Coup de foudre [Ship]

Ils sont mignons tout les deux ^^

Citation :

La voir ainsi regarder la rue, lui faisait penser à une étoile solitaire et inaccessible qui contemplait le monde d’en bas.

J'aime bien cette phrase

J'ai bien aimé ta suite!!

bien sûr que cette suite me plaît, elle est magnifique
ce moment Don/Caly était vraiment sublime et j'espère qu'il y en aura pleins d'autres
pauvre Caly à quoi peut-elle bien penser, j'espère que Don réussira à lui remonter le moral

Merci Poupi

Pauvre petite Caly, toute mélancolique. J'espère qu'elle va s'ouvrir prochainement à Don et que celui-ci va l'aider. Ils ont besoin d'amour ces deux-là !

En tout cas, plus Caly se rapproche, moins Don a l'air de se poser de questions. Il se détend le jeune homme

Bravo ma grande, j'adore !

Poupi, tu as le don d'écrire des suites magnifiques. Caly se rapproche de Don, ce qu'il doit être content!!!

Même si c'est pas du smac, j'adore quand même!!

Bonne continuation

Ah superbe cette suite.
Il a fallu qu'elle le touche et il va déjà mieux.
Allez Don fonce!

c'est un trés beau moment
trés belle suite

hâte de lire la prochaine ^^

Que c'est tropbeau !!! <3
Je suis en admiration ... !
Et en attente maintenant *SBAFF*

bonsoir les filles,

non non non je ne vous ai pas oublié, juste beaucoup de travail et la crève m'ont ralenti.

donc voilà un chapitre 500 % SMAC . bon c'est mon premier NC-17, en plus en smac donc je sollicite une nouvelle fois votre indulgence

bonne lecture à toutes

GROS BISOUS à toutes

*************************************

AVERTISSEMENT : CHAPITRE NC -17, lectrices de moins de 17 ans vous lisez ce chapitre en toute connaissance de cause

Mac et Stella étaient enfin arrivés à destination, ils sortirent de la voiture et se dirigèrent vers l’appartement de Stella. Elle qui d’habitude se refusait d’y inviter un homme, était plus que ravie d’y voir entrer Mac, il était si différent des autres hommes, il était doux, attentionné… Elle voulait partager sa vie avec lui, pas seulement le travail.

Dans l’ascenseur, ils s’embrassèrent à nouveau, il l’avait collé contre la paroi et embrassait ses lèvres, son cou, ses joues … Elle voulait que ça ne s’arrête jamais.

Ils étaient arrivés à l’étage de Stella, elle chercha ses clés d’une main tremblante, elle ouvrit la porte mais alors qu’elle saisissait la main de
Mac pour qu’il entre, celui-ci fit un pas en arrière.

Là elle ne comprenait plus rien. Elle le regardait stupéfaite.

Mac : « J’ai très envie de passer cette nuit avec toi, j’ai très envie de te tenir contre moi, de t’embrasser indéfiniment … Mais pas maintenant, pas tout de suite, j’ai envie de faire les choses comme il se doit … Je veux simplement que tout soit parfait. »

Stella : « Mac, tout est parfait à mes yeux, je veux être avec toi. »

Mac souriant de l’impatience de Stella : « Moi aussi, je veux être avec toi, et nous avons tellement attendu que nous ne sommes plus à une soirée près. »

Elle se rapprocha de lui, se mit sur la pointe des pieds, elle commença à l’embrasser dans le cou, puis elle remonta doucement vers la ligne de sa mâchoire, puis vers ses lèvres. Elle sentait que Mac faisait tout son possible pour résister mais elle voulait qu’il cède, elle voulait passer la nuit avec lui, elle voulait se réveiller à ses côtés. Elle se colla un peu plus à lui, pour lui faire sentir à quel point elle le désirait.

Mac émit un grognement et s’empara des lèvres de Stella, Bon Dieu ! Il était fou de cette femme et elle savait le tenter, il mêla sa langue à celle de sa compagne. Elle l’attrapa par le col de sa veste et l’attira à l’intérieur de son appartement, il ferma la porte d’un coup de pied, tout en continuant à s’embrasser. Stella et Mac se dirigèrent vers le salon, elle commençait à enlever la veste de Mac, ec dernier avait besoin de reprendre son souffle mais il ne voulait pas quitter les lèvres de Stella, ne serait-ce qu’une seconde, il finit de retirer sa veste qui atterrit sur le sol, il enleva celle de sa compagne qui rejoignit la sienne.

Stella fit passer ses mains sous la chemise de Mac, elle adorait sentir son ventre musclé sous ses mains, mais elle en voulait encore plus, elle quitta donc quelques secondes les lèvres de Mac pour déboutonner sa chemise, les mains tremblantes.

Quand Stella quitta ses lèvres pour déboutonner sa chemise, Mac put reprendre son souffle, mais le fait d’avoir senti les mains de Stella sur son ventre, le rendit fou de désir, au diable ses bonnes résolutions, il ne voulait plus attendre, il passa donc ses mains sous le haut de Stella, sa peau était si douce, si veloutée. Il lui retira rapidement, il voulait la contempler.

Stella avait enfin réussi à déboutonner complètement la chemise de Mac, son compagnon lui avait retiré son haut, elle fit glisser la chemise le long de ses bras si musclés, elle avait imaginé à plusieurs reprises le corps de Mac, mais elle ne se doutait pas qu’il était aussi athlétique. Elle frissonna de désir et de plaisir.

Maintenant que Mac était débarrassé de sa chemise, Stella entreprit d’explorer son corps, elle embrassa son torse et le caressa. Elle s’attarda surtout sur sa cicatrice, comme si elle voulait lui faire oublier toutes ses souffrances par ce simple baiser.

Mac était complètement retourné, Stella lui faisait un effet monstre, si elle continuait à l’embrasser ainsi il ne pourrait bientôt plus répondre de lui. Il avait eu le temps de contempler son corps et comme il s’y attendait ce lui-ci était parfait.

Stella parvint tant bien que mal à emmener Mac vers sa chambre. Dans l’obscurité de la pièce, ils continuèrent à explorer le corps de l’autre. Mac allongea Stella sur le lit tout en continuant à l’embrasser. Il descendit vers sa gorge, et la parsema de baisers. Il s’attaqua ensuite à sa poitrine toujours couverte de son soutien-gorge en dentelle. Il s’était toujours demandé quel genre de lingerie portait Stella. Maintenant il avait sa réponse, de la lingerie fine et terriblement excitante.

Il entreprit de le lui retirer pour pouvoir profiter pleinement de ses seins. Quand il se mit à en caresser les pointes sensibles, une tension intolérable l’envahit.

Stella laissa échapper un petit cri de déception quand les mains et la bouche de Mac quittèrent ses seins pour s’aventurer vers son ventre. Quand Mac glissa ses mains dans la ceinture de son jean pour le lui ôter, elle ne put retenir un soupir, mélange d’excitation et d’impatience. Seulement vêtue de sa petite culotte en dentelle qui mettait en valeur ses jambes fuselées, elle était désormais à sa merci. Brûlante de désir.

Les mains de Mac glissèrent le long de sa taille, tandis que sa bouche s’attardait sur ses seins. Stella se cambra avec force contre celui de Mac.
Ses yeux dévoraient le corps parfait qui s’abandonnait sous ses caresses, de la peau satinée sur laquelle tranchait le noir de la fine dentelle de sa culotte. Face à elle, au contact de sa peau à la fois douce et ardente, il se sentait envahi d’un désir féroce et incontrôlable. Mac fixa son attention sur le visage de Stella, et constata avec un plaisir farouche que ses yeux brillaient des flammes incandescentes du désir.
Il termina de se dévêtir avec un frisson d’excitation et fit glisser la culotte de Stella. Il s’allongea sur elle, mais il ne voulait pas encore entrer en elle, il voulait faire durer le plaisir de cette délicieuse et infernale torture, tant qu’il le pourrait. Il embrassa avidement Stella. Mais quand celle-ci se frotta contre lui en gémissant, il ne put résister.

Le cri qui jaillit de sa gorge quand il entra en elle était étrange. Les sensations qui le submergèrent étaient si intenses qu’il en resta le souffle coupé. Stella se pressait contre lui, l’enjoignant à continuer, l’encourageant avec de petits gémissements. D’une main il lui caressa doucement le visage et déposa de légers baisers dans son cou. Stella répondait avec enthousiasme en ondulant contre lui, menaçant de lui faire perdre la raison.

Ses gémissements l’encouragèrent à aller plus loin, plus vite, et il se perdit dans les méandres du désir pur, le monde se résumant à l’union parfaite de leur deux corps. Lorsque Stella atteignit l’extase, il se sentit partir, perdre pied dans un tourbillon de plaisir d’une puissance telle qu’il n’en avait jamais ressenti.

Mac s’écroula sur Stella. Ils respiraient à grands coups, n’arrivant pas à retrouver leur souffle. Stella serrait Mac contre elle. Elle était heureuse et comblée. Elle n’avait jamais rien connu d’aussi intense.

Mac roula sur le côté, Stella s’installa contre lui et posa sa tête sur son épaule, ils rabattirent la couette sur leurs deux corps enlacés, le sommeil vint les surprendre. Dans leur repos, on pouvait voir sur leurs visages le plus doux des sourires.


TBC ....

à bientôt

C'était super!! J'ai bien aimé quand Mac a hésité à rentrer lol

Merci pour cette suite!

C'est magnifique, sublime, du smac parfait.

comme Greisa, je trouve ce SMAC PAAAAAAAAAAAAAAAAAAAARFAIT

Spoiler:

c'était vraiment
Poupi je te dis

Oh my god Oh my god !!! J'étais en train de petit déjeuner, j'en ai oublié de boire mon café !!

c'est trop bon, c'est trop chouette, c'est trop bien écrit !!!



Encore !

Aaaaaah enfin ce passage tout chaud sorti de ton imagination.
C'est sensuel en diable

bravo pour se premier jet, c'est un coup d'essai remarquablement transformé

C'est super Poupi. Dis-donc, tu es bien productive ces temps-ci et cette suite ne fait que le confirmer.
C'était parfait!!!

Arf Poupi nos amis les vilain messieurs en blanc m'ont fait prendre une triple dose de pillules aprés lecture de ce chapitre XD

C'est du Smac parfait ça... Dis donc on dirait pas que c'est ton premier essai NC-17...

J'ai adoré! J'attend sla suite avec impatience!

Emilie a écrit:

Arf Poupi nos amis les vilain messieurs en blanc m'ont fait prendre une triple dose de pillules aprés lecture de ce chapitre XD

C'est du Smac parfait ça... Dis donc on dirait pas que c'est ton premier essai NC-17...

J'ai adoré! J'attend sla suite avec impatience!

j'ai dû le réécrire au moins 3 ou 4 fois avant d'être satisfaite de ce chapitre...j'espère y arriver pour les suivants...

oui oui oui il y aura d'autres NC-17 dans la fic, chaipas moi .......sous une douche par exemple

BOn je ne dirai pas combien de suite de retard j'avais j'ai honte, vous pouvez pas savoir

Mais là j'ai tout lu et je suis

C'est trop génial, superbement bien écrit ! Le dernier passage est JUST PERFECT ! XD

Vivement la suite

poupi27 a écrit:

Emilie a écrit:

Arf Poupi nos amis les vilain messieurs en blanc m'ont fait prendre une triple dose de pillules aprés lecture de ce chapitre XD

C'est du Smac parfait ça... Dis donc on dirait pas que c'est ton premier essai NC-17...

J'ai adoré! J'attend sla suite avec impatience!

j'ai dû le réécrire au moins 3 ou 4 fois avant d'être satisfaite de ce chapitre...j'espère y arriver pour les suivants...

oui oui oui il y aura d'autres NC-17 dans la fic, chaipas moi .......sous une douche par exemple

sous une douche????? tu veux vraiment que nos doses de pilules augmentent d'une façon phénoménale
pour ma part ça ne me dérange pas tant qu'il y a du SMAC mais je pense
à ces pauvres messieurs en blanc on risque de les rendre chèvres

quand on me parle de douche, je ne réponds plus d'aucuns faits et gestes
j'ai hâte de lire ce que tu nous réserve Poupi

Magnifique, c'était vraiment parfait, tu as réussi ton coup ^^

j'ai hâte de lire la suite

et la prochaine Nc-17 sous la douche

bonjour bonjour,

voici la suite du jour, et peut être même une autre ce soir ...

gros bisous à toutes et merci merci merci pour tous vos coms si gentils et encourageants.

merci à Gwen pour son coup de main de dernière minute

****************************************
Don et Caly étaient en route pour l’hôtel où devait avoir lieu son rdv. Ils avaient pris la voiture de Caly, sur son insistance, et elle avait laissé le volant à Don. Si Don appréciait de conduire ce coupé sport de luxe, il appréciait encore plus la présence de la jeune femme à ses côtés. Il l’observait du coin de l’œil elle regardait par la fenêtre la ville qui défilait, mais elle semblait tellement tendue.

Pourquoi ce rdv la stressait-il autant ? Ils arrivèrent enfin devant l’hôtel où le client de Caly les attendait. Ils se rendirent directement aux ascenseurs, quand ils s’engouffrèrent dedans, il remarqua que Caly était pâle, elle était adossée à la paroi et il voyait ses mains trembler.

Don était de plus en plus inquiet.

Don : « Caly, tu es sûr que ça va ? »

Caly souriant pour le rassurer : «  Oui oui ! J’ai hâte que ça soit fini c’est tout. »

Elle soupira et se passa la main sur le front, quand elle leva les yeux vers lui, il crut qu’elle allait pleurer. Vraisemblablement ça n’allait pas du tout.

Caly : « Don, tu veux bien me rendre un service quand nous serons là-haut ? »

Don voyant l’état de la jeune femme, n’allait sûrement pas refuser, quelque chose la stressait dans ce rdv et il voulait l’aider.

Don : « Oui, que puis-je faire pour toi ? »

Caly : « Tu pourras faire croire que tu es mon fiancé ? »

Don était soufflé. Il ne savait quoi répondre.

Caly : «  Je sais que je t’en demande beaucoup, mais si j’avais pu faire autrement… »

Don : « Non non, aucun souci Caly ! Mais dis-moi plutôt pourquoi cette comédie ? »

Caly : « Le client que nous allons voir, Monsieur Ibramovitch, me met extrêmement mal à l’aise. Quand il me regarde, j’ai
des frissons, ça m’écœure ! »

Don : « Pourquoi avoir travaillé avec lui alors ? »

Caly : « Au début, je traitais avec sa femme, ça se passait très bien, et puis il est arrivé et … »

Caly ne put réprimer un frisson de dégoût. Don était prêt à l’aider, hors de question que cet Ibramovitch l’approche. Il serait capable de le tuer.

L’ascenseur s’arrêta à l’étage demandé, et ils se rendirent à la chambre de ce monsieur. Don prit la main de Caly comme pour lui donner de la force. Elle se tourna vers lui, et lui adressa un timide sourire. Elle était toujours très belle.

Quand on vint leur ouvrir, Don rentra dans la chambre tout en gardant la main de Caly dans la sienne. Ils arrivèrent dans le salon de la suite où un homme d’une quarantaine d’années les attendait. Don vit de suite le regard qu’il posa sur Caly, il comprenait le dégoût de la jeune femme. Il la déshabillait du regard, il passa sa langue sur ses lèvres, comme pour faire comprendre qu’il la trouvait à son goût. Il vit aussi que cet homme était en colère de le voir en compagnie de Caly.

Don se tendit et rapprocha Caly de lui.

Monsieur I : « Bonsoir Mademoiselle Sadrosam, je suis absolument ravi de vous revoir. » Lui dit-il avant de lui baiser la main.

Don vit caly retirer rapidement sa main. Il la sentait tendue comme un arc. Il pu voir que Caly se forçait à sourire à son interlocuteur.

Caly : « Monsieur Ibramovitch, pour moi aussi c’est un plaisir. Laissez-moi également-vous présenter mon fiancé : Don. »

Don : « Ravi de vous rencontrer monsieur. » serrant la main de l’homme avec force

Monsieur I avec un sourire faux : « Moi de même. J’ignorais très chère que vous aviez un fiancé. »

Don : « Caly est une femme discrète. N’est-ce pas chérie ? »

Caly souriant à Don : « Oui, tu as entièrement raison mon amour ! »

Don savait que c’était pour donner le change, mais n’empêche que d’entendre Caly prononcer ce mot doux à son attention, lui donnait des frissons de plaisir.

Monsieur I émit un grognement indistinct et se dirigea vers le canapé. Il s’assit dans un fauteuil, Don et Caly s’assirent en face de lui.

Monsieur I : « Donc si nous revenions à ce qui vous amène. »

Caly : « Oui bien sûr. » Caly sortit d’un de ses sacs un grand écrin en velours noir, qu’elle posa devant Monsieur I. « Voilà la commande de votre femme. »

Monsieur I ouvrit le coffret, apparemment même s’il ne pouvait avoir la jeune femme, son travail lui convenait. 

Monsieur I : « Ma femme va être absolument ravie de cette merveille. »

Caly : « Vous m’en voyez enchanté. »

Monsieur I : « Voici le paiement. » Dit-il en tendant un chèque à Caly.

Sans en vérifier le montant, elle le mit dans son sac.

Don voyait que malgré sa présence le regarde l’homme n’avait pas changé, il regardait Caly de façon malsaine. Don se doutait que s’il n’avait pas été là, il n’aurait pas hésité à se jeter sur la jeune femme.

Caly : "Monsieur Ibramovitch, nous sommes désolés mais nous n’allons pas nous attarder. Nous avons réservé pour dîner …. »

Monsieur I : « Ah un dîner en amoureux, j’espérais que vous alliez partager mon repas, mais si vous avez réservé…je vous laisse partir avec regret. »

Il reprit la main de Caly pour la baiser une nouvelle fois, Don qui cette fois tenait la jeune femme par la taille, la sentit ce
raidir à ce contact. Don serra une nouvelle fois la main de cet homme pervers. Et de dépêcha d’emmener Caly loin d’ici.

TBC ....

Qu'il doit être aux anges Don, même s'il fait semblant. N'empêche cette soirée, il va s'en rappeler.
Espérons qu'ils pourront parler et qu'elle lui dise qu'il n'y a rien entre elle et Adam, comme ça le ti Don, pourra se lancer.

Toujours aussi bien Ma Poupi

j'adoooooooooooooooooooooooooooooore Poupi
heureusement que Don était là parce que cet homme est complètement malade
je comprends Caly la pauvre, et Don pourrait essayer de la faire parler

merci Poupi pour cette superbe suite
vivement la suite

Aaaah une suite
Cet ignoble Monsieur I ! Qu'il s'étouffe avec son repas, non mais ! Il achète des bijoux à sa femme mais brûle pour Caly, quel grouick !

Pendant ce temps-là, Don se fait une petite place près de la belle. Well done mate !

Brr, il fait froide dans le dos ce monsieurI. Heureusement que Don était là. je suis sûre qu'il pourrait vite y prendre goût de se promener main dans la main avec Caly et se dire des petits mots doux.

Super suite en tout cas. Bravo poupi

je comprend pourquoi caly ne voulais pas y aller seul

super suite en tout cas ^^