D'ombre et de lumière... [ship + enquête]

zat a écrit:

Waouh, je suis super contente pour toi Ca doit te faire hyper plaisir d'intégrer cette école bien que je ne sache pas vraiment ce que c'est

Sinn, je te souhaite de supers bonnes vacances: profites-en bien car je le doite que la rentrée scolaire ne sera pas de tout repos.

Bon, je vais peut-être commer ta fic maintenant

Alors là, je dis que c'est super génial.

Jess n'a que de bonnes nouvelles à entendre de la part de Don.

Par contre, Stella m'inquiète beaucoup plus. On ne peut vraiment pas la laisser tranquille que voila qu'un gars se ramène pour lui faire je ne sais quoi.
J'espère vraiment que Mac va arriver à temps: il a intérêt de mettre le turbo en marche.

J'ai adoré cette suite Selenia, merci

PS: j'attendrai patiemment et sagement la prochaine même si ça ne va pas être facile tellement j'ai envie de connaître la suite

Bon je reprend le com de Zat parce qu'elle a tout dit et je pense là même chose ^^

Meri pour cette super suite ma Selenia

hâte de lire la prochaine ^^

Passe de très bonne vacances, reviens nous bien reposer et ... avec une suite lol

Wouha je suis trop hyper grave contente pour toi Ma Selenia, Félicitation

3 semaines de vacances, tu les mérites amplement avec tout le travail que tu as fais pour avoir la possibilité d'entrer dans cette grande école

Et t'inquiète pas, j'attendrai patiemment

Sinon pour ta suite :

Ta suite était vraiment sublissiment sublime
Don qui est aux côté de Jess pour son réveil, et le " je t'aime " ils sont trop chou tous les deux !

Mac qui veille prudemment sur Stella mais faut croire que ces types ne vont jamais là laisser tranquille Non mais sans dec'
Mais Mac qui est sous la douche ( ) c'était peut-être une diversion
J'espère que Mac va arriver à temps

Merci pour cette sublime suite ma Selenia
Passe d'excellente vacances et profites-en bien

Kikou, me revoilou !

Je viens tout juste de rentrer ! J'ai passé de très bonnes vacances. C'était pas toujours la grande chaleur mais on a eu du beau soleil et un temps très correct dans l'ensemble. Et je me suis bien reposée ^^

Passons aux choses sérieuses... Ce n'est pas encore la rentrée pour moi et encore heureux parce que là je suis un peu larguée sur le fofo et j'ai bôôôôcoup de retard à rattraper ! Mais pour commencer, je vous poste un nouveau chapitre pour vous remercier d'avoir si sagement patienté !

J'espère que tout va bien de votre côté. Gros bisous à toutes !

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Chapitre 19





Stella était encore tétanisée par la peur cependant que l’homme en noir la dévisageait sans bouger, mais elle eut un cri de frayeur lorsqu’elle vit une arme se coller contre la nuque de celui-ci. Elle soupira de soulagement lorsque Mac se décala pour se rapprocher d’elle, s’assurer qu’elle n’avait rien. Il lui offrit un regard rassurant tout en gardant son semi-automatique braqué sur l’autre homme. Celui-ci n’avait pas vraiment réagi et s’était contenté de soupirer. Mac, quant à lui, se retenait pour ne pas laisser exploser sa fureur. Stella n’avait été seule qu’une dizaine de minutes et cela avait suffi pour qu’elle soit menacée… Il en avait assez ! Détachant son regard de sa compagne, il se retourna vers l’autre, sourcils froncés, prêt à faire feu au moindre geste inopportun de la part du… "visiteur". Ce-dernier, nullement intimidé, soupira à nouveau d’un air las.

« Que me voulez-vous Monsieur Taylor ? Vous êtes bien le lieutenant Taylor que je sache ? »

« Taisez-vous ! C’est moi qui pose les questions ! »

Mac faisait tous les efforts possibles pour se contenir mais le ton malvenu de l’homme l’exaspérait.

« Posez votre arme sur ce lit ! Doucement ! »

L’homme leva les yeux au ciel, s’attirant un regard noir de la part de Mac, mais il finit par obtempérer sans protester.

« Stell’… »

La jeune femme n’avait toujours pas bougé. Elle sursauta presque lorsque Mac l’interpela. Il lui désigna l’arme qui était toujours sur le lit et elle s’en empara. Mac hocha la tête, satisfait, et se retourna vers l’intrus.

« Bon… Alors maintenant vous allez vous expliquer ! Pourquoi vous acharnez-vous sur Stella ? Antonio Leone est mort ! Alors qui vous a envoyé ??? Vous voulez nous faire payer sa mort, c’est ça ? Qui tire les ficelles de tout ce cirque ? Qui ??? »

« Vous pensez vraiment que la vie d’Antonio avait une quelconque importance ? »

L’autre ricanait ! Mac le sommait de leur donner des réponses, et lui osait les narguer !!! L’expert crut qu’il allait l’étrangler… Mais après quelques instants, le sourire narquois fit place à une expression très sérieuse sur le visage de l’homme.

« Je suis au service de Marco Leone. Antonio était son neveu mais cela faisait longtemps que nous espérions nous en voir débarrassés. Sa mort n’est en aucun cas une perte regrettable. »

« Alors pourquoi êtes-vous ici, si ce n’est pas pour le venger ?! »

Mac avait haussé un sourcil sans se défaire de sa méfiance. C’était trop simple ! Que faisait cet homme, inconnu, armé, dans la chambre de Stella, s’il ne lui voulait pas de mal ? Mais Mac devait accorder à son interlocuteur qu’il ne s’était, finalement, à aucun moment montré réellement hostile envers Stella ou lui… L’homme hésita un instant et ancra son regard dans celui tremblant de Stella avant de s’expliquer.

« Vous avez quelque chose qui nous appartient… »



***


POV Mac Taylor


Je ne compris pas immédiatement. Instinctivement, je me plaçai entre Stella et cet homme, comme pour la protéger de ce regard insistant qu’il posait sur elle. Me voyant m’interposer, il leva les yeux vers moi en croisant les bras. Je le dévisageai longuement tout en essayant désespérément de comprendre ce qu’il pouvait bien attendre d’elle, ou de nous… Et puis je réalisai ! Je fis soudain le lien avec ce qui nous avait conduit jusqu’ici… Il avait raison. Je détenais quelque chose qu’ils devaient chercher depuis longtemps…

D’un pas ferme et assuré, je m’approchai de l’homme en scrutant sa réaction.

« Conduisez-moi à votre chef ! »

« Mac ! »

Je me retournai vers Stella en me mordant nerveusement les lèvres. Elle me fixait intensément et ses yeux étincelants reflétaient son profond désarroi. Elle semblait complètement affolée et je m’en voulais de la laisser ainsi après lui avoir promis de rester à ses côtés quoi qu’il arrive… Mais je n’avais pas le choix. C’était pour elle que je le faisais… Je devais régler cette affaire, une bonne fois pour toutes ! Je devais tout faire pour que ces hommes la laissent enfin tranquille ! Rangeant mon arme, je m’assis sur le lit à côté d’elle et déposai une caresse sur sa joue.

« Il y a des policiers grecs en surveillance dans l’hôpital. Et puis, Flack m’a dit qu’il passerait te voir, il devrait arriver sous peu... Je ne serai pas long, je te le promets. »

Encore une promesse… Mais celle-là, j’avais bien l’intention de la tenir !

Elle hésita puis hocha la tête lentement. J’avais perçu sa peur dans son regard lorsque j’avais évoqué la surveillance policière et je ne pouvais pas lui en vouloir… Belle surveillance, en vérité ! S’ils avaient été capable d’une réelle protection, ils n’auraient pas laissé entrer l’homme armé qui se tenait devant nous en ce moment ! Mais j’avais vu les craintes de Stella se dissiper quelque peu quand j’avais prononcé le nom de Flack… Je savais qu’elle lui faisait entièrement confiance et il me semblait qu’elle se sentirait moins menacée en le sachant à ses côtés.

Je laissai quelques instants mes doigts courir le long de son beau visage et se perdre dans ses magnifiques boucles brunes. Je lui souris tendrement en murmurant…

« Rassure-toi, ça va aller, tout va bien se passer… »

Elle ne dit rien, se contentant de se torturer les doigts, peut-être plus nerveusement qu’à son habitude. Elle baissa les yeux mais je pris doucement son visage entre mes mains avant de presser délicatement mes lèvres contre les siennes. Je la sentis se détendre légèrement comme j’approfondissais le baiser et je fus heureux de voir un mince sourire se dessiner sur son visage lorsque nous nous séparâmes.

« A plus tard… »

Elle acquiesça timidement d’un signe de tête, serra ma main dans la sienne une dernière fois, puis je m’éloignai à la suite de l’autre homme…



***


POV Stella Bonasera


Je vis Mac s’éloigner avec toujours cette peur rémanente qui m’assaillait. La porte refermée, je détournai le regard vers la fenêtre et remarquai le semi-automatique de l’autre homme que j’avais posé sur la table de chevet à côté de moi. Je le pris et vérifiai le chargeur. Il était plein… Après un coup d’œil à la porte pour m’assurer que personne ne me voyait, je glissai l’arme sous mon oreiller, la laissant ainsi à portée de main… juste au cas où.

Je m’étais allongée et je somnolais depuis une vingtaine de minutes sans parvenir à trouver le sommeil quand quelques coups pressés furent frappés à la porte. Je me redressai lentement dans mon lit, posant instinctivement la main près de mon oreiller, mais je sentis tous mon corps se détendre aussitôt que Flack apparut dans l’encadrement de la porte…

« Hey ! Je peux entrer ? »

J’opinai doucement de la tête en souriant.

« Bien sûr… »

Il s’approcha et vint m’embrasser. Je lui proposai de s’asseoir mais il me rétorqua qu’il avait passé son temps assis sur ou à côté du lit de Jess et qu’il avait besoin de se dégourdir les jambes. Mais une question me taraudait l’esprit. Don était tout sourire et plaisantait au sujet de Jessica, mais je m’inquiétais tout de même…

« Comment va-t-elle ? »

« Vous n’êtes pas croyables les filles ! Vous avez failli l’une comme l’autre y laisser votre peau et tout ce à quoi vous pensez, c’est à la manière dont les autres s’en sont sortis ! »

Je fronçai les sourcils en le voyant rire ainsi. Il n’avait pas répondu à la question et je me moquais bien de ses railleries ! Peut-être étais-je un peu sévère avec lui… J’avais rarement été plus heureuse de le voir et de l’entendre plaisanter. En vérité, sa présence et son air enjoué me faisaient du bien, beaucoup de bien… Je finissais par accepter que Mac ne pouvait pas être présent à mes côtés vingt-quatre heures sur vingt-quatre et que j’étais tout autant en sécurité avec quelqu’un comme Don qu’avec lui… Mais j’étais morte d’inquiétude pour Jessica et je voulais à tout prix savoir !

Inquiet de mon silence, il me jeta finalement un coup d’œil et soupira en apercevant mon air grave. Il posa une main rassurante sur mon épaule en souriant…

« Bien, elle va très bien… Elle m’a tout de suite demandé de tes nouvelles ! »

Je souris à mon tour avant de rire doucement. Je comprenais à présent ce qu’il avait voulu dire…
Nous discutâmes pendant un bon bout de temps. Il me raconta ce qu’il s’était exactement passé durant mon enlèvement. Mac m’avait mise au courant dans les grandes lignes, me répétant ce qu’on lui avait dit, mais Flack en savait bien plus, Mac s’étant avant tout occupé de me retrouver tandis que Don s’était plus profondément penché sur l’affaire… J’appris ainsi que Maria avait sauvé la vie d’Antony à deux reprises en le protégeant de nos agresseurs. Mais je sentais que Flack me cachait encore quelque chose…

« Stell’… Ce n’est pas facile à annoncer… Je… Comment dire… Jess m’a dit que Maria et toi étiez devenues très proches… »

Je sentis mes doigts se crisper sur les draps qui me recouvraient et c’est d’une voix que je reconnus à peine que je bredouillai…

« Est-ce qu’il lui est arrivé quelque chose ? »

Il baissa les yeux, gêné, en tentant de dissimuler un soupir.

« Elle a été très grièvement blessée lorsque les autres ont essayé d’enlever Antony. La blessure n’était pas mortelle mais Maria est assez âgée et physiquement affaiblie. »

Lentement, il releva la tête et chercha dans mon regard le courage de continuer.

« Je suis désolé Stella… Les médecins ne lui donnent pas plus de vingt-quatre heures… »

Je suis contente de retrouver ta fic.

j'ai adoré cette suite. Je me pose toujours des questions et c'est ça qui est super.

j'ai hâte d'en savoir plus et donc, de lire la prochaine suite

Merci pour cette suite Selenia, c'était super

yeah tu es de retour !!!

et avec une suite en plus ^^
cette suite est génial, ça m'avait manqué tiens
par contre Mac qui s'en va avec l'autre là ils en ont toujours pas fini avec tout ça, je comprend que Stella s'inquiète.

Quand à Don il me fait rire quand il sort de l'humour à stella qui elle s'en fou et veux avoir des newss de Jess mdr
Par contre pauvre Maria... stella va peut être s'en vouloir un peu maintenant...

enfin bref, cette suite est génial j'adore !!!

Merci pour cette super suite ma selenia

hâte de lire la prochaine

Je suis super contente de te retrouver Bellissima, tu nous a beaucoup manqué! J'espère que tu as passé de bonnes vacances!


Cette suite est géniale

Mac est arrivé au bon moment.
Stella est tétanisée, j'espère qu'ils vont enfin les laisser tranquille.
Mac qui va régler cette affaire, pourvu qu'il revienne en un seul morceau.
J'adore Don qui fait de l'humour, c'est vrai que Jess et Stell' se soucient des autres avant tout
Mais la fin est trop triste, encore un coup dur pour Stella, elle adorait Maria et maintenant elle risque de mourir parce qu'elle a protégé son fils....Ca sent la culpabilité venir à grand pas chez Miss Bonasera!
Toujours un plaisir de te lire
Merci Bellissima

Moi aussi je suis super contente de vous retrouver ! Oui oui Meli, très bonnes vacances ! Le retour à la réalité est plus pénible... J'ai encore 2 semaines avant la rentrée mais je stresse un peu quant au logement... Sur Paris : 1) c'est compliqué de trouver, 2) quand on trouve, ça peut coûter bonbon ! Enfin, je croise les doigts pour trouver qqch qui me convienne pck même si j'habite en Ile-de-France j'ai à peu près 1h30 de trajet entre chez moi et mon école. Un peu trop pour le faire matin et soir...

Un chapitre un peu plus court cette fois, et très médiocre à mon goût, mais la suite est prête (j'ai été assez productive pendant ces 3 semaines ^^ j'ai quasiment tout tapé jusqu'à la fin !) donc si vous êtes bien sages vous l'aurez sans trop tarder !

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Chapitre 20




« Je suis navré de la méprise dont vous avez fait l’objet à l’hôpital. Salim n’avait nulle intention de menacer votre amie. »

Mac avait été conduit auprès de Don Leone, le parrain de l’une des deux grandes familles de la mafia grecque, mais il se refusait à accepter des excuses aussi facilement. Prenant soin de garder son sang-froid, l’expert fit remarquer au chef mafieux que leur "visiteur" de l’hôpital, celui qu’il avait appelé Salim, était armé lorsqu’il avait fait irruption dans la chambre de Stella, ce qui n’était pas particulièrement révélateur de bonnes intentions. Leone secoua la tête en soupirant d’un air las…

« Je ne pense pas avoir besoin de vous expliquer, Monsieur Taylor, que des gens comme nous sont parfois amenés à se défendre et à se servir d’une arme. Il s’agissait là d’une simple précaution. »

« Je vous l’accorde… Mais Salim n’a pas répondu à mes questions. Que voulez-vous à Stella ? »

« La mort de mon neveu est la dernière chose qui me tracasse. Antonio était un imbécile
dangereux, parfaitement indigne de porter mon nom. Je l’avais chargé de retrouver le médaillon que Kosta Papakota et la mère de votre amie m’ont dérobé il y a des années. Non seulement il s’en est montré incapable mais quatre de ses hommes sont morts en l’espace d’une semaine. Quant à mademoiselle Bonasera, si vous ne l’aviez pas arrachée des griffes d’Antonio à temps, celui-ci se serait fait un plaisir de la violenter avant de la tuer. Il n’avait aucun respect pour l’être humain, encore moins pour les femmes. Et dire qu’il n’aurait pas hésité à faire enlever un enfant pour assouvir sa soif de puissance… Il me faisait honte et je l’aurais bientôt tué de mes propres mains si vous ne vous en étiez chargés ! »

Mac avait écouté attentivement le parrain mais il ne put s’empêcher de lever les yeux au ciel et de rire noir à la tirade de celui-ci.

« Je vois… Vous n’avez rien à vous reprocher, vous êtes des citoyens modèles, tout était la faute d’Antonio… »

Leone se crispa devant le ton adopté par l’expert.

« Vous ne semblez pas accorder beaucoup de crédit à ce que je vous dis… »

« Permettez-moi de rester méfiant, en effet ! Je connais le milieu de la mafia ! »

« Alors sachez que Don Leone ne ment jamais ! Et que je ne suis pas un assassin ! Je voulais que Papakota me rende mon bien, et je lui aurais peut-être demandé quelques indemnités, mais je n’ai jamais souhaité sa mort, ni celle de mademoiselle Bonasera ! »

Le ton était monté dangereusement et Mac jugea bon de se calmer. Il savait qu’il n’obtiendrait rien en s’emportant et l’homme qu’il avait devant lui lui semblait digne de confiance, du moins tant que l’on respectait ses règles du jeu…

« Vous voulez le médaillon ? »

« C’est tout ce que je vous demande… »

L’expert hocha la tête et sortit l’objet de sa poche. Lorsqu’il avait trouvé la photo de ce médaillon chez Massimo Kosta, à New York, Mac avait rapidement compris que le bijou était au centre de tous les intérêts. Après tout, c’était le symbole porté par le médaillon que l’on avait retrouvé gravé sur le torse de Nikos… Ca ne pouvait pas être une simple coïncidence. Et puis Mac s’était souvenu avoir aperçu l’objet parmi les affaires que Stella conservait dans leur coffre. Il s’était donc rendu chez eux et l’avait récupéré avant de partir pour la Grèce. Le bijou ne l’avait plus quitté depuis. Ce n’est qu’en débarquant à Thessaloniki que l’expert avait eu confirmation de l’importance de ce fichu médaillon et il espérait qu’il puisse lui servir de monnaie d’échange en temps voulu…

Mac jeta un dernier coup d’œil à l’objet avant de le tendre à Leone dont le regard s’éclaira dès l’instant où il eut le bijou entre les mains. Le parrain regarda attentivement le médaillon, puis Mac, et à nouveau le petit objet… L’expert, quant à lui, n’avait pas bougé. Il attendait. Il devinait que Leone était un homme d’honneur et qu’il tiendrait parole, mais il préférait l’entendre de sa bouche… Le médaillon contre la sécurité de Stella, c’était leur marché ! Mais Mac fronça les sourcils, intrigué, lorsque Leone sortit d’un tiroir de son bureau une petite enveloppe jaunie qu’il lui tendit.

« Prenez ceci… »

« Qu’est-ce que c’est ? »

« Toujours méfiant ? Ouvrez donc… »

Mac s’exécuta et ne cacha pas son étonnement en découvrant dans l’enveloppe une paire de sublimes boucles d’oreilles.

« Le jade qui les orne est d’une pureté rare. Elles ont été ramenées en Grèce par Alexandre le Grand, l’une des innombrables merveilles qu’il ramena de l’Extrême Orient… Ces boucles faisaient partie des trésors découverts par la mère de votre amie. »

L’expert tenait toujours les bijoux au creux de sa main, ne sachant trop que faire, et Leone poursuivit…

« Gardez-les. Je vous dois bien cela, pour vous être chargés de mon neveu… Je vous les offre, en cadeau de mariage. »

« Je… Stella et moi n’avons pas l’intention de… »

Mac hésitait sur ce qu’il était censé dire. Il se contenta d’un sobre remerciement et le parrain en sembla satisfait.

« Je vous sens toujours nerveux Lieutenant Taylor… Don Leone n’a qu’une parole. Vous pouvez être tranquille pour mademoiselle Bonasera à présent. Tant que vous resterez en territoire grec, vous et vos amis serez sous ma protection. »

« Je vous crois… »

Les deux hommes échangèrent un regard entendu. Leone appela Salim pour lui demander de raccompagner leur invité jusqu’à l’hôpital car la nuit commençait à tomber, mais Mac songea subitement à ce que Stella lui avait expliqué à propos de la famille Kosta…

« Don Leone ! Il reste un dernier point sur lequel j’aimerais que nous discutions ! »

Le parrain ouvrit des yeux étonnés mais laissa Mac s’expliquer.

« Stella m’a fait part du chantage dont Antonio a fait usage sur la personne de Massimo Kosta… »

Leone fronça les sourcils, ignorant ce dont il s’agissait.

« Votre neveu avait fait enlever la femme et la fille de Kosta en menaçant de les abattre si jamais Massimo n’agissait pas selon ses ordres ! Il y a peut-être un espoir pour qu’elles soient encore en vie… »

« Et vous pouvez être assuré que je veillerai personnellement à ce qu’elles soient retrouvées ! Vous pouvez compter sur moi Lieutenant Taylor. Je vais de ce pas charger mes meilleurs hommes de retrouver la piste de ces malheureuses. Il est possible effectivement qu’elles soient saines et sauves. Quoi qu’il en soit, je vous le ferai savoir dès que nous en saurons plus ! »

« Je n’en attendais pas moins de vous… »

Les deux hommes esquissèrent un sourire et se saluèrent dignement. L’un était policier, l’autre mafieux, mais ils étaient surtout des hommes d’honneur et, en cet instant, ils savaient qu’ils pouvaient compter l’un sur l’autre.

C’est le cœur plus léger que Mac quitta ce soir-là la somptueuse villa de Don Leone, en compagnie de Salim qui le reconduisait à Thessaloniki…

Alors ma Selenia, je m'excuse de ne pas avoir commer ton avant dernière suite je vais m'en charger de suite

La première suite était comme toujours aussi bien écrite et Mac qui est toujours là pour la protéger, par contre Salim a pas trop peur faut croire que son regard noir, son apparence et son ton froid, ne fais pas peur à tout le monde

Le p'tit moment Smac avant que Mac part voir le parrain de la mafia était mais ayant un peu l'habitude de ton côté sadique, j'ai eu peur pour Mac
Don n'a pas tort lorsqu'il explique qu'à chaque fois que Stella ou Angell est blessée, elles demandent des nouvelles des autres alors qu'elles n'ont pas été laisé dernièrement en histoire de blessure et de souffrance

Deuxième chapitre :

Alors là ma Selenia tu nous fais quoi à non mais vraiment... cette suite était vraiment très bien J'ai adorée Mac pourrait être aussi voir plus sévère que le parrain si on l'arrête pas allez va auprès de Stella, la réconforter et laisse le Mafieux faire de la mafia ( c'est un peu logique ! )

Et le pire c'est Don Leone est Smac il lui offre des boucles d'oreille pour les fiançaille La preuve que les mafieux ne sont pas si cruels, ils sont juste en manque de Smac

Merci beaucoup ma Selenia pour ces deux suites que j'ai adorée et trouvée superbe :biz
C'est toujours un plaisir de te lire ma Selenia, impatiente de lire la suiiiiiiite

et bien moi j'aime beaucoup ces deux chapitres !
1) stella va bien !
2) Jess va bien !
3) le smac est au beau fixe !
4) Stella en risque plus rien !

Donc TOUT VA BIEN !

bon, oki, la mémé va mourir mais bon, à la limite, on s'en fout un peu hein... du moment que le smac est sauvé !!! Elle aura la médaille d'honeur post mortem, pis voilà !

la suiiiiiiiiite !

danseuse a écrit:

et bien moi j'aime beaucoup ces deux chapitre !
1) stella va bien !
2) Jess va bien !
3) le smac est au beau fixe !
4) Stella en risque plus rien !

Donc TOUT VA BIEN !

bon, oki, la mémé va mourir mais bon, à la limite, on s'en fout un peu hein... du moment que le smac est sauvé !!! Elle aura la médaille d'honeur post mortem, pis voilà !

la suiiiiiiiiite !

tu m'as tué là ma Danseuse la médaille post-portem sacré Danseuse

Cette suite est magnifique

Personnellement, j'ai adoré!
J'aime bien l'échange entre Mac et Don Leon
C'est vrai qu'il paraît un homme d'honneur
Mac! Mac! Mac! Avec tous ses problèmes, il trouve moyen de penser aux autres, ahhhh cet homme!
Et le cadeau de Don Leon OMG! Je pense que j'aime bien cet homme
Merci Bellissima

comment ça médiocre... ?!
Mais non, cette suite très très bien !!
Moi, j'ai beaucoup aimé et puis cette échange entre Mac et l'autre mafioso lol
c'était parfait !!

Merci Selenia pour cette super suite

hâte de lire la prochaine

Vous avez aimé ? Bon ben tant mieux... Merci les filles ! Après tout, c'est vous qui êtes juges ! J'ai beaucoup aimé moi aussi le com de ma Danseuse ^^ C'est toute sa naturelle bonté qui transparaît à travers ses quelques mots !
Du coup, comme vous avez été sages et que j'ai eu droit à de magnifiques coms, je vais tenir ma promesse et vous poster une suite plus longue ! Bonne lecture !

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Chapitre 21




Flack avait conduit Stella jusqu’à la chambre où Maria avait été installée. La scientifique hésita tout d’abord, jeta un coup d’œil anxieux au jeune homme, mais il la rassura.

« Vas-y Stell’… Prends tout ton temps. Je t’attendrai ici… »

Elle hocha timidement la tête avant de frapper quelques légers coups à la porte. Lorsqu’elle entra, elle se sentit mal à l’aise devant la froideur de la petite pièce. Enfin… Ce n’était sans doute pas si terrible, mais il manquait indéniablement une chaleur humaine à cet endroit… Des murs blancs, des draps blancs, un sol gris clair. Une petite fenêtre qui donnait sur la mer mais dont les stores tirés ne laissaient que très peu filtrer la lumière.

Stella réajusta son gilet sur ses épaules. Elle grelottait. Lentement, nerveusement, elle s’approcha du lit. Maria n’avait pas bougé lorsqu’elle était entrée et, s’il n’y avait eu le sifflement régulier du moniteur pour rappeler que la vieille femme était encore en vie, l’on aurait pu croire, dans l’austérité de cette chambre, que ce n’était plus le cas… Stella s’assit sur le côté du lit et prit la main de Maria dans la sienne en l’appelant doucement. Au bout d’un moment, la vieille femme ouvrit les yeux. Un large sourire se dessina sur son visage aussitôt qu’elle vit Stella à ses côtés... Elle resserra la pression sur la main de la jeune femme en murmurant.

« Melina… Ou Stella ?... Comment dois-je t’appeler ?... »

La jeune femme ne put s’empêcher de sourire à l’air un peu perdu de son amie. Il fallait reconnaître que toute cette histoire n’était pas simple à comprendre. Stella avait caché sa véritable identité à tous en Grèce, y compris à Maria, et elle pouvait imaginer que la brave femme avait dû tomber des nues lorsqu’on lui avait expliqué toute la vérité…

« Stella, je préfère… Mais ne parle pas Maria ! Tu dois te reposer. Tu vas guérir, et tout ira mieux, tu verras… »

« Alors pourquoi pleures-tu ?... »

Stella se mordit les lèvres et baissa les yeux. Elle avait parlé d’un ton aussi assuré que possible mais s’était montrée incapable de retenir ses larmes davantage… Elle ne croyait pas un traître mot de ce qu’elle avait dit à Maria. Elle avait parlé avec Don, et lui-même s’était entretenu avec les médecins. Elle savait que son amie n’en avait plus que pour quelques heures, et Maria le savait tout aussi bien. Mais ça, Stella refusait de se l’avouer…

Lorsque la jeune femme releva la tête, elle esquissa un sourire en croisant le regard de Maria. Elle était si incroyable. Blessée, vieillie, affaiblie, sur le point de mourir, elle paraissait plus faible que jamais. Et pourtant, il y avait dans son regard une telle expression de sérénité… C’en était troublant.



***


Le soir vint et Mac retrouva Stella dans la chambre de Maria, à raconter quelques anecdotes à la vieille femme. Il sourit en entrant dans la petite pièce qui n’avait plus rien d’une austère chambre d’hôpital. Les stores avaient été tirés, laissant entrer les lueurs chaudes du soleil couchant, et deux somptueux bouquets de fleurs sauvages venaient parer les côtés du lit de couleurs vives. L’expert n’avait pas besoin de chercher bien loin pour savoir qui s’était chargé de remettre un peu de gaieté dans cet univers lugubre…

Mac, Stella et Maria discutèrent longtemps, rejoints un temps par Don et Jess qui avaient eux aussi décidé de rendre visite à la vieille femme, la jeune détective s’étant également prise d’affection pour elle. Les heures passèrent et tous tombèrent de fatigue. Mac fut reconnaissant à Maria lorsqu’elle insista pour que Stella retourne se coucher dans sa propre chambre. Elle lui promit qu’elle n’avait pas l’intention de trépasser durant la nuit et ce fut finalement Mac qui prit les choses en mains, ne laissant pas le choix à sa compagne, la portant dans ses bras jusqu’à sa chambre. Stella, complètement épuisée, n’eut pas même la force de protester, et c’est sans rechigner qu’elle se coucha aux côtés de Mac dans son lit cette nuit-là.

Le lendemain, elle se leva de bonne heure. Mac l’aida à faire sa toilette puis il l’accompagna une fois encore jusqu’à la chambre de Maria. Il sentit Stella se crisper lorsqu’ils approchèrent. Il savait qu’elle voulait être là quand la vieille femme partirait et qu’elle craignait que celle-ci ne soit décédée durant la nuit. Mais Stella se détendit un peu et un mince sourire de satisfaction se dessina même sur ses lèvres lorsqu’elle aperçut une jeune femme accompagnée de deux enfants en bas âge qui attendait devant la chambre. Mac remarqua le regard de gratitude qu’offrit Stella à la femme. Elles se saluèrent sobrement et Stella entra la première. Maria leva la tête aussitôt, l’accueillit d’un sourire et Stella sourit en retour.

« Je t’ai amené une surprise… »

Elle se décala légèrement pour laisser l’autre jeune femme s’avancer avec les enfants…



***


POV Stella Bonasera


Je rejoignis les bras de Mac et nous sortîmes, laissant Maria seule avec sa belle-fille et ses petits-enfants. J’avais tout fait pour les retrouver lorsque Don m’avait mis au courant de l’état de Maria. Je voulais qu’elle puisse profiter d’eux une dernière fois avant de mourir. Ces quelques instants de bonheur avec sa famille, je les devais bien à Maria, après tout ce qu’elle avait fait pour moi…

J’attendis en silence devant la chambre, lovée contre Mac. Il était près de midi lorsqu’ils sortirent. La jeune femme m’avertit que Maria n’en avait sans doute plus longtemps. Elle ne voulait pas que les enfants voient leur grand-mère périr devant eux. Elle me remercia de l’avoir prévenue, m’assura qu’elle ferait en sorte que les biens de Maria soient préservés. Elle avait peut-être même l’intention de revenir vivre en Grèce avec les enfants et j’en fus heureuse. Lorsqu’ils se furent éloignés, je retournai voir Maria. Un large sourire s’étendit sur son visage et elle me fit signe d’approcher.

« Je n’aurai jamais assez de mots pour te remercier… »

« Et tu n’en as pas besoin… »

Je m’assis sur le bord du lit et ne pus retenir quelques larmes de couler. J’en avais marre… La vie était trop cruelle… Pourquoi nous prenait-elle toujours ceux que nous aimions ?

Maria posa sa main toute fripée sur ma joue et essuya une larme du bout des doigts. Elle semblait si apaisée, si sereine… Elle était de ces personnes qui ne tremblent pas quand vient leur heure, qui souhaitent simplement que ceux qui resteront ne la pleurent pas trop… De sa voix faible, elle murmura doucement…

« Sois heureuse mon enfant… Laisse la vie te sourire ! »

Je croisai son regard, aussi tendre et confiant qu’obstiné. Je tentai de sécher rapidement mes larmes mais il en venait plus que je n’en essuyais, ce qui eut tôt fait de m’énerver. Je soupirai. Cela la fit rire. J’esquissai un sourire désolé et pressai délicatement sa main dans la mienne.

« Je ferai de mon mieux, je te le promets… »

Maria était l’une de ces femmes qui ne veulent rien de plus que le bonheur des autres. Elle sourit, puis s’éteignit…



***


Stella et Jessica restèrent en surveillance à l’hôpital pendant une dizaine de jours encore, avant que vienne le moment du départ. Mac alla chercher Stella avec Antony pour qu’elle puisse ramasser ses affaires chez Maria. La grande maison sembla bien vide à Stella lorsqu’elle y pénétra. Disparue cette présence chaleureuse qui l’avait aidée à tenir durant ces longs mois… Oubliés les délicieux fumets qui montaient toujours de la cuisine… Stella sentit son cœur se serrer à la pensée de la vieille femme. Lentement, elle se dirigea vers l’escalier et gravit les marches jusqu’à l’appartement qu’elle avait occupé depuis cinq mois. Rien n’avait bougé. Elle sortit une valise ainsi que deux sacs de voyage et s’empressa d’y fourrer vêtements et produits de toilette. Elle inspecta rapidement les lieux pour vérifier qu’elle n’oubliait rien, puis elle regagna le rez-de-chaussée.

Elle ne put s’empêcher de sourire tendrement en voyant Mac s’amuser avec son fils dans le salon. Ils ne l’avaient pas entendue descendre et elle resta quelques instants à les regarder. Antony semblait trouver terriblement amusant d’embêter son père ! A la réflexion, le petit avait de qui tenir… Quant à Mac, il répondait joyeusement aux papouilles de son fils et riait aux éclats ! Cet adorable spectacle remit un peu de baume au cœur à Stella qui n’avait pas encore bien réalisé… Antony et Mac étaient en pleine forme et auprès d’elle. Ils rentraient tous ensemble à New York. Après tout ce temps, ils allaient enfin revivre ! Le tableau aurait été idyllique si Eleni n’était pas restée lourdement handicapée après l’accident… Mais Mac avait discuté longuement avec des médecins parmi les meilleurs des Etats-Unis et ils lui avaient dit de ne pas perdre espoir, qu’il était encore possible que la petite se remette du traumatisme, un jour, si son organisme le voulait bien. Stella se jura de tout faire pour que ce jour arrive et que sa fille puisse refaire usage de ses bras et de ses jambes normalement !

Au bout d’un moment, Mac se rendit compte de la présence de Stella dans l’encadrement de la porte. Il lui sourit timidement.

« Tu es prête ? »

Elle hocha la tête. Mac prit Antony dans ses bras, le callant contre son épaule, puis il s’approcha de Stella et lui déposa un baiser à la commissure des lèvres tout en attrapant l’un de ses sacs de sa main libre. Elle prit les deux autres bagages et ils quittèrent la maison. Stella se retourna une dernière fois et se mordit les lèvres nerveusement en scrutant l’horizon. La mer turquoise, irisée des rayons du soleil… Le ciel d’un bleu azur dénué de nuages… Les montagnes sauvages… Les bâtiments blancs s’épandant tels une fine dentelle le long des côtes…

« Ca ne te manquera pas trop ? »

Elle sursauta légèrement comme elle n’avait pas entendu Mac approcher. Elle ne dit rien tout d’abord, puis elle secoua la tête vivement avant de se retourner vers son compagnon.

« Ce pays m’a tout pris ! Ma mère, le professeur, Maria, Nikos… Et j’ai failli vous perdre vous aussi ! »

Sa voix se brisa sur ses derniers mots et elle se lova contre Mac. Celui-ci retint un soupir. Cette sombre histoire pèserait pour longtemps sur le cœur de la jeune femme… Certes, les dégâts auraient pu être plus terribles encore ! Il s’en était fallu de peu que Massimo, Jess, Mac, les enfants ou Stella elle-même y restent ! Mais le bilan était déjà bien lourd… Stella avait été effondrée lorsqu’elle avait appris que le professeur Papakota avait été abattu dans les montagnes en voulant couvrir sa fuite, peu avant que la police ne réussisse à arrêter Antonio Leone et sa bande. Il serait dur d’oublier, mais le temps, l’amour et l’amitié sauraient cicatriser les blessures…

Serrant un peu plus Stella et Antony contre lui, Mac murmura…

« Rentrons maintenant. »

Il entraîna la jeune femme vers la voiture mais celle-ci le retint doucement.

« Mac… »

Elle gardait les yeux baissés. Elle semblait réfléchir, hésiter. Et puis elle redressa la tête, prit une profonde inspiration. Ancrant son regard émeraude dans celui de l’expert, elle lança à mi-voix…

« Epouse-moi ! »

naaaaan mais je suis quelqu'un de sensible, moi faut pas croire !!!
Pauvre maria...

maaaaaaaaaaaais la vie continue et youhouuuuuuu !!!!!!!!!! Stella qui demande mac en mariage c'est trop trop trop chouette !!!!
j'adore !!!

danseuse a écrit:

naaaaan mais je suis quelqu'un de sensible, moi faut pas croire !!!

Ca ne fait aucun doute !

Cette suite est vraiment sublime
          
Au moins Stell' a eu le temps de parler à Maria avant de mourir
Elle a même réussi à lui ramener sa famille
Mac qui joue avec son fils, c'est mignon    
Et la demande en mariage de Stella OMG!
           
Vas-y Stell'....J'espère que Mac dira "oui"
Il pourra même lui offrir le cadeau de Don Leon, c'est à croire que cet homme est médium
Merci Bellissima      
J'aime toujours autant cette fic et je suis dans l'obligation de te demander la suite

melindashepard a écrit:

Cette suite est vraiment sublime

Au moins Stell' a eu le temps de parler à Maria avant de mourir
Elle a même réussi à lui ramener sa famille
Mac qui joue avec son fils, c'est mignon
Et la demande en mariage de Stella OMG!

Vas-y Stell'....J'espère que Mac dira "oui"
Il pourra même lui offrir le cadeau de Don Leon, c'est à croire que cet homme est médium
Merci Bellissima
J'aime toujours autant cette fic et je suis dans l'obligation de te demander la suite

Ben Ma Méli a tout dit

Cette suite est vraiment superbe Selenia, j'ai adoré

melindashepard a écrit:

Cette suite est vraiment sublime

Au moins Stell' a eu le temps de parler à Maria avant de mourir
Elle a même réussi à lui ramener sa famille
Mac qui joue avec son fils, c'est mignon
Et la demande en mariage de Stella OMG!

Vas-y Stell'....J'espère que Mac dira "oui"
Il pourra même lui offrir le cadeau de Don Leon, c'est à croire que cet homme est médium
Merci Bellissima
J'aime toujours autant cette fic et je suis dans l'obligation de te demander la suite

Bon, je reprend aussi le com de ma méli parce qu'elle a tout dit et je pense pareil ^^

Cette suite est génial, J'adore
C'est quand même triste pour Maria...
Mais bon la famille taylor va être réunit et c'est tout ce qui compte et ça s'annonce très bien pour la suite apparemment ...
j'aime ce que demande Stella à Mac lol

Hâte de voir ce qu'il va dire ^^

Merci Ma selenia pour cette magnifique suite

hâte de lire la prochaine

Chapitre 22





POV Stella Bonasera


Je n’avais pas laissé à Mac le temps de dire quoi que ce soit, que déjà je m’étais jetée dans le taxi. Il m’avait regardé, un peu étonné de la soudaineté de ma demande, puis il avait souri et s’était installé à mes côtés dans le véhicule, Antony à côté de lui, et il avait pris ma main dans la sienne. Il n’avait rien dit. A vrai dire, je n’attendais pas de réponse. Il n’était nul besoin de mots. Nos gestes et nos regards parlaient suffisamment pour nous, comme toujours. Et puis, ce n’était pas comme si c’était moi qui avais fait le premier pas ! Après tout, Mac m’avait déjà demandée en mariage quelques mois auparavant ! J’avais refusé. A l’époque, j’aurais eu l’impression de trahir la mémoire de Claire en épousant Mac… Il est étonnant de voir comme l’on change ! J’avais plus l’impression à présent que Claire elle-même m’avait donné sa bénédiction ! Tous les évènements de ces derniers mois y étaient pour quelque chose. Nous avions failli mourir, l’un comme l’autre. Je m’étais sentie abandonnée… et je ne voulais plus ressentir cela ! J’avais le sentiment que ce mariage serait la force de notre amour. Je voulais montrer au monde entier que rien ne nous séparerait plus jamais, Mac et moi !

Dans l’avion qui nous reconduisait à New York, je ne pouvais pourtant m’empêcher de trembler. J’avais eu envie de ce retour tant de fois, tant de fois j’avais rêvé de ces instants ! Je voulais tellement revoir Lindsay, Danny et les autres… Et maintenant j’appréhendais de remettre les pieds là-bas ! Mac s’efforçait de me rassurer mais rien n’y faisait… J’avais été absente si longtemps… Finalement, peut-être Stella Bonasera était-elle vraiment morte le jour où Melina Andros s’était envolée pour la Grèce ?... Peut-être n’avais-je plus rien à faire aux Etats-Unis ?... Mac insista pour que je lui fasse part de ce qui me tourmentait et il manqua de s’étrangler lorsque je lui confiai mes idées noires. Il me regarda droit dans les yeux et n’eut pas d’autre choix que d’élever un peu la voix pour me forcer à m’ôter ces sombres pensées de l’esprit…

Le voyage me sembla terriblement long. Je parvins au bout d’un moment à trouver le sommeil mais je me réveillai après seulement quelques dizaines de minutes, agitée par d’horribles cauchemars. L’éclairage avait été diminué à bord de l’appareil afin que les passagers puissent dormir confortablement. A tâtons, je défis ma ceinture et me glissai jusqu’à l’allée latérale avant de gagner les toilettes les plus proches. J’y restai un moment, me passant de l’eau sur le visage, tentant de me calmer un peu… en vain. Lorsque je retournai à ma place, je m’arrêtai un instant pour regarder les autres… Antony dormait à poings fermés, pelotonné dans les bras de son père. Mac semblait lui aussi plongé dans un profond sommeil et je souris en me rappelant les innombrables nuits d’insomnie qu’il avait pu passer au labo… Même quand il rentrait dormir chez nous, quand nous faisions l’amour jusqu’à l’épuisement, il était toujours le premier réveillé… A vrai dire, je n’avais pas si souvent eu l’occasion de surprendre Mac endormi. Cette triste histoire aurait-elle donc eu quelques vertus initiatiques ? De l’autre côté de l’allée, Don et Jessica dormaient également, tendrement enlacés.

J’inspirai profondément en tentant de me persuader qu’il fallait que je me repose un peu, moi aussi, et je me rassis à ma place en prenant soin de ne pas réveiller Mac ou Antony. Je laissai ma tête retomber contre le dossier et fermai les yeux, mais des fantômes m’assaillirent aussitôt et je me crispai tandis que les larmes me montaient aux yeux… Les battements de mon cœur s’apaisèrent pourtant quand une main se posa doucement sur la mienne. Rouvrant les yeux, je vis Jess qui me souriait tendrement. J’esquissai un sourire, murmurai un merci. Elle resserra la pression sur ma main… Peu à peu, je parvins à me calmer. Elle retira sa main, referma les yeux et se rendormit, la tête toujours appuyée contre l’épaule de Don. Je l’imitai et me laissai glisser contre Mac. Sans même se réveiller, il passa instinctivement un bras autour de moi et me serra contre lui. Les battements réguliers de son cœur adoucirent bientôt mes peurs et je ne tardai plus à le rejoindre dans les bras de Morphée…



***


POV Danny Messer


Je raccrochai mon téléphone et regagnai la maison en courant. Je cherchai un instant ces demoiselles du regard avant d’apercevoir Lindsay debout près du petit lit. Le berceau serait celui de notre petite fille quand elle serait née, mais nous en avions fait celui d’Eleni tant que nous en avions sa garde. Lindsay se retourna en m’entendant arriver et vint tout de suite aux nouvelles.

« Est-ce qu’ils arrivent bientôt ? »

« Sheldon vient de m’appeler. Leur avion s’est posé à l’instant. Sheld’ et Adam les amènent ici dès qu’ils auront récupéré leurs bagages ! »

Un large sourire s’étendit sur le visage de Lindsay. Je la pris dans mes bras et déposai un léger baiser sur ses lèvres.

« Tu es contente ? »

Elle ne dit rien mais la réponse se lisait dans ses yeux. Elle rayonnait… Je la sentais surexcitée et je la comprenais parfaitement, étant moi-même mort d’impatience de revoir nos amis ! Ils rentraient tout juste de Grèce. Lindsay devant éviter de prendre l’avion à cause de sa grossesse maintenant bien avancée, nous les avions invités à venir directement nous rejoindre dans le Montana. Sheldon et Adam étaient arrivés dans la matinée et Sid devait normalement prendre le même vol que nos rescapés. Tout le monde serait là pour fêter dignement leur retour !

Je n’y tenais plus tant j’avais été rongé par l’inquiétude durant les dernières semaines ! D’abord Don qui nous avait dit que Jess était gravement blessée, la disparition de Stella… Et puis ces quinze jours que les filles avaient passés à l’hôpital… Le pire c’était que, à ce que j’avais compris, on avait frôlé la catastrophe ! Il semblait que Stella, Jess et Antony avaient vraiment échappé de très peu à la mort ! Alors oui, je devais bien reconnaître que je n’avais qu’une envie moi aussi, c’était de les voir tous rentrer sains et saufs !

Lindsay me regardait toujours en souriant, légèrement moqueuse. Je posai délicatement une main sur son ventre, maintenant généreusement arrondi, tout en passant l’autre derrière sa nuque et en m’emparant de ses lèvres, plus fiévreusement cette fois…

Une bonne demi-heure plus tard, nous les voyions tous débarquer ! Aux premiers coups de klaxon, je m’étais rué dehors pour voir arriver les deux voitures. Jess, Don, Sid et Adam étaient d’abord descendus de la première et Don s’était presque senti obligé de retenir ma frénésie lorsque j’avais sauté au cou de Jess, trop heureux de revoir notre petite détective en pleine forme ! Je lui avais rétorqué qu’il était un brin trop possessif avec sa petite amie, ce que Jess ne s’était pas gênée de confirmer, déclenchant une moue boudeuse chez Flack et l’hilarité des autres… Et puis Sheldon avait stoppé l’autre voiture à quelques mètres de là et je m’étais mordu nerveusement les lèvres, submergé par le soulagement de voir enfin notre Stella rentrer au bercail ! Il s’était passé tant de choses… Quand j’y repensais, j’avais presque du mal à y croire… Je me souvenais de cette journée à Central Park… Nous venions tout juste d’annoncer aux autres la grossesse de Lindsay… Et puis tout s’était brusquement accéléré… Le jour où Stella était partie, sans certitude de retour, je m’étais senti horriblement mal. Seuls quelques mois s’étaient écoulés depuis ce jour-là, mais j’avais l’impression qu’il s’était plutôt passé dix ans, un siècle, un millénaire !

Sheldon descendit de voiture en même temps que Mac et il aida le patron à sortir Antony du véhicule. J’accourus aussitôt et m’arrêtai à quelques pas de Mac. Là encore, je m’étais franchement inquiété après qu’il était parti pour la Grèce, quelques jours à peine après être sorti de son coma ! Si je n’avais pas dû rester pour veiller sur Lindsay, je n’aurais pas hésité une seule seconde à partir en même temps ! J’avais eu peur que Mac ne présume de ses forces et j’étais très heureux qu’il ne lui soit rien arrivé là-bas ! Mais, malgré toute la joie que j’avais de le revoir, malgré moi, j’avais un peu peur de me laisser aller aux effusions… Après tout, c’était Mac... Je l’avais toujours admiré, je le respectais énormément, trop peut-être… Alors j’hésitais. Mais lorsqu’il se retourna vers moi en souriant, je ne pus pas résister plus longtemps. Je marchai jusqu’à lui d’un pas pressé et nous nous saluâmes dans une vive accolade !

Lorsque je m’écartai un peu, je remarquai Antony qui se cramponnait au pantalon de son père et je le pris dans mes bras quelques instants. C’est alors seulement que je vis Stella descendre du véhicule, de l’autre côté. Elle se retourna et je croisai son regard. Je l’observai un moment… Elle était toujours la même ! Toujours ces magnifiques yeux verts, entre le jade et l’émeraude, ancrés dans un beau visage que parait une cascade de boucles brunes… Toujours cette silhouette svelte et élancée… Peut-être y avait-il dans son regard un voile de tristesse déplaisant, mais je faisais confiance à Mac et aux enfants pour le faire disparaître bien rapidement ! Peut-être se triturait-elle les doigts un peu plus nerveusement qu’à son habitude, mais je n’étais pas particulièrement à l’aise moi-même ! Je penchai légèrement la tête sur le côté et lui souris.

« Content de te revoir Stell’ ! »

Elle esquissa un sourire timide mais ne bougea pas. Je fis quelques pas pour contourner la voiture, sans la quitter des yeux. Elle s’avança lentement… avant de courir vers moi ! Elle noua ses bras autour de mes épaules et je l’étreignis longuement en soupirant de soulagement.

Elle était de retour !

Stella et moi échangeâmes quelques plaisanteries qui lui redonnèrent un franc sourire. Nous joignant aux autres, Mac l’enlaça tendrement tandis que je reprenais Antony dans mes bras. Nous marchâmes tous jusqu’au jardin où nous serions mieux pour discuter. Les discussions allaient bon train lorsque Mac les coupa d’une voix intriguée.

« Au fait Danny… Je peux savoir ce que vous avez fait de votre femme et de ma fille ? »

Je me retournai vers Mac et Stella en souriant.

« Ne vous inquiétez pas ! Ces dames ne devraient plus tarder ! Linds’ était en train de changer Leni lorsque vous êtes arrivés. Elles vont bientôt descendre ! »

Naturellement, Don ne se gêna pas pour me charrier sur la grossesse de Lindsay et le fait que j’allais être papa, devoir m’occuper d’un enfant en plus de moi-même ! Mais j’avais les moyens de répliquer ! Après tout, tous à tour de rôle nous nous étions occupés d’Antony et d’Eleni, et je ne m’en étais pas mal sorti personnellement ! Comme toujours, mes chamailleries de gamin avec Don retinrent bientôt toutes les attentions et cela eut tôt fait de tourner au fou rire général.

Il fallut les babillements enthousiastes de Leni pour que les rires cessent. Je me retournai aussitôt et croisai le regard de Lindsay qui venait de sortir de la maison et s’avançait dans le jardin avec la petite. Aux cris de la fillette, les discussions s’étaient arrêtées et nous n’avions plus d’yeux que pour Linds’ et Leni. Pour Stella également.

Il n’y avait rien de plus beau que son regard émerveillé lorsqu’elle vit sa fille marcher vers elle…




***


POV Stella Bonasera


« Mon Dieu… »

Je sentis Mac resserrer son étreinte autour de mes épaules mais mes jambes n’avaient déjà plus la force de me soutenir et je m’écroulai à genoux. Mes yeux se voilèrent comme les larmes se remettaient à couler, une fois encore, et je regardai ma fille s’avancer lentement vers moi, titubant parfois mais poursuivant toujours… Lindsay se tenait derrière elle, la soutenant tandis qu’elle faisait quelques pas, la couvant du regard, veillant à ce qu’elle ne se fasse pas mal. Lorsqu’elle lâcha Leni, je voulus me précipiter pour la rattraper et lui éviter de tomber, mais Mac me retint doucement et je vis ma petite fille accourir vers moi de la seule force de ses petites jambes, un magnifique sourire aux lèvres…

« Mama !!! »

Mac relâcha la pression sur mes épaules. Un instant plus tard, j’accueillais ma Leni dans mes bras et je la serrais fort contre moi. Je fermai les yeux et laissai mes larmes couler à flots… Mon cœur, comme emballé, battait à tout rompre dans ma poitrine cependant que je savourais la douceur de chaque instant…

Je ne croyais pas être capable d’éprouver un tel bonheur !

---

J'espère que ça vous aura plu ! Au fait, je ne sais pas si vous aurez remarqué, mais j'ai fait de gros efforts : plusieurs chapitres de suite que le smac est tranquille ^^
Bonne fin d'aprem à toutes !

Cette suite est vraiment sublime

Ils sont heureux ensemble, ils le méritent
Après tout ce qui leur est arrivée, j'espère qu'ils s'en sortiront
Stell' me fait de a peine, elle a l'air un peu perdu
Chose normal après ce qu'elle a vécu
J'ai adoré le passage quand Mac passe son bras autour d'elle

Même endormie, il prend soin de sa belle.....L'amûûûûûûûûre
J'aime bien aussi les chamaillerie de l'équipe, de vrais gamins

Et la fin....OMG! Leni remarche
Tu m'étonnes que la future Mme Taylor soit heureuse

Mille merci Selenia pour cette superbe suite


PS:Oui on a remarqué que le Smac était tranquille mais avec tout ce qu'il lui est arrivé le pauvre, ils le méritent...Mais dis-moi très chère serait-ce ta manière à toi de nous dire que tu vas les faire souffrir dans les prochains chapitres

melindashepard a écrit:

Cette suite est vraiment sublime

Ils sont heureux ensemble, ils le méritent
Après tout ce qui leur est arrivée, j'espère qu'ils s'en sortiront
Stell' me fait de a peine, elle a l'air un peu perdu
Chose normal après ce qu'elle a vécu
J'ai adoré le passage quand Mac passe son bras autour d'elle

Même endormie, il prend soin de sa belle.....L'amûûûûûûûûre
J'aime bien aussi les chamaillerie de l'équipe, de vrais gamins

Et la fin....OMG! Leni remarche
Tu m'étonnes que la future Mme Taylor soit heureuse

Mille merci Selenia pour cette superbe suite


PS:Oui on a remarqué que le Smac était tranquille mais avec tout ce qu'il lui est arrivé le pauvre, ils le méritent...Mais dis-moi très chère serait-ce ta manière à toi de nous dire que tu vas les faire souffrir dans les prochains chapitres

Je ne peux que reprendre le comm de Méli qui, une fois de plus, est super!!!

Sublime suite Selenia, j'ai adoré

Merci et vivement la prochaine

ben j'espère bien que tu vas nous le laisser tranquille ce smac non mais ho ! ils ont assez souffert !
j'ai même cru que ce chapitre était le dernier tellment il se finissait bien ! :)

merci sélénia, il était très très émouvant !

melindashepard a écrit:

Cette suite est vraiment sublime

Ils sont heureux ensemble, ils le méritent
Après tout ce qui leur est arrivée, j'espère qu'ils s'en sortiront
Stell' me fait de a peine, elle a l'air un peu perdu
Chose normal après ce qu'elle a vécu
J'ai adoré le passage quand Mac passe son bras autour d'elle

Même endormie, il prend soin de sa belle.....L'amûûûûûûûûre
J'aime bien aussi les chamaillerie de l'équipe, de vrais gamins

Et la fin....OMG! Leni remarche
Tu m'étonnes que la future Mme Taylor soit heureuse

Mille merci Selenia pour cette superbe suite


PS:Oui on a remarqué que le Smac était tranquille mais avec tout ce qu'il lui est arrivé le pauvre, ils le méritent...Mais dis-moi très chère serait-ce ta manière à toi de nous dire que tu vas les faire souffrir dans les prochains chapitres

Je reprend le com de ma méli car elle a tout dit et je pense pareiil ! :)

Cette suite est sublime et super émouvante, j'ai presque eu la larme à l'oeil tellement c'est beau !
Surtout à la fin ! C'est vraiment génial pour Leni

Merci ma Selenia pour cette somptueuse suite

hâte de lire la prochaine

melindashepard a écrit:

PS:Oui on a remarqué que le Smac était tranquille mais avec tout ce qu'il lui est arrivé le pauvre, ils le méritent...Mais dis-moi très chère serait-ce ta manière à toi de nous dire que tu vas les faire souffrir dans les prochains chapitres

P'tet ben... P'tet pas... J'peux pas dire... C'était juste une remarque ^^ Tout ce que j'peux vous dire, et dont vous vous doutiez sûrement, c'est qu'on arrive à la fin de cette fic...

Mais on n'en est pas encore là ! Pour le moment, je vous remercie encore une fois pour vos superbes coms, et je vous poste une "petite" suite ^^

Bon week-end tout le monde !

---

Chapitre 23





POV Mac Taylor


Je n’oublierai jamais la joie qui m’envahit lorsque je vis ma petite fille se jeter dans les bras de sa mère. Et ce regard… Celui de Stella lorsqu’elle se retourna vers moi, Leni dans ses bras, les joues ruisselant de larmes… Elle perdait pied et j’étais trop ému ne serait-ce que pour la prendre contre moi. J’étais tout simplement incapable de bouger. Je restais là, à la regarder, à les regarder toutes les deux…

Quand Danny m’avait dit au téléphone que le handicap d’Eleni s’était résorbé, je n’avais pas voulu y croire. Il m’avait alors passé Lindsay et j’avais compris, à l’émotion qui transparaissait dans la voix de la jeune femme, que le miracle s’était effectivement produit ! Je crois que j’aurais crié ma joie sans retenue à cet instant-là si je ne m’étais pas trouvé dans un hôpital, à veiller sur Stella, Jess et Maria. J’avais essayé d’apaiser les battements affolés de mon cœur, puis je m’étais rué vers la chambre de Jess, où Flack se trouvait également. Je leur avais appris la nouvelle et Flack m’avait presque sauté au cou. Je crois que Jessica ne se serait pas gênée non plus si elle avait été en état de se mettre debout… Cependant, nous avions décidé de garder la surprise à Stella. J’étais certain que cela aurait un effet infiniment plus bénéfique sur elle que tous les mots de réconforts et d’amour que j’aurais pu lui dire ! Je crois que je ne m’étais pas trompé…

Dans le taxi qui nous ramenait chez nous, je repensais à tout cela, à toutes ces horreurs que Stella avait dû traverser, et à la joie qui m’étreignait le cœur à présent, tandis que je la serrais contre moi, nos enfants endormis sur nos genoux. Je la regardais dormir. Elle était si belle… Son corps portait encore les traces de nos mésaventures, mais les traits de son visage s’étaient déjà adoucis, témoins du calme après la tempête. Elle avait encore peur, mais je savais qu’elle était heureuse. Je ne demandais qu’à la rendre plus heureuse encore !

Je passai une main dans ses cheveux, lui caressant doucement la joue au passage pour la réveiller. Nous étions arrivés. Elle ouvrit lentement les yeux, me sourit. Je payai le chauffeur puis nous descendîmes, tous les quatre. Stella prit Leni et Antony par la main et elle me suivit, encore somnolente, jusqu’à la porte. Lorsque l’ascenseur nous eut amené jusque chez nous, je l’invitai à entrer. Elle haussa un sourcil étonné, intriguée de tant de manières de ma part, mais je me permis d’insister. Sans chercher à comprendre d’avantage, elle fit donc quelques pas dans l’entrée et je conduisis les enfants à l’intérieur, sans la quitter des yeux. Mais j’eus du mal à me retenir d’éclater de rire en la voyant soudain s’arrêter net.

Je me mordis les lèvres tandis qu’elle se retournait vivement vers moi, m’assaillant de questions. Je me contentai de refermer la porte d’entrée derrière moi, puis je m’approchai d’elle et la pris tendrement par les hanches. Tout contre ses lèvres, je murmurai…

« Bienvenue chez toi… »



***


POV Stella Bonasera


Je restai sans mots devant Mac et le laissai m’embrasser sans bien réaliser. Lorsque nous nous séparâmes, je lui demandai tout de même de m’expliquer et il rit, amusé du petit effet qu’il avait provoqué.

« Tu te souviens de cette journée à Central Park ? »

Je fronçai les sourcils et me mordis les lèvres. A quoi jouait-il ? Comment pourrais-je oublier... Il soupira tristement, une expression désolée au visage.

« Excuse-moi, je ne voulais pas dire ça. Mais tu te rappelles, tu m’avais dit que l’on était propriétaires du magnifique appartement que nous avions visité, quelques jours plus tôt ! »

Je me détendis et acquiesçai doucement. Oui, cela me revenait à présent, mais c’était si loin… J’avais eu du mal, mais j’avais fini par convaincre l’agent immobilier de nous céder cette perle rare. Mais je ne voyais pas le rapport. J’étais fatiguée, pour ne pas dire épuisée, et je ne me sentais pas franchement d’humeur pour les devinettes… Renonçant à comprendre, je jetai un coup d’œil autour de moi. Je n’avais pas la moindre idée de l’endroit où il m’avait emmenée. Je n’y étais jamais venue, j’en étais certaine, et pourtant quelque chose en ce lieu me semblait familier… La forme de l’entrée dans laquelle nous nous trouvions peut-être ? Ou bien cette porte vitrée qui menait probablement dans le salon ? Et puis je reconnus la commode qui trônait contre le mur. Celle de Mac, ou de Claire plus exactement. J’avais été l’acheter avec elle une douzaine d’années auparavant, quelques jours seulement après qu’elle avait définitivement emménagé avec Mac. Et soudain je réalisai ! J’avais dormi dans le taxi et ne m’étais même pas rendue compte que nous n’avions pas pris la bonne direction ! Je secouai la tête en souriant et croisai le regard amusé, un brin moqueur, de Mac. Moui bon… J’étais un peu endormie, je n’avais pas remarqué que je me trouvais justement dans ce superbe appartement que j’avais acheté… Ca arrive à tout le monde, non ? Il se rapprocha de moi, un sourire satisfait aux lèvres.

« Nous n’avions pas eu le temps d’en profiter… Alors, comme toute cette histoire sordide arrivait enfin à son terme, j’ai appelé Danny il y a un peu plus d’une semaine. Je lui ai demandé s’il pouvait s’arranger avec les autres pour effectuer le déménagement depuis notre ancien appartement et s’occuper de remplir le frigo. »

Se penchant un peu plus, il me mordilla l’oreille en soufflant d’une voix suave.

« Je voulais que tout soit parfait pour ton retour… »

Il riait doucement. Je me composai un air faussement vexé et le repoussait légèrement, quittant ses yeux pour parcourir la pièce du regard. Les couleurs étaient chaudes, les meubles disposés avec goût. Sans doute y aurait-il un ou deux changements à apporter, mais c’était quasiment impeccable ! Comme je m’avançais jusqu’à la salle à manger, je trouvai la table de la salle à manger dressée pour un dîner aux chandelles en tête à tête.

« Ca te plaît ? »

Il s’était placé dans mon dos et son souffle chaud dans mon cou me fit tressaillir. Je hochai légèrement la tête et me dirigeait vers la chambre, mais je ne pus dissimuler ma surprise en découvrant un gigantesque lit bordé de draps aux couleurs mordorées, encadré d’appliques murales qui diffusaient dans la pièce une lumière envoûtante. Je sentis une soudaine chaleur m’envahir, des picotements se propager inconsidérément dans mon bas-ventre. Mes joues me brûlaient tandis que des pensées peu catholiques me venaient à l’esprit. Prenant une profonde inspiration, je m’efforçai de contrôler les battements un peu emballés de mon cœur et me retournai vers Mac. Je tentai de dire quelque chose mais ne parvins pas à articuler quoi que ce soit, voyant sans cesse défiler devant moi mes fantasmes les plus osés. Comme je baissais les yeux, Mac secoua la tête d’un air désespéré avant d’éclater de rire. Je ne pus retenir un frisson de plaisir lorsqu’il posa à nouveau ses mains sur mes hanches. Déposant au passage de tendres baisers dans mon cou, il vint susurrer à mon oreille…

« Je ne demande pas mieux que d’étrenner toutes les pièces de cet appartement avec toi, mais il y en a deux qui auraient bien besoin d’aller au lit avant... »

Il me désigna d’un signe de tête Antony et Eleni qui jouaient à moitié endormis sur le tapis du salon.

« Tu es épuisée... Allonge-toi, repose-toi deux minutes. Je les mets au lit et je suis tout à toi… »

« Non ! »

Il haussa les sourcils, étonné. Glissant furtivement ma main jusqu’à un guéridon sur lequel traînaient providentiellement ses menottes, je m’en emparai puis l’entraînai lentement vers le lit. Il sursauta en entendant le claquement des anneaux métalliques qui se refermaient autour de son poignet. Le temps qu’il baisse les yeux, j’avais déjà attaché l’autre côté au montant du lit.

« TU m’attends, JE les mets au lit ! Je te connais Mac Taylor ! Tu resterais auprès de tes enfants pendant une heure et je dormirais quand tu reviendrais ! »

Il fronça les sourcils en souriant.

« Je te croyais fatiguée ? Dormir est une très saine activité lorsque l’on tombe de sommeil… »

J’opinai légèrement de la tête. Après tout, on ne pouvait pas lui donner tort.

« Mais j’ai une bien meilleure idée… »



***


Le lendemain fut une journée comme une autre et les semaines, les mois se succédèrent à nouveau. La vie avait repris son cours à New York, le crime aussi. Pourtant, l’équipe de Mac demeurait très réduite, d’autant que Lindsay venait tout juste d’accoucher et était à présent en congé maternité. Mais pour ce qui était de Stella, c’était plus compliqué. Comme après l’affaire avec Carole, le doute persistait sur la question de son éventuel retour au labo. La jeune femme était une battante, mais les derniers évènements avaient mis ses nerfs à très rude épreuve, trop rude sans doute… Bien sûr, tous souhaitaient la voir revenir, mais aucun n’avait l’intention de lui forcer la main. Ils l’estimaient bien trop pour cela. Elle avait décidé de se laisser du temps, ils l’avaient compris. Mais plusieurs mois avaient passé à présent et ils n’avaient plus beaucoup d’espoir qu’elle revienne un jour travailler parmi eux.

Même s’il s’efforçait de n’en rien laisser paraître, l’absence de Stella pesait énormément sur Mac. Lui n’avait finalement eu que des blessures corporelles, dont il s’était très vite remis. Lorsqu’il y réfléchissait, il avait souffert bien moins qu’elle. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’il avait repris sa place au labo dès la semaine de leur retour à New York, ne pouvant se permettre de laisser les criminels profiter de son absence plus longtemps. Pourtant, le vide qu’elle avait laissé dans l’équipe l’attristait atrocement. Elle avait toujours été à ses côtés au labo, c’était comme ça qu’ils s’étaient rencontrés, comme ça que leur histoire était née, comme ça qu’ils avaient vécu… Il avait l’habitude de ses entrées en coup de vent dans son bureau, de ses pas pressés, du bruit de ses talons ou de son rire cristallin que l’on entendait jusqu’à l’autre bout du labo… Bien sûr, lorsqu’il rentrait chez lui le soir, elle était là, à l’attendre, avec les enfants. Sans doute était-ce la raison pour laquelle il ne passait plus la moindre nuit blanche dans son bureau, quel que soit le motif… Quand il la retrouvait, ils s’embrassaient toujours avec passion. Parfois elle se rendait compte, à son air absent, qu’il planchait sur une affaire pénible ou difficile, et elle reprenait momentanément sa place de collègue et de confidente, le forçant à tout lui raconter, l’éclairant d’un œil différent sur un cas qu’il ne parviendrait pas à résoudre. Mais, la plupart du temps, ils s’interdisaient de songer au boulot pour vivre pleinement leur vie de famille. Ils passaient du temps avec leurs enfants, riaient souvent aux éclats devant les jeux inventifs ou les réparties étonnantes des jumeaux, et puis les deux petits allaient au lit et Mac et Stella s’endormaient dans les bras l’un de l’autre, en général épuisés des ébats fiévreux qui avaient précédé… Ils avaient décidé de vivre pleinement l’instant présent et ils étaient heureux.

Il n’y avait qu’une seule ombre au tableau. Mac savait pourquoi Stella hésitait à reprendre sa place. Il la connaissait. Il savait que, même si elle le cachait, même si elle l’enfouissait au plus profond d’elle-même, elle gardait dans son cœur le souvenir vivace de cette balle qui avait abattu Antonio Leone. Elle ne pouvait se le cacher : c’était la vengeance, bien plus que la légitime défense, qui avait motivé son tir ! Elle avait voulu tuer Antonio et, lorsque l’occasion s’était présentée, elle n’avait pas hésité. Oh, sans doute, tout autre que Stella Bonasera aurait bien vite oublié ce détail, songeant qu’il était inutile de disserter là-dessus puisqu’elle n’avait de toute façon pas eu le choix. Mais voilà, on ne la changerait pas, et elle se considérait, pour le moment tout du moins, indigne de continuer à faire partie des rangs de la police puisqu’elle n’était plus capable de passer outre ses sentiments personnels… Et c’était sans compter sur la culpabilité qu’elle éprouvait encore de la mort de ses amis. Nikos, Jim Morrison, le professeur Papakota, Maria…. Malgré l’insistance de Mac et de toute l’équipe qui ne cessaient de lui répéter qu’elle n’y était pour rien, elle se sentait responsable. Pour Maria surtout…

Un jour, Stella avait confié à Mac qu’elle avait l’impression qu’il valait mieux qu’elle reste à l’écart de l’équipe autant que possible, même si ça lui en coûtait car ils étaient tous ses amis, sa famille. Elle se sentait comme un aimant à ennuis et elle ne voulait pas les mettre encore en danger ! Mac ne croyait pas en la fatalité et savait que c’était ridicule, mais il n’en avait rien dit. Il savait également qu’il ne parviendrait pas à ôter ces pensées de la tête de Stella. Il faudrait qu’elles partent d’elles-mêmes, avec le temps. Viendrait un jour où la jeune femme finirait par admettre la vérité.

L’expert espérait seulement que ce jour vînt le plus tôt possible…

Cette suite est sublime

J'imagine Mac ému de voir sa femme et sa fille
Que de beaux moments de famille
Ils vont enfin pouvoir vivre heureux, enfin si l'auteur le veut bien
La scène du taxi, magnifique...Et oui, ma chère je te lis en imaginant les scènes, je n'y suis pour rien, tu es la seule responsable de mon état, qui je dois l'avouer ne me dérange pas
Ensuite, le cadeau de Mac, ça c'est une belle preuve d'amour
Et l'équipe est vraiment sympa de les avoir aidé
Au moins maintenant, Stella se sentira vraiment chez elle et ne regrettera pas son retour!
Et la scène dans leur chambre J'adore qui l'aurait cru!
Mais la pauvre Stella n'est pas totalement guérit...Elle se sent toujours coupable et préfère rester éloigner de ses amis, SA famille.... C'est triste, j'espère seulement que Mac réussira à soigner ses blessures!
Merci Bellissima pour cette sublime suite
J'ai hâte de lire la suite Mais je suis quand même triste que ce soit bientôt la fin
Dis-moi, tu as une idée pour une nouvelle fic La fille qui ne perd pas le nord...Ne fais pas attention, je n'ai pas encore eu mes bobbons de toutes les couleurs!