D'ombre et de lumière... [ship + enquête]

WOW!! c'est palpitant !!
Semblant de rien elle est stressante cette suite, la fic entière même j'ai envie de dire mdr

Stella, tu m'étonne qu'elle angoisse pour son fils, normal
et Jess, la pauvre elle commence à se réveiller et elle doit déjà faire un immense effort pour ne pas laisser les deux zigotos prendre Anthony...

les trois coup de feu mon fait peur

Mais ça va elle a pas était une nouvelle fois touché mais elle reste dans un sale état ...
J'espère qu'elle va s'en sortir et puis apparemet les mecs sont là alors ... ça devrait déjà aider.

Merci ma Selenia pour cette super suite

hâte de lire la prochaine

et puis profites de t'es vacances maintenant

Merci pour cette sublime et suite



Ce sont de vrai barge ces types La pauvre vieille dame qui est morte, du moins sûrement morte
La plaie de Jess qui ré-ouverte
Don est venue ou ce n'est qu'une hallucination ?

et Stella la pauvre, elle est obligée d'être spectatrice des fatalités qui l'entourent sans pouvoir intervenir J'espère qu'elle va s'en sortir...
Et le petit Anthony ils ne vont pas s'en prendre à lui dis hein ? n'es ce pas ?

PS : Tu n'étais pas obligée de prendre Cette idée sadique
Elle ne te plaisait pas celle où Mac et Stella vivent heureux avec leurs enfants D'un côté, j'aime bien que tu mettes du sadisme dans ta fics tant que tu ne deviens pas crumelle

Merci pour cette sublime suite ma Selenia

Manhattan25 a écrit:

Tu n'étais pas obligée de prendre Cette idée sadique

Ben faudrait savoir ce que tu veux...
Nan, plus sérieusement, j'avais pris ma décision il y a bien longtemps, faut pas m'en vouloir ! Je suis sincèrement désolée pour vos petits coeurs émotifs... (quoi ? Ca sonne faux ? Bon ok, je ne suis pas désolée du tout, au contraire ^^)

Sur ce, une suite un peu moins longue...

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Chapitre 15





POV Stella Bonasera


Je fus sur le point de défaillir lorsque le bruit d’un moteur se fit entendre. Les autres rentraient… Ils ramenaient Antony ! Ils allaient le livrer à leur patron et celui-ci n’hésiterait pas à lui faire du mal pour me forcer à parler… et je ne pourrais rien faire pour le protéger ! Que pouvais-je leur dire ??? J’avais bien tenté de leur expliquer que le médaillon était resté chez moi, aux Etats-Unis, mais ils n’y avaient pas cru ! C’était pourtant la stricte vérité. Pourquoi m’en serais-je encombrée lorsque j’avais quitté New York alors que j’ignorais tout de sa valeur et de son importance ? Mais là n’était pas le problème… Ils étaient persuadés que j’avais amené ce fichu médaillon avec moi en Grèce et ils seraient prêts à tout pour obtenir une réponse satisfaisante de ma part…

Je vis une ombre s’avancer jusqu’au caveau… seule ? Je me sentis portée par une vague d’espoir et de soulagement mais tentai de n’en rien laisser paraître. Le mafieux se leva, s’approcha de moi et murmura à mon oreille…

« On va bien voir qui de nous deux gagnera à ce jeu-là… »

Je fronçai les sourcils sans rien dire. Il se recula et se retourna vers l’entrée pour voir ses hommes arriver. Mais je le vis serrer les poings lorsqu’il s’aperçut qu’un seul d’entre eux était de retour et qu’Antony n’était pas avec lui. Il se mit à beugler dans sa direction.

« Où est-il ??? »

Comme l’autre s’était arrêté et n’osait broncher, le mafieux se saisit de son arme et vint la coller contre la tempe de celui-ci, le forçant à se mettre à genou et lui hurlant de lui donner des explications. L’homme se mit à bredouiller de plates excuses, espérant échapper à la colère de son patron…

« Nous… Ce n’est pas notre faute, boss… Je veux dire… Alec et Chris allaient ressortir avec le gamin mais la fille s’est interposée ! La new yorkaise ! La flic ! Elle était là ! Moi j’attendais dans la voiture, planqué de l’autre côté de la rue, prêt à démarrer dès qu’ils reviendraient mais y’a eu des coups de feu ! Je suis sorti pour aller aider les autres mais les flics ont débarqué, une dizaine au moins ! Je n’ai rien pu faire ! J’ai vu Alec se faire descendre, et Chris était déjà à terre… C’était trop tard… Je… »

La voix de l’homme se faisait de plus en plus suppliante tandis que le regard de son patron devenait chaque instant plus impitoyable. Je retenais mon souffle… Même si cet homme était un criminel, je ne pouvais me conforter à l’idée qu’il allait être abattu ainsi, sans la moindre compassion !

« Je vous en prie boss… Je… Je ne pouvais rien faire… Je… Ma femme… Mes gosses… Laissez-moi une chance, s’il-vous-pl… »

Mais il n’eut pas même le temps d’achever sa phrase. Je retins un cri lorsque le coup de feu résonna et regardai le mafieux avec dégoût et haine. Comment pouvait-il faire ça ? Comment un être humain pouvait-il faire ça ? Ca avait été une exécution en règles, sans aucune raison valable ! Je sentis la bile remonter dans ma gorge et me forçai à ne pas vomir devant tant de cruauté… Lorsque je me reportai mon regard vers l’extérieur, je vis l’autre s’éloigner et soupirai de soulagement. Je jetai un coup d’œil au professeur qui avait regardé la scène tout aussi horrifié que moi. Il esquissa un geste dans ma direction pour tenter de me rassurer mais…

Je pris une profonde inspiration et fermai les yeux. Tant de sentiments se bousculaient dans ma tête. L’horreur tout d’abord… ainsi que la peur. J’avais côtoyé bien des criminels dans ma carrière à la police de New York, des hommes prêts à tout pour arriver à leurs fins, des malades dont le seul plaisir est le crime gratuit… J’avais manqué de me faire tuer un certain nombre de fois, au cours d’opérations plus ou moins risquées avec Mac et les autres… Plus récemment, j’avais bien cru que mon heure était venue lorsque Carole m’avait enlevée et tailladé les veines, me laissant lentement agoniser… mais rarement jusqu’alors avais-je éprouvé une telle peur, car l’être qui se tenait en face de moi n’avait plus rien d’humain ! Il avait abattu un de ses hommes de sang-froid parce qu’il avait tenté d’abuser de moi, deux autres étaient morts en essayant d’aller enlever Antony, et malgré tout il n’hésitait pas à tuer un quatrième de ses chiens pour la seule raison qu’il avait sauvé sa peau, étant de toute façon dans l’impossibilité de faire quoi que ce soit d’autre ! Alors oui, j’avais peur, pour ma vie et pour celles de ceux que j’aimais… Et pourtant je continuais à espérer ! L’autre avait laissé insinuer avant de mourir que Jess était vivante ! Antony leur avait échappé, et les flics avaient été mis au courant de l’affaire ! Aussi maigre pût-elle être, nous avions une chance, une infime chance de nous en sortir et de mettre ce fou hors d’état de nuire !

Malheureusement, rien n’était encore gagné… Après une heure environ, j’entendis le mafieux parler avec d’autres de ses sbires qui l’avaient rejoint et la discussion se fit bientôt très mouvementée, le ton virulent. Je pris appui sur mes poignets, toujours liés dans mon dos, pour tenter de me traîner face à l’entrée du caveau afin de pouvoir regarder ce qui se passait au-dehors. Le professeur s’inquiéta mais je le rassurai… Je n’avais pas l’intention de fuir, c’eut été du suicide. Je voulais juste savoir quelle était la raison de tout ce remue-ménage…

Le "boss" se tenait au bord de la falaise, une paire de jumelles devant les yeux, scrutant d’un air grave la vallée. Derrière lui, quatre de ses hommes s’affairaient à vérifier les chargeurs de leurs armes. Je tentai d’entendre ce qui se disait et finis par comprendre… Après la tentative avortée pour enlever Antony, les flics avaient dû réussir à suivre les traces de la voiture et ils approchaient à présent du repère où nous nous trouvions… Il ne restait plus trente-six solutions aux mafieux. Ou ils choisissaient de riposter, ou bien ils décampaient sans plus attendre ! Je me mis à espérer de toutes mes forces que les policiers puissent arriver rapidement, mais les choses se précipitèrent… Trois hommes se dirigèrent tout d’un coup vers le caveau avec leurs fusils, une expression menaçante au visage.

Je n’eus pas même le temps de réaliser qu’ils allaient peut-être nous tuer, le professeur et moi, pour ne pas s’encombrer de nous, qu’un coup de crosse à la nuque me faisait sombrer dans l’inconscience…



***


La course-poursuite était engagée. Le mafieux avait donné l’ordre à ses hommes de récupérer toutes leurs armes et de les mettre dans leurs deux jeeps. Après avoir été assommés, Stella et le professeur Papakota avaient été traînés à l’arrière de l’une des deux voitures, et le camp avait été levé. Lorsque les voitures de police arrivèrent, une vingtaine de minutes plus tard, ils trouvèrent le caveau vide et les alentours déserts. Les traces très fraîches au sol étaient bien la preuve qu’ils se trouvaient au bon endroit, mais ils arrivaient trop tard…

Lorsque la nuit s’installa sur l’Olympe, les mafieux stoppèrent dans une clairière à l’abri des regards indiscrets. Ils avaient roulé durant tout l’après-midi à travers les épais bois qui couvraient les flancs de la montagne et étaient parvenus à semer leurs poursuivants. Un bateau devait venir les récupérer le lendemain sur une petite plage dont ils n’étaient plus éloignés que de quelques centaines de mètres. Une fois les moteurs coupés, ils firent donc descendre Stella et le professeur et les emmenèrent un peu plus loin avant de les attacher au tronc d’un vieil arbre. L’un des hommes resta en surveillance tandis que les autres retournaient aux voitures. Les suivant du regard jusqu’à ce qu’ils disparaissent derrière les arbres, la scientifique tenta d’évaluer le nombre de ses ravisseurs. Ils étaient au moins cinq hommes, en plus du "boss", mais peut-être y en avait-il même d’autres qui étaient restés dans les véhicules et qu’elle n’avait pas vus… De toute façon, ça ne changerait pas grand-chose… Ils étaient trop nombreux pour tenter quoi que ce soit qui leur aurait permis de fuir, au professeur et à elle-même !

Stella soupira, perdit son regard dans le ciel étoilé qui s’ouvrait au-dessus de la cime des arbres… et elle pria. Elle sentit ses yeux s’embuer comme elle suppliait Mac de venir la soustraire à ce cauchemar. A quoi bon ? A cause d’elle, il était dans le coma, s’il n’était pas mort… Et à présent c’était son tour. Les mafieux tenteraient une dernière fois de lui extorquer des informations sur ce maudit médaillon qui avait tout déclenché, et puis elle mourrait. Ils la tueraient et feraient disparaître son corps…

Un bruissement de feuilles se fit entendre et Stella rouvrit les yeux. Elle s’efforça de se donner une contenance, ne voulant à aucun prix laisser voir à ses agresseurs qu’elle avait peur. Sans doute le "boss" allait-il venir la narguer et la menacer une fois encore. Il se délectait de la voir souffrir, mais il était hors de question pour Stella qu’elle lui fasse ce plaisir ! Elle se redressa donc et attendit fièrement de voir l’homme arriver. Mais elle dut retenir un cri de frayeur lorsque la sentinelle s’abattit à ses pieds, assommée…

yeah une suite !!

J'adore !!

Zut, ils arrivent à déguerpirent avant que les flics n'arrivent ...
Bon c'est vrai que ça n'aurait pas était drôle si ils les attrapaient comme ça aussi facilement faut encore garder un peu de suspense lol (mais mon petit cœur va commencer à lâcher à force ...mdr)
le pire c'est que t'aime ça ma Selenia de nous faire stresser et tout... t'es sadique en fait lol

Enfin bref Pauvre Stella, elle doit vraiment en avoir marre quand même ...
Mais par contre la fin ... je me demande ce qu'il se passe ...?! un petit espoir peut être ?! nos NY men sont là ?!

cette suite et toujours aussi bien ma Selenia

Hâte de lire la prochaine

Selenia a écrit:

Manhattan25 a écrit:

Tu n'étais pas obligée de prendre Cette idée sadique

Ben faudrait savoir ce que tu veux...
Nan, plus sérieusement, j'avais pris ma décision il y a bien longtemps, faut pas m'en vouloir ! Je suis sincèrement désolée pour vos petits coeurs émotifs... (quoi ? Ca sonne faux ? Bon ok, je ne suis pas désolée du tout, au contraire ^^)

tu m'as tué là Donc si tu as eu l'idée avant moi... tu es vraiment très sadique c'est bien...même très bien Ho bah c'est bien un peu de sadisme dans ce monde de brute mais du Smac c'est bien aussi




Yes une nouvelle suiiiiiiite

La pauvre Stella, elle a bien du courage d'endurer tout ça tout de même !
Heureusement ils n'ont pas eu Anthony... parce que là sinon, je pense que Stella aurait péter un câble
Et la police 2 tension, ils prennent toooouuuus leur temps heureusement que ce ne sont que des mafieux qui ont pris en otage un lieutenant de police et un professeur après avoir tués nombreux sbires et autres, voyons c'est pas important

C'est Mac et Don qui sont venus en aide de Stella, du moins j'espère

Merci pour cette sublime suite toujours aussi bien écris C'est toujours un plaisir de te lire ma Selenia.

Hou ! Vivement la suiiiiiiiiiiiiiiiiite

totorsg a écrit:

yeah une suite !!

J'adore !!

Zut, ils arrivent à déguerpirent avant que les flics n'arrivent ...
Bon c'est vrai que ça n'aurait pas était drôle si ils les attrapaient comme ça aussi facilement faut encore garder un peu de suspense lol (mais mon petit cœur va commencer à lâcher à force ...mdr)
le pire c'est que t'aime ça ma Selenia de nous faire stresser et tout... t'es sadique en fait lol

Enfin bref Pauvre Stella, elle doit vraiment en avoir marre quand même ...
Mais par contre la fin ... je me demande ce qu'il se passe ...?! un petit espoir peut être ?! nos NY men sont là ?!

cette suite et toujours aussi bien ma Selenia

Hâte de lire la prochaine

Je reprends le comm de totorsg car je pense la même chose.

Merci beaucoup pour cette suite qui est vraiment super.

Je tiens tout d'abord à te dire que même si je ne com pas à chaque fois, je suis ta fic et je lis chaque suite mais dès fois je n'ai pas vraiment le temps de commer et parfois j'ai des problèmes de connexion donc...

Ces deux suites sont palpitantes, stressantes et sublimes...J'adore

Jess s'est défendue comme une lionne pour protéger Anthony et il faut dire qu'elle a bien réussi...J'espère seulement qu'elle s'en remettra...Surtout que son Homme est ici auprès d'elle...Ah que c'est beau l'amûûûûûr...Ah oui et interdiction de nous tuer Jess....Don est arrrivé au bon moment, heureusement sinon Jess aurait finit comme Maria -pauvre femme, tout ce qu'elle voulait c'est protéger le petit - et Anthony serait chez l'autre malade....Mais si Don est ici, doit-on en conclure que Mr Taylor est en Grèce aussi pour sauver sa belle...

Woaw, ce mafieux est complètement cinglé...Son homme de main n'allait pas se faire tuer pour rien du tout, il avait meilleur temps de se sauver et de revenir plus tard que de rester....Je ne sais pas si je l'ai dit mais cet homme est cinglé Enfin la police se bouge mais j'ai comme l'impression qu'on les a un peu poussé....Malheureusement, ils ont eu le temps de s'échapper et d'emmener Stell' et le Professeur J'ai peur pour Stella....Il serait capable de tout pour avoir son fichu médaillon...Il est cinglé ce gars là (Je sais je me répète)...Et la fin, elle me laisse sans voix...Se pourrait-il que Mac soit dans les parrages...Bin quoi?! L'espoir fait vivre non....

Mille merci Bellissima Ces suites sont sublimes J'adore toujours autant te lire!
Ps: tu nous donneras des nouvelles de tes résultats quand tu les aura Et profites-bien de tes vacances

Merci à vous toutes !


Mais oui, mais oui ma Meli, l'espoir fait vivre ! C'est beau l'optimisme ^^

Ne t'inquiète surtout pas si tu n'as pas le temps de commer à chaque fois, c'est bien normal ! Et puis c'est un peu ma faute aussi : je poste à des intervalles de temps assez courts... même si j'ai perdu mon rythme de "3 suites par journée pendant 3 jours consécutifs" XD

Oh et puis, bien sûr je vous dirai quand j'aurai mes résultats ! Seulement pour l'instant les notes tombent au compte-goutte pour un peu toutes les écoles, ce qui est, sinon stressant, en tout cas pénible... J'aurai mes résultats définitifs (ie je saurai quelle école j'intégrerai) jeudi soir de la semaine prochaine seulement !


PS : Ma Manhatt'... "Un peu de sadisme dans ce monde de brutes !"

J'espère que tu réussiras ma Selenia

Je ne vais pas me lancer dans une explication des procédures d'intégration parce que c'est très compliqué à suivre quand on n'est pas "dedans", mais disons qu'au vu des premiers résultats ça s'annonce plutôt pas mal. Donc oui, confiante...

Merci ma Manhatt' !
On dira ce que qu'on voudra ! Même si apparemment je me suis inscrit sur le fofo au pire moment, ie au moment où j'aurais dû bosser comme une malade sans plus sortir de mes livres ou presque, moi je dis que ça m'a permis de décompresser, de me détendre, de rigoler... et que ça a plus été utile que nuisible à mon travail !
Je suis tellement contente de vous avoir rencontrées... Vous êtes toutes adorables !

Ca aide beaucoup de décompresser lors des exam'
Et puis contente aussi de vous avoir rencontrées aussi


C'est pourquoi tes exam' s ? si ce n'est pas indiscret.

Non non ce n'est pas indiscret du tout ma Manhatt'...
Je viens de finir ma deuxième année de classes préparatoires scientifiques et j'ai passé les concours d'entrées en grandes écoles d'ingénieur... Si tout se passe bien, mes résultats seront suffisamment bons pour que je puisse intégrer une grande école qui me convienne (sinon je retape pour une 5/2, ie une troisième année de prépa). A partir de ce moment-là, je serai dans l'école pour 3 ans, ce qui m'amènera donc à un bac +5 et au diplôme d'ingénieur avec la possibilité soit de travailler tout de suite après, soit de poursuivre en doctorat.


Bon, assez parlé boulot ! Voilà la suite du week-end ! Gros bisous à toutes !!!

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Chapitre 16





POV Stella Bonasera


Je sentais mon estomac se nouer, mon cœur se figer tandis que je scrutais désespérément le sous-bois, partagée entre l’espoir et la crainte. Mais ce fut un sentiment tout autre encore qui m’habita lorsque je vis Massimo Kosta s’avancer lentement vers le professeur et moi, un revolver à la main. A vrai dire, je ne saurais mettre un nom sur ce que je ressentis vraiment en cet instant… Je crois que je ne savais pas moi-même la manière dont je devais réagir… Le professeur m’avait assuré que l’amitié de Massimo était sincère, et puis c’était la crosse de son revolver qui venait à l’instant d’assommer notre gardien, mais il n’en restait pas moins qu’il m’avait menti et trompée…

Massimo se tenait à présent juste devant moi, les yeux baissés, les doigts crispés sur son arme dont le canon était dirigé vers le sol. Je fus surprise de le voir soudain s’agenouiller à mes pieds en me suppliant de lui pardonner, la voix lourde de chagrin et de remords.

« Je suis désolé Stella… »

Comme je ne disais rien, il releva les yeux vers moi et ancra son regard dans le mien.

« Je… Je ne voulais pas vous trahir mais… Ils ont déjà tué Nikos et ils tenaient ma femme, ma fille… »

Je sentis qu’il souffrait de la dureté et de l’intransigeance de mon regard, et je ne bougeai pas pourtant. Je savais que j’étais sans doute bien trop sévère dans mon jugement mais je ne pouvais m’empêcher de me répéter que c’était à cause de lui si mes proches et moi-même avions tant souffert… et je me refusais à lui pardonner si facilement. Il détourna finalement les yeux et je crus qu’il allait partir, m’abandonner une dernière fois. Mais j’eus un hoquet d’étonnement lorsqu’il sortit un couteau et trancha soudan de quelques coups nets et précis les cordes qui me retenaient attachée. Je croisai à son nouveau son regard. Je ne comprenais pas... Il se redressa et murmura.

« Pars maintenant Stella… Il y a une petite plage, à quelques centaines de mètres en contrebas. Lorsque tu l’auras longée, poursuis le long de la côte et tu arriveras à un petit village où tu pourras t’abriter… »

Je me relevai sans mot dire et il s’accroupit à nouveau pour s’occuper des liens du professeur. Mais il arrêta son geste en s’apercevant que je ne bronchais pas. Il se redressa et fit quelques pas dans ma direction. Nous étions face à face, nos regards ancrés dans celui de l’autre. Je ne disais rien, je ne savais pas quoi dire et ne m’autorisais même pas à le remercier… Il posa finalement sa main sur ma joue et la caressa doucement du bout des doigts en esquissant un triste sourire. Il secoua la tête en murmurant…

« Pars petite-sœur… Tu dois vivre ! »

Je baissai les yeux et portai mon regard sur le professeur mais celui-ci me supplia.

« Fais ce qu’il te dit Stella-Mou ! Fuis, le plus loin possible ! Je te rejoindrai dès qu’il m’aura libéré ! »

J’hésitai quelques instants encore, avant d’acquiescer. Massimo s’était déjà repenché sur les cordes qui retenaient le professeur. Après un dernier regard pour les deux hommes, je m’enfonçai dans les sous-bois…



***


A peine Stella était-elle partie que Massimo achevait de libérer le professeur Papakota.

« Allez-y, dépêchez-vous de fuir vous aussi… Ces hommes sont sans pitié. Ils ne vous gardaient en vie tous les deux que parce qu’ils pensaient que vous aviez encore des choses à leur apprendre, mais l’entêtement de Stella à ne rien lui révéler a rendu le boss furieux ! Ils vous tueront sans hésitation s’ils remettent la main sur vous ! »

Tout en parlant, Massimo s’était penché sur la sentinelle qu’il avait assommée pour récupérer son arme. Lorsqu’il se redressa, il ouvrit des yeux étonnés en voyant Papakota, debout à quelques pas de lui, guettant l’arrivée éventuelle d’autres hommes.

« Que faites-vous encore ici ? Fuyez sans plus attendre ! »

« C’est hors de question ! Je reste ici… »

Massimo ne cacha pas sa stupéfaction mais n’eut guère le temps de protester, le professeur ayant récupéré une arme qu’il pointait à présent sur lui.

« Je ne vous laisse pas le choix Massimo ! Vous vouliez aider Stella ? Alors nous nous en chargerons tous les deux ! »

« Vous êtes fou ! Lorsque les autres, ne me voyant pas revenir, viendront pour s’assurer qu’il n’y a pas eu de grabuge, nous n’aurons pas d’autre solution que de les tuer pour couvrir la fuite de Stella et lui permettre de mettre le plus de distance possible entre elle et eux ! Mais s’ils prennent le dessus, ce qu’ils finiront par faire puisqu’ils sont beaucoup plus nombreux, ils nous abattront ! Vous n’en réchapperez pas ! »

« Et c’est bien le dernier de mes soucis… »

Massimo fronça les sourcils.

« Vous pensez à Stella ? Vous comptez énormément pour elle, et vous lui avez promis de fuir à votre tour dès que je vous aurais libéré ! »

Le professeur se retourna en secouant la tête.

« Détrompez-vous ! Je ne lui ai rien promis… Je ne fais pas de promesses que je ne saurais tenir. »

Il reporta son attention sur les sous-bois et poursuivit à voix basse.

« Il est de toute façon trop tard pour discuter… Les voilà ! »

On était nuit de pleine lune. La douce lueur de l’astre céleste perça soudain à travers les branchages, venant inonder le sol de sa pâle clarté. Les deux hommes vérifièrent leurs chargeurs avant d’aller se placer sous le couvert des arbres. Ils se jetèrent un bref coup d’œil. Ils n’échangèrent plus un mot mais leurs regards parlaient pour eux. Au fond d’eux-mêmes, ils le savaient… Ce serait sans doute la dernière nuit qu’ils passeraient sur cette terre, mais ils se battraient jusqu’au bout, pour Stella et pour l’honneur…



***


POV Stella Bonasera


Je n’étais pas libre depuis plus de dix minutes lorsque des coups de feu retentirent dans les bois, dans la direction où les mafieux avaient établi leur campement. Ma fuite était découverte… Je m’arrêtai un instant dans ma course, la gorge nouée en repensant à Massimo… Il venait de me sauver la vie, et sans doute était-il en train de le payer de la sienne… Quant au professeur, je doutais de plus en plus qu’il ait fui lui aussi… Je me mordis les lèvres nerveusement. Le cœur rongé par la culpabilité, je m’efforçai de prendre une profonde inspiration avant de me relancer dans ma folle échappée.

Je courais. Du plus vite que mes jambes me le permettaient… Nauséeuse, épuisée physiquement et moralement, je m’interdisais néanmoins d’abandonner. Je sentais mes forces s’amenuiser un peu plus chaque seconde mais je continuais à progresser à travers les sous-bois. Mes pieds nus étaient en sang, mes jambes et mes mains écorchés par les branchages… La faim, la soif, la fatigue avaient eu raison de moi et je commençais à délirer sous l’emprise de la fièvre… Malgré la douceur de la nuit et ma course folle, je grelottais…

Je finis par déboucher sur une plage et m’arrêtai un bref instant, tentant tant bien que mal de reprendre mes esprits. Je devais franchir au moins cinq cent mètres à découvert… Je serais une proie facile, la cible idéale pour les tueurs lancés à ma poursuite mais… A gauche s’étendait l’infini de la mer, une haute falaise s’élevait sur ma droite et derrière moi se trouvaient une bonne dizaine d’hommes avec des jeeps et des fusils, prêts à tout pour me faire taire à jamais. Je n’avais pas le choix… Lorsque j’eus repris mon souffle, je m’élançai donc le long de l’eau, consciente que ma silhouette, éclairée par le clair de lune, se détachait sur le sable blanc en une cible facile pour un tireur qualifié…

Je courais à nouveau et je ne me retournai pas lorsque la première voiture déboucha sur la plage, venant soudain m’illuminer de la lumière aveuglante de ses phares. Je courais toujours, droit devant moi… Je me savais perdue mais je refusais de renoncer… Cependant que mes jambes me portaient toujours plus loin, je repensais à Mac, à mes enfants, à mes amis… Mais l’épuisement eut finalement raison de moi. J’arrivais au sommet d’une dune. Plus que quelques mètres à franchir et j’aurais peut-être pu m’accorder quelques instants de repos en me réfugiant de l’autre côté de la crête… mais je chutai. Je sentis soudain le sable se dérober sous mes pieds et je m’effondrai lourdement au sol. Lorsque je tentai de me relever, un coup d’œil au bas de la dune me confirma que c’était fini… La jeep s’était arrêtée, le sol étant un peu trop meuble pour qu’elle puisse s’y aventurer sans risques, mais ses trois occupants en étaient descendus et avaient leurs armes pointées sur moi. Ils s’avancèrent vers moi tout en me gardant en joue. Leur patron n’était pas parmi eux mais je lus dans leurs yeux que ça ne les empêcherait pas de me tuer… Ils en avaient reçu l’ordre, ils n’échoueraient pas. Je mourrais… mais pas sans lutter !

Dans un dernier sursaut d’énergie, je me relevai et me précipitai vers le haut de la dune…

Super suite Selenia.

Comme d'habitude, j'ai adoré et j'ai tout lu d'une traite sans m'arrêter.

J'aime bien suivre les aventures de nos csi préférés.

J'ai super hâte de lire la suite.

Merci beaucoup pour cette suite

Marf, que de retards sur cette fic’… (Bon ok j’ai déjà eu plus de retards mais bon) puis t’as vu, cette fois ci tu n’as même pas à poster un chapitre NC-17 Smac pour me faire revenir… XD


Chapitre 14 : Alors déjà bonjour les saligauds ces mafieux ! Voila qu’ils veulent s’en prendre a un enfant ! Non mais ho un peu de respect, on ne touche pas aux enfants ! Même Don Vito Corleone et Tony Montanna ne touche pas aux enfants !
Tiens d’ailleurs il y a un mafieux qui se nomme Bonasera dans le « Parrain »… C’est un signe ?

Je félicite Jess’, elle ne laisse pas faire et se bat bec et ongle pour sauver le petit même si elle est au bord de l’évanouissement. GO JESS !

Ils ont tués cette pauvre Maria qui elle aussi aura tout fait pour aider Stella jusqu’au bout.

J’ai franchement eu peur quand Jess’ entend 3 coup de feu, (Je revoyais le 5x25 dans ma tête). Mais à la fin quant elle rêve de voir Don avant de se rendre compte que oui, il est bien la, j’ai faillit hurler de joie. ENFIN !
Bah oui quoi, si Don est la, Mac ne doit pas être bien loin, les retrouvailles c’est pour bientôt, ils sont sur le même continent, c’est déjà un début !


Chapitre 15 : Ce chef mafieux est un sacré cinglé laisse moi te le dire. Non mais franchement il zigouille tous ses hommes. Remarque c’est pratique, s’il continu à tuer tout les méchants, Mac n’aura aucun mal à récupérer Stella.

La police arrive avec sans doute Mac en tête, enfin ! Surtout que Stell’ ne sait toujours pas qu’il est réveillé, ça va lui faire un sacré choc !

Vous allez dire que je suis folle (et vous avez raison) mais je continue de penser a un lin de parenté entre Stella et le mafieux parce que après tout, il ne l’a toujours pas tuée, il cherche plus à trouver des moyens d’éviter ça. (La torture, les menaces sur son fils)… Quoi comment ça j’ai définitivement perdu la boule ? O_O
Bah laissez-moi-vous dire que mes amis imaginaires pensent que vous avez de sérieux problèmes pour penser ça !

Et PAM la sentinelle est assommée ! Mais par qui ? Mac ( ) Don, Massimo ?

Selenia a écrit:

Plus récemment, j’avais bien cru que mon heure était venue lorsque Carole m’avait enlevée et tailladé les veines, me laissant lentement agoniser…

HAAAA Carole !!



Chapitre 16 : Comment te décrire le niveau de stress ressenti pendant ce chapitre ? Déjà le début Massimo est bien une sorte de gentil très méchant en fait ! Il veut aider Stella mais il veut aussi sauver sa famille. Par contre le « Petite sœur » me fait bizarre.

Ce serait en fait son grand frère, ou bien c’est juste une petite marque d’affection (dans ce cas la ce n’est pas son père, il lui aurait quand même avoué juste avant de mourir) mais ça pourrait être sa sœur hein, donc le grand chef mafieux serait leur père XD

Mais ce pauvre Massimo regrette sincèrement ce qu’il a du faire et veut tout faire pour se rattraper. Il a d’ailleurs l’air très peiné que Stella ne puisse pas lui pardonner.

Quand Papakota dit à Stella de partir sans lui, j’étais certaine qu’il ne la suivrait pas, il va se battre auprès de Massimo afin de faire gagner un peu de temps à Stella, c’est courageux mais j’espère qu’ils vont s’en sortir parce que la pauvre Stella à déjà trop souffert !

Mais alors à la fin je n’arrêtais pas de penser « Allez Stella court ! File d’ici !! ». J’aime beaucoup la façon dont elle se bat, elle n’arrête jamais e courir même si elle en peut plus parce qu’elle doit tenir pour Mac et les enfants ! Vas y Stella court ton homme ne va plus tarder !
Enfin j’espère que ce n’est pas lui dans la jeep parce que sinon Stella est en train de fuir l’homme de sa vie. Toute une métaphore.

Hoho le prochain chapitre est la N°17. Des retrouvailles en vue ?


Poste vite le prochain chapitre! Tu connais ma passion pour le 17!

Cette fic m'avait manqué

Cette suite est vraiment belle
Massimo est vraiment gentil de vouloir se racheter...J'aurais bien aimé que Stella lui dise quelque chose, je comprends que ce soit difficile pour elle de lui pardonner mais il allait se faire tuer par son patron pour l'avoir libéré Et le professeur qui reste lui aussi afin que Stella puisse s'échapper

Je n'ose même pas imaginer dans quel état doit être le moral de Miss Bonasera....Il faut croire que la vie est contre elle (ou l'auteur au choix je rigole)...Ils la rattrappent....J'espère qu'elle pourra leur échapper...
Elle a frôlé à plusieurs reprises la mort...Stella doit aimer les sensations fortes, elle devrait s'essayer au saut à l'élastique ou au parachute....Il y a de l'adrénaline et c'est un peu moins dangereux que la mafia qui pointe une arme sur sa tempe toutes les deux minutes....

Merci Selenia pour ce superbe chapitre

J'espère que tu pourras intégrer cette école

Massimo qui vient sauver la vie de Stella et Professeur P. heureusement qu'il est là tout de même ! Le professeur P. qui se bat aux côtés de Massimo, pour laisser une chance à Stella de s'enfuir mais en vain qui puise toute la force restant à elle en pensant à son mari et ses enfants il faut qu'elle arrive à échapper à ces types qui n'ont pas l'air de vouloir lâcher prise comme ça


Sinon comme a dit Millie le prochain chapitre est le 17

Cette suite était superbe et toujours aussi bien écris comme toujours Merci ma Selenia

Hâââââte de lire le prochain chapitre

Bon bon... Etant donné que vous me sembliez assez impatiente de ce 17ème chapitre, le voilà qui arrive au grand galop... mais je ne vous promets rien !

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Chapitre 17






POV Stella Bonasera


Des coups de feu retentirent et je me jetai au sol. J’entendais les balles crépiter autour de moi et je ne bougeais pas, prostrée, recroquevillée sur moi-même, paralysée par la peur… J’attendais. Je laissais la mort venir à moi… Je ne pouvais plus rien faire pour la repousser…

Et puis les tirs cessèrent. Le vent qui soufflait depuis la mer s’engouffrait dans mes cheveux et sous ma robe, me glaçant le sang. On devinait au loin les sirènes d’un bateau rentrant dans le port de Thessaloniki et j’entendais les vagues se briser sur les rochers, venant seules troubler le pesant silence… Je réalisai alors seulement que je ne semblais pas avoir été touchée. Je fus presque prise de panique au son des battements affolés de mon cœur. L’on eut dit qu’il n’y avait plus âme qui vive sur la plage. Plus personne… sauf moi. Me redressant péniblement, je jetai un coup d’œil au bas de la dune et tressaillis en voyant les corps de mes agresseurs couchés sur le sable, criblés de balles. Je portai la main à ma bouche, prise d’un violent haut-le-cœur. Tout ce sang… Tous ces morts… Je ne le supportais plus… Plus que tout, j’en avais marre ! Marre de frôler la mort à chaque instant sans jamais savoir ce qui m’attendait réellement ! J’avais cru que mon heure était venue pour de bon et, au lieu de cela, j’étais encore en vie ! Je ne voulais pas même voir le visage de mes sauveurs, par peur de découvrir que l’on ne m’avait accordé en fait qu’un sursit et que ceux qui m’avaient sauvé ne l’avaient fait que pour mieux me tuer par la suite ! Après tout, ce ne serait pas la première fois que cela arriverait… J’avais envie de hurler, de leur crier de me tuer pour de bon, qu’on en finisse… mais pas un son ne sortit de ma bouche. Epuisée, vidée, je me laissai retomber sur le sol et éclatai une nouvelle fois en larmes…

J’entendis vaguement des pas derrière moi mais je ne bougeai pas. Je ne pouvais plus, je ne voulais plus… Qu’ils fassent de moi ce que bon leur semblait, cela m’était égal à présent. Je ne me battrais plus… Cependant que j’attendais désespérément que vînt le coup de grâce, je repensais une dernière fois à tous ceux que j’aimais tout en maudissant ces autres qui s’étaient acharnés à me détruire. Je demandai également pardon à Massimo de l’avoir mal jugé… et je fermai les yeux. Je sentis l’obscurité m’envahir doucement. Je n’avais plus qu’une envie : m’endormir le cœur en paix pour ne plus jamais me réveiller… Mais je sursautai en entendant cette voix… Cette voix, si chaude, si douce… Non, ce n’était pas possible, ce n’était qu’un rêve, ou le paradis… Ca ne pouvait pas être vrai ! Et pourtant… Comme il m’appelait doucement pour la troisième fois, je me redressai vivement avant de me retourner. Et je le vis…



***


La fusillade n’avait pas duré plus de quelques secondes. Mac et l’agent Santos avaient abattu les trois mafieux au moment même où ils allaient tirer sur Stella. L’expert avait pris peur en la voyant s’effondrer, ne plus se relever, et il avait accouru vers elle. Mais, alors qu’il n’était plus qu’à quelques mètres d’elle, il avait soudain arrêté sa course. L’entendre pleurer l’avait bouleversé. La voir ainsi, recroquevillée sur elle-même, le visage enfoui entre ses bras… Elle n’était plus que l’ombre de la Stella qu’il connaissait et cela lui avait fait mal, terriblement mal ! Il ne s’était pas rendu compte, jusqu’alors, à quel point elle avait pu souffrir… Lui avait failli perdre la vie, mais elle… Elle avait payé tellement cher…

Stella lui semblait si fragile que Mac ne savait plus quoi faire. Finalement, il l’appela, plusieurs fois, le plus doucement possible… et elle se retourna. Lorsqu’elle l’aperçut, la jeune femme se releva lentement. Elle ne savait plus si elle rêvait ou non… Elle était totalement perdue. Alors Mac lui parla tendrement, sa voix se brisant comme il lui disait qu’il l’aimait et qu’elle lui avait terriblement manqué. Stella s’avança prudemment vers lui. Ils ne furent bientôt plus séparés que par quelques centimètres et la jeune femme posa sa main sur la joue de l’expert. Elle trembla au contact de sa peau. Après une dernière hésitation, elle vint se réfugier au creux de ses bras et laissa ses larmes couler contre son épaule. Mac l’enserrait du plus fort qu’il le pouvait et elle se cramponnait à lui comme à son seul pilier.


Santos, quant à lui, assistait à la scène un sourire aux lèvres. Après être allé s’assurer que les trois mafieux étaient bien morts, il décida d’aller rejoindre ses hommes qui l’attendaient de l’autre côté de la plage. Il jeta un dernier coup d’œil à Mac et Stella, toujours enlacés, et se dit qu’il valait mieux les laisser seuls. Ils avaient besoin de se retrouver… Marchant d’un bon pas, il s’éloigna donc au moment même où, longeant discrètement la falaise, le « boss » se dirigeait vers Stella, l’arme à la main, l’esprit ravagé par la folie meurtrière, prêt à tuer…



***


POV Mac Taylor


Tout alla si vite… J’avais fermé les yeux, m’enivrant de la chaleur du corps de Stella collé contre le mien, la caressant tendrement pour tenter d’apaiser les battements précipités de son cœur, mais je la sentis soudain s’écarter brusquement de moi. Je n’eus pas le temps de réagir qu’elle s’était déjà emparée de mon arme et que deux coups de feu retentissaient encore dans le silence de la nuit. Une balle fusa à quelques centimètres de mon oreille, venant la frôler. Tremblante, elle abaissa son arme et je la lui pris doucement des mains avant de me retourner. Je ne fus pas vraiment étonné de voir un homme étendu au sol, une balle entre les deux yeux. Je le reconnus bientôt pour celui que l’on m’avait désigné comme étant le parrain de la mafia locale, le responsable de l’enlèvement de Stella et de tout ce qu’il s’était passé depuis le début… Me retournant vers Stella, je remarquai qu’elle frissonnait et qu’elle avait encore pâli. Elle était fiévreuse, épuisée, mais je savais pertinemment que ce n’était pas la seule raison de son malaise… Elle avait pris la vie d’un homme et je la connaissais suffisamment pour pouvoir affirmer avec certitude qu’elle ne regrettait en rien son geste et qu’elle aurait tué ce mafieux même si elle ne s’était pas trouvée en état de légitime défense… Plus que son instinct de survie, elle avait laissé parler sa soif de vengeance, et elle s’en voulait pour cela…

Je ne voulais plus qu’elle souffre. Je ne voulais pas qu’elle s’accable de reproches qu’elle ne méritait pas… Alors, avec la plus grande délicatesse, je l’entourai de mon bras et la serrai contre moi. Elle résista tout d’abord, puis elle finit par laisser sa carapace se briser. Cédant à l’épuisement, ses jambes s’affaissèrent sous elle. Je m’assis à côté d’elle et l’enlaçai en lui murmurant de doux mots réconfortants… Peu à peu, elle se laissa aller. Je la sentis se cramponner à mon t-shirt et souris tristement. Je me le promis : jamais plus je ne laisserai qui que ce soit lui faire du mal ! Après un long moment, les battements de son cœur se firent plus réguliers et elle finit par s’endormir. Du bout des doigts, j’essuyai une larme qui roulait encore sur sa joue, je replaçai une mèche derrière son oreille… Je la serrai un peu plus contre moi et je la regardai dormir… Elle avait l’air si fragile en cet instant entre mes bras… Prenant soin de ne pas la réveiller, je déposai un tendre baiser dans ses cheveux bouclés en murmurant…

« C’est fini ma Stella. C’est fini… »

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Alors ? Qu'en pensez-vous ? Je sais que ce n'est pas le même genre de 17ème chapitre que dans "Affaires Internes 3" mais moi j'aime beaucoup celui-ci aussi... En fait, je crois que c'est mon chapitre préféré dans toute cette fic (d'où les dessins...)

Cette suite est vraiment superbe et géniala

Tu peux en être très satisfaite.

Quand aux dessins, je les adore Tu as vraiment un talent immense

Merci ma Zat !

Cette suite était sublissiment sublime ma Selenia.

Et tes dessins sont trop beaux

Même si ce n'est pas comme le précédent chap. 17 je l'adoooooore celui-là
Mac est arrivée aux secours de Stella, Ouf ! Elle a cru voir la fin arrivée, et espérer tout de même... pour elle, elle avait perdu son mari, ses enfants, sa vie... elle en avait marre de toute les péripéties de ces derniers temps

Mais il est arrivé, et maintenant qu'elle a tué ( et heureusement parce que l'on ne sait pas ce qu'il aurait encore fait ) le parrain de la mafia du coin ! elle pourra enfin se poser, et se reposer sur les épaules de l'homme qu'elle aime.
Et pouvoir enfin continuer sa vie de famille, tous deux regardant leur enfants grandir chaque jours, et évoluer dans la ville de New York ( si ils retournent à NY )
Du moins tout ça avant que tu es une idée brillante de sadisme pour le D/L ou le Smac

Merci pour cette sublissiment sublime belle suite
Bravo ma Selenia

Hââââââââââââââte de lire la suuiiiiiiiiiiittttttteeeeeeee

Je suis enfin à jour dans ta fic

Je te remercie pour ton envoi
Je l'ai dévoré en un rien de temps.

Wahou, on s'ennuie pas dans ta fic, c'est ce que j'aime
On passe par tout les stades, tu nous épargnes pas

J'adore cette suite.
Le smac est d'une pure beauté et les dessins sont sublimes.
Bravo Selenia.

AAAhhh c'est deux dernière suite sont extra !!!
j'adore j'adore j'adore

Déjà le chapitre 16 ... WOW c'est finalement Massimo qui la libère, il essaie de se faire pardonner mais c'est sur que pour Stella c'est pas si évident que ça...
Mais lui et le professeur, lui permette quand même de se sauver et de prendre un peu d'avance ^^

et puis la fin c'était stressant ... j'ai bien cru qu'elle allait y rester !

Mais le chapitre 17 est arrivé et super Mac avec ^^
Ce chapitre est sublime, elle retrouve enfin Mac et elle tue le "boss" (j'ai eu un tit coup de chaud aussi là) mais ouf, elle le voit et le tue !

Et la pauvre Stella, elle en peu plus, tu m'étonnes avec tout e qu'elle a vécu depuis un moment, il y a de quoi ...
Mais maintenant tout va pouvoir revenir à la normal ...enfin j'espère lol

ce chapitre est vraiment sublime

Merci Ma Selenia pour ces superbe suite

hâte de lire la prochaine

PS: Tes dessins sont magnifique

Ce chapitre 17 est vraiment parfait Je pense bien que c'est mon préféré aussi

J'ai vraiment eu peur pour Stella, je me suis dit: ils l'ont eu, s'en est fini mais en faites non...SuperMac est arrivé Et il l'a sauvé des griffes de ses hommes...La pauvre, elle me fait beaucoup de peine, elle en peut plus, j'espère seulement que Mac trouvera les bons mots....Heureusement aussi qu'elle ait remarqué le chef de la mafia sinon, il les aurait tués tous les deux...
Et la fin, Stella qui dort dans les bras réconfortants de son homme, en s'aggrippant à lui de peur qu'il ne parte
Cette suite est sublime, merci à toi Bellissima

Ps:Les dessins sont sublimes, j'adore

Hello girls ! Humeur du jour : excellente !!!

Tout d'abord : je viens d'avoir les résultats de mes concours ! Je suis prise à l'école Techniques Avancées ParisTech !!! Je suis trop contente ! D'abord c'est une super bonne école et en plus ça veut dire que je vais rester parisienne pour 3 ans de plus et c'est génial !!!

Et puis je pars en vacances pour 3 semaines au soleil de l'Atlantique samedi prochain ! Ahhh... Maintenant, je vais vraiment pouvoir profiter !!!
Bon, par contre, les effets secondaires c'est que je n'aurai pas Internet pendant 3 semaines... Je vous poste donc une suite aujourd'hui encore mais ce sera sans doute la dernière avant un bon bout de temps !

Voilou... Profitez donc bien de ce chapitre ! Bonne lecture ! Bonnes vacances à celles qui en ont ! Et gros bisous à toutes !!!
A très vite ! (snif... )


PS @Greisa : mais je t'en prie ! Vraiment super contente que ça te plaise ! Et il n'est absolument pas dans mes intentions de vous épargner ^^

PPS : un très grand merci à vous toutes pour vos coms géniaux ! On ne le répète jamais assez... Et contente que ce chapitre 17 vous ait plu !

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Chapitre 18





Deux jours avaient encore passé. Deux jours durant lesquels Flack ne s’était jamais beaucoup éloigné de la chambre d’hôpital dans laquelle avait été installée Jessica. Sa blessure rouverte, la jeune femme avait perdu beaucoup de sang et les médecins avaient même dû empêcher la propagation d’une hémorragie interne qui aurait pu atteindre les poumons… Mais les constantes de la détective étaient stables à présent et l’on avait assuré à Flack qu’elle ne tarderait sans doute plus à se réveiller, ce qui avait grandement rassuré le jeune homme…

On était au matin du troisième jour… Flack somnolait, assis dans un fauteuil juste à côté du lit, la main de sa compagne dans la sienne, lorsqu’un mouvement le tira de son sommeil. Il vit les doigts de Jess serrer fortement les siens et bondit de sa chaise aussitôt. Se penchant au-dessus du lit, il sentit des larmes de joie perler au coin de ses yeux lorsqu’il croisa le regard de la jeune femme. Elle lui sourit doucement, murmura faiblement.

« Don… »

Flack caressa son beau visage du bout des doigts en se mordant les lèvres, partagé entre la peur de la perdre qu’il avait éprouvé en la voyant blessée et le bonheur immense qui l’envahissait à présent…

« Je suis là Jess ! Je suis bien là ! »

La jeune détective ouvrit la bouche mais fut prise d’une quinte de toux lorsqu’elle tenta de prononcer quelques mots. Flack secoua la tête doucement en posant en doigt sur les lèvres de sa petite amie…

« Chut… N’essaie pas de parler, tu es encore intubée… N’aie pas peur, je suis là, avec toi. Tout va bien se passer maintenant… »

Mais le flot d’émotions qui submergeait le jeune homme eut finalement raison de lui et sa voix se brisa comme il prenait tendrement la main de Jessica dans les siennes avant de la couvrir de baisers.

« Tu m’as fait tellement peur !... »

Jessica esquissa un sourire. Sans lâcher sa main, Flack se retourna et fit signe à une infirmière de venir. Moins d’une heure après, Jess pouvait à nouveau respirer et parler librement… Mais les images de ce qui s’était passé dans les montagnes lui revinrent brusquement en mémoire comme elle reprenait peu à peu ses esprits. Flack était sorti pour discuter brièvement avec le médecin, le temps d’en savoir un peu plus sur l’état de santé de sa compagne, mais il retourna prestement auprès d’elle en la voyant s’agiter. Jessica s’était redressée dans son lit et elle semblait morte d’inquiétude !

« Don ! Stella… Ils l’ont enlevée ! Et… »

La jeune femme ne put terminer sa phrase. Elle fronça les sourcils en voyant se dessiner un sourire sur les lèvres de Flack. Y avait-il quoi que ce soit d’amusant dans ce qu’elle venait de lui dire… ? La vie de Stella était en danger et lui ne trouvait rien de mieux à faire que de sourire ??? Comprenant qu’il se ferait sévèrement réprimander par sa petite amie s’il ne lui donnait pas rapidement une explication, Flack s’assit à côté d’elle sur le lit et posa une main rassurante sur sa cuisse.

« Ne t’inquiète pas Jess… Stella va bien. On l’a retrouvée juste à temps. Elle est choquée, complètement épuisée, légèrement blessée, mais hors de danger ! Mac est auprès d’elle… »

« Mac ??? »

Jessica avait manqué de s’étrangler et le sourire de Flack s’élargit encore devant l’air complètement perdu de sa compagne.

« Don, attends… Mac est… ? »

« Réveillé et on ne peut mieux ! Tu aurais dû le voir sauter sur ses deux jambes lorsqu’on lui a dit que Stella était en danger… »

Un silence s’installa pendant quelques instants dans la chambre. Jess fixait Flack, incrédule. Elle finit par souffler…

« C’est merveilleux ! »

Le regard de la jeune femme s’était illuminé et ils échangèrent un sourire. Flack imaginait parfaitement ce que pouvait ressentir sa petite amie… Après tout, lui-même n’avait pas su comment réagir lorsque Lindsay l’avait appelé pour le prévenir du réveil de Mac. Il avait d’abord eu du mal à y croire, et puis il avait bondi dans le premier taxi qui passait, en direction de l’hôpital. Et quand il avait vu l’expression soulagée qui se dessinait sur le visage de Danny tandis que celui-ci attendait devant la chambre de Mac, Flack avait compris que la lumière était peut-être enfin au bout du chemin !

Flack se mit à songer à Stella… Il avait à peine aperçu la jeune femme avant que Mac ne parte avec elle pour l’hôpital mais il avait remarqué la manière dont celle-ci se cramponnait à l’expert. C’était il y a deux jours déjà… et Mac n’avait pas quitté le chevet de Stella une seule seconde ! Flack était passé rapidement prendre des nouvelles de la scientifique mais il ne s’était pas attardé, ne se sentant pas le cœur de venir les déranger plus longtemps. La jeune femme semblait avoir perdu tous ses repères et seul Mac saurait lui apporter tout l’amour et toute la douceur dont elle avait besoin à présent. Le jeune détective espérait seulement que cela suffirait à réparer le cœur fragile et brisé de son amie !

Il reporta son attention sur Jessica en soupirant…

« Je crois que notre Stella ne s’en remettra pas si facilement. Je peux la comprendre, elle a cru qu’elle avait tout perdu et, en l’espace d’une semaine, elle retrouve Mac, Antony, sa liberté… »

Il avait baissé les yeux en évoquant toute cette histoire. Jessica se redressa un peu plus encore et l’entoura de ses bras en murmurant…

« Elle s’en remettra, ne t’en fais pas ! »

Flack ferma les yeux un moment, se délectant de la sensation du corps de Jess contre le sien. Approchant ses lèvres de l’oreille de la jeune femme, il souffla…

« Jess… »

Elle s’écarta doucement pour pouvoir le regarder dans les yeux, ces yeux d’un bleu si pur et qui rayonnaient de bonheur et de soulagement. Il hésita un instant encore avant de presser ses lèvres contre celles de sa compagne.

« Je t’aime… »



***


A quelques couloirs de là, au même étage du même hôpital de Thessaloniki, Mac somnolait lui aussi paisiblement. Il avait refusé de quitter Stella un seul instant depuis qu’il l’avait retrouvée. On lui avait apporté ses affaires et installé un fauteuil à côté du lit pour qu’il puisse se reposer un peu, mais c’est tendrement enlacés sur le lit qu’ils s’étaient endormis le premier soir et qu’ils avaient passé leurs nuits…

Stella, pour sa part, n’avait pas prononcé un mot. Elle était pleinement consciente, ne souffrait pas d’un quelconque trauma, mais elle se terrait dans le silence. Les médecins mettaient cela sur le compte du trop plein d’émotions contradictoires qu’elle avait pu ressentir durant les derniers jours… Mac ne s’en inquiétait pas d’avantage. Il connaissait sa Stella… Il avait toute confiance en elle. Il savait qu’il lui faudrait un peu de temps mais que tout finirait par s’arranger. Alors il restait là, pour elle, pour eux… Il la serrait contre lui et sentait son cœur s’apaiser. Il l’enlaçait un peu plus encore et elle laissait tomber toutes ses barrières pour s’autoriser de revivre !

Le soleil commençait déjà à s’élever dans le ciel. Mac desserra quelque peu son étreinte et Stella se retourna vers lui, le suppliant du regard de ne pas s’éloigner… Il lui sourit tendrement tandis qu’il descendait du lit. Déposant une caresse sur sa joue, il murmura doucement…

« Je vais juste prendre une douche rapide. Je suis là, juste à côté, ne t’en fais pas… Je reviens tout de suite… »

Elle baissa les yeux timidement avant de hocher lentement la tête. Elle le regarda attraper des vêtements de rechange dans son sac avant de refermer la porte de la salle de douche derrière lui. Elle se mordit les lèvres tandis qu’elle se laissait retomber sur le lit. Elle n’aimait pas ce sentiment de peur qui ne la quittait plus… Chaque fois que Mac s’éloignait, même si ce n’était que de quelques mètres, elle avait l’impression qu’elle allait à nouveau se retrouver seule ! Elle avait peur de ne plus jamais le revoir…

Elle ferma les yeux. Il fallait qu’elle se force à se montrer raisonnable ! Comment ferait-elle lorsqu’ils retourneraient à New York ?! Il faudrait bien qu’ils se séparent de temps en temps ! Sinclair n’apprécierait pas vraiment de les voir tout le temps collés l’un à l’autre, quel que soit le prétexte ! Elle prit une profonde inspiration avant de souffler lentement… Bien… Quand elle rouvrirait les yeux, elle serait seule dans cette chambre mais elle ne paniquerait pas ! Après tout, ils étaient dans un hôpital et Mac se trouvait dans la pièce d’à côté ! Il n’y avait rien à craindre ! Elle se mordit les lèvres pour se donner du courage et rouvrit les yeux… Mais elle sentit les battements de son cœur s’affoler instantanément lorsqu’elle vit l’homme qui se tenait devant elle, entièrement vêtu de noir, des lunettes aux verres teintés sur les yeux, une arme à la ceinture. Elle ouvrit la bouche. Elle aurait voulu crier, hurler de toutes ses forces, mais pas un son ne sortit !

L’homme s’avança lentement vers elle et la respiration de Stella se fit un peu plus saccadée à chaque pas. Elle pria instamment que Mac arrive ! Paralysée par la peur, elle ne réalisa même pas que l’eau de la douche s’était arrêtée de couler…

Waouh, je suis super contente pour toi Ca doit te faire hyper plaisir d'intégrer cette école bien que je ne sache pas vraiment ce que c'est

Sinn, je te souhaite de supers bonnes vacances: profites-en bien car je le doite que la rentrée scolaire ne sera pas de tout repos.

Bon, je vais peut-être commer ta fic maintenant

Alors là, je dis que c'est super génial.

Jess n'a que de bonnes nouvelles à entendre de la part de Don.

Par contre, Stella m'inquiète beaucoup plus. On ne peut vraiment pas la laisser tranquille que voila qu'un gars se ramène pour lui faire je ne sais quoi.
J'espère vraiment que Mac va arriver à temps: il a intérêt de mettre le turbo en marche.

J'ai adoré cette suite Selenia, merci

PS: j'attendrai patiemment et sagement la prochaine même si ça ne va pas être facile tellement j'ai envie de connaître la suite