Entre Central Park et les Everglades (Cross-over/Ship)

Ca a du te faire un sacré beug comme même Passer de Don dans un lit d'hôpital au lit de Mac
Oui va savoir pourquoi tu te souviens de la cicatrice de Mac

Sacré P'tite Car"ds

PS : la pizza-box tu parlais bien de Nana ?

Parce que je parlais de la pizza-box en tant que Nana j'ai une excuse

J'aime beaucoup la pizza-box de gary

Bonne nuit p'tite Car"ds, je vais en faire de même

Au faites merci pour la photo qui est :

Bonne nuit à demain ou plutôt tout à l'heure

Mais de rien
Allez, voici une suite




Mac reprit brièvement conscience. Il avait été éjecté de la voiture, malgré le port de sa ceinture de sécurité. Il était étendu sur l’asphalte. Il sentait son sang couler le long de son visage. Il tenta de se relever mais son corps ne lui obéissait pas. Dans un ultime effort cependant, il se redressa. Il eut à peine le temps d’apercevoir la carcasse fumante de la voiture et non loin d’elle, le corps inanimé de Thorn. Puis sa vue se brouilla et il sombra à nouveau dans le néant.

Stella se reposait sur son lit lorsque son téléphone sonna.
« Allô ? »
« Madame Bonasera ? Ici le Dr Stark, du Jackson Memorial Hospital. »
À cette mention, Stella frémit. L’hôpital, encore. Cela n’en finirait jamais. Qui était la victime à présent ?
« Vous connaissez bien un dénommé Mac Taylor ? »
Oh non, pas lui, pas Mac. Elle eut envie de hurler. Mais elle se força à répondre calmement.
« Oui… »
« Il a eu un accident. Nous avons vérifié son portable, vous étiez le numéro à appeler en cas d’urgence. Il y avait aussi un autre homme et… »
« Mais je me fiche de l’autre ! Je n’étais pas dans son répertoire à lui que je sache ? Ce qui m’importe, c’est Mac ! Comment va-t-il ? Je vous en prie, dites-moi qu’il va bien ! »
« Calmez-vous madame, vous allez vous trouver plus mal que lui ! Il a un traumatisme crânien, plusieurs côtes cassées ainsi qu’un bras, mais il devrait s’en remettre assez vite. »
Stella poussa un soupir de soulagement. Le docteur l’informa qu’elle pouvait passer le voir, ce qu’elle fit juste après avoir prévenu Adam de la situation.
Pour la seconde fois de la journée, elle entra dans l’hôpital, mais là, elle savait que l’issue ne serait pas fatale. Mac était allongé sur le lit, le bras un écharpe, un pansement recouvrant la moitié de son torse et une large cicatrice sur le front. Le traumatisme de la mort d’Horatio étant encore vif dans son esprit, Stella éclata en sanglots en le voyant ainsi. Mac, dans un souffle, lui murmura :
« Stella… »
En l’entendant, elle lui sauta dans les bras.
« Oh Mac ! »
« Stella, je suis ravi de vous revoir aussi, mais si vous aviez l’amabilité de ne pas briser mes côtes encore plus, je vous en serais très reconnaissant. »
« Oh, je suis désolée. »
Elle desserra son étreinte et vit qu’il lui souriait. Elle posa une main sur sa joue, comme pour vérifier qu’il était réellement là. Lorsqu’elle sentit le contact de sa peau, elle osa faire ce qui lui brûlait de faire depuis longtemps déjà : elle l’embrassa.
« Mettez ça sur le compte du choc, si vous voulez ! »
« En vérité Stella, je préfère le mettre sur le compte du fait que tu m’aimes. »
Tout d’abord surprise par sa réponse et ce soudain tutoiement, elle fut ensuite envahie d’une euphorie sans égale.
« En effet, tu peux. »
Ce séjour à Miami était décidément très éprouvant pour le cœur des experts. Mais après toutes les épreuves qu’ils avaient traversé, le bonheur sonnait enfin à leur porte. Si d’autres entraves venaient semer leur route, au moins ils seraient à deux. Leur tête-à-tête fut abrégé par la visite du reste de l’équipe. Après s’être assuré que tout allait bien, Adam plaisanta, comme à son habitude :
« Au moins comme ça, on est sûr que notre suspect ne va pas s’échapper maintenant ! Bien joué Mac ! »
« J’apprécie votre admiration, Adam. »
Ils restèrent un moment à rire, pour la première fois depuis le décès d’Horatio. La peine était encore présente dans leurs cœurs, mais le fait que Mac ait échappé au pire ravivait la joie qui s’était éteinte en eux. Ils profitaient d’autant plus de cet instant car ils savaient que dans quelques minutes, ils allaient devoir aller interroger Robert Thorn, ce qui rouvrirait des blessures encore à vif.

À suivre

Je trouve tout simplement cette suite sublime, génial, 10000 % Smac, ....


Hou ! j'ai trop adoré le 100 % Smac


Il n'est pas mort l'autre taré de tueur assassin qui a faillit tuer Mac


Merci pour cette suite p'tite Car"ds.


J'ai hâte de lire la suite !


Par contre es ce qu'il faut un chantage spéciale pour éviter les photos de Caruso sans haut

Manhattan25 a écrit:

Je trouve tout simplement cette suite sublime, génial, 10000 % Smac, ....


Hou ! j'ai trop adoré le 100 % Smac


Il n'est pas mort l'autre taré de tueur assassin qui a faillit tuer Mac


Merci pour cette suite p'tite Car"ds.


J'ai hâte de lire la suite !


Par contre es ce qu'il faut un chantage spéciale pour éviter les photos de Caruso sans haut

je reprends ton com 'ttan (merci )
Merci Carods

Citation :

elle l’embrassa.
« Mettez ça sur le compte du choc, si vous
voulez ! »
« En vérité Stella, je préfère le mettre sur le
compte du fait que tu m’aimes. »
Tout d’abord surprise par sa
réponse et ce soudain tutoiement, elle fut ensuite envahie d’une
euphorie sans égale.
« En effet, tu peux. »

mon passage favori, tu t'en doutes je pense

Citation :

elle l’embrassa.
« Mettez ça sur le compte du choc, si vous
voulez ! »
« En vérité Stella, je préfère le mettre sur le
compte du fait que tu m’aimes. »
Tout d’abord surprise par sa
réponse et ce soudain tutoiement, elle fut ensuite envahie d’une
euphorie sans égale.
« En effet, tu peux. »

MelindaShepard a écrit:

mon passage favori, tu t'en doutes je pense

Dis moi Melinda, tu ne serais pas une Smackeuse ??
De rien pour le com's

Manhattan25 a écrit:

Dis moi Melinda, tu ne serais pas une Smackeuse ??
De rien pour le com's

Sma.....Sma....Smackeuse
je ne sais même pas la signification de ce "MOT"!!!!
Tout de suite les grands mots

Oui c'est vrai que c'est en dehors de ton vocabulaire le terme " Smac"
Sacré Melinda

Pas de chantage
Pas si sûr, j'ai une surprise pour toi p'tite Car"ds, par contre pour tout les et il faut contacter mon avocat, je sais que la violence policière est interdite mais là c'est pour la survie mentale

Spoiler:

T'inquiète on a toujours envie de lire tes suites p'tite Car"ds


Alors le chantage il fonctionne ou pas ?

Hou ! Le chantage à marcher
Le nom de mon avocat Simon-Taylor

Mais pour te remercier d'avoir accepté le chantage
Cadeau :

Spoiler:

J'ai vraiment cru que t'allais mettre Horatio

Merci tu es adorable p'tite Car"ds

Bonne nuit à demain

P'tite Car"ds bien sûr que tu sadique

L'image est largement acceptable, parce qu'Horatio est habillé et qu'il y a Mac

Good Night p'tite Car"ds

Vous m'avez tuer toute les deux

C'est quoi toute c'est photo du roux la déjà que j'étais choqué que mon mac est un accident et la j'ai eu le droit à ça Surtout à moitié torse nu quel horreur

Par contre je vais être honnête comme Manhattan je croyais pas que t'allais mettre Gary en photo

Je vois que la Pizza box nana vous a manquez Merci ça me touche

revenon à la fic : Alors comme ça le suspect ose agresser notre mac bien contente que celui ci soit blesser

La scène Stella Mac qui s'embrasse

Et la petite dose Adam de la fin quel humour ce malade

Bien revenons maintenant au photos qui choque


ATTENTION MOINS DE 18 ANS S'ABSTENIR

Spoiler:

Maintenant que vous êtes au paradis voici

Spoiler:

Voila mes anti Horacio Peyton

Vivement la suite Carods ^^

Bah si il manque une personne à un trio ben c'est plus un trio

T'as vu Nana il y a quoi d'être traumatisé à vie avec Horatio

Tu m'as tué avec la première photo
Mais la deuxième était ( désolé j'étais limite à baver sur ton Jane p'tite Car"ds )

Merci pour la dernière photo Nana

De rien C'est pour ça j'ai mit ça en premier

Oh merci Manhattan je vous adore toute les deux ^^

Ben je dois avouer que j'ai bien sur Simon

Hou ! d'un côté c'est pause bavage

Aller je met à contributions moi aussi :

Spoiler:

Alors pause bavage :


nous aussi on t'adore

Tu dis Qu'ils sont beau nos hommes pas comme H

C'est Carods qui va être contente

Merci les filles

Ouais ils sont ceux là pas comme H tu as tout à fait raison Nana

Oui je pense que p'tite Car"ds va être contente

Ouais j'ai cru que t'allais mettre Horatio pas traumatisé déjà la fille

Hou ! Merci p'tite Car"ds , Mac est , et ainsi et puis et j'en passe


D'accord pour la suite ce soir

Voici la suite, qui marque la fin de l'enquête
Mais pas de la fic




Stella était restée dans la chambre avec Mac. Tim était retourné dans l’appartement du suspect, pour récolter les preuves nécessaires à sa condamnation. Eric, Calleigh et Adam, quant à eux, étaient allés dans la chambre voisine pour obtenir des aveux. Robert Thorn était un homme d’une quarantaine d’années. Ses cheveux, bruns et coupés courts, entouraient un visage pâle. Ses yeux, d’un bleu profond, auraient pu être magnifiques s’ils n’avaient pas été porteurs de ce regard dément dont il fixa les experts lorsqu'ils entrèrent dans la pièce.
« Regardez-moi ça, Starsky et Hutch suivis de Barbie. J’en ai de la chance ! »
« Vous êtes privilégié en effet ! Avec un peu de cette même chance, vous ne souffrirez pas trop lors de votre exécution. »
« Je n’ai pas peur de la mort. »
« Ah oui ? »
« Non. Dieu sait reconnaître les siens. »
« Il reconnaît aussi les tueurs. »
« Je ne suis pas un tueur. »
« Si vous avez un autre terme pour désigner quelqu’un qui commet des meurtres, cela revient au même. »
« Je ne suis pas un tueur, je suis un purificateur. »
« NON ! VOUS ÊTES UN ASSASSIN ! »
Après avoir tenté de se contenir, Eric avait explosé ! Cet homme, avec ses manières et son regard aliéné le mettait hors de lui. Calleigh lui conseilla d’aller aider Tim, et continua de mener l’interrogatoire avec Adam.
« Susceptible, votre collègue. »
« Vous avez tué 9 personnes et tenté d’en tuer une dixième. »
Pour le moment, Calleigh se garda de préciser qu’Horatio était leur chef.
« Je vous répète que je ne les ai pas tués, je les ai purifiés. »
Calleigh commençait elle aussi à perdre patience. Par chance, son téléphone sonna et elle s’écarta pour répondre. Ce fut donc Adam qui termina.
« Pourquoi tuer chaque lundi ? »
« C’est le jour du Commencement. »
« Alors pourquoi avoir dérogé à votre règle ces jours-ci ? »
« Trop d’hommes à purifier, trop de viles pensées dans ce bas monde, il fallait accélérer. »
« Pourquoi une étoile ? »
« Un pentacle, ignorant. Symbole de Satan, ils devaient être marqués pour leurs abominations. »
« Pourquoi cette purification ? En quoi était-ce nécessaire ? »
« Le Seigneur m’a chargé de cette mission. Ces hommes étaient sous l’emprise de Satan, leurs âmes étaient noires, ils étaient annonciateurs de l’Apocalypse. Ils respiraient le pêché et se noyaient dans l’infâmie. Ils regardaient les femmes, funestes créatures, sans d’autre envie que celle de goûter au vil plaisir de la chair. Ils étaient des monstres, j’ai tenté de les purifier. Au purgatoire, Dieu choisira s’ils méritent une place dans son royaume ou s’il doit les envoyer dans celui de Lucifer, damnés jusqu‘au jour du Jugement Dernier. »
« Et vous, où pensez-vous que Dieu va vous envoyer ? »
« À ses côtés. J’ai poursuivi la quête de son noble fils le Christ. »
Adam le regarda, déstabilisé. Robert Thorn n’avait pas cessé, durant toute leur discussion, de parler sur un ton calme, dénué de tout regret, de toute culpabilité. Son fanatisme religieux, son adoration de Dieu lui voilait l’horreur de ses actes. Adam décida qu’ils avaient les aveux nécessaires. Au même moment, Calleigh raccrocha.
« Adam ? Tim a retrouvé de la peinture chez Thorn. Elle correspond parfaitement. On peut l’arrêter. »
Elle sortit de la pièce pour aller informer Mac et Stella. Adam, lui, s’avança vers Thorn puis le menotta à son lit. Celui-ci leva ses yeux vers lui :
« Adam, c’est ça ? Comme le premier Homme créé par notre Seigneur. »
Il lui sourit, avec la même folie que celle présente dans son regard, puis lui cracha au visage.
« Maudit auteur du pêché originel ! Vous lui ressemblez de par votre nom et de par vos actes. Vous regardez votre collègue avec des pensées irrespectueses et malsaines. Si j’en avais eu l’occasion, je vous aurais tué vous aussi, vous auriez été le prochain ! »
Adam ne supporta pas de rester un instant de plus avec lui. Il fit signe au policier posté devant la porte de le surveiller et sortit. Il s’adossa un instant contre le mur. Cet homme était fou, quiconque en aurait convenu. À cause de cela, il échapperait peut-être à la peine capitale. Mais Adam, à contrecoeur toutefois, dut reconnaître quelque chose : il avait su voir une chose que lui-même n’avait qu’entrevenu. Il aimait Calleigh.

À suivre