils ont eu une explication à se propos. Tous s’est bien fini pour eux.

Le lendemain.

Mac : J’en reviens pas que tu sois là dans mes bras à me couvrir de petits câlins adorables et bisous coquins !
Jo : C’était pas comme d’habitude !
Mac : Ben d’habitude c’était vulgairement parlant une partie de jambe en l’air alors que la s’était romantique, fougueux…
Jo : Et torride (avec le sourire)
Mac : Tu n’en rates pas une ! C’était super ! Beaucoup de tendresse surtout. C’était divin.
Jo : Hum ! Trop bon même !! Je me sens tellement bien ! Désirable même !!
Mac : Mais Jo !! Tu es désirable.
Jo : Mac ! J’ai d’horribles cicatrices sur le visage et sur le corps. !

Mac caresse son visage.

Mac : Mais ça n’enlève pas ta beauté ! Tu es la femme la plus magnifique et la plus sexy que je connaisse.
Jo : Tu es mignon !! Mais j’ai pris rendez vous, un chirurgien dit que c’est possible de les faire disparaître avec quelques interventions.
Mac : Je ne crois pas que ce soit une bonne idée !
Jo : Mac ! S’il te plait ! Ce visage abîmé me ramène toujours à ce que Curtis m’a fait subir !
Mac : Bon d’accord ! Excuse moi ! Je n’avais pas vu ça sous cet angle. Le plus important pour moi c’est que tu te sente bien et que ton visage reste celui de la Jo que j’ai connu.
Jo : Ne t’en fait pas, j’efface juste les cicatrices, mais je ne change rien physiquement.
Mac : Alors fait comme tu le sens !
Jo : Tu pars au labo dans combien de temps !
Mac : J’ai appeler Michelle pendant que tu dormais j’ai pris ma matinée.
Jo : Super !! Un autre moment de passion ça te dit !
Mac : Hum avec grand plaisir !

L’après midi même. Mac convoque Adam dans son bureau.

Adam : Oui chef ?
Mac : Vous chercher toujours un logement ?
Adam : Euh ben oui !!
Mac : Est-ce que éventuellement le mien vous intéresserait ?
Adam : Ben pourquoi pas ? Il est super bien !! Mais vous partez ?
Mac : Oui, je te le dis avant que ce soit source de pari, je ne pars pas très loin, je prends juste un logement plus grand ?
Adam : Vous avez une subite folie des grandeurs patron ? (Plaisantant)
Mac : Non, pour être sincère, je n’ai pas trop l’habitude de dévoiler ma vie privée, mais vous allez finir par le savoir, Je me mets en ménage.
Adam : Whouah trop cool ! Je ne savais même pas que vous aviez une copine !! Ben je suis content pour vous.
Mac : Merci ! Alors mon logement, vous le prenez !
Adam : Ben oui, avec plaisir !

Naturellement, le sujet de conversation de la journée au labo est la mystérieuse petite amie du Patron « comment est elle ? Qu’est ce qu’elle fait dans la vie ? » Pour l’instant, la bande ignore encore le retour de Jo.

Jo arrive au labo comme si rien n’était, comme si elle n’était jamais partie.

Elle passe devant le bureau de Michelle.

Jo : Bonjour Michelle !
Michelle : Oh Jo ! Quelle surprise ! Ça va bien ?
Jo : Oui, ça va très bien, merci. Mac n’est pas là ?
Michelle : Si, il revient justement.

Mac arrive

Mac : Regardez qui voilà.
Jo : Je peux abuser de ton temps quelques minutes.
Mac : Je peux consacré une petite demi heure à la femme exceptionnelle que tu es.
Michelle : Eh ben !! Je n’ai pas droit à ce genre de compliment moi !
Mac : Ah oui, mais ce n’est pas pareil ! Jo c’est Jo quoi !
Michelle : J’ai compris va !! Vous allez super bien ensemble.
Jo : Je suis d’accord !
Michelle : Ça fait longtemps ?
Mac : Depuis hier soir !!
Michelle : Pas étonnant que tu étais si occupé ce matin !!

Mac sourit

Mac : Je plaide coupable !
Michelle : Puis le sourire pendant toute l’après midi s’explique aussi !!
Mac : Allez, allons dans mon bureau.

Jo suis Mac dans son bureau.

Jo : J’ai trouvé un logement génial !
Mac : C’est vrai ?

Adam et Danny passent et aperçoivent Jo de dos. Ils ne la reconnaissent pas.

Adam : Tiens regarde, je te pari dix dollars que c’est la copine de Mac !
Danny : Non, je ne pari pas car je pense comme toi. Il a la main posée sur sa taille et il lui caresse le dos par moment !! C’est flagrant.

Adam et Danny espionnent au loin.

Lindsay arrive

Lindsay : Qu’est ce que vous faites ?

Adam : Regarde, on pense que c’est la copine de Mac.
Lindsay : Elle est de dos, pas marrant.

Jo : Alors qu’est ce que tu en dis !
Mac : Ça me parait vraiment bien !! Tu es une perle mon amour.

Jo sourit et lui fait un bisou sur les lèvres.

Lindsay : Oh regardez le petit bisou, c’est mignon ! Ça fait plaisir de voir Mac amoureux !!
Adam : Mac amoureux, à peine croyable !!
Lindsay : Moi je l’aurais mieux vu avec quelqu’un d’autre, mais bon !! Elle est peut être sympa !
Danny : Il était temps en effet !!
Lyndsay : Mac va vers la cafetière, elle va se retourner.
Danny : Allez, retourne toi !!

Lindsay le regarde de travers

Danny : Ben je veux au moins voir si le patron à de la chance, elle est peut être mignonne. Regardez ! Si il pourrait descendre sa main sur ses fesses il le ferais !!
Adam : En tout cas elle à une paire de fesse mais alors !!
Lyndsay : Adam, c’est la petite amie de Mac !!!! (Sidéré)
Adam : Ben quoi, j’ai droit de constater !!
Lyndsay : Ça y est elle se retourne.

Les trois regardent attentivement. Jo les voit et leur fait signe heureuse de les voir.

Adam : Non !!
Danny : Mac et Jo !! Trop génial !
Lindsay : Ben tu sais, à l’époque où Jo était là, c’était flagrant qu’ils y avaient un truc.

Sheldon arrive

Sheldon : Oui, je peux même vous dire qu’ils y avaient plus qu’un truc ! Ils s’amusaient bien tout les deux !!
Lindsay : Comment tu sais ça ?
Sheldon : Mac s’est confié à Sid et je passais par là au même moment. Ils ne m’ont pas vu mais j’ai bien entendu Mac. Et si vous ne me croyez pas, la preuve est sur sa hanche. Jo à un petit tatouage représentant une colombe.
Danny : Ouah !!

Jo arrive

Adam : Chut !!

Jo : Alors ! Vous venez pas me dire bonjour !?
Lindsay : Ben en fait tu étais de dos, on t’avait pas reconnu !!
Jo : Ah !!
Adam : Puis vous êtes censé être dans l’Alabama.
Jo : Oui, mais je suis revenue hier !

Mac arrive

Danny : Ah bon ?
Jo : J’avais des obligations !

Tout le monde sourit

Mac : Vous avez du nouveau ?
Lindsay : Les recherches sont en cours !
Danny : Mais vous, vous avez du nouveau Mac ? (Ironiquement)
Mac : Rien en ce qui concerne l’affaire.
Adam : Alors ! Vous lui avez dit ?
Jo : Tu as quelque chose à me dire ?
Mac : Euh je ne vois pas non ?
Adam : Ben vous lui avez pas annoncé la nouvelle ?
Jo : Quelle nouvelle ?
Adam : Le patron est en couple, il emménage avec une jolie femme il parait !
Jo : Une jolie femme ?

Jo sort son petit miroir de son sac à main et se regarde.

Jo : Ouais, ça va, elle n’est pas trop moche.

Mac et Jo éclatent de rire.

Mac : Bon ben je crois que vous n’êtes pas bête, vous avez devinez on dirait !
Sheldon : Vous faites un très beau couple.
Jo : Oui, je pense aussi !

Mac passe son bras autour des épaules de Jo.

Mac : Je pars plus tôt, pour allez visiter un appartement.
Adam : Ok patron !

Ils partent tout les deux.

Lindsay : Je n’y crois pas !! Jo à l’air heureuse, elle le mérite vraiment après tout ce qu’elle a vécu !
Danny : Oui, c’est vrai !
Sheldon : Vous pensez qu’elle va revenir au labo ?
Adam : Je te pari qu’elle est de retour en mars.
Danny : Je mise sur le mois de Mai.
Sheldon : Allez je prends un gros risque, mais je dis Janvier.
Lindsay : On est en octobre, je vous parie qu’avant Noël Jo est de retour.

Michelle arrive

Michelle : Je suis d’accord avec vous Lindsay ! Je mise au 1er décembre.

Ils sont un peu gêné.

Lindsay : Michelle !! Désolé, on n’aurait pas du….
Michelle : Ne soyez pas gêné et je suis d’accord, elle reviendra, je prépare tout doucement mon départ. Jo à son métier dans la peau, mais elle n’est pas encore prête. Mais croyez moi, ça sera pour bientôt.

En fin de semaine, Jo repart dans l’Alabama et revient une semaines plus tard avec Elie qui a bien prit le fait qu’elle s’installe avec Mac. Ils ont trouvé un très bel appartement.

La vie reprend son cour, Elie est ravie de revoir ses copines et heureuse d’entendre les éloges que tout le monde fait sur sa mère qu’ils trouvent courageuse.

A suivre

ca , c'est fait!!!!!!!

super suite !! J'adore !! Et les pari s'ouvre ! Je pari aussi comme Michelle et Lindsay elle reviendrai vite !

Chapitre 19

Mac et Jo se sont installés ensemble dans un nouvel appartement avec Elie. Le nouveau couple prend rapidement ses repères et ils sont tout deux très heureux. Elie est ravie de voir sa mère si heureuse.
Jo à réussi à se faire opérer afin de faire disparaître les vilaines cicatrices qu’elle avait sur le visage. Une opération très réussie et elle en est très heureuse.

Un soir, Mac rentre.

Mac : Bonsoir ma chérie.
Jo : Salut toi !
Mac : Ça sent bon !
Jo : Je t’ai préparé un bon petit plat !
Mac : Elie n’est pas là ?
Jo : Non, elle est chez sa copine Samantha, c’est son anniversaire. On est tout les deux ce soir.
Mac : Je vais allez prendre une douche, j’ai eu une dur journée.
Jo : Si tu veux, ça ne sera pas prêt avant une vingtaine de minutes.
Mac : D’accord.

Mac s’approche de Jo qui est au fourneau, il lui glisse ses mains autour de sa taille et lui fait de tendres bisous dans le cou.

Jo : Hum !! Mac ! Tu es pénible.
Mac : Je sais !
Jo : Tu sais que j’aime ça et que je n’y résiste pas.
Mac : Je veux juste un baiser, c’est tout ce que je te demande.

Jo pose sa cuillère et se retourne, elle passe ses bras autour de son cou et l’embrasse.

Mac : Enfin pour l’instant.
Jo : Je le savais. On règlera ça se soir !
Mac : Hum j’ai une trouille bleue !
Jo : Tu as intérêt !
Mac : Aller je vais prendre ma douche. Je t’aime.
Jo : Moi aussi !

Mac rentre et dans la chambre retire son arme avant d’aller prendre sa douche. Il la pose dans son tiroir et va à la salle de bain.

En cuisine, Jo est toujours devant son fourneau et sa sauce éclabousse légèrement.

Jo pense : Mince mon tee-shirt !

Jo rentre dans la chambre pour changer son tee-shirt qu’elle a taché. Ses yeux se portent vers se fameux tiroir où elle sait que Mac range son arme. Elle l’observe et finit par l’ouvrir. Elle regarde l’arme avec insistance, elle prend le chargeur et le met à l’intérieur. Elle regarde le mur et se met en position de tire.

Jo : Tu dérailles !!

Jo retire le chargeur et repose l’arme à sa place.

Le lendemain matin.

La ligne de Michelle sonne

Michelle : Michelle Raynolds !..... Ah !!!..... Ne soyez pas désolé !!..... Je comprends !..... Je pense que c’est important en effet. Vous avez pris la bonne décision.

Quelques jours plus tard au Labo.

Michelle : Je suis venu vous dire au revoir Mac !
Mac : Comment ça ? Je ne comprends pas !!
Michelle : Je suis mutée à Staten Island pour un poste fixe.
Mac : Mais vous aviez déjà un poste fixe ici !
Michelle : Ben d’après la hiérarchie non ! Puis ils m’ont fait comprendre que je n’avais pas assez d’ancienneté pour assurer si longtemps le remplacement d’un Lieutenant comme Jo Danville.
Mac : Staten Island est un bon département mais on perd un bon élément !
Michelle : Je vous remercie, ça me va droit au cœur, mais ils m’ont déjà trouvé une remplaçante.
Mac : Oui, ben ils vont entendre parler du pays.

Mac décroche son téléphone. Michelle pose sa main pour l’empêcher de décrocher.

Michelle : Attendez au moins de voir ce qu’elle vaut ! Elle arrive aujourd’hui.
Mac : Quoi déjà ! Ils ont fait ça dans mon dos, je ne supporte pas ça !
Michelle : Un conseil !! Ne vous en prenez pas trop à cette personne qui a fait ça dans votre dos, vous risqueriez de le regretter !
Mac : Jo était peu être un élément imbattable, mais vous avez assuriez comme une bête et je vous en remercie.
Michelle : Merci, ça me touche ! Allez bonne chance pour la suite et j’espère que vous réussirez à attraper Curtis.
Mac : Moi aussi ! On va pas le lâcher celui là !

Michelle s’en va et Mac rumine pendant plus de deux heures.

Jo arrive

Mac : Tiens ma chérie ! Tu nous rends une petite visite ?
Jo : Ben oui ! Mais tu m’as l’air contrarié !
Mac : Oui, mais ce n’est pas grave, tu es là.

Mac se lève et l’embrasse tendrement.

Mac : Par contre, je ne sais pas si je vais pouvoir t’accorder beaucoup de temps, j’attends quelqu’un.
Jo : Dis moi ce qui ne va pas ! Tu es énervé là !!
Mac : Michelle a été mutée ! Ils disent que c’est parce qu’ils ont trouvé quelqu’un qui égalait tes compétences. Je me demande ce qu’ils m’ont dégoté !

Jo sourit

Jo : Peut être la vrai Jo Danville !!
Mac : Non !!!
Jo : Si tu veux bien récupéré un ancien élément !
Mac : Et comment que je veux !!! Bienvenue au Labo ma chérie.

Mac l’embrasse.

Mac : Whouah ma perle revient au labo ! Une chose que je n’espérais plus ! Tu as pris la bonne décision ma chérie. Mais qu’est ce qui t’a fait changer d’avis ?
Jo : Je vais te dire, même si tu vas trouver ça ridicule. En fait, j’ai ouvert le tiroir dans lequel tu ranges ton arme. J’ai réalisé que ça faisait très longtemps que je n’avais pas touché une arme. Alors j’ai mis le chargeur et je me suis mise en position de tire et j’ai eu un déclic ! Je suis heureuse Mac, j’ai des enfants que j’adore, un homme que j’aime à la folie, mais il me manque mon boulot et je suis flic, pas cuisinière !!
Mac : Tu as raison Jo ! Je suis heureux de te l’entendre dire, même si tes plats sont délicieux !
Jo : Merci !
Mac : Bon ben quand un nouvel élément arrive, on va le présenter à l’équipe !! Par contre, ils sont assez en colère eux aussi !!
Jo : Ouh là !!
Mac : Allez vient !!

En salle de réunion

Mac : Bon ! Voici notre nouvelle recrue ! Jo revient parmi nous !
Danny : A la bonne heure !!
Lindsay : Je suis ravie !!

Lindsay tend les mains et ils sortent tous leurs billets.

Jo : C’est quoi ça ?
Lindsay : J’avais pariée pour avant noël, nous somme le sept décembre.
Jo : J’aurais dû m’en douter !!

Ils rient tous.

Jo : Par contre rendez moi juste un petit service !
Adam : Tout ce que vous voudrez !
Jo : L’affiche en face des ascenseurs, je ne vais pas pouvoir !
Adam : Euh oui !! Je vais l’enlever ! Vous voulez la garder ?
Jo : Ben pourquoi pas ! Ça me rappellera à quel point je peux compter !

L’après midi, Jo regarde les informations sur le dossier Curtis.

Mac s’approche d’elle.

Mac : Ma chérie, tu n’as pas le droit de t’en mêler !
Jo : Je sais Mac, je le sais bien, mais le savoir encore dehors me rend folle de rage !
Mac : Je comprends, mais l’équipe fait son maximum !
Jo : Je sais !

Mac serre Jo dans ses bras.

Quelques jours plus tard

Jo arrive dans le bureau de Mac.

Jo : Voici le rapport complet et bouclé !
Mac : Tu n’as pas changé, toujours aussi efficace !
Jo : Merci !
Mac : Mais ! J’ai instauré de nouvelles règles que tu vas devoir respecter Jo !
Jo : Ah bon !
Mac : Voilà, ça concerne uniquement mon bras droit mais j’aimerais que tu respectes ces règles !
Jo : Ben dit moi !
Mac : Assied toi ma chérie !!

Jo s’assoit !

Mac : Alors première règle, tu dois passer au moins une fois dans la matinée pour me donner un tendre baiser. Deuxième règle toujours sourire à son patron, troisième règle me glisser des mots doux de temps en temps, quatrième règle quand on est seuls, un je t’aime ne serait pas de trop…
Jo : Idiot va !!
Mac : Juste pour te dire que quand on est seuls, tu n’es pas obligé de réagir comme n’importe quel membre de l’équipe.
Jo : Bon d’accord je ferais des efforts !
Mac : Je suis tellement heureux que tu ais décidé de reprendre ton poste.
Jo : J’avoue que ça commençait à me manquer !

Les semaines passent et Jo retrouve très vite ses marques.

A suivre

Jo est de retour!!!!la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la!!!!!!

j'aurai gagner moi aussi !!
J'aime bien les règles instauré par Mac !
Super suite pour une super géniale fic !

Chapitre 20

Malgré les terribles épreuves qu’elle a vécue et un désir d’arrêter son métier, Jo décide finalement de rempiler et de remettre son arme et son insigne à sa ceinture.

Don arrive au labo et voit Jo dans le couloir.

Don : Salut Jo !
Jo : Bonjour !
Don : Mac est là ?
Jo : Oui, il traîne dans le coin !
Don : J’aimerais vous parler d’une affaire !!
Jo : Ben suivez-moi, on va le trouver.
Don : C’est déplacé si je vous dis que je trouve votre chirurgie très réussie ?
Jo : Non, ne vous en faites pas, mais c’est vrai que j’en suis contente, les cicatrices sont devenues invisible. Mac n’était pas trop d’accord, mais j’avais besoin de retrouver l’intégralité de mon ancien visage.
Don : Je comprends et vous êtes aussi belle qu’avant ! Magnifique même !! Mac ne serait pas le chanceux qui vous a comme compagne, je vous ferais un plan de drague !

Jo sourit.

Jo : Ça me touche ! Merci !

Jo aperçoit Mac

Jo : Oh Mac !! Don est là ?
Mac : Ah Don !! Qu’est ce qui vous amène ?
Don : Un violeur !
Jo : Une femme s’est manifestée ?
Don : Oui, une jeune femme est venue déposer plainte hier ! Elle était avec des amis et la soirée a un peu mal tournée, ses amis l’ont abandonné et elle s’est retrouvée seule. Un mec lui a payer un verre et c’est tout ce qu’elle se souvient. Le lendemain elle était nue dans une chambre d’hôtel dont la note a été réglé en liquide.
Jo : Pas de caméra de surveillance dans l’hôtel ?
Don : Malheureusement non !
Jo : Elle a réussi à dresser un portrait Robot ?
Don : On a essayé, mais la jeune femme n’est pas physionomiste.
Jo : Oui, ça aide pas non plus !
Don : Le seul indice, c’est que cette femme est une habitué de la discothèque et que ce n’est pas la première fois qu’elle l’apercevait.
Mac : Ben c’est incohérent ça ! Elle dit l’avoir déjà vu, mais pas assez physionomiste pour dresser le portrait robot ?
Jo : Malheureusement pas si incohérent que ça !! Quand on a subit un choc comme ça, on préfère souvent refouler au font de soit l’image de la personne.
Mac : Ok ! Bon ben si il va souvent là bas, on va envoyer quelques policier faire la fête !
Don : Quoi ?
Mac : Est-ce que tu peux me trouver parmi les officiers, cinq âgé entre 25 et 30 ans mais avec au moins cinq ans d’expérience ? Et une femme du même âge, assez jolie qui serait sur d’elle, calme et bonne comédienne.
Don : Vous voulez un happa quoi !
Mac : Oui ! Tout a fait !
Don : Je pense que Maureen Glay pourrait convenir !

Mac cherche le dossier de cette flic dans la base.

Mac : Oui, elle conviendrait bien ! 27 ans, dans le métier depuis 6 ans. J’adopte.

Mac fait un clin d’œil à Don

Mac : En plus elle est vraiment très jolie !

Jo le regarde

Jo : Ne te gène pas surtout !
Mac : Tu vois pas que je te taquine ! Ça marche en plus !
Jo : Oui, c’est ça !! (énervé) Reprenons sur des choses sérieuses ! Une brigade attendra à l’extérieur. Je pense à Danny, Vous Don, toi Mac, Moi et Sheldon.
Mac : Bon panel ! Un de plus serait l’idéal !
Jo : Lindsay ne pourra pas car de nuit, elle sera avec sa petite Lucy, pourquoi pas Jamie Lovato ?
Don : Ah oui !! Parfait comme idée !

Don sourit

Jo : Hum elle ne vous laisse pas indifférent on dirait !
Don : Ben elle a beaucoup de charme, j’avoue !!
Jo : Bon alors parfait ! Nous six à l’extérieur et cinq officiers à l’intérieur pour surveiller et nous transmettre les infos.
Mac : L’un d’entre eux sera muni d’une micro caméra pour qu’on puisse le voir !
Jo : Oui ! Bonne procédure !
Don : Nous sommes vendredi aujourd’hui je crois qu’on peut mettre ça en route pour ce soir !
Mac : Absolument. Dès que tu as le listing des faux fêtards, tu me l’envois !
Don : Pas de problème.

Don s’en va. Jo regarde Mac de travers.

Mac : Tu es jalouse toi !
Jo : Même pas vrai !
Mac : Je voulais juste voir ta réaction !! Femme jalouse, femme amoureuse.
Jo : Tu en doutes encore ?
Mac : Non, mais j’avoue que ça fait un peu plaisir de voir la femme qu’on aime un peu jalouse.
Jo : Mac Taylor je te ferais payer ça !
Mac : Ah bon !

Jo serre le visage de Mac entre ses doigts et lui vole un baiser. Elle quitte le bureau et Mac sourit.

Le soir, l’équipe extérieur est en place et les faux fêtards son dans la discothèque.

Mac : Maureen est en train de danser !
Jo : Tu ne vois qu’elle ou quoi ?
Mac : Regarde, un type la regarde là bas ! Mais il est de dos !
Jo : Merde !

Mac prend son micro

Mac : Justin pouvez vous vous déplacer ! Suspect potentiel vu de dos. Partez vers la droite.
Jo : Oui, super, on va le voir là !

Au moment où ils s’apprêtent à le voir, le suspect potentiel se lève.

Jo : Mince !
Mac : Maureen allez au bar vous commander un cocktail auprès du faux serveur.

Maureen exécute.

Un petit quart d’heure plus tard, le même homme va s’assoire à côté d’elle.

Mac : Justin approchez-vous, mais pas trop prêt de manière à ne pas vous faire remarquer.

L’homme au bar tant le bras pour faire signe à quelqu’un et renverse le verre de Maureen.

L’homme : Oh désolé ! J’ai vu un pote, je vous en offre un autre.
Maureen : D’accord ! Merci !
Mac : Présentez vous !
Maureen : Je m’appelle Linda ! Enchanté !
L’homme : Moi c’est Matt !!
Maureen : Enchanté Matt !

Jo serre son micro sur son oreille pour entendre la voix. Son visage se fige et elle se concentre.

L’homme : Serveur ! Vous remettrez la même chose pour mademoiselle. Tu viens souvent par ici ? Euh on peut se tutoyer ?
Maureen : Si tu veux ! Et non, je ne viens pas souvent mais ce soir, j’avais envie de me changer les idées !
L’homme : Comment une charmante jeune femme comme toi peut se retrouver seule ?

Jo fait de gros yeux et ne dit plus un mot. Elle reste concentré sur cette voix qui lui est familière malgré la musique.

Jo : Maureen aller faire un tour au toilette et revenez dans 5 min !
Mac : Pourquoi tu fais ça ?
Jo : J’ai une idée. L’homme pratique peut être au GHB
Mac : Possible.

Le serveur pose le verre de Maureen sur le bar.

L’homme : Merci.

L’homme regarde autour de lui.

Jo : On arrive pas à voir distinctement son visage ! (Agacée)
Mac : Un air de déjà vu ?
Jo : Peut être !! (Intrigué)

L’homme sort un petit flacon et le vide dans le verre de la jeune femme.

Jo : Regarde le salaud !! On le tient.
Mac : A toute l’équipe à l’intérieur, je ne veux pas d’acte d’héroïsme, personne n’intervient.
Jo : Maureen ! L’homme à mis quelque chose dans votre verre on va procédé à l’échange.
Mac : Le faux serveur, dès que vous pouvez vous changer les verres.

Maureen revient

Maureen : Je n’ai pas été trop longue j’espère ?
L’homme : Non !!

Maureen laisse tomber sa boucle d’oreille.

Maureen : Oh non !! Elle est sous ta chaise.
L’homme : Attend je la ramasse.

Le faux serveur en profite pour faire l’échange rapidement.

Mac : Surtout ne jeté pas le verre, c’est une preuve, mais planquer le bien.

Le faux serveur exécute.

L’homme : Tiens la voilà !
Maureen : Merci !

Maureen boit son cocktail.

Quelques minutes plus tard.

Jo : Maureen faite comme si le GHB faisait effet. Des bouffées de chaleurs.

Maureen : Il fait chaud non ?
L’homme : Tu veux prendre l’air ?
Maureen : Je veux bien.

Mac : Personne n’intervient ! Equipe extérieur tenez vous prêt !

Sheldon éloigne tous les clients potentiels. Jo et Mac se tiennent derrière la porte, Don et Danny cachés derrière une benne face à la porte et Jamie de l’autre côté de la porte.

Justin : Ils s’apprêtent à sortir.

Jo pense : Tu as signé ton arrêt de mort !! Je vais te descendre. Je ne vais pas me dégonfler.
Mac : Ça va, tu as l’air nerveuse ?
Jo : Ça va très bien, ne t’en fais pas !

La porte s’ouvre et l’homme tient Maureen par les épaules. Ils tombent directement nez à nez avec Mac qui s’est légèrement avancé.

Mac : Les mains en l’air !
L’homme : Oh ! Qu’est ce qui se passe là !! J’ai rien fait moi !

Maureen sort son arme et lui pointe dessus.

Maureen : Juste une préméditation. Ne me dit pas que tu aurais rien fait brave gars !!

Don et Jamie se rapprochent. Jo arrive doucement en lui pointant son arme dessus avec un regard noir et rempli de haine.

Jo : John Curtis !!! Bonsoir ! Là, je suis vraiment ravie de te revoir !

Curtis fait de gros yeux

Curtis : C’est quoi ce cirque là !! Tu es sensé être morte toi !!
Jo : Je suis plus solide que tu le crois. Mets toi à genoux !! Dépêches toi !
Curtis : Non, c’est un déguisement, tu n’es pas la vraie ! Juste la provoque à la con de flics !! Mais je suis pas bête et je n’ai rien fait à cette pétasse de Danville.

Jo hurle : A GENOUX VITE !

Personne ne bouge et Jo se rapproche.

Jo : Officier Glay éloignez vous !

Curtis ne bouge pas.

Jo : Tu oses dire devant moi que tu ne m’as rien fait ? Tu sais combien de chirurgie j’ai du faire pour faire disparaître les saloperies que tu m’as fait endurer salopard ?

Maureen s’éloigne Jo regarde Curtis avec beaucoup de haine. Elle s’arrête à un mètre seulement.

Curtis la regarde se demandant si s’était une intimidation des flics, la vraie Jo qui réapparaissait ou son pire cauchemar.

Jo : J’étais loin de me douter que c’est toi que je chopperais ce soir, mais tu vas payer pour ce que tu m’as fait ! Crois moi, je ne vais pas te rater.
Mac : Jo !! Laisse nous nous occuper de ça !

Jo ne prête pas attention.

Jo : Je t’ai dit de te mettre à genoux !! Dépêches toi !!

Curtis finit pas écouter.

Jo : Ben voilà !! Tu vois, c’est cool la soumission !? C’est moi qui joue aujourd’hui et c’est toi le perdant. Je tire où ? Je veux que tu ais mal, que tu chiales et que tu dégueules tes tripes !
Curtis : Tires où tu veux ! Tu ne le feras pas de toute façon !
Don : Jo, vous allez ruinez votre carrière !! Arrêtez tout de suite.
Jo : Sur tes bijoux de famille !! Ça devrait te faire triper ça ! Comme ça t’a fait plaisir de me torturer pendant onze mois !
Mac : Jo, arrête immédiatement, c’est un ordre !

Jo amène le bloc culasse de son arme vers l’arrière et pointe son arme sur Curtis prête à tirer.

Jo : Garde les yeux ouverts surtout ! Je veux que tu vois tout.

Mac : Jo déconne pas purée !! Tu vas le payer trop cher.

Toute l’équipe est autour, le serment est clair, ils doivent protéger toute personne étant en danger, même si c’est un criminel. L’un d’entre eux va devoir tirer sur Jo pour l’empêcher de commettre un acte irréparable, mais personne n’arrive à faire quoi que ce soit. Seraient-ils prêt à laisser Jo accomplir son désir ?

A suivre.

trop genial,on s'y croirait vraiment!!!! et curtis est cuit!jo ne ruine pas ta carriere!!!!

super suite !!!!!! J'adore !!!!!!
Jo ne fais pas ça !!!!!!!

Ahhhhhhhhhhhhhhh j'adore vraiment le suspense que tu mets !!!

Et l'action qu'il y a dans cette suite !!!!!!!

Vraiment c'était un vrai bonheur de lire cette suite géniale !!!!!!!!

Chapitre 21

L’équipe à retrouvé Curtis par hasard, l’équipe est là pour son arrestation, mais ça tourne mal quand Jo veut profiter de l’occasion pour accomplir sa vengeance personnel. Jo est bien déterminer à le tuer. L’équipe regarde, mais le serment est clair, ils doivent protéger toute personne étant en danger, même si c’est un criminel. L’un d’entre eux va devoir tirer sur Jo pour l’empêcher de commettre un acte irréparable, mais personne n’arrive à faire quoi que ce soit.

Jo : Alors espèce de pourriture ! Je tire où ? (S’énervant)
Curtis : Tu ne le feras pas ! Tu n’as pas assez de courage !

Jo se dit qu’elle ne devait surtout pas lâcher et sutout pas écouter les autres. Il fallait qu’elle le descende coûte que coûte. Il devait payer.

Jo : Ah ouais ! Ne me sous estime pas !

Mac : Jo arrête ! Ma chérie, re-saisit toi, tu n’es pas une criminelle !
Jo : Mac tait toi ! Je peux faire une exception pour cette pourriture ! Tant pi pour la suite.
Don : Jo, on va être obligé de s’interposer ! Tu vas finir dans cette voiture menotté !
Danny : Jo, vous avez repris le service il y a à peine un mois. Vous n’allez pas tout foutre en l’air. Il va payer en prison, croyez moi !
Jo : Si il y en a un qui bouge, je me tire une balle dans le crâne. C’est clair ! Je veux cet homme mort !

Mac commence à avoir les larmes aux yeux. Il est horrifier de voir la femme qu’il aime perdre les pédales sans qu’ils puissent faire quoi que ce soit.

Mac : Personne ne bouge Jo ! Ne fait pas de bêtise, pense à tes enfants, à nous !! Jo ! Tu es une femme bien. Il y a rien de criminel en toi, même si tu veux que vengeance soit faite.

Curtis : Ouah la brillante Lieutenant va se foutre en l’air ! Au moins j’aurais réussi cette fois !
Jo : Purée mais tait toi ! Tait toi, tu n’as pas la parole !

Mac : Jo, je n’ai pas l’habitude de faire profiter nos collègues de notre vie, mais je t’aime, tu ne peux pas faire une connerie pareil ! Je ne veux pas passer les prochaines années à venir te voir dans un parloir.

Jo tremble de plus en plus, très tenter de l’abattre. Elle ne sais pas si elle doit suivre sa tentation qui est bien forte ou sa raison.

Curtis : Tu n’es qu’une moins que rien ! Tu n’arrives même pas à presser la détente. Crois moi, c’est moi qui aurait l’arme, tu serais déjà crevé !
Jo : Ta gueule (Hurlant) J’en crève d’envie d’appuyer, tu ne peux pas t’imaginer !
Curtis : Tu voudrais tirer, tu l’aurais déjà fait (Provocateur) Tu ne le feras pas parce que tu n’as rien dans le bide.

Jo s’approche, Mac s’approche pour tenter de l’arrêter.

Jo : Ferme là !

De toutes ses forces elle lui met un magistral coup de poing dans la figure.

Jo : Tu as raison, je ne suis pas une criminelle !! En prison ça sera plus pénible pour toi qu’un cercueil !!
Curtis : Pouffiasse va !
Jo : Emmenez le !

Elle laisse tomber son arme parterre réalisant la terrible erreur qu’elle a failli commettre.
Jo se retourne avec les yeux en larme. Elle regarde Mac, le maquillage dégoulinant et tremblant de tout les côté.

Mac la serre dans ses bras.

Mac : C’est fini ma chérie. Tu as pris la bonne décision.
Jo : Mac ! J’ai failli le tuer !
Mac : Mais tu ne l’as pas fait Jo ! C’est finit !
Jo : J’espère que c’est la dernière fois que je croise sa route !
Mac : C’est certain ! Il s’en sortira pas cette fois. Rien que pour ce qu’il t’a fait il en a pour au moins 30 ans.
Jo : J’espère !

Jo fond en larme dans les bras de Mac réalisant la bêtise qu’elle a failli faire.

Curtis arrive en prison sous les yeux des autres prisonniers et intègre sa cellule.

Un tolar : Salut Mec !! C’est quoi ton nom ?
Curtis : John !
Un tolar : Moi c’est Mike ! Tu as fait quoi pour être là ?
Curtis : En quoi ça te regarde ?
Mike : Tu sais, on le saura en voyant le journal ! Tout ce sait ici !
Curtis : Je te dirais tu me croirais pas !
Mike : Ben pourquoi pas !
Curtis : Car si tout le monde sais ce que j’ai fait, je serais le plus respecté de tous ici !
Mike : Ouah ! Tu as tué quelqu’un pour protégé quelqu’un d’autre ?
Curtis : Non !
Mike : Ah ! Ben alors dit ?
Curtis : J’ai kidnappé une flic pendant presque un an et je lui ai fait vivre les pires tortures. (Sûr de lui) Je la croyais morte mais cette poufiasse s’en ait sorti. Je sais pas comment elle a fait car franchement je lui ai démoli le portrait.
Mike : Quoi ? C’est toi John Curtis ?
Curtis : Oui ! On a déjà parlé de moi ?
Mike : Ouais, il en parlait aux JT il y a quelques mois.
Curtis : Ouais, je regarde pas la télé, j’ai d’autre occupation. Je savais pas qu’on me recherchait sinon je me serais cassé loin !
Mike : Purée ils ont réussi à te choper ? Tu maltraites un flic pendant des mois et tu restes dans le coin ! Tu es un peu con non !
Curtis : Je dois avouer que j’ai merdé là mais je croyais vraiment qu’elle était morte cette pétasse ! Elle était sur le bord de la route et ne respirait plus ! J’hallucine !
Mike : Mouais, tu as raison mec !! Tu vas voir à quel point tu es respecté ici !! On parle déjà de toi comme un héros et tu comprendras demain.

Curtis sourit heureux de voir que tout le monde va être dans ses petits souliers.

Etant tard, Mike se couche et Curtis fait pareil.

Le lendemain, dans la cour, Mike est avec un petit comité d’une dizaine de tolars et papote en regardant souvent Curtis.

James : Tu es sûr ?
Mike : Il me l’a dit hier ! C’est lui. Il me l’a dit. Je ne te mentirais pas mec !
James : Ok !! Ben on va allez le féliciter ! Depuis le temps que je l’attends !

James se lève et se dirige vers Curtis, tout le monde regarde.

James : Tu es John Curtis alors !?
Curtis : Ouais !
James : Alors c’est toi le héros qui a brutalisé le Lieutenant Danville.
Curtis : Oui, tu aurais vu sa tronche, elle ne ressemblait plus à rien.
James : Riley, Andy ! Venez voir ce que notre nouveau pote a d’intéressant à nous raconter.

Les gars approchent.

Riley : Ils paraient que ta spécialité c’est de violer des nanas !
Curtis : Oui, mais je retrouvais toujours Danville sur mon chemin. Il faut reconnaître que c’est une bonne flic, elle m’aurait serré un jour ou l’autre. J’ai pris les choses en main avant qu’elle me coffre.
Andy : Qu’est ce que tu lui a fait ?
Curtis : Je l’ai kidnappé et je lui ai fait des misères pendant presque un an.
Riley : Des misères tu dis ?
Curtis : Je l’ai un peu tabassé et je ne lui ai pas fait de cadeau. Elle vivait attachée dans une vieille pièce. Alors ça vous embouche un coin les gars hein !! Ce qui me fait un peu chier, c’est que je l’ai vu hier et qu’elle a réussi à récupérer sa tronche d’avant mais bon je pense que je l’ai bien traumatisé quand même. Elle tremblait hier quand elle m’a arrêté ! (Fier de lui)

James l’attrape à la gorge.

James : T’en prendre à elle se n’était pas malin mec.
Curtis : Non mais ça ne va pas ?
James : Tu sais pour quoi je suis là moi ?
Curtis : Non, on se connaît pas !
James : J’ai butté un mec qui a tué ma femme et mon gamin sous mes yeux. Je suis allez le retrouver et j’ai fait justice moi-même. J’aurais du prendre une vingtaine d’année de tôle mais Danville a plaidé en ma faveur en demandant les circonstances atténuantes au proc pour que j’ai une peine moins lourde. J’ai eu huit ans grâce à elle au lieu de vingt et là tu fais le malin devant moi en me disant que tu l’as torturé. J’ai vu ça à la télé qu’elle avait été retrouvée dans un état très préoccupant. J’ai été dégoûté et très en colère. C’est une femme respectable et je me suis juré que si un jour l’enfoiré qui lui a fait subir ça passait par ici je lui démolirait sa sale gueule.
Curtis : Va y tu déconnes mec ! C’est une flic putain ! Elle n’est pas notre amie !
James : Non, peut être qu’elle est loin d’être notre amie, mais si tu es réglo avec elle, elle ne sera jamais ton ennemie. Elle t’a pourri et ta collé au cul car tu violais des nana. Et elle a eu raison espèce de porc va !!
Curtis : Surveille ton langage !
Riley : Mais regarde toi connard ! C’est une femme avant tout ! On ne fait pas ça à une femme sans défense comme pour toutes les nanas que tu as violé !
Andy : Danville est peut être flic, mais respecté par pas mal de monde et même en tôle. Crois moi elle n’a pas que des ennemis ici. Elle aide les gens en réinsertion.
James : Oui, elle avait promis de m’aider à ma sortie. Fait toi tout petit mec car tu vas en baver. Ta vie ne risque pas d’être un long fleuve tranquille. Puis si tu crois que tu vas être respecté, c’est perdu d’avance. Nous on va te pourrir et il n’y a pas que nous.

James le lâche et Andy lui colle un coup de point dans le ventre.

Andy : Jo Danville est la mère d’une amie à ma fille. Manque de pot pour toi. Tu vas souffrir ici je t’en fais la promesse. J’ai été condamné pour recel il y a six moi, mais j’ai vu la souffrance de la fille de Danville et c’est odieux. Tu n’es qu’un pourrit !
Riley : Moi je suis qu’un petit dealer, je n’ai pas fait de truc dégueu comme toi, mais une femme c’est sacré. On ne doit pas lever la main sur une femme ou abuser d’elle. Tu n’as pas intérêt de faire le malin.

Les semaines passent et Curtis ne passe pas des jours très agréables en prison. Il se retrouve souvent avec des hématomes ou des brûlure de cigarette sur le bras. Les co-détenus ne lui réserve pas l’estime qu’il croyait avoir. Au contraire, dès qu’ils en ont l’occasion, ils lui font des misères et c’est même devenu une sorte de souffre douleur.

Un mois plus tard, Jo reçoit une lettre au bureau. Jo lâche la lettre et tombe assise sur sa chaise et devient très pâle. Mac la voit au loin et s’approche.

Mac : Qu’est ce qu’il se passe Jo ?

Jo lui tend la lettre et Mac lit à haute voix.

Lieutenant Danville.

Je vous informe que John Curtis a retiré sa plainte contre vous pour tentative d’homicide. Vous ne serez donc pas inquiété et la mise à pied qui était prévu ne sera pas instaurée.
Cordialement.

Mac : C’est dingue ça !! C’est une stratégie de Curtis ?
Jo : Ça m’étonnerais mais j’avoue que j’aimerais bien comprendre.
Mac : Laisse ! Après tout tant mieux. Tu risquais gros dans cette histoire.
Jo : Je sais !

Quelques jours plus tard.

Le gardien : Curtis parloir !!

Curtis se lève et soupir. Il arrive au parloir et voit Jo qui l’attend. Jo le voit arriver avec un hématome sur le visage.

Curtis : Que me vaut l’honneur de votre visite !!
Jo : Tu es repassé au vouvoiement Curtis ! Tu me respectes un peu plus on dirait !
Curtis : Vous avez vue les marques que j’ai sur la tronche c’est à cause de vous !
Jo : Moi ?
Curtis : Ouais !! Car figuré vous que tout les espèces de connard que vous avez aidé me font payer. Même en tole vous me pourrissez la vie.
Jo : Je n’y peux rien moi ! Je ne leur ai rien demandé !
Curtis : Non, il vous respecte trop et font le boulot sans votre permission !
Jo : Je ne suis pas là pour parler de ça ! Je voulais savoir pourquoi tu avais retiré ta plainte ? C’est une stratégie tout ça ?
Curtis : Non, mais je n’ai pas envie d’en subir plus que j’en subit déjà !
Jo : J’ai vraiment failli te descendre !
Curtis : La monté d’adrénaline sûrement, mais vous l’auriez pas fait.
Jo : Tu n’as pas une vie facile on dirait !
Curtis : Non et c’est votre faute.
Jo : Tu t’es mis toi-même dans cette galère. Tu m’as fait subir les pires saloperies, tu paies aujourd’hui.
Curtis : Oui, mais ça vous aurais pas dérangé de coucher avec moi en attendant !
Jo : Mais regarde toi ! C’était stratégique ça !! Je savais que si je te résistais pas tu me lâcherais ! Ça t’intéresse pas les nanas qui ne résiste pas.

Curtis rigole d’un air écoeuré.

Curtis : Je dois reconnaître que vous êtes futé ! Je vais tout de même vous faire un compliment. Vous avez du courage. Je n’aurais pas survécu à la moitié de ce que je vous ais fait subir et j’en jubile encore. Vous êtes maligne et vous avez réussi à survivre alors que vous étiez aux portes de la mort. Vous avez du mérite mais je regrette sincèrement que vous ne soyez pas sous terre.

Jo se lève

Jo : Toi tu ne seras sûrement pas sous terre mais ce trou tu n’es pas près d’en sortir, crois moi.
Curtis : Je vais plaider non coupable.
Jo : Comme tu veux.

Jo s’en va heureuse de voir que sa vengeance est faite alors qu’elle n’a rien prémédité.

A suivre

très belle suite !!

ahahahah bienfait pour lui!!!! je sais pas pourquoi mais j'adore ces nouveaux "copains" !!!!

Chapitre 22

Curtis a enfin été arrêté et ne passe pas un très bon séjour en prison. Il est tombé sur des détenus qui respecte Jo et qui ont décidé de lui en faire baver.

Le mois suivant

Un coursier arrive au labo

Le coursier : Bonjour, j’ai un courrier à remettre au Lieutenant Danville !
Adam : Oui, dans le premier bureau !
Le coursier : Merci !

Dans le bureau de Jo

Le coursier : Lieutenant Danville ?
Jo : Oui !
Le coursier : J’ai un courrier à vous remettre !!
Jo : Ah euh merci !!

Jo regarde la lettre très intriguée qui vient de sa hiérarchie ; elle l’ouvre dès le départ du coursier. Jo lit la lettre et n’en crois pas ses yeux, elle fait de gros yeux. Mac aperçoit au loin que quelque chose la tracasse.

Mac arrive

Mac : Ça va ?
Jo : Ben je sais pas trop ! Un coursier vient de m’apporter cette lettre !
Mac : C’est quoi ?
Jo : Je vais être décoré !! Tu étais au courant ?
Mac : J’en ai vaguement entendu parlé, mais je ne savais pas trop quand ça devait se faire.
Jo : Tu y es pour quelque chose ?
Mac : Non ! Je n’ai rien à voir, ça viens des supérieurs ça !
Jo : J’en reviens pas !
Mac : Jo ! Inutile de te rappeler ce que tu as vécu, mais c’est mérité ! Tu as eu un courage énorme. Cette médaille de courage te revient de droit.

Quelques semaines plus tard, une petite cérémonie est organisé en l’honneur de Jo pour que les gens puisse exprimer leur admiration fasse à son courage.

Jo est particulièrement mal à l’aise quand elle voit tout les regards posé sur elle, les flash photos à répétition, mais prend sur elle. Son supérieur lui remet une médaille de courage au vu des épreuves qu’elle a vécue.

Petit à petit, Jo se reconstruit physiquement et moralement. L’amour que lui porte Mac et sa famille et l’amitié de ses amis l’aide beaucoup à remonter cette longue pente.

Six mois plus tard, le premier jour du procès est arrivé.

Jo est dans le couloir, anxieuse.

Mac : Ça va bien se passer.

Jo aperçoit un vieil ami.

Jo : Henry ! Ça faisait un moment tient !
Henry : Jo, tu tombes bien, je voulais te voir ! Je n’ai pas trop droit de te parler mais …
Jo : Oh non !! (étonné) C’est toi qui représentes Curtis ?
Henry : Oui, j’ai été commis d’office, je n’avais pas le droit de refuser. Nous ne sommes pas assez proche pour ça.
Jo : Je comprends ! Je te demande juste de ne pas tenir en compte que je suis la victime, fait ton métier, c’est tout ! Sinon tu risques de compromettre ta carrière. Ce type est malin, il n’hésiterait pas à te le faire payer !!
Henry : Je le sais Jo, c’est pour ça que je m’en excuse d’avance.
Jo : On a des obligations par nos métiers et je comprends. Même si des fois on est contraint d’agir contre notre gré.
Henry : Je n’attendais pas mieux de toi ! Tu es rare. Courage !
Jo : Merci. Allez va vite !

Le juge appelle Jo à venir témoigner.

Le juge : veuillez nous donner votre identité
Jo : Joséphine Danville.

L’avocat de Jo commence à l’interroger.

L’avocat de Jo l’interroge et elle redit comment s’est passé son enlèvement et les conditions dans laquelle il la faisait vivre.

C’est autour de l’avocat de Curtis de l’interroger

L’avocat : Nous ne remettons pas en cause ce que vous avez vécu et nous en somme désolé, mais êtes vous sûr que vous ne faites pas un transfert entre votre ravisseur et John Curtis ?
Jo : Je ne comprends pas où vous voulez en venir.
L’avocat : Quel est le lien entre vous et mon client ? Comment vos chemins se sont croisés ?
Jo : C’était en 2008, j’ai été chargé d’une enquête à laquelle il était mêlé. Il a été accusé de viol et j’ai procédé à son arrestation. J’étais à Washington à l’époque, mais le hasard ou pas à fait que John Curtis soit à nouveau mêlé à ce genre d’affaire à New-york cette fois ci en 2011. Je n’étais pas chargé de l’enquête mais je la suivais de prêt et une jeune fille avait demandé à me rencontrer, j’aurais dû la voir le jour de mon enlèvement.
L’avocat : Qu’entendez vous pas « le hasard ou pas » ?
Jo : Avec le recul, je me dis qu’il est possible que Curtis n’est pas choisi sa destination au hasard ! Une manière de me narguer peut être !
L’avocat : Oui, mais vous ne pouvez pas l’affirmer !
Jo : Non ! C’est qu’une suspicion.
L’avocat : Mais pour l’affaire concernant mon client en 2008, il a été acquitté non ?
Jo : Oui, mais parce que un membre de mon équipe au FBI a fait une grave erreur dans la recherche ADN. Mais ça n’innocente pas votre client.
L’avocat : Oui enfin nous ne sommes pas là pour refaire son procès !
Jo : Je suis d’accord ! C’est pour ça que je ne comprends pas vos questions !
L’avocat : Vous avez été viré du FBI après cet incident d’ADN.
Jo : Viré est un bien grand mot. La jeune fille qui a été violé était la fille de quelqu’un d’important, je ne citerais pas de nom bien sûr, mais cette personne avait beaucoup d’influence et à fortement insister pour me pousser vers la sortie. Mais j’ai été à ce moment là mutée à la police scientifique de Manhattan pour mon mérite et mon professionnalisme.
L’avocat : Et c’est professionnel de vouloir tué un suspect ?
Jo : Comment ça ?
L’avocat : Lors de l’arrestation de mon client il y a 7 mois, vous avez essayer de le tuer. Vous ne l’avez pas fait sous l’influence de vos collègues.

L’avocat de Jo : Objection !! Ceci n’a rien à voir avec l’affaire en cours !
L’avocat de Curtis : J’essaie juste de démontrer à quel point Joséphine Danville peut pousser sa vengeance.
Le juge : Continuez !
L’avocat : Alors répondez !
Jo : J’avoue que quand je l’ai retrouvé par hasard en face de moi, oui j’ai été tentée de presser la détente, mais si je ne l’ai pas fait, c’est pas sous l’influence de mes collègues car j’avoue que je ne prêtais pas attention à ce qu’ils me disaient. Si je ne l’ai pas fait, c’est parce que je n’ai pas eu le courage. Mais franchement dans mon cas, qui n’aurait pas été tenté ? Il m’a séquestré pendant onze mois dans des circonstances horrible. Puis avec tout le respect que je vous dois, ce n’est pas mon procès aujourd’hui, ce n’est pas moi qui dois être jugée. De plus votre client a retiré sa plainte.
L’avocat : Très bien, je n’ai plus de question.

Le lendemain quelques témoins se font interroger.

Le juge : Veillez nous donner votre identité !
Le témoin : Tim Meyer.

L’avocat de Jo : Qu’est ce qu’il s’est passé le soir du 2 août 2012 ?
Tim : Je rentrais de soirée avec mon ami Sylver et il commençait à pleuvoir. Je roulais et je n’ai pas vu cette dame. Je l’ai percuté sans que je me rende compte de rien. C’était en pleine campagne, il n’y avait pas de rue et pas de passage piéton. Je n’ai rien compris sur le coup.
L’avocat : Que s’est il passé après ?
Tim : Au départ, j’ai cru que c’était un animal. Un chevreuil ou un sanglier et mon pote qui a eu le courage de s’approcher m’a dit que c’était une femme. J’ai eu la trouille. Je ne savais pas quoi faire.
L’avocat : Dans quel état avez-vous retrouvé la victime ?
Tim : On ne pouvait pas déterminer son visage. Elle était en sang. Je crois que c’est l’image la plus traumatisante que j’ai pu voir dans ma vie. On a juste trouvé étrange qu’elle ne portait pas de chaussure et qu’elle était seulement vêtue d’un tee-shirt et un pantalon léger.
L’avocat : Qu’est ce que vous avez fait ensuite ?
Tim : On a appelé les secours.
L’avocat : Je n’ai plus de question.
L’avocat de curtis : Est-ce que vous étiez sobre ?
Tim : Oui, bien sûr ! Un test a même été effectué.
L’avocat : Vous rouliez vite ?
Tim : 50 kilomètre heure.
L’avocat : Très bien, pas d’autre question.
Le juge : Merci vous pouvez quitter la barre.
Tim : Je peux ajouter quelque chose ?
Le juge : Allez y !!

Tim regarde Jo

Le juge : Je m’excuse de tout cœur de vous avoir renversé. Je ne vous avais pas vu, je suis vraiment désolé madame et il n’y a pas un seul jour qui passe sans que ça me hante l’esprit. Je suis tellement heureux que vous soyez vivante et que vous alliez bien. J’espère que tout ira bien pour vous par la suite. Voilà.

Jo lui sourit et lui fait un signe de la tête pour lui faire comprendre qu’elle le remercie.

Le soir, Jo se rend dans une petite propriété à l’entrée de Manhattan Sud. Elle frappe à la porte, une femme d’une cinquantaine d’année lui ouvre.

La femme : Bonjour.
Jo : Bonjour Madame. Est-ce que Tim est ici ?
La femme : Oui, il est dans sa chambre, mais vous êtes ?
Jo : Jo Danville.
La femme : Oh mon dieu !! Ecoutez, je sais que ce qu’à fait mon fils est inexcusable, mais c’est encore un gamin et je ne sais pas ce qui lui a prit. Il me soutient qu’il était sobre et qu’il ne roulait pas vite, mais je me doute bien qu’il doit raconter un peu de mensonge. Je comprends votre colère Madame et j’ai retiré sa voiture à mon fils. Je ne sais pas si c’est une bonne idée que vous le voyez ! Vous savez, il a été puni sévèrement pas la peine d’en rajouter.
Jo : Vous n’étiez pas au procès madame ?
La femme : Non, je travaillais.
Jo : Vous n’avez pas vu la police non plus ?
La femme : Si, mais l’un d’entre eux est le père d’un ami à mon fils. Il a dû lui accorder des faveurs. C’est pour ça que j’ai du mal à croire que mon fils n’avait pas bu ce soir là.
Jo : Madame, je souhaiterais vraiment voir votre fils.
La femme : D’accord, mais ne soyez pas trop dur !
Jo : Promis.

La femme appelle Tim. Il descend par les escaliers, mais ralenti radicalement le pas quand il aperçoit Jo.

Tim : Euh… Bonjour Madame.
Jo : Bonjour. Est-ce que je peux te parler un instant ?
Tim : Oui, bien sûr !! Il y a aucune raison que je refuse. Je savais que je serais amené à vous rencontrer un jour et vous savez j’assume la responsabilité. Je suis conscient de ce que j’ai fait.
La femme : Vous voulez vous asseoir ?
Jo : Oui, merci !
La femme : Vous voulez que je vous laisse ?
Jo : Non, je pense que vous devriez rester.
La femme : D’accord !
Jo : Si je suis venu c’est parce que j’ai été très touché par tes excuses au tribunal aujourd’hui.
Tim : C’était normal !
Jo : Tu sais, tu dois arrêter de culpabiliser et continuer à vivre. Tu ne pouvais pas me voir. Même moi je n’aurais pas vu. Je suis arrivé sur cette route, j’étais déjà mourante et à terre.
Tim : Oui, mais j’ai aggravé votre cas !
Jo : Peut être un peu, mais c’était contre ta volonté, tu ne l’as pas fait exprès. Tu dois arrêter de te morfondre avec ça. Reprend ta vie et oublie tout ça.

Tim pleure.

Tim : Vous êtes si gentil !! Je n’arrive pas à supporter le fait que j’ai failli faire une grave bêtise ce soir là !
La mère : Quelle bêtise ?
Tim : Pour nous vous étiez morte, on ne vous entendais plus respirer et il y avait du sang partout. Mon pote flippait qu’on finisse en prison. Il voulait vous abandonné dans un coin mais je ne voulais pas. Il a finit par me convaincre et au moment ou il a ouvert le coffre, je me suis rétracté. C’est là que j’ai appelé les secours.
Jo : Tu sais Tim sur le coup, on n’est pas toujours maître de nos actes. J’étais là que mon ravisseur à été arrêté. J’ai failli le tuer. Je ne l’ai pas fait mais c’était moins une. Donc je te pardonne ton acte et l’important c’est que tu ne l’ais pas fait.
Tim : Merci.
Jo : Madame ! Rendez sa voiture à votre fils. Cette nuit là il était bien sobre et il roulait à vitesse réglementaire. On ne peut rien lui reprocher. Si il n’aurait pas appelé les secours, je serais morte aujourd’hui. Il m’a sauvé la vie. Il peut être fier de lui.

Jo sourit et s'en va.

A suivre

génial!!!

c'est super !!! j'adore !!!

Chapitre 23

Nous sommes au cœur de trois jours de procès qui jugera Curtis pour les tortures qu’il a fait endurer à Jo.

Jo est allez rendre visite à Tim qui culpabilise énormément de l’avoir renversé. Jo a été très touchée par les excuses qui lui a présenté lors de son interrogatoire. Elle a souhaité faire comprendre à Tim qu’il n’était pas responsable et que ce n’était qu’un tragique accident.

Le lendemain, c’est le dernier jour du procès. Curtis est à la barre.

L’avocat de Jo : Monsieur Curtis qu’avez-vous fait le 8 octobre 2011 ?
Curtis : M’en souvient pas, trop loin !
L’avocat : Allons monsieur Curtis un petit effort !
Curtis : Je ne m’en souviens pas je vous dis !! Vous vous souvenez vous de ce que vous avez fait ce jour là ?
L’avocat : C’est moi qui pose les questions. Si je comprends bien vous nié avoir kidnappé, séquestré et torturé Jo Danville ?
Curtis : Tout a fait. Ceci n’est qu’une machination. Elle m’en veut et se venge en m’accusant.
L’avocat : Drôle de vengeance non ?
Curtis : Je ne sais pas, mais tout ce que je sais c’est que jamais j’aurais pu m’en prendre à elle. C’est une bonne flic, elle m’aurait vite doublée.
L’avocat : Sauf que quand vous l’avez kidnappé, elle n’a pas pu se défendre puisque vous l’avez entrainé dans un ravin.
Curtis : Ce n’est pas moi je vous dis et vous ne me ferais pas avouer ça. Je suis bien désolé pour elle, mais ce n’est pas moi.

Curtis continu d’insister sur le fait qu’il est innocent.

Chaque avocat présente leur conclusion aux membres du jury.

L’avocat de Jo : Mesdames, Monsieur les jurés ! Alors que tous les proches de Joséphine Danville la croyaient décédée, l’accusée lui faisait vivre un véritable enfer. Cette femme qui était sensé reposer en paix, vivait en fait dans la violence, l’intimidation, la maltraitance et la soumission entre autre. Joséphine Danville a été retrouvée dans un état catastrophique, complètement dévisagé et au bord de la mort. Pour retrouver son visage elle a du subir cinq opérations dont trois chirurgicale, elle présente encore des cicatrices et des traces de brûlure sur son corps.

Certains membres du jury ont les larmes aux yeux. Les larmes roulent le long des joues de Jo.

L’avocat continu : Elle a été séquestré et maltraité pendant onze mois, jusqu’à ce qu’elle trouve un moyen pour s’enfuir. Même si cette tragédie est aujourd’hui terminée pour ma cliente, elle garde de grandes séquelles psychologiquement. Elle remettra peut être des années à se reconstruire en supposant qu’elle y arrive un jour. Donc, pour toute les horreurs que l’accusée a fait subir à ma cliente, je vous demande une peine d’au moins 30 ans de prison sans remise de peine. Merci à vous.

L’avocat de Curtis : Mesdames, Monsieur les jurés. Il est clair que tout les faits rapportés sont peut être bel et bien arrivés à Joséphine Danville, mais rien ne prouve exactement que l’auteur de ces agissements est mon client. Il est fort probable qu’une confusion soit établie et que le véritable auteur de ces violences est un homme qui court encore dans la nature. Depuis 2008 un très fort conflit règne entre Joséphine Danville et mon client. Après tout ! Pourquoi n’aurait elle pas accusé mon client pour le simple plaisir de le voir derrière les barreaux ! La voiture retrouvée dans la forêt le jour où l’on a retrouvé Joséphine Danville n’appartient même pas à mon client. Malheureusement, je pense que les dégâts psychologiques dont est victime Joséphine Danville, l’entraînent vers une mauvaise identification. Il est clair que mon client est sans doute injustement accusé à la place d’un autre homme. Je vous demande donc de rétablir la vérité.

Jo : (Discrètement) J’y crois pas de ce que j’entends !!

Mac qui est derrière elle pose sa main sur son épaule.

Pendant que le jury délibère, Jo boit café sur café dans le couloir du tribunal.

Jo : L’avocat de Curtis est très fort ! Ils vont le laisser sortir tu verras !
Mac : Jo ! Ton avocat à été très convainquant, j’ai vu des membres du jury en pleurer. J’ai confiance. Il ne peut pas être jugé non coupable. Il y a trop d’éléments contre lui. Puis en supposant que l’avocat de Curtis est réussi à convaincre une partie du jury, il prendra au moins dix ans.
Jo : Tu sais, je suis plutôt cool comme femme, comme flic, mais dix ans pour ce qui m’a fait subir, c’est une peine absurde.
Mac : Je sais !! Tu sais, si c’est le cas, tu pourras faire appel et je te soutiendrais.
Jo : Je me battrais jusqu’au bout et si il faut faire appel, je le ferais.
Mac : Enfin, on n’en est pas là. Si ça se trouve, tu n’auras pas à en arriver là.

Dans la salle du jury.

Le jury est composé de 12 personnes.

Juré 1 : Que ceux qui pensent que l’accusée est coupable lève la main.

9 personnes lève la main.

Jurée 2 : (Le croyant coupable) Pour avoir une peine maximal il faut qu’on soit unanime sinon il risque de s’en sortir avec à peine 15 ans et encore peut être 10 ! Vous vous rendez compte de ce qu’il a fait subir à cette femme ? Si il bénéficie d’une remise de peine il fera peut être 8 ans. 8 ans pour tout ce qui lui a fait ! C’est rien du tout !!
Juré 3 : (Le croyant innocent) Moi je suis désolé mais je ne suis pas persuadé que c’est vrai tout ça !
Juré 4 : (Le croyant coupable) Et pourquoi ? Moi je la vois pas mentir ! Franchement elle avait vraiment l’air sincère. Pour moi cette femme dit la vérité et ce pourri mérite bien pire que la prison.
Juré 3 : (Le croyant innocent) Cette femme a été virée du FBI à cause de lui !! Vous pensez pas qu’elle voudrait se venger ?
Juré 4 : (Le croyant coupable) Se venger de quoi ? Elle a été mutée à Manhattan, sa carrière ne s’est pas arrêtée ! Au contraire, elle est devenue détective de premier grade c’est largement mieux qu’agent du FBI croyez-moi !!! Cette bonne femme se fait au moins milles cinq cent dollars de paye en plus que si elle était encore au FBI alors je ne vois pas pourquoi elle se vengerait à cause de ça !!
Juré 3 : (Le croyant innocent) Elle le voulait derrière les barreaux et ça depuis cette affaire en 2008. Je pense que si cette femme est déterminée à le voir en tôle, ses mille cinq cent dollars de paye en plus, elle ne regardera pas dessus.
Juré 5 : (Le croyant innocent) Moi je suis d’accord avec vous ! Cet homme est peut être un violeur mais je ne pense pas qu’il ait l’apparence du gars qui a séquestré et fait subir tant d’horreur à une femme pendant presque un an.
Juré 4 : (Le croyant coupable) On ne peut pas juger l’innocence ou la culpabilité d’une personne sur son apparence. Ce sont les faits qui m’intéressent moi, pas la paye du lieutenant Danville ou l’apparence de l’accusée !
Juré 5 : (Le croyant innocent) Mais ça n’a pas de sens, il ne l’a même pas violé !
Jurée 6 : (Le croyant coupable) : Parce qu’elle a réussi à le bluffé mais sinon il l’aurait fait ! Elle a été futée c’est tout. Si elle voulait vraiment l’accuser à tort, elle lui aurait collé aussi un viol sur le dos ! Surtout qu’il est réputé pour ça !!!
Juré 7 : (Le croyant innocent) Attendez, c’est qu’une flic, elle veut en finir avec lui ! Elle n’a même pas versé une seule larme à la barre !! Elle savait très bien que si elle disait qu’elle a été violée elle serait examinée. Elle connait ce genre de procédure par cœur. Moi je vous dis cette femme à tout calculé. C’est une flic qui a soif de vengeance et qui veux mettre cet homme au trou coûte que coûte.
Juré 4 : (Le croyant coupable) Alors vous jugé sa non culpabilité parce que cette femme est flic ! Mais je rêve ! C’est du grand n’importe quoi ! Qu’elle soit flic, dentiste ou call girl, les faits sont là ! On a vu les photos du jour où elle a été retrouvé et moi je vous dis sincèrement j’ai failli vomir ! Elle n’a pas pu s’infliger autant de mal et monter un plan si machiavélique.
Juré 5 : (Le croyant innocent) Oui, c’est vrai moi aussi ça m’a donné la chair de poule ces photos, mais rien ne dit que c’est lui le véritable coupable comme l’a si bien exprimé son avocat.
Juré 4 : (Le croyant coupable) Elle n’a pas pleuré car elle a fait preuve de bravoure c’est tout ! Puis elle ne voulait pas lui faire ce plaisir à mon avis ! Le fait qu’elle n’a pas pleuré à la barre ne fait pas d’elle une menteuse. Imaginez le nombre de larmes qu’elle a dû versées quand elle s’est fait torturer par ce mec !!

Certain jurés n’ose pas prendre la parole.

Juré 6 : (Le croyant coupable) Oublions un instant qu’on est juré. On se met dans la situation de cette femme, même si c’est guère possible, mais tentons de se mettre à sa place. Pensez à la personne que vous détesté le plus. Si vous auriez subit ce que Joséphine Danville à subit pourriez vous laisser votre réel ravisseur dehors et accuser une personne que vous détesté à sa place juste pour régler vos comptes. Que ceux qui auraient pu faire ça lève la main et soyez franc !

Personne ne lève la main.

Juré 4 : (Le croyant coupable) Puis il faut être réaliste, une chose comme ça ne s’invente pas. Cette femme a vécu un traumatisme énorme. Si jamais vous vous trompé et qu’il s’en sort avec à peine 10 ans parce que nous ne somme pas unanime ! Imaginer ce qu’il va faire à sa sorti de prison !
Jurée 3 : (Le croyant coupable) Il va tout faire pour la retrouver et il va finir son travail ! Moi je ne suis pas prêt à assumer cette responsabilité. Alors les trois personnes qui le croient innocent, êtes vous prêt à prendre le risque qu’il la tue un jour ? Comment se portera votre conscience le jour où vous verrez dans le journal que cette femme a été tuée alors que ce mec sort à peine de prison !
Jurée 5 : (Le croyant innocent) Ouais tout bien réfléchit ! Je ne suis pas prête à prendre ce genre de risque. Je change mon vote.
Juré 7 : (Le croyant coupable) Mais c’est une flic, elle sait bluffé !! C’est dans son métier ça !!

Le jury délibère encore pendant trois longues heures et rendent leur décision.

Le tribunal rend son verdict.

Le juge : Accusé levez vous. Après délibération du jury, le jury retient 12 chefs d’accusations contre vous à l’encontre de Joséphine Danville.

Curtis baisse la tête et lance un regard noir et provocateur à Jo

Pour enlèvement et séquestration, le jury vous déclare coupable,
pour violences et coups et blessures corporelles et morale, le jury vous déclare coupable.
pour maltraitances et soumissions, le jury vous déclare coupable,
Pour tentative de viol le jury vous déclare coupable de préméditation,
pour menaces et intimidations, le jury vous déclare coupable,
pour tentative de meurtre le jury vous déclare coupable.
pour atteinte à la pudeur, le jury vous déclare coupable,
pour injures sur agent assermenté le jury vous déclare coupable.
Le jury a voté et est tombé sur un avis unanime. A ce titre, vous êtes donc condamné à une peine de prison à perpétuité incompressible et cent cinquante milles dollars de dommage et intérêt à la victime. De plus, tout les frais médicaux lié à ce que vous lui avez fait subir devront lui être intégralement remboursées. Une somme qui d’après mes documents s’élève à quarante-trois mille cinq cent soixante dollars. Si toutefois vous n’avez pas l’argent en votre possession, l’état avancera l’argent et vous travaillerai au centre pénitencier pour régulariser votre dette.

Jo : (Discrètement) C’est fini !! Ouf.

Jo se retourne et Mac la prend dans ses bras. Des larmes de soulagement roulent le long des joues de Jo. Curtis la regarde avec beaucoup de haine et de dégoût.

Les officiers l’emmène, mais il cesse de la regarder écoeurer. Jo toujours dans les bras de Mac le regarde partir sans avoir la moindre réaction.

Dans le couloir

Jo : J’en reviens pas, mon avocat avait demandé 30 ans.
Mac : Oui, mais parfois, le juge estime que même si c’est la défense qui le demande, la peine est peut être trop légère.
Jo : Enfin, on n’est pas prêt de le revoir, c’est déjà ça !
Mac : Je pense que le jury ne voulait pas prendre de risque.
Jo : Possible !! Tu te rends compte que si il n’y aurait pas eu l’unanimité il aurait eu 10 ou 15 ans à peine !
Mac : Oui, c’est vrai !!
Jo : Franchement je m’attendais pas à l’unanimité, je pensais bien que peut être quelques membres du jury pencherait en ma faveur, mais j’avais vraiment peur que ce sois pas suffisant pour le déclarer coupable ! Puis à la fin quand il a dit que le jury avait été unanime j’ai été très surprise ! Je pensais vraiment qu’il prendrait une dizaine d’années. C’est un véritable soulagement !
Mac : Oui, pour moi aussi ! Alors ce soir ma chérie je t’invite à dîner.
Jo : Ce n’est pas de refus !

Henry, l’avocat de Curtis arrive.

Henry : Jo, je suis content, il n’a eu que ce qu’il mérite. Je ne devrais pas parler comme ça de mon client, mais au vu du respect que j’ai pour toi, je ne peux pas faire autrement.
Jo : Merci !
Henry : Je peux me permettre de t’inviter à dîner un de ces soirs ?
Jo : En quel honneur ?
Henry : Ben j’avoue que depuis Washington, on a pas eu l’occasion de se revoir et….

Jo se sent tout de suite mal à l’aise vis-à-vis de Mac.

Jo : Ecoute Henry, tu es un homme charmant et c’est vrai qu’on a passé de bons moments tout les deux, mais je ne suis plus célibataire ! Je vis avec un homme maintenant !
Henry : Attends ! Toi, tu vis avec un homme ?
Jo : Euh ! Je ne sais pas ce que je dois conclure par ta réponse !
Henry : Non, mais je disais ça car tu me disais souvent que tu ne voulais pas d’histoire sérieuse.
Jo : J’ai rencontré le grand amour, un coup de foudre.

Mac prend Jo par la taille pour s’en mêler un peu.

Henry : Ah d’accord !! Désolé ! Je ne savais pas !
Jo : Ce n’est pas marqué sur mon front !
Henry : Ben écoute, je suis ravie, tu le mérites, sincèrement !
Jo : Merci !
Henry : Allez ! Bonne continuation !
Jo : Merci !!

Mac et Jo partent bras dessus, bras dessous. Mac glisse un mot à l’oreille de Jo.

Mac : Il va falloir qu’on ait une discussion.
Jo : Tu es sérieux ?
Mac : Non, mais j’avoue que la moutarde m’ait monté au nez !! Voir un homme te draguer sous mes yeux c’est juste frustrant !
Jo : Je rêve Mac ! Tu es jaloux ! (Souriant)
Mac : Un peu, mais tu es mon amour Jo et je ne veux pas te perdre encore une fois. Ça serait une déchirure pour moi.
Jo : Encore une fois ?
Mac : Tu sais très bien de quoi je veux parler !
Jo : Mac !! Nous étions pas ensemble encore !
Mac : Oui, mais je t’aimais !
Jo : Oui, vu sous cet angle.
Mac : Jo, je ne te le dis peut être pas assez mais tu es ce que j’ai de plus cher au monde et peut être que c’est prétentieux et que je cherche un peu à me vendre, mais tu ne trouveras pas d’homme capable de t’aimer plus que moi.
Jo : (Emue) Je ne trouve pas ça prétentieux, bien au contraire, c’est très romantique. Et je t’aime moi aussi mais tu le sais ça. Je ne serais jamais revenu sinon. Tu as changé ma vie et j’aime ma vie telle qu’elle est aujourd’hui aux côtés de mes enfants et de toi.
Mac : Allons boire un café.
Jo : Avec plaisir. J’en ai bien besoin

Mac embrasse Jo juste avant qu’ils ne partent.

A suivre

super suite !! J'ai adoré ce procès !!!!!!!!
Bravo

Victoire pour jo!!!!!!!!!!!!!!
Houra!!!!!!

Chapitre 24

Le procès a eu lieu et Curtis a été condamné à une peine de prison à perpétuité et incompressible pour les horreurs qu’il a fait subir à Jo.

Le soir, Jo et Mac savourent un repas au restaurant.

Jo : En tout cas, je ne sais pas ce que je vais faire de ces cent quatre vingt dix mille dollars moi !
Mac : Il y a pleins d’options !
Jo : Je ne sais même pas si je veux de cet argent !
Mac : Après ce qu’il t’a fait subir tu y as largement droit ! Prends le Jo ! Puis n’oublie pas que ça inclut tes frais médicaux !
Jo : Je pourrais donner aux associations !!
Mac : Tu fais ce que tu sens le mieux, mais pense que c’est le fric de Curtis et ça serait normal que tu t’amuses avec !
Jo : Pas bête ! Remarque j’ai une petite idée de comment on pourrait dépenser une petite partie de cette argent ?
Mac : On ? C’est ton argent !
Jo : Le dépenser seule ne serait pas marrant !
Mac : Tu veux voyager ?
Jo : Oui, j’irais bien passer un week end à Paris.
Mac : Pourquoi pas !
Jo : Mais j’ai une autre idée ! J’espère qu’elle te plaira. Mais sache que je ne te propose pas ça sur un coup de tête, c’est mûrement réfléchit !
Mac : Je t’écoute !
Jo : Si avec une petite partie de cette somme, on s’offrait un beau mariage ? (Souriant)

Mac reste stupéfait.

Mac : Tu es sérieuse ? (surpris)
Jo : Je sais, d’habitude ce sont les hommes qui font ce genre de demande, mais avec tout ce que tu as fait pour moi, c’est peut être normal que ce soit moi qui te prouve mon amour en te demandant si tu veux bien que je devienne ta femme !
Mac : Wouah ! Si je m’attendais à une chose pareille !! Je ne sais même pas quoi dire, tu me clous sur place ! (ému)
Jo : Ça n’a pas l’air de te faire très plaisir je crois ! Je fais fausse route on dirait ! Excuse-moi Mac !! Oublie cette idée stupide ! Après tout ce n’était qu’une idée qui ne t’engageait à rien !
Mac : Non, ce n’est pas stupide, bien loin de ça et je suis très touché, Mais disons que je suis très surpris et que surtout les grands esprits se rencontrent, puis surtout d’un seul coup je deviens beaucoup moins nerveux !
Jo : Comment ça ? Pourquoi nerveux ? Tu appréhendais mon idée ? Tu t’attendais à autre chose peut être ?
Mac : Non, tu n’y es pas du tout ma chérie.

Mac met sa main à l’intérieur de sa veste et sort un écrin sous les yeux intrigué de Jo. Il l’ouvre délicatement et présente devant elle une magnifique bague.

Mac : Si je t’ai invité à dîner en tête à tête ce soir, c’est parce que à la fin de notre repas j’avais prévu de te demander si tu voulais bien m’épouser. Je t’aime plus que tout et j’ai envie qu’on officialise ça et surtout passer le reste de ma vie avec toi.

Jo a les larmes aux yeux.

Mac : J’avoue que depuis le début du repas, je suis terriblement nerveux et que je me demande comment je vais pouvoir te faire ma demande. La trouille que tu refuses me hantait, mais là je suis vraiment heureux car je sais déjà ta réponse. Tu m’as doublée Jo mais qu’est ce que j’aime ta démarche !

Mac retire la bague de l’écrin, il prend la main gauche de Jo et lui retire une bague présente à l’annulaire.

Mac lui glisse sa magnifique bague.

Mac : Jo veux tu m’épouser ?
Jo : Plus que jamais. Ça serait un honneur pour moi.

Mac embrasse Jo tendrement.

Mac : Je t’aime !
Jo : Moi aussi !
Mac : Je suis un autre homme avec toi !
Jo : Oh ça !! Je sais ! Le Mac du boulot n’a rien à voir avec le Mac de la vie privée. Mais si j’aime le Mac du boulot, j’adore le Mac qui partage ma vie.
Mac : Par contre, juste un détail ! Cette bague ça fait environ deux mois que je l’ai. Un jour, je suis passé devant une vitrine et elle m’a tapée dans l’œil. Ça faisait quelques temps déjà que je faisais ça, j’observais les bagues à la recherche de celle qui te correspondrait le mieux.
Jo : Et elle est magnifique !!
Mac : Je voulais attendre que le procès soit terminé pour te l’offrir. Sache que je n’avais pas prévu d’utiliser ton argent pour notre mariage. Les frais sont déjà couverts et tu auras un magnifique mariage.
Jo : L’essentiel c’est qu’on se mari. J’en ai terriblement envie depuis très longtemps. En fait, depuis le jour où j’ai lu ta lettre, quand tu avais mis dedans « et pourquoi pas te passer la bague au doigt » j’avoue que depuis j’en rêve.
Mac : Eh ben !! Notre rêve va devenir réalité. J’aimerais bien qu’on se mari le 4 septembre.
Jo : Intéressant comme date ! Est-ce que ça ne serait pas le jour où j’ai rencontré mon patron et que j’ai eu un grand coup de foudre pour lui ? (Malicieusement)
Mac : En tout cas c’est le jour où j’ai découvert ce magnifique sourire sur ce délicieux visage.
Jo : Cette date me plait ! Tu sais ce qui serait sympa ?
Mac : Non, mais je sens que tu vas bientôt me le dire !
Jo : Si on partait en lune de miel avant le mariage ? On serait tout beaux et tout bronzés !
Mac : Pourquoi pas !! Tu penses à une destination ?
Jo : Pourquoi pas les caraïbes !
Mac : Très bon choix !

Mac et Jo rentrent. A peine passé la porte d’entrée, Mac prend le sac de Jo et le jette sur le canapé. Il la porte et l’emmène dans la chambre.

Jo : Mac ! Je suis beaucoup trop lourde.
Mac : Chut !! On va se marier, je veux qu’on fête ça à notre manière !
Jo : Hum ! Dignement même ! Ellie dort chez Jenny, on peut faire ce qu’on veut.
Mac : On va se gêner tient !

A suivre

Ohhhhhhhhhhhh c'est chou !!!

Chouette ils vont se marier!

Chapitre 25

Depuis quelques mois, le procès est passé et Jo et Mac on prévue de se marier. Le couple rentre tous juste des Antilles ayant choisie de faire leur voyage de noce avant le mariage.

Le couple est en plein préparatif et semblent stressé.

Au labo, Mac et Jo arrivent.

Adam : Ah ! Les patrons nous ont manqué !
Mac : Ravie de te l’entendre dire !
Jo : Vous avez été sache !
Adam : Très sage ! Sheldon a été un peu coquin mais je l’ai rappelé à l’ordre !
Sheldon : Non mais oh !! (en lui mettant un coup de coude)
Lindsay : Alors ce voyage de noce anticipé ?
Jo : Le paradis sur terre.
Lindsay : J’imagine !!
Mac : C’est vrai que c’est un beau coin.

Jo et Mac racontent volontiers leurs vacances qui font rêver.

Danny : Et dans quelques jours, le grand jour !
Jo : Oui !! Tiens d’ailleurs Mac ! Il faut que j’aille chercher ma robe demain !
Mac : Oui, ben tu iras pendant l’heure du déjeuner si on a beaucoup de boulot. Sinon je peux bien t’accorder une petite heure.
Jo : C’est adorable !
Mac : Attend c’est dans mon intérêt aussi ! Pas de robe, pas de mariée !!

Tout le monde rigole.

Mac : Allez ! On a du boulot je pense !
Danny : Oui, un tas de dossier à signer !
Mac : Ce que j’aime le plus !! (ironiquement)

Après cette longue journée crevante, Jo et Mac rentrent, dînent et se mettent rapidement au lit. Jo est très excité à l’idée d’allez chercher sa robe de mariée le lendemain.

Jo est dans la boutique et essaie sa robe qui lui va à ravir.

Jo : C’est superbe ! Les ajustements sont parfaits.
La vendeuse : Très bien ! Contente que ça vous plaise.
Jo : Je vais vite l’enlever, je dois retourner au travail rapidement.
La vendeuse : Oui, pas de soucis. Vous la poserez au dessus de la cabine pour que je la mette dans la housse.
Jo : Oui !

Jo récupère sa robe et sort de la boutique avec un énorme sourire très heureuse de voir le jour de ses rêves se rapprocher. Le fait d’avoir sa robe de mariée sur le bras lui procure un effet de bien être. Elle voit ce jour devenir concret, elle allait épouser l’homme dont elle est tombé amoureuse il y a quelques années et en est plus qu’heureuse.

Alors que Jo s’apprête à monter dans sa voiture, un homme referme la portière avant qu’elle ait le temps de l’ouvrir. Jo se retourne.

L’homme : Bonjour Jo !
Jo : Oh non !! C’est pas possible !!
L’homme : Surprise de me voir on dirait !
Jo : Tu dois être en prison !
L’homme : Oui, mais les officiers sont parfois tellement stupide que j’ai réussi à m’évader pendant un transfert. C’est con hein !!

Jo prend son portable et Curtis lui arrache des mains et le jette au loin.

Curtis : J’ai un travail à finir, après je pars très loin. Jamais ils me retrouveront.

Jo tente de prendre son arme.

Curtis : Oh non non non non non !! Pas bougé.

Curtis lui tient le bras et Jo n’arrive pas à se servir de l’autre pour se défendre. Elle n’arrive pas à se résigner à lâcher sa robe.

Curtis : Allez bon vent !!

Curtis sort un couteau et transperce le ventre de Jo. Elle hurle, elle a l’impression que personne ne la voit, que les gens passent et ne comprennent pas qu’elle est en danger.

Jo regarde son ventre et le sang se propage. Curtis lui donne un deuxième coup de poignard. Jo tombe contre sa voiture et le sang se répend sur la housse de protection de sa robe.

Jo : Non, ma robe !!!

Jo hurle tellement fort que Mac finit par se réveiller.

Mac : Eh Jo ! Oh Jo !!

Jo hurle encore, Mac la secoue un peu.

Mac : Jo !

Jo finit par se réveiller.

Jo : Oh mon dieu.
Mac : Tu as fait un mauvais rêve !!
Jo : Oh s’était horrible !
Mac : On dirait oui !
Jo : Curtis m’a tué !
Mac : Mais non !! Tout va bien ma chérie !
Jo : Mac ! Si il revenait !
Mac : Curtis est en prison Jo !
Jo : Mais si il s’évadait !
Mac : C’est impossible et si ça serait le cas, nous serions immédiatement prévenue.
Jo : Oui, c’est vrai !

Mac prend Jo dans ses bras.

Mac : Allez mon amour ! C’est finit tout ça !

Jo embrasse Mac.

Jo : Je t’aime !
Mac : Moi aussi !!

Jo reste dans les bras de Mac et se rendort.

Le lendemain, Jo demande à Lindsay de venir chercher la robe avec elle, n’étant pas rassurée. Même si elle savait que c’était un rêve ridicule, ça l’avait marqué.

Quelques jours plus tard, Mac et Jo se retrouvent devant l’autel heureux de s’unir pour le meilleur comme pour le pire. Mac n’avait jamais autant sourit et tout le monde est ravie de les voir heureux.

Elie, Tyler et Jenna sont heureux de voir Jo enfin heureuse après les épreuves qu’elle a vécues.

Ce mariage est une parfaite réussite puisque quinze ans plus tard, tout le monde se retrouve au labo pour un pot de départ en l’honneur de Jo. A l’aube de ses soixante ans, elle prend une retraite bien méritée. Tout le monde est là, les anciens, les nouveaux, même Michelle qui l’a remplacée pendant près d’un an est là également. Elle annonce avec joie qu’elle vient de fêter ses quinze ans de mariage.

Cinq ans plus tard, ils apprennent que John Curtis vient de décéder des suites d’une longue et pénible maladie. Il aura passé 21 ans en prison sous la violence et la torture des autres détenus. Lorsque Curtis a appris il y a quelques mois qu’il avait un cancer, il a refusé tout traitement médical.

Fin