Dismantle repair [traduction] [smac]

L'auteur de cette fic a fait un excellent travail. Le texte est superbe et toi tu est un traductrice hors pair. Tout est très bien rendu. Bravo

Fête des Lumières ? Amuse toi bien ! (mais reviens vite car nous on va la suite )

wouaaaaaah ta traduction est formidable ! Cette fic est géniale !!! U gros gros merci !!!

aaaaaaaaaaah j'ai trop hâte de lire la suite !!!

Salut, j'adore ta traduction de la fic, tu as fait un très bon travail, et j'imagine bien Mac les cheveux et le t-shirt mouillés. OMG OMG OMG
une suite STP STP STP :grand ecart01: :grand ecart01: :grand ecart01: :grand ecart01: :grand ecart01: :grand ecart01:

Bonjour les filles, je viens de voir que j'avais posté 2 fois le même message et je voudrais m'EN EXCUSER, ce n'était pas mon intention; mon ordi avait beugué et je me suis retrouvée avec 2 messages. JE M'EXCUSE, JE M'EXCUSE, JE M'EXCUSE, j'ai vraiment HONTE de MOI.

J'ai adorée hihi

Merci encore de traduire!!

Voilà le début du chapitre le plus NC - 17 que j'aie jamais lu ! (et c'est rien de le dire !)

Donc je renouvelle le rating de la fic : PAS DE LECTEURS DE MOINS DE 17 ANS. (je suis très sérieuse, le passage suivant sera très hot, si vous choisissez de lire quand même et que vous êtes choqués ne venez pas vous plaindre)

Je rappelle aussi que je ne suis pas l'auteur mais seulement la traductrice... Rien ne m'appartient de ce qui se passe...


Chapitre 3 : Prélude à une existence ensemble.

De faibles rayons de lumière brisaient les ténèbres de la chambre apparaissant l’instant d’une seconde contre les murs et ensuite disparaissent à jamais. Les vêtements jonchaient le sol, ils avaient rapidement été abandonnés tandis que les lèvres fusionnaient et que les mains exploraient le corps de l’autre. Ils avaient de la difficulté à respirer, leur respiration était calée que le rythme en staccato de la pluie qui frappait contre la vitre.
Ses lèvres collées aux siennes Mac l’allongea délicatement sur le lit sentant chaque parcelle de sa peau nue contre la sienne tandis qu’il se couchait par-dessus elle. Sa chaleur le faisait brûler et il se demanda un court instant s’il avait déjà été effrayé de cela. Seigneur, il la voulait tellement à un tel point qu’il pouvait sentir son désir brûler dans le creux de son ventre. Ca faisait une éternité qu’il n’avait pas ressenti quelque chose de tel envers quelqu’un. Personne d’autre n’avait provoqué ce genre de réaction en lui et il le savait.

C’était seulement le commencement d’une existence avec elle et cela pour toujours.

Une fois encore il unit ses lèvres aux siennes, sa langue glissant dans sa bouche avec facilité. Ses doigts caressèrent la peau tendre de ses lèvres avant de descendre jusqu’à son ventre musclé. Une de ses mains voyagea à travers la vallée que formaient ses seins en traçant doucement les contours. Il voulait parcourir chaque centimètre de son corps pour se rappeler de cet instant avec elle et qu’ainsi ses sentiments habituels de peur et de doute disparaissent ; il savait que c’était cela qu’il voulait perdre. Si c’était ça de l’aimer alors il voulait que ça dure toujours.

L’expression blessée de son visage de tout à l’heure lui revint alors à l’esprit et ses mains sur sa taille se raffermit. Il ne devait pas lui refaire ça à nouveau. Il ne le ferait pas. Elle signifiait trop pour lui. Il regrettait ses mots qui l’avaient tant blessée.

-Je t’en prie Stell’ murmura-t-il contre ses lèvres.

Stella gémit comme ses lèvres quittèrent les siennes pour le creux de son cou. Son léger duvet râpait doucement contre sa peau comme ses lèvres venaient de trouver un point sensible en dessous de son oreille. Ses mains passaient dans ses cheveux encore humides le faisant gémir de plaisir à la sensation du bout de ses doigts frôlant son cuir chevelu. Elles continuèrent leur chemin jusqu’à son torse, faisant délicatement le tour de la cicatrice qu’il avait au dessus de son cœur. Stella le sentait battre à tout rompre. Ses mains arrivèrent au dessus de ses abdos. Enivrée elle regardait les muscles se contracter sous le bout de ses doigts étonnée qu’elle puisse produire ce genre de chose chez lui. Elle sentit qu’il murmurait ses excuses contre sa peau encore une fois et elle embrassa légèrement le coin de sa mâchoire le pardonnant sans le dire. Il releva la tête et la regarda, l’iris bleu de ses yeux le comprenaient et la désiraient. Il savait. Il savait qu’elle l’avait pardonné et qu’elle le voulait. Il n’avait pas besoin de mots.

Il baissa la tête de nouveau et ses yeux papillonnèrent avant de se fermer. Tout ce qui appartenait au passé ( la solitude, Frankie, Drew) avait tout simplement disparu sous l’effet de ses mains rêches contre sa peau et de ses lèvres pressant son point sensible dans le cou. Toute la souffrance toute la tristesse, chaque nuit de solitude passée à le vouloir étaient parties, dissipée avec chaque doute qu’elle avait pu avoir. Pour la première fois depuis longtemps elle compris ce que c’était d’être entière de nouveau.

Soudainement il recula et elle émit une plainte comme elle ne sentait plus sa chaleur. Seigneur non. Pas maintenant, pas quand il était si proche et elle si prête. Elle ouvrit les yeux le cherchant du regard pour comprendre ce qui n’allait pas. N’ayant rien trouvé d’anormal elle se renfrogna.

-Qu’y a-t-il ?

Le coin de sa bouche s’étira et il éleva l’une de ses mains pour remettre en place une boucle sur son front.

-T’ai-je déjà dit combien tu étais belle ? Murmura-t-il.

Elle haussa un sourcil.

-Je suis sérieux Stell’

Il fit glisser sa main de son front jusqu’à son cou caressant son point sensible.

« Tu es si belle. »

La main de Mac parcourut sa poitrine et il se pencha pour y déposer un baiser. Elle émit doucement, elle avait l’impression que sa peau était en feu. « Galbés exactement comme il le fallait. » Il laissa tomber ses mains jusqu’à sa taille

-Je veux me souvenir de toi ainsi.

Elle déglutit difficilement et hissa une de ses mains de manière à la passer dans son cou. Doucement elle le rapprocha d’elle.

« Montre-moi » Lui murmura-t-elle dans l’oreille.

Il grimaça et l’embrassa de nouveau langoureusement, il adorait sentir ses lèvres contre les siennes. Oh il avait bien l’intention de lui montrer ce qu’il ressentait, ce qu’elle lui faisait ressentir. Et il allait prendre son temps pour le faire. Lors de ces huit dernières années il n’avait jamais ressentie cette joie de vivre, cette liberté, cette plénitude. Ses mains quittèrent ses cheveux et glissèrent jusqu’à ses épaules frottant sa peau doucement du bout des doigts. Il émit un grognement contre ses lèvres. Seigneur elle allait être ce qui le tuerait. Ou elle serait ce qui le ferait vivre. Que ce soit l’un ou l’autre il ne s’en souciait pas réellement.

Non. Une fois ne serait pas suffisante.

belle soeurette tu travailles toujours aussi bien, bravo !!!!!

quelle magnifique traduction, vivement la suite du chapitre !!!!!

Et bien, quelle début de chapitre!

Merci pour tout ce superbe travail de traduction Gwen

Pfiou !

(c'est quand la suite que j'aille chercher des glaçons !)

Et bah dis donc.....

Merci tout le monde !

Rappel du raiting : NC - 17

Et non je ne fais pas traîner les choses en longueur... Le chapitre est très long.... C'est tout...

Ses mains rêches durcies par des années de pratique de la basse et par ses années de service chez les Marines, caressaient la fine taille de Stella ce qui la faisait frissonner. Il n’irait pas trop vite même après dix ans de frustration. Grognant doucement elle attrapa sa main pour la guider jusqu’à son entrejambe brûlant de désir… Mais il était plus fort qu’elle et comme il bougeait avec la rapidité d’un éclair sa main échappa à son étreinte, saisit son poignet et reposa sa main sur le lit près de sa tête. Rendue complètement impuissante elle leva les yeux et braqua son regard sur lui.

Mac se contenta de sourire malicieusement et elle sentit la température monter brusquement.

-Patience Stella murmura-t-il.
-Ce n’est pas mon point fort, murmura-t-elle.

Elle redressa la tête, juste un petit peu de manière à ce que ses lèvres approchent son oreille et elle murmura :

-Je te veux.

Un petit gémissement sortit de sa gorge et Stella eut un petit sourire satisfait. Quand leurs yeux se rencontrèrent ils étaient remplis de désir.

« Doucement, dit-il.

Sa voix était rauque et elle pouvait entendre qu’il respirait rapidement. Malgré son impatience elle comprenait. Maintenant que ça arrivait enfin il voulait que ça dure. Et elle était d’accord sur le principe.

Elle répéta délibérément : « Doucement. »

Avant qu’elle ne comprenne réellement ce qui se passait sa main libre suivit la courbe de sa taille pour en rejoindre le centre. Son pouce trouva son nombril et méthodiquement le caressa envoyant des ondes de plaisir à travers tout le corps de la jeune femme. Il glissa un doigt en elle et elle rejeta la tête en arrière contre le matelas, ses yeux s’étaient fermés d’eux-mêmes. Il relâcha ses mains et elles allèrent caresser son dos. Stella sentit qu’il embrassait tendrement le léger repli de peau de son nombril. Il avait étouffé la chair avant de l’apaiser grâce à sa langue ce qu’il la fit gémir.

Il glissa un autre doigt en elle et automatiquement son corps se cambra dans le lit. Elle garda les yeux fermés. Elle avait l’impression d’avoir un nœud dans le ventre de plus en plus serré jusqu’à l’heure de la délivrance. Apparemment il pouvait le sentir car il accéléra le rythme du mouvement de ses doigts en elle répondant ainsi à ses gémissements de plus en plus nombreux. Au milieu de toute cette vague de plaisir elle pouvait sentir ses lèvres remonter le long de son corps jusqu’à ses seins s’attachant plus particulièrement à l’un d’eux.

Et c’était pour elle. C’était venu soudainement, son nom sur ses lèvres, ses lèvres pressées contre sa main. Sa vision se brouilla et elle eut un sursaut.
Mac la regarda attentivement. Il caressait son cou attendant patiemment qu’elle reprenne son souffle. Il aurait voulu la regarder dans toute cette béatitude et en graver l’image dans sa mémoire pour toujours. Son esprit était embrouillé : comment pouvait-elle être si forte et à la fois si vulnérable comme c’était le cas en ce moment même ? Il fut rempli de reconnaissance envers elle qui lui faisait confiance de tout son être. Cela signifiait tellement... Comment avait-il pu penser qu’il voulait échapper à cela ? Il ne le saurait jamais.

Les choses changeaient. Mais pour le meilleur.

Ses paupières s’ouvrirent lentement et il la regarda. Les sphères émeraudes étaient devenues légèrement vitreuses sous l’effet du relâchement. Gentiment il lui sourit.

-Hé.

Dans un tremblement elle lui rendit son sourire.

-Hé. Que s’est-il passé pour que tu ralentisses ?

Mac gloussa doucement et caressa son visage.

-Ca va ?

Son sourire s’élargit et elle hocha la tête.

« Je vais…. Merveilleusement bien. Parfaitement bien Mac.

Elle baissa le regard jusqu’à ce qui faisait sa virilité qui maintenant tremblait et une arabesque se forma au coin de sa bouche.

-Mais je ne pense pas que ce soit ton cas.

Il avait une réplique sur le bout de la longue mais la main de Stella descendit et elle le toucha avec un doigt fin. Tout ce qui lui échappa fut un grognement.

-Stell’
-Je te veux, répéta-t-elle, complètement.

Mac plongea de nouveau son regard dans ses yeux qui avaient pris un ton de vert sombre qu’il ne lui avait jamais vu auparavant. Ses yeux brûlaient de désir et d’amour. Mais il fallait qu’il soit certain.

-Tu en es bien sûre ?
-Son sourire s’agrandit encore si cela était possible. C’était le Mac qui lui avait tant manqué, cet homme passionné et attachant dont elle était tombé amoureuse il y a des années. Il était si prévenant avec elle, elle l’aimait plus que tout.

Pour toute réponse elle l’enlaça.

-Oui, murmura-t-elle.

TBC...

ah ba dis donc ça c'est du NC-17
mais c'est trés beau aussi

en tout cas bravo pour la traduction

OMG OMG OMG
très bon travail, je te félicites.
Veux-tu ma mort parce que là j'ai du mal à ralentir mon coeur, il s'est très vite emballé.
et encore MERCI pour la traduction

merci merci belle soeurette j'ai hâte de découvrir la suite du chapitre !!!!

tu es une vraie championne de la traduction

leur liaison est vraiment belle

Ils sont tellement beaux tout les deux
Leurs relation ne peut-être que phénoménale.

Merci Gwen pour cette suite

Et bah dis donc...

oui bon ok faut que je change mon vocabulaire

Encore une fois merci pour vos compliments, ça me touche vraiment. Traduire, bah c'est pas si évident que ça en a l'air (mais j'aime beaucoup ça )

Non ce n'est pas la fin, j'en suis à la moitié du chapitre environ.

Un sourire s’épanouit sur son visage et il se pencha pour l’embrasser. Sa langue glissa dans sa bouche et elle écarta les jambes pour le laisser s’y installer. Ses grandes mains caressaient ses lèvres tandis qu’il se préparait et son regard se verrouilla dans le sien. Oh oui les choses changeaient. Pour le meilleur.

Vint alors cette lente, brûlante entrée en elle et avec un long râle il s’enfonça en elle. Il sentit tant de chaleur et d’humidité à la fois dans un resserrement si grand qu’il en perdit la notion de ce qu’il devait faire là. Mais il maintint le rythme rassemblant chaque once de contrôle qu’il avait encore. C’était pour elle. Elle le méritait tellement. Comme il attendait qu’elle se rajuste il jeta un regard à son visage. Ses yeux étaient fermés et sa tête rejetée en arrière contre l’oreiller et il décida à ce moment là que ça devait être la chose la plus belle qu’elle aurait jamais vu.

Elle ouvrit les yeux sous l’effet des sensations qui affluaient en elle et leurs yeux se rencontrèrent de nouveau.

-C’est bon ? Demanda-t-il dans un grincement.

Elle voulait dire que c’était plus que bon mais elle ne put que consentir d’un signe de tête.

-Je t’aime murmura-t-il.

Des larmes brillèrent au bord de ses yeux et un sourire sauvage s’étala sur son visage.

-Je t’aime aussi.

Lentement il commença à bouger, et Stella redressa la tête pour presser ses lèvres contre les siennes. Il était si ancré en elle, sur elle, autour d’elle formant comme un bouclier qui la protégerait quoiqu’il advienne et l’aimant tendrement et passionnément avec tout ce qu’il avait. Elle avait toujours pensé que si cela arrivait ce ne serait pas aussi bon que ce qu’elle avait imaginé car le fantasme est toujours meilleur que la réalité. Maintenant cependant elle s’était rendu compte qu’elle avait eu complètement tord. La réalité rendait honteux tous les fantasmes qu’elle avait eu auparavant.

Il la conduisait jusqu’à des sommets puis la laisser redescendre créant comme des montagnes ruses sauvages de plaisir et d’émotions auxquelles elle n’était encore jamais parvenue. A certains moments il déposait des baisers sur ses joues ou sur ses lèvres, ses gémissements faisaient vibrer tout son corps. I enfouit sa tête dans son cou pour y mordiller doucement la chair et ses doigts alternaient entre le parcours de ses cheveux bruns et les caresses dons son dos. Sa respiration se transforma en des halètements à la recherche d’oxygène mais sans cesser la douce torture qu’il lui infligeait. Ses mains erraient sur son corps, son bassin était collé au sien et pour la première fois de sa vie elle comprit ce que ça voulait réellement dire que de faire l’amour. Avant ça n’avait été que du sexe. Mais avec lui… C’était plus profond en signification… Meilleur.

Le temps passait accompagner par la cacophonie créée par le bruit de la pluie mêlé à leurs gémissements et à leurs grognements. Lentement ils explorèrent l’autre découvrant de petites choses qui étaient restées endormies, tues par leur amitié. Mais bientôt son corps arriva au paroxysme de ce qu’elle pouvait prendre. Ce nœud se serrait de plus en plus dans son ventre et ça la rendait mal à l’aise. Elle sentit ses lèvres sur son cou et elle tourna la tête juste assez pour que le bout de son nez frotte son oreille.

-Mac, murmura-t-elle, S’il te plaît.

Sa main passa de sa taille mince à son dos collant leur corps l’un à l’autre. Ils se trouvèrent, leurs doigts s’entrelacèrent comme ils s’appuyaient sur le matelas. Finalement il prit ses lèvres en un baiser ardent. Il la conduisit jusqu’à la délivrance et elle grogna contre ses lèvres passant son bras libre autour de son cou et ses jambes autour de sa taille.

Ils étaient unis en tout, cœur, esprit, corps, âme. Seigneur elle l’aimait et elle savait qu’il l’aimait.

Elle aurait pu donner le moment exact où elle s’était sentie délivrée mais quand elle franchit finalement le précipice cela lui fit littéralement voir des étoiles. Sa vision se brouilla comme le nœud en elle s’était desserré lui procurant un flux de plaisir. Aucune pensée cohérente ne pouvait être formulée en son esprit et tout ce qu’elle pouvait ressentir c’était lui, lui sur elle, lui en elle.

Mac sentit son bras et ses jambes l’entourer et ce fut le trop. Il perdit le contrôle et dans une poussée finale et un grognement sourd il vida sa semence en elle. Sa vision se troubla et il sentit son pouls près de son oreille alors qu’il criait son nom dans ce moment d’extase. Se laissant retomber sur elle sa tête tomba sur la poitrine de Stella tandis qu’il cherchait à se rappeler comment respirer.

A travers cette brume de plaisir il sentit sa main doucement caresser sa colonne vertébrale de haut en bas l’apaisant comme elle avait toujours su le faire. Alors qu’il avait toujours du mal à reprendre son souffle il releva la tête avec difficulté. Le bleu verrouillé dans le vert elle lui sourit. Ils venaient tout juste de faire ce qu’il avait toujours cru impossible et son cœur était gonflé de tout l’amour qu’il éprouvait pour elle. C’était seulement un prélude. C’était tout juste le commencement.

Stella grogna doucement lorsqu’il se décolla d’elle. Mais ensuite il l’entoura de ses bras et roula sur le dos la calant contre son torse. Elle s’y enfouit laissant une main caresser son bras et sentir toutes les sinuosités de sa peau. Sa main qui était posée sur son épaule parcourut ses boucles moites de sueur les traversant tendrement de ses doigts.

Ils restèrent là en silence un moment. Ils reprirent leur souffle et écoutèrent le bruit sourd de la pluie chutant contre la fenêtre. Soudainement elle le sentit bouger contre elle et elle leva les yeux vers lui. Ses yeux reprenait leur teinte de bleu habituelle mais elle pouvait voir que quelque chose avait changé. Quelque chose avait changé et c’était pour le mieux.

TBC

OH MY GOD ! c'est magnifique
du pure Smac

Ouch ! c'est chaud, c'est beau, ça donne envie d'être à leur place.



Merci pour la traduction

Lino a écrit:

Ouch ! c'est chaud, c'est beau, ça donne envie d'être à leur place.



Merci pour la traduction

Je vous en prie.

Je rectifie le propos de Lino... Ca donne envie d'être à la place de Stella.

Vais faire un tour dans la chambre froide See you !

Moui, bon euh ... Quitte à choisir, je préfèrerai quand même quelqu'un d'autre que le lieutenant Taylor
J'vous le laisse. Alors heureuses ?

Tu fais du super bon boulot Gwen Merci infiniment.

C'est magnifique, tout comme le Smac

Pourquoi je ne suis pas étonnée Lino ?

Au fait je vais peut être revenir voir Fooled Again si j'ai le temps.

Moi le lieutenant Taylor ça me va très bien, Poupi a le jumeau, Lino Sheldon et tout le monde il est content !!!