Entre Central Park et les Everglades (Cross-over/Ship)

Ca c'est pour ta suite toujours aussi sublime et génial.


Ca c'est pour Mac qui s'est ressaisi par rapport à Calleigh.


Ca c'est pour les blagues carambars d'Adam.


Hou ! Mais Stella va vite revenir au bureau de Mac et resté avec celui-ci et Horatio va te marier avec Lisbon


Ca c'est pour te dire merci p'tite Car"ds pour cette suite !


Impatiente de lire la suite p'tite Car"ds.

Non mais ... faut qu'elle se reprenne Stella là, Elle nous fait quoi à tomber comme ça dans les bras d'horatio ...


En plus, ils se prennent comme ça du temps alors que les autres bossent ...

Mac bouge moi tes jolie petite fesse et montre à stella que c'est de toi dont elle a besoin et pas ce ...machin orange de caine

hâte de lire la suite

Pas mal j'ai adoré mac qui dit à adam pour les blagues carambar

Adam et le "plouf plouf"

Par contre ça m'a bien fair rire aussi Stella "c'est vous le roux..."

Pfff est l'autre qui rit

Et mac bravo d'avoir appeler tu gêres pour une fois

Et manhattan avec peyton oué plutôt quoi que Lisbon aussi il a qu'a se mettre avec les deux tient

Vivement la suite

Et mais plein de meurtre comme ça ils auront pas le temps de finir la soirée

Nana-csi a écrit:

Et manhattan avec peyton oué plutôt quoi que Lisbon aussi il a qu'a se mettre avec les deux tient

Peyton est avec Sheldon donc Horatio avec Lisbon, sinon ils peuvent faire de la polygamie !

Voila t'a tout compris

J'ai hâte de voir ça et au contraire je veux pas de Smac ( ) oui c'est moi qui est dit ça ben oui je veux plus rigoler que de l'amour pour l'instant ^^

Peut être qui en aura une autre de Pizza box qui sait ^^

Dis-moi p'tite Nana tu ne ferais pas des infidélités à Mac et au Smac
avec la nouvelle pizza-box

Oui je suis d'accord avec Nana, on veut rigoler et du Smac aussi mais la prochaine suite sinon pas de problème

Hum, en fait, ça m'étonnerait que vous rigoliez
Mais jugez-en par vous-même




Mais au moment où ils arrivèrent sur les lieux où devait avoir lieu l’interpellation du suspect, ils surent qu’ils étaient allés trop loin. Les deux voitures de police étaient déjà garées devant l’immeuble et étaient totalement vides. Horatio avait en effet tenu à faire un petit détour par les plages avant de se rendre à l’adresse indiquée par Mac, ce qui leur avait coûté trente minutes alors qu’ils étaient tout près. Stella s’en voulait, elle aurait dû lui dire que non. Elle n’avait qu’une crainte à présent : celle que quelque chose soit arrivé parce qu’ils n’étaient pas là. Elle s’apprêtait à faire part de ses peurs à Horatio lorsque du bruit se fit entendre dans les escaliers. Peu après, Tim et Eric sortirent, poussant devant eux un homme d’une vingtaine d’années, braillant à qui voulait l’entendre qu’il était innocent. Ils le poussèrent dans la première voiture de police et partirent, toutes sirènes hurlantes. Ils furent suivis de Calleigh, qui monta dans la voiture sans adresser à regarder à son supérieur. Adam, quant à lui, fit mine de la suivre puis se ravisa au dernier moment et alla vers Stella. Il lui chuchota quelque chose à l’oreille et retourna avec Calleigh dans la voiture. Horatio s’approcha de Stella :
« Il t’a dit quoi ? »
« Que Mac était très en colère. »
En effet, peu après le départ des autres, Mac sortit à son tour. Même de loin, sa colère se faisait sentir. Quand elle le vit s’approcher, Stella eut le réflexe de prendre la main d’Horatio, ce qui eut pour effet d’énerver encore plus Mac. Arrivé presque devant eux, il hurla :
« C’EST À ÇA QUE VOUS VOUS AMUSEZ PENDANT QU’ON RISQUE NOTRE VIE ? »
Il se jeta sur Horatio et le poussa en arrière. Il le plaqua contre le mur. Celui-ci n’arrivait pas à lutter contre la force de l’ancien marine, qui lui ne faisait pas attention à Stella qui, au bord des larmes, lui suppliait d’arrêter.
« Vous m’avez demandé de venir pourquoi, au juste ? Pour vous aider à résoudre une enquête ou pour draguer mes collègues ? »
« Mac, je suis désolé, j’ai… »
« Non vous n’avez aucune excuse ! Vous êtes lieutenant comme moi, vous le savez ! Vous nous avez tous mis en danger ! »
Horatio savait qu’il n’aurait pas raison face à Mac. Il décida de changer de tactique et prit un ton sarcastique.
« Mais je vois que vous vous en êtes très bien sortis ! »
« N’essayez pas de vous moquer de moi ! »
« Allez, je ferai l’interrogatoire, je vous laisse libre… »
Il arrivait à peine à parler, tant la pression qu’exerçait Mac sur sa cage thoracique était forte. Ce dernier appuya encore plus fort et lui hurla :
« VOUS CROYEZ QU’ON A ENCORE BESOIN DE VOUS ? C’EST MON ENQUÊTE MAINTENANT ! RETOURNEZ BATIFOLER, VOUS NE SERVEZ À RIEN ! »
La mine dégoûtée, Mac le relâcha. Horatio repartit vers sa voiture en se massant les côtes, prenant soin de bousculer Mac au passage. Celui-ci dût se retenir de le frapper. Puis Horatio se retourna vers Stella, qui n’avait pas bronché depuis le début.
« Ma Stella, tu viens ? »
En l’entendant l’appeler « Ma Stella », Mac eut un mal fou à se contrôler. Il n’avait qu’une envie : mettre son poing sur sa figure. Mais il savait qu’Horatio faisait en partie exprès pour l’énerver.
« Non désolé, j’ai quelque chose à lui dire avant. »
« Bon, je t’attends alors Stella. »
Il avait décidé de ne pas batailler. Mac s’avança vers Stella, qui avait peur qu’il se remette à hurler.
« Il n’est pas le seul coupable dans cette histoire Stella, vous l’êtes autant que lui. »
« Mac, je suis désolée… »
« Je me fiche bien de vos excuses Stella, vous avez préféré laisser une enquête, vos amis, vous avez choisi de ME laisser, pour aller vous amuser avec ce guignol. Vous ne valez pas mieux que lui. Partez donc, amusez-vous. Et restez ici si cela vous chante, je n’ai que faire de quelqu’un qui ne connaît pas ses priorités. »
N’ayant plus de voiture, il hêla un taxi et monta, laissant Stella en larmes sur le trottoir.

À SUIVRE

Ca pour ta suite toujours aussi génialissiment sublime.


Ca Mac n'aurais pas du parler à Stella comme ça !


Ca N'aurais pas dû réagir comme ça en face de Mac.


Ca Horatio va te faire tuer par ce John et Ciao !


Ca c'est encore pour Horatio.


Merci p'tite Car"ds pour cette suite.


vivement la suite.

Merci

Alors bonne nuit p'tite Car"ds

A demain en direct de Miami

Pas mal tout ça sa ma bien fait rire quand Mac à commencer à prendre Horacio par le col J'imaginer la scène et la depuis j'ai le fou rires

Bref excellente suite ma carods j'ai adoré

Mac est un imbécile par contre s'en prendre à Stella j'espère qui lui pardonnera, mais on le comprend aussi c'est un petit jaloux .

Et l'autre la "ma stella" pfff Imbécile tortue rousse à lunettes déja je pouvais pas le voir ben la encore plus.

Vas y Stella quitte le

Vivement la suite

"Imbécile tortue rousse à lunettes"
Fallait trouver J'adore

Hum bon, voici la suite du jour
Celle-là, je sens que vous n'arriverez pas à l'aimer




Les larmes continuaient de couler sur le visage de Stella. Doucement, Horatio s’approcha d’elle et passa un bras autour de sa taille. Elle se retourna et se laissa aller contre lui, pleurant toujours à torrents. Il passa sa main dans ses cheveux et tenta de la calmer.
« Ca va aller Stella, je suis là… »
« Non ça ne va pas Horatio, c’est mon meilleur ami et…il me déteste maintenant. »
« Je suis désolé… »
Il l’était sincèrement. Dans cette histoire, il n’avait pensé qu’à lui. D’une voix douce, il demanda à Stella :
« Je ne pense pas que tu aies encore envie d’une soirée, n’est-ce pas ? »
« Non… Ramène-moi à l’hôtel s’il te plaît. »
« Bien sûr. »
Elle fut étonnée qu’il n’insiste pas plus. Mais elle préférait que cela se passe comme ça, elle n’aurait pas eu la force de se fâcher avec lui aussi. Elle avait perdu Mac : ses mots l’avaient blessée au plus profond de sa chair. Même si c’était assez paradoxal, car c’était en partie à cause de lui que Mac lui avait dit tout cela, il ne lui restait qu’Horatio à présent. Le trajet se fit dans un silence quasi-religieux. Il s’arrêta juste devant la porte de l’hôtel.
« Tu veux que je monte avec toi ? »
« Non c’est gentil… »
« Bon. Je vais rentrer chez moi. Voilà mon numéro, si tu as besoin… »
« Merci. »
Elle eut un faible sourire. Elle posa sa main sur la portière, puis juste avant de s’en aller, elle embrassa Horatio.
« Merci d’être là, Horatio. »
« Ne me remercie pas, c’est de ma faute si tu es dans cet état. »
Elle le regarda partir. Ce matin encore, elle était à New York. Tout s’était passé si vite : le coup de fil, le briefing, le vol, la rencontre, la soirée, l’erreur, la dispute…la fin. Elle ne s’attendait pas à devoir choisir entre son meilleur ami qu’elle connaissait depuis une décennie et qu’elle aimait par-dessus tout, et un homme qu’elle n’avait rencontré que le jour même. Si Mac lui avait seulement parlé, s’il lui avait demandé de choisir, elle l’aurait fait, elle l’aurait choisi lui. Mais il avait préféré être plus tranchant et laisser parler sa colère. Mais pour Stella, la seule personne à blâmer était elle : elle aurait pu tout arrêter et n’a rien fait, aveuglée par une quelconque bêtise. Ses sentiments s’entrechoquaient dans son cœur, elle ne savait plus où elle en était, ce qu’elle éprouvait réellement, à qui elle en voulait. Plus rien n’était clair dans son esprit, chaque parcelle de son cœur était prise d’assaut par des sentiments contradictoires, son âme même était torturée. Alors qu’elle essayait de faire le vide dans son esprit, le chaos reprit le dessus et un terrible mal de tête l’envahit subitement. Elle rentra alors en courant dans l’hôtel, luttant pour ne pas s’écrouler, et ravalant les larmes qui menaçaient de recommencer à inonder son visage. Elle s’affala sur son lit et en un instant, le chaos fit place au néant.

À suivre

Stella a embrassé Horatio.


Stella a embrassé Horatio.


Elle devrait dire que son "chouchou" c'est Mac !


Heu...j'ai un bug là, pourquoi "en un instant, le chaos fit place au néant" ??


Toujours aussi bien écrit.


Ta fics est sublissiment géniallissiment Sublime. ( je ne sais pas si ça existe ! )


Merci pour cette suite p'tite Car"ds.

ba mince j'ai pas eu d'alerte comme quoi t'avais poster la suite

donc ba ... dis donc effectivement il s'énerve bien le Mac, en même temps je le comprend, ils sont fou Stella et Horatio, faudrait qu'ils pensent qu'ils travaillent aussi.

et puis Stella me déçois aussi !

Pauvre Mac, il doit se sentir un peu trahi.

et puis là Stella embrasse Horatio ...?!
Non, mais elle est vraiment devenue folle !!!

j'espère qu'elle va vite se remettre un peu les idées en place parce que là ... ca va pas du tout.

hâte de lire la suite

Ok merci pour l'explication de : "en un instant, le chaos fit place au néant."

P'tite Car"ds il y a de quoi être choquée, et pour p'tite Nana, soit elle est choquée ou soit elle est mais je vote pour le 1er.

Hou ! une suite en préparation

En tout cas, merci Manhattan et Nana de m'avoir donné l'idée de cette fic car je me marre bien à l'écrire et j'adore vous voir rire, vous énerver et adorer le triangle Mac/Stella/Horatio

(Truc qui n'a rien à voir, mais le correcteur automatique de Google Chrome ne compte aucune faute à tous les noms des personnages, sauf Peyton et Horatio, comme quoi y'a une justice Ils doivent être Smac aussi chez Google )

Bon sinon voici la suite, qui apporte un peu de nouveauté dans l'enquête, qui va prendre un tournant décisif au prochain chapitre




Pendant ce temps, à l’autre bout de la ville, Mac venait d’arriver à la police. Il se précipita vers la salle d’interrogatoire. En chemin, on lui informa que Calleigh venait à peine de commencer. Il fit irruption dans la salle. Calleigh, en train de parler, s’interrompit et le regarda avec des yeux ronds, tout comme le suspect. Mac attaqua directement :
« Alors, Mr Steinbeck, on veut réecrire l’histoire ? »
Ce dernier prit un air encore plus ahuri. Calleigh elle-même ne semblait pas comprendre où Mac voulait en venir. Elle voulut parler mais il ne lui en laissa pas le temps.
« John Steinbeck qui tue George Milton, c’est assez ironique non ? »
Il ricana, puis se tourna vers Calleigh.
« J’ai bien entendu, vous avez un technicien qui s’appelle Lennie ? Vous allez le tuer lui aussi, Steinbeck ? Jolie fin alternative. »
« Hein ? Mais qu’est-ce qu’il bave lui ? De quoi il cause ? Complètement allumé votre collègue ! »
« J’aurais dû m’en douter… Trop ignare pour comprendre les références. »
« Hé tu me respectes ok ? »
Calleigh, voyant que la tension commençait à monter, s’interposa et prit Mac en aparté.
« Mac, vous devriez peut-être attendre et me laisser faire non ? »
« En effet… »
Il se retira. Steinbeck se leva et lui cria.
« Va te faire soigner, pauvre con ! »
« Outrage à agent, ça vous tente, en plus de meurtre ? »
La réponse de Calleigh le fit s’asseoir directement.
« Mais je vous dis que c’est pas moi ! J’y suis pour rien, connais pas ce George moi ! »
« Pas besoin de connaître la victime pour la tuer. »
« Hé, je sais que vous me prenez pour ce tueur taré de New York, mais c’est pas moi ! J’y ai jamais foutu les pieds là-bas ! »
« Justement, on a retrouvé une empreinte de chaussure sur la scène de crime. Vous chaussez bien du 45 non ? Et vous portez des baskets. »
« Euh ouais, et alors ? »
« Alors ça, rajouté au cheveu que l’on a trouvé sur les vêtements de la victime, il va falloir être plus convaincant que vos « c’est pas moi » ! »
« Bon ok. J’étais là ce soir, mais j’ai rien fait. J’ai vu ce mec par terre au loin, je me suis approché et j’ai vu qu’il était mort. J’me suis barré, vous vouliez que je fasse quoi ? »
« Quelle heure était-il ? »
« Je sais pas… 2h du mat’ je crois. J’étais avec des potes avant, j’vous jure, ils vous confirmeront. »
« On vérifiera. Bien, vous pouvez partir, mais restez dans le coin. »
« Attendez, y’avait un autre gars avant moi. »
« Comment ça ? »
« Quand j’suis arrivé près du type, j’ai vu un mec courir au loin. »
« Il ressemblait à quoi ? »
« J’sais pas, j’ai pas bien vu. Genre 1m80, mince, cheveux courts. Bruns, je dirais. »
« Bon, merci. L’agent Anderson va vous raccompagner. »
Au dehors, tous à l’exception d’Horatio et Stella attendaient Calleigh. Adam demanda :
« Vous croyez à son histoire d’autre type présent ? »
« Oui, je ne crois pas que notre John soit Red John ! »
« Nous verrons ça demain. Rentrez chez vous, vous avez travaillé toute la journée, il est tard. »
Tous remercièrent Mac et le saluèrent avec gratitude. Adam et lui rentrèrent ensemble à l’hôtel. Il souhaita bonne nuit à celui-ci, passa devant la chambre de Stella sans le moindre regard et s’enferma dans la sienne, avant de tomber précipitamment dans les bras de Morphée.

À suivre

oula Mac est toujours à cran :s

j'espère que ça va quand même s'arrenger tout ça

De rien p'tite Car"ds nous ça nous fait plaisir de te lire
Hou ! Google qui est Smac et oui il y a une justice chez Google : NY


Cette suite est comme toujours aussi adorément subliment génial !


Mac pourrait remettre sa fierté de lieutenant dans son portefeuille et frapper chez Stella et lui dire la Vérité


Où sont partis les deux cocos Horatio et Stella ? pas dans l'une des chambres de l'hôtel


Merci pour cette suite ma p'tite Car"ds.

Bonne nuit p'tite Car"ds

Hey
Voilà une suite assez courte Oui, encore plus que d'habitude
Mais y'en aura une ou deux autres dans la journée, ne vous en faites pas

En attendant, voilà de quoi ravir les Anti-Horatio




Mac n’avait pas très bien dormi cette nuit. Dans sa tête, il vovait le visage de Stella, sa mine éplorée quand il l’avait laissée sur le bord du trottoir. À présent, il se demandait s’il n’avait pas été trop loin, s’il n’avait pas fait une erreur. Il aurait dû lui parler plus calmement. Mais il n’avait pas supporté de la voir avec un autre que lui. Il fut tiré de sa somnolence et de ses pensées par un coup de téléphone.
« Taylor. »
« Mac, c’est Calleigh. On a un problème. »
« Lequel ? »
« Horatio a disparu. »
La colère qui s’était dissipée dans le cœur de Mac se raviva et il prit le ton le plus acerbe possible pour répondre :
« Oh, il doit sûrement être avec Stella ! Je vais vérifier. »
« Je ne vais rien vous cacher, nous y avons pensé, mais il n’y est pas. »
« Comment le savez-vous, vous l’avez appelée ? »
« Non, on a préféré visionner les caméras de surveillance du hall de l’hôtel. On y voit Horatio déposer Stella vers 20h30. Il n’est même pas descendu de la voiture. Nous avons vérifié, il n’est pas revenu. Il n’est pas non plus chez lui et il ne répond pas au téléphone. »
« Bon, je vais quand même passer voir Stella. Même s’il n’est pas avec elle, il lui a peut-être dit quelque chose. »
« Tenez-nous au courant. »

Stella non plus n’avait pas bien dormi. De nombreuses pensées se bousculaient encore dans son esprit. Si son mal de tête s’était apaisé depuis la veille, son cœur était toujours autant déchiré. Lorsqu’elle entendit frapper à sa porte, elle crut qu’il s’agissait d’Horatio.
« Oh Mac ! Qu’est-ce que vous faites là ? »
Les cernes sous ses yeux rougis indiquèrent à Mac qu’elle avait passé la nuit à pleurer au lieu de dormir, ce qui lui serra le cœur.
« Stella, avez-vous des nouvelles d’Horatio depuis hier ? »
« Pourquoi vous me demandez ça ? Vous voulez savoir s’il est ici ? Hé bien non, je ne l’ai pas vu depuis hier. Qu’est-ce que ça peut bien vous faire de toutes façons !? »
« Il a disparu, Stella. »

À suivre