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| Dismantle repair [traduction] [smac] | |
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Thyrsette Accro à la Mûre et Reine de la Crumauté
Perso(s) Préféré(s) : Mac Taylor - Patrick Jane Nombre de messages : 3441 Age : 34 Date d'inscription : 10/09/2009 Réputation : 0 Points : 20284
| Sujet: Dismantle repair [traduction] [smac] Mer 2 Déc - 11:51 | |
| Bon ben voilà ma première traduction. Voici le début du chapitre 1 que j'ai retraduit.
C'est du Smac (of course lol)
Source : http://www.fanfiction.net/s/5350811/1/Dismantle_Repair Auteur :cmaddict
Je ne possède rien du tout même pas l'idée de l'intrigue exceptée mes choix de traduction.... Elle comporte 3 chapitres. NC- 17 (donc certains peuvent passer leur chemin... Enfin s'ils lisent quand même, ben tant pis pour eux) Comme on dit en italien "traditore trahitore" traduction = trahison... J'ai fait de mon mieux pour éviter de sur ou de sous traduire. J'espère que ça va vous plaire ^^ Chapitre 1 : Tu m’as disloqué.Tout commença de manière plutôt innocente. La Grèce les avait changés. Beaucoup plus qu’il ne l’admettait. La voir serrer contre elle le corps du professeur tout en faisant à la fois le deuil de sa mort et de celle d’une mère qu’elle n’avait jamais connu lui avaient brisé le cœur. Il l’avait alors recueillie dans ses bras, la serrant contre lui tandis qu’elle pleurait, ses larmes imprégnant son Tee-shirt. Durant ce court instant, alors qu’il avait ses bras enroulés autour de sa fine taille et qu’il sentait son souffle dans son cou, il avait réalisé que ses sentiments n’étaient plus les mêmes que ce qu’ils avaient pu être plusieurs années auparavant. Et quelque part dans son inconscient il savait que ce ne serait plus jamais pareil. Mais il les repoussa au loin de manière brutale dès qu’ils furent rentrés. Les choses étaient uniquement ce qu’elles devaient être entre eux comme ça avait toujours été le cas : rien de plus, rien de moins qu’une amitié. C’était comme cela que c’était depuis plus de dix ans, c’était comme cela qu’il fallait que ça reste. C’est alors que Jessica mourut. Ils avaient travaillé, ignorant la fatigue, pendant plus de douze heures, à la recherche de ces quatre hommes qui avaient entaché de honte l’uniforme qu’ils portaient eux-mêmes. Elle partagea son labeur l’encourageant sans cesse. Et quand tout s’était terminé le sourire sur son visage et le tendre baiser sur sa joue avaient fait disparaître l’épuisement. C’était en partie pour elle qu’il avait décidé d’aller au bar ce soir là. Il était loin d’imaginer qu’à peine quelques instants après son arrivée, le verre pleuvrait sur eux, que les balles siffleraient à leurs oreilles et que les cris raisonneraient par la suite dans sa mémoire. C’est elle qu’il chercha du regard en premier quand tout le verre fut au sol et que les explosions cessèrent. Elle était allongée, le visage contre le sol et un court instant, son cœur avait cessé de battre de peur que la Mort l’ait emmenée avec elle tout comme Jess. Ce moment sembla durer une éternité, son esprit fut envahit par le souvenir des attentats : il revoyait les tours tomber alors qu’il savait que Claire était à l’intérieur. Il eut l’impression que sa tête allait exploser. Il ne pouvait pas perdre quelqu’un à qui il tenait, pas de nouveau. Mais quand elle redressa la tête et que ses yeux de jade croisèrent les siens il sut qu’elle était vivante. Il n’était pas prêt à cette intensité de sentiments qui l’avait rempli : soulagement, colère, terreur. Une partie de lui voulait la prendre dans ses bras, de lui déclarer sincèrement l’amour qu’il éprouvait envers elle et de passer le restant de sa vie à ses côtés. Mais l’autre partie de son être était hésitante, perdue. Il était son meilleur ami, son patron. Il n’était pas autorisé à ressentir cela pour elle. Il y avait des règles et il les avait toujours respectées. Cependant, malgré toute la force avec laquelle il essayait, il ne pouvait pas s’éloigner d’elle. Ainsi ça commença avec un encas à manger après le travail. Dans un petit endroit génial qu’elle avait découvert durant les années précédentes. Seulement eux deux dans un coin du restaurant très loin des horreurs de ce monde, tirant tous deux du bien-être de la présence de l’autre, une faible lumière faisant briller les boucles brunes qui encadraient son visage. Ils parlaient de tout et de rien jusqu’à une heure avancée de la nuit lorsqu’elle commençait peu à peu à s’endormir et qu’il finissait par lui dire « Appelons ça la nuit » Ensuite il l’a reconduisait prudemment jusque chez elle et la portait dans les escaliers jusqu’à son appartement. Et là elle pressait toujours gentiment ses lèvres contre sa joue, appuyant juste ce qu’il fallait pour qu’un feu parcourt tout son corps, et murmurait « Bonne nuit Mac » Il restait à regarder la porte longtemps après qu’elle fut fermée, perdu dans ce qu’il ressentait et cela était causé par un geste si simple… Mais bientôt cela ne lui suffit plus. Il trouvait sans cesse des excuses pour aller chez elle : lui rendre quelque chose qu’elle avait oublié ou lui porter un film qu’il lui conseillait de voir. Et à chaque fois elle riait et lui faisait le meilleur café irlandais qu’il n’avait jamais goûté. Debout dans la cuisine avec elle, écoutant la cafetière faire le café et diffuser cette odeur merveilleuse et amère dans tout l’appartement elle le régalait d’histoires tirées de sa jeunesse, elle lui racontait les farces faites à l’encontre des religieuses de l’orphelinat. Une fois encore il admirait sa force et son perpétuel optimisme qui réussissait toujours à trouver du bon dans chaque situation de quelque manière que ce soit. Tasse de café à la main ils s’installaient sur son canapé pour regarder le film qu’il avait apporté. Elle s’asseyait toujours à côté de lui, ses longues jambes ramenées contre elle et son regard rivé sur l’écran. Son regard ne la quittait jamais. Il prenait le temps d’étudier ses traits : ses boucles couleur caramel, ses pommettes élevées de manière merveilleuse ainsi que le trait prononcé de sa mâchoire. Elle était d’une beauté exotique, pensait-il, non pas le genre de beauté que l’on trouvait à Hollywood mais magnifique quand même. A chaque fois elle s’assoupissait à la moitié du film, le sortant de ses pensées. A chaque fois que cela se produisait il la tirait vers lui, plaçant sa tête contre son épaule. Un léger soupir lui échapperait chatouillant la peau de son cou et provoquant un frisson parcourant son dos. Il pouvait sentir son shampooing, cette douce odeur de noix de coco et de vacances. Avec quelque force qu’il y mit pour lutter contre cela, il ressentait un peu plus de chose envers elle à chaque fois. Il ne l’admettait que pour lui-même dans l’intimité de son chez lui lorsque se souvenir du moment où il l’avait eu dans ses bras le faisait souffrir le désir de ce contact fantôme de ses lèvres qui lui envoyaient des frissons dans tout le corps. Mais l’admettre devant elle… C’était quelque chose de complètement différent. Il avait fait face à des ennemis sans scrupules, survécu à des fusillades, des explosions un nombre de fois plus important que ce qu’il pouvait s’en rappelait. Il était Mac Taylor, cet homme stoïque à la tête du labo criminel de la plus grande ville des Etats-Unis. Il avait regardé des criminels dans les yeux sans même sourciller. La pensée de l’affronter elle, de se noyer dans son regard le faisait fuir aussi loin qu’il le pouvait. Les ténèbres de la nuit tombèrent sur la ville à la manière d’un voile noir. La chaleur de l’été était étouffante et la vapeur se levait de l'asphalte brûlant jusqu'aux poutres d'acier de l'infrastructure de la ville. L’air humide faisait se diffuser les odeurs des pots d’échappements et salir le bas de chaque rue ou allée. Même si le soleil avait disparu depuis longtemps au-delà de l'horizon à l’ouest, la température n'avait pas baissé d’un degré. Pas une feuille ne bruissait dans le calme de la soirée. Mac émit un grognement comme il se frottait les yeux à cause de la fatigue. Le cas avait été difficile : une femme avait été assassinée la nuit précédente, abandonnée dans une allée comme lors les déchets à la fin de la semaine. Ils avaient alors enquêté, interrogé, fait des recherches pendant des heures mais pourtant ils étaient au point mort. Il regarda l’horloge sur son bureau : elle indiquait 7 :44. C’était le jour de congé de Stella. Il avait ressenti son absence dès l’instant où il était arrivé au labo, le manque qu’elle seule pouvait combler pesant sur lui. Son sourire lui manquait, ainsi que son rire, sa manière bien à elle de le taquiner perpétuellement. Ce n’était pas trop tard. Elle devait encore être réveillée. Avant qu’il ne le remarquât, il se tenait derrière la porte de son appartement sa main s’apprêtant à frapper. Un moment il s’arrêta. Il n’avait aucune raison pour la voir, elle n’avait rien oublié et il n’avait pas pris la peine de s’arrêter au magasin de location pour louer un film. Qu’allait-il dire ? Et si elle n’était pas seule ? Elle n’avait évoqué personne, mais il ne savait pas si elle avait un rendez-vous. Et si… ? « Arrête ça ! » S’ordonna-t-il. Il frappa doucement sur la porte et fit quelques pas en arrière. Ecoutant avec toute l’attention dont il était capable il put entendre quelqu’un se déplacer et soudainement la porte s’ouvrit. | |
| | | poupi27 "Wow! Trop fort le castor, trop fier le hamster!"
Perso(s) Préféré(s) : Mac, Stella, Don et Adam Nombre de messages : 2887 Age : 45 Date d'inscription : 16/07/2009 Réputation : 0 Points : 19720
| Sujet: Re: Dismantle repair [traduction] [smac] Mer 2 Déc - 15:06 | |
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| | | Thyrsette Accro à la Mûre et Reine de la Crumauté
Perso(s) Préféré(s) : Mac Taylor - Patrick Jane Nombre de messages : 3441 Age : 34 Date d'inscription : 10/09/2009 Réputation : 0 Points : 20284
| Sujet: Re: Dismantle repair [traduction] [smac] Mer 2 Déc - 15:10 | |
| Tiens ma Poupi J'espère avoir le temps de finir le chap 1 ce soir... Elle se tenait dans l’encadrement de la porte, pieds nus et vêtue d’un jean délavé et d’une vielle chemise. Sa crinière bouclée d’une couleur éclatante sous l’effet de la lumière provenant du salon, tombait nonchalamment sur ses épaules. Ses yeux verts pétillèrent à la fois de bonheur et de curiosité. Et bien… En voilà une surprise » dit-elle un petit sourire en coin apparaissant sur ses lèvres. « -Je… J’étais seulement dans le coin, répondit-il bégayant presque. Et comme elle ne dit rien, les sourcils légèrement haussés il demanda : « Est-ce que je dérange si rentre ? » L’arabesque au coin de sa bouche s’épanouit en un large sourire et elle fit quelques pas à l’intérieur silencieusement. Il passa le seuil pour entrer dans l’appartement tout comme il l’avait fait des centaines d’autres fois. La télévision dans le salon tournait, un film qu’il reconnu vaguement et un seul verre de vin était posé sur la table basse. Parfait. Elle était seule. -Vous voulez du café ou quelque chose d’autre ? Sa voix brisa le silence apaisant et quand il releva les yeux il vit qu’elle se tenait dans la cuisine près du plan de travail. - Bien sûr, répondit-il dans un sourire. Elle se tourna vers le plan de travail et attrapa le café qu’elle gardait toujours à portée de main pour répondre à sa dépendance à la caféine. Avec une facilité due à l’expérience elle en prit une cuillérée et le versa dans un filtre qu’elle ajusta sur le dessus de la machine. -C’était comment le travail ? Demanda-t-elle. Il soupira. « -Toujours la même chose. On a trouvé une femme assassiné dans une allée dans la matinée. On n’a pas avancé et j’ai Sinclair sur le dos. -Et vous êtes frustré. » C’était une assertion plutôt qu’une interrogation. Ses lèvres s’étirèrent en un mince sourire. Elle connaissait si bien… -Oui… Et fatigué aussi. » Stella gloussa lui tournant toujours le dos. « Alors vous êtes venu ici pour prendre un café. C’est très sensé. » Il sourit et baissa la tête. « Je pensais que ça en avait. » Elle se retourna pour le regarder, son regard se verrouillant de nouveau dans le sien. Il y avait quelque chose là derrière qu’il ne lui avait jamais vu avant et son sourire disparut lentement de se ses lèvres. Quelque chose la titillait. « Qu’est ce que les preuves disent ? » Demanda-t-elle se tournant de nouveau vers la cafetière. « -Rien de bien concluant, répondit-il, l’ADN trouvé sur son corps n’a aucune correspondance dans le CODIS. On a trouvé une sorte de fleur sur la scène de crime. Ca nous a renvoyé à une variété de lilas que l’on trouve un peu partout en ville en cette époque de l’année. -C’est tout ? » Il hocha la tête. « Le pire c’est que j’ai parlé au mari en début d’après-midi. C’est le gars le plus adorable que vous avez jamais rencontré. Je peux encore entendre son fils de deux ans qui jouait derrière nous. Tout ce qu’il a demandé c’est qu’on attrape celui qui avait ça. » Elle se tourna vers lui, cette indéchiffrable expression dans le regard. Il avait toujours pu la lire et le fait est qu’il ne pouvait désormais plus la lire et cela l’effrayait. « Vous y arriverez Mac, vous y arrivez toujours. Vous regarderez cette affaire d’un œil neuf demain matin et vous l’attraperez. » Il s’appuya contre le plan de travail la regardant comme elle farfouillait dans le placard à la recherche d’une tasse. Elle savait toujours trouver les mots. Même dans les heures les plus sombres elle avait toujours su comment faire pour qu’il se sente mieux. Pourquoi ? Comment ? Le silence s’installa entre eux seulement brisé par le grondement du tonnerre au loin. Un orage d’été s’élevait mugissant apportant avec lui la pluie si nécessaire pour cette ville étouffée par la chaleur. Il la regardait se mouvoir dans la cuisine et cette solennité dans le maintien de ses épaules. C’était clair : quelque chose la titillait. Elle se tourna pour lui faire face de nouveau, ses yeux couleurs de jade verrouillé dans les siens. Il pouvait presque voir les rouages de son esprit qui tournaient. Après un long moment la cafetière s’arrêta bruyamment et elle se retourna de nouveau vers lui. « Vous savez je suis contente que vous vous soyez arrêté Mac, dit elle doucement, j’ai réfléchi et je pense que nous avons besoin de discuter. » Il haussa les sourcils. Il n’était sûr de ce qu’elle voulait dire mais d’après son expérience avec les femmes ce n’était pas bon signe. « -Nous avons… Commença-t-elle sans se retourner. Elle laissa échapper un soupir frustré, replaçant une boucle rebelle qui lui était tombé devant les yeux. « Nous avons passé beaucoup de temps ensemble n’est ce pas ? Mais c’est différent maintenant n’est-ce pas ? » Elle finit par se tourner pour lui faire face s’appuyant contre le plan de travail. « Ce n’est plus comme c’était avant. -Qu’essayez-vous de dire Stell » ? -Je… Je veux dire que nous… Elle d’arrêta encore au milieu de sa phrase, la frustration était flagrante dans son regard. Il n’était pas sûr de connaître la direction dans laquelle partait la conversation mais quoiqu’il en soit, une chose était sûre : elle était extrêmement troublée. Il n’avait jamais vraiment vu Stella Bonasera troublée. Finalement elle poussa un grognement et leva les mains. « Combien de temps va dure cette danse, Mac ? » Maintenant il était complètement perdu. « Quelle dance ? » -Oui une dance. Ce tango-ci : « Nous sommes des amis ou peut-être plus que des amis », cela fait six ans que ça dure. Je ne peux pas prétendre que je n’éprouve pas de sentiments pour vous Mac. Pas après tout ce que nous avons traversé ces six derniers mois. Pas après Thessaloniki, pas après ce qui est arrivé avec Jess. Ses mots le prirent totalement de court. Elle lui avouait des sentiments envers lui ? Quels sentiments ? Quand cela était-il arrivé ? Elle avait des sentiments pour lui ? -Des sentiments ? Demanda-t-il, sa voix lui semblant être un croassement. Elle acquiesça timidement. « Quel genre de sentiments ? » Elle haussa une de ses minces épaules. « Des sentiments que je pourrais décrire comme… Et bien… amoureux… Rendez-vous galants et tout le reste. » Ce n’était pas comme s’il n’y avait pas pensé avant. Dieu qu’est ce qu’elle était belle, brillante, drôle et compatissante ; sa meilleure amie en somme. Ses visions d’eux deux ensembles s’étaient souvent imposées à son esprit et ce, plus particulièrement ces six derniers mois. Mais ses émotions le perdaient toujours. Il aurait souhaité attendre jusqu’à ce qu’il ait décidé ce qui devait être fiat. Mais maintenant qu’elle avait abordé le sujet comment devait-il réagir ? « -Stella… -Répondez seulement à une question Mac. Elle fit un pas pour se rapprocher de lui, ses yeux fixés sur lui. Son regard était bloqué dans le sien et il ne pouvait le bouger. Elle l’avait rendu captif de son regard comme elle l’avait toujours fait. « Ressentez vous quelque chose pour moi ? Des sentiments amoureux ? »
Dernière édition par gwentaylor le Mer 2 Déc - 15:18, édité 1 fois | |
| | | poupi27 "Wow! Trop fort le castor, trop fier le hamster!"
Perso(s) Préféré(s) : Mac, Stella, Don et Adam Nombre de messages : 2887 Age : 45 Date d'inscription : 16/07/2009 Réputation : 0 Points : 19720
| Sujet: Re: Dismantle repair [traduction] [smac] Mer 2 Déc - 15:16 | |
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| | | Lino *Sexy Légiste*
Perso(s) Préféré(s) : Flack, Sheldon et les autres Nombre de messages : 985 Age : 43 Date d'inscription : 02/11/2009 Réputation : 0 Points : 17506
| Sujet: Re: Dismantle repair [traduction] [smac] Mer 2 Déc - 15:32 | |
| Bravo pour la qualité de ta traduction ! Je lis beaucoup en anglais et je sais que c'est parfois difficile de traduire une expression propre à une langue (la fic est géniale aussi, ça ne gâche rien) Encore ! | |
| | | Greisa "Fabuleuse auteure de fics. A lire sans aucune modération!"
Perso(s) Préféré(s) : MAC, Patrick, Cal, Ten... Nombre de messages : 8821 Age : 40 Date d'inscription : 18/06/2009 Réputation : 0 Points : 25974
| Sujet: Re: Dismantle repair [traduction] [smac] Mer 2 Déc - 16:15 | |
| 2 parties à lire, cool! MERCI GWEN d'avoir repris la traduction. T'es géniale et hop un ti bisou aussi | |
| | | calinou
Perso(s) Préféré(s) : Don, Danny, Jo, Adam, Lucy, Mac, Lindsay, Nombre de messages : 203 Age : 33 Date d'inscription : 09/10/2009 Réputation : 0 Points : 16774
| | | | Madmoizelle Stella
Perso(s) Préféré(s) : Stella surtout, et tous les autres Nombre de messages : 645 Age : 31 Date d'inscription : 07/10/2009 Réputation : 0 Points : 17230
| Sujet: Re: Dismantle repair [traduction] [smac] Mer 2 Déc - 19:51 | |
| Merci pour cette traduction géniale ! <3 C'est vraiment beau ! Merci, merci, merci ! <3 (je me joins à Poupi pour dire que ta bann est super belle ! <3) | |
| | | Spooky
Perso(s) Préféré(s) : Stella Nombre de messages : 4236 Age : 33 Date d'inscription : 19/02/2009 Réputation : 0 Points : 21459
| Sujet: Re: Dismantle repair [traduction] [smac] Jeu 3 Déc - 19:46 | |
| Quelle histoire de dingue Merci en tout cas d'avoir repris la traduc'!! J'aime beaucoup cette fic! La suite la suite!! | |
| | | ptitemel
Perso(s) Préféré(s) : Mac, Stella Nombre de messages : 124 Age : 35 Date d'inscription : 02/12/2009 Réputation : 0 Points : 16537
| Sujet: Re: Dismantle repair [traduction] [smac] Jeu 3 Déc - 19:56 | |
| J'avais lu cette fic en anglais je l'avais trouvé genial et ta traduction l'est toute autant bravo (et la suite please? ) | |
| | | Thyrsette Accro à la Mûre et Reine de la Crumauté
Perso(s) Préféré(s) : Mac Taylor - Patrick Jane Nombre de messages : 3441 Age : 34 Date d'inscription : 10/09/2009 Réputation : 0 Points : 20284
| Sujet: Re: Dismantle repair [traduction] [smac] Jeu 3 Déc - 23:44 | |
| Merci à toutes pour vos encouragements ! C'est un plaisir de vous traduire cette merveilleuse fic !!!!
Bonne lecure !
Il voulait regarder ailleurs mais il ne pouvait pas. Les pensées se bousculaient dans son esprit de manière incontrôlable. Avait-il des sentiments pour elle ? Absolument. Mais c’était plus compliqué que cela.
« -Stella, j’ai la possibilité de protéger Danny et Lindsay. Mais si cela se sait je serai incapable de faire la même chose. Vous savez que Sinclair veut me renvoyer depuis que j’ai été nommé à ce poste. -Sinclair peut aller brûler en Enfer, dit-elle avec fermeté.
Il aurait voulu en rire mais comme il savait qu’elle l’aurait probablement tué il se mordit l’intérieur de la joue.
-Vous n’avez pas répondu à ma question. Eprouvez-vous quelque chose pour moi ?
Se perdant dans son regard, il ne savait pas que lui répondre. Cela faisait des années qu’il n’avait pas ressenti quelque chose d’aussi fort pour quelqu’un d’autre que Claire. Mais elle était sa meilleure amie, sa confidente. Elle était la femme de sa vie et il n’était pas sûr d’avoir suffisamment confiance en lui pour vivre quelque chose de plus avec elle. Derrière cette apparente force se cachait un cœur fragile, et il ne voulait pas la blesser. Et si cela se savait il ne pourrait pas la protéger comme il le faisait pour Danny et Lindsay. Elle y perdrait sa réputation.
Détournant son regard d’elle, il prit une profonde inspiration et dit, avec toute la force dont il pouvait faire preuve :
-Non.
Le silence qui s’installa entre eux était tout aussi oppressant que la chaleur estivale. Il ne pouvait pas se résoudre à la regarder de peur que s’il le faisait elle verrait qu’il avait menti.
-Menteur.
Le ton froid de sa voix lui fit redresser la tête, et la regarder sous le choc de la surprise. Ses yeux reflétaient sa blessure à un tel point que ça le blessa plus profondément encore que ce que l’on pourrait faire avec un couteau.
-Stella… -Ne vous justifiez pas Mac. Ne me dites pas que c’est à cause de Sinclair ou de labo. Vous avez peur de vous laisser aimer de nouveau et vous le savez.
Sa voix tremblait et il pouvait voir qu’elle se forçait pour garder le contrôle de ses émotions.
-Stella, je suis…
Il avait commencé à lui présenter des excuses mais elle leva la main pour l’arrêter.
-Mac c’est six derniers mois ont été les plus heureux de ma vie et je sais qu’il en va de même pour vous. Vous avez souri et ri comme jamais, c’était comme si l’ancien Mac revenait peu à peu. Je pensais que peut-être, puisque vous me traitiez ainsi, vous aviez décidé qu’il était temps d’aller de l’avant, que vous aviez retrouvé le courage d’aimer de nouveau. Mais je suppose que j’avais tord. Vous m’avez fait espérer et ça, ça fait mal.
Ses mots raisonnaient peu à peu en lui et une douleur commença à se faire sentir dans sa poitrine. Il tentait désespérément de dire quelque chose mais rien de cohérent n’arrivait à sortir. C’est maintenant ou jamais idiot ! Lui criait son cœur. Mais il ne pouvait pas. Il n’y arrivait pas.
Lentement il secoua la tête et fit un pas en avant.
-Stella je ne voulais pas dire que… -Ce n’est rien Mac, j’ai compris. C’est ma faute, vraiment. Tomber amoureuse d’un homme émotionnellement indisponible… Quelle idée aussi…
Il crut que sa mâchoire allait se décrocher. Il ne pouvait pas croire ce qu’il entendait. C’était sa Stella pour l’amour de Dieu. Mais il ne pouvait tout simplement pas. Tout était trop confus, soudain, compliqué, merveilleux pour qu’il comprenne. Elle se retourna, lui tournant le dos.
-Je ne vous demande qu’une chose… Partez.
La seule chose qu’il sut par la suite c’est qu’il se trouvait devant sa porte, fermée et dont le claquement avait retenti dans tout le couloir. Il ne pouvait pas le croire. Il entendait encore sa voix qui formait un écho dans son esprit et la douleur dans sa poitrine s’intensifia.
Tomber amoureuse d’un homme émotionnellement indisponible.
Menteur.
Ses mots le traversaient de part en part comme une lame. Engourdi il se tourna vers l’ascenseur et de manière quasi robotique il appuya sur le bouton pour descendre au rez-de-chaussée. Il avait l’impression qu’on l’avait disloqué, morceau par morceau.
Elle l’avait disloqué. Oh Dieu ! Elle l’avait complètement mis en pièces !
A l’extérieur c'était comme si une brume avait recouvert toute la ville, volant sa respiration à même ses poumons. Les odeurs de gaz de pots d’échappement de voitures et des vieux déchets agressaient son odorat. Il se sentait malade, comme une envie de vomir, mais il ne savait pas si c'était à causes de ses paroles ou de la chaleur. Lentement, il remonta la rue et commença à marcher. Il ne savait pas dans quelle direction, et honnêtement, il ne s'en souciait pas. Il devait aller quelque part, pour réfléchir, quelque part pour mettre tout ça au clair.
Avait-elle raison ? Etait-il émotionnellement indisponible ?
Ce n’était pas comme s’il ne s’inquiétait pas pour elle. Il aurait risqué et donné sa vie pour elle s’il l’avait fallu. Quand Frankie l’avait agressée il avait redécouvert le sens de l’expression « voir rouge » Si ce bâtard n’avait pas été mort il l’aurait tué lui-même. Personne ne pouvait blesser Stella et s’en sortir. Personne.
Et il lui avait dit qu’il s’inquiétait pour elle. Plusieurs fois en fait, lorsqu’ils étaient à Thessaloniki. Il s’était inquiétait pour elle grandement. Plus que quiconque d’autre en ce monde ne l’avait fait pour elle.
Elle passa une journée infernale à travailler le lendemain du jour le plus infernal de sa vie. Quand il était frustré à cause d’une affaire ou de l’administration elle savait toujours trouver la chose parfaite à lui dire pour le faire se sentir mieux. Elle le faisait rire avec ses retours fracassant et ses idées brillantes bien connues. Elle était forte, robuste, indépendante. Mais sous cette carapace se cachait un cœur rempli de compassion et de tendresse. Elle avait sacrifié tant de choses pour s’occuper de lui et du reste de l’équipe au point qu’elle en avait bien souvent oublié de prendre soin d’elle-même.
Mais alors c’était quoi son problème ?
Il passa une main dans ses cheveux. C’était la seule femme qu’il avait vraiment aimé après Claire et il venait tout juste de lui dire qu’il n’éprouvait rien pour elle. Et la vérité était que ses sentiments envers elle étaient tout ce que à quoi il pouvait penser.
C'était un lâche.
Cette pensée l’arrêta net, comme s’il venait de percuter de plein fouet un mur de briques.
Mais c’était la vérité.
Mac Taylor, Marines, lieutenant et enquêteur sur des scènes de crimes avait peur d’elle. Même s’il avait affronté les regards de tueurs en série et de terroristes il était effrayé de ce qu’elle pouvait provoquer en lui.
Il avait peur d’avoir besoin d’elle et pour ce qui était d’avoir besoin d’elle c’était certainement déjà le cas.
Il avait besoin de son sourire. Il avait besoin de ses caresses sur sa joue réconfortantes au milieu de l’agitation de leur travail. Il avait besoin de son esprit affûté sur les affaires difficiles. Il avait besoin de son humour dans les situations sombres qui faisait qu’aussitôt tout le monde se sentait à l’aise, comme chez soi. Il avait besoin d’elle derrière lui pour la pousser dans les moments difficiles et il avait besoin de son âme compatissante pout l’encourager.
Elle avait brisé le mur qu’il avait dressé autour de ses sentiments et l’avait ramené.
Et c’était de ça dont il était effrayé en réalité. Avoir besoin d’elle signifiait qu’il s’exposait de nouveau à un monde de blessures. Il s’était abandonné à ses sentiments une fois et il en était ressorti avec le cœur brisé.
Le problème venait de son cœur qui donnait l’impression d’avoir déjà été brisé. Et il savait que cela resterait ainsi tant qu’il serait sans elle.
Cette blessure se lisait sur son visage qu’il revoyait. Il l’avait blessée, et i le savait. Dieu qu’il avait été hypocrite ! Pour un homme qui ne voulait pas la blesser il avait briser ce cœur si fragile d’un mensonge.
L’orage tonnait pesamment et il leva les yeux vers le ciel. La vaste étendue de ciel ouvrit soudainement ses vannes et la pluie se mit à tomber sur l’asphalte brûlant. Une vapeur s’éleva du béton et de l’acier qui constituait la ville, la purifiant de ses horribles odeurs. Sa chemise était trempée et son visage ruisselait, baigné d'eau fraîche. Gardant son visage levé vers le ciel, il inspira profondément. La douleur sourde dans sa poitrine se calma un peu.
Pouvait-il changer ? Pouvait-il devenir cet homme ?
Il le vouait. Oui Seigneur il le voulait. Il voulait avoir le courage de lui dire qu’il l’aimait qu’il ne pouvait pas passer une autre nuit sans elle. Du plus profond de son cœur il voulait avoir besoin de ses caresses, de son sourire, de son visage. Il voulait arrêter de courir au loin, arrêter de tenter de lui échapper. Peut-être qu’arrêter serait son rachat.
Il l’espérait. Parce qu’elle l’avait disloqué et personne d’autre sur terre ne pouvait y remédier.
Mais la question latente : Le ferait-elle ? | |
| | | ptitemel
Perso(s) Préféré(s) : Mac, Stella Nombre de messages : 124 Age : 35 Date d'inscription : 02/12/2009 Réputation : 0 Points : 16537
| Sujet: Re: Dismantle repair [traduction] [smac] Jeu 3 Déc - 23:56 | |
| Tu traduis vraiment bien Je veux la suite | |
| | | Greisa "Fabuleuse auteure de fics. A lire sans aucune modération!"
Perso(s) Préféré(s) : MAC, Patrick, Cal, Ten... Nombre de messages : 8821 Age : 40 Date d'inscription : 18/06/2009 Réputation : 0 Points : 25974
| Sujet: Re: Dismantle repair [traduction] [smac] Ven 4 Déc - 9:35 | |
| Je ne te remercierais jamais assez d'avoir repris cette fic Gwen Elle est sublime, les mots sont super bien employés. Je dois bravo à l'auteuse de cette fic et bien sûre à toi Ma chère Gwen de nous en faire profiter. Merci, Merci, Merci | |
| | | poupi27 "Wow! Trop fort le castor, trop fier le hamster!"
Perso(s) Préféré(s) : Mac, Stella, Don et Adam Nombre de messages : 2887 Age : 45 Date d'inscription : 16/07/2009 Réputation : 0 Points : 19720
| Sujet: Re: Dismantle repair [traduction] [smac] Ven 4 Déc - 9:40 | |
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| | | Thyrsette Accro à la Mûre et Reine de la Crumauté
Perso(s) Préféré(s) : Mac Taylor - Patrick Jane Nombre de messages : 3441 Age : 34 Date d'inscription : 10/09/2009 Réputation : 0 Points : 20284
| Sujet: Re: Dismantle repair [traduction] [smac] Ven 4 Déc - 11:35 | |
| Merci
Mais on va voir s'il en va de même pour Stella...
Oui, car que vois je ? Oh ! Le début du chap 2 ! Chapitre 2 : Sauve-moi de moi-même.Stella était appuyée contre la porte anéantie, écoutant le bruit doux de ses pas diminuant au fur et à mesure qu’il s’éloignait. A travers la porte en bois elle pu entendre l’ascenseur annoncer son arrivée dans un « ding » sourd. Et ensuite tout devint silencieux à l’exception des quelques coups de tonnerre. Elle avait du mal à respirer. Elle était complètement, totalement seule. Elle essaya de se dire que tout allait bien. Elle n’avait plus personne sur qui compter maintenant. Elle pouvait se suffire à elle-même. Elle l’avait déjà fait et c’est toujours ce qu’elle ferait. N’était-ce pas ce qui se passait habituellement même quand elle ne voulait pas être seule ? Au lycée les garçons savaient qu’elle était une enfant abandonnée, une orpheline qui n’avait pas de famille de quelque sorte que ce soit. Ils ne voulaient pas être avec quelqu’un comme cela. Personne ne l’avait invitée au bal de promo parce que personne ne voulait aller la chercher à l’orphelinat St Basile. Mais elle avait fait avec. Elle ne voulait pas de quelqu’un qui ne pouvait pas accepter sa situation familiale. Alors elle avait appris comment s’occuper d’elle et des autres enfants à l’orphelinat. S’occuper d’eux lui permis de vivre avec ça. Avec Frankie elle avait pensé qu’elle avait finalement trouvé quelqu’un qui l’aimait pour ce qu’elle était malgré son passé d’orpheline et le fait qu’elle travaille au CSI. Elle s’était beaucoup amusée avec lui, vraiment, pour la première fois depuis longtemps. De plus il était merveilleux au lit, ce qui était toujours un plus. Il était à son écoute et prenait de l’intérêt dans ce qui l’intéressait. Mais il avait trahi sa confiance, violée de la pire des manières. Sa fantaisie était devenue un cauchemar et elle continuait de vivre revivant ce cauchemar des centaines de millier de fois dans ses rêves. Ensuite vint Drew. Même si dès le début elle avait eu des doutes, l’idée d’être désirée lui avait plu. Ses constantes petites attentions lui permettaient de se sentir quelqu’un dans un sens. Il l’a faisait se sentir d’une manière spéciale. Quand elle avait découvert que c’était lui qui harcelait Mac elle s’était sentie utilisée de nouveau. Elle avait été blessée en plus de ressentir un manque d’attention. Mais elle avait pris sur elle et continué d’avancer comme elle l’avait toujours fait par le passé. Elle ne pouvait que constater qu’à travers tout cela restait Mac. Il avait été la constante de sa vie ces dix dernières années. Après l’agression de Frankie la première chose qu’elle vit à son réveil, fut son visage. Cette expression d’inquiétude dans ses yeux avait envahi ses rêves les jours suivant et elle s’était sentie aimée car quelqu’un se faisait du souci pour elle. Cela n’était jamais arrivé dans sa vie. Quand elle avait appris qu’elle avait peut-être contracté le virus du SIDA elle lui avait dit en premier. Il l’avait enlacé et lui avait dit qu’elle était assez forte pour traverser cela. Quand elle s’était retrouvée dans ce qu’il restait de son appartement il lui avait apporté un café, prise dans ses bras et lui avait offert quelque part où aller. Et même s’ils s’étaient disputés comme chien et chat il avait trouvé un plan après avoir remué ciel et terre pour la ramener à la maison. Et à chaque fois qu’il avait été là pour elle, elle l’aimait un petit peu plus. Ils étaient Mac et Stella, deux personnes qui se comprenaient si bien qu’ils finissaient les phrases de l’autre. Il était la balance équilibrée face à ses émotions impulsives et les rares fois où il laissait parler son cœur c’était avec elle. Ils étaient égaux en tout. Pendant un temps elle avait été heureuse d’être son amie de lui donner du temps. Mais les choses avaient changé quand ils étaient allés en Grèce. La sensation de ses bras l’entourant dans ce champ grec l’avait hantée pendant des jours. « Voilà à quoi ça ressemble de se sentir en sécurité » Avait elle alors pensé. Et un court instant elle avait frissonné. En sécurité ? Depuis quand avait-elle besoin de se sentir en sécurité ? Elle n’en avait jamais eu besoin avant. Elle pouvait prendre soin d’elle-même. Mais il y avait quelque chose en elle qui ne voulait plus de cela, se suffire à soi-même. Un lourd coup de tonnerre brisa le silence et des gouttes de pluie se mirent à frapper les fenêtres peu nombres et rapides au début puis devenant torrentielles. Après avoir passé une main dans ses boucles emmêlées elle se laissa tomber dans la mollesse réconfortante du canapé. Mais le canapé sentait son odeur, cette odeur piquante et séduisante d’homme. C’était le seul homme qu’elle avait jamais autorisé à entrer dans son appartement et il y avait été un nombre de fois beaucoup plus grand ces six derniers mois que durant les neufs années de leur amitié. Dieu, son odeur avait alimenté ses rêves des jours durant prenant d’assaut tous ses sens et lui faisant ressentir le manque de son toucher. Elle imaginait des mains parcourant son corps, la prenant et la berçant dans le ravissement tout en lui murmurant à l’oreille des promesses d’éternité. Mais matin après matin les émotions étaient toujours là, lui ne l’était pas et chaque fois son cœur souffrait. Mais elle ne pouvait pas se résoudre à couper les ponts. Il était le seul homme à qui elle avait jamais vraiment fait confiance parce qu’il était Mac. Comment avait-elle pu mal interpréter les signes ? La manière dont il la tenait dans ses bras tandis qu’elle s’endormait sur son épaule, ses regards furtifs quand il pensait qu’elle ne le voyait pas, leurs longues conversations sur tout et n’importe quoi. Et elle savait que les excuses qu’il lui donnait à chaque fois qu’il s’arrêtait à son appartement étaient complètement artificielles. Lui rapporter une veste dont elle n’avait pas vraiment besoin au milieu du mois de Juin l’avait poussée dans cette logique. Non ! Pensa-t-elle. Elle ne s’était pas trompée à son sujet. Il lui avait menti et elle le savait. Son déni lui brisait le cœur. Elle n’avait pas voulu être si directe avec lui mais elle lisait en lui comme dans un livre ouvert. Et ce mensonge la blessait plus que tout ce qu’elle avait déjà enduré. Alors elle s’était renfermée et lui avait dit ce qu’elle pensait de lui. Le regard surpris sur son visage alors qu’elle le flagellait de ses mots la brûlait de l’intérieur. Oh ! Pourquoi lui avait-elle dit quelque chose à propos de ce qu’elle ressentait ? L’idée d’aimer l’effrayait. Ca ait toujours été le cas depuis la mort de Claire. Elle savait qu’aimer à nouveau lui faisait peur et elle l’avait forcé à prendre une décision. Et pourtant ces six derniers mois l’avaient rendue si heureuse. Elle avait essayé d’étouffer avec chaque once de force qu’elle avait les braises du désir qu’elle éprouvait pour lui chaque dois qu’il l’a prenait dans ses bras ou la regardait avec ces ténébreux yeux bleus. Elle aurait pu laisser cela comme c’était, continuer d’être son amie jusqu’à ce qu’il soit prêt. Cela avait duré près de dix ans et ça pouvait encore durer… Elle détestait vivre dans l’énigme. Et pourtant c’était cela : seulement un rôle. Elle avait toujours était forte pour feindre, elle avait des années de pratique. Quand il s’agissait de Mac cependant, elle avait découvert qu’elle ne pouvait plus rien feindre. Elle ne pouvait pas ignorer ce qu’elle ressentait en bas de son ventre à chaque fois que la porte se fermait sur lui à la fin de la soirée. Elle ne voulait pas être perpétuellement la femme qui attendait l’amour d’un homme qui ne l’aurait pas aimé en retour. Et maintenant elle ne pouvait qu’avoir l’impression d’avoir détruit leur amitié pour toujours. Il n’y aurait plus de retour en arrière possible maintenant. La pluie tapait toujours contre la vitre de la fenêtre, elle soupira sentant une larme poindre au coin de son œil. Elle ne pouvait pas se rappeler la dernière fois que son cœur s’était senti briser, blesser de la sorte comme si un pieu y avait été enfoncé et tourné à l’intérieur sadiquement jusqu’à ce que l’on ne puisse plus le bouger. Un heurt doux et soudain à la porte se fit entendre. Elle regarda dans la direction d’où venait le son. Qui pouvait venir à une telle heure ? Stella laissa échapper un soupir et avec réticence se leva du canapé. Elle traversa rapidement la pièce et sans même un regard dans le judas déverrouilla la chaîne et ouvrit la porte. | |
| | | ptitemel
Perso(s) Préféré(s) : Mac, Stella Nombre de messages : 124 Age : 35 Date d'inscription : 02/12/2009 Réputation : 0 Points : 16537
| Sujet: Re: Dismantle repair [traduction] [smac] Ven 4 Déc - 11:38 | |
| J'adore toujours autant! Ta traduction est genial j'adore Vivement la suite | |
| | | Greisa "Fabuleuse auteure de fics. A lire sans aucune modération!"
Perso(s) Préféré(s) : MAC, Patrick, Cal, Ten... Nombre de messages : 8821 Age : 40 Date d'inscription : 18/06/2009 Réputation : 0 Points : 25974
| Sujet: Re: Dismantle repair [traduction] [smac] Ven 4 Déc - 12:03 | |
| Oh Super touchante cette suite. Pauvre Stella, blessée encore une fois, comme si elle n'avait pas assez souffert Il a intérêt à vite réagir! Merci pour cette suite | |
| | | Spooky
Perso(s) Préféré(s) : Stella Nombre de messages : 4236 Age : 33 Date d'inscription : 19/02/2009 Réputation : 0 Points : 21459
| Sujet: Re: Dismantle repair [traduction] [smac] Ven 4 Déc - 12:14 | |
| ro la coupure sadique!! Qui ça peut bien être? La suite c'est super! | |
| | | poupi27 "Wow! Trop fort le castor, trop fier le hamster!"
Perso(s) Préféré(s) : Mac, Stella, Don et Adam Nombre de messages : 2887 Age : 45 Date d'inscription : 16/07/2009 Réputation : 0 Points : 19720
| Sujet: Re: Dismantle repair [traduction] [smac] Ven 4 Déc - 12:53 | |
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| | | Thyrsette Accro à la Mûre et Reine de la Crumauté
Perso(s) Préféré(s) : Mac Taylor - Patrick Jane Nombre de messages : 3441 Age : 34 Date d'inscription : 10/09/2009 Réputation : 0 Points : 20284
| Sujet: Re: Dismantle repair [traduction] [smac] Ven 4 Déc - 13:58 | |
| Suite et fin du chap 2 ! Le chap 3 ce WE si j'ai le temps. Avec la fête des Lumières c'est pas gagné... Beaucoup de choses de prévues.
Sa mâchoire se décrocha.
Mac se tenait face à elle, le Tee-shirt qu’il portait était trempé et ses cheveux bruns ruisselaient d’eau de pluie. Une tentative de regard, plutôt timide, apparut dans ses yeux bleus-gris et l’expression de son visage lui rappelait celle d’un petit garçon que l’on aurait pris la main dans le sac. Ils se dévisagèrent un long moment sans dire quoique ce soit, ils n’avaient pas besoin de mots entre eux.
Finalement elle se racla la gorge et croisa les bras.
« Vous êtes trempé » Nota-t-elle
Le coin de sa bouche tiqua.
-Oui je suppose que c’est le cas.
Leurs yeux étaient de nouveau bloqués sur ceux de l’autre et elle se rappela comme c’était facile de se perdre dans leur profondeur. Après un autre long silence elle soupira.
-Vous feriez mieux de rentrer et de vous réchauffer avant d’attraper froid.
Sur ces mots elle pivota sur elle-même et, sans regarder derrière elle se dirigea jusqu’au rangement en toile où se trouvaient ses serviettes. Comme elle en prenait une son esprit chancela. Que faisait-il là ? Un mince filet d’espoir réapparu dans son cœur, espoir qu’il était revenu pour s’excuser et lui demander de revenir en arrière. Mais aussitôt elle secoua la tête pour dissiper cette pensée. Ce n’était pas une nuit où l’espoir avait sa place.
La serviette en main elle réapparut dans le salon le trouvant debout derrière la fenêtre regardant la pluie au dehors. Comme il l’avait apparemment entendu rentrer il se retourna. Le coin de sa bouche s’étira en un demi-sourire.
-Merci Stella.
Elle lui rendit son sourire. Dieu ! Qu’est ce qui pouvait bien il y avoir en lui pour qu’elle se sente comme ça en le voyant.
-C’est ce que font les amis.
Mac s’arrêta de se sécher les cheveux sur ces mots et son sourire disparut remplacé par quelque chose qu’elle ne pouvait pas décrire.
-Je n’ai pas été cet ami aujourd’hui n’est-ce pas ?
Ses mots se suspendirent dans l’air comme une tension s’installait de nouveau entre eux, brisée seulement par le bruit de la pluie contre la vitre. Avoir été pris de surprise par la pluie n’était pas la seule raison de son retour. Elle le savait. Mais savait également que c’était mieux de le laisser parler, de ne pas le pousse.
-Après mon départ, j’ai réfléchi à ce que vous aviez dit. -Mac je suis désolée, l’interrompit-elle, j’étais en colère et je n’aurais pas dû être si dure. -Vous avez été honnête, répondit-il gentiment, et beaucoup plus que ce que je ne l’ai été. -Je vous ai forcé à prendre une décision. Je n’avais pas à le faire. J’aurais dû vous laisser le temps.
Il secoua la tête.
-Si ça avait été la vérité vous me l’auriez dit. J’ai bien assez eu de temps.
Elle haussa un sourcil, curieuse mais ne répondit rien.
-Quand je suis parti j’ai réfléchi sérieusement. Et j’ai décidé qu’il était temps que je me mette à être honnête avec vous car c’est ce que font les amis. Donc je vais parler et vous écouter. D’accord ?
Tout ce qu’elle put faire c’est hocher la tête.
-Je sais que vous ne voulez aucune promesse, juste mon honnêteté. Vous aviez raison. Je vous ai menti.
Son aveu ne la prit pas surprise et il le vit sur son visage. Il comprit qu’elle le savait déjà.
-Je suis un lâche, Stell’ admit-il doucement.
Ses yeux s’agrandirent. Mac, Marines décoré et lieutenant du CSI admettait qu’il avait peur ? Avait-il peur d’elle ?
-J'ai peur de m’ouvrir aux gens car cela m’expose à la souffrance. J’avais peur de vous blesser car je suis enclin à fuir à la pensée d’une intimité et que je ne suis pas bon pour les relations humaines. J’avais peur de détruire notre amitié parce que vous comptez vraiment pour moi.
Mac marqua une pause pour mettre en ordre ses pensées. L’orage se faisait de plus en plus lourd à l’extérieur et un éclair de lumière traversa le ciel sombre. Lentement elle s’imprégnait de ses mots. Il comptait pour elle également et beaucoup plus encore.
-Alors je vous ai menti pour essayer d’échapper à la manière dont vous me faisiez me sentir. J’ai toujours été effrayé des changements et changer ma manière d’être avec vous m’a pris par surprise. Je pensais qu’en agissant de manière ambigües les choses pouvaient rester telles qu’elles étaient entre nous. Mais je savais que nous aurions à décider d’un chemin à suivre et je ne pouvais me décider. J’avais peur de vous blesser.
Elle secoua la tête. Ils avaient tellement de points communs, tous les deux effrayés d’être blessé qu’ils en blessaient les autres. Mais il était Mac ;
-Vous ne pourrez jamais me blesser Mac. -Mais je l’ai fait. Je l’ai fait et je l’ai vu sur votre visage et je ne veux jamais y revoir cela.
Stella inspira profondément et lentement expira.
-Je vous fais confiance. Je vous remettrais ma vie, mon cœur et tout ce que j’ais. J’espère que vous pouvez voir ce que je vois en vous. -Que voyez-vous en moi ?
Le silence s’installa entre eux durant un long moment et la tension était palpable. Leur regard était de nouveau verrouillé l’un dans l’autre. Soutenant son regard elle dit doucement :
-Je vois un homme qui a une grande capacité à aimer s’il laissait parler son cœur plus souvent, qui a peur de décevoir au point de ne pas prendre de risques. Le problème est que vous n’avez pas assez confiance en vous. Vous êtes la personne la plus loyale et attachante que je connaisse et vous êtes trop… Et bien, vous ne m’avait jamais blessé volontairement.
Elle laissa une pause significative laissant la vérité briller dans son regard.
-Parfois Mac les plus grands risques apportent les plus belles récompenses.
La profondeur des sentiments et des émotions qui le traversaient la saisirent. Elle ne lui avait jamais vu ce regard avant et ça la frappa. Détermination, remords et passion brûlaient ses iris.
« Je ne mets pas ma confiance en quelqu’un qui ne la mérite pas Mac. Il n’y a personne sur cette terre en qui j’ai plus confiance. Avec ma vie, mon cœur et tout ce que j’ai j’espère que vous arriverez à vous faire confiance.
Il se décolla du mur et avança vers elle. Elle était paralysée, envoûtée par cette expression dans ses yeux, son cœur battait de plus en plus vite à tel point qu’elle pensait qu’il allait exploser.
-Je ne peux pas promettre que je ne serais pas réservé sur nous deux à propos de notre place au labo et de comment notre relation va l’affecter. Je ne peux pas promettre que je n’hésiterai pas parce que je n’ai jamais ressenti quelque chose d’aussi fort pour quiconque et que cela me fait peur. Mais vos caresses sont tout ce à quoi j’ai pensé ces six derniers mois. L’image de vous et moi ensemble me rendait malade. Je ne veux pas seulement nous donner une chance parce que je sais que je veux que ça marche. Je veux être cet homme pour vous.
Seuls trois pas les séparaient encore et elle pensait que son cœur allait exploser. Elle pensait qu’elle était entrain de rêver parce que des mots qu’elle n’espérait plus entendre sortaient de sa bouche. Ses mains sur les siennes dissipèrent aussitôt cette idée. Un doigt releva son menton pour que leur regard se rencontre de nouveau.
-Je suis désolé Stell’ , murmura-t-il, je suis désolé de t’avoir tant fait souffrir. Mais je veux cela, je te veux. Je ferai tout pour essayer d’être cet homme que tu veux que je sois parce que j’ai besoin de toi. Mon Dieu, j’ai tellement besoin de toi !
Elle regarda ses yeux un court instant et y trouva de la sincérité. Elle le croyait quand il disait qu’il la voulait et cela faisait bondir son cœur. Mais leur conversation précédente lui revint à l’esprit. Ca allait beaucoup trop vite.
-Je te crois Mac, murmura-t-elle, je te l’assure. Et je mentirais si je disais que je ne voulais pas la même chose. Mais …
Rapidement il plaça un doigt sur ses lèvres l’interrompant. Il prit son visage entre ses deux mains. Ses pouces caressaient tendrement ses pommettes.
- Donne-moi le temps de te prouver que je veux tout ce que tu as à m’offrir et je te donnerai tout ce que j’ai. Chaque morceau abimé, démantelé de mon être. Parce que je t’aime et que tu es la seule de qui je peux espérer aller mieux.
Ses mots résonnèrent en elle en une sensation de soulagement. Il l’aimait. Elle pouvait le voir dans ses yeux, dans les braises d’espoirs qu’il y avait. Elle avait attendu ses mots de sa part durant 10ans.
Mais ses lèvres furent sur les siennes avant qu’elle n’ait eu le temps de se formuler cette pensée, pensée qui disparut aussitôt remplacée par l’odeur et la sensation de Mac en elle. Ses lèvres dansaient contre les siennes, tendres et timides, elle ferma les yeux se laissant aller à se baiser. Ses mains se saisirent du Tee-shirt humide comme les siennes glissèrent dans ses cheveux bouclés.
Soudain elle sentit sa langue caresser la frontière, appuyant contre ses lèvres timidement avant de devenir plus insistante. Elle ne pouvait contenir ses soupirs de contentement provenant de sa poitrine et elle laissa entrer sa langue, s’enlaçant avec la sienne comme il approfondissait le baiser, testant ce nouveau visage qu’avait leur relation. Il prit possession de sa bouche prenant le temps d’en explorer chaque recoin jusqu’à ce qu’elle ait du mal à respirer du fait des vagues d’émotions qui déferlaient en elle.
Après une éternité ils se séparèrent à contre cœur. Ses lèvres étaient encore humectées d’avoir été contre les siennes et elles le furent de nouveau comme si il n’avait pas pu suffisamment goûté à ce que c’était. Maintenant qu’elle y avait goûté une fois ne suffirait plus. Il appuya son front contre le sien respirant en synchronie avec elle, leurs poumons se remplissant d’oxygène. Leurs yeux étaient de nouveau plongés l’un dans l’autre. Sa peau le brûlait sous ses vêtements froids et humides la sentant brûler elle aussi.
-Je suis désolé Stella. -Je sais. Je le suis aussi. -J’ai besoin de toi dit-il dans un râle.
Ses mains étaient toujours dans ses cheveux.
-Sauve-moi de moi-même.
Elle savait qu’elle était la seule qui pouvait l’aider. Elle avait besoin de lui autant qu’il avait besoin d’elle.
Lentement elle déplaça ses mains sur son torse sentant la chaleur de sa peau à travers le Tee-shirt trempé.
-Je t’aime aussi, murmura-t-elle.
Un sourire apparut sur son visage. Il pressa ses lèvres contre les siennes une fois encore. Il retira ses mains des cheveux pour les laisser reposer sur sa fine taille. Elle passa ses bras autour de son cou se plaçant de manière à ce qu’il n’y ait plus aucun espace entre eux. Ses mains passèrent sous son Tee-shirt lui envoyant des éclairs comme il traçait de petits cercles dans le bas de son dos. Cette fois ce fut elle qui approfondit le baiser titillant ses lèvres jusqu’à ce qu’elles s’ouvrent et qu’elle puisse faire l’exploration de sa bouche à son tour.
Sa main remonta le long de son dos lui envoyant des frissons et la faisant vibrer de plaisir. Ses lèvres quittèrent les siennes et immédiatement descendirent sur sa poitrine. Elle gémit inclinant la tête sur le côté. Ses mains passèrent dans ses cheveux, parcourant les courtes mèches brunes. Il grogna quand il embrassa tendrement son cou. La chaleur envahit le bas de son ventre de manière rapide intensifiant chacun de ces moments. La bouche de Mac quitta sa poitrine et pressa de nouveau ses lèvres, l’insistance du baiser ne lui laissant aucun doute sur le chemin que cela prenait. Et elle était parfaitement d’accord Elle voulait cela. Elle le voulait lui. Cette sensation de ses mains dans son dos, ses bras l’enlaçant, ses lèvres caressant les siennes c’était trop. Jamais dans ses rêves les plus fous elle aurait pensé que ce serait ainsi mais maintenant que ça arrivait c’était quelque chose qui lui était incroyablement familier. Parce que c’était Mac, le seul homme qu’elle n’avait jamais sincèrement aimé. Son baiser disait tout et c’était bon et okay à ce propos : elle n’y trouvait plis l’hésitation et la peur qu’il avait formulé plus tôt. C’était rationnel et émotionnel tout à la fois. C’était comme s’il avait trouvé le courage dans son désespérant besoin d’elle et elle ressentait la même chose à son sujet.
Une fois encore le besoin d’oxygène devint trop important et ils se séparèrent avec autant de réticence que précédemment. Leur regard était de nouveau bloqué l’un dans l’autre, vert contre bleu.
-Tu n’as plus peur n’est-ce pas ? Demanda-t-elle la voix rauque.
Lentement il hocha la tête.
-J’ai été si aveugle, Stella. Si obstiné. Tout ce temps nous aurions pu être heureux ensemble.
Elle lui sourit gentiment.
-Tu n’as pas été le seul à être aveugle. -J’aurais vraiment…
Il s’arrêta sa voix étouffée comme il regardait ailleurs. Quand son regard croisa de nouveau le sien ses pupilles étaient dilatées et les iris bleus s’étaient endurcis de la couleur du plus pur des saphirs que l’on puisse trouve sur terre.
-Je ne te ferai pas de reproche si tu n’es pas… Mais…
Sa réflexion prudente à son sujet dissipa tous les doutes qu’elle avait à propos du comment cela devait être. Elle déposa un baiser tendre et furtif sur sa bouche goûtant l’eau de pluie sur ses lèvres.
Ensuite elle le prit par la main et le conduisit jusqu’à sa chambre.
TBC | |
| | | ptitemel
Perso(s) Préféré(s) : Mac, Stella Nombre de messages : 124 Age : 35 Date d'inscription : 02/12/2009 Réputation : 0 Points : 16537
| Sujet: Re: Dismantle repair [traduction] [smac] Ven 4 Déc - 14:32 | |
| Rha tu ne peux pas t'arreter la C'est cruel La suiiiiiiiiiiite En tout cas toujours aussi bien traduis c'est superbe | |
| | | Greisa "Fabuleuse auteure de fics. A lire sans aucune modération!"
Perso(s) Préféré(s) : MAC, Patrick, Cal, Ten... Nombre de messages : 8821 Age : 40 Date d'inscription : 18/06/2009 Réputation : 0 Points : 25974
| Sujet: Re: Dismantle repair [traduction] [smac] Ven 4 Déc - 15:09 | |
| Cette suite est géniale. Ils ont enfin pu mettre les choses au clair. Cette suite est super touchante! Merci Gwen | |
| | | Madmoizelle Stella
Perso(s) Préféré(s) : Stella surtout, et tous les autres Nombre de messages : 645 Age : 31 Date d'inscription : 07/10/2009 Réputation : 0 Points : 17230
| Sujet: Re: Dismantle repair [traduction] [smac] Ven 4 Déc - 17:46 | |
| J'ai loupé 3 suites ! xD 3 suites sublimes ! Plus que sublimes même ! Plus que l'histoire ,la manière d'écrire est ...wouah ! Bravo, et merci pour ces moments d'adoration ! | |
| | | calinou
Perso(s) Préféré(s) : Don, Danny, Jo, Adam, Lucy, Mac, Lindsay, Nombre de messages : 203 Age : 33 Date d'inscription : 09/10/2009 Réputation : 0 Points : 16774
| Sujet: Re: Dismantle repair [traduction] [smac] Ven 4 Déc - 20:19 | |
| trop belle suite, merci pour ce travail qui te demande du temps! Super bien traduit ! merci encore | |
| | | poupi27 "Wow! Trop fort le castor, trop fier le hamster!"
Perso(s) Préféré(s) : Mac, Stella, Don et Adam Nombre de messages : 2887 Age : 45 Date d'inscription : 16/07/2009 Réputation : 0 Points : 19720
| Sujet: Re: Dismantle repair [traduction] [smac] Ven 4 Déc - 21:30 | |
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