- SayfreeNY a écrit:
- Heyyyyyyyyy!!!!!!
Désolé de pas être venue plus tôt ma Math'
Ces deux suites sont trooooooooooooooooooooooooooooooop cuuuuuuuute!!!!!!!j'adore!!!!!!Plus on avance dans ta fic est plus on s'attache à leur relation. Mais j'aimerai quand même savoir si Mac et Danny vont revenir......j'ai peur
La suite!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
EDIT : j'adore la phrase : il est rapide, c'est pas pour rien qu'il est lieutenant...
Et aussi le passage où Mathilde le nargue sous la table
Merci Sayfree !!!
Moi aussi j'adore ces passages, contente que tu les apprécie aussi !
Oh et la phrase, elle m'est venue comme ça, comme le reste. L'inspiration
Je suis contente si tu l'aime !
Pour ce qui est de Mac et Danny, tu sais que, comme je te l'ai dit bien plus tôt, je n'ai pas le droit de te le dire...
Tu devras attendre comme tout le monde
Wouaw, ça veut dire que c'est bien fait alors, si tu t'attache de plus en plus à leur relation !
Merci Sayfree !
(oui, tous ces câlins-bisou sont pour toi ! Exceptionnel !)
Voilà une suite !!! Enfin ! J'espère qu'elle vous plaira !
Je viens juste de l'écrire ce matin !
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Une demi-heure de câlin plus tard, je descends enfin avec Don jusqu’au commissariat. Je cours m’asseoir sur sa chaise et quelques minutes après, Don arrive en marchant tranquillement et arrivé devant sa chaise, me porte et me pose par terre à côté, tandis qu’il s’assied sur sa chaise. Je lui fais une petite moue boudeuse et il me pose rapidement sur ses genoux. Après un rapide baiser, je m’affale contre son torse. Vivement qu’ils arrivent…
« Ils vont arriver bientôt ?
- Je n’en sais rien, Mathilde., me dit calmement Don.
- S’il leur est arrivé quelque chose ce sera de ma faute…
- Non, hors de question que tu te culpabilise ! Regarde moi dans les yeux., me dit-il fermement tandis qu’il me tourne face à lui. Ce sont des policiers Mathilde, des scientifiques mais aussi des policiers. Comme moi. Et toutes sortes de choses peuvent arriver à un policier, ça ne veut pas dire que c’est de ta faute. Et je ne te laisserais pas culpabiliser pour ce genre de choses. Aller, ils vont bientôt arriver, je suis sûr qu’ils n’ont rien.
- Tu me le promet ?
- Ben ça je ne peux pas. Je ne veux pas te faire de promesse si je ne suis pas sûr de la tenir. Mais je peux te promettre une chose.
- Quoi donc ?
- Que s’il leur arrive quelque chose, personne ne pensera une seule seconde que ce serai de ta faute. Parce que ça ne l’est pas. En aucun cas. D’accord ?
- D’accord…
- Aller, t’inquiète pas.
- Tu t’inquiète pas du tout toi ?, lui demandais-je en fronçant les sourcils.
- Euh… Pas plus que d’habitude. Pas autant que toute à l’heure.
- Toute à l’heure… ?
- Quand Danny et Mac m’ont informé que tu n’étais toujours pas arrivée et que personne ne savais où tu étais. J’ai eu très peur pour toi, tu aurais du aller voir Danny et Mac.
- Mais…
- Pas de mais. C’était plus près de la scène de crime ou d’ici ?
- De… De la scène de crime… Mais j’avais trop peur !
- Peur à cause de l’histoire que Adam t’a raconté ?
- Oui, et parce que c’est une histoire vraie. C’est pas n’importe quoi.
- Mathilde, dans cette histoire là, l’homme n’est allé au commissariat que le lendemain et il avait laissé une bague chez lui, et… Ecoute, c’est plus compliqué que ça en a l’air. Fais moi confiance, le cas d’aujourd’hui n’a rien avoir avec cet autre cas plus ancien. Qui est-ce qui a travaillé le plus sur cette affaire ? Adam ou moi ?
- Toi.
- Fais moi confiance. … Et n’écoute plus les histoires d’Adam.
- Je te le promet. De toute façon, j’ai eu bien trop peur pour recommencer. »
Je l’embrasse encore une fois sur la joue et m’agrippe à son cou, avant de poser ma tête sur son épaule.
« Tu me dira quand ils reviendront, hein ?
- Promit.
- Merci, Don.
- De rien, ma puce. Aller, repose toi. »
Mais malgré tous mes efforts, je n’arrive même pas à fermer les yeux, de peur que Don ne disparaisse. Je me contente de regarder les autres policiers travailler, ma tête toujours posée sur l’épaule de mon Don adoré. Tout d’un coup, j’entends le claquement des portes. Je me redresse rapidement, un peu trop rapidement peut être. Je suis debout devant Don mais je suis prise de vertiges.
« Mathilde, calme toi, ce n’est pas eux. Pas encore. Ça va ? Assieds-toi, et ne te redresse pas si vite., me dit-il en me remettant sur ses genoux, mon dos contre son torse. Tu veux vraiment que je m’inquiète, hein ?
- Mais non, pas du tout ! Je suis juste inquiète pour eux et très pressée de les revoir.
- Bientôt sûrement. »
En effet, la fois d’après, c’est Danny qui passe la porte. Je bondis sur mes pieds et cours à sa rencontre. Avant que je ne fasse un seul geste, il me porte dans ses bras et m’embrasse au front.
« Oh, ma belle, je suis soulagé qu’il ne te soit rien arrivé. Tu nous a fait une de ces peurs ! Qu’est-ce qui s’est passé ? Pourquoi est-ce que tu n’est pas venue sur la scène de crime comme il était prévu ?
- Je te raconterai après. C’est rien. L’important c’est que tu n’ai rien. Et Mac ? Où est-il ?
- Il arrive, il juste derrière. »
Danny me repose et prend mon visage entre ses mains pour m’embrasser au front encore une fois. Don, nous rejoint et Mac entre enfin.
Mais il a du sang sur lui. Sur le visage, sur les mains et sur son tee-shirt. Je cours jusqu’à lui et lâche enfin les larmes juste en face de lui.
« Mac, qu’est-ce qui t’es arrivé ? Tu es blessé ?… »
Il me sourit doucement et me porte dans ses bras. Je m’accroche à son cou et pleure encore, sans pouvoir m’arrêter, mais sans pour autant arrêter de parler.
« Mais… Tu as du sang…partout… Tu… ça te fait mal ? Comment c’est arrivé ?
- Chuut… Calme-toi, Mathilde, je n’ai rien du tout. C’est un témoin qui a été blessé et je l’ai aidé en attendant les secours. Je ne suis pas blessé.
- Oh… Et tu m’as laissé m’inquiéter ! J’ai eu peur moi !
- Et moi, tu crois que j’ai pas eu peur quand personne ne savait où tu étais alors que tu devais être avec moi ? Je m’en voulais parce qu’en plus tu était sous ma responsabilité. Et toi, qu’est-ce qui est arrivé à ton pantalon ?
- Rien.
- Mathilde…, intervient Don, juste derrière moi.
- Rien et ça ne valait pas la peine que tu désinfecte ! Tu m’as fait mal pour rien !
- Mathilde, on en a déjà parlé.
- Je suis entièrement d’accord avec Don, c’est important de désinfecter, même si ça fait mal., intervient Mac.
- Traitre… »
Je descends des bras de Mac et me réfugie dans ceux de Danny.
« Qui est-ce qui t’a désinfecté ces petits bobos, ma belle ?, me demande Danny.
- Don…
- Bah tu as de la chance, ça aurait pu être Sheldon, et je peux te dire que Sheldon, il fait pas en douceur ! Normal, il est habitué aux morts, pas aux vivants…
- Danny…, intervient Mac.
- Il l’aurait sûrement pas fait de la même façon qu’avec toi si c’était moi., lui répliquais-je en riant. Mais c’est vrai que je préfère encore que ce soit Don, ou toi, qui me soigne.
- Et entre Don et moi ?, profite Danny, avec un sourire malicieux.
- Don, évidemment !, lui répondis-je sans hésiter, en retournant dans les bras de Don.
- Et ben, heureusement que Danny et ses bêtises sont là pour te ramener dans mes bras…, finit Don avant de m’embrasser sur le front.
- Mais je serai revenue dans tes bras même sans Danny !
- Ah, ça va alors.
- Je t’aime beaucoup trop pour rester loin de toi !
- Moi aussi, ma puce, moi aussi…, me chuchote-t-il. Mais plus jamais cette discutions sur l’obligation de désinfecter, compris ?, dit-il en reprenant un ton ferme et autoritaire. »
Je relève la tête et le regarde dans les yeux tout en hochant vivement la tête, la peur dans les yeux.
« Promit., ajoutais-je.
- J’espère bien.
- Tu es en colère ?, demandais-je d’une toute petite voix.
- Non, mais la prochaine fois je le serai. Parce que c’est important, et que je n’aime pas que tu croie que je te fais mal sans une bonne raison.
- Je sais, je ne recommencerai plus.
- Wouaw, ça y est Mathilde, tu es officiellement sa fille. Il viens de te gronder pour la première fois…
- Tais-toi Danny…rigole doucement Don. »
Je me serre plus contre lui et il ressert son étreinte.
« En tout cas, tu fais bien le rôle du père.
- Merci, ma puce. »
A suivre…