Soif de vengeance... [DL]

Oki Lindsay, dzl je n'avais pas vu le message, je vais le faire de suiite

hop la suite !!

Le temps semblait inlassablement long à Danny. Durant leur vol, personne n'avait rien dit. Anxieux, ils étaient tous perdus dans leurs pensées. A l'arrivée, Stella sortit le plan de sa poche, le montra aux autres. Flack, qui avait pu les rejoindre in extremis (il avait du attendre le consentement du médecin), appela un taxi. Il ne fallait pas traîner...
Hélàs, le chauffeur, guère aimable, n'était au grand jamais allé jusque là. Danny au comble de l'énervement mais voulant prouver à Mac que ce dernier avait eut raison de lui faire confiance, faisait exprès de regarder sa montre en soupirant bruyamment. Cela lassa bien vite le chauffeur.
Chauffeur (éxcédé) : Je pense avoir compris l'urgence de la situation, mais voyez-vous je ne connais pas bien ce coin.
Danny : Oh grand Dieu !! Un chauffeur de taxi qui ne connait pas le coin !!
Voyant le regard noir que lui lança le chauffeur, Mac itima à Danny de se la fermer une bonne fois pour toute. Véxé, l'expert obéit et se mit à scruter le paysage, la photo qu'il avait receuillie quelque jours plus tôt à la main, espérant reconnaître un semblant de colline, montagne ou même de champs pouvant correspondre et leur confirmer qu'ils étaient sur la bonne voie. Enfin, ils aperçurent un jolie maison typique de la campagne. S'équipant de gilets pare-balles et de revolver, ils s'apprètèrent à entrer dans la demeure apperement vide.

De l'autre côté de la porte, un homme faisait les cents pas dans une petite pièce, de temps en temps il jettait des coups d'oeil vers une forme recroquevillée au fond de la salle. Lorsqu'il passait à proximité de la forme, qui ressemblait à un corps, il lui donnait de violents coups de pied et entendait une voix faible pousser un petit cri de douleur. Se déléctant du pouvoir qu'il exerçait, l'homme mettait de plus en plus de vigueur dans ses coups, faisant durer le plaisir, puis ne pouvant plus se retenir, il savança vers le corps d'une jeune femme, la força à se relever et plaça son visage, meurtrit devant la lumière pour qu'il puisse l'admirer.
L'homme : Ah !! Je n'imaginais pas que ça me soulagerait autant !! (s'adressant à la jeune femme ) Vois-tu Lindsay, je suis né pour te tuer, bien sur ça aurait du aller plus vite mais disons qu'un contre-temps est survenu...
Il passa doucement la main dans les cheveux de sa prisonnière, encore dans les vapes après toutes les drogues qu'il lui avaiet données. Elle grogna et tenta de se dégager, hors d'elle. Il sourit. Le regard noir, elle lui assena un petit coup de pied, cette fois-ci il rigola franchement. Hors d'elle, elle le foudroya du regard et lui dit :
-ça te fait rire d'avoir tuer mes amies ?
-Non, non Lindsay, c'est juste que tu es si belle quand tu es en colère.
Lindsay cracha du sang, roula des yeux et lui balança toutes les horreurs qu'elle put, aucun effet. La voir ainsi s'énerver ne fit que accentuer le rictus qui étirait ses lèvres.
Linds (essayant de dissimuler sa peur ) : Quoi ?
Homme : Rien c'est juste que tu n'as pas changé !! J'ai l'impression de me retrouver 19 ans en arriére. T'es toujurs la pauv' gamine qui ne peut rien faire sans son tonton... En fait, je croyais que tu te serai remise depuis le temps mais je vois, non sans un immense satisfaction, que je t'ai changée Linds que tu le veuilles oun non, je t'ai changé, j'ai modifié le cours de ta vie, ta si courte vie...
Il la regarda et constata qu'elle pleurait. D'une voix presque compatissante, il s'adressa à elle, lui passant un doigt sur sa joue pour essuyer ses larmes.
Homme : Tu ne t'en ais jamais remise hein ? Tu me faisais confiance, jamais tu n'aurai cru que je serais capable de faire une chose aussi horrible ? Je t'ai trahie, je t'ai blessée, je t'ai annéantie... J'y étais obligé...
Il baissa les yeux vers elle. Les larmes ruisselaient sur ses joues, elle avait les yeux dans le vague, se souvenant de cette journée, la plus horrible de toute sa vie.
Homme : Saches que ce n'est pas moi qui ait décidé cela, le destin, j'aurai aimé avoir plus de temps pour tout te raconter en détail mais je vais être obligé de faire cours, saches que je suis fier de toi, je t'admire tu sais, tu as toujours, tellement fait attention aux autres, au detriment de toi-même d'ailleurs, tu t'es toujours occupée des autres. Et tu le fais maintenant d'ailleurs, tu l'auras fait jusqu'au bout. Il marqua une pause, il savait qu'elle avait peur, elle ne le montrait pas, il savait qu'elle ne la dévoilerait pas, sa peur. Il continua.
-Tu n'as pas changé, tu es devenue une belle jeune femme, sensible, intelligente, attentionée, drole, en fait tu l'as toujours été, tu es devenue ce que tu es. (Devant le calvaire qu'elle semblait vivre), il ajouta: T'inquiete, je t'ai fait souffrir, ta vie n'a été que souffrance mais c'est fini, tout ça c'est fini...


je me depeche d'écrire la suite....

okii faiit viite tu as raison ^^
Ta fiction est captivante, j'adore vraiiiment

C'est vraiment génial ç!
L'énervement de Danny, la scène dans la maison

Bravo !

lol merci Lino !!! et merci Calleigh Duquesne lol c vmt gentil vos petit com's :)


Linds tremblait, elle se mit à frissoner et ces dernières paroles raisonnèrent dans sa tête "C'est fini, tout ça c'est fini..." Elle ne s'était jamais imaginée finir comme ça, a cause de lui en plus... Elle n'avait pas peur de la mort, mais elle se disait que si elle avait su, elle se serait plus battu pour se libérer de la culpabilité qui l'avait consummée tout ce temps, elle aurait fait plus de choses pour les autres, elle se serait battue pour ses parents, ses rêves, elle se serait plus battue pour Danny... Elle repensa à lui, pourvu qu'il aille bien. Elle s'inquiétait pour lui, elle était sur le point de mourir et elle se rongeait les sang pour Danny, cela la fit sourire, elle savait pourquoi... Elle avait attendu d'en être sur mais au fond d'elle, elle l'avait toujours su... Elle était amoureuse de lui. Elle l'aimait. Elle devait l'admettre qu'elle avait fini par tomber sous le charme indéniable de son beau collègue. Il était si gentil, si prévenant si attentioné avec elle, si mignon et si drôle... Elle se mit à repenser au quasi-baiser, elle ne connaitrait jamais la sensation de ses lèvres contres les siennes, elle ne se réveillerait jamais en sa compagnie, son regard bleu fixé sur elle, elle n'habiterait jamais avec lui, jamais elle n'aura d'enfants... A cet instant, elle prit conscience qu'elle ne voulait pas mourir, jusqu'a alors, elle n'avait rien tenté, résignée mais elle voulait plus, plus de temps, plus de travail, son cher travail, plus de Stella, plus de Danny... Epuisée, elle n'eut pas la force de courir quand elle le sentit la lacher sans pour autant la quitter des yeux et aller chercher au fond de la pièce une arme, un revolver. Cette arme était étrangement familière à Linds, c'était celle qui avait servi à tuer ses amies... Et elle allait encore être utile... Elle le regarda la charger puis s'avancer vers elle, impuissante.
Homme : Tu as peur ?
Linds : Non... Enfin si un peu...
Homme : Ne t'inquiète pas ça va aller très vite, tu ne vas pas souffrir... longtemps...
Linds : Me voila rassurer !! j'espere que tu sais au moins que mes amis vont te retrouver.
Homme : Ils n'ont aucune chance, quand ce sera fait, je déposerai ton corps dans la montagne que tu aperçois là-bas. Ils ne te retrouveront pas avant au moins, 6 à 7 jours, le temps que les preuves, aussi infimes soient-elles disparraissent... Tu veux faire quelque chose avant de..... ne devenir plus qu'un souvenir ?
Linds : Oui !! Donnes moi du papier !!
Homme : Pardon ? Que veux-tu faire ?
Linds : Dire aurevoir à l'homme que j'aime...
Homme : oh ? t'auras mis le temps !! D'accord mais je surveille !! Tu as 5 minutes, après je te tuerai et nous serons libérés tous les deux.
Linds ècrivit :
Danny,
J'ai la conviction que tu trouveras ce mot, quand ce sera fait, je ne serai plus là. C'est presque làche... Vois -tu j'étais sur que nous deux aurions plus de temps... Je me suis trompée. J'espere que tu me pardonneras. Je ne suis pas bonne pour les longs aurevoir, poignants ou l'on déballe tout ce que l'on a a dire, je ne suis peut etre pas prête... Ce sentiment de culpabilité aura finallement eu raison de moi... Si j'avais su... Danny, au moment ou j'écris ces mots, je ne suis plus sure de rien, ma seule et unique certitude est que je t'aime... Je n'ai rien d'autre à dire... Je vais mourir et je ne te l'aurais pas dit en face, je ne veux pas mourir, je voudrai vivre encore ne serait-ce que pour te voir, ne serait-ce que pour une minute, une sconde, juste le temps de te voir et de te dire ces deux mots : Je t'aime.
Montana.
Une larme s'écrasa sur la feuille. Linds prit soin de déposer le bout de papier dans un coin ou elle était sur que tôt ou tard, on le retrouverait... Elle vit l'homme en qui elle avait le plus confiance s'avancer vers elle, un revolver à la main. Elle ferma les yeux. Il les lui rouvrit avec force.
Homme : Gardes-les ouverts, je veux voir l'éclat de la vie quitter ton regard !!
Il la saisit, la souleva par les bras et la fit se mettre debout devant lui. Il pointa l'arme sur la tempe de sa nièce et caressa cette dernière avec le canon de son arme, savourant cet instant tant attendu. il s'appretait à mettre, définitivement fin à cette souffrance.
Homme : J'ai tellement de choses à te dire Linds mais je vais me contenter d'un Adieu.
Et après avoi remis l'arme à sa position initiale, sur la temps gauche de Lindsay, il appuya lentement sur la détente...


A suivre .... lol

Ah ben non ! Tu peux pas nous laisser comme ça !
Pauvre Lindsay ! Son adieu à Danny est superbe

Tu peux pas nous faire ça AlixMarion
T'es sadique ma parole ? ^^

La suiiiiiite stp

WOUAAH , trop joli fanfic !!!
honnetement j'adore , mais lindsay ne va pas mourrir??^^

désolée, je sais que ça prend du temps mais sachez que je ne vous ait absolument pas oublié !!j'ai vmt pas pu ce week end mais je vous ecris la suite tout à l'heure !!!!!! promis !! merci pour vos commentaires plus gentils les uns que les autres !!

...

et hop voila ... lol la suite...

Lindsay entendait son ravisseur, et accessoirement son oncle, presser tout doucement la détente. Beaucoup de gens qui ont frôlé la mort racontent que au moment fatidique, on voit sa vie défiler devant ses yeux, pour Linds, ce n'était pas le cas, elle ne voyait que Danny, ne pensait qu'a Danny et ne voulait mourir qu'en gardant en tête l'image des magnifiques yeux bleus de Danny... Elle avait peur mais elle se rassura en se disant que tout cela, serait bientôt fini... Elle sentait l'arme prête à libérer la balle, l'unique balle qui allait mettre fin à ses jours. Ce petit morceau de métal allait emporter avec elle tous les souvenirs, les joies, les rires, les tristesses, les pleurs, tout ce qui fait une vie... Elle se mit à écouter sa respiration, puis ses battements de coeur, ses tout derniers battements de coeur... Ce coeur qui ne battait plus que pour un seul homme... Et qui allait d'une certaine manière, continuer de battre à travers les coeurs de ceux qu'elle aimait, ceux qui ne l'oublierait pas... Elle avait tellement de choses à dire, tellement de choses à faire avant de quitter ce monde... Elle était là, en train d'accueillir la mort à bras ouverts, prête à l'étreindre de toutes ses forces et à la laisser l'emporter loin, très loin, là ou, jamais personne n'est revenu... Une lueur de détermination passa dans le regard éffrayé de la jeune femme, elle était décidée, elle allait affronter la mort et allait la regarder droit dans les yeux, fidèle à elle-même, jusqu'au bout !!

Surpris de ce qu'il venait de voir dans les yeux de Linds, l'homme perdit, un instant son objectif. Ce qui, auparavant était de la peur, du regret et de la souffrance était devenu de la determination et du courage, de la volonté aussi. Il reprit ses esprits et repositionna son revolver là ou il était.Il avait besoin de la tuer, cette nécessité l'avait envahit, pénétré consummé mais il ne pouvait se résoudre à presser cette foutue détente qui était pourtant, censée le soulager. Il n'y comprenait plus rien. Il reposa les yeux sur ceux de sa nièce et eut comme un déclic. Soudain tout devint clair pour lui. Il ne pensait plus à rien. A ce moment précis, plus rien ne comptait pour lui, à part, cette maison, Linds, son regard et son arme. Le souvenir de sa tuerie se fit plus ardent comme si cela s'était passé la veille. Et il se rappela ce qu'il avait éprouvé lors de ce moment, le plus beau moment de sa vie, ça y est, tout était clair. Il était prêt, non ce n'était pas le mot, prêt, il l'était de puis longtemps, non il le savait juste c'était le moment. Il ne fallait pas le rater. Cette fois-ci, résigné, il se prépara à passer à l'acte. Il força Linds à lever encore plus la tête.
-Excuse, mais je le dois, crois-moi j'aurai préféré que cela ne tombe pas sur toi.
Il baissa le tête un moment, pour ne plus voir le regard rempli de sentiments qu'éprouve quelqun qui a été trahi. Il se ressaisit, releva la tête, la fixa droit dans les yeux, et ce coup-ci, appuya franchement sur la détente, entendit la détonation et regarda mourir les yeux de cette "petite" fille qu'il avait tant aimé. Immédiatement, il ressentit l'exctase et le soulagement qu'il avait déjà eut auparavant. Il regarda sa nièce, elle était belle, même au sueil de la mort, elle était belle, car il le savait, cela allait prendre du temps avant que son âme ne quitte réellement son corps, elle était encore en vie...C'est ce moment précis que choisirent Danny, Mac, Stella et Don pour entrer dans la pièce. Ils braquèrent leurs armes respectives sur l'homme mais constatèrent qu'il était déjà trop tard lorsqu'ils virent le corps de leur amie étendu sur le sol, débordant de sang. La colère aveugla Danny qui se précipita vers l'homme qui avait jeté son arme et pointa la sienne sur lui, avant que le tueur n'ait eut le temps de réagir, Danny avait tiré.

lol voila a suuivre...

Au secours ! Lindsay !

Danny tu as eu raison ! Mais quel oncle peut faire ça !

La tension est super bien décrite, c'est du beau boulot !

Liiindsay !!

C'est vraii, Danny a eu raiison

Ce n'ai pas un humain cet "oncle" c'est un monstre

La suiiiiiite stp alix la suiiiiite

hop voila la suite je me depche de poster la fin, lol Joyeux Noel !! a toi Lino et à toi Calleigh Duquesne !!!

Touché, l'homme s'effondra. Danny ne prit même pas le temps de regarder s'il l'avait tué, il se précipita vers Linds. En s'approchant, il sentit son coeur se serrer comme jamais il ne s'était serré... Elle était là, étendue, il ne savait même pas si elle était encore en vie... En la voyant si fragile, si petite, si faible, il eut l'impression que tout s'écroulait autour de lui, toutes ses barrières, toutes ses certitudes, toutes ses affirmations. Il ne trouva pas le courage necessaire pour vérifier si elle était vivante, il tourna la tête ne supportant plus de voir la dépouille de la femme qu'il avait tant aimée... Stella qui avait compris, demanda la permission à Mac d'aller voir si ce n'était pas le cadavre de leur amie qu'ils avait en face d'eux. Elle s'approcha, tremblante. L'experte prit le poignet de son amie et plaça ses doigts de manière à pouvoir sentir le pou, si pou il y a. D'abord, elle ne sentit rien, prise d'une tristesse poignante, elle serra fortement le poignet de sa collègue, ne voulant pas croire à sa mort. Elle commençait à se résigner, Linds, sa meilleure amie, sa soeur même, les avait quité mais tout d'un coup, elle perçut une légère palpitation. Elle faillit hurler, elle le sentait !! Linds était vivante !! Sortant de son cocon, elle s'aperçut que ses amis la regardait attendant le verdict.
Stella : Elle... elle vit.
Mac : Pas pour longtemps si on ne l'amène pas rapidement à l'hôpital !
Mac regarda Danny, ce dernier ne pouvait faire un geste. le jeune homme s'approcha de la victime. Lui caressa la joue. Il pleurait, il ne voulait pas la perdre. Une voix le tira de sa torpeur.
Voix : Elle est vivante ?
C'était le tueur. Il avait survécu à la balle de Danny mais il saignait abondemmant, il avait besoin de soins. Comment osait-il s'enquir de la santé de sa nièce qu'il venait juste de tenter de tuer ? Il eut de la chance que Danny ne veuille pas quitter Linds parceque sinon, Dieu sait ce qui serait arrivé. Flack préféra s'interposer. Loin de se laisser démonter, l'homme continua, imperturbable.
Homme : Il FAUT qu'elle meurt.
Voyant que personne ne réagissait, il répéta avec véemence.
-Il FAUT qu'elle meurt.
Devant le manque de récation, il préféra faire les choses à sa manière. Rassemblant ses forces, il se glissa vers le corps inanimé de Lindsay et, avant que Danny ne puisse tenter quelque chose pour l'en empêcher il donna, de toutes ses forces, un grand coup de ses poings sur la poitrine de la jeune femme. A ce moment là, Danny perdit son sang froid et s'appretait à se jeter sur l'homme qui était en train de tuer la femme qu'il aimait quand il fut pris de vitesse par Mac qui immobilisa le tueur et lui intima de se taire, dans quel cas il serait obligé de sévir. Flack emena le méchant loin de cette scène. Mac, choqué se précipita vers sa collègue, qui gisait au milieu d'un flaque, de plus en plus abondnt de sang. Il porta sa main au cou de la jeune femme, rien. Il ordonna à tout le monde de s'écrater et massa le coeur de son amie. Il avait peur, tout le monde avait peur. Mac ne voulait pas la perdre, de plus il savait qu'en la perdant, il perdait aussi Danny.
Les secours arrivèrent et s'assurèrent qu'il nétait pas trop tard. La jeune femme fut rapidement, transférée à l'hôpital par hélico. Mac insista auprès des médecins pour venir avec eux. Au début, les ces derniers refusèrent, catégoriques mais lorsque Mac leur montra sa plaque, il changèrent subitement d'avis et le scientifique monta avec eux en s'assurant que Stella gardait un oeil sur Danny et en promettant qu'il les tiendrait au courant. Stella allait s'engouffrer dans la maison à la recherche d'indices potentiels mais elle remarqua Danny qui se baissait et ramassait un bout de papier... Elle s'approcha et constata que Danny pleurait. Intriguée, elle baissa les yeux sur la feuille. Elle ne tarda pas à comprendre que c'était une lettre destinée à Danny écrite pas Lindsay. Elle ne la lut pas, par respect. Elle se contenta de poser une main rassurante sur l'épaule de son collègue pour lui indiquer qu'elle le soutenait et qu'elle partageait sa souffrance.
Danny sentait les larmes couler toutes seules. Il était vaguement conscient de la présence de Stella mais sinon c'était le trou noir, il ne ressentait plus rien, il aurait voulu ne plus jamais rien ressentir n'avoir jamais rien ressentit. La peine, le tristesse, aucun mot n'était assez fort pour décrir ce qui l'avait envahi lorsqu'il avait lu la lettre que lui écrivait Lindsay en guise d'adieu. Elle lui disait qu'elle l'aimait. Elle l'aimait. Elle ne voulait pas mourir, uniquement parcequ'elle voulait le lui dire en face. Elle l'aimait. Cela faisait trop mal. Danny ne voulait pas souffrir autant. Pourtant ce sentiment déchirant l'avait littéralement submergé. Il l'aimait et elle l'aimait. Ils auraient du etre heureux. Pourquoi les faire souffri tous les deux autant ? Pourquoi ne pas les laisser s'aimer et etre heureux ensembles ? Pourquoi cette injustice ? Dans sa vie, le jeune homme croyait avoir vécu et subi assez d'injustice pour le reste de ses jours mais jamais il n'aurait imaginé qu'il serait aussi révolté face à la tritesse du monde. Il ne regrettait en rien d'être tombé amoureux de sa Montana mais il savait que plus jamais il n'aimerait une autre, c'était elle. Il parait qu'on le sent, qu'on sent que c'est elle le femme de se vie et bien cela Danny le sentait. Ou plutôt le pressentait. Dans sa tête; repassait, en boucle, l'image de Linds, étendue, inanimée, fragile. Comme une feuille qui, au moindre souffle peut s'envoler, loin tres loin, sans qu'on puisse la retrouver...


lol je me depeche lol de poster la suite dsl celle là est pas terrible mais je tacherai de faire mieux demain !!

Oh oui ! Une jolie fin avec des tonnes d'amour !
Steupl ! C'est bientôt Noël !

Joyeux noel a vous aussi

Super cette suite Alix merciiii j'adore cette fiction

Je viens de la lire completement d'un seul coup... Je suis completement fan !!!!!
Vivement la suite

Je viens de voir que tu as marqué " pas terrible" !!!
Non mais tu rigole ? cette suiite et géniale j'adore
Tu es très doué!!!!

Alors arrête de dire que ce n'est pas terrible !

merci beaucoup !!!!! dsl je sais que je suis en retard je suis desolée... mais merci pour vos com's !!! vous me faites tres plaisir !! :) voici la suite :

Stella, estimant que Danny avait assez broyé du noir come cela, le fit se retourner doucement afin qu'il lui fasse face. Voyant qu'il obtempérait, elle lui prit la lettre des mains. Encouragée par son consentement, elle le tira et le prit dans ses bras. Ils restèrent ainsi, le temps que Stella s'assure que Danny ne fasse pas quelque chose qu'il pourrait plus tard, regretter, par dépit. Elle savait qu'elle ne comprenait pas sa douleur, elle savait que pour la comprendre, il fallait la vivre et Stella espérait ne jamais vivre ce que Danny était en train d'endurer. Elle ne pouvait donc, que partagerl a douleur de son ami afin de soulager celle qui l'habitait. Sentant que ce dernier se reprenait, elle se dégagea. Elle fixa son impossible collègue au fond de ses yeux étonnament bleus et lui sourit. Elle voulait qu'il sache qu'il pouvait toujours comter sur elle, lui témoigner son amitié, sa compassion lui dire qu'elle partageait sa peine. Il est des fois ou il n'y a pas besoin de mots, pas assez forts, un seul regard suffit pour dire une seule chose : "Accroche-toi, ça va aller, je suis là pour toi ". Danny était touché par cette marque d'amitié. Il adorait Stella, et le fait qu'elle lui témoigne autant de compassion l'aidait énormément. Cette dernière ne préféra pas utiliser de mots, de peur qu'ils ne viennent à compromettre ce qu'elle avait déjà fait pour aider son ami. Elle voyait qu'il lui en était reconnaissant. C'est donc, en silence qu'elle plia le morceau de papier et le mit dans sa poche, tout en conduisant le scientifique à l'extérieur de la maison. L'air frais sembla faire du bien au jeune homme. Stella sentit que c'était le moment de dire quelque chose.
Stella : Danny, je ne peux comprendre ce que tu ressens, je ne lirai pas cette lettre mais je sais ce qu'elle contient... Lindsay t'aime, elle s'accroche à la vie pour toi. Elle va s'en sortir. Tu lui en veux peut-être de ne pas t'avoir raconté, ne la blâme pas, elle croyait bien faire et ne voulait pas t'embêter, elle sentait qu'elle avait besoin de se confier mais elle ne ses entait pas prête. Je sais que la personne à qui tu en veux la plus en ce moment, celle que tu as envie de voir disparaître, de tuer même, c'est toi. Tu t'es promis de la protéger. De faire attention à elle. Personne n'aurait pu prévoir, personne. Ne te rends pas responsable de tout ça, ce n'est pas de ta faute.
Danny : Si ! J'aurai dû... Je n'aurai pas dû... Je m'en veux tellement... Tu sais, c'est comme si on m'avait montré quelque chose que je désirai tellement, on m'avait fait croire que je pouvais l'avoir, et au moment ou j'était sur le point de l'avoir, d'être tellement heureux d'être enfin, heureux, on me l'enlève. c'est inhumain de faire ça. Faire miroiter le plus beau cadeau et d'un seul coup le faire disparaitre. Elle...elle a emporté mon coeur avec elle. Elle a emporté mon âme avec elle...
Stella : Je t'interdis de dire ça !! Elle n'est pas morte, elle n'a rien emporté avec elle !! Elle n'est pas partie !! Danny, saches que je partage ta peine, tout n'est pas perdu...
Danny : C'est ma faute, toutes les personnes qui on le malheur de s'approcher de moi finissent par souffrir puis disparaître. Oh Stella, je m'en veux tellemment, elle est tout pour moi, si elle venait à... à mourir... Je mourrais aussi... Stella, je l'aime...
Stella : je sais Danny, je sais... Elle aussi elle, t'aime.
Danny : C'est pas comme ça que ça aurait du se passer, nous aurions du avoir plus de temps...
Stella : Vous en aurez. Je le sais, je le sens vous en aurez.
Il n'y avait rien à ajouter. Stella le savait. Elle fit signe à Don qu'elle s'occupait de Danny. Ils s'engouffrèrent dans la voiture et prirent la route de l'hôpital ne pipant mot. Laissant le silence pour seule conversation, le silence de la peine, le silence de la tristesse, le silence de la douleur, le silence d ela mort...

voila je me grouiille à fond d'ecrire la suite :)

Oki, tu as raison écrit viiite la suiiite lol

Super cette suiiite!!

Pauvre Danny, Stella est un vraie amie..... Toujours là pour le réconforter!!

Bravo alix

ET la suiiiiiite please

Je deviens accro ! Super suite , encore .
La suite ? steu - plait .

merciiiiiii D.L-Addict !!!!!!!!!!!!!!! ça me fait troop plaisir !!!! je me grouille !!!!! lol ça fait toujours plaisir de voir que ce qu'on fait ça plait :)
et merci Calleigh Duquesne lol mais bon toi tu me le dis depyis le début et ça me touche trop !!!
merci les filles vous etes troooop sympa !!!!!!!!!!!
et merci a Lino aussi et à D&D fan aussi merciiiiiiiiiiii
je me grouilllle ttop a fond pour la suite que j'espere ecrire demain !!!!
re-merci !!!
je vous adoore

Tu écris super biiien

Attendre jusqu'a demain sera long, mais bon

C'est peut être long mais se sera très biien j'en suis sur.

Et viiivement demaiiin

Les émotions de Danny sont super bien retranscrites et Stella est vraiment plein de compassion.
Bravo !!!

lol je vous passe le chapitre des "remerciements" lol vous devez en avoir marre a la fin lol voici la suite :


Après un trajet qui parut interminable à Danny, Stella et lui furent en vu de l'hôpital. Ce bâtiment imposant que personne n'aimait vraiment, on le disait annonciateur de mauvaises nouvelles. Un léger souffle d'espoir s'insinua dans le coeur meurtrit de Danny. Stella était là, ils étaient à l'hosto, Mac veillait sur elle, ils avaient arrété ce malade, elle... elle allait s'en tirer. Elle venait du Montana, d'ici. Ils sont forts les gens de là-bas, pardon, d'ici. Ils doivent résister au froid, ils doivent marcher, traverser les champs. ça devrait forger le caractère ! De toute façon, si ici, ils sont tous comme Montana, pardon Linds, ça doit pas être facile tous les jours ! Cette pensée réussit à voler un sourire aux lèvres du jeune homme. Cela, hèlàs, ne dura qu'un temps. Lorsqu'ils parvinrent jusqu'à la salle ou l'on essayait de sauver celle qu'il aimait, Danny crut mourir une deuxième fois. Un froid mordant le parcoura dans tous le corps, s'insinuant férocement dans son coeur, lorsqu'il la vit entourée de médecin, étendue, fragile... Cette vision, il le savait, allait le hanter jusqu'à la fin de ses jours. Il avait mal. Un terrible malheur le frappait, le pire qui soit, celui qui nous fait perdre l'envie de vivre alors qu'avant il nous la donnait, celui de perdre un étre que l'on amait... Il avait besoin d'évacuer ce mal qui le rongeait. Il n'en pouvait plus de se contenir, d'un coup la douleur qui coulait en lui comme les chutes d'Iguahu, déborda et se transforma en larmes intarissables. Il ne voulait pas qu'elle meurt, il ne voulait pas la perdre. Il remarqua à peine Mac qui s'avançait vers eux, l'air sombre.
Stella : Alors ? Elle va s'en sortir ?
Mac : ils ne savent pas... Il y a un risque... c'est certain... Les lésions sont graves, et même si elle se réveille un jours, ils se peut qu'elle ne soit plus comme... avant. Mais tant qu'habite en nos coeur, une lueur d'espoir, tant que nous continuons d'y croire, elle n'est pas morte !
Il regarda son jeune collègue et ajouta :
- Elle se bat, Danny, elle se bat, je le sais, j'en suis certain.Elle a envie de vivre, mais elle est fatiguée, perdue et je pense qu'elle a peur et mal. Seulement quand, on n'a mal, même si on veut guérir, il faut du temps au corps pour réparer les dégats. Les médecins disent qu'à ce stade, cela ne dépend pas d'elle, il faut voir si la vie qu'elle porte en elle peut se remettre de ça. C'est à laVie, et au ciel de décider si ils veulent nous la rendre ou pas...
Sur ces paroles emplies de chagrin, Mac, se tut, priant, espérant de tout coeur pour que Dieu soit clément envers la vie de sa collègue.
De son côté, Danny laissa libre cours à son chagrin. Bien que les paroles de Mac l'aient apaisées, il se sentait néanmoins seul dans sa souffrance. Pourquoi lui enlevait-on toujours ce qu'il avait de plus cher ? D'abord Louie, son frère, ensuite Linds. Pourquoi s'acharnait-on à le faire souffrir ? Si c'était ça la vie, de la continuelle souffrance, il n'en voulait pas. Si c'était ça la vie, une vie sans Lindsay, il n'en voulait pas non plus....


a suivre je me depeche d'ecrire la suite :) j'espere finir cette semaint mais j'ecris pas vite, desolée et merci !(dsl j'ai pas pu men empecher lol ) bisoux !