Une peine innacceptable [ White Collar ]

Je vois plein de compassion dans ta phrase, il est dans le fameux mur dont tu parlais ?

La suite dans pas trop longtemps quand j'aurais fini de la relire  

Oui, j'ai pitié de lui

En effet, c'est bien de ce genre de mur dont je parlais. Je me demande comment va réagir Peter face à lui.

tu vas le savoir très vite, voilà la suite  


En arrivant à la prison Peter tomba nez à nez avec l’autre service du FBI.

«  Agent Burke.

- Agent Honey.

- Je suis surprise de vous voir ici, vous venez chercher un autre détenu pour remplacer votre ancien consultant ?

- Où est-il ?

- Actuellement, il est en cellule. Mais je pense que vous perdez votre temps.

- On reparlera de ça je vous le garanti !

- Oh, mais j’y compte bien. Nous allons avoir besoin de votre témoignage. »

Peter sentait la colère montait en lui, mais il n’avait pas le temps, il devait parler à Neal au plus vite. Certaines choses devaient être dites.
L’agent s’installa dans la salle réservée aux visites et il attendu plusieurs minutes avant que l’escroc n’arrive enfin. Il était accompagné d’un agent du pénitencier, et il avait revêtue la tenue de pensionnaire.

« Peter, je suis ravi de voir que Sarah t’as prévenu.

- Comment ça vas Neal ?

- Et bien, l’orange fait ressortir la couleur de mes yeux je crois. Qu’en penses – tu ?

- Je suis désolé Neal, j’aurais dû te le dire.

- Me le dire ! Parce que tu le savais ? Tu savais qu’ils allaient venir ? Et tu disais qu’on ne pouvait pas me faire confiance…

- Neal, ils ne devaient t’arrêté que si ils trouvaient des preuves.

- Des preuves ? Des preuves de quoi ! Je ne sais pas de quoi on m’a accusé !

- Tu es accusé d’avoir cambriolé la « National Gallery of Art » Neal, et si tu es là, c’est qu’ils en ont les preuves.

- Les preuves ? Coupa Neal au bord de la crise de nerfs, sais-tu seulement pourquoi je suis ici ! Ils m’ont arrêté parce qu’un cherchant tes fameuses preuves ils sont tombés sur des toiles ! Des copies et encore des copies de célèbres tableaux !

- Mais que faisais-tu avec des copies !

- Il y a des personnes qui essayent de tuer le temps vois-tu !

- Bon sang Neal ! Tu ne pourrais pas faire comme tout le monde et rester tranquille !

- Mais je ne fais que peindre ! Et à cause de toi je suis en prison !

- Non, ce n’est pas ma faute.

- C’est toi qui les as envoyés fouillé chez moi !

- Tu étais suspecté de vol Neal ! Ils ont eu un mandat, je n’y suis pour rien !

- Tu aurais pu leur montrer les relevés de mon traceur !

- …

- Quoi ?

- Je l’ai fait Neal. Je leur ai montré, mais les données correspondant à ton week-end de libre,… étaient introuvables.

- Introuvables ? Comment ça « introuvables » ?

- Ecran brouillé, pas d’historique, rien, aucun moyen de savoir où tu étais le week-end dernier.

- Je suis innocent Peter, je te le jure.

- Je sais plus si je dois te croire.

- Je n’ai pas bougé de New York !

- C’est ta parole contre celles des fédéraux.

- A part la mystérieuse disparition des données ils n’ont rien contre moi !

- La méthode employée est exactement celle que tu as utilisée dans l’affaire du mois dernier !

- Et tu me penses assez stupide pour la réutiliser ?

- Tu l’as dit toi-même ce matin, quand une méthode marche on est sûr de son coup.

- Mais pas quand on a montré cette méthode au FBI ! Il te suffit de regarder pourquoi mes données ont disparue ! Quelqu’un les as peut être effacés ?

- Je ne vais pas rechercher un criminel au sein du FBI alors qu’il se tient devant moi !

- Alors tu me penses vraiment coupable ? dit-il d’un ton dramatique

-…

- J’ai compris. Gardien, nous en avons fini ! »

Le garde revint dans la pièce et raccompagna Neal dans sa cellule.

To Be Continued…

non mais non !! pas en prison !! Qu’est ce qui te passent par la tête ??!! Le pauvre  

Outch, ça va de plus en plus mal pour Neal et Peter n'a pas l'air décidé à l'aider  

aahh, c'est trop, j'adore vos réactions  

je me demande si je vous laisse encore dans cet état de " c'est très mal partit là " ou si je vous met la suite  

Bon, finis de vous faire poireauter, voici une petite suite. 


Chapitre 8 :

Peter venait de prévenir Diana qu’il ne reviendrait pas au bureau, qu’il rentrait chez lui dîner avec sa femme, il avait besoin de se changer les idées.

« Chérie, je suis de retour.

- Tu vas faire cette recherche où tu pourras toujours voir avec June pour reprendre l’ancien appartement de Neal.

- mais …

- Non, tu vas vite retourner au bureau, tu vas réunir ton équipe et tu vas faire sortir Neal de prison.

- La prochaine fois que Neal ce fait arrêter je demanderai à ce qu’on lui refuse son coup de fil. Grogna l’agent

- Peter. Tu dois le faire sortir. Dit-elle de sa voix la plus légère »

L’agent Burke se posa sur le canapé, appuyant sa tête sur ses mains, il ne savait réellement plus quoi penser. Elizabeth vint le rejoindre, elle déposa sa main sur son épaule, comme pour apaiser son esprit.

« Neal a appelé, il a dit qu’il était en prison, qu’il y serait surement pour longtemps.

- Et il t’a demandé de me parler…

- Non, il m’a fait ses adieux, il m’a dit qu’il était content d’avoir partagé quelques années avec nous. Mais même si c’est un très bon menteur je sentais bien qu’il était déçu, ça s’entendait dans sa voix. Je n’avais pas le temps de le cuisiner, mais je n’en n’ai pas eu besoin, il m’a tout simplement tout dit.

- Et, qu’en a tu déduis ?

- Je pense que devrais l’aider, essayer de lui faire confiance.

- Mais on ne peut pas lui faire confiance, on ne pourra jamais.

- C’est pourtant ce que tu as fait, quand tu l’as pris comme consultant. Tu lui as fait confiance.

- Je ne sais pas, cette fois-ci il y a des preuves… et…

- Et un moyen de vérifier s’il dit vrai.

- Je pourrai mettre en péril ma carrière en cherchant un traitre dans nos rangs tu sais, surtout si je n’en trouve pas.

- Il l’aurait fait pour toi. Vas y maintenant, je suis sûre que tu seras très occupé, mais trouve quand même le temps, s’il dit vrai alors le véritable coupable court toujours.

- Et s’il se trompe ?

- Alors on aura cru une dernière fois qu’il pouvait être sincère, … A ce soir mon chéri.

- A ce soir chéri. »

Ils s’embrassèrent une dernière fois et Peter repris la route sans même avoir mangé. Elizabeth avait eu raison de le pousser à accepter l’offre de Caffrey il y a si longtemps maintenant, pourquoi aurait-elle tort aujourd’hui ?

To Be Continued…

Bravo Elizabeth !!!!!!!!

Oui Peter va sauver Neal !!!!!!!!!!

OH, c'est beau de voir l'espoir revivre dans ces commentaires  

puisque c'est comme ça la suite, avec enfin, le fin mot de l'histoire  


Chapitre 9 :

Peter venait tout juste de sortir de l’ascenseur que les questions fusèrent.

« Patron ? S’interrogea Diana, surprise

- Vous ne deviez pas manger avec votre femme ? Continua Jones

- Plus tard. Je vous veux tous les deux dans mon bureau.

- C’est au sujet de Caffrey ? S’inquiéta Diana en passant la porte

- Vous avez trouvé quoi sur la plaque ?

- Ce n’est pas une fausse et elle est enregistré au nom de Steeve Halgog, il est sorti de prison il y a 5 jours. On sait aussi qu’il doit
beaucoup d’argent à un autre ancien détenu. C’est surement ce qui l’a poussé à commettre le vol.

- Nous avons aussi son adresse, continua Jones. On devrait avoir un mandat d’ici peu, cependant il y a un problème.

- Les vols des musées ont été commis il y a plus de 5 jours. Halgog était donc dans l’incapacité de voler quoi que ce soit.  Conclue l’agent Burke

- Caffrey avait raison, repris la jeune femme, ce n’est pas le même homme et les 4x4 sont une pure coïncidence. »

Peter soupira, il avait tort depuis le début, il s’en était pris à Neal avec tant de colère qu’il ne l’avait même pas écouté alors que c’était évident. Il avait commis une grave erreur qui lui avait coûté bien plus que du temps. L’escroc disait vrai ce matin, peut-être disait-il vrai pour le musée de Washington ? Il devait en être sûr.

« Jones, Diana, vous attendez le mandat, quand vous l’aurez, vous venez me chercher et on ira fouiller chez cet homme, s’il est assez stupide pour garder ses plaques peut-être garde-t-il aussi les toiles à son domicile. »

Le jeune homme sortit du bureau et regagna le sien, mais Diana ne le suivit pas, les évènements de la matinée, Peter qui avait évité sa question, toutes ces questions méritaient une réponse.

«  Qu’est ce qui se passe avec Caffrey ? Ce matin vous vous assassiniez du regard et là il est en prison ?

-…

- Si vous ne voulez pas me le dire je…

- Non, coupa-t-il, c’est bon. »

Il marqua une courte pause et laissa la jeune femme s’asseoir.

«  La réunion de ce matin ne visait pas seulement à une future collaboration. Il y avait bien plus derrière. Nos collègues de Washington enquêtaient sur le vol de la « National Gallery of Art » commis le week-end dernier.

- J’en ai entendu parler, ils soupçonnaient Caffrey ?

- Le mode opératoire correspondait parfaitement à ce qu’il avait utilisé lors d’une infiltration le mois dernier. Mais c’était lui qui avait proposé la technique pour se faire remarquer et accepter au sein du groupe. C’était la sienne, il l’avait monté de toutes pièces Diana.

- Ils l’ont donc immédiatement soupçonné.

- Oui, ils ont eu connaissance du rapport et donc de comment Neal s’y était pris. Ils ont tout de suite fait un lien, pour eux il n’y avait aucun doute possible : Il était coupable.

- Je ne vois toujours pas ce que jouait la réunion là-dedans.

- Je les avais convaincu de ne pas arrêter Neal, d’attendre cette réunion pour saisir l’occasion de vérifier les coordonnées du traceur et de lui demander son alibi.

- Mais Neal n’est pas venu.

- Ce n’était pas son absence le réel problème. Mais l’absence de données dans l’historique du traceur, personne ne sait où était Neal au moment du vol.

- Et vous ne pouviez pas lui demander d’explication car il n’était pas là.

- J’ai parlé à l’agent Honey, responsable de l’affaire. Nous nous sommes entendu sur un accord : « Je ne disais rein à Neal pour éviter toutes fuites en cas de culpabilité, et en échange, ils attendaient d’avoir un mandat pour fouiller chez lui, ils ne devaient l’arrêter que s’ils trouvaient des preuves de ce qu’ils avançaient.

- Mais, s’il est en prison,… Alors c’est qu’ils…

- Non, ils n’ont rien trouvé en rapport avec leur affaire… Mais ils ont trouvé des faux, des faux de célèbres toiles, mais

- Tout le monde sait que Neal peint des faux pour passer le temps.

- Mais Washington n’en croit pas un mot, et c’est compréhensible, si je ne le connaissais pas depuis toutes ses années, je penserais aussi qu’il a repris ses vieilles habitudes.

-…

- Si je l’avais prévenu il aurait pu déplacer les tableaux et il serait toujours libre. Culpabilisa Peter

- Mais s’il était coupable il aurait aussi pu cacher les preuves. Vous avez fait ce qu’il fallait.

- Je ne lui ai pas fait confiance Diana, je l’ai moi aussi jugé coupable. J’aurais pu prendre sa défense, dire qu’il avait raccroché depuis très longtemps, mais je n’ai pas hésité un instant à penser qu’il avait repris son ancienne vie. Et maintenant il risque de croupir en cellule pour longtemps.

- Mais nous pouvons le prouver non ? C’est de ça qu’il voulait vous parler ?

- Oui, mais je pourrais bien perdre toute crédibilité au sein du FBI, et peut-être même mettre ma carrière en danger.

- Nous, si vous le tentez,  je vous suis.

Peter compris qu’il ne pourrait pas l’en dissuader, alors il acquiesça.  Ils sortirent tous les deux et retrouvèrent Jones qui s’apprêter à aller à leur rencontre.

«  On a notre mandat, annonça le jeune homme

- Bien allons-y alors, dit Peter, puis il s’approcha de Diana, pas un mot sur Caffrey pour le moment, je ne veux pas que tout le service tombe pour lui, glissa-t-il doucement. »

To Be Continued…

Ouais, une équipe de choc pour sauver Neal     

Des commentaires si positif après ceux de hier, rien que pour ça je continue :


Chapitre 10 :

Ils arrivèrent très vite au domicile de Mr Halgog, le propriétaire semblait être absent mais des bruits provenant du garage le trahir.

«  Mr Halgog ! FBI ! Restez ou vous êtes ! hurla la jeune femme. »

Il venait d’être pris la main dans le sac, il y avait autour de lui deux des toiles volées et du papier, ils emballaient soigneusement les toiles une par une, et a jugé du rectangle enrobé de papier, il en manquait une.

«  Je crois que nous n’avons pas besoin d’autres preuves, messieurs vous pouvez l’emmenez, Diana, Jones avec moi, tachons de trouver la dernière œuvre.

- On peut déjà éliminer le garage, sinon elle serait avec les autres. Affirma Diana

- Alors entrons. »

L’équipe entra, la maison n’était pas bien grande mais le rangement laissé cruellement à désirer. Il était vrai que pendant 3 ans de prison son occupant n’avait pas eu le temps de s’en occuper. Peter voyait déjà l’appartement de Neal dans un désordre pareil, ses bouteilles de vins couvertes de poussières attendant le retour de leur propriétaire, les toiles laissant leur peinture se craqueler au soleil. Oui, c’était à sa que ressemblerait la chambre de Neal s’il ne faisait rien, une grande pièce où la poussière comblerait le vide immense qu’aurait laissé son ami.

Jones s’attaqua aux couloirs, Diana pris le salon et Peter s’occupa de la chambre, les idées noires. Les couloirs étaient assez étroits, dépourvu de toutes décorations, il avait surement tenté de vendre le plus d’objet possible avant de commettre un vol pour rembourser ses dettes, il n’y avait aucune trappe, ni aucun faux mur, les couloirs étaient vides, la dernière peinture n’était pas là.

De son côté Peter était face à un grand lit vide, il n’y avait plus qu’un matelas dessus, la dernière commode était vide également, plus de chaussettes, plus de chaussures, plus de chemises, rien. Cet homme avait tout perdu.  Il passa ensuite au dressing annexé à la chambre, il restait encore un ou deux  blousons accrochés sur des cintres, et un chapeau, un panama, décidément tout dans cette maison lui rappelait son consultant. Mais il n’y avait pas une seule trace du tableau.

Diana continuait ses recherches dans le séjour, le canapé était poussiéreux comme le reste de la maison, les plantes étaient mortes, il n’y avait plus aucune vie ici. Elle tapa plusieurs fois sur les murs à la recherche d’un compartiment mais elle ne trouva rien, il n’y avait rien sous le tapis non plus. Néanmoins la jeune femme remarqua une véranda dans le prolongement de la pièce. Le tableau y était, il y trônait, accroché au mur, il était vraiment magnifique, le genre de tableau que Neal aurait copié avec grand plaisir.

Diana le décrocha sans plus attendre, il allait retourner à son propriétaire avec les trois autres. Elle prévenu ses deux équipiers et ils reprirent la route. Ils venaient de résoudre une des affaires de la journée. Ils avaient le voleur, le mobil et même les toiles. C’était le premier évènement positif ce jour-là.


En arrivant au bureau Peter se dirigea vers son supérieur.

«  Je peux vous parler ?

- Bien sûr, mais entrons dans mon bureau je sens que je vais voir besoin d’être assis.

- Oui, c’est très probable.

- Bien, je vous écoute, à quelle demande farfelue vais-je avoir le droit pour faire sortir Neal de prison ?

- Ils ont donc appelé.

- Oui, ils ont appelé, mais répondez à ma question agent Burke. Quel est le plan de Caffrey cette fois ?

- Et bien, pour dire vrai, c’est le nôtre, je suis d’accord avec lui sur ce point. Il clame son innocence et je pense qu’il peut l’être. Mais le seul moyen de le prouver serait de trouver qui a supprimé les données du traceur, lui supprimant ainsi tout alibi crédible.

- Vous êtes en train de me dire que vous voulez chercher un traitre dans nos rangs ?

- Dans les rangs du service de Washington plus précisément.

- Vous seriez prêt à mettre votre carrière en péril en le croyant simplement sur parole ?

- Oui, j’ai confiance en lui.

- Dans ce cas, s’il y a bien un traitre je compte sur vous pour le trouver. Mais soyez prudent, notre meilleure équipe a déjà perdu un membre je ne voudrai pas que vous deveniez son nouveau compagnon de cellule. Alors, ne tentez rien qui pourrait vous y envoyer.

- Bien entendu, répondit Peter en affichant un sourire à la Caffrey »

Reese, soupira et agita la main comme pour faire fuir le sourire de l’agent Burke, il lui fit signe de sortir et il laissa sa tête se déposer entre ses mains.

En sortant Peter fit signe à Diana de le suivre, ensemble ils se dirigèrent vers l’ascenseur.

«  Jones, tu restes là et tu attends notre retour.

- Où allez-vous ? S’interrogea l’homme

- Chercher Neal ! Répondit-il »

Dans l’ascenseur Diana regarda Peter, et profita de l’absence d’oreilles indiscrètes.

«  Qu’allons-nous faire réellement ?

- Trouver la seule personne qui ne veut pas nous voir.

- Ne me dites pas que…

- Si, de toute façon je préfère qu’il soit avec nous, il risque de tenter quelque chose pour faire évader Neal.

- Mais où allons-nous le trouver ?

- J’ai déjà dit qu’il était avocat aussi ? »

To Be Continued

oui !!!!! Aidons Neal !!      

Quelle suite !!!!!!!!

une dernière suite pour avancer celles que je ne pourrai pas poster demain

Chapitre 11 :

Les deux partenaires arrivèrent bientôt devant la prison où séjournait leur ami. Ils espéraient tomber sur Mozzie avant que celui-ci n’entre, vue les récents évènements Neal ferait surement appel à la loi qui lui autorise à parler à son avocat seul à seul, après ça ni Peter, ni Diana ne pouvait penser s’incruster dans leur conversation pour les convaincre de ne pas tenter d’évasion.
Neal avait déjà usé son coup de fil pour appeler Elizabeth, Mozzie devait donc trouver par lui-même où était son ami, ce qu’il lui était arrivé, et il devrait ensuite trouver la bonne prison. Ce résonnement allait surement lui prendre une bonne heure, avec de la chance, les deux agents étaient arrivés avant.


Pendant ce temps, chez June.

«  Neal ?

…

- Neal, ils sont partis ? Redemanda-t-il

…

- Neal, tu es là ?

…

- Neal ?  Finit-il par s’inquiéter »

…

Mozzie n’attendit pas plus longtemps une réponse, il poussa la porte et entra. L’appartement était sans dessus dessous, les fédéraux n’y étaient pas allé de main morte, ils avaient tout retourné ; le matelas, le dressing, ils avaient vraiment cherché partout, même le frigo avait été déplacé, au cas où il y a avait un faux mur derrière. Les costumes du dressing étaient tous sortis, empilés sur le côté, les chapeaux, qui étaient maintenant la marque de fabrique de Neal avaient eux aussi été déplacé. Rien n’était comme avant, le compartiment de la commode, celui derrière le tableau, et les autres cachettes étaient toutes ouvertes.

Il n’y avait plus aucunes traces de l’escroc ici. Mais quand Mozzie regarda attentivement l’appartement il s’aperçu qu’autre chose manquait, les toiles, les peintures que son ami avait si soigneusement peintes avaient toutes disparues. Il comprit très vite ce qui était arrivé, ils avaient trouvé des faux, et il ne leur en fallait pas plus pour arrêter un escroc aussi renommé que Neal Caffrey.

Il n’y avait pas beaucoup de prison possible, il fallait une prison avec un niveau de sécurité assez élevé, Neal s’était déjà échappé une fois. Ça enlevait déjà une possibilité, ils n’allaient pas non plus le remettre dans la même, ils savaient déjà que la surveillance était à sa hauteur, deux en moins, il ne restait qu’une possibilité.

Le faussaire ne perdit pas un instant et se dirigea vers sa cible en passant par Vendredi, sa résidence la plus proche, pour revêtir son costume d’avocat. Il s’éloigna ensuite de quelques pâtés de maison et pris un taxi pour se rendre sur place.


Les deux agents patientaient depuis plus d’une vingtaine de minutes maintenant. Mozzie n’était pas sorti pendant ce temps-là, il n’était donc pas encore arrivé, il y avait toujours de l’espoir. Une dizaine de minutes plus tard l’homme tant attendu se pointa enfin devant le pénitencier.

«  Monsieur l’agent. Pouvons-nous savoir pourquoi vous me coupez la route ?

- Mozzie, il faut qu’on parle à Neal.

- Je pense que vous seriez déjà à l’intérieur si c’était son souhait.

- On peut l’aider, repris Diana, mais il ne le sait pas.

- Il faut vraiment qu’on lui parle.

- Je ne sais pas si je devrais le faire, je ne peux pas trahir la confiance qu’il a en moi.

- Mozzie, souffla Peter, on peut vraiment l’aider, mais pour ça il faut qu’on entre et qu’on lui parle, mais il ne voudra pas.

- Sauf si vous vous joignez à nous, continua la jeune femme, il viendra pour vous et il tombera sur nous en même temps. Il sera obligé de nous écouter.

- Ce serait le trahir ! Je ne peux pas !

- Ce serait lui sauver la mise ! Lui permettre de retrouver sa liberté ! Cria l’agent Burke »


Dans sa sombre cellule l’escroc était allongé sur son lit, sa cellule était semblable à son ancienne, mais elle était plus petite encore, il y avait un gros mur vide en face de lui, il y voyait déjà s’aligner des dizaines de bâtonnets blanc, marquant jour après jour le temps qui passait. Un gardien vint cependant troubler ses pensées.

«  Neal Caffrey ?

- hum… ?

- Quelqu’un te demande, ton avocat apparemment. Lève-toi et présente moi tes mains. »

Neal s’exécuta, Mozzie l’avait trouvé, l’espoir renaissait, il présenta comme convenu ses mains au garde qui lui passa les menottes, une simple formalité que lui offrait encore sa réputation et sa précédente évasion. Il ne se déplaçait que mains liées, sauf dans le temps qui lui était réservé pour se dégourdir les jambes. Il s’y était habitué après quelques déplacements seulement, il savait bien que les toiles trouvées chez lui étaient largement suffisantes pour l’enfermer.

Mais son ami était venu à lui, il allait l’aidé, il en était convaincu, si le faire entrer dans un musée ou un bureau était un parcours de santé pour eux, le faire sortir d’une prison ne devrait pas être trop compliqué. Dehors, il leur suffirait de prendre les airs et de disparaître, d’oublier leur vie ici, d’oublier Peter, ce qui serait plus facile maintenant puisque leur amitié n’était plus ce qu’elle était. Mozzie était son seul attache maintenant, il ne compterait que sur lui.

Mais, lorsqu’il traversa le seuil de la salle aux visites, son sourire retomba, le regard qu’il lançait à celui qu’il pensait être son ami rimait avec ‘‘traitre’’.

To Be Continued

tu veux vraiment les détruire ou quoi ?!

J'adore ce chapitre !!

   

j'aime bien les faire toucher le fond on va dire, pour être moins brutal que "détruire"  

merciii beaucoup    pour la suite, je sais pas quand, j'ai été trop généreuse et j'en épuisé ma p'tite réserve  

Très bonne suite Zazou

Merci beaucoup Zat  

De rien   

Une micro suite pour me faire pardonner de tout détruire comme me l'a si bien dit Eddie

Chapitre 12

Neal  s’installa sur sa chaise sans lâcher Mozzie des yeux, il n’y croyait pas. Il comptait sur lui pour monter un plan d’évasion et lui il venait d’arriver accompagné de deux agents du FBI ! Mozzie ! Lui qui criait au complot se joint maintenant a ‘‘Big brother’’ comme il disait si souvent ! C’était maintenant lui le comploteur ! Il complotait avec le FBI contre lui ! Ce n’était pas croyable !

«  Neal, écoute nous au moins, implora Peter

- Pourquoi ? Pour que me traites encore de voleur et de menteur ? J’ai compris le message Peter, pas besoin d’en rajouter. » Il s’apprêtait à se lever et à rappeler le garde mais son ami faussaire le pris par le bras.

- Neal, je ne les aurais pas laissé enter avec moi si je ne pensais pas qu’ils peuvent t’aider. »

L’escroc resta un moment immobile, le bras tenu par son ami, il se retourna, et pour la première fois depuis son arrivée dans la pièce il regarda les deux agents. Il se moquait de ce que pouvait dire le regard de Peter, pour le moment lui pardonner n’était pas envisageable, mais dans les yeux de Diana il y avait une certaine sincérité, une détermination mais aussi une légère compassion. C’était une bonne raison de les écouter selon lui. Alors il reprit sa place et fît signe à ses visiteurs qu’ils pouvaient parler, que cette fois, il écouterait leurs propositions.

«  On va chercher qui aurait pu effacer les données de ton traceur. Annonça Peter.

- C’est vrai ? Tu vas prendre le risque de me faire confiance ?

- Mais a une condition, repris l’agent.

- Tout ce que tu voudras.

- Tu aurais dû mesurer tes propos Neal, s’inquiéta Mozzie.

- Mozzie, je suis déjà en prison, que pourrais-je risquer de pire ?

- Il est vrai que de ce point de vue…

- Caffrey, commença la jeune femme, tu dois nous dire où tu étais le week-end dernier.

- Je l’ai déjà dit, je suis resté à New York.

- Mais cela ne nous dit pas ce que tu faisais Neal, pointa l’agent.

- Je…Je

- Tu ? Neal, si tu ne leur dis rien ils ne pourront rien faire, intervint son ami.

- Je cherchais un cadeau pour Sarah. »

Peter observa attentivement son ancien partenaire, il resta attentif à chaque détail, son regard, son sourire, ses mains, ses clignements d’yeux. Il passa tout en revue. Et en arriva à une seule conclusion.

«  Tu mens Neal. Comment peut-on espéré te faire confiance si tu n’es même pas capable de nous dire ce que tu as fait le week-end dernier !

- Peter… c’est…

- Je te laisse plus qu’une seule chance Neal. Tu as cinq minutes pour passer aux aveux. Après quoi je te promets que je te laisserais pourrir au fond de ta cellule !

- Est-ce q…

- Non ! Neal, tu n’as aucune immunité pour ce que tu pourrais dire !

- …

- Et oui, même si ça pourrait te renvoyer de là où nous voulons te faire sortir.

- Bon, je n’ai pas le choix apparemment. S’attrista l’escroc »

Il avait face à lui trois personnes qui lui portaient le même regard, un mélange de curiosité et de reproche. Il lui était impossible de mentir sans se faire démasquer, Peter avait développé un certain don pour ça, une sorte de détecteur à mensonge contre lui, et il n’avait plus qu’une seule chance. Mais la vérité était toute aussi dangereuse, elle éveillerait des soupçons, des soupçons qui conduiront Peter à enquêter sur lui. L’agent voudrait à tout prix découvrir ce qu’il mijotait dans son dos, et c'était là le réel danger : qu’il découvre tout.

To Be Continued…

Mais avoue Neal !!!!!!!!!!!!!!!!!!

très bonne suite

avec tout ces points d'exclamations il va pas pouvoir refuser   ou peut être, je sais pas  

Merci Zat     la suite va être tapée dans la soirée

De rien   

Oh cool, parce que j'ai hâte de savoir ce qui va se passer

ahhhhhhhhhhhhhhh j'ai trop envie d'avoir la suite        

ça va arriver plus vite que tu ne le penses