Au-dessus des nuages, le soleil..... (Smac)

J'adore ta façon d'écrire.

J'ai vraiment les jetons pour Stella. Tu nous a crée un personnage carrèrement digne d'un film d'horreur.

Bravooo
La suite

Voilà la suite (assez longue) de ce matin, j'espère qu'elle vous plaira.

Moi, je vous dis à demain soir !

Bonne lecture !


Au-dessus des nuages, le soleil...

Chapitre 21.


Ils coururent vers lui et la virent : nue, allongée dans les fourrés, un portait de Stella scotché sur le visage...

- Je vais chercher la mallette !

Stella partit en courant mais fut arrêté net par le NON crié simultanément par les deux hommes.
Elle les regarda et fronça les sourcils.
- Stella, tu ne vas nulle part toute seule, tu entends ? Tu n'as pas encore compris que la quatrième victime, ce sera toi ?

Le ton de Mac était cinglant et il glaça la jeune femme. Flack essaya de tempérer la dispute sous-jacente qui n'allait pas tarder à éclater.
- Mac a raison, Stella... Tu ne dois prendre aucun risque. Je t'accompagne.

Il prit le bras de Stella et l'entraîna en dehors du square.
Resté seul, Mac regarda le cadavre. La culpabilité le rongeait. Il n'aurait pas dû lui parler comme ça mais il avait tellement eu peur de la voir partir seule qu'il ne s'était pas contenu. Elle n'avait pas conscience du danger.
Ce serait elle la prochaine fois...
Ce changement de mise en scène, cette facilité pour retrouver la dernière victime allait dans ce sens.
jamais il ne se le pardonnerait s'il lui arrivait quelque chose.

Stella revint avec la mallette.
Elle la posa à côté de Mac.
- Où est Flack ?
- Il questionne les commerçants autour du square.

Un silence coupable se fit entre eux deux. Il s'éternisa...
Ne voulant le briser la première, Stella se mit au travail en photographiant la scène de crime.
Elle sentit une main sur son bras, l'obligeant à baisser l'appareil.
- Excuse moi... Je n'aurai jamais dû te parler sur ce ton... Mais savoir que tu es la prochaine sur sa liste me rend fou !

Elle le fixa pour lire dans ses yeux. Il était vraiment angoissé.
Elle soupira et lui sourit. Elle n'arrivait pas à lui en vouloir de toutes façons.
Elle reprit ses photos tandis que Mac se penchait sur la victime pour ôter le portrait de Stella.
Il murmura :
- Je comprends mieux pourquoi il l'a laissée ici. C'est celle qui te ressemble le moins des trois. Il était moins intéressé et l'a vite délaissée...
- Pour se procurer l'original.

La voix de Stella raisonna dans l'air comme une menace, se répercutant dans leurs cœurs...
- Mac... Ce type me fiche la trouille tu sais..
- Je sais... A moi aussi..

Il la prit dans ses bras et la serra fort, mais il l'écarta très vite voyant les techniciens du CSI arriver.
Devant l'air surpris de Stella, il ajouta avec un signe de tête :
- On a de la compagnie.

Ils travaillèrent pendant plus de deux heures, analysant le moindre recoin.
Flack retrouva les vêtement de la victime dans une petite ruelle adjacente au square.

Puis ils repartirent au labo et s'enfermèrent dans le bureau de Mac.
Flack commença :
- Bon, qu'est-ce qu'on fait maintenant ? On sait qu'il n'y aura pas de quatrième victime. La dernière ne va rien nous apprendre sur l'assassin. On est quasiment sûr que c'est le prêtre, alors ?
- Alors il faut se concentrer sur lui... savoir où il vit, ce qu'il faisait d'autre à part sa prêtrise, s'il a des amis qui peuvent l'héberger...

Stella soupira, négative.
- Hawkes l'a déjà fait. Sans résultats !
- Et bien, il faut tout reprendre à zéro ! Sa façon de nous berner nous prouve son intelligence, intelligence qu'on ne soupçonnait pas d'ailleurs. Mais la perfection n'existe pas. Il a dû commettre une erreur quelque part !

Ils passèrent l'après-midi à refaire toutes les analyses, à réétudier les preuves.
Mais malheureusement, ils obtinrent tous les mêmes résultats.
De son côté, Sid ne fut pas plus chanceux. La dernière autopsie ne révéla rien. La troisième victime avait tous ses organes et membres. A part le viol, tout montrait qu'elle ne l'avait pas autant intéressé que les deux premières.

Découragés, les scientifiques rentrèrent chez eux, espérant que la journée du lendemain serait meilleure...
Stella rejoignit Mac dans son bureau. Elle s'assit devant lui et le regarda travailler quelques instants avant de fermer les yeux, réfléchissant encore et encore à l'affaire.
Elle les rouvrit quelques minutes plus tard, tracassée.
- Mac... Quel est son lien avec la première victime ? On sait qu'il a connu la seconde au foyer. La troisième vivait dans le quartier où elle a été tuée. Mais la première ? Elle était de passage dans la région. Or elle a ouvert au prêtre sans difficulté, la chambre ne montrant aucune trace de lutte.
Donc je me demande, quel est le lien ?

Mac la fixa, entrant dans sa logique.
- Tu as raison. C'est le seul point d'ombre que nous avons. Je téléphone à sa famille. Nous saurons peut-être pour quelles raisons elle se trouvait à Manhattan.

Elle l'observa prendre le téléphone et ne le lâcha pas du regard tout au long de la conversation, essayant par ses réponses de la comprendre.
Enfin, il raccrocha le sourire aux lèvres.
- Elle venait de perdre sa meilleure amie, en phase terminale d'un cancer. Elle l'a veillée pendant deux jours à l'hôpital et devine qui officiait ?
- le père Matthews !
- Exact ! Je dis à Flack d'aller enquêter à l'hôpital. Il leur a forcément laissé ses coordonnées. Il me tiendra au courant. Partons.

Stella acquiesça et alla chercher son arme au vestiaire pendant que Mac téléphonait à Flack.

Perdue dans ses pensées, elle réalisa soudain que Mac n'avait pas pris la direction de son appartement.
- On va où ?
- Chez toi ! Tu ne voulais pas reprendre tes affaires ?
- T'es un amour, tu sais...
Elle posa sa main sur sa cuisse et le regarda amoureusement.

Une fois dans l'appartement, elle ne mit pas longtemps à tout emballer et ils se retrouvèrent vite devant plusieurs sacs et cartons.
Elle les regardait, effarée par la quantité quand elle sentit Mac l'enlacer. Il lui fit de tendres baisers dans le cou...
- Je vais aller faire une premier chargement dans la voiture.

Elle se retourna et l'embrassa passionnément.
Il lui caressa le visage doucement et murmura :
- Je t'aime tellement fort ma Stella...

Il l'embrassa sur le bout du nez, prit les sacs et partit vers la voiture.
Elle terminait de fermer le dernier carton lorsqu'elle entendit des pas derrière elle.
Elle dit en riant :
- Déjà ! Mais je vis avec Superman dis moi !

N'obtenant pas de réponse, elle se retourna et son sourire s'effaça aussitôt.
Le père Matthews se tenait devant elle. Il se précipita et posa une compresse sur sa bouche.

Stella se débattit brièvement, sans grand succès, sentant très vite ses jambes fléchir...
Mac...fut sa dernière pensée avant de sombrer dans l'inconscience...

TBC...

Ah non Danseuse, tu ne peux pas nous laisser dans ce stress.

Ce malade a mis la main sur Stella, je vais être malade tout le reste de la nuit.

Et Mac le pauvre, là j'ai peur, je pense que Mac va sauver Stella a temps mais vu le contexte de ta fanfic permet moi de craindre le pire

VIVEMENT LA SUITE JE TIENDRAIS PAS

NON NON NON STELLA

c'est affreux, Mac va le tuer

ça va être super long jusque demain mais alors long, je te dis pas

c'est super comme d'habitude mais là tu joues avec nos nerfs,

Noooooooooooooooooooon

Mac dépeche toiiiiiiiiiiiiiiii.

NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOONNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNN Il me faut la suite je vais mourir !!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Tu n'as pas le droit de nous laisser comme ça !
Quand j'ai lu que Mac disait qu'il allait faire le premier voyage j'ai su qu'il allait débarquer ! Mac dépêche toi !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Oulalala quel stress

* redevient zen un court intant* : sinon c'est toujours aussi bien écrit j'

*redevient paniquée *

Les scènes Smac, toujours aussi chou!


Le prêtre, toujours envie de le

NOOOOOOONNNNNNNN
La suite...

En mode grosse panique.

J'ai pas envie de voir ce vilain méchant prêtre faire du mal à Stella. J'espère qu'en remontant à l'appartement Mac va lui faire hara kiri!

Patienter jusqu'a la suite va être un calvaire.

aerogirl a écrit:

Patienter jusqu'a la suite va être un calvaire.

Je l'écris ce soir et la poste. Promis !

Qu'est-ce que je vais bien pouvoir faire jusqu'à ce soir en attendant ??? Comme l'a dit Aerogirl, ça va être un calvaire... Mais bon on va rester et surtout ne pas péter un boulon et s'attaquer à l'auteur (sinon on n'aura jamais de suite...)

Je me suis demander pourquoi j'avais mal au crâne en me réveillant ce matin.

J'ai trouvé:

Je t'en supplie danseuse. Ait pitié de ma pauvre tête et poste nous la suite....

Au-dessus des nuages, le soleil..

Chapitre 22.


Stella se débattit brièvement, sans grand succès, sentant très vite ses jambes fléchir...
Mac...fut sa dernière pensée avant de sombrer dans l'inconscience...


Mac sifflotait dans l'ascenseur...
Stella emménageait chez lui ! Bon sang qu'il en était heureux !
S'il s'écoutait, il lui dirait constamment qu'il aime, il la prendrait sans arrêt dans ses bras...
Il en était fou amoureux ! Elle hantait ses pensées...
Enfin, ils allaient vivre ensemble..

Il prit le couloir et sifflotait toujours, les mains dans les poches, décontracté.
Depuis qu'elle vivait avec lui, il se sentait serein, bien...

Il s'immobilisa devant la porte entrouverte et fronça les sourcils, dubitatif...
Il pensait pourtant l'avoir refermée en partant un peu plus tôt...
Il poussa la porte et entra :
- Stella ? Stella ?

Seul le silence lui répondit.
Il sentit une boule d'angoisse l'étreindre et se précipita dans le salon.
Personne.
- Stella ? Stella !!

Il baissa les yeux au sol et vit la compresse collée à un carton.
Il la prit dans ses mains et une forte odeur de chloroforme lui assaillit les narines.
- Nom de dieu ! Stella !

Il se rua hors de l'appartement et dévala les escaliers.
Il hurlait son prénom, éperdu d'inquiétude.
L'angoisse, la peur, la terreur envahissaient son corps, l'enfermant dans un étau qui se resserrait de plus en plus.

Il arriva sur le trottoir et regarda partout autour de lui. Il couru à droite, puis à gauche, comme un fou.
- Stella !

Il hurlait encore et toujours son prénom. Elle n'était pas là.
Seul le silence de la nuit lui répondait.
Il l'avait emmenée.

Il appela Flack et l'informa en deux mots de la disparition de Stella.
Puis il s'effondra sur le perron, la tête dans ses mains, murmurant inlassablement le prénom de Stella.


A l'abri dans sa voiture, il l'observait, appréciant sa détresse, se délectant de son effondrement...
- Souffre, souffre Mac Taylor... Ce n'est pas encore terminé...Le plus dur reste à venir..

Il jeta un coup d’œil au corps inconscient sur la banquette arrière et ricana.
Il s'en était fallu de peu ! Il avait failli se retrouver nez à nez avec Taylor.
Il s'était caché dans un recoin du couloir, attendant que Mac s'éloigne pour s'engouffrer dans l'ascenseur, encore ouvert.
Il gloussa puis démarra lentement, feux éteints et partit avec le corps.


Flack arriva dix minutes plus tard et trouva Mac prostré sur le perron. Il lui posa une main sur l'épaule et le secoua.
- On va la retrouver Mac !
- Comment ? On n'a rien Don ! On ne sait pas où il vit, où il va aller ni combien de temps, il va la maintenir en vie...

Sa voix se brisa lorsqu'il prononça ces derniers mots...
Stella... Sa Stella qu'il aimait tant...
Flack reprit la parole de façon plus brusque. Les autres membres de l'équipe allaient arriver et le policier ne voulait pas qu'ils voient leur supérieur dans un tel état de faiblesse.
- Mac ! Il faut réagir ! Stella n'aimerait pas vous voir dans cet état ! Elle n'aurait pas réagi ainsi elle !

Ces mots atteignirent le cerveau de Mac qui sortit doucement de son atonie.
- Vous avez raison Don. Retournons là-haut. Voyons s'il a laissé des indices dans la précipitation.

Ils montèrent jusqu'à l'appartement de Stella et aussitôt arrivés, Mac se mit à chercher des indices.
Flack regarda tous les cartons :
- Elle a trouvé un appartement ?
- Nous emménageons ensemble.

Si le policier fut surpris, par discrétion, il ne le montra pas.
Il sortit son carnet, hésita un instant et se lança.
- Mac, il avait donné un numéro de portable à l'hôpital mais nous l'avons essayé, c'est un faux. On n'a pas d'autres pistes...

Flack avait prononcé ces derniers mots dans un murmure, ne voulant pas accabler davantage son ami. Celui-ci, accroupi, regardait le sol.

Danny, Lindsay et Hawkes entrèrent dans l'appartement le visage sombre.
Flack remarqua les yeux rougis de Lindsay et alla la réconforter, comme il l'avait fait précédemment avec Mac.
- Danny ?

Le jeune scientifique se précipita vers son aîné.
- Mac ?
- Danny, regardez ces traces de pas : terre et sable mêlés. Elle ne peuvent pas appartenir à Stella ou à moi-même, il n'y a que du goudron alentours. Prélevez-en et demandez à Adam de l'analyser.

Il se leva et se tourna vers les autres.
- Restez ici. Analysez le moindre recoin, appartement, couloir, ascenseur, rue... on a besoin d'indices !
La vie de Stella en dépend ! Je compte sur vous !

Flack le rattrapa sur le seuil de la porte.
- Où allez-vous ?
- A mon bureau.


Stella avait du mal à se réveiller. Sa bouche était pâteuse, son esprit demeurait engourdi.
Une violente migraine lui vrillait les tempes.
Elle ne savait pas où elle était...
Elle essaya d'émerger de cette sensation cotonneuse qui la paralysait.
L'air sentait le renfermé.

Elle voulut bouger mais une douleur se propagea dans ses épaules.
Elle se rendit compte que ses poignets étaient liés dans son dos.
Elle tenta de bouger ses pieds : attachés eux-aussi.

Sa joue reposait sur un sol rugueux, froid, pas agréable...
Elle ouvrit doucement les yeux et rencontra l'obscurité. Puis elle s'habitua à la pénombre et put distinguer les contours de la pièce.
Elle ressemblait à une cave...

Les nuages dans sa tête se dispersant progressivement, sa mémoire lui revint.
Le Père Matthews...Il l'avait eue...
Une sourde angoisse l'étreignit...
Elle pensa à Mac... Il devait être fou d'inquiétude.
Mac... Son Mac...

Une brusque lumière l'obligea à fermer les yeux, avant qu'ils ne s'habituent à la nouvelle luminosité.
Ce qu'elle vit la fit hurler de terreur.

Le père Matthews s'avançait vers elle, un couteau à la main...

TBC...

Le salaud Il n'a pas le droit de lui faire du mal.

Vittttttttttte Mac, viens la sauver!

oh mon Dieu, quand j'ai lu ta suite j'avais les larmes aux yeux, et puis la fin me fait peur


vite vite vite Mac retrouve notre Stella avant que ce sale enf*****, s***** lui fasse du mal et fais lui payer

une petite suite encore ce soir hein oui encore une petite suite ce soir, sinon je crois je que je me ronger les ongles au sang dans l'attente !!!! ou taper les murs

Mac grouille toi sérieux sinon je vais friser la crise cardiaque, je commence à avoir sérieusement peur pour notre petite Stella.

Vivement la suite

Bon, comme je ne peux pas revenir avant samedi, je vous remets une petite suite ce soir, pour vous faire patienter...


Au-dessus des nuages, le soleil...

Chapitre 23.


Le père Matthews s'avançait vers elle, un couteau à la main...
- Chut.... Tais toi... ça ne sert à rien, personne ne peut t'entendre... Nous ne sommes que tous les deux... Enfin seuls toi et moi..

Il s'accroupit à hauteur de Stella et lui effleura la joue avec la pointe de son couteau.
Il continuait de parler, lui glaçant le sang à chaque mot :
- Tu vas voir, on va être bien ici... Tu vas vite oublier ce salopard de Taylor... J'ai vu comment tu me regardais au poste... J'ai tout de suite deviné que sous tes faux airs de vierge effarouchée, tu me suppliais de te venir en aide, de venir te chercher...

Stella ne bougeait pas, sentant toujours la lame du couteau se promener sur son visage.
Il était fou, fou à lier...
Son dos, à peine remis des coups de Franky, la faisait atrocement souffrir. Regardant son bourreau en face, elle le supplia d'une petite voix.
- Vous pouvez desserrer mes poignets... J'ai très mal... S'il vous plait..

Il la fixa quelques instants puis descendit la lame du couteau sur son bras, jusqu'aux poignets et d'un geste sec, coupa la corde.
Stella ramena de suite ses bras devant elle, dénouant ainsi ses épaules douloureuses.
Elle sentit des mains calleuses se poser sur elle et la redresser, assise face à lui.

Il la regarda d'un air gourmand. Voir son visage d'aussi prêt provoquait chez Stella de fortes nausées... Où était-ce les effets secondaires du chloroforme ?
Elle avait toujours la bouche pâteuse, les lèvres sèches.
Se passant la langue sur sa bouche pour l'humidifier, elle constata avec effroi que le prêtre la fixait avec un désir non feint.
Il approcha son visage du sien...

Non ! Oh non ! il allait l'embrasser !
Stella paniqua un bref instant avant de crier :
- J'ai soif ! Ma gorge me brûle ! A boire vite !

Le prêtre s'arrêta net, la scruta d'un air soupçonneux, puis, contre toute attente, se leva et alla chercher de l'eau.
Restée seule, Stella soupira...
Cette pause n'allait pas durer, elle le savait...
Elle se pencha sur ses pieds pour les détacher...



Mac quitta l'immeuble au pas de course et s'engouffra dans sa voiture. Au moment où il allait démarrer, la portière côté passager s'ouvrit et Flack s'incrusta dans le véhicule.
Devant le visage étonné de Mac, le policier sourit :
- Allons Mac...Je vous connais... Stella a été enlevée par un maniaque... je ne vous vois pas vous enfermer dans votre bureau et ne rien faire...

Un silence s'abattit dans la voiture.
Mac regarda loin devant lui, bien au-delà du pare-brise.
Il serra tellement fort son volant que les jointures de ses mains blanchirent.

Flack insista :
- Mac où allez-vous ?
- Au foyer. Je ne les crois pas. Ils protègent ce foutu prêtre ! Mais ce soir, ils vont me dire tout ce qu'ils savent, c'est moi qui vous le dis !
- Je vous accompagne.


Mac démarra sur les chapeaux de roue et sirène hurlante, traversa la ville sans se soucier des stops et feux rouges.
Il pila devant le foyer et sortit, suivi de Flack qui décida, devant la rage de son ami, de ne pas le lâcher d'une semelle.

Mac entra avec fracas et se dirigea vers les cuisines.
Il y trouva Robert Chase, qui lavait son matériel. Il reconnut les policiers et soupira.
- Quoi encore ?
- Où logeait le père Mathhews quand il était au foyer ?
- Ici. Il avait une chambre au premier.
- Et pendant ses jours de congé ?

Le cuisinier haussa les épaules et se remit à essuyer ses casseroles montrant ainsi que ce n'était pas ses affaires.
Fou de rage, Mac le prit par le col de sa chemise et le coinça contre l'évier.
- Maintenant ça suffit ! Dites-moi où allait le prêtre sinon je vous coffre pour obstruction dans une affaire criminelle. Et croyez-moi, vous n'êtes pas près de sortir de prison. J'y veillerai personnellement !

Le cuisinier regarda brièvement Flack qui opina de la tête les dires de son collègue.
Robert Chase balbutia :
- Il y a un an, il a hérité de la maison de sa mère...

Mac resserra sa prise, étouffant davantage le cuisinier qui hoqueta.
Il hurla sa prochaine question :
- Où ?
-...

Le cuisinier toussa et Mac desserra légèrement sa prise. Il hurla de nouveau :
- Où est cette maison ? Répondez !
- En dehors de Manhattan... Route 26. Glover City. 125 eastside.

Mac regarda Flack :
- C'est à vingt minutes ! Dépêchons nous !

Il lâcha le cuisinier et partit en courant.
Ils reprirent la voiture et Mac roula à tombeau ouvert tandis que Flack appelait des renforts.

Mac ne quittait plus Stella en pensée...
Stella....ma Stella... tiens le coup mon amour... J'arrive...


TBC....

Ce qui devait arriver arriva
Stella c'est fait enlever
Mac depeche toi de la retrouver
L'autre taré va la tué
Aller magne tes fesses
La suiteeeeeeeeeeeeeeeeeee stp

Yeeeeeeeeeeeeeeeeeees Mac est sur la bonne voie. Enfin j'espère que c'est la bonne adresse. Je croise les doigts.

Tiens le coup Stella, ton homme arrive!

Stella tiens bon ! Tu peux le faire !
Oh Mac dépêche toi !!! Vivement Samedi alors que l'on sache comment Mac va le prêtre

Pour un prêtre kidnappeur tueur nécrophile pervers, il est plutôt sympas pour l'instant avec Stella...
Mais c'est pas une raison pour que Supermac traîne!!

Nous sommes de tout coeur avec toii pour avoir la suiiite!!!!!

ouf déjà Mac a trouvé une adresse, maintenant il ne faut pas qu'il traîne pour sauver sa chérie.

allez comme Greisa et Gwentaylor j'envoie mon soutien à Stella son homme arrive, il va la sauver de ce psychopate.

courage Stella !!!!!


oh que ça va être long jusque samedi mais on va essayer de tenir le coup en relisant la fic depuis le début par exemple

Pff, il était temps que Mac est cette foutue adresse, il a plus qu'a se grouiller un peu (lol je crois que c'est un expert en matière de

grillage de feux lol).

Faut aussi que Stella tienne le coup, faut qu'elle arrive à desserrer ses liens avant que l'autre taré revienne....

Danseuse t'es trop douée pour jouer avec nos nerfs

Vivement la suite qu'on voit la raclée que Mac va mettre à se prêtre de malheur!!!!

Au-dessus des nuages, le soleil...

Chapitre 24.


Mac ne quittait plus Stella en pensée...
Stella....ma Stella... tiens le coup mon amour... J'arrive...

Il sortit de Manhattan et la circulation devint plus fluide.
Flack se cramponnait à sa ceinture, jetant de temps en temps de petits coups d’œil à son partenaire : le visage fermé, les lèvres pincées, il fixait la route, roulant à toute allure vers Stella;
Le policier se mit à espérer puis à prier pour qu'elle soit toujours vivante...

Vingt minutes plus tard, Mac s'arrêtait devant la maison. Perdue au milieu de nulle part, entourée de champs, c'était le lieu idéal pour un maniaque...
Sa victime pouvait hurler, personne ne l'entendrait.

Il revêtit son gilet pare-balle, sortit son arme, vérifia le barillet puis fonça vers l'entrée sans se préoccuper des renforts qui tardaient à arriver.


La porte s'ouvrit brusquement et Stella sursauta.
le prêtre revenait déjà, tenant dans sa main un verre d'eau qu'il lui tendit.
Stella le regarda, tiraillée entre son envie de boire pour hydrater sa gorge douloureuse et la peur d'être droguée.
Elle choisit la prudence et le refusa.

Fou de rage de s'être laissé berner, le prêtre lança le verre qui se fracassa contre le mur !
Il fixa Stella, le corps tendu au maximum, les poings serrés.
Malgré la pénombre, Stella pouvait voir et ressentir sa fureur. Elle prit une grande inspiration et se prépara psychologiquement à l'attaque qui n'allait pas tarder.

Le père Matthews s'approcha, menaçant et se pencha vers la jeune femme.
Mais au moment où il posait ses lèvres sur les siennes, de sa jambe libre de tout lien, elle lui planta un genou à l'entrejambe, y mettant toute sa force et sa colère.
Le prêtre hurla de douleur et se recula, les mains sur son sexe, vociférant, insultant, menaçant la scientifique.

Celle-ci se releva pour s'éloigner mais un étourdissement l'empêcha de continuer. Elle se tint contre le mur, essayant tant bien que mal d'avancer, luttant contre la nausée qui l'envahissait.
Elle ne vit pas le prêtre revenir sur ses pas et lui asséner une gifle qui la projeta au sol.

Il se précipita sur elle. Luttant corps et âme, elle se défendit telle une lionne luttant pour la survie de ses petits.
Elle lui administra des coups de poings, des coups de pieds, supportant avec courage les coups de l'adversaire.
Elle sentit couler le sang sur sa joue droite...
Etait-ce le sien ?
Etait-ce celui du prêtre ?

Elle souffrait.
Ses forces s'amenuisaient de plus en plus.
Elle essaya un nouveau coup de genou mais il resta sans effet...
Un coup de poing s'abattit violemment sur sa tempe et elle laissa l'obscurité fondre sur elle, vaincue...


Mac se rua dans le salon suivi de Flack, leurs armes prêtes à faire feu...
Ils passèrent ainsi de pièce en pièce mais ils ne trouvèrent que le vide... Ils commencèrent à monter doucement l'escalier, attentifs au moindre bruit...
Un choc sourd suivi d'un son qui ressemblait à un gémissement se fit entendre dans la pièce à gauche du pallier.
la porte était fermée.
Les deux hommes se postèrent devant puis Flack la défonça en hurlant les lettres NYPD.

Personne.
Seul un chat affamé et squelettique errait en miaulant faiblement. Il trouva néanmoins le courage de s'enfuir par la porte ouverte.
Une chaise était renversée au milieu de la pièce... Sûrement ce chat..
Mac regarda Flack, une lueur de désespoir passant brièvement dans ses yeux.

Puis il se rua dans les escaliers, plein d'énergie soudaine. Il cria au policier :
- La cave Flack ! La cave !

Ils se dirigèrent vers la cuisine et se postèrent devant la porte menant à la cave.


Il la regardait, empli d'admiration.
Elle était superbe ! Ses cheveux bouclés entouraient harmonieusement son visage d'ange..
Sa peau était claire, comme translucide...
On aurait dit une nymphe, une déesse...

Il ricana ! Il s'était trompé ! Il s'était bel et bien trompé ! Ses trois essais précédents n'avait pas son envergure. Ils ne lui arrivaient pas à la cheville ! Personne ne pouvait l'égaler...
Du bout des doigts, il caressa ce visage qu'il admirait tant en soupirant..
C'était vraiment dommage de la tuer... Une telle perfection !
Mais elle ne voulait pas de lui !
Elle préférait cet enfoiré de Taylor ! Mais elle ne l'aurait pas...
Oui, elle méritait de mourir finalement...
Elle n'avait pas su saisir sa chance...

Il laissa ses doigts glisser dans son cou, savourant la douceur de sa peau...
Il s'engouffra dans l'encolure du chemisier puis tira d'un coup sec, arrachant chaque bouton.
Il ouvrit le tissu et découvrit la dentelle blanche..

Son désir décuplant, ne tenant plus longtemps, il prit son couteau et coupa le soutien-gorge en son milieu, dévoilant ainsi, deux seins magnifiquement galbés...
Il continua son ascension et lui arracha son pantalon.

Il se releva pour la regarder de sa hauteur.
Dieu faisait quand même bien les choses : cette nouvelle Eve était parfaite !
Il se passa la langue sur les lèvres et gloussa :
- Je crois qu'on va bien s'amuser ma jolie...

Mac s'engouffra dans la cave, faisant fi d'un possible danger.
Les minutes défilaient beaucoup trop rapidement ! le temps qui passait était un risque de plus encouru par Stella.

Il faillit jeter son arme de rage et de douleur mêlées ! Il poussa un hurlement de désespoir..
Personne dans la cave !


Ils remontèrent à la surface, accablés... Ils avaient tout fouillé.
Flack attendit d'être dans le jardin pour enfin se retourner vers son ami :
- Mac, ce n'est pas la bonne maison...Ils ne sont pas ici...


TBC...

Oh my god

Mais il va la tuer c'est pas possible et super Mac qui ne la trouve pas en plus.

Danseuse, il va me falloir rapidement une suite sinon je crois que je vais aller dire bonjour à Sheldon...

Ta fic est géniale et pleine de suspense...

STP STP la suite....