// Dead Inside // (Ship - Flack/OC, Smac, DL)

BOn super suite comme d'habitude
Vraiment géniale
J'adore le moment de la famille Messer trop mimi
Et danny qui parle à Sa fille c'est vraiment chou
Ba alors ma petite Stella qu'est ce que tu as
Vas falloir trouver
Jordan pfff observant DOn dormir
remarque je ferais la même chose :)
EN tout cdas j'attend avec impatience ta suite

Merci à vous pour vos commentaires!
Allez, voici le chapitre 6!



Jordan fut réveillée par l’odeur de café et de toast qui envahissait l’appartement. Elle se mit à sourire et son ventre la rappela à l’ordre. Elle se leva de bonne humeur, enfilant les vêtements prêtés par Stella. Elle devrait passer chez elle dans la matinée et pourrait enfin retrouver son cocon personnel. Peut-être que cette étape allait également lui redonner l’espoir et lui ramener quelques souvenirs.
Flack (la voyant arriver dans la cuisine) : Bonjour... bien dormi ?
Elle l’observa quelques instants et son cœur se serra à nouveau. Il portait un jean foncé et un sweat-shirt vert kaki qui n’était ni trop serré ni trop large, juste impeccable pour mouler son corps aux endroits stratégiques. Elle pouvait voir ses biceps se dessiner et se prit à rêver de se retrouver au creux de ses bras.
Jordan : Très bien dormi... (hésitante) et toi ?
Flack (souriant) : Bien aussi. (prenant une pause) Prête à reprendre ta première journée de travail ?
La jeune femme s’assit au comptoir de la cuisine et prit un toast. Elle n’était pas certaine de savoir très bien ce qui l’attendait. Elle savait uniquement qu’elle allait travailler avec une autre jeune stagiaire nommée Haylen sous la supervision d’un certain Adam Ross mais ces noms ne lui donnaient aucun visage.
Jordan (sur la réserve) : On verra.
Flack remarqua qu’elle n’avait pas l’air rassurée alors il s’approcha d’elle et posa une main sur son épaule, ce qui sortit la jeune femme de sa réserve.
Flack (rassurant) : C’est normal de paniquer un peu... mais ça va aller. Tout le monde est là pour t’aider.
Leurs regards se croisèrent et la jeune femme reprit espoir. Il y avait dans les yeux de Don une lueur qui ravivait la flamme dans ses yeux noirs.
Avec une grande douceur, Flack replaça une mèche blonde qui cascadait sur son épaule et laissa sa main posée sur sa joue un peu plus longtemps qu’il ne l’aurait du.
Ils semblaient se perdre l’un l’autre dans leurs regards respectifs mais la jeune femme se leva, brisant ainsi la magie du moment. Toussotant légèrement, elle se dirigea vers la porte, envoyant un signe à Flack qui prit ses clés et s’apprêtait à l’emmener à son appartement.

Ils arrivèrent quelques minutes plus tard et il lui semblait reconnaître son immeuble. Lorsqu’elle entra, une dame âgée lui fit le bonjour qu’elle lui rendit poliment sans pour autant engager la conversation car elle ne se souvenait pas de cette personne. Après avoir pris l’ascenseur dans un silence de plomb, Flack et Jordan arrivèrent devant sa porte et le Détective sortit la clé de secours qui se trouvait dans la boite aux lettres. Ils entrèrent alors et la jeune femme fut frappée par une foule de souvenirs qui l’envahirent tous en même temps. Elle était comme une enfant surexcitée devant un cadeau qu’elle venait d’ouvrir.
Jordan (ne tenant pas en place) : Tu as vu ? Quelqu’un a nourri mes poissons ! Et arrosé les plantes ! Et ça... c’est le pull que tu m’as offert pour mon anniversaire !
Flack, appuyé sur le rebord de la fenêtre, souriait à en avoir mal à la mâchoire. Qu’elle se souvienne d’autant de choses en si peu de temps était vraiment magique. Sheldon avait eu raison : la ramener chez elle avait été un déclencheur.
Flack (timidement) : C’est moi...
La jeune femme stoppa net dans ses actions et le considéra un instant.
Jordan (incrédule) : Tu... tu es passé tous les jours ?
Flack ne répondit pas mais se contenta d’acquiescer, ne sachant pas très bien comment elle réagirait. Peut-être n’apprécierait-elle pas que quelqu’un se soit introduit dans son lieu de vie, dans son intimité.
Flack (s’expliquant en balbutiant, comme s’il avait été pris en faute) : Il fallait bien s’occuper du ménage... au cas où tu reviendrais... Et puis... les poissons...
Mais tandis qu’il était occupé à marmonner de fausses excuses à son comportement, il ne vit pas Jordan se rapprocher de lui. Il finit par s’en rendre compte lorsque la jeune femme l’enlaça par la taille et se cala tout contre lui, posant sa tête sur son torse. Le jeune homme crut bien qu’il avait arrêté de respirer.
Jordan (sereine) : Merci, Don.
Ne sachant pas exactement quoi faire, il posa ses mains dans son dos et la serra plus fort contre lui, ressentant cette chaleur réconfortante qui émanait de leurs corps. Flack posa son menton sur le haut de sa tête et ils restèrent ainsi enlacés pendant ce qui leur sembla une éternité. Aucun des deux n’avait réellement envie de bouger tant ils se sentaient bien mais ils savaient qu’ils devraient aller travailler.
A regret, Flack s’écarta d’elle et lui désigna sa chambre afin qu’elle puisse aller se changer.
Elle lui lança un dernier regard avant d’entrer dans la pièce pendant qu’il s’affalait sur le canapé en poussant un lourd soupir.

Une heure plus tard, le temps de régler quelques détails à son appartement, ils arrivèrent au laboratoire où ils croisèrent Mac et Stella dans le couloir. Voyant la jeune femme anxieuse, Stella la prit sous son aile et lui montra d’abord les locaux que Jordan sembla reconnaître, ne manquant pas de lancer quelques anecdotes sur chaque lieu.
Ils arrivèrent au laboratoire où la jeune femme allait travailler en compagnie d’Haylen et d’Adam. Lorsqu’elle vit la jeune femme, sa première impression fut qu’elle n’allait pas s’entendre avec elle. Puis Adam arriva et à peine eut-elle posé son regard curieux sur lui pour essayer de l’identifier qu’elle croisa le regard de la blonde qui se faisait encore plus froid et mauvais. Avait-elle touché un point sensible ? Cette jeune femme avait-elle une relation avec le jeune homme ?
Lorsque Adam la serra brièvement contre lui pour lui souhaiter un bon retour parmi eux, le regard d’Haylen devint assassin. Ca n’allait pas être facile...
Adam (encourageant) : Ton bureau était là et tu étais chargée de l’analyse mitochondriale de certaines cellules...
Mais avant qu’il ne puisse aller plus loin, Jordan observa la jeune femme qui épiait ses moindres faits et gestes et voyant l’incertitude de sa collègue, Haylen eut un sourire narcissique.
Voyant ce qu’il se passait, Stella demanda à la stagiaire si elle pouvait l’accompagner cinq minutes, laissant ainsi à Jordan l’occasion de ne pas se sentir mal à l’aise.
Profitant du calme du laboratoire, la jeune femme s’approcha d’Adam qui analysait une fibre au microscope.
Jordan (très bas) : Elle ne m’aime pas beaucoup...
Adam : Qui ? Haylen ? Ne te laisse pas démonter... elle veut prouver à tout prix qu’elle est la meilleure... surtout à Mac, si tu vois ce que je veux dire.
Ils échangèrent un regard entendu et Jordan se permit de sourire. Pour la première fois depuis longtemps, elle se souvint du sentiment qu’elle ressentait tous les matins dans l’ascenseur, en se rendant à son travail. Ce sentiment de bien être qu’elle avait en fréquentant ses collègues qu’elle considérait comme sa famille. Elle n’aurait jamais pu imaginer qu’ils puissent autant lui manquer.
Jordan (gênée) : Je ne sais absolument pas ce que je suis censée faire...
Adam (comprenant) : Je vais t’expliquer, c’est pas compliqué. Et puis, tu étais une brillante scientifique... c’est comme la bicyclette, ça ne s’oublie pas.
Jordan (perplexe) : Si tu le dis...

Une fois sa journée terminée, elle fut soulagée de voir Flack venir la chercher. Elle monta sur le siège passager de sa voiture.
Flack : Alors, cette journée ?
Jordan : J’ai revu toute l’équipe. Je me souviens d’à peu près tout le monde... Seulement, il y a une personne pour qui je suis indésirable.
Flack fronça les sourcils car il savait très bien de qui elle voulait parler. Mais il se jura que si cette pimbêche lui cherchait des ennuis, il serait là pour la remettre à sa place.
Flack : Laisse-moi deviner... Haylen ?
Jordan était incrédule et se dit que s’il connaissait déjà le caractère de sa « rivale », c’est qu’elle n’en était pas à son coup d’essai.
Jordan : Je crois qu’elle en pince pour Adam.
Flack eut un rire franc. Il savait très bien que cette stagiaire tournait autour de son ami mais se dit qu’il n’y avait pas de quoi fouetter un chat.
Flack : Adam la déteste. Elle va se prendre un râteau assuré. Mais ne la laisse pas te faire du tord.
Jordan acquiesça en silence et se mit à rêvasser. Elle repensa à son rire qu’elle venait d’entendre et cette sensation lui donna des papillons au ventre. Elle se sentait invincible à ses côtés.
Flack : Un petit thaïlandais, ça te dit ?
A nouveau, elle ne répondit pas mais il n’y avait qu’à se plonger dans son regard pétillant pour obtenir la réponse à cette question.

Du côté du laboratoire, Mac soupirait lourdement, plongé dans le canapé de son bureau. C’est cet instant que choisit Stella pour entrer et le réprimander.
Stella (faussement en colère) : Vous n’allez pas encore dormir ici, Mac !
Mac : Non j’allais...
Stella (le coupant) : Vous alliez tomber endormi sur votre canapé.
Elle avait, comme bien souvent, raison. Ce n’était pas pour rien que les deux personnes s’entendaient si bien, jusqu’au point où certaines personnes les prenaient pour un couple. Dans un certain sens, ils étaient un couple de vieux amis. Stella essayait de profiter de chaque instant qu’elle pouvait passer en sa compagnie et même si les récents évènements leur avaient appris à vivre plus pleinement leur vie, elle était toujours effrayée à l’idée de déclarer ses sentiments à Mac. Plus les années passaient, plus leur amitié s’intensifiait et plus elle avait peur de la briser.
Stella (inquiète) : Depuis quand n’avez-vous pas mangé ou dormi, Mac ?
Mac : Je n’en ai aucune idée...
Stella (arborant son sourire habituel) : Venez, je vous invite à ce petit italien que vous aimez tant.
Mac ne pouvait pas s’empêcher de dévisager Stella et il savait qu’il n’avait pas besoin de résister. Certes, il avait été entraîné à résister à beaucoup de choses, mais pas au regard émeraude de Stella.
Mac : A vrai dire, je suis trop fatigué pour un restaurant.
Stella : Bien, alors rentrons chez vous et je vous cuisine une spécialité à la grecque.
Il voulut rétorquer mais encore une fois, il savait que c’était inutile avec elle. Décidément, il ne pouvait pas lui résister...
Ils quittèrent donc le laboratoire et Mac, le cœur léger, se dit que pour une fois, il dormirait bien cette nuit.

TBC

Du Smaac!! TRop mimi cete scène ^^ Haaaate de lire la suiiiiiiiite...

Et Don qui nourrit les poissons et qui ose pas le dire... ^^ Ouf Jordan retrouve la mémoire !

j'aime bcp ce que t'écris ! et puis si tu y ajoutes du smac, ça va être encore mieux !!
mais je pensais que Stella était malade ???

la suite !

Comme je n'ai pas été prévenu de l'arrivée de tes suites par mails j'ai eu le plaisir d'en lire 3 d'un coup

que du bonheur !!!! tu écris super bien !

j'adore Danny qui parle à sa fille... j'aime beaucoup cette scène chez les Messer.

Jordan et Don qui se rapprochent c'est touchant.

et moi je guette plus que tout les scènes Smac

en tout cas j'apprécie beaucoup que Adam et Sheldon soient bien présents dans ta fic, c'est agréable !!!

en tout cas j'ai hâte de te lire car c'est génial !!!! VIVEMENT UNE AUTRE SUITE !!!!!!!!!

Je l'ai lu d'un seul coup.
J'adooooooooooooore !
C'est tout beau tout ca.

Merci à toutes pour vos commentaires!
J'ai tenu à ce que tous les persos soient présents (il y aura aussi Sid dans le prochain chapitre).
Stella, on ne sait pas encore ce qu'elle a, mais ça ne va pas tarder ^^. Et le prochain chapitre sera très Smac et il y aura une partie avec Adam aussi (mais rien à voir avec eux deux). Parce qu'il faut bien une petite enquête aussi...

Jersey_07 a écrit:

Et le prochain chapitre sera très Smac et il y aura une partie avec Adam aussi (mais rien à voir avec eux deux).

Tu me rassures là ! PTDR !
t'imagines ? le trio d'enfer !!

LOL j'ai déjà écrit des threesome mais pas à ce point là quand même xD. Et c'est un forum tout public, je pourrais même pas les poster (d'ailleurs je ne les ai plus je pense, mon ancien disque dur ayant rendu l'âme).

Non ce sera très Smac et un peu Adam/Sheldon (amitié) et puis le début d'une enquête.

Super suite, vraiment géniale
oh Flack à pris soin de l'appart de Jordon c'est chou
Elle l'enlace encore plus mignon
Ohoh Haylen jalouse je vois pas pourquoi
en plus Adam l'aime pas alors raison de plus
OH et du Smac
Que du bonheur ce chapitre

Étant 100 % pour le SMAC, je dois dire que j'avoir la relation avec Adam =)

Merci à vous! Depuis que j'aime bien le personnage de Flack, j'ai toujours eu tendance à le voir comme un dur au coeur tendre ^^. D'apparence, il est assez imposant mais au fond, c'est un timide ^^ (mais je peux me tromper).
Quant à Haylen, je ne connais pas assez son personnage pour savoir ce que les scénaristes lui réservent mais je ne l'aime pas beaucoup et j'ai l'impression qu'elle veut se rapprocher d'Adam pour lui piquer sa place. Je développerai peut être ça dans un futur chapitre mais pour l'instant, je trouve qu'Adam en fait déjà bien assez dans mon histoire xD.
Et dans ce chapitre... avis aux amatrices de Smac!
Il y va aussi y avoir beaucoup de Sheldon/Adam MAIS ce n'est pas un slash! Juste de l'amitié!



Le soir était tombé sur la ville qui ne dort jamais et Stella, qui connaissait l’appartement de Mac comme si elle y vivait, se dirigea vers la cuisine et examina les placards.
Stella : Mac ! Il serait peut-être temps d’aller faire quelques courses...
Mac soupira, pris en faute, et s’installa sur son canapé. Dénouant sa cravate, il attendit que Stella lui fasse une autre remarque mais elle fouilla les placards à la recherche de quelque chose de potentiellement comestible.
Stella : Des pâtes bolognaise, ça vous dit ?
Mac (souriant) : Parfait. J’en profite pour aller me changer...
Stella ne put s’empêcher de rougir légèrement en imaginant Mac se déshabiller et enfiler quelque chose de plus confortable. Bien sur, elle l’avait déjà vu plusieurs fois torse nu dans les vestiaires du labo, mais elle en avait assez d’imaginer le reste et de devoir mettre les pièces du puzzle ensemble dans son esprit. Elle en avait assez de se poser des questions quant à savoir comment Mac aimait embrasser, s’il était prêt à s’investir dans une relation ou non,...
Mac : Stella... (voyant qu’elle était dans les nuages) Stella...
Stella (revenant sur terre) : Hm ?
Mac (un sourire espiègle) : Ce n’est pas en mettant les pâtes dans l’eau froide qu’elles vont cuire.
Stella redescendit encore plus sur terre et regarda la casserole... quelle cruche ! Elle n’avait même pas pensé à allumer le gaz, trop prise dans son fantasme et voilà que Mac la dévisageait. Elle se sentit rougir et ses jambes avaient du mal à la porter lorsqu’il posa sa main sur son bras et lui demanda d’un air inquiet si elle allait bien. Elle revint de plus belle sur terre et comptait bien y rester. Elle avait fait son choix : c’était ce soir ou jamais.
Prenant son courage à deux mains, elle plongea son regard dans celui de Mac et, bien qu’elle se sente troublée, elle parvint à articuler quelque chose.
Stella : Mac... après 15 ans d’amitié, on pourrait peut-être se tutoyer, non ?
Ce n’était pas ce qu’elle avait prévu de dire mais c’était déjà un pas en avant qu’il accepta avec joie.
Mac : Tu veux un coup de main pour la cuisine ?
Ils échangèrent un regard complice qui leur prodigua bien plus que ce qu’ils avaient pu échanger au cours des derniers mois.

Ils mangèrent en s’échangeant des anecdotes comme au bon vieux temps, semblant oublier les évènements funestes qui s’étaient produits quelques mois plus tôt. Ils recommençaient tout simplement à vivre.
En prenant le café dans le salon, Mac sentit que Stella avait quelque chose sur le cœur et l’invita à se confier à lui.
Stella hésitait car elle voulait être tout à fait honnête avec l’homme qu’elle aimait mais elle avait peur que sa confidence ne l’éloigne encore davantage d’elle.
Cependant, Mac avait droit à la vérité.
Stella (la voix timide) : Mac... il faut que je te dise quelque chose.
Mac ne répondit rien mais s’installa plus confortablement et attendit en silence. Il vit que Stella n’osait pas lever les yeux sur lui et cela l’inquiétait. Que pouvait-elle avoir de si difficile à lui dire ?
Stella (poursuivant difficilement) : Il y a quelques temps de ça... après la mort de Jess... j’ai fait une énorme bêtise... J’ai fréquenté quelqu’un que je n’aurais pas du.
Mac (sachant de quoi elle parlait) : Je sais... Adam.
Incrédule, Stella plongea ses yeux émeraude droit dans les siens et pensa y trouver de la colère ou de la peine mais elle y vit quelque chose à laquelle elle ne s’attendait pas. Elle vit dans les yeux de Mac de la compréhension et de la compassion.
Mac : Lorsque Claire est morte, je me suis réfugié dans les bras de quelqu’un. Je me dégoûtais de faire ça à Claire, mais j’en avais besoin. Sinon, je pense que je serais devenu fou. Mais ça ne voulait strictement rien dire.
Stella : Pour moi non plus ça ne veut rien dire. Je n’arrive pas à comprendre pourqu...
Mac (la coupant) : Ne cherche pas d’explications, il n’y en a pas. Vous aviez tous deux besoin d’une épaule compatissante et vous avez trouvé un moyen d’oublier la douleur.
Stella n’en revenait pas qu’il soit si compréhensif mais après tout, il ne pouvait pas lui en vouloir car il était déjà passé par cet état d’esprit et il n’aurait vraiment pas été logique qu’il lui reproche son comportement.
Stella : La fin justifie les moyens...
Mac se contenta d’acquiescer car il savait que tout le monde réagissait différemment face à la douleur. Certains gardaient tout en eux, d’autres avaient besoin de la crier. Certains préféraient être seuls quand d’autres avaient besoin d’une âme compatissante.
Il ne savait pas très bien ce qui le poussait et il n’avait jamais été du genre à être démonstratif avec les sentiments mais voir Stella aussi perdue et triste lui brisait le cœur. Il se pencha vers elle et la prit dans ses bras. Surprise, elle écarquilla les yeux mais elle ne put pas résister bien longtemps à la chaleur des bras de Mac qui l’enveloppaient.

De l’autre côté de la ville, Adam et Sheldon étaient en train de discuter par messagerie instantanée. Tous les sujets y étaient passés et c’était quelque chose qu’ils faisaient assez régulièrement, n’ayant pas vraiment le temps de se parler au laboratoire. Parfois, Danny ou Don s’ajoutaient à la conversation. Alors qu’ils discutaient du nouveau film qui était à l’affiche au cinéma, le téléphone d’Adam vibra sur son bureau.
Adam (à Sheldon) : Je reviens. (Répondant au téléphone) Allo ?
Voix off (la voix tremblante) : Adam... mon chéri, je...
Adam (la coupant, inquiet) : Maman ? Où es-tu ? Que se passe-t-il ?
Un long silence prit place dans la conversation et Adam attendait, anxieux, une réponse de la part de son interlocutrice dont la voix tremblante n’annonçait rien de bon.
Voix off : Il m’a retrouvée... je ne suis plus en sécurité, il faut que je parte d’ici.
Adam (paniqué) : Calme-toi, tu en es certaine ?
Voix off : Je l’ai aperçu... tu le connais, tu sais de quoi il est capable. Il faut que je raccroche. Peut-être qu’il nous écoute... je ne veux pas qu’il retrouve ta trace.
Adam (désorienté) : Où vas-tu aller ?
Voix off : Je ne sais pas... je trouverai un moyen de te contacter... Je t’aime.
Mais avant qu’il ne puisse poser d’autres questions ou répondre, la ligne fut coupée.
Les larmes aux yeux et la peur au ventre, il dut s’asseoir et tourna machinalement son visage vers l’écran de son ordinateur où il vit que Sheldon commençait à s’inquiéter.
Sheldon (inquiet) : Ca va, vieux ? Ca fait 5 minutes que tu dis rien.
Adam (revenant à la réalité) : J’ai un problème.
Sheldon : Tu veux qu’on en parle ?
Adam : Pas sur MSN.
Sheldon : Bouge pas, j’arrive dans un quart d’heure.
Adam se déconnecta de sa session et se permit de sourire. Même dans les heures les plus sombres, il avait des amis sur qui compter. Mais pouvait-il réellement être tout à fait honnête avec Sheldon sans prendre le risque de l’impliquer trop dans son histoire et peut-être le mettre en danger ? Il n’en était pas certain mais il savait qu’il ne pourrait pas résister à se confier car son ami savait être très persuasif.
Il aurait aimé se confier à Stella mais il pensait déjà l’avoir assez ennuyée. Et elle méritait une soirée de repos bien mérité.

Du côté de Stella, les choses étaient loin d’être de tout repos. En effet, après avoir passé ce qui lui semblait être une éternité dans les bras de Mac, elle se décida à utiliser l’atmosphère propice pour avouer ses sentiments. Mais les mots lui semblaient bien superflus et l’émeraude de ses yeux entra en collision avec le ciel gris qui lui faisait face. Ils se perdirent l’un l’autre dans leur regard et comme un aimant en attire un autre, ils se rapprochèrent machinalement.
Lorsque leurs lèvres se touchèrent enfin en un baiser timide, un frisson électrique les parcourut tous deux, s’insinuant dans leur corps en une décharge révélatrice. La passion qu’ils contenaient en eux prit finalement le dessus et leur baiser devint plus intense et ardent, mêlant leurs mains à leur découverte mutuelle. Les doigts de Stella parcoururent la nuque et les épaules de Mac tandis que celui-ci enfouissait ses mains dans les boucles brunes de sa compagne. Des frissons parcoururent un peu plus le corps de Stella qui savait maintenant que les mots étaient dérisoires et que Mac partageait ses sentiments. Entre deux baisers, ses lèvres s’étiraient en un sourire vrai. Désormais, ils avaient toute la vie devant eux.

TBC

J'adore la suite !!!! (pour pas changer !!! lol) La relation de Mac et Stella évolue enfin !!!! J'ai vraiment hâte de connaître le dénouement !!!!

J'adoooore la suite!!! Le Smac qui evolue, Stella qui avoue tout à Mac qui avait déjà deviné!! ^^

Et Adam qui a des ennuies... J'ai hate de lie la suite pour ce que tu lui reserve! (J'aime le rlation amicale Sheldon/Adam qu'on ne voit pas assez dans la serie d'ailleurs!)

J'ai relu deux fois le moment smac...

c'est trop beau, j'adore !! merci, merci merci !

Oh nice... Je suis toute zémue dans dedans de moi-même. J'apprécie la façon dont tu mêle le ship, le supsens, l'amitié évitant l'écueil du trop plein de sucres qui pourrait mener tes lecteurs au coma diabétique ! Bravo.

POur Flack, je ne suis pas d'accord avec toi - je doute qu'on ait affaire à un grand timide. Il sait s'imposer, prendre les choses en mains, faire le premier pas et mener une conversation avec n'importe qui. Non, c'est loin d'être un timide, pour moi...un coeur d'artichaut sous son armure brillante, par contre...c'est possible.

Haylen, je pense qu'on va nous la caser dans un ship quelconque - genre, la fille qu'on croyait carréiriste mais qui est en fait une grande blessée des sentiments et une fille au grand coeur. Enfin, ce ne sont que des suppositions !

C'est quand la suite ?


PS / le nationalisme breton, c'est rasoir - tu as bien raison. Et c'est pas fini. Ca manque cruellement de ship et de jolis scientifiques !

La Dilettante a écrit:

Oh nice... Je suis toute zémue dans dedans de moi-même. J'apprécie la façon dont tu mêle le ship, le supsens, l'amitié évitant l'écueil du trop plein de sucres qui pourrait mener tes lecteurs au coma diabétique ! Bravo.

.....

C'est quand la suite ?

que dire de plus à part que j'adore !!!!!!!

et comme le souligne la dilettante c'est quand la suite ?????

Wow, magnifique =)

Merci à vous toutes pour vos commentaires! Ca fait plaisir à lire ^^.

Pour ce qui est de Mac/Stella, je pense que du fait de leur grande amitié, ils ne se cachent pas beaucoup de choses. Je préférais que Stella soit honnête plutôt que Mac n'apprenne sa relation avec Adam par le biais de tiers.

Adam, je vais le faire souffrir un peu... sinon où est le plaisir?
Le prochain chapitre lui sera presque entièrement consacré, avec aussi une partie Don/Jordan.

En tout cas, je sens que vous allez me détester

ahahahaha super suite vraimetn géniale !!!!!
Du Smac alala trop happy
Ils sont vraiment trop chou
par contre mon ptit Adam non ca va pas ca, snif je veux savoir ce qu'il a
J'attends ta suite avec impatience !!!!!!!!!!!!!

Merci pour ton commentaire!
Voici le chapitre suivant... vous allez me haïr, je le sens

Amitié Sheldon/Adam et scène Don/Jordan

AVERTISSEMENT pour ce chapitre! Mention d'abus physiques.



Comme il l’avait promis, Sheldon arriva quelques minutes plus tard à l’appartement d’Adam. Quand le jeune homme entrouvrit la porte, le médecin légiste ne put s’empêcher de se demander ce qui pouvait le mettre dans cet état.
Sheldon (inquiet) : On dirait que tu as vu un mort... tu as une de ces têtes.
Le scientifique le fit entrer sans prononcer un mot, ce qui inquiéta encore plus son collègue. Finalement, ils s’assirent sur le canapé et Adam jeta un coup d’œil autour de lui, comme s’il se sentait observé. Sheldon pouvait bien voir qu’il était sur la défensive et cela lui faisait mal de voir son ami se comporter comme un petit garçon passablement terrifié.
Adam : Il faut que je te préviennes... ça va pas être drôle.
Sheldon : Je m’en doute.
Crispé, le laborantin rentra sa tête dans ses épaules comme une tortue aurait voulu se protéger dans sa carapace.
Adam : Pour que tu comprennes, il faut que je t’explique depuis le début. Mon père a toujours été quelqu’un de violent. Le fait qu’il soit alcoolique n’a pas arrangé les choses. Un jour, ma mère est partie et m’a laissé avec lui. Elle pensait être la cause de sa violence mais elle avait tord. Comme il ne pouvait plus lever la main sur elle, il a commencé avec moi.
Sheldon écoutait sans bouger le long monologue de son ami, sentant une colère sourde s’insinuer en lui. Il se demandait comment un homme pouvait battre sa femme et ses enfants.
Adam : Pendant longtemps, je lui en ai voulu mais je sais qu’elle a fait ça pour sauver sa vie.
Il y eut une pause et Sheldon en profita pour intervenir.
Sheldon : C’était si violent ?
Le jeune homme ne répondit rien et se contenta de se retourner. Il souleva son t-shirt et ne fut pas surpris d’entendre le murmure choqué de son ami lorsque celui-ci vit les nombreuses cicatrices qui barraient son dos. Voilà pourquoi il aurait préféré parler de tout cela à Stella : elle connaissait déjà ses cicatrices et son histoire. Adam ne put s’empêcher de frissonner lorsqu’il sentit son ami tracer chacune des plaies du bout des doigts. Ce geste ne lui faisait pas mal mais il contenait la moue de dégoût qu’il avait de lui-même et se demanda comment son ami n’était pas dégoûté par ce qu’il voyait. Les larmes lui montèrent aux yeux et il s’adressa à Sheldon.
Adam : Sheldon, arrête... c’est...
Sheldon (comprenant où il voulait en venir) : Ignoble ? Dégoûtant ? Répugnant ? Oui, ça l’est.
Le jeune homme avait honte et pensa que son amitié avec Sheldon était définitivement brisée. Mais lorsque le médecin légiste lui répondit à nouveau, il se rendit compte qu’il avait tord à son sujet.
Sheldon (le défendant) : Ce ne sont pas tes cicatrices qui le sont, mais ce que cet homme t’a fait!
Continuant sur le dos d’Adam, il tomba sur une marque plus récente. La peau s’était reformée dessus comme si l’on avait voulu cacher un tatouage.
Adam (comprenant) : J’avais 15 ans, il m’a marqué au fer rouge avec ses initiales. Il disait que je lui appartenais. J’ai voulu effacer ça...
Sheldon avait du mal à retenir sa colère et ses larmes mais il ne pleura pas. Il finit par abaisser le t-shirt d’Adam et le fit se retourner.
Sheldon : Ce n’est pas pour ça que tu m’as fait venir, n’est-ce pas ?
Il savait que quelque chose de plus grave, si cela pouvait exister, se tramait.
Adam : Quand j’ai quitté la maison et que je suis entré dans la police scientifique, j’ai pu retrouver ma mère. Depuis, je lui téléphone tous les mois avec mille précautions pour qu’on ne puisse pas la retrouver, ni qu’on puisse suivre ma trace.
Sheldon se demanda s’il parlait d’un programme de protection des témoins mais comme aucun membre de sa famille n’avait porté plainte contre le père Ross, aucune autorité n’avait été avertie.
Sheldon : Tu n’es dans aucune base de données ?
Adam : J’avais un ami policier à Phoenix qui a su bidouiller quelques trucs. Officiellement, Adam Ross est mort dans un accident de voiture à l’âge de 21 ans. J’ai même une tombe au cimetière de Phoenix. (prenant une pause) Bref, en m’appelant, ma mère m’a expliqué qu’elle se sentait observée.
Sheldon : Elle pense que ton père l’a retrouvée ?
Adam ne répondit pas mais acquiesça. Ils restèrent quelques minutes en silence, Sheldon réfléchissant à ce qu’ils pouvaient faire.
Adam : Qu’est-ce que je vais faire ?
Sheldon (amical) : On en parlera à Mac demain matin. Il mettra Don sur l’affaire pour retrouver ta mère et vous mettre à l’abri. On ne sait jamais, il t’a déjà fait trop de mal.
Le jeune homme n’en revenait pas que son ami tienne tant à sa sécurité, lui qui pensait ne compter pour personne. Il n’avait jamais vraiment voulu s’attacher à personne de peur de souffrir mais il savait maintenant que ses collègues étaient comme sa famille et qu’ils seraient toujours là pour l’aider en cas de besoin.
La conversation changea et Sheldon interrogea son ami.
Sheldon : Tu as vu Stella récemment ?
Adam blêmit suite à cette question. Sheldon était-il au courant de leur « relation » ?
Adam : Euh... aujourd’hui, au labo... pourquoi ?
Sheldon : Je l’ai vue hier soir, on a discuté et elle m’avait l’air assez mal en point.
Adam (inquiet) : C’est-à-dire ?
Sheldon n’était pas dupe. Il s’était douté de la relation d’Adam et de Stella depuis le début. Il avait vu leurs regards respectifs changer l’un envers l’autre et les petites blagues qu’ils se racontaient au détour d’un couloir n’avaient plus la même contenance.
Adam était préparé à tout entendre, il s’était forgé une carapace depuis longtemps. Pourtant, l’incrédulité et la panique l’envahirent lorsqu’il entendit les paroles de Sheldon et le choc lui fit lâcher son verre qui s’écrasa au sol.
Sheldon (plongeant son regard dans le sien, grave) : Adam... je crois qu’elle est enceinte.

Après avoir dîné au thaïlandais qu’ils fréquentaient par le passé, Jordan et Don rentrèrent à l’appartement de ce dernier pour prendre un café et discuter des souvenirs qui lui étaient revenus en tête. Bien qu’elle ait retrouvé son appartement, elle s’y sentait étrangère, ce qui n’était pas le cas quand elle était chez Don. En cet endroit chaleureux, elle se sentait protégée et rassurée. Et par-dessus tout, elle était près de lui...
Alors qu’il allait chercher quelque chose à grignoter, Jordan aperçut une photo de Don et Jess posée sur la commode du salon. Elle la prit entre ses mains et l’observa. Ils étaient sur le Brooklyn Bridge et tous deux arboraient un sourire magnétique. Jordan se sentait soudain honteuse. Elle pensait profiter de la situation, du fait que Don soit toujours en transit entre la douleur et le renouveau... mais elle l’aimait tant et elle sentait qu’elle pouvait l’aider à refermer ses blessures.

Plongée dans ses pensées, elle n’entendit pas Don revenir vers elle. Lorsqu’elle le vit, elle posa la photo avec hâte, pensant que le Détective lui en voudrait de se mêler de choses qui ne la regardaient pas. Voyant son trouble, Don posa sa main sur son épaule.
Jordan (avant qu’il ne puisse parler) : Je suis désolée...
Don (rassurant) : Tu n’as pas à l’être. C’est grâce à toi que j’ai su remonter la pente. C’est toi qui as passé des nuits entières à me réconforter.
Elle ne se souvenait pas des détails mais elle savait qu’elle avait passé du temps dans cet endroit, elle s’y sentait comme chez elle.
Acculée contre la commode, elle ne pouvait que plonger dans les yeux bleus de Don. Son cœur battait la chamade et le silence les environnant n’arrangeait pas les choses. Le Détective se mit à sourire en entendant les battements de cœur de sa compagne s’accordant aux siens. Attirés l’un par l’autre, leurs regards s’accrochant et s’échangeant des étincelles, ils fondirent littéralement l’un sur l’autre. Entourant la nuque de Flack de ses bras, leurs lèvres partirent à la découverte d’horizons et de sensations nouvelles. Bientôt, la passion commença à les consumer quand les mains de Don se posèrent au creux de ses reins, la ramenant un peu plus près de lui. Il avait besoin de ressentir la chaleur de son corps contre le sien comme elle ne semblait pas décidée à le laisser s’éloigner d’elle. Leurs mains se joignirent, formant la promesse silencieuse d’une suite bien meilleure.

TBC

Va enfant je ne te hais point (je sais plus d'où cela sort, ça. Tu me diras on s'en fiche et t'auras pas tort... ) donc. Je ne te déteste pas, parce que (malheureusement ) j'avais les mêmes doutes (même si la toux c'était bien joué pour brouiller les pistes). Le problème avec les grossesses, les symptômes sont tellement clichés qu'on les voit venir à dix km. Peu importe. Peut-être qu'elle ne l'est, pas, enceinte après tout... Dr Hawques nous fait fait des diagnostics sans examens, il se prend pour House ou quoi ? Ca veut rien dire ! Maintenant, je suis curieuse de voir comment tu vas traiter ça.
Et puis je suis contente qu'Adam prenne le devant de la scène. Je me suis toujours dit que ce serait bien d'exploiter son personnage et son passé lourd.
Quant à l'histoire Flack-Jordan, bon, ne le prend pas mal - pour le moment, je ne suis pas fan. Mais il faut toujours attendre la fin avant de juger alors j'attend ?

La suite c'est quand est-ce que c'est prévu pour ?

Ho nan.. J'avais peur qu'elle soit enceinte puis je me suis dis "nan elle tousse... C'est la grippe!!" Loupé! Bon en même temps ya plus fiable comme test que Sheldon qui spécule! *Prie pour que ce soit la rippe* (Avec toi le Smac c'est un pas en avant et deux en arrière.. lol)

Sinon j'adore la scène ou Adam parle de son enfance... Le pauvre, c'est trés bien écrit!

Et une scène Jordan/Flack trés jolie la encore A suivre...

La Dilettante a écrit:

Va enfant je ne te hais point (je sais plus d'où cela sort, ça. Tu me diras on s'en fiche et t'auras pas tort... )

"Le Cid" de Corneille

Jersey_07 a écrit:

Adam (comprenant) : J’avais 15 ans, il m’a marqué au fer rouge avec ses initiales. Il disait que je lui appartenais. J’ai voulu effacer ça...

...

Pourtant, l’incrédulité et la panique l’envahirent lorsqu’il entendit les paroles de Sheldon et le choc lui fit lâcher son verre qui s’écrasa au sol.
Sheldon (plongeant son regard dans le sien, grave) : Adam... je crois qu’elle est enceinte.

pauvre Adam il a vraiment énormément souffert

oh la la la Stella enceinte ???? on verra bien remarque car il y mieux que le pouvoir de divination de Sheldon pour savoir mais ça me fait flipper

vivement la suite, ça c'est du suspense !!!!!!!!!!!!!!!!!!!

J'avoue, je me suis laissée déborder par ma soudaine "fanitude" pour Don Flack et finalement, mon coeur revient sans cesse vers Adam à tel point que j'ai l'impression d'écrire mieux sur lui que sur Don Pour ce qui est de la relation Don/Jordan, il y a quelque chose qui me gêne dans ce que j'ai écrit mais je ne sais pas trop quoi... enfin, il va y avoir des revirements de situation (j'y ai pensé toute la nuit).

Quant à Stella... vous verrez