Coup de foudre [Ship]

Wahou

je viens de tout lire d'un coup

superrrbe fic !!!!!! sérieux t'ecris super bien Poupi

bon ba maintenant j'ttend

mais franchement bravo j'adore je vais al relire tout a lheure tellement je cuis accro

bonsoir,

voilà la dernière suite corrigée et bien propre que j'ai, le reste avance doucement mais sûrement, donc vous resterez sans suite durant quelques jours (pas plus j'espère)

bonne soirée à toutes et un grand merci

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Il ne la lâcha pas tant qu’ils ne furent pas à l’ascenseur. Trop heureux de profiter de ce contact, et malgré tout inquiet. Caly n’avait toujours pas repris de couleurs.

Ils rentrèrent dans l’ascenseur, Don avait l’impression que s’il lâchait Caly, elle s’effondrerait.

D’un coup Caly enserra sa taille de ses bras et se mit à pleurer contre son torse. Don était fou de rage contre l’homme qui avait mis Caly dans cet état, ça ne tiendrait qu’à lui il remonterait pour lui coller son poing dans la figure. Mais pour le moment c’est Caly qui avait besoin de lui.
Il la serra donc dans ses bras et embrassa ses cheveux, lui murmurant des mots de réconfort. Elle finit par se calmer et se décolla légèrement de lui pour reprendre une respiration plus calme.

Caly : « Don je suis vraiment désolée. »

Don : « Tu n’as pas à l’être, je comprends pourquoi tu m’as demandé de jouer le rôle de ton fiancé. Ce type est un pervers. »

Caly soupira : « Super, j’ai trempé ta chemise, et je dois ressembler à un lapin qui a eu la myxomatose. »

Ce qui eut pour faire effet de les faire rire tous les deux et de détendre légèrement l’atmosphère.

Caly : « Pour me faire pardonner, je t’invite à dîner. »

Don : « Tu n’es vraiment pas obligée… »

Caly : « Je sais, mais j’y tiens. On y va ? »

Ils se rendirent chez un italien où en plus du décor super intimiste et de la cuisine excellente, Caly était choyée par le patron. Il l’appelait son petit soleil parce qu’elle souriait tout le temps.

Caly et Don passèrent une excellente soirée, Caly parla à Don de la disparition de son frère, de son grand-père, de sa sœur et de son neveu autiste. Don lui parla de sa sœur ancienne alcoolique, des relations difficiles avec son père, il apprit que Caly avait des relations conflictuelles avec ses parents. Mais elle tournait ça avec humour, ce qui avait le don de le faire rire. Il n’avait jamais pensé à tourner ses relations familiales en dérision, mais c’était une bonne idée.

Don était agréablement étonné par Caly, en plus d’être jolie, elle était gentille, douce et bourrée d’humour. Cela allait être encore plus difficile de l’oublier. Il fallait qu’il pense à Adam pour ne pas craquer, ça serait si facile.

Ils continuèrent de deviser comme ça pendant un bon moment, ne se rendant pas compte que tous les autres clients du restaurant étaient partis. Ce n’est que quand le patron vint les voir pour leur dire qu’il allait devoir fermer, qu’ils virent que la nuit était bien entamée.

Don raccompagna Caly jusque chez elle. Il voulait lui rendre les clés de la voiture.

Caly : « Garde la pour rentrer chez toi Don, je n’en ai pas besoin. Je récupérerai la voiture plus tard. »

Don : « Non Caly, ça va aller. »

Caly : « Et tu penses rentrer comment ? Je t’en prie garde-la ! »

Don : « C’est sympa Caly. »

Caly : « Non c’est toi qui a été sympa de me rendre service ce soir. »

Don alla ouvrir la portière de Caly. Elle lui sourit. Un sourire doux et triste à la fois.

Caly : « Bonne nuit Don et merci pour cette soirée. C’était très chouette.»

Don : « De rien Caly, pour moi aussi cette soirée a été très agréable. »

Elle prit le chemin pour atteindre son immeuble.

Don : « Caly !? »

Caly se retourna : « Oui Don. »

Don : « Même avec les yeux rouges, tu restes très jolie. »

Bon Dieu, il est devenu complètement taré, qu’est ce qui lui a pris de dire ça à voix haute.

Caly s’approcha de lui et à sa plus grande surprise se mit sur la pointe des pieds et déposa un léger baiser sur la bouche de Don. Un baiser aussi léger qu’une aile de papillon, mais jamais aucun baiser ne lui avait provoqué autant de sensations. Il fut parcouru d’un immense frisson, ses lèvres étaient aussi douces qu’il se l’était imaginé.

A peine avait-il fait cette découverte qu’elle s’était éloignée de lui, il rouvrit les yeux. Il ne s’était même pas rendu compte qu’il les avait fermé jusqu’à ce moment.

Caly : « Merci Don …. Pour tout. »

Cette fois-ci elle partit sans se retourner. Don ne pouvait plus bouger, il était comme paralysé. La femme qu’il aimait l’avait embrassé. C’était aussi beau qu’il l’avait rêvé. Il se décida à remonter à bord de la voiture. Il mit le contact et prit la route pour son appartement. Il était heureux, sur un petit nuage.

Il ne voulait pas penser à Adam. Il ne voulait pas penser au lendemain. il voulait juste penser à son bonheur présent. Pour les complications, il verrait ça avec le lever du soleil. Pour l’instant, il avait le reste de la nuit pour revivre cette soirée et le baiser.

TBC ...........

à très vite

oh c'est trop cute

t'inquiète don en fin de compte c'est pas trés grave tout ça mdr ^^
Adam va bien finir par dire la vérité ou même caly, surtout si celle-ci à un faible pour Don ^^

hâte de lire la suite

Ah super Caly a fait un premier pas. C'est géniale
ET Don qui est à présent sur un petit nuage.

Superbe suit ecomme toujours Ma Poupi
J'adore ta fic

aaaaaah enfin !

C'est trop mignon ce petit bisou et ça fait de l'effet !
J'ai beaucoup aimé l'ambiance romantique de ce passage.


PS : les corrections prévues ce matin, juré !

Oui Lino tu vas faire les corrections parce que nous on veut la suite
Superbe passage ma Poupi j'aime beaucoup ! Et c'est toujours aussi agréable de te lire !

Merci de nous faire partager tes écrits !

C'est trop cool, la situation commence à se débloquer pour ces deux-là.

Merci pour cette fabuleuse suite poupi

je suis vraiment contente pour Don,
cette suite est très belle et romantique j'adoooooooooooooooooooooooooore

vivement la suite
Merci Poupi
et Merci Lino

Le petit Don est heureux tout plein

Ca fait plaisir!!

La suite!!!

coucou

je suis désolée d'avoir tant tardé à vous poster une suite mais j'ai été absente durant plusieurs jours et je ne suis donc pas venue. j'ai donc énormément de retard.

voici donc un passage smac rien que pour vous et je m'attelle à écrire la suite aussi vite que possible.

bisous à toutes.



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AVERTISSEMENT : PASSAGE NC-17, VOUS LISEZ CE CHAPITRE EN TOUTE CONNAISSANCE DE CAUSE. MERCI

C’est les premiers rayons du soleil qui avaient réveillé Mac. De sentir le corps chaud de Stella pressé contre lui, c’était divin. Il n’aurait jamais pu imaginer meilleur réveil. Il rapprocha un peu plus Stella de lui.

Il repensa à leurs ébats de la veille. Stella s’était révélée être une amante passionnée. Tout avait été parfait, et il voulait que ça le reste. C’est la première fois qu’il se réveillait aux côtés de Stella et il se dit qu’il y prendrait très vite goût. Il voulait dorénavant se réveiller tous les matins près d’elle.

C’était tellement délicieux.

Malgré cette sensation de béatitude, Mac décida de se lever pour préparer le café. Il se leva le plus doucement possible pour ne pas déranger Stella dans son sommeil. Elle était si belle quand elle dormait. Et surtout si paisible.

Il se rendit dans la cuisine et commença ses recherches de ce qu’il fallait pour faire le café, d’abord les filtres, puis le café. Il se concentra surtout à faire le moins de bruit possible.

Stella se réveilla en entendant du bruit en provenance de sa cuisine. Elle devina de suite qui y était. Sa place dans le lit était vide. En revoyant les draps froissés, elle se dit qu’elle venait de passer la nuit la plus extraordinaire de son existence. Mac était un amant attentionné mais aussi passionné. Rien que de repenser à leur étreinte de la nuit précédente, elle sentit le feu du désir brûler de nouveau en elle. Cet homme lui faisait un effet fou. Elle se leva et enfila juste un débardeur et un short, et se rendit dans la cuisine pour y retrouver l’homme qu’elle aimait.

Quand Stella arriva à l’entrée de sa cuisine, elle se dit qu’en effet la journée commençait très bien. Mac juste vêtu de son boxer, en train de préparer le café. C’est juste ….sexy !

Elle le regarda en souriant durant quelques secondes, puis s’avança à sa rencontre, elle lui enserra la taille de ses bras et lui déposa un baiser sur la nuque.

Stella : « Bonjour toi. »

Mac en profita pour se retourner et la prendre dans ses bras. Il souriait. Quel sourire divin pensa Stella.

Mac : « Bonjour ma douce. Bien dormi ? »

Stella : « Comme un bébé. Et toi ? »

Mac : « Moi aussi, puisque tu étais dans mes bras. »

Stella posa sa joue contre le torse de Mac et se colla encore un peu plus à lui.

Stella : « J’adore ce genre de réveil. »

Mac : « Moi aussi. Le café est prêt tu en veux une tasse ? »

Stella : « Oui je veux bien. »

Ils se séparèrent, Stella prit les tasses dans le placard et Mac les servit. Ils s’installèrent à la table et sirotèrent leur café sans parler, juste en se souriant.

Quand Stella se releva pour se servir, Mac l’agrippa et l’attira sur ses genoux. Il commença à l’embrasser dans le cou puis il atteignit ses lèvres. Stella gémit de bonheur. Elle lui caressa le dos et le torse.

Mac : « Voilà le genre de réveil que j’aime. » lui murmura-t-il au creux de l’oreille.

Et il reprit ses lèvres dans un langoureux baiser. Stella pouvait sentir la virilité de Mac contre sa cuisse. Elle s’appuya un peu plus contre lui. Il avait rallumé en elle le brasier qu’il avait déjà attisé la veille. Elle le désirait encore plus que la veille, si c’était possible.
Elle s’assit à califourchon sur lui et commença à onduler du bassin. Mac la colla un peu plus contre lui. Il passa ses mains sous le débardeur de Stella. Il pouvait à nouveau toucher cette peau si douce.

Il titilla la pointe de l’un de ses seins. Il traça avec sa langue un sillon de feu dans le cou de Stella, qui se cambrait sous les assauts de son amant.

Mac se releva, Stella accrocha ses jambes autour de sa taille. Alors qu’elle pensait qu’il l’emmènerait, il l’assit simplement sur la table de la cuisine. Elle décrocha ses bras du cou de Mac et s’allongea sur la table. Mac resté debout, remonta le débardeur de Stella, il lui embrassa le ventre et remonta vers sa poitrine. Dieu que cette femme était envoûtante, il la désirait plus qu’il n’avait jamais désiré une femme. Stella gémissait de plaisir sous les assauts de sa bouche, elle se cambrait pour que son corps soit encore plus en contact avec ses lèvres.

Il n’en pouvait plus, la voir ainsi, allongée sur cette table, totalement offerte. Il se dépêcha de lui retirer son short, et d’enlever son boxer. Il l’approcha de lui, elle était brûlante. Il la pénétra d’un seul coup de reins. Stella cria de satisfaction. Ce que lui faisait Mac était terriblement érotique. Faire l’amour là, sur sa table de cuisine, c’était extrêmement excitant. Elle n’avait jamais connu ça auparavant.

Il allait et venait en elle. Ils étaient tellement émoustillés tous les deux par la situation, que l’orgasme ne tarda pas à les surprendre. C’est essoufflé que Mac se releva du corps du Stella sur lequel il s’était allongé après la jouissance. Stella n’en revenait pas, avoir fait ça sans aucune pudeur, sur sa table de cuisine.

Stella : « Waouh, c’était un petit déjeuner très …chaud. »

Mac : « Et attends tu n’as pas vu le déjeuner… »

Stella lui tapa le bras : « Coquin ! »

Et toujours en souriant, ils se dirigèrent vers la salle de bains. Bien qu’ils aient besoin d’une bonne douche froide pour les calmer. Mac désirait encore Stella et d’après le sourire qu’elle affichait, elle aussi. Ils ne devraient pas traîner, le boulot les attendait. Ils avaient quand même quelques minutes encore devant eux…


TBC.....

Te revoilà !


Et avec une suite aussi chaude que le premier passage coquin. Ces deux-là, une fois ensemble on ne peut plus les décoller. Je ne regarderai plus une table de cuisine comme avant

C'était encore une fois une suite géniale et parfaitement maîtrisée ! Bravo Poupi

Superbe moment Smac, ils sont vraiment choupinou, nos deux experts.
Et bien sur la table de la cuisine en plus, y'en a qui s'embête pas

Sublime suite Ma POupi

merveilleuse, splendide et sublime suite
j' , même sur le table, il y en a qui ne recule devant rien

Merci Poupi cette suite est

J'ai adorée cette suite!! C'était super!! En plus du Smac!!!

Voila un façon trés interessante de prendre son petit déjeuner XD

Mac et Stella, une fois qu'ils sont lancés on les arrête plus (toutes ces années perdus qu'ils doivent rattraper )


J'ai beaucoup aimé cette suite, tu ecris trés bien ces scenes c'est dingue!

Bravo Poupi!

EDIT: En plus ils filent ous la douche.. XD THe lieu du Smac!

Super suite poupi. Ce moment smac était parfait. A ce rythme là, il vont baptiser tout l'appart de Mac

ba dis donc c'est deux là une fois qui sont lancé on peut plus les arrêter mdr ^^

cette suite était superbe et puis du Smac quoi

Merci pour cette suite poupi

coucou,

non non non ne vous inquiétez pas je ne vous oublie pas, et j'essaie de prendre le temps d'avancer mais c'est difficile. je vais essayer de prendre quelques heures demain pour vous concocter des suites aux petits oignons !!!!

je vous remercie pour vos coms et votre soutien.



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Don se réveilla avec une pêche du tonnerre. La soirée de la veille avait été extraordinaire et surtout il n’avait pas arrêté de penser au baiser de Caly. Il savait que ce n’était pas bien, mais il ne pouvait s’empêcher d’être heureux.

Il se leva donc pour préparer son café et aller prendre sa douche le temps que celui-ci passe. Le sourire béat qu’il affichait depuis son réveil ne s’était pas estompé. Il prit la route pour le poste en sifflotant joyeusement, le tout au volant de la voiture de Caly.

Il rendrait les clés de la voiture à Adam. Ou alors il la rapporterait lui-même juste pour avoir le plaisir de la revoir.

Sur la route il fût appelé par Danny pour qu’il les rejoigne, Adam et lui, à l’adresse d’un suspect pour prélever des indices.
Quelle ne fût pas la stupeur des deux collègues quand ils virent arriver Don dans cette voiture de sport.

Danny sifflant : « Ben mon pote, t’as gagné à la loterie ? Et tu le dis même pas à ton vieux copain ! »

Don : « Ouais c’est ça mon pote ! »

Adam : « Qu’est-ce que tu fais avec la voiture de Caly ? »

Don avait oublié la présence d’Adam, et le sentiment de culpabilité qu’il avait étouffé jusqu’à présent revenait au galop. Il se sentait bête
et surtout comment expliquer ce qu’il fait avec la voiture de sa fiancée.

Don : « C’est après son rendez-vous avec son client. Ben eu … On n’a pris qu’une voiture … Et euh … Je l’ai raccompagné … Et elle me l’a laissé pour que je rentre pas à pied … Voilà c’est tout. »

Adam : « Ah Ok ! De toute façon elle en a une autre. »

Adam partit vers la voiture de Danny pour récupérer sa mallette. Danny, lui, avait bien vu le malaise de Don quand Adam lui avait parlé de Caly.

Danny : « Bon Dieu Don qu’est-ce qui s’est passé ? Tu veux te faire griller ou quoi ? »

Don : « Punaise Danny, j’y peux rien. Je te raconterai plus tard. »

Danny : « Ouais ! Ben t’as plutôt intérêt. »

Adam revint vers eux.

Adam : « Alors les gars on y va ! »

Danny : « C’est parti ! »

Don les suivit maussade et silencieux.

Adam se retourna vers lui : « Au fait Don … Ça c’est bien passé hier avec Caly ? »

Don : « Pourquoi ? Elle t’a dit quelque chose ? »

Adam : « Non je ne l’ai même pas vu ce matin, elle était déjà partie bosser. Je voulais savoir si ça c’était bien passé avec son client. »

Don : « Oui ça c’est bien passé, mais ce type est un obsédé. Je comprends maintenant pourquoi elle était si mal à l’aise. »

Adam : « Cool. Merci encore mec, je te revaudrai ça. »

Don vivait la situation extrêmement mal, son ami le remerciait et lui l’avait trahi.

Danny : « Dites donc les pipelettes, quand vous aurez fini votre réunion tupperware, on pourra peut être bosser ! »

Don : « Oh la ferme Danny ! »

Ils arrivèrent à l’appartement qu’ils devaient visiter. Ils frappèrent.

« Police ouvrez ! »

Ils entendirent du verre cassé, Don défonça la porte d’un coup de pied. Ils s’engouffrèrent dans l’appartement. Ils virent leur suspect s’enfuir par l’escalier de secours.

Don : « Je le suis ! »

Danny : « Je te rattrape en bas ! » et il reprit le couloir en sens inverse.

Adam : « Ben moi je vous attends les gars ! Je fais les prélèvements en attendant ?! Ok ? ... Bon ben Ok ! »

Don et Danny poursuivaient tous deux le suspect. Don par l’escalier de secours et Danny en courant jusque dans la ruelle où débouchait le dit escalier. Don se rapprochait, il allait l’avoir. Il sauta sur le suspect depuis le palier du dessus et réussi à l’entraîner avec lui dans ………..la benne à ordures.

Danny les avait rejoints, il se saisit du suspect qui tentait de sortir de la benne.

Danny : « Ola Ricardo ! Reste avec nous, tu es en état d’arrestation ! »

Ricardo : « Quoi ? Mais j’ai rien fait moi ! »

Danny : « Oui c’est ça et là tu faisais quoi. T’essayais pas t’enfuir peut-être. »

Ricardo : « Mais non Mec, c’est vous qui interprétez mal mon geste ! »

Danny : « Ah oui ? Et tu faisais quoi au juste, un exercice incendie ? Allez en route amigo ! »

Les renforts étaient arrivés, les deux officiers en uniforme embarquèrent le dénommé Ricardo pour l’emmener au poste, où il serait interrogé plus tard.

Danny : « Hé Don ça va ? »

Don : « D'après toi, je viens d'atterrir dans un tas d'ordures dégoûtantes, j'ai salopé mon costume, et pour couronner le tout j'ai trahi un ami, Alors là non ça va pas »

Danny : « Qui as-tu trahi Don ? Qu'est ce que c'est que cette histoire ? Je pige que dalle !»

Don : « Aide-moi plutôt je t'expliquerai après. »

Danny aida tant bien que mal Don à s'extraire de la benne.

Danny : « La vache tu cocottes sec ! Il est hors de question que tu foutes les pieds dans la voiture dans cet état là. »

Don : « Danny commence pas ... »

Danny interrompant son ami : « Alors c'est quoi cette histoire de trahison ? Raconte-moi tout. »

Don : « Danny tu es une vraie commère. Ok, mais tu gardes ça pour toi. »

Danny : « Parole de scout ! »

Don : « T'as jamais été scout de ta vie. »

Danny : « On s'en moque vas-y raconte à ton vieux copain. »

Don raconta la soirée avec Caly, il n'omit aucun détail sauf les larmes de Caly dans l'ascenseur. Il gardait pour lui cet épisode où Caly lui avait semblé si fragile.

Danny : « Pour le moment, je ne vois rien de mal là-dedans. »

Don : « Si tu me laissais finir au moins. » Et il narra son compliment et le baiser qui s'ensuivit. Danny siffla et écarquilla les yeux.

Danny : « Tu m'étonnes que tu te sentes mal. Mais c'est elle qui t'a embrassé ? »

Don avait vu Adam arrivé dans la ruelle.

Don : « On en rediscutera plus tard Danny, et pas un mot à qui que ce soit. »

Danny : « Nan, juré mon pote. »

Adam : « Bon les gars j'ai fini les prélèvements ….pouah la vache c'est quoi cette odeur immonde ? »

Danny : « C'est Don. Il a pris un bain dans les poubelles. »

Don : « Oh la ferme Danny ! »

Danny : « De toute façon il est hors de question que tu montes dans la voiture comme ça, t'es dégueu et tu pues. »

Don : « Et je fais comment pour rentrer au poste ? À pied peut être. »

Danny : « Si tu veux, au moins tu prendras l'air. Je veux pas de toi ! »

Adam : « Heu ...Les gars vous prenez pas la tête. Ben ...J'ai peut être ...euh...une solution.

Don : « Ah oui laquelle, me faire courir derrière la voiture ? »

Danny : « Ah oui tiens ! Bonne idée ! »

Adam : « Nan nan, mon appart' n'est pas loin, tu peux aller y prendre une douche si tu veux. »

Don : « Mouais. Ça résoudra pas le problème de mon costume.»

Adam : « J'appelle Caly, elle trouvera une solution. »

Don : « Nan la dérange pas ... »

Mais Adam était déjà parti téléphoner à sa « compagne ». Il revint trois minutes après avec un grand sourire.

Adam : « C'est bon tu peux y aller. Elle rentre de son boulot pour t'accueillir. »

Danny mettant un coup de coude à Don : « Tu dois être content Don, elle se déplace pour toi. »

Don tout bas : « Danny je vais te tuer ! »

Adam regardait ses amis perplexes, il se demandait ce qui leur arrivait. Il ne saisissait pas les allusions de Danny envers Don et ne comprenait pas la colère de celui-ci envers Danny. Enfin si, Danny n'arrêtait pas de le chambrer depuis le coup de la poubelle.

Adam : « Tu peux prendre la voiture de Caly, ça pose pas de problème. »

Don : « Non merci, je vais la lui salir. »

Adam : « Elle a dit texto : Ce n'est qu'une voiture, je la ferai nettoyer. Alors tu prends sa voiture. Et puis tu vas te promener dans les rues comme ça. »

Don : « Ouais, je te remercie Adam, toi au moins t'es pas comme certains. » en jetant un regard noir à Danny.

Ils s’en retournèrent tous vers les voitures.

Danny : « Je plains la pauvre Caly qui va devoir t’accueillir chez elle. »

Don : « Danny, continue comme ça et je te colle mon poing dans la figure. »

Danny : « Ah ben si on peut même plus rigoler. »

Et Danny partit en boudant dans son coin. Quant à Adam il donna l’adresse de son appartement à Don. Caly serait là pour lui ouvrir donc pas de souci de clés, en plus Adam les avait laissées au labo.

TBC .......

j'aime beaucoup cette suite bourrée d'humour.

Le apuvre Don, s'il savait qu'il n'avait trahi personne J'ai bien hâte de savoir ce qui va se passer à l'appart entre Don et Caly. Tu as éveillé ma curiosité là poupi.

Mdr j'aime trop cette suite, elle est tordante ^^

je suis presser de voir le moment Caly et Don chez Adam lol ^^

la suite la suite

Rhooo Danny nan mais quel commère vraiment… Puis pas discret en plus ! Heureusement qu’Adam n’y fait pas trop attention.

J’adore le suspect qui s’enfuit et Adam… Je ne bouge pas, je reste la !

Pauvre Flack d’abord tout joyeux puis après il se sent tout coupable… Puis bon avec Danny qui se moque et un plogeont dans les poubelles ça aide pas… XD

En plus la il va pendre une douche chez Cali… Hihi ils pourraient prendre exemple sur un autre couple… (Je ne citerais pas de nom… Disons que le nom de la jeune femme commence par un S et le nom du bel homme par un M )


Bravo Poupi pour ce chapitre remplit d’humour ! Ca donne encore plus envie de lire la suite !

cette suite est splendide
l'échange Danny/Don est vraiment drôle et pleines d'émotions comme dans la série j'adore
et l'humour de Danny

Poupi je te dis
merci j'adore

Je te l'ai déjà dis, non ? Je te l'ai déjà dit que j'adorai ce passage !
C'est drôle, ça sent vrai (et ça sent les ordures, mais c'est Don par ta fic)

J'ai hâte de relire la suite

j'adore l'humour de cette fic!
Adam qui ne bouge pas quand le suspect s'enfuit!
l'échange Don/Danny super drôle! Danny qui taquine Don!
on ressent super bien l'humour de Danny
hâte de lire la passage de Don et Caly dans l'appart!
bravo poupi! une petite suite s'il te plait

bonjour, bonjour

toutes mes excuses pour mettre autant de temps à poster mais entre le boulot, la maison, ma fille, je suis un peu à court de temps, si quelqu'un pouvais faire durer les journées plus de 24h ça m'arrangerait...

j'essaie donc d'avancer ma fic dès que je le peux...là ça va j'ai réussi à avancer un peu donc je vais pouvoir vous mettre quelques suites dans la semaine.

je vous remercie pour vos coms et votre soutien sans lesquels je ne poursuivrai pas.

merci à ma gentille Lino de me corriger avec tant de gentillesse.

gros bisous à toutes



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Don continuait de pester contre Danny. Il allait chez Caly. Non rectification, il allait chez Adam et Caly. Il fallait vraiment qu’il imprègne ce « détail ».

Il était temps qu’il arrive à destination, l’odeur qui émanait de sa personne lui collait des hauts le cœur. Avec le badge qui se trouvait dans le véhicule, il entra dans le parking souterrain et gara la voiture à la place numérotée qui lui était assignée. Adam le lui avait crié rapidement avant de partir avec Danny.

Il se dépêcha de prendre l’ascenseur, tout l’immeuble allait bientôt empester si ça continuait. Il monta jusqu’à l’étage indiqué par son ami, et se dirigea vers la porte d’entrée. Il n’eût pas le temps de sonner que la porte s’ouvrit. Caly toujours aussi belle et souriante se tenait dans l’embrasure. Il était super gêné de se présenter ainsi. En tout cas, elle n’avait eu aucune grimace de dégoût, pourtant lui-même était écœuré.

Caly : « Entre Don. »

Don : « Caly, je suis vraiment navré, je ne voulais pas te déranger … »

Caly : « Non ne t’inquiète pas, tu ne me déranges pas. »

Don entra se confondant toujours en excuses : « Oui mais je t’ai fait quitter ton travail… »

Caly : « Stop, arrête tes excuses. Tu ne me gênes pas et je retournerai au travail plus tard, en plus j’avais oublié des croquis, je serais revenue à un moment ou l’autre. »

Elle lui sourit tendrement. « Je te ferais un bisou toute à l’heure …après la douche. »

Don était tout retourné par les paroles à double sens de Caly, il savait qu’elle ne l’interprétait pas de la même façon que lui mais il ne pouvait s’empêcher de repenser au baiser de la veille.

Caly : « Viens je t’accompagne jusque la chambre d’amis. Laisse tes affaires sur le lit, je m’en occuperai. »

Et elle le précéda dans les escaliers, il la suivit tout en admirant sa silhouette.

Don : « Non Caly, je ne peux pas accepter. »

Caly : « Alors disons que c’est en remerciement pour la soirée d’hier. D’accord ? »

Ne trouvant plus rien à y redire, il la suivit le long du couloir. Elle lui ouvrit la porte d’une chambre magnifique et spacieuse. Toute dans les tons taupe et rouille, elle était très lumineuse, la salle de bains attenante était ivoire et bronze avec des meubles en bois exotique. Il était impressionné.

Caly : « Tu trouveras tout ce dont tu as besoin dans la salle de bains. Et laisse-moi tes vêtements sur le lit. »

Sur ces dernières paroles, elle quitta la pièce en fermant la porte. Il entendit ses pas décroître dans le couloir. Il soupira. Il entreprit de se déshabiller, il laissa ses vêtements sur le lit à par son boxer qui avait pu échapper de peu à l’odeur pestilentielle des ordures. Il se rendit dans la salle de bains et fit tourner le robinet d’eau chaude. Il devait constater que tout ce dont il avait besoin était présent. Il laissa l’eau chaude couler sur sa peau. Ça lui faisait un bien fou. Il n’arrêtait pas de penser à Caly, finalement une douche froide lui ferait peut être du bien.

Quand il se rendit dans la chambre, il vit un costume noir posé sur le lit, à côté une chemise blanche. Caly avait dû venir quand il était sous l’eau. Il ne l’avait pas entendu. Il regarda les marques, et resta ébahi, ce costume devait valoir une vraie fortune. Il se demandait où Caly l’avait trouvé, en plus à sa taille. Ce n’était pas trop le style de vêtements d’Adam. Il en était toujours là quand la porte s’ouvrit d’un coup sur une Caly plongée également dans ses pensées.

Lorsqu’elle releva les yeux, Don eut la surprise et le bonheur de voir qu’elle rougissait à sa vue. Il faut dire qu’il n’était pas très habillé, il était torse nu, la serviette enserrant sa taille. Lui-même était un peu gêné.

Caly retrouvant l’usage de la parole : « Excuse-moi Don, j’aurais dû frapper avant d’entrer. Je voulais te déposer une cravate qui devrait aller avec le costume. »

Don : « Merci Caly. Mais où as-tu trouvé ces vêtements ? »

Caly : « Ils appartenaient à mon frère. » Son regard s’assombrit. « Je pense qu’ils devraient t’aller. »

Sur ces dernières paroles elle fit demi-tour et s’éloigna. Elle s’arrêta pour fermer la porte et sans se retourner lui dit : « Excuse-moi encore d’être entrée sans frapper. »

La porte se referma sans qu’il ait eu le temps de lui répondre. Il avait mal au cœur, il avait vu son regard s’assombrir à l’évocation de son frère. Elle lui avait dit lors de leur dîner qu’il était décédé mais il ne savait pas de quoi exactement. Mais il voyait qu’elle était encore bouleversée à son souvenir. Même si ça lui coûtait, il questionnerait Adam sur le sujet.

Il termina de s’habiller et se demanda ce que Caly avait fait de son autre costume. Il remit les choses en ordre et descendit pour rejoindre Caly. Il suivit le son de la musique pour découvrir où elle se trouvait.

Il avait remarqué qu’une fois de plus, elle était habillée de noir. Un long jupon avec un haut empire au col arrondi, des manches bouffantes qui dévoilaient ses épaules, et un nœud sous la poitrine. On aurait dit une gitane, mais une magnifique gitane. Elle travaillait sur sa table à dessins. Avec la musique elle ne l’avait pas entendu arriver.
Elle mangeait des nounours à la guimauve, tout en travaillant.

Se sentant sans doute observée, elle leva la tête et regarda vers lui. Elle lui sourit puis d’un coup il vit ce sourire disparaître et ses yeux s’emplir de larmes.

Caly : « Je suis contente, ça te va comme un gant. »

Don : «  Merci Caly, je te ramènerai le tout … »

Caly criant presque : « Non ! » puis se reprenant « Garde-les, mon frère n’en a plus besoin. »

Don s’approcha de Caly, il voyait la détresse dans son regard, il posa la main sur sa joue, il sentit qu’elle s’y appuyait, elle ferma les yeux. Il voulait la réconforter, la prendre dans ses bras, et lui faire oublier cette souffrance.

D’un coup elle s’écarta de lui, elle le regarda dans les yeux, s’excusa et s’enfuit de la pièce avant même qu’il ait pu la rattraper. Il entendit une porte claquer, bon sang qu’avait-il fait ? Il quitta rageusement l’appartement en pestant contre lui-même.

TBC.......

à très vite les filles !!!!