Une peine innacceptable [ White Collar ]

Encore une petite fic, l'idée m'es venue il y a plusieurs semaines, mais je savais pas si j'allais la poster ou pas, mais quelqu'un m'en a convaincu.

Titre : une perte inacceptable

Auteur : Zazou

Personnages : Tous

Relation : Celle déjà existante dans la série et Sarah est toujours avec Neal

Autre : c'est du multi-chap et ça n'a pas de localisation précise dans la série.

Ah oui aussi, très important si on veut comprendre, non je ne me suis pas trompée dans l'ordre des chapitres mais ma fic et un " et si tout commencer par la fin" donc d'abord un passage qui arrive que vers la fin, puis ce qui s'est passé avant.

Synopsis : Alors que son amitié avec Peter est au plus bas, Neal va devoir faire un choix entre fuir et faire confiance à son ami suite à une affaire qui a tourné au drame.

Je corrige comme je peux, avec un peu d'aide, mais si il reste des fautes n'hésitez pas. Et si s'est vraiment trop, je verrais si je peux trouver un beta  

Chapitre 1

« Neal!

- J’y retournerai pas Peter.

- On trouvera une solution, une  autre solution !

- Il n’y en a pas d’autres ! Je dois partir.

- Je ne peux pas te laisser faire ça Neal.

- Qu’est-ce que tu vas faire ? Me tirer dessus ?

- Moi non, mais il y a des hommes ici qui n’hésiteront pas un instant. Laisse-moi te ramener, tu ne peux pas fuir. Cette fois il n’y a aucune échappatoire.

- Je suis désolé Peter, j’avais une vie ici, avec vous. »

A peine eu-t-il achever sa phrase, Neal passa sa main dans l’intérieur de l’avion puis se retourna vers ses anciens coéquipiers, en braquant une arme vers leur position. La tension était montée d’un cran et les fédéraux devenaient de plus en plus menaçants.

« Pose cette arme Caffrey ! Hurla Diana, ne m’oblige pas à tirer !

- Non, intervient Peter, c’est ce qu’il veut, c’est ça son plan. Il préfère la mort à la perpétuité !  »

Puis il se tourna vers son ami, visiblement désespéré.

« Ne fais pas ça Neal, je sais que tu détestes les armes, tu ne veux blesser personne, et surtout pas l’un d’entre nous.

- Non Peter, tu ne sais pas ce dont je suis capable.

- Peu importe les enjeux, je te connais assez bien pour savoir que tu ne tiras jamais sur l’homme qui t’as offert une nouvelle vie, et une famille, dit-il en rangeant lentement son arme. Tu ne vas pas me tuer, je le sais.

- Tu as raison Peter, j’en serai incapable … Au revoir Peter.  »

Les évènements qui suivirent furent si rapide que Peter ne réalisa pas immédiatement. Il n’avait fallu qu’une seconde à Caffrey pour changer sa cible et retourner son arme contre sa tempe, dans l’instant suivant un coup de feu résonna et l’escroc tomba à terre …

To Be Continued …

tu connais déjà mon avis !!  

Mais je vais remettre un pitit quelques choses !!


Alors d'abord j'adore vraiment on a trop envie de savoir la suite          et tu es sadique  

Ensuite, je trouve que c'est vraiment bien écrit et facile à lire ce qui est un super point positif !!!

Et enfin ben y'a Neal    

Vite la suite      

Merci, si tu as envie de savoir la suite c'est que j'ai atteins mon but, surtout en sachant que la suite c'est pas vraiment ce qui suit mais ce qui s'est passé avant  

contente que tu trouves ça bien écrit et facile à lire, merci    

et la suite, euh, je sais pas , peut-être demain

Oh, quel début fracassant !!!

J'ai hâte de savoir comment ils en sont arrivés là !

Merci beaucoup Zat    

voici la suite,


Chapitre 2 :

Quelques jours auparavant,

«  Jones ! Vous avez vu Caffrey ?

- Non pas encore.

- Mais c’est pas possible ! Diana essayez de le joindre !

- Bien, patron.

- Je croyais pourtant lui avoir précisé qu’il y avait une réunion importante avec les membres du service de Washington ce matin ! Lâcha Peter

- Il ne répond toujours pas.

- Réessayez !  »

L’agent regagna la grande salle et glissa quelques mots à l’oreille de son supérieur, c’était une certitude Caffrey ne serait jamais là à l’heure.


De son côté, le consultant tant attendu, encore sous la couverture, ne pouvait être réveillé, même par les appels incessants que recevaient son téléphone. Il dormait, serrant contre lui la belle rousse qui n’avait pas l’air décidé à quitter l’étreinte de chaleur et de douceur qu’ils partageaient.

Pourtant que son portable se mit également à sonner, elle se résigna à se lever lentement pour ne pas réveiller l’homme qui dormait à ses côtés. Elle enfila son peignoir rouge sang et partie vers la cuisine en répondant à son appel. La conversation fut brève, mais l’expression de son visage pouvait en révéler la raison : elle avait elle aussi manquait une réunion importante avec ses supérieurs.
Elle commença à s’habiller en vitesse quand deux bras vinrent l’entourer, recréant cette sensation de chaleur si agréable.

«  Tu ne pensais pas partir comme une voleuse ?

- Et c’est moi que tu appelles voleuse ? Venant de toi …

- Je croyais que tu adorais les mauvais garçons ?

- Oui, tu as raison, j’adore les mauvais garçons, et toi tu es vraiment un très mauvais garçon » murmura la jeune femme d’une voix douce.

Elle l’embrassa tendrement et voulu se dégager de ses bras quand il la retint et lui rendit son baiser. Elle l’entoura alors à son tour des siens quand la porte s’ouvrit brusquement, c’était Peter, la réunion avait dû se terminer et il paraissait exaspéré au point de ne remarquer ni la jeune femme ni le moment qu’il venait de briser.

To Be Continued…

Ouh, pris en flagrant délit    

Bravo Zazou !

Contente de voir que "le fragrant délit" te fais rire  

Merci beaucoup   

La suite surement ce soir

De rien   

Oh yes, vivement ce soir alors !!!!

Je suis d'humeur généreuse, alors, un autre chapitre maintenant  


Chapitre 3


«  Neal ! hurla l’agent, je peux savoir ce que tu fais là ?

- Je vis ici, Peter ! D’ailleurs ça te dérangerais de frapper avant d’entrer ?

- Je te rappelle que nous avions une réunion importante ce matin ! Cette même réunion qui s’est terminée il y a moins d’une heure !
Tu peux me dire ce que tu faisais ?

- Je …, mais il fût interrompu, l’agent Burke venait de remarqué Sarah qui se tenait sans rien dire à côté de l’escroc.

- Non ! C’est bon, dit Peter à bout de nerfs, tu as quinze minutes pour t’habiller et me rejoindre en bas ! »

Après que Peter eu violemment claqué la porte, Sarah se retourna vers son compagnon.

«  Il a l’air en colère.

- Très en colère.

- Cette réunion était importante ?

- Très importante.

- Tu ne devrais pas le faire attendre alors, finit-elle par dire.

- T’as raison, dit-il avant de partir vers le dressing. »

Quelques instant plus tard il en ressortit plus élégant que jamais : un pantalon noir, une chemise blanche et une veste noire, exactement comme d’habitude, mais ce costume ci avait un quelque chose en plus, il semblait plus beau que les autres, le noirs était plus sombre, moins délavé et sa coupe était tout simplement parfaite.

«  Alors ?

- Ce costume est fait pour toi.

- Il ne me manque plus que …

- Ton chapeau ?

Caffrey cessa de chercher autour de lui et regarda sa conjointe, il repéra très vite sa cible : son chapeau était sur la tête de la rousse. Il s’approcha avec douceur, en plongeant son regard azur dans ses yeux verts et lui vola un baiser en même temps qu’il lui déroba son couvre-chef.
La jeune femme détacha ses lèvres et regarda l’horloge un moment, avant de laisser s’échapper un léger rire.

«  Tes quinze minutes son quasiment passé, tu devrais descendre le rejoindre avant qu’il ne réduise d’un kilomètre ou deux ta cour de récréation.

- Excellente idée, répondit Neal, inquiété par cette idée. »

Il l’embrassa une dernière fois et tourna les talons, inutile d’énerver Peter plus que ce qu’il ne l’était, mieux valait ce dépêcher.
Arrivée en bas il observa l’agent visiblement fâché et tenta malgré lui de détendre l’atmosphère.

«  Quinze minutes pile ! dit-il tout souriant.

- Tais-toi et monte dans la voiture. Et surtout, arrête de sourire ! On a assez perdu de temps comme ça. »

L’escroc s’exécuta sans protester, Peter lui en voulait pour la réunion, il le voyait bien dans sa manière de faire. Il s’imaginait déjà assis derrière son bureau avec des dizaines de cas de fraudes à l’assurance à régler.


Le trajet jusqu’aux bureaux des fédéraux fût vraiment très silencieux, l’agent voulait sans doute éviter de s’énerver à nouveau contre son consultant qui de son côté savait parfaitement qu’aucune excuse ne serait valable.
Il lui avait fait confiance pour la réunion avec les bureaux de Washington et Neal avait trahi cette confiance. Il était resté auprès de Sarah, en parfaite connaissance des conséquences. Cette réunion était censé briser la tension entre les deux services et permettre une importante collaboration, mais Neal n’était pas venu, comment cela aurait-il pu bien se passer ?

Le service de Washington était prêt à se réconcilier avec une équipe irréprochable et efficace malgré sa spécialité. Et à la place ils découvrent que l’un de ses membres n’était pas vraiment celui qu’on disait. Qu’il n’avait même pas daignait venir. Ce jour-là précisément il était crucial qu’il se montre de son bon côté vu que le service étranger était déjà très réticent quant à travailler avec Neal Caffrey, le célèbre escroc, voleur et menteur professionnel.


Peter était encore plus froid dans l’ascenseur, c’était une certitude maintenant, il fâché contre lui pendant un bon moment. Quand ils sortirent il partit directement à son bureau, Caffrey quant à lui fût intercepter par le reste de l’équipe.

«  Alors, Caffrey, tu as décidé de venir finalement ? Ria Diana.

- Tu sais, ton petit coup ce matin n’a vraiment pas plus du tout. Continua Jones.

- Je sais, croiser Peter me l’a fait comprendre assez vite. Et les représentants de Washington ?

- Hum,… comment te dire ça,… ils n’étaient pas très contents…

- C’est pas très précis ça Jones.

- je vais te la faire courte, Caffrey, repris Diana d’un ton critique, t’as vraiment tout fait foiré sur ce coup-là, nous ne collaborons pas avec eux sur l’affaire du voleur de diamants !

- Mais c’est nous qui avons retrouvé sa trace alors qu’il le cherchait depuis un an, ils ne peuvent quand même pas nous écarter ! S’énerva Neal.

- Si, ils l’ont fait. Conclut Jones »

Les deux agents retournèrent à leurs occupations quand ils virent Hughes sortir de son bureau.
Il pointa Neal des doigts et lui fit signe de venir.

« Oh, deux doigts, c’est pas bon ça… Se murmura l’escroc »

To Be Continued…

j'adore vraiment cette fic !!              J'attends qu'une chose :        

merciii Eddie    

La suite, vers 19h je pense   a voir ...

Elle est top cette suite !

Neal a intérêt à se rattraper là !

merci Zat    

va t-il seulement y arriver ?

la suite, d'ici, une vingtaine de minutes  

Ah ben j'espère bien, même si je sens que c'est bien mal parti...

Comme promis, la suite, mais comme elle petite je mettrai encore la suite après  


Chapitre 4

« Asseyez-vous Caffrey, ordonna Reese.

- Si c’est en rapport avec ce matin, je suis vraiment désolé, je

- Comprenez-moi bien, on oublie pour cette fois mais encore un coup comme celui-là et je vous garantis que l’étendue de votre traceur sera le cadet de vos soucis.

- Bien monsieur.

- Dehors maintenant, avant que je ne change d’avis ! »

Neal sortit, il n’aurait plus d’autres chances comme cela avant longtemps. Il jeta un rapide coup d’œil dans le bureau voisin, Peter était plongé dans un dossier, surement leur prochaine affaire.
Il s’approcha doucement et vint se placer dans l’entrée sans un mot, puis il frappa à la porte.

«  Peter ? dit-il hésitant, de peur qu’il s’énerve à nouveau contre lui.

- Ah, Neal, on rassemble l’équipe en salle de réunion, on a nouveau cas, il se leva et s’en alla sans même prêter attention à l’escroc.

- Tu vas m’éviter encore longtemps ? demanda celui-ci

- Tu vas me trahir encore souvent ?

- Peter…

- Non Neal ! J’avais confiance, tu ne te rends pas compte de l’importance que ça avait ! Tu as tout gâché !

- Je suis

- Non ! Pas un mot ! Tu n’as aucune excuse, nous ne pouvons plus espérer aucune collaboration avec eux et c’est ta faute !

- Parce que je n’étais pas là ? Quelqu’un va-t-il enfin me dire ce qui s’est réellement passé dans cette salle ? S’énerva-t-il

- Si tu avais été là tu l’aurais su ! Hurla l’agent à bout, il m’arrive de me demander si j’ai bien fait de te sortir de prison ! On ne peut pas te faire confiance ! »

Neal se tût, incapable de répondre, les derniers mots de son ami l’avait blessé au plus profond. Peter lui mentait, ils lui mentaient tous mais il y avait autre chose sous cette fameuse réunion, bien plus qu’une simple collaboration. Peter ne se serait jamais mis dans cet état. « J’avais confiance »,  « Tu as tout gâché », que devait-il comprendre ? qu’avait-il fait pour qu’il se demande s’il n’aurait pas dû le laisser dans cette prison d’où il l’a sorti il y a quelques années ? Quel était son crime ?

To Be Continued…

Ouf, Neal a eu chaud. Par contre, la réaction de Peter m'intrigue au plus haut point...

ahh parfait ! parfait ! tout ce passe comme prévu alors  

la suite, ça t'intéresse ?  

Ah oui, ça m'intéresse   

ah bah, je peux pas t'ee priver alors  

Chapitre 5 :

Neal s’était assis au bout de la table, il regardait par la fenêtre, se remémorant chaque mots que lui avait hurlé Peter, il n’y croyait toujours pas, quelque chose se passait dans son dos et il savait une seule chose : ça avait un rapport direct avec lui.
L’agent donnait l’impression de ne pas voir qu’il l’avait réellement blessé.

«  Nous avons un voleur d’œuvre d’art, il évite les caméras, il ne laisse pas d’empreintes et on ne connait pas son nom.

- Que sait-on exactement de lui ? interrogea Jones

- Son butin s’élève à plus de 10 millions de dollars, rajouta Peter

- D’après le dossier il s’en ait pris à 3 grands musées de la ville ensuite il s’est penché vers un riche collectionneur et lui a dérobé 4 toiles de sa collection, heureusement celles de grandes valeurs avaient été déplacé quelques jours auparavant pour participer à une exposition, indiqua Diana

- C’est d’ailleurs devant la villa cambriolé qu’une caméra de surveillance à aperçu ce 4x4. Modèle de sport, noir, vitres teintées. Le même a été aperçu par les caméras de circulation près d’un des musées cambriolés, dit Peter.

- Sur l’image de la villa nous apercevons un fragment de la plaque, on peut toujours essayer de retrouver le reste, elle est peut-être vraie, énonça la jeune femme.

- Neal ? Un avis ? demanda Peter d’un ton glacial

- Et bien, moi, si j’avais plus de 10 millions de dollars je quitterai la ville, peut-être même le pays pour continuer ailleurs et pouvoir dépenser, parce qu’ici ça serait devenu trop dangereux. C’est ce que je ferais dans son cas je pense, enfin…, c’est purement hypothétique  bien sûr…

- Bien sûr … répéta Diana

- Bon, je veux que vous me surveilliez les métros, les trains, les aéroports, les ports, tout ! Je ne veux pas que cet homme quitte la ville.

- Mais, mais, mais repris Neal d’un ton énigmatique

- Mais ? S’impatienta Jones

- Mais il n’a pas 10 millions de dollars. »

L’équipe regarda l’escroc, bouche-bé, alors que celui-ci souriait, visiblement ravi de l’effet produit. Mais ce n’était pas le cas de l’agent Burke, lui venait de pousser un soupir d’exaspération, il fusillait Neal du regard qui rangea aussitôt son sourire et se lança dans des explications.

«  Il a attaqué trois grands musées de New York avec succès et à ce moment-là son butin s’élevait à 5 millions de dollars. Il ne volait qu’une œuvre, d’une valeur assez élevée, alors pourquoi s’attaquer soudainement à un homme isolé et prendre cette fois plusieurs toiles ? C’était un risque inutile. Et c’est contradictoire à son mode de fonctionnement.

- Peut-être était-il suffisamment sûr de lui pour ça.

- Je suis désolé Peter, mais ce qui fait qu’un voleur est sur de réussir son coup sans ce faire prendre c’est qu’il l’a déjà fait quelque part, qu’il sait que la méthode marche.

- Bon, admettons, pourquoi aurait-il fait ça d’après toi ?

- Non, tu ne comprends. Il ne l’a pas fait. Ce n’est pas lui qui a cambriolé la villa.

- Neal, tu vois cette photo ?  S’énerva à nouveau Peter. C’est un 4x4 noir, avec des vitres teintées, le même qui a été près du musée et cette photo est tirée des caméras de la villa.

- C’est le même modèle mais pas le même véhicule.

- Neal grinça l’agent

- Il aurait enlevé les plaques pour les musées et les aurait gardé pour cambriolé la collection ? Ça ne tient pas la route Peter !

- Il faut croire que les voleurs ne sont pas si malins ! Avec eux on ne sait jamais à quoi s’attendre.

- Je sais que tu as un problème avec moi depuis ce matin même si je ne comprends pas la raison mais il faut voir l’évidence ! Ce n’est pas le même homme !

- Diana ! Je veux que tu me trouves le propriétaire de ce 4x4, je veux son nom, son adresse et une photo pour bloquer les sorties de la ville. Jones, tu vas raccompagner Caffrey chez lui. Je m’occupe du mandat et dès qu’on a l’adresse on va chercher à son domicile. »


Dans la voiture Neal ruminait, il ne comprenait toujours pas. À côté de lui il pouvait voir Jones plutôt gêné par la situation et sa mission. Le jeune homme l’avait observé assez longtemps pour le comprendre, il savait aussi maintenant que Jones ne savait rien, il n’était pas là à la réunion et si Peter devait le dire à quelqu’un c’est à Diana qu’il l’aurait dit, de peur que Neal puisse justement deviner si Jones savait quelque chose et le faire parler. Mais la jeune femme aussi était normale, pas plus agressive que d’habitude, alors soit elle était une excellente comédienne soit elle ne savait vraiment rien.
Remonté chez lui le jeune homme posa son chapeau et pris une bouteille de vin et un verre. Il s’apprêtait à l’ouvrir quand une voix  l’interrompu.

«  Il y en a une déjà ouverte sur la terrasse. »

La voix venait de dehors, Neal sortit et trouva effectivement une bouteille à moitié vide sur la table.

«  Mozzie ! Tu sais que c’est chez moi ici ? Et que c’est mon vin ?

- Sarah a appelé, elle pensait passer d’ici quelques minutes récupérer un dossier qu’elle avait oublié ce matin. Je lui ai dit que ça ne déranger pas. Mais je pense qu’elle sera ravie de te voir.

- Et c’est tout ce qu’elle a dit ?

- Tu sais Neal, tu devrais te prendre une assistante pour enregistré les messages de tes admiratrices.

- Merci Mozzie.

- De rien, ça a été un plaisir de t’aider à finir une bouteille. »

Neal saisit la bouteille et versa doucement le liquide rouge sang dans son verre, mais Mozzie le coupa à nouveau.

«  Hum… Big brother te surveilles.

- Quoi ?

- Regarde dans la rue en bas, la camionnette.

- C’est un bien un véhicule des fédéraux, mais ce n’est pas celui pour la surveillance.

- Alors à quoi sert-il ? dit Mozzie en retournant vers la bouteille. »

Neal resta à observer la rue et la fameuse camionnette. Elle était noire et sans inscription, mais c’était bien des agents qui en sortaient. Dans la minute qui suivie un autre véhicule identique est venue se garer à côté. Il ne fallut guère longtemps à l’escroc pour comprendre.

«  Mozzie ! Faut que tu partes vite !

- Quoi ? Qu’est-ce qu’il y a Neal ?

- C’est le FBI !

- Et alors tu travailles pour eux non ?

- Non Mozzie, tu ne comprends pas ! C’est Washington ! Je le sais j'ai déjà vu ces personnes !

- Hein ? Washington ? Qu’est-ce que tu racontes ? Neal ?

- Plus tard Mozzie ! Faut que tu partes avant qu’ils entrent !

- Qu’ils rentrent ? Pourquoi ils rentreraient ?

- Mozzie ! Va-t’en ! »

Mozzie n’insista pas, Neal lui expliquerait en temps voulu, il posa son verre et pris rapidement le chemin de la sortie. Neal retourna sur le balcon, plusieurs agents sortaient des camionnettes et se dirigeait vers la porte de la maison de June. Plus le temps de fuir, peu importe ce qu’ils lui voulaient.

To Be Continued…

Neal me fait vraiment de la peine là. Il faut que Peter lui dise réellement ce qui na va pas, sinon ils vont droit dans le mur.

merci pour le com'  
J'aime beaucoup ton analyse  

ok c'est officiel ! je suis accro à ta fic !!      je veux trop savoir ce qui va se passer et aussi ce qui c'est passé le matin en réunion !!!

mercii eddie    

tu auras tes réponses dans les chapitres 7 & 9, mais je n'en dis pas plus  

Désolée pour le double post, un petit chapitre en plus.


Neal s’empressa de cacher des copies de célèbres toiles dans un compartiment secret, avec de la chance ils ne le trouveraient pas, jamais ils ne le croiraient si il leur disait que c’était pour son plaisir, que Neal Caffrey peignait des faux pour passer le temps. Mais il n’eut pas le temps de se poser la question plus longtemps. Quelqu’un frappait à la porte.

«  FBI ! Ouvrez la porte ! »

L’escroc ne pouvait faire autrement, il leur ouvrit la porte et se vit tendre un mandat.

«  Nous avons l’autorisation de fouiller cet appartement de fond en comble pour trouver des preuves dans notre affaire, si vous opposez toute résistance nous nous verrons dans l’obligation de vos arrêter sur le champ.

- …

- ah oui, ça peut prendre du temps alors je vous conseille de vous asseoir et de rester tranquille. Informa l’agente du FBI »

Neal resta de marbre, le mandat en main, il ne savait même pas de quoi il était suspecté. Mais il était sûr d’une chose, ça devait avoir un lien avec cette fameuse histoire de réunion car cette femme, qui menait la fouille de son appartement appartenait justement au service de Washington avec lequel ils étaient censés collaborer.

« Alors vous trouvez quelque chose ?

- Non rien pour le moment. Répondit l’un des agents

- Continuez de chercher alors, elle marqua une pose et observa attentivement le propriétaire, Neal Caffrey doit surement avoir ses cachettes. »

Sa réputation le précédé encore une fois, et elle le mettait gravement en danger. Maintenant ils savaient tous quoi chercher, un compartiment dans un mur, un coffre derrière un tableau, un faux plafond, une trappe dans le sol, une cachette que pourrait utiliser un célèbre escroc.

«  Je crois que j’ai quelque chose derrière ce mur !

- Montrez-moi !

- Juste ici, pointa l’agent, la paroi sonne creux.

- Ouvrez-moi ça alors. »

L’agent s’exécuta et en sortit deux tableaux, ils venaient de trouver l’une de ses cachettes où il cachait ses faux. La femme aux commandes récupéra une paire de menottes à l’un de ses collègues et se dirigea vers Neal.

«  Neal Caffrey, au nom de la loi je vous arrête, vous avez le droit de garder le silence, tout ce que vous direz pourra être retenu contre vous. Vous là, dit-elle en pointant un agent, veillez à ce qu’il reste assis sur cette chaise pendant que nous finissons. Je ne tiens pas à ce qu’un de ses complices passent pendant que nous l’embarquons pour reprendre des preuves que nous n’aurions pas trouvé. »

Neal était vraiment en très mauvaise posture, il voulait protester, se défendre, savoir de quoi on l’accusait exactement, mais le pire n’était pas encore arrivé. Sarah, qui avait prévenu de sa venue se trouvait dans l’embouchure de la porte, son visage affiché surprise et désarroi.

«  Neal ? S’interrogea la rousse effrayée

- Sarah, je peux t’expliquer, j’ai, mais il fut couper

- Madame, Vous n’êtes pas autorisé à parler à mon suspect.

- Votre suspect ? Elle était de plus en plus inquiète

- On en a trouvé d’autres ! »

C’était un agent qui venait d’intervenir, un autre compartiment avait été découvert, l’appartement était maintenant entièrement retourné. Ils avaient tout trouvé, les trois emplacements où il avait caché ses toiles et jamais ils ne croiraient qu’il les avait faites pour passer le temps, encore une fois, sa réputation le condamné.

«  Bon, embarquez-le ! Et emmenez-moi ces toiles aussi ! Je crois qu’on va avoir de longues heures d’analyse et d’interrogatoire devant nous. »

L’escroc tenta de garder son calme, il lui fallait de l’aide, il ne connaissait pas la raison première de la venue du FBI, mais ces découvertes-là allaient le mettre dans de beaux draps quoi qu’il arrive.

«  Sarah ! Sarah appelle Peter ! »

C’est les derniers mots qu’il avait pu lui dire avant que le FBI l’emmène, de la fenêtre d’un des véhicules il avait pu apercevoir Sarah, sur le pallier, hocher la tête, elle allait appeler Peter, il en était sûr maintenant, il n’avait plus qu’à être patient. Ce n’était pas la première fois qu’il était arrêté mais c’était bien la première fois où il était réellement innocent.  


«  Agent Burke.

- …

- Doucement Sarah…

-…

- Quoi ?

- …

- Quand ?

-…

- C’est pas possible ! Neal !

- …

- Bon, d’accord, j’y vais, je vais voir ce que je peux faire. Je vous tiens au courant. »

Il raccrocha et pris sa veste, si il sortait Neal de là il allait l’entendre c’était une certitude.  

«  Diana ! Je te confie le service pour le moment ! Continuez d’avancer et voyait si vous arrivez enfin à reconstruire la plaque.

- Un problème patron ? S’inquiéta Jones qui se trouvait auprès de Diana

- Neal est en prison. »

To Be Continued…

Oh Neal, dans quel pétrin t'es-tu fourré là ?