Erreur sur la personne [Stellack+Enquête]

méchante

héhé ... peut etre qu'il lui est vraiment arrivé quelque chose,.... ou pas... mystere... faut attendre le chapitre suivant !

comme promis,voilà la suite !
(chapitre 6 à 8 envoyer pour la correction )

CHAPITRE 5

Danny : Mac, Stella ! Venez voir en bas !

Lorsqu'elle l'entend, Lindsay, elle aussi, descend les marches quatre à quatre.

Stella : Qu'y a-t-il Danny ? Tu l'as trouvé ?

Stella voit l'effroi dans les yeux de ses collègues, et ses larmes commencent alors à couler... Non, ce n'est pas possible !

Danny (montrant du doigt un coin sombre): Non, mais j'ai trouvé ça...

Dans ce coin se trouve une cellule semblable aux cachots d'autrefois, les murs de la cellule sont très sales, on voit bien que personne n'a fait le ménage ici depuis bien longtemps. Sur le sol, une coupelle en fer avec quelques os de poulet, sûrement les restes du dernier repas de Flack, au moins il avait eu à manger...

Un petit gobelet en fer est posé à côté, il reste un peu d'eau dedans. Il n'y a pas de lit ou de matelas, juste un tas de foin, un peu arrangé. Si la situation n'était pas aussi horrible, ils seraient en train de rire : Flack aime le confort...

Lindsay (avec une petite larme coulant sur la joue): ils ont dû l'enfermer ici avant de le déplacer.

Mac : Il y a du sang sur le mur. Lindsay, passez-moi un coton tige.

Lindsay : Voilà !, vous pensez que c'est le sien ?

Mac : Il n'y a pas beaucoup de sang, mais on distingue bien des fissures sur le mur, elles ont la forme d'un poing humain. Si Flack était enfermé ici, il n'a pas dû rester calme longtemps, surtout s'il n'arrivait pas à trouver un moyen de sortir d'ici.

Ils savent tous combien Flack déteste être enfermé. Dès qu'il est dans une chambre d’hôpital, il s’énerve; lorsqu'il est bloqué dans l’ascenseur, c’est pareil. Au final, le résultat est toujours le même: Flack donne un gros coup de poing dans le mur. Ses phalanges en savent quelque chose!

Danny : Au moins, on sait qu'il va bien.

Lindsay : Du moins que dans cette cellule, il allait bien, mais il en est sorti depuis, on ne sait pas comment il va maintenant...

Ces mots ne rassurent pas Stella. Tout-à-coup ses yeux se mettent à briller .

Stella : Regardez le mur, là. On dirait qu'il y a quelque chose de gravé.

Danny (observant un bout de ce mur). Il y a nos prénoms ici...

Lindsay : Il devait penser à nous, ça devait lui permettre de garder espoir.

Mac : Il n'y a pas que nos prénoms, ces écrits là ressemblent à des lettres ou des poèmes.

Il s'approche du mur et en lit un à voix haute «Dans les profondeurs de mes yeux subsiste tout l'amour que j'ai pour toi et dans les tiens vit ma vie»

Lindsay : C'est très beau ! Je ne savais pas Flack si poète et si romantique ! En tout cas, ce n'est pas Danny qui m'écrirait ça !

Danny : EEEEEhhh ! Il y a un destinataire au moins sur la lettre de ton poète ?

Lindsay (cherchant un peu): Attends... Oui !

Danny attend impatiemment le nom, mais Lindsay ne dit rien. Mac s'avance et reste stupéfait.

Mac (doucement) : Stella... Vous devriez venir voir.

Stella (qui s'est approché et qui regarde les écrits): Pour moi ? Il a écrit ça pour moi ?

Danny (se tournant vers Lindsay): Est-ce que ça veut dire que pour lui Stella est plus qu'une amie ? Est-ce que ça veut dire qu'il … ?

Lindsay : Oui, je pense que Flack l'aime, regarde celui-ci, on dirait le même, mais il est différent, plus complet:

«Pour toi Stella : Dans les profondeurs de mes yeux entre l'amertume et la mer subsiste le cœur de nous deux, plus je m'enfonce dans l'oubli plus nos souvenirs m’ensorcellent, plus je m’éloigne de ta chair. Dans les profondeurs de mes yeux subsistent le cœur de l'aveu, l'aveu de l'amour, le plaisir inhumain, l'aveu de l'amour, le désir assassin, le sang que je délivre lorsque j’écris je t'aime au grand jour de ma vie.»

Stella (pleurant de joie, mais aussi de tristesse): Il doit vraiment m'aimer très fort pour avoir écrit ça, mais pourquoi maintenant ? Pourquoi pas avant ?

Lindsay: Il a dû se dire que s'il mourait, tu ne le saurais jamais. Alors il te les a laissés en espérant que tu les trouves en le cherchant, il y en a des dizaines. Combien de temps est-il resté là à votre avis ?

Mac : trop longtemps à mon avis...

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(le poème de flack est issue de la magnifique chanson de Garou nommé l'aveu dont il en ait le refrain)

Joli donc il lui ai bien arrivé quelque chose.
Et Flack poème c'est le mec parfait


je crois que tu as compris ce que je voudrais !!

Parfait de cher parfait

un beau poeme si tu l'aimes tu devrais ecouter la chanson d' origine elle est tres belle,la suite bientot

je viens de l'écouter3 fois -_- mais maintenant je me remets au Queen

personellement mon record c'est 27 fois d'affilé (hors sujet mais pas grave il n'y a que nous ici )

Seules dans une fanfic

Voilà le chapitre 6,bientot le 7,enfin j'espere


Chapitre 6

Stella et Mac travaillent toujours sur la disparition de Flack, mais Danny et Lindsay sont chargés d'urgence d'une autre affaire. Des coups de feu, tirés avec un fusil d'assaut, ont été signalés, il y a environ 20 minutes. Danny et Lindsay y vont le plus vite possible.

Danny: Mais 510 Long Street, c'est en plein centre ville ?

Lindsay: Oui, quelque chose te tracasse ?

Danny: Non, mais tu as déjà eu des cas de fusillades aux fusils d'assaut en centre ville ? Ce n'est pas courant ! Ce type devait vraiment être en colère.

Lindsay: C'est vrai que dit comme ça... (puis, elle est interrompue par sa radio) oui ? Okay, merci on arrive !

Danny: Un problème ?

Lindsay: Oui, peut être un gros, les habitants ont été évacués. Il se pourrait que le suspect se trouve encore à l'intérieur, et on signale des victimes. Un père de famille, sa femme, leurs deux enfants et un témoin gênant...

Danny: Quel âge avaient les enfants ? Et le témoin ?

Lindsay: Le témoin avait la trentaine.. Les enfants...la petite fille n'avait que cinq ans et son grand frère avait deux ans de plus ..

Danny: Comment peut-on faire ça à des enfants ? Qu'est ce que ces enfants ont pu faire à cet homme ? Ils n'avait même pas l'âge de descendre les poubelles tout seuls !

Lindsay: Je sais Danny, ça ne devrait pas arriver à des enfants, mais n'y pense pas, on doit se concentrer sur notre affaire. N'oublie pas que le suspect est peut-être encore là.


Danny et Lindsay arrivent enfin sur les lieux. Le capitaine Simons de la police leur fait son rapport.

Simons: Voilà, après les coups de feu, on a bloqué tout le bâtiment et ses alentours, personne n'est sorti à part les habitants. On pense qu'il est encore dedans.

Danny: S'il y est, il va regretter d’être resté observer son œuvre !

Lindsay (se munissant d'une arme plus efficace): Allons-y !

Après être montés les 3 étages, ils arrivent devant la porte de l'appartement.

Danny (chuchotant): A trois... Un.. Deux.. Trois !

Et il enfonce la porte de toutes ses forces, mais tout ce qu'il voit ce sont les 2 enfants.
Il fait signe à Lindsay d'aller voir la pièce d’à côté.

Lindsay (chuchotant): Rien ici, à part les parents. Il y a des traînées de sang. Ils ont dû ramper après avoir été touchés.

Danny (chuchotant): Simons, le salon …


Simons entre dans le salon en premier, suivis de Danny et Lindsay.

Danny (chuchotant): Encore du sang, le témoin peut-être ?

Lindsay (chuchotant et montrant a Danny la cuisine): Non, il est là.

Simons (doucement): Stop, il y a encore du sang ici, et je vois plusieurs bouteilles de bière. Les victimes faisaient une fête ?

Danny (aussi bas que Simons): Non, je ne crois pas, c'est peut-être l’assassin.

Lindsay (doucement et en se rapprochant plus en plus du fond du salon). Tu connais beaucoup de meurtrier qui reste boire sur leur scène de crime ?

Danny (toujours aussi bas): Non,mais s'il a tué des mômes, il en serait capable.

Le dernier point de la pièce non exploré était devant eux, il y avait le canapé ainsi que plusieurs fauteuil et une fenêtre.

Simons (doucement): la fenêtre est fermée, mais il y a un bras qui dépasse du canapé, immobile.

Danny (doucement): A trois , Un...Deux..Trois !

Et à trois, ils s'élancent et se retrouvent devant le canapé.

Le choc est immédiat: Danny et Lindsay sont stupéfaits. Et Simons n'en croit pas ses yeux...

Alors quoi !! Qu'est ce qu'il y a !! Mon imagination travail !!!
La suite

héhé mystère (je suis toujours sadique =) ) tu le sauras dnas le 7,ou dans le 8...

tu vas avoir la reponse et la solution et toute tes idées se ce qui pouvait s'etre passé

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Chapitre 7

Là, sous les yeux de Danny, il y a à la fois l'enfer et le bonheur réunis.

Sur la canapé, dans un état déplorable, probablement saoul vu l'odeur et affamé, se trouve Flack...

Lui qu'ils cherchent depuis si longtemps, c'est bien là le dernier endroit où ils pensaient le trouver.

Danny et Lindsay, à la fois heureux et embarrassé, observent attentivement autour d'eux. Ils ne trouvent aucune explication logique. Mais le plus urgent, c'est éloigner Simons.

Lindsay : Simons, pourriez-vous chercher ma mallette, s'il vous plaît ?

Simons: D'accord.

Danny : Merde !! Lindsay qu'est-ce qu'on va faire. J'ai beau chercher, je ne vois pas comment expliquer que Flack soit couvert de sang et qu'il tienne le fusil d'assaut dans sa main !

Lindsay : calme toi Danny ! Il y a forcément une explication ! Flack ne ferait jamais de mal à des enfants.

Danny: Bon, si la police le trouve comme ça, il va au trou direct et il y reste pour un moment, faut le sortir de là.

Lindsay : Quoi ? On ne peut pas trafiquer une scène de crime Danny !

Danny : On s'en moque de la scène de crime Lindsay ! C'est Flack et il a besoin de notre aide ! Tu as envie qu'il passe le reste de sa vie derrière les barreaux avec toutes les personnes qu'il a mis en prison ? Ils vont le mettre en pièces !

Lindsay : Tu as raison. Et si on le mettait dans un sac mortuaire de l'ambulance ? On mettra les deux enfants dans le même, ils sont assez petits . Comme ça, ça passera inaperçu, vu qu'il n'y aura que 5 sacs pour 5 corps .

Danny: Okay aide-moi. Bon, vu son état, on n'aura pas de problème pour le déplacer.

Danny et Lindsay déplacent facilement Flack. Puis Danny se frappe sur le haut du crâne.

Lindsay : Mais ça ne va pas Danny, tu fais quoi là ?

Danny : aïe... On aura qu'à leur dire que Flack m'a frappé avec son arme et qu'il s'est enfui.

Lindsay : D'accord, et il serait parti par où ?

Danny : Par le toit, grâce à l’escalier de secours. Chut, voilà Simons qui revient.

Simons: Voilà votre mallette.



Simons voit tout de suite Danny qui est blessé a la tête.



Simons: Il y a eu un problème ?



Lindsay: Oui, il s’est réveillé, il a frappé Danny avec son arme puis s’est enfui par l’escalier de secours, je n'ai pas réussi à le rattraper.



Danny: Alors on s’est occupé des corps, on a commencé à prélever les empreintes en attendant votre retour.



Simons: Bien, suivez-moi vous devez voir un médecin, et nous allons transporter les corps pour l’autopsie.



Lindsay: D’accord, allez Danny vient.



Ils arrivent tout les trois en bas. L’ambulance et là, et un médecin examine de suite Danny.



Médecin: Ça va, il n’a rien de grave.



Le médecin légiste commence à emporter les corps. Lindsay monte avec eux sous prétexte de faire quelques analyses pour s’occuper de Flack.



Lindsay (doucement et à Danny): motus et bouche cousue, Stella et Mac ne doivent pas savoir !



Danny: d’accord.



Lindsay monte dans l’ambulance, alors que Mac et Stella arrivent.



Danny: Désolé, Mac le suspect m’a frappé et il s’est enfui. Je n'ai pas vu son visage et Lindsay non plus.



Mac: Et comment vous sentez-vous ?



Danny: Bien le médecin a dit que ce n’était pas grave.



Lindsay est à présent à côté des 5 sacs, elle les ouvrent un par un pour trouver Flack.

L’ambulance s’arrête, pour déposer les corps, mais Lindsay a déjà fait l ‘échange et avant que le médecin légiste n'arrive, elle est sortie et a caché Flack, toujours endormi. Lindsay se dit qu’il a dû prendre une forte dose de somnifère.



Sid: Ah ! Lindsay, je ne m’attendais pas à vous voir ici.



Lindsay: Sid ! Bonjour, Je suis juste passée pour faire quelques photos, mais je repars, je vous laisse travailler.



Elle attend que tout le monde s’en aille, puis elle prend Flack par la taille et avec son autre bras elle le met debout et le conduit jusqu'à sa voiture. Elle l’emmène chez elle où l’attend Danny. Il est temps qu'ils tirent cela au clair tous les trois.


mais qu'est ce qu'il faisait là !!!

Suite un peu plus longue a arriver....


desolée

rhooo j’espère qu'elle va bientôt arrivé

J'ai 2 chapitre d'un coup a posté !

en voici 1 ! amuse toi bien eddie !

Chapitre 8

Danny et Lindsay ont installé Flack dans leur canapé et attendent son réveil.

Danny: il a intérêt à s'expliquer, sinon je ne vais pas me gêner. Flack ou pas, s'il a fait du mal à ces mômes ,il a intérêt à courir loin de moi !

Lindsay : Du clame Danny, je suis sûre que ce n'est pas lui, tu sais bien qu'il en est incapable...

Danny: Mais c'est pas possible d’être une marmotte comme ça, ça fait des heures qu'il roupille !

Lindsay: C'est normal, vu son état il a besoin de repos !

Danny : Vu son état ? Et tu as vu dans quel état étaient les enfants !?

Lindsay : Danny ! La bouteille qu'il lui ont fait boire contenait des somnifères, des drogues ainsi qu'un fort alcool ! Et je te rappelle que ça fait maintenant 2 mois qu'il a été enlevé ! Soit compréhensif !

Danny est sur les nerfs depuis cette affaires avec les enfants. Mais un doute les assaille. Et s'il avait fait erreur sur la personne, et si Flack était capable de faire ça, qu'il avait caché ce côté sombre toutes ses années, et que son enlèvement l'avait réveillé? Lindsay la tête pleine de questions retourne à côté de Flack pour soigner ses blessures. Il en a plusieurs, quelques hématomes, des traces de brûlures, voire d’électrocution ainsi qu'une entaille au couteau... Il avait dû souffrir énormément pendant ces 2 derniers mois...

Après encore une heure d'attente, Flack ouvre enfin les yeux. Et voit Lindsay qui est assise à côté.

Flack : Aïe... Aahh Lindsay ?

Lindsay : Flack ? Danny ! Il est réveillé !

Danny : j'arrive !

Flack : (il se redresse doucement) Qu'est-ce qui se passe ? Je suis où là ?

Danny : (furax) C'est nous qui devrions te demander ça non ?!

Lindsay : Danny ! Laisse-le !!

Flack : Euh, je me souviens que des hommes sont venus chez moi 3 jour avant noël,... Noël ! Les enfants du foyer, ils allaient comment ?!

Danny: (s’étant calmé un peu) Ne t'en fais pas pour eux, tu n'as pas été facile à remplacer, mais on a trouvé des excuses...

Lindsay : Continue.

Flack: ah oui, désolé... Ils m'ont emmené dans une cabane dans une forêt... Et.. Je … je me souviens plus trop... c'est flou..

Lindsay : ce n'est pas grave, repose-toi.

Danny et Lindsay s'éloignent de leur ami et vont dans la cuisine pour discuter plus à l'écart.

Danny : Il nous ment, je suis sûr qu'il se souvient de tout.

Lindsay : Je sais, mais laisse le raconter à son rythme... il doit s'être passé quelque chose d'horrible dans cette cabane pour qu'il ne dise rien. Il a besoin de temps sûrement...

Flack: (qui s'est levé et qui a tout entendu et avec un air sinistre comme s'il avait la mort en lui) Malheureusement, vous avez raison tous les deux... Je me souviens très bien de cette cabane, peut être même trop bien, j'aurais aimé l'oublier... Oublier tout, la cabane, l'usine désaffecté et la maison... avec les enfants...

Lindsay : Flack... Dis-nous, qu'est-ce qu'il s'est passé pendant tout ce temps ?

Flack hésite un instant et sent ses blessures le brûler de l’intérieur comme un feu qui le tuerait lentement.

Flack : Le soir de noël, ce soir ou j'ai sûrement passé le pire des noëls possibles...C'est là que tout a commencé, ce fameux 24 décembre... Je crois que je déteste Noël pour toujours à présent...

Attends , il se serais pas tromper sur Don, c'est quelqu'un de bon et beau ^^ !
La suite !!!!!!!!!

Bon et beau ? tu es sur

Voilà la suite (je suis pas sadique )

Chapitre 9

Vendredi 24 Décembre (Flashback)

Flack commence à ouvrir les yeux, il ne sait pas où il est... Est-ce un hangar ? Une cabane ? Une usine ?

Il est attaché sur une chaise bancale. Il fait très sombre dans le coin où il est. Presque pas de fenêtre. Mais il aperçoit une lumière qui vient de plus loin. Il y a ces hommes, avec leur veste noire. Qui sont-ils ?Flack se pose plein de questions et il pense avoir la réponse, lorsque un homme s'approche de lui.

Homme1: Hey ! Les gars, venez voir ça, notre invité est réveillé !

Flack : (toujours légèrement sonné, suite au coup qu'il a pris sur la tête) Qui êtes-vous ? Et où suis-je ?

Homme1 : Bon, alors on va dire que je suis « Joe », le grand là-bas, c'est « Avrell » et le dernier c'est «Jack », tu es content ?

Flack regarde l'homme avec des yeux très noirs. Il n’aime pas qu'on se moque de lui, surtout quand on l'a frappé auparavant. Flack aperçoit une dinde sur la table, elle sent drôlement bon.

« Avrell »: (qui a suivi le regard de Flack) Et oui ! Joyeux Noël, mon gars ! Profites-en bien, ça pourrait être le dernier que tu passes !

Flack ne comprend toujours pas ce qu'il fait là.

« Joe »: (avec un grand sourire, presque sadique): Tu dois te demander ce que tu fais là hein ?

Flack ne répond pas. Il lui lance juste un regard semblable au précédent.

« Joe » : Il n'est pas très causant, dis donc !

« Avrell » et « Jack » partent dans un fou rire avec « Joe ». Qui continue son récit.

« Joe » : alors voilà, comme tu n'es pas très causant, je vais te la faire simple. Un type aimerait bien te faire disparaître, mais voilà, à cause de toi, il ne peut pas le faire lui-même, et moi et mes frères, pour de l'argent, ça nous pose aucun problème de nous débarrasser d'un flic.

Ils repartent tous les trois manger leur dinde, « Avrell » détache Flack de la chaise sur laquelle il est, puis le met dans une cellule dans le fond de la pièce. Et lui donne le bout d'une cuisse si petite qu'on aurait dit celle d'un merle.

Flack passe un Noël affreux, au fond d'une cellule, avec pour seul repas un minuscule morceau de dinde... Il pense fort à Danny, Mac, Stella et Lindsay ; « Savent-ils au moins qu'il a disparu ? Ou s’apprêtent-ils à aller gentiment au foyer fêter Noël ne sachant rien ? »

Trop bien !!!!!!!!!!!!!



Et oui bon et BEAU j'en suis sûre

MOI aussi,mais après ,c'est une fic,qui sait mon coté sadique pourrait l'avoir rendu sombre et meurtrier,ou alors lumineux comme un ange...

meurtrier mon Don

Je veux la suite

Et hop le petit chapitre 10

Chapitre 10

25 décembre au matin (suite du flashback)

Flack dort encore dans sa cellule. Son «lit » n'est constitué que de paille, un amas de paille. Les trois hommes se relaient pour la garde. Ils ont tellement mangé la veille qu'ils n'arrivent presque plus à se déplacer. c'est « Avrell » qui est de garde.

« Avrell »: (regardant Flack qui se réveille lentement) Alors ? T'as faim, hein ?

Flack lui répond d'un regard aussi sombre que sa cellule.

« Avrell »: Toujours pas très causant, hein ? Ce n'est pas grave. « Joe » te rendra ta langue plus tard...

Puis il glisse du pain sec et une gourde d'eau à travers les barreaux et s'en va. Flack boit toute l'eau, il n'avait pas bu depuis le matin du jour précédent. Il tente de manger tant bien que mal son pain sec...Il commence à regarder autour de lui. Il doit bien y avoir un moyen de sortir d'ici.

Mais ses pensées sont interrompues, quand il voit « Joe » et « Jack » approcher.

« Joe »: «Jack», mets le sur la chaise. Ton heure est venue mon gars !

«Jack» s’exécute pendant que « Joe » charge un fusil. Mais endormi comme il est, « Jack » ne tarde pas à recevoir plusieurs coups de poing de Flack dans la poitrine. Belle erreur que de le détacher...

Flack profite de l’embarras de « Joe » pour prendre la chaise et le frapper violemment. «Joe» s'évanouit, sonné...

Le dernier obstacle entre Flack et la sortie, c'est « Avrell ». Flack saisit rapidement le café brûlant des 3 hommes et le jette sur le visage dudit « Avrell », celui-ci hurle de douleur.

Flack est dehors, il n'a pas vu le soleil depuis si longtemps.

Mais, malgré toutes ces années passées à New York, Flack ne sait absolument pas où il est. Tout ce qu'il sait, c’est qu'il est dans une forêt sûrement bien isolée.

Il part vite dans la direction opposée, car il entend distinctement les 3 frères râler. Il cout aussi vite qu'il peut. Il trébuche plusieurs fois. Il finit par arriver dans une clairière. Mais il est déjà passé par cette clairière, il y a même pas 10 minutes.

Perdu, il est perdu... Il entend au loin « Joe » et ses frères. Ils ont l'air de connaître cette forêt eux..

Il ne vaut mieux pas rester là, alors Flack reprend sa course dans une nouvelle direction. Il passe la journée entière dans cette forêt à courir de tout côté sans jamais trouver une issue. Il pense à Stella, sa Stella, son ange, son étoile qui fait briller ses yeux. Il doit absolument sortir, pas pour lui, pour elle.

La nuit tombe. Flack est à bout de force. Il n'arrive plus à marcher, alors il s'est arrêté près d'un rocher, le même rocher qu'il y a 20 minutes. Il est vraiment perdu. Il ne voit pas ce qui peut lui arriver de pire, jusqu’à ce que les 3 frères arrivent.

Dès qu'il les aperçoit, Flack prend ses jambes à son cou, mais il est trop tard. « Joe » tire plusieurs fois avec son fusil. Flack entend les coups de feu et voit passer une balle juste à côté de son épaule. De nuit, « Joe » vise très mal. Quelle chance !!!

« Joe » hurle de colère: «Cours toujours ! Je t'aurais de toutes manières ! »

Puis, il recommence à tirer, la première balle frôle Flack, le reste du chargeur passe loin, très loin...

« Joe » change de chargeur et puis tire à nouveau. Flack s’écroule, touché à la jambe droite. Il hurle de douleur, tente de continuer à avancer, mais il n'y arrive plus. C’est la fin, la fin de tout espoir. « Jack » et « Avrell » l’assomment, puis le traînent par les bras.

« Joe » : Okay, on le ramène à la cabane. On va lui apprendre à nous fausser compagnie...

Ahhhhhhh mon Don est le meilleur ! Je veux la suite