D'ombre et de lumière... [ship + enquête]

Selenia a écrit:

pour avoir une fin à votre goût mais que ça ne marchera pas !

Comment ça?? Elle sera pas a notre goût alors?? Je te préviens si c'est triste je vais faire une dépression!!!!
Pitié fait pas un truc triste je veux pas pleurer comme la derniere fois!!...Mais bon comme ce que je dit ne changera rien....alors..... OUINNNNNNN

Voilà je pleure avant d'avoir lu la suite!!!
Maman!!!!!

....VENGEANCE
Pas grave tu vas nous préparer surement une super autre fic super mega giga longue avec que du Smac et de NC-17 et UN HAPPY END!!!! ( Moi rêver?..nan )

J'attend la suite redoutable....

Tu-tu-tu !

Pleure pas miss ! Ou tout du moins pas tout de suite ! ^^ Moi, ce que j'en dis, c'est juste que le chantage à la dépression ne marchera pas, mais peut-être que cette fin te plaira, qui sait ? Tout est affaire de goût...
Oh, et puis zut, tu verras bien !!!

Bon ben, sinon, j'ai tenu mes délais : voici le chapitre 27, comme promis ! A venir, un court chapitre 28 suivi d'un trèèèès long épilogue !

Bonne lecture et bonne soirée !



Edit : au fait... Je trouve ça quand même assez marrant qu'une petite fille "innocente" de 16 ans telle que toi réclame du NC-17, n'est-ce pas ma chère B-52 XD

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Chapitre 27






POV Stella Bonasera


Je pris soin de fermer le verrou derrière moi et restai quelques instants figée devant le miroir. Prise d’un soudain haut-le-cœur, je dus me cramponner au lavabo pour ne pas défaillir.
Je m’étais efforcée de retenir un soupir lorsqu’il m’avait invitée à l’accompagner jusqu’à sa suite. Je devais garder en vue mon objectif. Si je ne me tenais pas à mon rôle, il découvrirait bien trop tôt qui j’étais vraiment, ou ce que je voulais, et il me tuerait sans doute, comme il avait tué les autres… Aussi avais-je refoulé mes hésitations pour le suivre finalement jusqu’aux ascenseurs. Comme il m’offrait d’entrer dans sa chambre, il avait posé sa main dans le bas de mon dos, sûr de lui, et je m’étais crispée. Me sentant incapable de dissimuler plus longtemps mon malaise, je m’étais poliment excusée et m’étais retirée sans précipitation dans la salle de bain. Mais c’en était trop et je laissai de lourdes larmes rouler silencieusement le long de mes joues.

Cet homme m’insupportait… Chacun des gestes qu’il avait esquissés dans ma direction avait failli m’arracher un hoquet de dégoût et je me sentais sale, souillée de ses mains posées sur moi… Il était si grossier, si prétentieux, si arrogant… Et il se croyait du charme ! Fermant les yeux et m’adossant quelques instants à la porte, je pensai à Mac… Lui était si prévenant, si doux, si aimant… Lui n’avait en tête que de me contenter, quand l’autre ne voulait que mon corps pour soulager ses pulsions sexuelles ! Mac… J’aurais tant voulu qu’il me serre dans ses bras en cet instant… J’eus un rire nerveux en l’imaginant tourner en rond dans la pièce d’en-dessous. Il était probablement mort d’angoisse et avait sans doute plus encore que moi hâte que tout cela soit fini et que nous soyons réunis !

Je soupirai profondément. Il ne tenait qu’à moi que cette mascarade finisse ! Je me redressai et dissimulai mes larmes sous mon maquillage. Mc Shire ne devait pas avoir le moindre doute pour le moment… Prenant une profonde inspiration, je parvins à installer un sourire plus ou moins convaincant sur mes lèvres. Il faudrait s’en contenter… Je me passai un peu d’eau sur le visage pour tenter d’apaiser les sueurs froides qui parcouraient mon corps, remis un peu d’ordre à ma coiffure, puis je me retournai vers la porte.

Il me fallait trouver un moyen de prouver la culpabilité de Mc Shire, sinon pour les meurtres de nos trois victimes, tout au moins d’une quelconque fraude fiscale qui nous permettrait de le mettre en garde à vue et d’obtenir les autorisations pour enquêter sur lui… Une preuve… Oui mais quoi ?... Pas une seule empreinte n’avait été retrouvée sur les cadavres des jeunes femmes. Aucun indice scientifique qui aurait pu nous conduire à arrêter Mc Shire. Si seulement je pouvais tomber sur des feuilles de compte traînant par hasard sur un bureau et venant trahir ce salopard… Mais il n’y avait pas une chance sur un million que cela arrive ! Il ne restait pas alors dix mille solutions si je voulais parvenir à mes fins… Je le savais, Mac et les autres le savaient tout autant que moi ! Je crois que c’est à ce moment-là seulement que je réalisai vraiment ce qu’impliquait ma mission. Certes, je m’étais sentie obligée de mener cette infiltration, car j’avais l’impression que je ne retrouverais plus jamais confiance en moi sans ça… Mais encore fallait-il que j’accepte de me livrer à cette ordure de Mc Shire !

Un dernier soupir. Le sort en était jeté. Comme je m’avançais dans le salon, je priai nerveusement que tout se passe bien…



***


POV Ronald Mc Shire


Je l’entendis tourner le verrou au moment même où j’attrapais la bouteille de champagne pour en remplir deux flûtes. Comme elle s’avançait vers moi, je réfléchis. Je devais avouer qu’à aucun instant elle n’avait semblé représenter une menace pour moi. Elle s’était laissé tenter par une aventure d’une nuit, tout simplement, comme beaucoup d’autres filles l’avaient fait avant elle. Néanmoins, derrière le léger sourire qu’elle arborait, je subodorais une gêne ou une crainte à mon égard. J’avais le sentiment qu’elle cachait quelque chose de grave sous sa façade. Je ne sais d’où me venait cette impression… Sans doute la faute revenait-elle à son silence étrange… Au cours de la soirée, elle m’avait dit s’appeler Melina Andros mais s’était tue sur tout le reste, que ce soit sa vie privée ou sa vie professionnelle. J’avais cru comprendre qu’elle venait de Grèce, mais je n’étais pas parvenu à en savoir plus.

Je laissai là mes réflexions tandis qu’elle s’assaillait dans un fauteuil à côté de moi. Je lui tendis une flûte, qu’elle porta aussitôt à ses lèvres dans un sourire crispé. Je l’observai discrètement. Ses doigts tremblaient, elle avait pâli, elle fuyait mon regard. Elle avait peur. Je retins un ricanement. Quelle qu’ait été la raison pour laquelle elle avait flirté avec moi ce soir-là, j’étais certain qu’elle regrettait amèrement son attitude et qu’elle aurait préféré se trouver à des kilomètres de New York en cet instant ! Je songeai alors aux autres, à ces trois filles qui avaient tenté de me faire tomber… et qui y avaient laissé leur peau. Elles n’avaient rien à voir avec celle qui se tenait devant moi à présent. Elles étaient toutes sûres d’elles, peu gênées de se retrouver dans mon lit, prêtes à tout pour m’extorquer des preuves de ma culpabilité dans ces affaires de fraude. Et surtout, deux des trois étaient armées, même si cela ne m’avait nullement empêché de les faire taire, définitivement. Cette « Melina » ne semblait rien avoir en commun avec les autres. Pour commencer, je m’étais assuré qu’elle n’était pas armée. Et puis, cette peur qui luisait dans ses yeux… Pourtant, j’en étais de plus en plus convaincu : elle se trouvait ici pour la même raison que les trois autres !

Eh bien, tant pis pour elle ! Elle avait voulu jouer, elle ne pouvait plus reculer ! Elle n’aurait que ce qu’elle méritait.



***


Quelques minutes passèrent encore. Stella sentait son cœur battre de plus en plus rapidement dans sa poitrine. Elle tentait de se raisonner, de s’efforcer de ne pas paniquer, mais c’était plus fort qu’elle. Tout juste parvenait-elle à dissimuler ses tourments à Mc Shire… Elle ne put retenir un sursaut lorsqu’elle sentit les lèvres de ce-dernier se poser dans son cou. Elle faillit le repousser d’une superbe gifle et ferma les yeux en soupirant lorsqu’il se fit plus entreprenant. Rapidement, les mains du politicien se glissèrent sous sa robe, jusqu’entre ses cuisses. Elle gémit et Mc Shire sourit, satisfait. Il se délectait de la voir ainsi lutter contre elle-même tandis que lui profitait pleinement de la situation ! Il sentait qu’elle souffrait, et cela ne l’excitait que plus ! Ravi de son effet, il susurra à l’oreille de la jeune femme…

« Détends-toi. Nous ne sommes que deux célibataires très seuls. Tu n’as rien à craindre de moi. Je peux te porter au sommet… »

Elle ferma les yeux. Le souffle de l’homme contre sa nuque lui glaçait le sang. Mais elle tressaillit lorsqu’il ajouta.

« …à moins que tu ne sois pas là pour ça. »

« Que voulez-vous dire ? »

Elle s’était vivement retournée vers lui, les sourcils froncés, feignant l’incompréhension, luttant intérieurement contre son intuition qui lui disait que Mc Shire avait parfaitement cerné la raison pour laquelle elle se trouvait dans cette chambre en cet instant ! Celui-ci s’était levé et avait marché jusqu’à la cuisine, d’où il ramena une assiette de fraises. Il mordit dans une et déposa l’assiette sur la table basse, devant Stella, avant de se rasseoir aux côtés de la jeune femme.

« Je vais te raconter quelque chose. D’aucuns disent de moi que je suis sans scrupules. Beaucoup me considèrent comme un manipulateur. Depuis quelques mois maintenant, on me reproche d’avoir soi-disant un quelconque rapport avec des détournements de fonds opérés à New York ou en Virginie. Et nombreux sont ceux qui ont tenté de s’introduire dans ma vie privée pour trouver une preuve de tout cela. »

« Ils n’ont rien trouvé… »

Il acuiesça.

« En effet ! Qu’auraient-ils pu trouver, de toute façon ? Je n’ai rien à cacher. Pourtant, ils ont insisté et même joué de ma passion pour les jolies femmes, dans le seul but de ruiner ma carrière ! Plusieurs filles m’ont aguiché uniquement dans cette perspective, sais-tu ! »

Stella parvint difficilement à se contenir. D’une voix moins assurée qu’elle l’aurait souhaité, elle lança…

« Vraiment ? Et qu’avez-vous fait ? »

Il se leva à nouveau, faisant quelques pas à travers la pièce en secouant la tête d’un air rageur.

« Je les ai éconduites, bien entendu ! S’il est bien une chose que je ne peux supporter, c’est que l’on se foute de moi ! Tiens, je me rappelle de l’une de ces filles. Elle s’appelait Julie… ou Julia… »

« Juliette Andrew… »

Stella avait à peine murmuré, mais Mc Shire s’arrêta net.

« Qu’as-tu dit ? »

« Rien ! Je… »

Il se retourna vers elle et elle se figea en croisant son regard meurtrier. Avant qu’elle n’ait eu le temps de réagir, il se jetait sur elle, la saisissait violemment par un poignet et la jetait rudement sur le lit. La tête de Stella heurta l’un des montants. Etourdie, elle n’eut pas le réflexe de se défendre que déjà Mc Shire était sur elle, lui maintenant les poignets plaqués contre le lit. Il éructa.

« Tu savais déjà tout cela ! Tu es de la police, c’est ça ? Et tu espérais me tromper, moi, Ronald Mc Shire ??? »

Stella haletait. Il était trop tard à présent ! Elle ne pouvait plus rien faire contre Mc Shire, sinon lui extorquer un maximum de confidences qui, enregistrées grâce aux écouteurs miniaturisés d’Adam, permettraient de mettre le politicien sous les verrous ! Quant à savoir si elle s’en sortirait, il ne lui restait plus qu’à espérer que Mac et les autres interviennent assez tôt pour la sortir des griffes de cet assassin…

Elle cracha à la figure de l’homme qui se tenait au-dessus d’elle et laissa exploser sa colère et son dégoût trop longtemps contenus.

« Vous avez assassiné trois jeunes femmes ! Vous les avez violées, vous leur avez brisé la nuque ! Votre place est en prison !!! »

« Et la tienne à la morgue !!! Mais rassure-toi, je ne laisserai pas la moindre trace sur ton corps. Tes petits copains auront beau chercher, ils ne tiendront jamais la moindre preuve contre moi ! »

Elle ferma les yeux un bref instant, réfléchit. Elle n’avait pas grand-chose à perdre… Rassemblant toutes ses forces, elle profita d’un moment où Mc Shire s’était légèrement écarté
d’elle pour lui assener un violent coup de genoux dans le bas-ventre. Il cria de douleur et sa réaction ne se fit pas attendre. D’une formidable gifle, il envoya Stella rouler au sol…

AAhhh une suite !!! J'adore
Cette suite est génial ! Pauvre stella c'est pas évident pour elle, en même temps je comprend mais bon ... c'est elle qui a voulut la faire aussi cette mission donc ...
et elle a tout à fait raison quand elle pense que Mac est très angoissé, c'est rien de le dire !
et voilà le POV de Mc shire qui arrive et qui voit que Stella n'est pas super à l'aise tout d'un coup ... aaahhh c'est pas vrai !
là c'est moi qui est commencé à m'inquiète et j'avais raison parce après ça ce passe pas très bien, Stella est découverte
et la pauvre , elle reçoit encore des coups... décidément !
maintenant j'espère que Mc Shire va avouer plein de truc, que tout sera bien enregistrer et que Mac et les autres vont arriver à temps !
Tu vas pas tuer notre Stella quand même ...?!

n'empêche que tout ça va encore lui mettre un coup au moral !

enfin bref, Merci Ma selenia pour cette super suite !!

Oh et moi aussi je réclamerai bien du NC-17 mais venant de ma part cela ne doit pas trop t'étonner....

Ma Selenia a écrit:

@ ma Totorsg : ah, ma Totorsg... Fidèle parmi les fidèles ! ^^ Comment vas-tu ? J'aime beaucoup ta remarque XD Le "aah ! les hommes !", c'est exactement ce que je me dis moi aussi ^^ Merci beaucoup pour ton com, comme toujours !

Oui, oui toujours fidèle au poste pour lire les suites :) qu'est ce que tu veux j'ai un petit faible pour tes fic, je crois ... mdr
et je vais très bien merci, j'espère que toi ça va aussi, malgrè que tu parrais overbooké en ce moment :) ... Nous oublie pas quand même
aller Bisous Ma selenia

Hâte de lire la prochaine suite

Selenia a écrit:

Je trouve ça quand même assez marrant qu'une petite fille "innocente" de 16 ans telle que toi réclame du NC-17, n'est-ce pas ma chère B-52 XD

Hihi Moi drôle je sais!^^.....Bah quoi l'âge ne compte pas! Et puis mes 17 ans arrive dans 1 mois exactement.... Alors tu vois no problemo

Sinon cette suite.....:

Stella
Et puis ce Mac Shire Je lui referais la facade moi a celui là!

Bon bien je pars dans ma tombe attendre la suite pour m'enterrer une bonne fois pour toute.....

J'adore cette suite j'adore cette suite j'adore cette suite j'adore cette suite

Ma Selenia, je t'ai dit que j'adorais cette suite?

Et dire que c'est bientôt la fin, c'est trop triste ça Mais du coup, je vais savourer tes derniers chapitres comme il se doit

Merci Selenia

ma Totorsg a écrit:

Oh et moi aussi je réclamerai bien du NC-17 mais venant de ma part cela ne doit pas trop t'étonner....

Curieusement, non, ça ne m'étonne pas vraiment ! Ahlalalala... Vous êtes irrécupérables les filles ! (pas comme moi... )


Oh et ne vous inquiétez pas ! Je ne risque pas de vous oublier ! Seulement... Je passe beaucoup moins de temps sur le fofo et en règle générale bcp moins de temps sur l'ordi, donc les suites risquent de mettre plus de temps à arriver, c'est tout. Enfin bon, vous me connaissez ! Ca ne veut pas dire non plus que je ne vous posterai plus qu'un chapitre par mois, ça j'en serais incapable ! Déjà que quand je n'ai pas posté depuis une semaine j'ai l'impression que ça fait une éternité...


Voici le chapitre 28, comme convenu. Un peu plus court que les autres. Bonne lecture !



PS : ma Zat, tu radotes, mais j'adore quand tu fais ça !!!

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Chapitre 28





POV Mac Taylor


Cela faisait déjà près de dix minutes que nous n’avions pas eu de nouvelles du labo. Dix minutes que Danny, Adam et Lindsay écoutaient minutieusement tout ce qui pouvait bien se dire, ou se faire, dans la pièce du dessus… Presqu’un quart d’heure que j’ignorais ce que devenait Stella entre les griffes de Mc Shire. Un mauvais pressentiment m’assaillit lorsque la voix de Danny résonna à nouveau dans la pièce…

« Vous devriez vous tenir prêts à intervenir ! Mc Shire est en train d’amener Stell’ sur un terrain très glissant. Vu ses sous-entendus, il y a fort à parier qu’il se doute de quelque chose ! »

A peine avait-il fini sa phrase qu’un bruit sourd se fit entendre au-dessus de nous. Un fauteuil repoussé brutalement, suivi d’un violent choc, et d’un cri… J’aurais reconnu cette voix entre mille, quand bien même aurais-je ignoré que c’était Stella qui se trouvait dans cette chambre !
Je ne perdis pas un instant. L’arme en main, je gagnai l’étage supérieur, aussitôt imité par Angell, Flack et les autres. Comme je courais, je sentais les secondes s’égrainer trop rapidement, sans que je puisse rien y faire. Je me revoyais des années auparavant, ce jour où j’avais retrouvé Stella inconsciente à son appartement, après que Frankie l’avait agressée. Je me souviens… A l’époque, mon cœur avait manqué un battement à l’instant même où j’avais entendu son adresse citée sur les fréquences de police, et quand je l’avais vue blessée, gisant à même le sol, à côté du corps sans vie de son ex-petit ami… Je crois que j’aurais tué Frankie de mes propres mains si elle n’y avait été contrainte avant moi !

Et à nouveau…

J’avais l’impression de revivre ce cauchemar. J’avais peur de défoncer la porte de cette ordure de Mc Shire et de retrouver Stella entre ses mains, ou pire encore, violée, la nuque brisée comme ces pauvres filles qui l’avaient précédée… Je savais que j’aurais dû la retenir ! Jamais je n’aurais dû me laisser fléchir ! C’est vrai, quand elle avait quelque chose en tête, il était quasiment impensable de la faire changer d’avis, mais j’aurais dû insister, malgré tout ! J’aurais peut-être perdu sa confiance, mais au moins n’aurait-elle pas mis sa vie en danger ! Je ne serais pas là, à présent, à m’imaginer le pire…

Cela m’avait semblé une éternité, mais nous fûmes rendus en l’espace de quelques secondes jusqu’à la suite du politicien. Flack et ses hommes rugirent les initiales de la police de New-York et, n’obtenant nulle réponse, ils se décidèrent à enfoncer la porte. Mais je poussai un juron en découvrant, de l’autre côté du seuil, les deux chiens de gardes de Mc Shire. Ils s’emparèrent de leurs armes et l’on pouvait lire dans leur attitude qu’ils n’hésiteraient pas un seul instant à s’en servir. En temps normal, nous aurions tout fait pour éviter que le moindre coup de feu soit tiré. Nous aurions sans doute tenté de nous expliquer plus ou moins raisonnablement, de trouver un arrangement. Seulement, aucun des deux hommes ne semblait disposé à parlementer avec nous, or ils étaient le seul et unique obstacle qui nous séparait encore de la chambre dans laquelle Stella se trouvait livrée à Mc Shire. Peut-être, dans d’autres circonstances, aurais-je réagi autrement, mais lorsqu’un cri de Stella fusa soudain depuis la pièce d’à côté, suivi immédiatement après de bruits de lutte, mon sang ne fit qu’un tour. Sans plus attendre, je m’élançai en direction de la chambre. Bien entendu, les deux autres voulurent s’interposer. Je ne saurais trop décrire ce qui se passa alors. Il y eut un échange de coups de feu en tous sens, au cours duquel l’un de nos gars fut légèrement blessé, une balle lui ayant éraflé la tempe. L’un des deux hommes de main de Mc Shire fut tué. L’autre fut seulement blessé et se rendit sans faire d’histoires, comprenant au bout du compte où pouvait bien se trouver son intérêt.

Enfin, le chemin était libre ! Mais deux coups de feu rapprochés résonnèrent à cet instant-là depuis la chambre. Mon cœur manqua un battement, ou peut-être plusieurs… Je crois en fait que je cessai alors tout à fait de respirer. Accompagné par Hawkes qui nous avait rejoints, je me ruai de toutes mes forces contre la porte close. A la troisième tentative, celle-ci finit par céder et je me précipitai à l’intérieur de la chambre. Mais je me figeai devant le spectacle qui s’offrait à moi…



***


Mc Shire était à moitié effondré contre le lit, une balle dans la cuisse, une autre dans la seconde jambe, lui rendant tout mouvement impossible. Quant à Stella, elle se tenait debout, à bonne distance de lui, un revolver à la main, celui-là même qui devait appartenir à Mc Shire et dont elle avait dû parvenir à se saisir, par je-ne-sais-quel miracle, réussissant ainsi à se soustraire aux mains du politicien…

Mac n’avait pu retenir une exclamation de stupeur, tant la scène lui semblait irréelle ! Stella saine et sauve, divinement – ou diaboliquement – belle, toute de noir vêtue, l’arme au poing, son regard accusateur mais parfaitement serein posé sur Mc Shire… L’expert ne savait plus vraiment que penser. Il avait tant craint que les choses tournent mal, qu’il n’avait pas imaginé un seul instant qu’une autre issue soit possible ! Une foule de sentiments contradictoires l’assaillaient à présent. Soulagement de voir la jeune femme hors de danger. Bonheur de constater que ses blessures intérieures s’étaient enfin refermées et qu’elle avait retrouvé tout son sang-froid : Mc Shire en était la preuve vivante ! Quelques mois plus tôt, ce n’aurait probablement pas été dans les jambes mais plutôt en pleine poitrine que se seraient logées les balles ! Soulagement, bonheur… et malgré tout toujours cette nervosité qui n’était pas retombée et qui mit Mac dans une violente colère à l’instant même où il rejoignait Stella.

« Je t’interdis formellement de retenter ce genre d’infiltration à l’avenir !!! »

Elle se retourna vivement vers lui.

« Tu ne m’interdiras rien du tout !!! »

Extériorisant d’un coup toute son anxiété, et en réponse à la critique de l’expert, Stella avait explosé à son tour. Mac en resta coi et eut un rire nerveux. Il retrouvait bien là le caractère borné de sa compagne ! C’était tout lui au féminin ! Mais il ne voulait pas l’accabler de reproches… Il avait simplement eu peur, très peur ! Il était inutile de poursuivre sur ce ton. D’une voix douce, il souffla.

« Il aurait pu te faire du mal… »

Les traits de la jeune femme s’apaisèrent et elle esquissa un sourire. Elle murmura tout en laissant courir ses doigts sur le torse de l’expert.

« Mais tu ne l’aurais pas laissé faire, n’est-ce pas ?... »

Il sourit timidement et l’entoura de ses bras. Elle vint aussitôt se blottir contre lui, non sans avoir jeté un dernier coup d’œil dans son dos pour s’assurer que Flack et les autres s’étaient chargés de passer les menottes à Mc Shire. Elle ferma les yeux et écouta la douce mélodie du cœur de Mac, encore légèrement affolé, battre dans la poitrine de l’expert. Elle sourit. Non, il n’aurait pas laissé ce salopard la toucher, elle le savait ! Elle savait qu’il ferait tout pour la soustraire à la menace d’hommes aussi fous que ce Mc Shire ! Il l’aimait, tout simplement.

Elle resserra encore son étreinte autour du torse de son amant. Même si elle était trop fière pour oser l’avouer à Mac, Stella avait eu horriblement peur, elle aussi ! Elle se délectait à présent de sentir la chaleur rassurante de son corps pressé contre le sien, et c’est dans les bras protecteurs de l’expert qu’elle s’endormit finalement, quelques minutes plus tard, vaincue par le stress des derniers évènements…

aaaahh j'adore !!! Que d'action ! lol
et tout est bien qui fini bien ouf !!
Je suis contente que Stella n'ai rien :)
Tu m'étonnes que Mac à eu peur et Stella ... il y a de quoi ! mais tout va bien, c'est le principal !
et Mac et Stella sont trop chou à la fin

j'adore j'adore j'adore j'adore !!!!!

Merci Ma Selenia pour cette super suite

Hâte de lire la prochaine

Et que oui, que veux-tu, j'aime radoter

Je risque de faire la même chose ici

J'adore ta fic. L'action est au rendez-vous ainsi que la qualité d'écriture ce qui fait que j'ai pris beaucoup de plaisir à lire ta fic.

J'en veux encore


Merci selenia

TROP BIEN TROP BIEN TROP BIEN !!!!!!

On a retrouvé notre Stella! La combatante!!! D'ailleurs elle a survécu.... un Happy End?? Hmmm bizarre mais pourquoi j'y crois pas.....
Et Mac qui se fait crier dessus par Stella !!
Mais bon un petit calin et plus de problème!!


Bon j'attend la suite

Merci

Contente que ça vous aie plu les filles !

Wanna have the end ?

J'espère que cet épilogue vous plaira lui aussi ! Il est plutôt long, tout peut encore arriver... Mais je suis d'avis qu'il vient assez bien clôturer cette longue histoire commencée avec "Affaires Internes".
Bonne lecture !

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Epilogue




POV Stella Bonasera


Quelqu’un a dit, un jour, que la lumière ne peut briller qu’en présence de l’obscurité. Je ne saurais dire si c’est vrai, mais je peux dire une chose. La vie, l’amour, l’amitié me semblent plus merveilleux que jamais, aujourd’hui que j’ai failli les perdre !

Tout est enfin fini ! Ou tout commence, plutôt… Grâce à mon infiltration et au témoignage de son ancien homme de main, Mc Shire est sous les verrous pour trente ans, pour fraude, mais surtout pour le meurtre de trois jeunes femmes. Quant à moi, je me sens enfin libre ! Libre de vivre, d’être heureuse, de faire mon boulot sans crainte ! Libre d’avoir confiance en moi ! Perdue dans mes pensées, je me revois, quelques années plus tôt. – Quoi qu’il arrive, je suis fermement déterminée à profiter de chaque instant ! – C’est ce que j’avais répondu à Mac quand il m’avait demandé si je me sentais prête à vivre avec le VIH. Et je le répète ! Aujourd’hui, plus que jamais, je suis décidée à vivre chaque jour comme le dernier ! La vie vaut la peine d’être vécue, j’ai longtemps eu du mal à le comprendre, mais je le sais aujourd’hui. Après ma jeunesse assez désastreuse, mes échecs avec les hommes, je me sentais incapable de donner du sens à ma vie. Bien sûr il y avait ma réussite professionnelle et l’amitié des autres membres de l’équipe. Cela comptait énormément pour moi, mais pas assez à mon goût. Même depuis que j’étais en couple avec Mac, même depuis la naissance d’Antony et de Leni, je gardais en moi trop de peurs pour m’autoriser à être pleinement heureuse. Je connais la cruauté du destin. Je ne sais malheureusement que trop bien, avec tous ces cadavres que je vois passer chaque jour, que les meilleurs partent toujours trop… Alors Mac, Antony, Leni, mais également Lindsay, Danny et tous les autres… J’avais peur de les perdre. Sans compter les craintes que je pouvais avoir, que Sinclair ou un quelconque autre gradé ne désapprouve finalement ma relation avec Mac et nous sépare tous deux.

Mais aujourd’hui je n’ai plus peur. Je crois avoir traversé pas mal de tempêtes ces derniers temps, bien souvent j’ai failli chavirer, mais jamais je n’ai fait naufrage, car je gardais espoir. Il s’est passé tant de choses ! Barrighan, Carole, la Grèce… Maintenant j’ai retrouvé ma famille, mes amis, et cela a plus de valeur à mes yeux que tout l’or du monde, tellement plus de valeur que les honneurs ! Loin, si loin de moi à présent les craintes que ma relation avec Mac ne soit mal vue de nos supérieurs au labo… Il y a des choses bien plus importantes que cela dans la vie !

Je laisse un dernier instant mes yeux se promener sur la baie de New York. On est à la mi-avril et le soleil est encore haut dans le ciel malgré l’heure déjà assez avancée. A ce propos, il faudrait que je songe à regagner la salle ! Je vais aller rejoindre mes invités qui n’attendent probablement plus que moi pour commencer vraiment la soirée. Il y a quelques heures de cela, le jour même du deuxième anniversaire de mes enfants, je suis officiellement devenue Stella Bonasera-Taylor et tous sont venus fêter cela avec nous à l’Olympiakos !

Lindsay et Danny ont amené leur petite Lucy qui aura bientôt trois mois. Entre eux tout va très bien, même si Lindsay n’a pas fini de râler sur Danny qui laisse passer toutes les bêtises de sa fille. Don et Jess sont là également, bien évidemment. Pas de bébé en vue pour le moment mais ils ont tout le temps, d’autant que je crois que Samantha, la sœur de Don, se chargera avant eux de donner une troisième génération à la famille Flack. Sid est venu avec l’une de ses filles ; Adam avec une jeune technicienne qui travaille au labo. Personne ne sait si c’est vraiment sérieux entre eux mais nous faisons confiance à Danny pour nous le faire savoir lorsque ce sera le cas. Quant à Sheldon, il a tenu à être là aussi même si son emploi du temps ne lui laisse pas beaucoup de temps. Il ne travaille plus au labo. Il a finalement accepté de reprendre un poste d’urgentiste et nous avons été très contents pour lui. Il aime ce boulot, il est heureux de pouvoir sauver des vies. Ce n’est pas facile car on ne peut malheureusement pas sauver tout le monde, mais nous lui avons assuré qu’il n’y aurait aucun problème pour qu’il récupère sa place au labo si jamais les urgences lui portaient trop sur les nerfs. Oh, et j’oubliais Sinclair ! Il est là, lui aussi. On est en meilleurs termes depuis toute cette affaire. Mac l’a toujours un peu en grippe, moi un peu moins, mais on l’a tout de même invité, histoire de fumer le calumet de la paix…

En arrivant dans la salle, je croise le regard de Massimo et je le rejoins. Ce n’est plus lui qui tient l’Olympiakos, il ne s’en sentait pas le cœur, mais sa fille a dignement repris le flambeau. Grâce aux démarches entreprises par Don Leone en Grèce, sa mère et elle ont pu être retrouvées saines et sauves quelques semaines après notre retour sur New York. A peine l’ai-je rejoint que Massimo me félicite chaudement, me souhaite tout le bonheur du monde. On échange un sourire un peu triste en repensant à nos récents malheurs. Nikos n’est pas là aujourd’hui pour s’amuser avec nous, mais la vie suit son cours, c’est comme ça…

Après une dernière accolade, je rejoins les bras de mon mari. Je ne me lasse pas de l’appeler ainsi et je sais qu’aujourd’hui j’en ai le droit. Mac m’offre le plus beau de ses sourires et je m’empare de ses lèvres avec passion, souriant au son des flashs qui crépitent autour de nous. Il me murmure à l’oreille que je suis rayonnante et je veux bien le croire. Je suis heureuse, tout simplement heureuse ! C’est le plus beau jour de ma vie ! Je repère Antony et Eleni, le premier dans les bras de Danny, la seconde debout près de Lindsay. Ils ont l’air complètement focalisés sur Lucy qui dort sur les genoux de sa mère et je souris de plus belle. Ils sont tellement adorables… Ma Leni est définitivement remise de l’accident et elle galope plus vite que la plupart des enfants de son âge, son frère mis à part. Elle parle pour quatre, prend un malin plaisir à faire tourner son père en bourrique, et a d’ores et déjà un caractère très affirmé. Elle tient de sa mère ! vous dirait Lindsay, et elle aurait sans doute raison. Et pour ce qui est d’Antony, il semble avoir plutôt bien traversé toute ces épreuves, ne pas en avoir trop souffert, et c’est tant mieux. Il ressemble toujours autant à son père, en un peu plus timide. Il ne parle que très peu aux adultes, Mac et moi y compris, mais je ne me fais pas d’inquiétude car ça ne l’empêche pas de babiller sans cesse avec sa sœur.

J’ai du mal à me dire que rien de tout cela n’existait il y a seulement trois ans… Mac ignorait encore tout de mes sentiments pour lui, du moins je crois. Lindsay et Danny n’étaient pas particulièrement en bons termes après l’énorme bourde de celui-ci et ils venaient de perdre leur enfant. Don et Jessica… Pour eux, ça allait. Ils avaient eu du mal, mais ça allait. Quant à l’Olympiakos, personne dans l’équipe n’était au courant de la place qu’il tenait dans mon cœur… Tant de choses ont changé aujourd’hui ; je n’aurais jamais imaginé pouvoir vivre un jour un tel bonheur ! Ils sont tous là autour de moi, tous ceux que j’aime, et je me sens bien parmi eux, en famille…



***


Le dîner se passe dans la joie et la bonne humeur. Avant le dessert viennent les traditionnels discours. Lindsay prend la parole, au nom de l’équipe, et Massimo dit quelques mots également, avant que ne s’élèvent les premières notes d’une valse. Je me tourne vers Mac et ancre mes yeux dans les siens. Je crois que je ne pourrai plus jamais les quitter… Il me sourit timidement, me tend son bras. Je le suis sur la piste et nous ouvrons la danse.

Chaque moment est magique. Les pas se succèdent mais j’ai l’impression que mes pieds ne touchent déjà plus le sol ! La musique me porte aux nues, à des années-lumière de la Terre ! Nous valsons, sa main posée au creux de mes reins, ses yeux rivés dans les miens. Je ne saurais décrire ce sentiment étrange et délicieux qui parcourt mon corps. Excitation, ivresse…

Paix…

Puis la musique cesse et nous retournons à nos places. La pièce montée est amenée sous les exclamations et les applaudissements. Quelques dizaines de minutes plus tard, la table est desservie et la piste de danse envahie. La nuit nous appartient ! La vie est devant nous ! Alors, pourquoi suis-je mal à l’aise ?...

Les douze coups de minuit résonnent à l’église voisine et je ne peux m’empêcher de trembler. Petite, je n’avais d’autre refuge que mes rêves et ces mondes merveilleux que m’offrait mon imaginaire. Je me voyais en Cendrillon, sauvée par sa marraine la Bonne Fée et se rendant finalement au bal, parée telle une princesse… Je jette un coup d’œil à Mac qui se tient à mes côtés, sa main amoureusement posée dans le bas de mon dos, puis à mon reflet dans le miroir. J’ai opté pour une robe assez simple, au corsage en fine dentelle et aussi blanche que la neige. J’ai remonté mes cheveux en un chignon un peu flou et paré mon cou du sublime pendentif de diamants que m’a offert Mac pour fêter nos fiançailles. Je souris en repensant à ce merveilleux moment que nous avions passé ! Je revois encore Mac se lever et se faufiler derrière moi, un peu timide, avant de m’attacher le collier autour du cou. Il ne savait pas trop quoi dire, quoi faire, et c’est d’un long baiser que j’avais mis fin à son embarras… C’est à cette occasion également qu’il m’avait offert les boucles d’oreilles d’or et de jade que lui avait remises Don Leone. Je dois dire que j’avais été plus que surprise lorsque Mac m’avait expliqué leur origine, mais j’avais refusé le cadeau. Après tout, même si les évènements des mois précédents nous avaient mis à rude épreuve, Mac, les enfants et moi, tout s’était très bien fini pour nous. Aussi avais-je préféré donner les boucles à Massimo, bien maigre consolation pour lui témoigner toute ma peine de la mort de Nikos… Mac avait parfaitement compris mon choix.

Je retiens un soupir. Malgré moi, je repense sans cesse à tout cela… Je croyais avoir tourné la page, pouvoir enfin goûter au bonheur sans crainte, et pourtant il suffit de si peu de choses pour que tous ces souvenirs me reviennent… Je sens mon cœur se serrer tandis que le gros bourdon poursuit sa lente mélodie. Je suis là, toute de blanc vêtue, comme tout droit sortie d’un conte de fée, et j’ai peur. Peur que tout cela ne soit qu’un rêve, de me réveiller au douzième coup de minuit et que tout disparaisse ! Mais les cloches se taisent et la musique reprend de plus belle, au milieu des rires et des cris de joie. Je ferme les yeux et esquisse un sourire timide. Non, je ne dois plus avoir peur ! Rien n’a changé, rien ne changera plus jamais !

Je frissonne au contact de la main de Mac sur ma joue. Il me dévisage d’un air inquiet et je me rends compte de mon moment d’absence. Je dépose un baiser à la commissure de ses lèvres pour le rassurer. Je vais bien, ce n’est rien ! Juste… Non, rien.

Sache seulement que je t’aime, et que je veux rester à tes côtés jusqu’à la fin de mes jours…



***


Les heures s’écoulèrent vite, trop vite. Déjà les premiers convives s’en étaient allés. Mais il n’était pas dit que la fête se terminerait de sitôt ! La mariée passa encore de mains en mains et dansa, tourna, virevolta… Mac l’admirait depuis le bord de la piste, épuisé d’avoir déjà trop dansé. Il était désolé de ne pas avoir l’endurance de la jeune femme et de ne pas pouvoir l’accompagner plus longtemps, mais il savait qu’elle ne lui en voudrait pas. Quant à elle… Il était bien un peu jaloux de voir d’autres homme approcher sa Stella, mais il ne dit rien et la laissa s’amuser tant qu’elle le souhaitait, trop heureux de la voir ainsi, éclatante de vie. C’est d’ailleurs avec étonnement que Mac la vit bientôt refuser une invitation de Danny et s’arrêter de danser.

« Que se passe-t-il ? »

Un sourire moqueur se dessina sur les lèvres de la jeune femme devant le ton inquiet de la question.

« Rien, tout va bien… Mais tu me manquais ! »

Elle dit cela comme une évidence et ils ne purent s’empêcher d’éclater de rire, l’un comme l’autre. Mac se leva finalement pour s’emparer de ses lèvres et c’est à bout de souffle qu’ils se séparèrent, de longs instants plus tard.

« Tout bien considéré, tu me manquais aussi… »

Un magnifique sourire vint illuminer le visage de Stella. Les yeux dans les yeux, ils restèrent un long moment dans les bras l’un de l’autre, incapables d’esquisser le moindre geste, comme transportés à des kilomètres de là. Finalement Stella rougit légèrement et détourna le regard vers Antony et Eleni pour tenter de dissimuler son trouble. Mac se tourna à son tour vers ses enfants et se rassit, venant déposer une tendre caresse sur la joue d’Eleni. Cela faisait déjà bien longtemps que les deux petits étaient tombés de sommeil…

« Nous ne devrions peut-être plus tarder à rentrer… »

Stella acquiesça d’un hochement de tête avant de se retourner vers Mac.

« Est-ce que tu m’accorderais une dernière danse ? »

« Dernière ? »

Il haussa un sourcil, une expression faussement intéressée au visage, et elle secoua la tête d’un air désespéré en riant.

« La dernière de la soirée, gros bêta ! Si tu penses que tu réussiras à t’esquiver à chaque fois comme tu l’as fait ce soir, tu te trompes Mac Taylor ! »

Il sourit, se leva et lui offrit son bras.

Une dernière danse… Puis une dernière valse… Puis un dernier slow…

Près d’une demi-heure plus tard, ils parvinrent finalement à trouver un semblant de détermination pour quitter la piste. Après avoir salué leurs amis, ils allèrent chercher les enfants, récupérer leurs affaires, puis ils quittèrent le restaurant, sous le regard légèrement inquiet de Lindsay.

« Qu’est-ce qui ne va pas Montana ? »

Elle laissa échapper un grognement en réponse à l’appellation avant de soupirer et de laisser sa tête retomber contre l’épaule de son homme.

« Lindsay… »

« Mmm… »

« Qu’est-ce qu’il y a ? »

Elle poussa un nouveau soupir puis se retourna et vint se réfugier dans les bras de Danny.

« J’ai peur Danny… Je sais que j’ai toujours été la première à dire que Mac et Stella étaient faits l’un pour l’autre, mais j’ai l’impression… Je ne sais pas… Je me dis que l’on s’est peut-être trompés ! »

Le jeune homme retint un hoquet de surprise et se dégagea doucement de l’étreinte de Lindsay pour lui faire face.

« Tu es sûre que ça va ??? Tu n’aurais pas un peu trop bu ? »

« Ne te moque pas ! »

« Excuse-moi, mais tu admettras que tu te fais de drôles d’idées, non ? »

Elle secoua lentement la tête.

« C’est simplement que… C’est difficile à expliquer. Tu as vu Stella et Mac ce soir ? Ils étaient si distants ! Mac est resté en permanence assis au bord de la piste et Stella a plus dansé avec Don ou toi qu’avec lui ! »

« Tu exagères un peu là… »

« Dis tout de suite que ça ne s’est pas passé comme ça ! »

« Non… C’est vrai que Mac n’a pas été très longtemps sur la piste, mais en même temps moi non plus je n’aurais pas pu suivre le train d’enfer mené par Stella ! Il n’y a rien d’anormal à ça ! »

Danny avait légèrement élevé la voix et elle baissa les yeux, déçue sans doute du ton incompréhensif de son mari. Se rendant compte qu’elle l’avait mal pris, il l’entoura tendrement de son bras et vint déposer un baiser sur son front.

« Qu’est-ce qui te tracasse ? »

« J’ai l’impression que Mac et Stella sont… différents. J’ai peur qu’ils n’aient changé ! Ils ne sont plus les mêmes qu’avant ! Réfléchis bien… Est-ce que tu les as entendus se disputer ces derniers temps ? Est-ce que tu as seulement vu Stella s’énerver pour un rien contre Adam ou toi durant les dernières semaines ? Et Mac… T’a-t-il fait la moindre remarque lorsque tu es arrivé avec deux heures de retard l’autre jour ? »

Danny dut se retenir de rire. Il grimaça tout en s’efforçant de ne pas brusquer la jeune femme.

« Euh… Attends… Explique-moi en quoi ça pose problème que Stella soit un peu moins soupe-au-lait qu’avant et Mac un peu moins strict ? Désolé mais moi ça m’arrange plutôt de pouvoir arriver en retard sans risquer de me faire étriper par Mac, et je préfère encore ne plus avoir à subir les colères de Stella ! »

« Tu ne comprends pas… »

Il soupira et resserra son étreinte. Relevant doucement le visage de Lindsay, il ancra son regard dans le sien.

« Chut… J’ai très bien compris… Tu te dis qu’on a peut-être eu tort de s’acharner à les voir ensemble. Tu te sens un peu responsable des changements qui se sont opérés dans leurs comportements et tu as peur que leur couple ne fonctionne pas, maintenant qu’ils sont différents. Mais moi je dis que ça ne fonctionnera que mieux ! Les gens changent par amour, tu sais… Regarde-moi. Je ne veux que ton bonheur, je ferai tout pour éviter de te contrarier, et pourtant ce n’est pas particulièrement dans mes gênes ! J’ai bien changé pour toi… Montana. »

« Danny !!! »

Cette fois, il éclata de rire. Il adorait la faire marcher, et ce n’était pas bien méchant. Et puis, au moins lui avait-il ôté ses drôles d’idées de la tête ! Elle souriait timidement à présent. Il caressa sa joue du bout des doigts.

« Allez… Ne t’en fais pas va… Ils sont grands, et je suis sûr qu’ils se sortiront très bien de tout ça… Et puis, ça va déjà faire trois ans qu’ils sont en couple je te signale ! Ce n’est pas parce qu’ils sont mariés maintenant que ça va changer… »

Elle hocha lentement la tête et vint se lover un peu plus entre les bras de son homme. C’est tout naturellement, sans arrière-pensées, qu’elle demanda soudain…

« Danny… Qu’est-ce que tu crois qu’ils font, en ce moment ? »

Il manqua de s’étrangler et se mit à pouffer.

« Tu tiens vraiment à ce que je te fasse un dessin ??? »



***


POV Stella Bonasera


Ses mains posées sur ma peau… Son souffle dans mon cou…

Je borde soigneusement Antony et Eleni dans leurs lits et dépose un baiser sur leur front avant de me reculer pour les regarder. Il est très tard et ils dorment à poings fermés. Je ne me lasse pas de les contempler. Ils sont mes trésors, ma vie, le fruit de mon amour avec Mac…

Mac…

Lentement, je sens monter en moi le désir. Il glisse sa main sous mon corsage, laisse ses doigts s’insinuer habilement jusque sous ma jupe, venant frôler mon intimité. Je me mords les lèvres pour retenir un gémissement. Ses caresses sont de merveilleuses tortures et je succombe un peu plus sous chacune d’elles ! D’une voix que j’aimerais ferme, je parviens à articuler…

« Arrête… Pas devant les petits… »

Je tente tant bien que mal d’afficher un air sérieux mais je le sens rire doucement contre ma nuque. Nullement embarrassé par ma remarque, de ses doigts experts, il délace puis fait lentement glisser mon corsage le long de mes épaules, découvrant ma chute de reins. Il pose ses mains sur mes hanches et je tressaillis au contact de ses lèvres sur ma peau nue. Je ferme les yeux. Chacun des baisers qu’il me dépose fait naître en moi des milliers de feus de joie ! Dieu que j’aime cet homme ! A chaque seconde qui passe, je sens le désir s’éveiller un peu plus en moi… Je ne peux retenir un soupir de déception lorsque ses caresses cessent subitement. Rouvrant les yeux, mon regard accroche le sien dans le miroir qui nous fait face. Un sourire mutin se dessine sur son visage et il se penche pour me murmurer à l’oreille.

« J’ai envie de toi… »

Je ne peux que sourire en retour. Après un dernier regard pour les enfants, je me lève et me retourne pour lui faire face. Il se lève à son tour avant de s’emparer de mes lèvres… Lorsque nous nous séparons, il me prend par la main et m’entraîne en direction de notre chambre. J’ai à peine le temps de refermer la porte derrière nous qu’il me plaque contre le mur, me faisant échapper un petit cri de surprise.

« Eh bien mon cher mari ! Vous voilà bien impatient ! »

« Dois-je renoncer, Madame Taylor ?... »

Je ne peux me retenir de rire devant sa moue timide et déçue. Il est adorable ! Mais je ne le laisse pas languir plus longtemps et ses yeux s’illuminent tandis que je dépose quelques baisers sauvages le long de son torse en murmurant d’une voix suave…

« Eteins la lumière ! »

Un large sourire se dessine sur ses lèvres et il s’exécute aussitôt, révélant nos deux corps enlacés à la douce clarté de la nuit.

Des doigts entremêlés, des caresses audacieuses, des baisers fiévreux… Nos habits ne tardent pas à parsemer le sol de la chambre. Il me soulève de terre avant de m’allonger délicatement sur le lit. Il reste un moment penché sur moi, sans bouger, laissant son regard découvrir chaque parcelle de mon corps comme pour la première fois… Il me dévore des yeux et je fais de même. Rien qu’un instant de répit, le temps de reprendre notre souffle. Nos regards se croisent et, n’y tenant plus, je l’attire à moi.

Plongés dans l’obscurité de la nuit, nos deux corps brûlants ne font bientôt plus qu’un et nous sommes au même instant submergés par une incroyable vague de plaisir. Puis nous nous laissons retomber l’un contre l’autre et restons quelques instants ainsi. Je porte mon regard vers la baie vitrée et contemple New York qui s’étend à nos pieds, juste de l’autre côté. La ville qui ne dort jamais resplendit, illuminée dans la nuit noire, mais Mac et moi sommes si loin de tout cela… Quelques minutes encore s’écoulent. Je m’enivre avec délice du parfum viril et si familier de l’homme qui me tient dans ses bras, avant que tout ne recommence…

Une étreinte, un baiser, une caresse… Ses lèvres sur ma peau, son souffle dans mon cou… Je me mets à rire doucement et il me regarde, intrigué, un peu inquiet peut-être, mais je le rassure d’un baiser. Ce n’est rien ! Je pensais, simplement… Et dire que je craignais à une époque que cet amour ne mène nulle part ! Quelle idée ! Mac me comble et je sais à présent que nous ne serons jamais assez rassasiés de l’autre pour que vienne l’ennui… Chaque fois je l’attends, pantelante et avec impatience. Chaque fois nous nous aimons, avec force ou avec douceur, mais toujours avec plus de passion ! Chaque fois nous nous redécouvrons, et chaque fois, lorsque nous nous séparons, nous n’avons d’envie que de nous aimer plus encore !

Je tressaillis lorsque les lèvres de Mac se posent sur mes chevilles avant de remonter le long de mon corps. Toute à mes pensées, je l’avais presque oublié ! Presque… Mais il sait se rappeler à moi et ses mains habiles ont tôt fait de m’arracher de nouveaux gémissements ! Je ferme les yeux et me mords fermement les lèvres pour m’empêcher de crier, ne voulant pas risquer de réveiller les enfants. Je me cambre violemment comme sa langue parcourt lentement mon bas-ventre, faisant naître en moi des milliers d’étoiles… Je résiste un instant encore, puis je m’abandonne à lui, une fois de plus !



***


Dans un grand appartement de New York, ce soir-là, et jusqu’au bout de la nuit, un homme et une femme s’aimèrent comme au premier jour. Ils se connaissaient depuis plus de dix ans. Ils avaient été collègues, meilleurs amis, amants… A présent, ils étaient mari et femme.

Ils étaient criminologues, avaient côtoyé la mort chaque jour depuis bien longtemps, et pourtant pour rien au monde ils n’auraient souhaité faire autre chose ! Car ils aimaient leur métier… Bien souvent ils avaient peur, mais ils gardaient toujours espoir. Ils avaient foi dans le temps présent et confiance en l’avenir !

Dans un grand appartement de New York, ce soir-là, deux destins étaient scellés à jamais.



Quelque soit l’obscurité du moment, l’amour et l’espoir sont toujours possibles. George Chakiris

FIN

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Et voilà... C'est ainsi que nous nous quittons... Alors, verdict ?

C'est déjà la fin
Voilà, c'est le seul point noir à ta fic.

Sinon, tout comme l'est la fic entière, cet épilogue est super. On ne peut qu'aimer le sort que tu as réservé à cette fic. En plus, tu écris super bien donc, c'est encore plus agréable à lire.

Merci beaucoup Selenia de nous avoir transporté dans ton univers au fil de tes chapitres

Bravo à toi pour toute ta production également

Merci ma Zat !!!

OMG !!! cette fin est jusque sublime !
c'est triste que se soit la fin
Mais cette fic était extra , j'ai adoré, une pure merveille :)
et cette fin ... Mac et Stella s'aiment tellement, c'est beau à lire :)

Merci ma Selenia pour cette merveilleuse fic

Merci à toi ma Totorsg !!!

Merci à vous toutes qui m'avez suivie depuis le début de cette histoire ! On ne le dira jamais assez : les fics n'existeraient pas sans les coms de leurs lectrices ! Merci à vous, donc, de me lire, de prendre le temps de me faire part de vos réactions et de me pousser à continuer !

Eh oui, cette fois c'est bien la fin... Mais j'espère vous retrouver sur ma prochaine fic qui ne saurait trop tarder ! Et bien sûr, d'ici là, je me régalerai devant vos propres fics !


A bientôt les filles !

Je réserve une place pour lire ta fic

j'ai hâte de lire ta prochaine fic ! :)
c'est sûr que je serais au rendez-vous :)

Ok, ok ma Zat ! C'est noté ma Totorsg ! Je n'en attendais pas moins de vous

Mais il faudra attendre un peu tout de même ! J'ai toutes les idées (dans les grandes lignes au moins...) mais rien n'est encore écrit XD Bon, maintenant que la rentrée est à peu près passée, les soirées vont commencer à s'espacer et j'aurai peut-être un peu plus de temps pour me remettre à écrire... En tous les cas, je vous poste ça dès que possible, c'est promis ! ^^

Gros bisous les filles !

Pas de souci, maintenant que j'ai ma réservation, je vais attendre bien sagement

Wouahhhh!! Je suis sidérée....
C'était plus que magnifique !!! Tellement plus que y'a pas de mots....

Par contre c'est la fin
Mais quel fin!!

Maintenant je ne pourrais plus me passer de Smac...
J'espère que tu continura a nous faire des fictions aussi merveilleuses!!! Avec une écriture si

Merci pour cette fic! Je ne te le dirais jamais assez!
Merci pour ton talent et de l'avoir partager avec nous!!

Merci pour tout!!!!

Alors je crois que je vais écrire un long com Parce que j'ai des suites en retard

Chapitre 26 :

Pauvre Mac qui très peur que sa femme rejoignent le compte de 4 victimes tués par McShire . Ce type plein de pouvoir, confiant mais qu'au premier regard on a envie de tuer . Il comtemple Stella, et va la voir, comme un homme normal. Mais malgré son malaise subite, il l' emmène tout de même dans sa chambre... Stella qui lui donne le moins d'informations possible sur son compte, ou du moins celle de Melina Andros.
Très entreprenant McShire ainsi que " Melina" mais elle s'est son rôle alors que lui c'est dans sa nature !
Don qui console Jess qui est en grande angoisse pour son amie, et voir Mac énervé n'arrange pas les choses.
En plus il s'énerve de plus belle lorsqu'il apprend que le reste de l'équipe étaient dans l'incapacité de placer des micros dans la suite de McShire et les places sur Stella... Et il y en a un qui lâche L'équipe angoisse de plus belle, cette fois-ci la vie de Stella ne tiens qu'à un micros et une caméra et surtout en la confiance qu'a à accordée Mac à Stella pour cette mission d'infiltration ainsi que la confiance personnel et le sang froid de Stella.

Chapitre 27 & 28 :

Stella a peur, très peur de l'homme qu'il y a de l'autre côté de la porte. McShire la dégoute au plus au point avec ses manies, surtout en sachant qu'il a violé et tué 3 femmes précédemment. Mais pensant que Mac a encore plus peur qu'elle, il y a de quoi faire sourire.
Et ce type qui est plus qu'entreprenant avec elle, ca la dégoute et pourtant il continue pauvre type
Il a découvert que Melina n'était pas Melina houlà ! là il y a de quoi avoir peur Il veut lui faire endurer ce qu'il a fait endurer aux 3 femmes. Heureusement Stella a de la répartie et vlà un coup dans le bas ventre

Par contre Mac de son côté, il bats les records de pulsation cardiaque avec le stress qui l'endure
Et là il faut vite intervenir pour sauver la vie de Stella
Et comme toujours un obstacle, ou plutôt 2 dans ce cas là ! et Mac il cherche pas à comprendre qu'ils font surement deux fois son poids, et genre 3 têtes de plus que lui et a des armes. Mais non lui il fonce heureusement qu'il a ses collègues le Macounet, sinon et ben... plus de Mac Taylor
Et là Bing ! Stella a tirée deux balles dans les jambes de McShire, il va pas pouvoir courir maintenant
Mais la réaction de Stella envers McShire permet de rassurer Mac sur la confiance qui lui a donner, et surtout qu'elle a repris confiance en elle malgré qu'il ne veut pas qu'elle recoure un tel risque la prochaine fois ce qui est normal

Epilogue :

Stella qui vit enfin pleinement sa vie avec son MARI ( oui je tiens à tout prix mettre ce mot en capitale, parce que le bouletisme de Mac a menée son histoire avec Stella quelque part )
Elle a tout de même peur, peur que ce ne soit qu'un rêve, un rêve qui est devenue réalité !
Mac et Stella sont mariés, la petite marche et parle et le petit n'est pas traumatisé.
le MARI de Stella qui est toujours aux aguets sur l'état mentale de sa femme et physique comme je l'ai constaté à la fin de cette suite
Tu m'as fait peur tout de même ma Selenia, lorsque j'ai lu les doutes de Lindsay sur la relation de Mac et Stella. J'ai fait : Ho non ! Tu vas les faires se séparer tout de même ? Mais non ouf !
Heureusement Danny est là pour la rassurer, lui disant que l'amour fait changer, la preuve il avait changer pour elle. Alors ce passage c'était trop mignon.

Mac qui ne laisse pas une seconde de répis à sa femme, le coquin va !
Ce qui n'est pas pour déplaire à madame Bonasera Taylor
j'ai beaucoup aimée le passage de la fin ainsi que la citation qui est parfaite pour ta fics très bon choix

Conclusion de la fics en entier :

Ta fics du début à la fin était toujours très bien écrite. Mélangeant guimauve et sadisme. Plusieurs enquête, mais ne débordant jamais, tenant toujours en haleine. Le Smac et le D/L ont évolués au fur et à mesure de la fics, donnant plusieurs envie de meurtre ha ben le bouletisme de Mac a ce genre d'effet secondaire
En gros ta fics était sublissiment superbement génial et

Et bien sûr comme tu t'en doute sûrement, je suis impatiente de te relire ma Selenia

Merci de nous avoir fait partager ta fics en 3 partie

J'ai tout lu!! Quelle pure merveille!!! Encore un chef d'œuvre à ton palmarès ma belle.
Ton histoire était très prenante, j'en avais les larmes aux yeux. Tu faisais bien ressortir la souffrance de Stella. C'était superbement bien écrit.

Stella : De nature têtue ayant un fort caractère, qui ne se laisse pas si facilement démolir, a pu mettre à rude épreuve cette carapace forgée. Elle a comme même eu de fortes séquelles psychologique qui auraient put être bien plus grave si elle n'avait pas eu ce tempérament fort, combatif. C'est comme même très éprouvant ce qu'elle a vécue. Tout perdre comme ça, d'un coup! Et pour couronner le tout, tout en se faisant courser par la mafia. Elle nous aura décroché le grelot notre Stella.
Cette fic est surtout centrée sur elle, ce qui n'est pas pour me déplaire bien au contraire.

L'histoire par elle même, est pleine de rebondissements. Tu arrives à nous tenir en haleine. Que ce soit pour l'enquête ou pour les rapports humains. Passer d'un simple accident à une tentative d'assassinat, c'était bien trouvé. Puis la course effrénée qu'à dû subir Stella à cause de ce malheureux médaillon.

Par contre un point que je n'ai pas saisi : la mafia voulait Stella vivante pour savoir où se trouvait le médaillon. Alors pourquoi prendre un tel risque en provoquant l'accident? Elle aurait pu y passer si elle avait été dans la voiture...

Stella..... il y a tellement de choses à dire que j'en oublie Je reviendrai plus tard sur son cas

Mac : Il s'en est sorti, j'étais ravie. Cinq jours plus tard, le voilà déjà arriver en Grèce. Qu'est ce qu'il ne ferait pas pour sa Stella J'aime ce coté rassurant, protecteur qu'incarne Mac dans ton histoire. Il est là pour sa famille avant tout, c'est ça ce qui compte. Il est si prévenant.

Don & Danny : J'ai beaucoup aimé leur coté rassurant envers leurs compagnes respectives. Tout le monde restait soudé malgré les circonstances. Danny, toujours fidèle à lui même avec sa Montana et ses répliques foireuses ^^
Don un tantinet jaloux mais si mignon envers Jess. Il a été un des piliers pour Stella. Il permettait de la rassurer. J'aimerai bien avec un ami comme lui moi perso

Lind' : Fidèle amie de Stella mais qui a du "céder" sa place à Jess le temps de la période Grèce. La pauvre, enceinte jusqu'au cou, devant s'occuper de la fille de Stella et de gérer les soucis en plus. C'est une super amie comme même.

Jess: Je l'ai beaucoup aimé dans ton histoire. Bien souvent dans les fics, le personnage de Jessica n'est pas trop développé. Mais là, c'était super! J'ai adorée!

Par contre un moment quand elle est à l'hôpital et qu'elle est intubée. Je n'ai pas compris comment elle avait fait pour parler un peu à Don. Bien sûr après elle n'a plus le tube mais avant quand elle se réveille, ils échangent quelques mots entre eux.

Les deux loupiot : Ils sont super ces deux là. Eleni dans les bras de sa mère et aussi quand elle fait succomber son père j'ai trouvé ça tellement mignon. Elle qui a tant souffert. A peine arrivé au monde, qu'elle est déjà paralysée. Le petit aussi, même si il n'a pas eu grand chose physiquement, il a du être touché psychologiquement par l'abandon de sa mère et la traque des mafieux. Tout est bien qui s'arrange bien finalement.

La mafia : Ca me rappelle les anciennes histoires de mafieusites. Où il y avait encore des règles, du respect et surtout l'HONNEUR. L'oncle conserve et entretient encore cette ligne de conduite. J'ai bien aimé ça, que tu nous re-fasse découvrir cet univers qui paraissait obsolète, mais qui est toujours actuel.

Je suis contente pour Massimo et triste en même temps pour lui. J'ai adhéré au comportement de Stella envers lui. C'était légitime même si il avait des circonstances atténuantes.

Le mariage : C'était super, je vois tout a fait Stella ne s'arrêtant pas de danser et Mac complètement épuisé sur une chaise entrain de la dévorer du regard. J'ai pris peur quand Linds' confiait ses doutes à Danny concernant Mac & Stella. Je me suis dis "Ah Non!! Ce n'est pas possible ça!"

J'oublie tellement de choses, ça me frustre!

Maria : Une brave femme. Heureusement qu'elle était là pour soutenir Stella dans sa période Grèce. Je suis triste pour elle, j'ai beaucoup aimé quand ses petits enfants et sa belle-fille soit venue la voir pour la fin. Je trouvais que c'était un très beau cadeau venant de Stella, voir le meilleur pour la vieille dame.

Mac & Stella : Ils sont très mignons tout les deux. J'étais complètement sous le charme. Je buvais (tes ?) leurs paroles.

Mc Shire : Quel ordure ce mec! J'ai eu peur pour Stella, sachant qu'il l'avait découvert. Heureusement elle a fait preuve d'assez de sang froid pour ne pas déraper. Mac qui ne tient pas du tout en place. J'ai trouvé ça bien mignon!

Je reviens rapidement sur Stella, sa demande en mariage était plutôt originale mais justifiée. Le fait qu'elle veut aussi se prouver à elle même qu'elle peut continuer à exercer son métier à cause de sa culpabilité, était bien. Je m'en doutais que ce serait elle qui serait infiltrée. Je ne m'attendais pas à ce qu'elle débarque dans le bureau mais cette enquête aura été une bonne transition pour donner un retour au personnage dans l'univers professionnel.

J'oublie certainement beaucoup de choses mais pour l'instant c'est tout ce qui me vient Comme tu l'aurais compris j'ai adorée ta fic!!! Tu écris divinement bien!!! Et l'épilogue mama milla!!! SUBLIME!!! Du début jusqu'à la fin!



PS: Et les boucles d'oreille que la mafia a donné à Mac qu'en a t'il fait ?

@ ma Bébé : mon "talent", comme tu dis, ne serait rien si je ne vous le faisais pas partager... Je suis très heureuse que mes écrits vous plaisent !

Et puis... C'est un peu nous toutes, à travers nos fics, qui faisons le smac ! Surtout maintenant que Melina est partie... Alors rien ne pourrait me faire plus plaisir que de vous faire rêver un peu encore !




@ ma revenante : oh eh, tu n'avais pas tant de suites en retard en fin de compte !

Ma Manhatt' a écrit:

Par contre Mac de son côté, il bats les records de pulsation cardiaque avec le stress qui l'endure

Très bien dit !

Ma Manhatt' a écrit:

Heureusement Danny est là pour la rassurer, lui disant que l'amour fait changer, la preuve il avait changer pour elle. Alors ce passage c'était trop mignon.

Je me suis aperçue que tu avais écrit la même chose, à peu près mot pour mot, dans ta fic... Désolée, c'était complètement involontaire vu que mon épilogue était déjà écrit depuis belle lurette ! Les grands esprits se rencontrent ^^

Ma Manhatt' a écrit:

Mac qui ne laisse pas une seconde de répis à sa femme, le coquin va !
Ce qui n'est pas pour déplaire à madame Bonasera Taylor

Ni à une certaine Manhattan25 de ma connaissance, avoue !

Quant à la citation, merci Criminal Minds XD

Ravie que tu aies autant aimé cette fic ma chère Manhatt' !
Et merci beaucoup pour ton com' !!!




@ Spookynette : Aaaaaaaaaaaaaaaaah !!! J'adooooooooore quand tu fais ça miss !!!

Vraiment, merci mille fois pour ce superbe com' !!! C'est bien, je me rends compte que tu as perçu les choses exactement de la façon que j'espérais : ça veut dire que j'ai fait du plutôt bon boulot ! :mred:Et ne sois surtout pas frustrée ! Tu connais déjà la fic mieux que l'auteure elle-même ! XD Nan, vraiment ! Moi, vu que j'ai mis un peu 3 mois à l'écrire, je ne me rappelle plus de tous les détails de la fic, loin de là !

Et pour te répondre...

Spookynette a écrit:

la mafia voulait Stella vivante pour savoir où se trouvait le médaillon. Alors pourquoi prendre un tel risque en provoquant l'accident? Elle aurait pu y passer si elle avait été dans la voiture...

Euh... Alors tout d'abord, la faute à bibi qui veut toujours faire des histoires hyper tordues et qui du coup court toujours le risque de se mélanger les pinceaux même si ça n'a pas dû m'arriver si souvent... Nan, en fait, à la base, ça collait plus à ce que je voulais faire de l'évolution du personnage de Stella comme ça. Mais ce n'est pas incohérent pour autant !
Moi je voyais les choses comme ça : Antonio Leone voulait faire payer à Stella la traîtrise de sa mère. Comme il tenait à l'époque le professeur P. et qu'il pensait que c'était lui qui détenait le médaillon, il ne s'est pas gêné pour vouloir faire assassiner Stella. Or le professeur n'avait pas le médaillon. Quand Antonio a eu Stella sous la main, il a empêché qu'on la tue pour qu'elle les conduise jusqu'au médaillon. Par la même occasion, il aurait un peu profité d'elle. Heureusement, nos new-yorkais ont débarqué avant ça !
Mais je comprends parfaitement que tout ceci reste flou étant donné qu'à aucun moment Antonio n'explique ses motivations réelles... (vu que Stella l'a un peu tué avant qu'il puisse avouer quoi que ce soit )

Spookynette a écrit:

un moment quand Jess est à l'hôpital et qu'elle est intubée. Je n'ai pas compris comment elle avait fait pour parler un peu à Don. Bien sûr après elle n'a plus le tube mais avant quand elle se réveille, ils échangent quelques mots entre eux.

Ben en fait, j'ai relu le passage ^^ et ils n'échangent pas vraiment quelques mots. Jess parvient à murmurer le prénom de Don malgré son intubation mais c'est tout.XD Et après ils lui enlèvent tous ses tuyaux... Maintenant, je ne m'y connais pas, mais je pense qu'il y a quand même moyen de marmonner quelque chose de plus ou moins incompréhensible quand on est sous intubation. C'est juste galère et crevant...

Et en ce qui concerne les boucles, remarque très judicieuse ! Bien évidemment, Mac les a gardées pour lui voyons ! Il serait sûrement très sexy avec XD
Nan nan, c'était juste un oubli ! J'avais effectivement prévu de les replacer, mais j'ai zappé ^^ Tu peux retourner voir l'épilogue si tu veux, il y a un petit passage supplémentaire à présent...

Pour le reste, en tous points d'accord avec ce que tu as écrit ! C'est vraiment un super résumé de cette fic ! Merci à toi de m'avoir lue et d'avoir pris le temps de commer ma Spookynette !!!

Ma Selenia a écrit:

Ma Manhatt' a écrit:

Heureusement Danny est là pour la rassurer, lui disant que l'amour fait changer, la preuve il avait changer pour elle. Alors ce passage c'était trop mignon.

Je me suis aperçue que tu avais écrit la même chose, à peu près mot pour mot, dans ta fic... Désolée, c'était complètement involontaire vu que mon épilogue était déjà écrit depuis belle lurette ! Les grands esprits se rencontrent ^^

T'inquiète pas Voilà c'est les grans esprits qui se rencontrent

Ma Selenia a écrit:

Ma Manhatt' a écrit:

Mac qui ne laisse pas une seconde de répis à sa femme, le coquin va !
Ce qui n'est pas pour déplaire à madame Bonasera Taylor

Ni à une certaine Manhattan25 de ma connaissance, avoue !

Hum... je...j'avoue

Tu as prévu d'écrire une autre fics ?

Hum... Il me semblait l'avoir déjà dit, non ? Oui ma Manhatt', j'ai qqch de prévu ! Mais il faudra être un peu patiente ! Comme d'habitude, j'ai encore été inventer une histoire hyper tordue et il faut que j'essaie de mettre un peu mes idées au clair si je veux pouvoir vous poster une fic un tant soit peu cohérente XD

Mais ça viendra, c'est promis ! Si j'ai bien compris, tu réserves ta place, comme nos miss Totorsg et Zat ?

Ho que oui tu me gardes une place
Trop cooooooooooooooooooooooooooool

Merci ma Selenia de me réserver une place